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Takeuchi, Sawako. "Les dettes extérieures des pays asiatiques et le rôle du Japon." Économie appliquée 41, no. 4 (1988): 903–11. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.1988.2109.

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Abstract:
Un problème essentiel au niveau des financements internationaux réside dans l’amélioration de la capacité de paiement des intérêts sur les dettes extérieures accumulées. Les pays asiatiques résolvent leur problème de dette extérieure en renforçant leur dynamisme économique par l’accroissement des investissements directs accueillis et l’augmentation induite de leurs exportations. L’intensification des flux financiers en provenance du Japon conduira à une plus forte intégration économique de la région.
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Scheele, Judith. "L’énigme de lafaggāra: commerce, crédit et agriculture dans le Touat algérien." Annales. Histoire, Sciences Sociales 67, no. 2 (June 2012): 471–93. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900010180.

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Abstract:
RésuméDans le Touat algérien, les économies locales dépendent nécessairement de sources d’investissement extérieures et font donc partie de projets économiques et socio-politiques qui les dépassent. La propriété foncière y est morcelée, les réseaux d’investissement multiples et complexes. L’économie locale s’y exprime en partie en termes monétaires qui participent de la création de dettes, celles-ci assignant la plupart des producteurs dans une dépendance chronique. Le droit islamique y est volontairement adopté pour redéfinir les transactions locales en termes universalistes et inscrire le local dans un monde intellectuel et spirituel plus vaste. Les oasis apparaissent ainsi comme le résultat d’un mouvement « colonisateur » intérieur, tant sur le plan politique et commercial que spirituel.
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Mrak, Mojmir. "Partage et succession des dettes extérieures : le cas de la République Socialiste Federative de Yougoslavie (RSFY)." Revue d’études comparatives Est-Ouest 30, no. 4 (1999): 153–75. http://dx.doi.org/10.3406/receo.1999.3000.

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4

BEN ALI, Tarek, and Ahmed Zidi. "Rôle de l’endettement extérieur dans le financement du développement économique : cas des pays de la région MENA." INTERNATIONAL JOURNAL OF MANAGEMENT & INFORMATION TECHNOLOGY 7, no. 3 (December 15, 2013): 1198–213. http://dx.doi.org/10.24297/ijmit.v7i3.3058.

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Abstract:
En considérant les économies de la région MENA, l’objet de cette recherche est d’étudier le rôle de l’endettement extérieur dans le financement du développement. Il s’agit en particulier d’étudier la relation entre la dette extérieure et la croissance économique. En fait, les changements politico-économiques que connaît le Sud de la Méditerranée combinésaux urgences dictées par la crise de la dette souveraine en Europe fait qu'il est pertinent de s'interroger sur la réponse à apporter aux défis économiques que doit relever la région MENA dans son ensemble. Au premier rang de ces défis figure la problématique de l’endettement extérieur et son rôle dans le financement de développement économique. L’étude s’est inspirée du modèle de Patillo et al. (2002) et elle utilise la technique de panel. Ainsi et en combinant des ratios d’endettement et les principaux déterminants de la croissance économique, nous avons vérifié l’existe d’un seuil optimal au-delà duquel l’endettement extérieur ralentit la croissance économique (l’existence d’une courbe de Laffer de la dette). Pour la région MENA, la dette extérieure en soit n'est pas un frein au développement lorsqu’elle est contenue dans des limites raisonnables ; au contraire, elle peut aider ces pays à consolider leur croissance. Par ailleurs, uneaugmentation du service de la dette a un impact négatif sur la croissance économique et le canal de transmission de cet impact passe par la qualité de l’investissement et par le fardeau de la dette. Les résultats obtenus montrent égalementqu’il existe une relation non linéaire entre la dette et la croissance, c’est-à-dire qu’il y a un seuil critique qui rendrait la croissance négative. Ce seuil, qui correspond à l’impact marginal de la dette sur la croissance s’établit à un niveau de 60% du PIB.
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Djibril, Oumar. "Examen de la Dette Extérieure Publique D’un Pays à Revenu Intermédiaire par une Approche D’indicateur de Sutenabilité: le cas de la Côte d’Ivoire." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 28 (September 30, 2022): 94. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n28p94.

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Abstract:
Cette étude examine la soutenabilité de la dette extérieure de la Côte d’Ivoire, pays à revenu intermédiaire avant et après son élection à l’IPPTE[1] en 2012, date cruciale de son histoire par l’approche de l’Indicateur de Soutenabilité de la Dette (ISD). Les résultats de l’étude montrent que son niveau d’endettement extérieur pose un problème de soutenabilité avant la période de l’atteinte du point d’achèvement mais relativement moins après. Le recours à la mesure de l’ISD fondé sur des variables socioéconomiques composites permet de conclure que la Côte d’Ivoire s’appauvrit empiriquement au plan socio-économique en dépit de son taux d’endettement s’inscrivant dans les normes de l’UEMOA (<70% du PIB). La dette extérieure étant insoutenable, sa bonne gestion et le recours régulier aux opérations d’emprunts obligataires et l’exploitation des avantages comparatifs sont à encourager. [1] Initiative Pays pauvres très endettés (IPPTE) ; solution qui a pour objectif de rendre la dette extérieure des pays pauvres soutenable. Elle est lancée par les Institutions de Bretton Woods depuis 1996. This paper examines alternatively the sustainability of Ivorian external indebtedness through HIPCs issue before and after the year 2012, a key date of Côte d’Ivoire’s history. The study takes into account social and economic variables instead of economic indicators only used by international financial institutions (IFI) and other studies. With reference to debt sustainability indicator (DSI) analysis focused on economic and also social variables provided, this study outlines the state of highly indebted poor country in terms of lack of social infrastructures before the initiative and after. Therefore, after the achievement point, the result remains relatively the same. As a matter of fact, these findings justify the poorest state of Côte d’Ivoire: the external debt is therefore unsustainable. From our findings, good external debt management, the regular using of financial bonds market and exploiting comparative advantages are encouraged.
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Sgard, Jérôme. "Ajustement des entreprises et distribution du crédit pendant la transition : une comparaison de quatre pays d'Europe centrale et orientale." Revue économique 46, no. 3 (May 1, 1995): 787–96. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1995.46n3.0787.

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Abstract:
Résumé À partir d'une série d'indicateurs bancaires et monétaires, cet article met en valeur la très grande diversité ex-post des politiques de crédit suivies depuis 1990 dans quatre économies en transition. On montre que cette divergence est liée à des profils divergents d'ajustement de la relation de crédit entre banques et entre­prises, sous l'impact lui-même variable de trois catégories de facteurs: les contraintes macro-économiques (déficit public et dette extérieure en particulier), les interventions publiques dans le secteur bancaire (notamment les recapitalisa­tions), enfin les conditions dans lesquelles les stocks de dettes constitués avant la transition ont été ou non préservés pendant les premiers mois de la transition.
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Boillot, Jean-Joseph. "Libéralisation sous contraintes : dette publique et dette extérieure." Tiers-Monde 30, no. 119 (1989): 513–43. http://dx.doi.org/10.3406/tiers.1989.3860.

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Quinet, Fabrice. "Les (f)acteurs extérieurs et la crise belge de 2010-2011." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 10 (July 18, 2013): 49–68. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.010.004.

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Abstract:
Cet article définit le paradigme extérieur dans lequel les négociations pour la formation du budget 2012 de la Belgique se sont déroulées après plus de 500 jours de travail sur les questions institutionnelles. Nous explicitons les deux (f)acteurs extérieurs ayant débloqué des négociations à l’arrêt, et qui ont abouti seulement cinq jours après la démission de Mr. Elio Di Rupo, alors en charge de la formation du gouvernement. Nous démontrons d’abord que la Belgique était sous la menace d’une amende européenne de 710 millions d’euros dans le cadre la Procédure de Déficit Excessif en l’absence d’un budget pour 2012. La problématique de la dette belge est située dans son contexte européen et nous analysons l’impact d’une hausse des taux d’intérêt sur une dette publique au travers du cas (du « spectre ») grec. Nous expliquons ensuite les raisons politiques pour lesquelles la Belgique a été dégradée par l’agence de notation Standard & Poor’s, et comment ce deuxième fait a servi d’accélérateur à des négociations qui semblaient à nouveau dans l’impasse.
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MOUANDAT, Scott Regifère. "dette optimale au Gabon." Journal of Academic Finance 12, no. 1 (June 23, 2021): 132–49. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v12i1.438.

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Abstract:
Objectif : L’objet de l’article est de vérifier la non linéarité entre la dette extérieure et la croissance économique au Gabon. Méthode : En prenant la période 2000-2019, notre analyse, s’est appuyée sur le modèle à changement de régime à transition brutale (Threshold Autoregressive, TAR) de Hansen (1999). Résultats : Les résultats montrent que la dette libellée en dollar US et celle libellée en euro stimulent la croissance économique dans ce pays lorsqu’ils sont respectivement inférieurs au seuil de 52,31% et 34,76% du PIB et deviennent récessifs sur l’activité au-delà de ces seuils. Originalité/pertinence : L’article analyse la non-linéarité entre la dette extérieure et la croissance économique au Gabon en distinguant spécifiquement la dette libellée en dollar US et en Euro. Il s’est alors intéressé à la composition en devise d’une telle dette dans le cadre d’une petite économie ouverte sur l’extérieure. Contribution : Les résultats de l’article montrent que le gouvernement gagnerait à privilégier la dette libellée en dollar américain car elle donne plus de marge de manœuvre dans la stratégie d'endettement.
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Basualdo, Eduardo. "Évolution et impact de la dette extérieure." Matériaux pour l histoire de notre temps N° 81, no. 1 (2006): 42. http://dx.doi.org/10.3917/mate.081.0007.

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Ffrench-Davis, Ricardo. "Dette extérieure, ajustement et développement en Amérique latine." Tiers-Monde 28, no. 109 (1987): 79–94. http://dx.doi.org/10.3406/tiers.1987.4484.

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TATOUTI, Rachid, Seif elislam JABHAOUI, and Hassan MABROUKI. "L’impact de la dette extérieure publique sur la croissance économique au Maroc : essai d’une modélisation économétrique." International Journal of Economic Studies and Management (IJESM) 1, no. 2 (November 26, 2021): 227–43. http://dx.doi.org/10.52502/ijesm.v1i2.192.

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Abstract:
La relation entre la dette extérieure publique et la croissance économique dans les pays a toujours fait l’objet de controverses et a écoulé beaucoup d’encre. L’objet de cet article est d’analyser empiriquement l’impact de la dette extérieure publique sur la croissance économique au Maroc durant la période 1983 -2019. Pour ce faire, nous avons utilisé une méthodologie déductive, axée en premier lieu, sur la proposition d’une revue de littérature à la fois théorique et empirique traitant cette problématique. Ensuite, on s’est basé sur une étude économétrique, et précisément une modélisation VAR standard en vue de détecter l’impact du financement externe sur la croissance du PIB au Maroc. A travers l’analyse de fonction de réponse impulsionnelle et de la décomposition de la variance, il s’est avéré que la dette publique n’est pas un déterminant de la croissance économique au Maroc.
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Abdoun, Rabah. "L’économie algérienne prise au piège de sa dette extérieure." Recherches Internationales 43, no. 1 (1996): 83–106. http://dx.doi.org/10.3406/rint.1996.2171.

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Artus, Patrick. "Décalage cyclique entre les États-Unis et l’Europe, et évolution des taux d’intérêt." Recherches économiques de Louvain 62, no. 2 (1996): 139–54. http://dx.doi.org/10.1017/s0770451800055688.

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Abstract:
RésuméNous analysons, à l’aide d’un modèle théorique à deux pays, si la reprise précoce de l’économie américaine implique une forte hausse des taux d’intérêt en Europe, qui mettrait en péril la reprise européenne. Nous examinons les effets des politiques monétaires, du degré de mobilité internationale du capital, de l’intensité des effets de richesse, et enfin de l’accumulation de dette extérieure aux États-Unis.
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Reisen, Helmut. "Dette publique, compétitivité extérieure et discipline budgétaire dans les pays en développement." Tiers-Monde 32, no. 126 (1991): 317–42. http://dx.doi.org/10.3406/tiers.1991.4608.

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Kinda, Mohamed Tidjane, and Pam Zahonogo. "Dette extérieure et croissance économique en Afrique subsaharienne : évidence d’une hétérogénéité des seuils." Mondes en développement 195, no. 3 (September 22, 2021): 129–52. http://dx.doi.org/10.3917/med.195.0129.

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Jacquet, Pierre. "Choc inflationniste dans les pays émergents et en développement." Revue d'économie financière N° 153, no. 1 (May 2, 2024): 149–61. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.153.0149.

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Abstract:
Le choc inflationniste mondial a touché les pays en développement de façon différenciée. Ses effets ont été renforcés par les réponses des politiques monétaires dans les pays développés. Il représente surtout un choc majeur, à la fois en termes d'accroissement de la pauvreté, notamment dans les pays les moins avancés, dont il souligne à nouveau la grande vulnérabilité aux conditions internationales, et en termes d'appréciation du risque et de disponibilité de financements externes, comme en témoignent les difficultés liées à la dette extérieure. Classification JEL : E31, O1, O2, O4.
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Hénin, Pierre-Yves, and Patrick Fève. "Une évaluation économétrique de la soutenabilité de la dette extérieure des pays en développement." Revue économique 49, no. 1 (1998): 75–86. http://dx.doi.org/10.3406/reco.1998.409964.

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Fève, Patrick, Pierre-Yves Hénin, Patrick Feve, and Pierre-Yves Henin. "Une évaluation économétrique de la soutenabilité de la dette extérieure des pays en développement." Revue économique 49, no. 1 (January 1998): 75. http://dx.doi.org/10.2307/3502493.

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Zouirchi, Houda, Rachid El Bettioui, and Aziz Ouia. "La relation entre la dette extérieure et la croissance économique au Maroc : Investigation empirique." revistamultidisciplinar.com 5, no. 3 (July 2023): 197–223. http://dx.doi.org/10.23882/rmd.23170.

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Abstract:
The relationship between the external public debt and the economic growth of countries has always been controversial. The purpose of this article is to analyze empirically the impact of the external public debt and the economic growth of Morocco in the period 1984 to 2021. In order to achieve that, a methodology based on a proposal of an empirical and theoretical literature review that treats this problem has been used on the first hand. On the other hand, an econometric analysis has been utilized to detect if there is a long-term growing relationship between the external debt and the Moroccan economic growth.
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Fève, Patrick, and Pierre-Yves Hénin. "Une évaluation économétrique de la soutenabilité de la dette extérieure des pays en développement." Revue économique 49, no. 1 (January 1, 1998): 75–86. http://dx.doi.org/10.3917/reco.p1998.49n1.0075.

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Maurin, Laurent. "Les déterminants démographiques de la dette extérieure : le cas de trois pays européens, des États-Unis et du Japon." Économie appliquée 53, no. 2 (2000): 115–31. http://dx.doi.org/10.3406/ecoap.2000.1727.

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Abstract:
À partir d’un modèle à générations imbriquées intégrant l’influence de la population jeune sur l’épargne des adultes et le stock de capital, nous montrons que la créance extérieure nette d’une économie varie positivement avec la proportion d’âgés et négativement avec la proportion de jeunes. Nous étudions alors l’existence de la relation de coïntégration entre cette variable et les indicateurs démographiques pour trois pays européens (Allemagne, France et Italie), les Etats-Unis et le Japon. Le modèle permet d’expliquer la dynamique d’endettement des Etats-Unis et d’accumulation du Japon.
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N'GUESSAN, Romain Kouakou. "Intégration financière internationale et croissance économique des pays de la CEDEAO : le rôle de la gouvernance." Journal of Academic Finance 9, no. 2 (December 31, 2018): 81–103. http://dx.doi.org/10.59051/joaf.v9i2.166.

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Abstract:
L’objectif poursuivi par cette étude est d’analyser l’effet de l’intégration financière internationale sur la croissance et de voir la manière dont la gouvernance conditionne cet effet sur un échantillon de 13 pays de la CEDEAO durant la période 1975 à 2014. Nous utilisons dans cette étude le stock total des actifs et engagements extérieurs rapporté au PIB comme variable d’intégration financière. L’utilisation de la méthode Pooled Mean Group a permis de montrer que la mesure de Lane et Milesi-Ferretti impacte négativement la croissance économique. Toutefois lorsqu’on désagrège cette mesure, il ressort que son composant stock de la dette impacte négativement la croissance économique et son composant stock des IDE impacte positivement la croissance économique. Par ailleurs, l’étude trouve que la gouvernance dans la CEDEAO représentée par la démocratie électorale aggrave l’impact du stock de la dette sur la croissance alors que dans le cas du stock des IDE elle favorise son effet.
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Delessy, Henri, Frédéric Lerais, Sébastien Paris-Horvitz, and Henri Sterdyniak. "Après Maastrich : quelles politiques économiques en Europe ?" Revue de l'OFCE 43, no. 1 (January 1, 1993): 273–305. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.43n1.0273.

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Abstract:
Résumé Le Traité de Maastricht pose avec acuité le problème de l'organisation de la politique économique en Europe, tant en ce qui concerne la phase de transition, qu'en ce qui concerne le fonctionnement d'une zone à monnaie unique. Sur le fond, deux points de vue s'opposent : pour les uns, la construction de l'Europe doit permettre la renaissance d'une politique économique active tournée vers la croissance. Pour les autres, au contraire, l'Europe doit être libérale. Les accords de Maastricht optent très clairement pour une politique économique « vertueuse », notamment en adoptant des critères rigoureux de dettes et de déficits publics et en mettant en place une Banque centrale indépendante. Les accords prévoient une phase transitoire durant laquelle la politique économique des différents pays sera dictée par la nécessité de satisfaire aux conditions qui permettront d'accéder à l'UEM. Cette phase intervient dans une période où les perspectives de croissance sont déjà médiocres. Actuellement, 10 pays sur 12 ne satisfont pas ces conditions et devraient pratiquer une politique économique plus restrictive. Ceci est difficilement justifiable pour certains pays qui, malgré une dette publique importante, ont un solde extérieur excédentaire. Ces critères imposent de plus une politique économique pro-су clique. L 'ajustement budgétaire requis par une application stricte des critères est extrêmement fort pour certains pays : 7, 5 points de PIB en Italie, 7 points en Belgique et en Grèce, 2,5 points en Irlande. Une simulation, réalisée à l'aide du modèle MIMOSA, montre que, si les pays concernés mettaient en œuvre une politique représentant la moitié de ce qui ést nécessaire, le taux décroissance du PIB de la CE serait plus bas de 0,3 % environ chacune des trois premières années et son niveau resterait inférieur de 1,4% à son niveau du compte central en 1999. Pour les pays concernés, cette politique aurait un effet récessif important ; l'objectif d'une dette publique à 60% du PIB en 1999 reste hors d'atteinte. La manière dont est organisée la convergence laisse mal augurer de l'organisation de la politique économique dans l'Union européenne. Le Traité prévoit une Banque centrale européenne (ВСЕ) indépendante, chargée avant tout de la stabilité des prix. La France ne retrouvera pas une influence sur sa politique monétaire mais l'abandonnera à des partisans de politiques rigoureuses. Les pays n'auront plus à leur disposition les armes du taux d'intérêt et du taux de change, mais n'auront plus à se soucier directement de leur solde extérieur, ni à craindre les anticipations défavorables des spéculateurs. Il y a là un degré de liberté utile mais aussi un risque potentiel que chaque pays pratique une politique trop expansionniste. En réaction, le Traité impose des limites contraignantes à la dette et au déficit publics, sans tenir assez compte des considérations conjoncturelles ou structurelles, qui peuvent rendre nécessaire que ces barrières soientfranchies, temporairement ou durablement. L 'accord de Maastricht peut contribuer à terme à impulser la croissance en Europe, mais, dans son état actuel, il ne prévoit pas une coordination satisfaisante de la politique économique en Europe entre la ВСЕ responsable de la politique monétaire et les treize détenteurs de pouvoir budgétaire. De nouveaux accords, instituant la coordination de l'ensemble des instruments de politiques économiques, sont donc nécessaires. On ne pourra faire l'économie d'un débat de fond sur l'organisation et les objectifs de /apolitique économique en Europe.
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Reynolds, Nathalène. "Pakistan : une situation politique préoccupante." Questions internationales 119-120, no. 3 (October 19, 2023): 181–89. http://dx.doi.org/10.3917/quin.119.0181.

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La situation de la République islamique du Pakistan apparaît préoccupante, en particulier depuis la destitution du Premier ministre Imran Khan au mois d’avril 2022. Alors que le contexte politique, économique et sécuritaire va se dégradant, il semblerait que ce que l’on nomme, le plus souvent, le pouvoir politico-militaire ne parvienne pas à unir ses forces et à oublier les querelles qui rythment la vie du pays depuis sa fondation, le 14 août 1947. Outre une importante dette extérieure, le pays craint de surcroît une autre mousson catastrophique. Les récentes émeutes suite à la courte arrestation d’Imran Khan laisseraient-elles, de surcroît, planer un risque accru de turbulences ?
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Colas, Bernard. "II: Le Canada et le système monétaire international en 1990." Canadian Yearbook of international Law/Annuaire canadien de droit international 29 (1992): 429–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0069005800004550.

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Abstract:
La transition des pays d'europe centrale et orientale d'une économie à planification centralisée vers une économie de marché, l'invasion du Koweït et la persistance de la crise de l'endettement ont particulièrement marqué le système monétaire international au cours de l'année 1990.Peu d'initiatives majeures ont été prises cette année afin d'alléger la dette extérieure des pays en développement. La conclusion d'accords de restructuration entre les banques créancières et le Mexique, les Philippines, le Costa Rica, le Venezuela, l'Uruguay dans le cadre du Plan Brady, ainsi qu'avec le Chili et le Maroc sont toutefois à souligner. De plus, les Chefs d'État et de gouvernement des sept pays les plus industrialisés, réunis à Houston du 9 au 11 juillet 1990, ont décidé d'encourager le Club de Paris à allonger les périodes de remboursement de la dette des pays à revenu moyen inférieur. Cette démarche concerne les pays dont la dette officielle est importante et pour lesquels le recours au plan Brady aurait peu d'effets; la Pologne a été l'un des premiers pays à avoir bénéficié de cette initiative. Les Sept ont également souligné la décision prise par le Canada d'annuler les prêts d'aide publique au développement remboursables par 11 pays des Caraî bes membres du Commonwealth à concurrence de 11 millions CAD.
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Mullei, Andrew K. "Les différents aspects du problème de la dette extérieure de l'Afrique Redéfinition du rôle du Club de Londres." African Development Review 3, no. 2 (December 1991): 155–62. http://dx.doi.org/10.1111/j.1467-8268.1991.tb00052.x.

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Grin, Rabiae, and Charaf Agoune. "Algerian export promotion strategy between trends optimism and caution factors." Milev Journal of Research and Studies 3, no. 1 (June 30, 2017): 443–63. http://dx.doi.org/10.58205/mjrs.v3i1.916.

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Abstract:
La période des années du quatre-vingt du siècle précédent est les plus délicates vécues par l'Algérie, en raison de la crise de la dette et de la stagnation de la production et la baisse des prix du pétrole, ce qui a forcés à adopter une nouvelle politique pour une économie orienté marché et l'ouverture du commerce extérieur et l’expiration du monopole des entreprises publiques.L'Algérie a poursuivi sa politique visant à améliorer les exportations hors hydrocarbures et encouragé le développement économique, notamment par le biais de nombreux dispositifs et mesures, et malgré cet effort la balance commerciale est restée déficitaire, et les exportations n’a pas encore atteint le niveau souhaité.
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Heyer, Éric, and Xavier Timbeau. "Le prix de l’inflation." Revue de l'OFCE N° 180, no. 1 (March 6, 2024): 139–76. http://dx.doi.org/10.3917/reof.180.0139.

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Abstract:
La reprise de l’activité post-Covid a été violemment freinée par de multiples événements, en premier lieu les conséquences de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La crise énergétique, le retour du spectre de l’inflation, les tensions internationales et les difficultés d’approvisionnement, la remontée brutale des taux… l’ensemble de ces chocs amputeraient la croissance du PIB de 3 points sur trois ans malgré les mesures budgétaires déployées. Si le reflux des prix de l’énergie depuis le pic de l’été 2022 devrait permettre d’éviter officiellement une récession, l’économie française ne devrait cependant croître que de 0,8 % en 2023, marquée encore par la diffusion du choc monétaire et énergétique. En 2024, sous l’hypothèse d’une relative stabilité des prix de l’énergie et sans crise financière majeure, la croissance du PIB serait de 1,2 %. La croissance de l’activité serait principalement amputée par la diffusion de la hausse des taux et une politique budgétaire plus restrictive. Tirée par les prix de l’alimentaire, l’inflation resterait élevée jusqu’à la fin de l’année 2023 oscillant entre 5,5 % et 6,5 %. Elle commencerait à se dégonfler seulement à partir de 2024 pour converger vers les 3 % à la fin de l’année prochaine. Au total, l’inflation mesurée par l’IPC, augmenterait en moyenne de 5,8 % en 2023 et de 3,8 % en 2024. Le pouvoir d’achat par unité de consommation baisserait de 1,2 % sur la période 2022-2024. Il reviendrait en 2024 à un niveau proche de 2019 malgré les mesures fiscales déployées. Le taux d’épargne des ménages, encore près de 3 points au-dessus de son niveau de 2019 à la fin 2022, convergerait vers son niveau d’avant-crise à l’horizon de la prévision, soutenant ainsi la consommation. La « surépargne » accumulée depuis le début de la crise Covid représenterait 12,6 % de leur revenu annuel, hors taxe inflationniste sur le patrimoine, à la fin de l’année 2024. Le climat des affaires des entreprises contraste avec les déficits extérieurs historiques. Cependant, le moindre restockage et la stabilité attendue du taux d’investissement, couplés à un rattrapage partiel des parts de marché avec notamment l’amélioration de la situation dans l’aéronautique, permettrait au commerce extérieur de contribuer positivement à la croissance au cours des trimestres à venir. L’année 2023 devrait être l’année du retournement du marché du travail, le taux de chômage augmentant à partir du second semestre, avec la baisse de l’apprentissage et la hausse de la durée du travail. Nous attendons 101 000 pertes d’emplois entre la fin de l’année 2022 et celle de 2024 et un taux de chômage à 7,9 % à la fin de l’année prochaine (contre 7,2 % actuellement). Cependant la productivité du travail ne retrouverait pas sa tendance d’avant-crise d’ici la fin 2024, révélant un cycle de productivité encore largement creusé. Le déficit public à 4,7 % du PIB en 2022, plus bas que prévu dans le PLF 2023, diminuerait légèrement, sous l’effet de l’extinction progressive des mesures sanitaires et énergétiques pour atteindre 4 % du PIB en 2024. Le ratio entre dette publique et PIB baisserait, passant de 111,6 % en 2022 à 107,8 % en 2024, ce dernier bénéficiant d’une croissance du PIB nominal vigoureuse avec la hausse marquée des prix du PIB. L’inflation élevée relève compta-blement le niveau de déficit qui stabilise la dette en points de PIB, allégeant ainsi le poids de la dette.
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Cateura Bennasser, Pau. "Fiscalidad real y municipal en la Mallorca del siglo XV." Anuario de Estudios Medievales 22, no. 1 (April 2, 2020): 443. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1992.v22.1077.

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Le statut particulier du règne de Majorque dans la Couronne d'Aragon, depuis 1298 jusqu’à 1343, fait montre d'une certaine dualité politique, avec d'évidentes séquelles financières. À partir de 1318, Majorque se verra mêlée aux différents fronts de la politique méditerranéenne des Rois d'Aragon, elle se ressentira d'une hausse progressive de la pression des impôts, qui atteindra un de ses points les plus hauts aux environs de 1331, precisément au moment où commence le changement de conjoncture économique et démographique. La réintégration des Iles à la Couronne d'Aragon, se solde par un appauvrissement notable du patrimoine royal et les conséquences en retomberont sur la Municipalité de Majorque qui se verra obligée d'assumer, en exclusivité, les dépenses de la politique extérieure dont les points culminants se trouvent être Gênes, la Sardaigne et la Castille. L'implantation de la dette publique, solution a des circonstances apparues au milieu du siècle, n'empêchera pas la Municipalité de faire banqueroute en 1372 et 1405, pas plus qu'elle ne permettra d'éviter sa fixation définitive dans l'appareil fiscal du règne.
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Harasty, Hélène, and Jacques Le. "L'Italie : rigueur sans récession ?" Revue de l'OFCE 48, no. 1 (January 1, 1994): 107–29. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1994.48n1.0107.

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Abstract:
Résumé A la signature du traité de Maastricht, en février 1992, les finances publiques italiennes affichaient des soldes profondément dégradés et le stock de dette publique dépassait le montant du revenu national annuel, tandis que le taux d'inflation, bien qu'en recul par rapport aux niveaux atteints au début des années quatre- vingt, demeurait sensiblement supérieur à celui des principaux partenaires européens. L 'origine de ces déséquilibres est ancienne : avant même le premier choc pétrolier, le déficit public s'était creusé sous l'effet d'une augmentation rapide des dépenses et d'un ajustement insuffisant des recettes publiques. La série ininterrompue de déficits publics enregistrée depuis lors n'a eu, pendant une décennie, que des effets modérés sur le stock de dette publique en raison de la persistance d'une forte inflation, qu'elle contribuait à alimenter par la monétisation de la dette, et qu'entretenaient des mécanismes automatiques d'indexation des salaires. L'adhésion, dès 1979, de l'Italie au Système monétaire européen (SME) a permis aux autorités monétaires nationales d'acquérir une plus grande autonomie et d'engager le processus de désinflation ; mais la montée des taux d'intérêt et le recul de l'inflation ont alors donné une impulsion majeure à l'accroissement de la dette publique et les augmentations de dépenses publiques n'ont pas été maîtrisées, tandis que la hausse des recettes, bien que substantielle, demeurait insuffisante. Cette détérioration des comptes publics et la trop lente décrue de l'inflation ont, certes, permis de réaliser des performances macroéconomiques relativement bonnes dans les années quatre-vingt, mais au prix de déséquilibres croissants, notamment dans les échanges extérieurs du fait de pertes quasi continues de compétitivité, surtout après 1987, lorsque le taux de change de la lire a cessé de se déprécier. Face à ces évolutions insoutenables et prenant appui sur les nécessités de la convergence inscrite dans le traité de Maastricht, les autorités italiennes ont entrepris, à partir de 1992, un ambitieux programme d'assainissement des finances publiques et obtenu la désindexation des salaires. Pourtant, ce « tournant de la rigueur » à l'italienne, dont les premiers fruits sont visibles sur les soldes publics et sur l'inflation, ne semble pas avoir engendré la récession que beaucoup redoutaient. Certes la contraction de la dépense intérieure est très sensible en 1993 ; mais la dépréciation de la lire depuis sa sortie du mécanisme de change du SME, en septembre 1992, a dopé les exportations et réduit les importations, sans avoir de conséquences apparentes sur l'inflation interne. Le dosage des politiques économiques apparaît ainsi particulièrement approprié et la manœuvre d'ajustement bien engagée. Toutefois, la situation des finances publiques demeure précaire : la progression de la dette publique est certes freinée et il est prévu qu'elle se stabilise à l'horizon de 1996, mais à un niveau si élevé que tout ralentissement de l'activité et toute hausse des taux d'intérêt risqueraient de la mettre à nouveau sur un sentier de croissance explosive.
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Dinneya, Godson. "Democracy, External Debt and Growth in Nigeria: An Impact Analysis under a Narrow Definition of Debt-Led Growth." Canadian Journal of Political Science 39, no. 4 (December 2006): 827–53. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423906060379.

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Abstract. The imposition of political conditionality for debt relief and further assistance to debtor nations presupposes that the political leadership under which borrowing and spending decisions were made could have contributed to the poor performance of external capital in debtor countries. Yet no attention seems to have been given to an empirical evaluation of the link between the level of democratization and growth of debtor economies caused by foreign capital. This paper employs two models—debt-cum-growth and democracy-debt-led growth—to investigate the contribution of external debt to the growth of the Nigerian economy, and to evaluate whether the direction of this contribution could be explained by, for instance, the process of power change among political stakeholders, the quality of governance, the political environment, and democratic dividends in the democratization process in a typical debtor nation. Although the results in the first model are mixed, Wantchekon's links between natural resource endowment and regime type on the one hand, and external capital and the nature of the host country's industry on the other, are established for Nigeria, with the implication that the gains of political conditionality for debt relief should not be expected from debt-led growth of the Nigerian economy.Résumé. Lorsqu'on impose des conditions politiques à l'allégement de la dette et à d'autres mesures d'aide aux nations débitrices, on présuppose que les gouvernements responsables des emprunts et de leur utilisation peuvent avoir contribué à la piètre performance du capital externe dans les pays concernés. Cependant, il semble qu'on ne se soit pas préoccupé d'évaluer empiriquement le lien entre le niveau de démocratisation et la croissance économique des nations débitrices due au capital étranger. Cet article utilise deux modèles—d'abord endettement avec croissance, puis démocratie et croissance économique par endettement externe—pour étudier la contribution de la dette externe à la croissance de l'économie nigérianne et pour évaluer si la direction de cette contribution peut s'expliquer, par exemple, par le processus de changement de pouvoir entre intervenants politiques, par la qualité de la gouvernance, l'environnement politique et les dividendes démocratiques dans le processus de démocratisation d'une nation débitrice typique—le Nigéria. Bien que les résultats du premier modèle soient mitigés, les liens que fait Wantchekon entre les richesses en ressources naturelles et le genre de régime politique d'une part et le capital étranger et la nature de l'industrie du pays d'autre part sont établis pour le Nigéria, ce qui implique qu'il ne faut pas s'attendre à ce que l'imposition de conditions politiques à l'allégement de la dette produise des gains politiques dans une économie nigérianne dont la croissance est alimentée par la dette extérieure.
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Djalab, Zohra, and Ali Naas Said. "The impact of international capital flows on the economic growth in Algeria during the period 1990-20." les cahiers du cread 39, no. 1 (April 13, 2023): 63–86. http://dx.doi.org/10.4314/cread.v39i1.3.

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Abstract:
This study examined the effect of international capital flows on economic growth in Algeria for the period, 1990 to 2018. This study relied on four core channels of international capital flows which includes foreign direct investment (FDI), official development assistance (ODA), personal remittances (REM), and external debt stock (EXTDS) into Algeria. We found that all channels of international capital flows were not statistically significant in the short and long-run except the foreign direct investment.We result from this study that Algeria needs deep reforms in order to attract more foreign capital, especially creating an appropriate environment In order for these flows to contribute substantially to economic growth. L'étude a examiné l'effet des entrées de capitaux internationaux sur la croissance économique de l'Algérie pour les périodes 1990 à 2018. L'étude a utilisé quatre principaux canaux d'entrées de capitaux internationaux, qui comprennent l'investissement direct étranger (IDE), l'aide publique au développement (APD), les envois de fonds personnels (REM) et le stock de dette extérieure (EXTDS) en Algérie.Nous avons constaté que tous les résultats n'étaient pas statistiquement significatifs à court et à long terme, à l'exception de l'investissement étranger direct.Nous avons appris de cette étude que l'Algérie a besoin de réformes profondes afin d'attirer plus de capitaux étrangers, en particulier en créant un environnement approprié pour que ces flux contribuent de manière substantielle à la croissance économique.
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Fouet, Monique, Odile Chagny, Naaman Khoury, Olivier Passet, Christine Rifflart, Françoise Milewski, Bruno Coquet, Jean-Marc Daniel, Jacky Fayolle, and Hervé Péléraux. "Repli sur l'autofinance. Prévisions pour 1993-1994." Revue de l'OFCE 44, no. 2 (March 1, 1993): 5–107. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1993.44n1.0005.

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Abstract:
Résumé Au premier trimestre 1993, la production industrielle de la zone OCDE aura sans doute atteint son point bas. Mais cela ne signifie pas que l'environnement international de la France va dès à présent redevenir porteur. En effet la logique presque partout à l'œuvre est celle d'un apurement graduel des déséquilibres dans un contexte non coopératif. L'absence de coopération se manifeste dans les décisions de politique conjoncturelle, prises par chacune des économies dans son intérêt propre sans tenir compte des retombées sur les autres pays. Il s'ensuit notamment que la politique monétaire encore restrictive de l'Allemagne pèse sur celle des pays voisins, tandis que de nombreux pays pratiquent des politiques budgétaires restrictives, de sorte que la faiblesse de la demande intérieure de chacun pèse sur le dynamisme de tous. En matière de relations économiques internationales, c'est une franche logique de confrontation qui est à l'œuvre soit de manière délibérée (affrontements commerciaux entre les Etats-Unis et la CEE) soit à la suite de décisions subies (modifications des parts de marché en Europe à la suite des dévaluations). L'apurement graduel se lit essentiellement dans les décisions budgétaires des pays confrontés à un déficit important. Tous attendent que leurs économies soient réellement engagées dans une phase de reprise pour freiner les dépenses et surtout accroître les prélèvements obligatoires : les Etats-Unis à partir d'octobre 1993, le Royaume-Uni à partir d'avril 1994, l'Allemagne à partir de 1995. En conséquence, les reprises ne se transformeront pas en phases de croissance soutenue : les rythmes de progression de l'activité économique seront maintenus à bas niveau au moins jusqu'à la fin de l'année 1994. L'année 1992 s'est achevée en France sur un recul du Pib. En 1993, la croissance sera pratiquement interrompue. Les taux d'intérêt restent encore élevés et contraignent les agents à se désendetter ; ils conduisent, en une certaine mesure, à une épargne forcée. La désinflation agit, à court terme, dans un sens restrictif: d'une part, elle comprime la demande intérieure car elle ne vient ni dévaloriser les dettes ni alléger les emprunts nouveaux ; d'autre part, elle ne permet plus d'étendre les parts de marché à l'exportation car les autres pays européens ont pratiqué d'importantes dévaluations compétitives. De plus, la très faible croissance de la demande extérieure obère les exportations françaises. L 'endettement excessif des entreprises les amène à comprimer les effectifs, à ralentir la hausse des salaires individuels et les dépenses d'investissement ; les stocks, jugés trop lourds, seront allégés. La baisse du taux d'épargne des ménages, habituelle dans une phase de décélération du revenu, demeure limitée par l'importance du chômage et l'épargne de précaution qu'elle suscite. Les ajustements réalisés en 1 993 permettraient d'étendre à nouveau les dépenses d'investissement en 1994, dans un contexte d'accélération de la demande extérieure et de taux d'intérêt sensiblement réduits.
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Adda, Jacques, and Roland Colin. "L'Europe entre l'Est et le Sud. L'ouverture à l'Est et les risques d'éviction pour le Sud." Revue de l'OFCE 32, no. 3 (June 1, 1990): 145–201. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.32n1.0145.

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Abstract:
Résumé Depuis un an environ, un net consensus est apparu entre les pays industrialisés sur la nécessité de soutenir économiquement les transformations politiques en cours en Europe de l'Est. L'ampleur de la mobilisation financière intervenue en quelques mois au profit de la Pologne et de la Hongrie, puis de la Tchécoslovaquie, de la Bulgarie et de la Roumanie permet d'envisager pour ces cinq pays des transferts nets de ressources globalement équivalents à ceux dont a bénéficié l'Europe de l'Ouest après la guerre dans le cadre du plan Marshall, mais avec une population nettement inférieure dans le cas de l'Europe de l'Est. Encore ces transferts sont-ils modestes au regard de ce que s'apprête à réaliser la RFA au profit de la RDA, dont le cas doit être traité séparément. Dans le même temps l'aggravation de la crise dans de nombreux pays en développement, tout particulièrement en Afrique subsaharienne, met en évidence les limites des dispositifs de coopération occidentaux, l'inadaptation des politiques d'ajustement préconisées, qui séparent le rétablissement escompté des grands équilibres macroéconomiques de situations sociales explosives, et l'insuffisance des réponses apportées au problème de la dette extérieure. Au delà de ces constats l'article tente de cerner les implications pour les pays en développement de l'ouverture à l'Est. Il montre que si des effets positifs peuvent être attendus à long terme d'un développement réussi à l'Est, les risques d'éviction à court terme pour le Sud sont très largement fonction des contextes macroéconomiques initiaux et variables selon la nature des flux considérés, budgétaires, financiers et commerciaux.
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Milewski, Françoise. "Les enjeux de l'ouverture à l'Est pour l'économie mondiale." Revue de l'OFCE 34, no. 5 (November 1, 1990): 157–94. http://dx.doi.org/10.3917/reof.p1990.34n1.0157.

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Abstract:
Résumé L'intégration de l'Europe de l'Est au commerce mondial dépend à la fois de l'évolution des économies de l'Est et des comportements des pays de l'Ouest. A l'Est, l'espoir d'améliorer à terme les niveaux de vie des populations repose sur la transformation de systèmes économiques qui ont révélé leur inefficacité. L'introduction du marché, censé résoudre au mieux l'équilibre entre l'offre et la demande, est à l'origine d'un débat important. La forme de la propriété, privée ou publique, ne suffit pas à elle seule à définir l'économie socialiste ou capitaliste. Le mode de régulation qui est associé la définit tout autant, sans être mécaniquement lié à la forme de propriété. Pour passer du socialisme au capitalisme, les dirigeants des économies d'Europe orientale ont dû trancher un débat sous-jacent sur la transition, même si ce débat perdure par ailleurs. Dans tous les pays les mêmes mesures sont prônées ou d'ores et déjà adoptées : développement d'un secteur privé, suppression de la planification imperative, libération des prix, transformation du système bancaire, convertibilité des monnaies. Si le fondement des réformes est unique — instaurer à terme des marchés où s'échangent les biens et services, les actifs financiers et la main-d'œuvre — deux conceptions s'opposent quant à la séquence des réformes : l'approche gradualiste et la thérapie de choc. L'une vise à créer d'emblée la rupture avec le système antérieur, l'autre à introduire l'économie de marché progressivement, dans la crainte d'une désorganisation trop brutale de la production et d'un coût social trop élevé. A court terme, l'impact des réformes est récessif : la production est désorganisée faute de centres de décisions clairement définis ou en l'attente de privatisations potentielles. Les niveaux de vie reculent en raison de la libération des prix et du développement rapide du chômage. Le risque d'hyperinflation, l'incertitude sur l'utilisation des surliquidités existantes et la gravité de la dette extérieure dans certains pays limitent les marges de manœuvre de la politique économique. A moyen terme, on espère l'intégration aux échanges mondiaux, la remontée des niveaux de vie et l'accroissement de la producti- vité du capital, une fois que seront opérants les mécanismes de la nouvelle régulation. Mais la réussite de ce processus de développement dépend autant de la politique des réformes à l'Est que des réactions de l'Ouest. Ceci nécessite d'abord d'amplifier les aides financières de l'Ouest afin de développer les infrastructures et de solvabiliser la demande. Les transferts de technologie liés aux investissements étrangers pourraient alors jouer un rôle clé de confrontation pour les industries désuètes et d'entraînement pour l'ensemble de l'économie. Mais l'incertitude sur l'ampleur et la destination, tant géographique que sectorielle, des transferts de capitaux demeure importante. Le choc de demande que les pays de l'Ouest espèrent de l'ouverture d'un marché de plus de 400 millions d'habitants ne peut être massif à court terme ; la demande potentielle est certes considérable mais la progression des débouchés ne sera pas linéaire. L'éclatement du COMECON devrait précipiter l'intégration au commerce mondial, mais il accélérera aussi la différenciation des pays. La facturation en devises, et non plus en roubles, de l'énergie soviétique aggrave en effet la contrainte extérieure des six pays de l'Est. La crise du Golfe accroît les divergences d'intérêt entre l'URSS, premier producteur mondial de pétrole, et les autres pays d'Europe orientale, dont les ressources pour importer des biens industriels seront amputées par renchérissement de leurs factures énergétiques. Deux conclusions ressortent de l'analyse : la première est que n'apparaissent ni un bloc Est ni un bloc Ouest. A l'Est, les différences entre pays s'accentuent. La mise en œuvre des réformes dépend de la reconnaissance et de l'autorité acquises par les gouvernements actuels des différents pays ; elles ne sont pas homogènes. La croissance économique que l'on peut escompter à moyen terme, une fois surmontée la désorganisation due aux bouleversements des modes de propriété et de régulation, sera plus aisément financée en RDA que dans les autres pays, et parmi ceux-ci, là où l'endettement extérieur est encore modéré. A l'Ouest, la RFA sera le premier bénéficiaire de l'ouverture de l'Est parce qu'elle est déjà le pays le plus engagé dans l'ensemble de la zone. La seconde conclusion porte sur les délais. L'Est fait l'expérience, prévue dans son principe sinon dans son ampleur, d'une réduction drastique du niveau de vie de la population et l'expérience, imprévue, de la réticence des investisseurs privés de l'Ouest à s'engager à l'Est à bref délai et de l'étalement dans le temps des capitaux publics. Or les risques de ruptures sont importants si, rapidement, des signes de redressement économique ne sont pas perçus. Ceux-ci sont la condition nécessaire pour que certains gouvernements conservent leur crédibilité. Le danger de crise sociale est d'autant plus grand dans la présente période où se forgent des comportements individuels et collectifs nouveaux.
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Marichal Salinas, Carlos. "Guy Pierre, Natalie Lamaute-Brisson y Gusti-Klara Gaillard-Pourchet, eds., Histoire économique de la Caraïbe (1880-1950): Economies sucrières, systèmes bancaires et dette extérieure, modèles de développement et rivalités impérialistes." América Latina en la Historia Económica 21, no. 3 (September 1, 2014): 231. http://dx.doi.org/10.18232/alhe.v21i3.585.

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Brugeilles, Carole. "Évolution de la pratique contraceptive au Mexique : l’expérience de trois générations de femmes." Revista Trace, no. 44 (August 2, 2018): 92. http://dx.doi.org/10.22134/trace.44.2003.518.

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Abstract:
Au cours du XXe siècle, le Mexique a enregistré une baisse importante de la fécondité. Le nombre moyen d’enfants par femme est passé de 6.7 en 1970 à 3.1 en 1995. Cette baisse a été rendue possible grâce au développement de la politique démographique autorisant une large diffusion de la contraception. En effet, en raison de son entrée dans un processus de transition démographique, le Mexique a connu une croissance très rapide de sa population, notamment dans les années 1950-1970. Cette croissance a entraîné un changement radical de l’analyse des questions de population par le gouvernement. Jusque dans les années 1970, les gouvernements successifs ont affirmé une position nataliste. Mais à la fin des années 1960, le contexte économique et politique se dégrade. Le chômage, le sous-emploi, l’inflation, l’augmentation de la dette extérieure sont préoccupants. Le progrès social n’entraîne pas de baisse de la fécondité et le modèle de développement économique n’arrivera ni à intégrer la main d’oeuvre toujours plus nombreuse, ni à permettre un niveau de vie décent à la population. Les courants néo-malthusiens se développent et trouvent un écho au niveau international lors de la Conférence Internationale sur la Population à Bucarest en 1974. Après la conférence, de nombreux pays en voie de développement décident de mettre en place des programmes de planification familiale. Le Mexique, qui avait abrogé les lois interdisant la contraception en 1973, se dote alors d’une politique démographique malthusienne motivée par la volonté de réduire la croissance de la population. Elle est fondée sur la Constitution et sur une Ley General de la Población (Loi générale de la population). La loi légalise la contraception, autorise l’offre de services en matière de planification familiale et fixe les bases de son organisation par le secteur public, notamment celui de la santé. Cette offre publique s’inscrit dans le cadre de programmes de planification familiale intégrés à la politique démographique gouvernementale.
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BULMER-THOMAS, VICTOR. "Guy Pierre (ed.), Histoire économique de la Caraïbe (1880–1950): économies sucrières, systèmes bancaires et dette extérieure, modèles de développement et rivalités imperialistes (Port-au-Prince: Éditions de l'Université d’État d'Haïti, 2012), pp. 459, pb." Journal of Latin American Studies 45, no. 4 (November 2013): 868–69. http://dx.doi.org/10.1017/s0022216x13001508.

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Ballester, Patrice. "FÊTES MONDIALES ET STRATÉGIES MÉTROPOLITAINES." Revista Cidades 8, no. 13 (November 8, 2011). http://dx.doi.org/10.36661/2448-1092.2011v8n13.12717.

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Abstract:
Les fêtes touristiques mondiales connaissent des mutations notables sous l’effet de la mondialisation. Elles affectent les cultures, les comportements des participants et les intentions nouvelles des acteurs du projet. Le Forum Universel des Cultures organisé à Barcelone durant l’été 2004 par la Municipalité, la Généralité, le Gouvernement espagnol et l’Unesco témoignent de l’hybridation que les fêtes mondiales connaissent dans leur forme et leur fond. Les fêtes géantes doivent répondre à de nombreuses attentes que leur fréquentation et les réactions suscitées durant et après leur tenue mettent parfois en échec. Cela tient aux fondements fragiles de leur justification et à la prégnance d’un monde extérieur qui fait ressentir sa présence à l’intérieur même de la zone payante de la fête mondiale. Un nouvel espace public et une nouvelle identité culturelle résultent de la sacralisation festive et, en un sens, païenne d’une périphérie urbaine dégradée. La Forum de Barcelone sert de référence à une urbanité barcelonaise en pleine recomposition et qui doute de son avenir. Entre processus d’oubli, héritage urbain et dette budgétaire, la fête géante européenne tend à devenir une opération de marketing et de communication aux bases idéologico-symboliques fragiles.
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Laurent, Pierre-joseph, and Lionel Simon. "Ruse." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.037.

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Abstract:
En Occident, la ruse (en tant que raison raisonnée, délibérée, contextuelle) fut progressivement, et surtout depuis Descartes, reléguée aux oubliettes d’une rationalité calculatrice, économique, quantitative. La raison rusée semble survivre, dans nos sociétés, à la périphérie des rapports sociaux, de manière indicible, voir inaudible, car nous n’aurions plus les mots pour en saisir les vertus. Déclassée, bien souvent considérée comme suspecte face aux principes de la démocratie, nous en avons perdu la compréhension, à la suite d’un rapprochement analogique entre la ruse et l’idée de mal. Ainsi, dans la Grèce antique, la raison possédait à la fois un volet d’une intelligence pratique rusée, la Mètis (Detienne et Vernant 1974), considérée comme un support du politique, et un autre fait de rationalité calculatrice. Progressivement l’esprit de calcul triomphera du raisonnable et deviendra le mode de pensée hégémonique en Occident (Latouche 2004). La bonne ruse, soit celle qui était impliquée dans la gestion de la Cité (Vernant et Vidal-Naquet 1992) et donc dans la politique, a été considérée comme une pratique obsolète : floue et ambiguë, la ruse serait devenue indigne de la raison. Dès lors en Occident, les seules ruses reconnues seraient plutôt les fourberies. Celles-ci prennent la forme de calculs, de stratégies et d’abus. L’intelligence rusée se retrouve ici au service d’une efficacité sans principe éthique, c’est-à-dire sans discernement ni prudence. Dans ce sens, la fourberie a fréquemment rendez-vous avec la corruption et les pratiques maffieuses. Si la trajectoire du concept de ruse tend à dévoiler une tension entre deux types de raison, elle exprime aussi une tension entre deux épistémologies. Courtois-l’Heureux (2009) pointe dans les travaux de Certeau une manière particulière d’envisager les phénomènes sociaux. La ruse, en tant que concept analytique, rompt avec une épistémologie quantitative. Face aux approches statistiques et sociologiques de sociétés aux facettes supposées quantifiables, la ruse introduit le détournement, rompt la verticalité définissant l’axe de propagation d’une « culture » sur des individus. Si la ruse parait comme l’opposé et l’opposant de la rationalité, c’est que là où cette dernière veut encadrer les phénomènes, la première s’en joue et les déjoue. Elle introduit dans l’analyse le contextuel, le local, le particulier, la déclinaison. Elle focalise sur la manière dont les individus usent « d’arts de faire » au quotidien, détournent, se dérobent, se jouent, bricolent avec ce qui semble s’imposer à eux. Elle s’intéresse à toutes les distorsions que les locaux, en sourdine, font subir à tout ce qui leur échappe en apparence. La ruse rattache ainsi chaque phénomène au local, focalise l’attention sur les déclinaisons particulières ; elle se concentre sur le contexte, sur la vitalité et la créativité d’un détournement. La ruse enclenche une approche pragmatique des manières de faire et de dire (ou de ne pas faire et de ne pas dire). En cela, la ruse est un concept susceptible d’éclairer de multiples réalités. Cela parce qu’elle se niche dans de nombreuses pratiques, quotidiennes ou occasionnelles. Elle est l’art de jouer avec l’inattendu. Elle est dissimulée dans les rapports sociaux, et peut être explicite dans des récits cosmogoniques, reconnue comme le trait archétypique de certains animaux ou d’êtres mythologiques ; elle peut motiver une attitude particulière envers des divinités, voire encore opérer dans une relation maîtrisée et silencieuse avec la nature (Artaud 2013). Ainsi, si on ruse avec le fort (ou le plus fort que soi) – souvent pour tourner sa force contre lui-même – on ruse en général avec tout ce qui parait se passer de nous pour fonctionner et se mettre en place. Mais c’est sa dimension politique qu’elle évoque le plus spontanément, éclairant d’un jour singulier les usages populaires du pouvoir. La ruse se tisse en effet dans l’ombre des hiérarchies sociales et donc du pouvoir. À l’instar du don qui survit à l’échange marchand (sur le rapport entre don, dette et ruse, voir Laurent 1998), la ruse semble résister aux effets de la globalisation. La ruse populaire, de nature tactique, largement spontanée, indicible, voire parfois inconsciente, ne peut pas être assimilée tout de go à de la fourberie mal intentionnée. Il doit exister une différence irréductible entre l’idée de la ruse digne, comprise ici comme un détournement, dans le sens de « tourner dans une autre direction » et la corruption qui renvoie à un enrichissement personnel à partir d’une place d’autorité (Laurent 2000). La ruse populaire participe pleinement à la construction de l’identité des groupes dominés, comme une manière originale de traiter avec le pouvoir et d’accéder à des ressources. Ceci renvoie à une façon de se mouvoir dans un environnement qui n’est pas possédé en propre (de Certeau 1990, 1994) ; que fait-on, lorsque l’espoir d’accéder aux biens de consommation est grand, mais que ceux-ci resteront inaccessibles, dès lors qu’on participe à des mutations techniques, technologiques, sociales, culturelles, politiques, etc. comme derrière une vitrine ? La ruse est une arme au service du faible. Son efficacité est sa discrétion. L'ordre en place, abusé par l'universalité de son explication du monde, ne peut s'imaginer être joué par un sens pratique. Celui-ci demeure inaudible, invisible, indicible, inavouable pour qui, du dehors, ne partage pas le secret des "coups" et des bricolages. La ruse populaire appartient dans une forte mesure à des groupes situés à la marge de l'ordre établi. Elle troque l'absence de lieu propre, c'est-à-dire la possession d'un espace sur lequel imposer son autorité, son hégémonie, ses décisions, contre le temps, celui de l'occasion, du braconnage, de l'affût, de la dérobade (de Certeau 1990, 1994). La ruse synthétise trahison, intelligence, finesse, secret, subtilité, comédie, mensonge, discrétion. Les actions populaires rusent par une invention quotidienne qui se compose d'une pratique du "coup par coup", c'est-à-dire de l'acuité à se saisir de l'occasion et de la transformer en opportunité, d'un fort sentiment d'autonomie vis-à-vis de l'ordre institué qui peut s'exprimer par de l'indocilité, de la résistance et de l'élaboration de réseaux de relations institués à la faveur de dons, du recours et de la dépendance réciproque (dans le sens ici de prestations et de contre-prestations). La ruse, si elle procède d'un calcul évident, n'en demeure pas moins une élaboration caractérisée par une logique situationnelle. Elle constitue l’arme privilégiée des pratiques populaires, car elle est la manière la plus sûre de cadrer ou de parer au flux événementiel. Déploiement stratégique et anticipatif de plusieurs facteurs contextuels, elle devient une disposition, une manière de poser un regard teinté d’opportunisme sur les alentours pour y dénicher des opportunités (Simon 2012). Les Peuls, guidés par leurs troupeaux à travers les pâturages sahéliens, incarnent par excellence l'idée de "l'ailleurs dans le dedans" (de Certeau 1990, 1994). Le peuple peul ne possédant pas à proprement parler de lieux propres, opère sur le territoire de l'autre. Traversant des régions où vivent des agriculteurs sédentaires, les pasteurs se sentent toujours étrangers, c'est-à-dire extérieurs aux sociétés côtoyées, mais profitant de leurs pâturages. Le sommet de la ruse est atteint lorsque le grand génie Gaari-Jinne conseille au jeune couple peul de dérober chez les voisins ses premières vaches pour constituer son troupeau, avec certes une infinie prudence et avec toutes les formes requises (Le Pichon et Balde 1990). La notion de jamfa - traduit par le mot trahison - se trouve au cœur du pulaaku, c'est-à-dire de l'identité peul. Le jamfa constitue une éclatante démonstration de la capacité d'un peuple à se trouver toujours "ailleurs", c'est-à-dire jamais là où on croit le rencontrer. Il est ici question de survie. La notion de jamfa se situe au cœur du mythe fondateur de la société peul et comme le montre Vidal-Naquet à propos des éphèbes de la Cité, la ruse est consubstantielle aux cadets ou à ces groupes dominés (Vidal-Naquet 1992). Le pasteur peul ne s'oppose pas, le rapport de force ne penche pas en sa faveur, il ruse. Il traverse des espaces qui ne lui appartiennent pas en propre, mais dont il tire sa subsistance. Ceci illustre parfaitement en quoi consiste cet art du dominé, capable de se jouer d’un contexte a priori défavorable. Le champ de l’aide, des projets, de l’assistance, du bénévolat met par définition en contact des acteurs souvent étranger l’un pour l’autre. C'est par exemple le cas des paysans mossi du Burkina Faso et des offreurs d’aide de la coopération au développement. Pour comprendre les relations s’établissant entre ces deux groupes, il convient de s’écarter du discours officiel et du registre de la justification, pour prendre en considération l'informel des pratiques et apercevoir l'inédit qui se tapit au cœur de l'ordre institué par les dispositifs de l’aide (Laurent 1998). Le monde de l’aide, des projets, de la coopération, est aussi celui de la recherche de « la participation des populations bénéficiaires à la base » (souvent appelé dans le jargon de la coopération au développement « les partenaires »). Il est alors utile de se demander ce qui se passe lorsque deux « socio-logiques » se croisent (Latour 1989). Selon Hume « on ne peut établir des normes de justice abstraites et formelles qu’entre gens à peu près égaux. » (Hume 1993). Autrement dit, la négociation entre des partenaires issus de mondes différents, dont les uns aident et les autres reçoivent, sera généralement difficile à établir pour ne pas dire, a priori, impossible, sans autres artifices. Pour analyser le vaste secteur de l’aide, mieux vaut partir de l’absence d’un véritable partage des règles d’un jeu commun. Ceci conduit à la mise en spectacle, en forme de trompe-l’œil, des croyances (normes et valeurs) des donateurs par « les aidés ». La communication entre offreurs d’aide et bénéficiaires repose d’emblée sur une asymétrie qui peut conduire à des malentendus. Elle s'établit à l'insu des évidences, des stratégies et des "projets" des offreurs d'aide (Bourdieu 1980) et à la faveur de la perception du décalage, pour ne pas parler de l’inadéquation de l'offre, dans l'invisibilité, l'ambiguïté, la ruse, l'esquive, la tactique, l'occasion, le bricolage des bénéficiaires ou des « aidés ». Autrement dit, les offreurs d’aide, parfois abusés par l’évidence de leurs propositions d’actions, s’imaginent collaborer avec des partenaires, animés des mêmes perspectives qu’eux. Sachant que l’aide hiérarchise et subordonne, les donateurs n’entrevoient pas vraiment l’existence de l’autre scène régie par d’autres conventions. Cette situation conduit à des équivoques. Les acteurs locaux - à défaut de maîtriser par eux-mêmes le jeu - miment une adhésion aux conventions des offreurs d’aide, en vue d’accéder aux ressources offertes, sans pour autant partager les mêmes valeurs et avec le risque de les détourner à leurs propres fins, afin de les rendre compatibles avec leurs stratégies de survies.
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