Academic literature on the topic 'Discrimination – Roumanie'

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Journal articles on the topic "Discrimination – Roumanie"

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Duvac, Constantin, and Ovidiu Dobleaga. "La législation pénale roumaine contre la discrimination raciale." Revue internationale de droit pénal 73, no. 1 (2002): 255. http://dx.doi.org/10.3917/ridp.073.0255.

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Koeune, Jean-Claude. "Numéro 8 - mars 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.16213.

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Abstract:
En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe. Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale. Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire. La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application. Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination. De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie. Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle. L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC. Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays. Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit. Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
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Koeune, Jean-Claude. "Numéro 8 - mars 2003." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2003.03.01.

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Abstract:
En quelques années les banques occidentales - le groupe belge KBC en tête - ont envahi en force les pays d'Europe centrale et orientale, tout particulièrement ceux qui doivent entrer bientôt dans l'Union européenne. Selon la Banque Centrale Européenne, plus des deux tiers du système bancaire de ces pays sont maintenant dans des mains étrangères qui contrôlent plus de la moitié des quelques 300 banques commerciales de cette région d'Europe. Trois facteurs ont attiré vers l'Est les banquiers d'Europe occidentale : en premier lieu, un grand potentiel de développement du secteur financier, compte tenu de la perspective de rattrapage économique global que ces pays offrent à terme et de la faible importance de ce secteur dans l'économie au départ; en second lieu, la possibilité, étant donné ces conditions de départ, d'y acquérir une part de marché significative avec un investissement limité, argument souvent invoqué par les dirigeants de KBC à l'appui de leur stratégie d'ouverture à l'Est d'un "second marché domestique"; en troisième lieu, une possibilité intéressante de diversification géographique des actifs bancaires, particulièrement à un moment où la croissance s'essouffle et où les marchés bancaires paraissent saturés en Europe occidentale. Les pays candidats à l'Union européenne offrent donc aux banquiers de celle-ci des marchés prometteurs. Mais ces promesses ne seront tenues qu'à mesure que les pays en question se développeront et réussiront leur intégration économique, financière et finalement monétaire dans l'Union européenne. Or ceci requiert absolument que s'épanouisse chez eux un secteur financier solide et performant : c'est une condition nécessaire à la fois pour obtenir un développement économique soutenu, pour réaliser l'un des "critères de Copenhague", à savoir une économie de marché viable et capable de faire face à la pression de la concurrence sur le marché intérieur, et enfin pour atteindre le degré de stabilité monétaire et financière indispensable si l'on veut satisfaire aux "critères de Maastricht" et accéder à l'union monétaire. La réalisation de ce potentiel ne va pas de soi pour des pays à peine sortis des affres de la transition vers une économie de marché. Celle-ci, dans le domaine bancaire, fut particulièrement délicate et parsemée d'embûches. Lorsque l'économie était dirigée, une seule banque d'Etat - éventuellement nantie de quelques filiales spécialisées - assurait à la fois la fonction monétaire d'une banque centrale et les fonctions financières des banques commerciales. Cette "monobanque" octroyait des crédits selon les directives du pouvoir central, à un taux d'intérêt symbolique couvrant ses frais d'administration. Elle ne formait donc aucunement ses gestionnaires au métier de banquier, ni n'exerçait la fonction disciplinaire qui aurait pu susciter de meilleures performances dans les entreprises clientes. Une bonne partie des crédits accordés dans ces conditions se sont donc avérés non-performants dès le moment où des critères comptables plus rigoureux furent d'application. Avec l'effacement du communisme, une première réforme a scindé la monobanque en deux niveaux distincts : une banque centrale chargée de la politique monétaire, et des banques (publiques au départ) assumant les fonctions normales des banques commerciales. Mais celles-ci, peu préparées à leur nouveau métier, ont continué d'appliquer les us et coutumes de l'"ancien régime". En outre, dans un secteur financier privé bourgeonnant, encouragées par des régimes trop libéraux en matière d'agrément bancaire, de nouvelles banques dépourvues d'expérience commerciale ont proposé des financements sans discrimination. De la sorte, le problème des crédits non-performants, tout en ayant son origine dans l'ère de l'économie dirigée, a pris une grande ampleur dans les années qui ont suivi les premières réformes. Pour l'année 2000 encore, la Deutsche Bank a estimé la proportion de crédits non-performants dans le total des crédits bancaires à 15 % en moyenne pour les dix pays candidats d'Europe centrale et orientale, allant de 2 % en Estonie à 35 % en Roumanie. Dans cet environnement à la fois fragile et périlleux, les banques étrangères ont apporté trois choses essentielles : en premier lieu, des capitaux qui ont représenté une part importante des flux d'investissement étrangers directs dans ces pays (le groupe KBC seul y a investi € 2,9 milliards); en second lieu, une culture et des pratiques de discipline financière et de gestion des risques qui, sans elles, auraient sans doute été beaucoup plus lentes à se développer : grâce aux banques étrangères, le secteur bancaire de ces pays a pu importer rapidement la crédibilité qui lui manquait; enfin, dans un environnement où la capacité institutionnelle de régulation et de contrôle des banques était faible, les banques étrangères y ont suppléé, en garantissant les engagements de leurs filiales et en supervisant leurs activités, ce qui revenait en quelque sorte à privatiser tant la fonction de prêteur en dernier ressort que les missions de contrôle. L'invasion de l'Europe centrale et orientale par les banques étrangères a donc contribué de manière importante à y stabiliser et renforcer le secteur financier mais rencontre maintenant certains obstacles : d'une part, le terrain est devenu relativement encombré et les marchés bancaires sont de plus en plus concurrentiels, ce dont bénéficie la clientèle des banques sur place mais qui a d'ores et déjà conduit certaines banques étrangères, dont les acquisitions ne s'étaient pas inscrites dans une stratégie claire et de long terme, à jeter le gant et quitter le marché. D'autre part, apparaît dans certains pays - on l'a vu notamment en Slovénie - une résistance politique et sociale à voir le secteur bancaire passer sous contrôle étranger. Mais la méfiance est peut-être moins grande lorsque la banque étrangère est issue d'un petit pays, avec lequel on n'a en outre pas de contentieux important dans l'histoire du vingtième siècle : c'est en tout cas ce qu'ont affirmé à plusieurs reprises les dirigeants de KBC. Malgré la présence massive des banques étrangères ainsi que des progrès inégaux mais réels dans la voie des réformes institutionnelles du secteur bancaire, le degré d'intermédiation bancaire en Europe centrale et orientale est encore relativement faible. Mesurant cette intermédiation par l'encours du crédit au secteur privé rapporté au PIB, la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) observe dans une étude récente que ce ratio est généralement inférieur à ce qu'il devrait être compte tenu du niveau de développement économique atteint. En particulier, l'accès des PME au crédit bancaire reste difficile, principalement parce qu'elles répondent rarement aux critères relativement rigides utilisés par les banques pour l'octroi de crédit, et ceci bride incontestablement le potentiel de développement économique et social dans ces pays. Néanmoins, la BERD constate, au moyen d'une analyse économétrique fouillée portant sur plusieurs centaines de banques de la région, que, toutes autres choses étant égales, la part des banques étrangères dans le total des actifs bancaires d'un pays influence positivement l'octroi de crédit bancaire au secteur privé par toutes les banques de ce pays : ceci reflète probablement, selon la BERD, l'impact positif de la présence de banques étrangères dans le marché du crédit aux entreprises, en raison de la pression concurrentielle que cette présence suscite sur les marges dans les activités bancaires à moindre risque, et de par la dissémination à l'ensemble du système bancaire de ce qu'elle apporte en termes de technologie et qualifications bancaires, et de gamme élargie de produits financiers et instruments de crédit. Ainsi, dans leur "marche vers l'Est", les banquiers européens ont été appelés à créer collectivement, eux-mêmes, les conditions du succès de leur entreprise.
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Dissertations / Theses on the topic "Discrimination – Roumanie"

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Véniat, Céline. "Se faire un platz dans la ville : pratiques d’habitat informel, expériences de l’accès aux droits et mobilisations de familles roumaines vivant en bidonville." Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0110.

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Abstract:
A partir d’une enquête ethnographique menée dans différents bidonvilles en région parisienne, ma thèse vise à décrire les pratiques d’habitat informel, l’expérience de l’accès aux droits et les mobilisations des familles roumaines vivant en bidonville. La première partie porte sur l’expérience de l’habitat et les pratiques d’appropriation et de récupération dans l’espace de la ville des familles vivant en bidonville. La deuxième partie est consacrée à leur parcours d’accès aux droits, en particulier la scolarisation et la santé, et aux pratiques discriminatoires qu’elles rencontrent. La troisième partie se concentre sur les pratiques de mobilisations mises en œuvre par les familles et leurs soutiens dans les espaces politiques et judiciaires pour défendre leur lieu de vie.La description de la vie quotidienne dans un platz donne à voir des pratiques d’aménagement et des relations de sociabilité familiale et de voisinage. La baraque constitue un espace habité dans lequel chaque famille s’aménage un chez-soi en soignant son intérieur au gré des tournées de récupération et se ménage un lieu protégé de l’extérieur dans lequel prennent place des relations familiales de sociabilité ordinaire. Les tâches domestiques et les activités de travail occupent une bonne partie des journées et s’organisent le plus souvent selon une répartition genrée. Les habitants mobilisent leurs compétences citadines pour mettre en œuvre des pratiques d’occupation, d’appropriation, de récupération et de circulation dans la ville. Ils mettent à profit la disponibilité de terrains disponibles en adoptant une stratégie de repérage et d’installation discrète en lien avec une circularité et un ancrage territorial.Mon accès au terrain par le regard des enfants permet de donner à voir la sociabilité enfantine dans le platz et l’expérience quotidienne de l’école et du racisme ordinaire dans leurs relations avec les autres élèves. L’accès à la scolarisation est entravé par le traitement discriminatoire des mairies et notamment la difficulté à faire reconnaître le bidonville comme un lieu de résidence. La description de l’activité de médiation dans les platz et d’accompagnement auprès des centres de santé permet de pointer les difficultés rencontrées par les familles du fait de leur précarité résidentielle et du mauvais accueil qui leur est réservé. On s’intéressera notamment au parcours d’une jeune femme roumaine qui a connu plusieurs expulsions durant sa grossesse et dont les enfants ont subi diverses pathologies importantes.Suite à l’annonce d’une expulsion, les habitants du platz se mobilisent devant la justice pour défendre le droit de rester dans leur lieu de vie. Après le passage de la police notifiant la décision d’expulsion, les habitants contactent un avocat, et avec la complicité des acteurs associatifs, ils collectent des preuves de leurs démarches d’insertion et des photos des baraques pour attester du caractère habité du lieu en vue de préparer leur défense. Les habitants expriment également leurs émotions et tentent de convertir leur expérience située des expulsions en mobilisation. La description déroulera les étapes de la mobilisation, de la réaction sensible des habitants et soutiens à l’élaboration d’un communiqué de presse portant la parole collective, puis à la publicisation du problème d’abord à l’échelle du réseau militant local puis au niveau national. On insistera sur l’imbrication et la simultanéité entre l’action conjointe de différents cercles d’acteurs affectés, concernés et engagés dans la résolution du problème, et l’articulation entre pratiques de publicisation et négociations informelles en coulisses. Face à la désillusion suscitée par l’échec des négociations avec la mairie, les habitants et leurs soutiens proches choisiront de se recentrer sur un modèle de discussions informelles et de petits arrangements en vue d’un déménagement secret et concerté
Based on an ethnographic survey conducted in various slums in the suburbs of Paris, my thesis aims to describe informal housing practices, experience of access to rights and mobilizations of Romanian families living in slums. The first part focuses on the experience of housing and the practices of appropriation and recovery in the urban space of families living in slums. The second part is devoted to their path of access to rights, particularly school and health, and the discriminatory practices they encounter. The third part focuses on the mobilization practices implemented by the families and their supports in the political and judicial spaces to defend their place of life.The description of everyday life in a “platz” shows planning practices and relationships of family and neighborhood sociability. The “baraque” is an inhabited space in which each family arranges her home by caring for their interior with objects recovered in the street and set up a place protected from the outside in which family relationships of ordinary sociability take place. Domestic tasks and work activities take up a good part of the day and are usually organized according to a gender distribution. The inhabitants mobilize their urban skills to implement occupancy, appropriation, recovery and circulation practices in the city. They take advantage of the availability of unusual land by adopting a strategy of identification and discreet installation in connection with a circularity and a territorial anchorage.My access to the field through the eyes of children allows to show the childlike sociability in the platz and the daily experience of school and ordinary racism in their relations with other students. Access to schooling is hampered by the discriminatory treatment of town halls, including the difficulty to recognize the slum as a place of residence. The description of the mediation activity in the platz and accompaniment to the health centers point out the difficulties met by the families because of their precariousness of residence and the bad reception which is reserved for them. In particular, we will focus on the path of a young Romanian woman who experienced several expulsions during her pregnancy and whose children suffered various important diseases.Just after the announcement of an eviction, the inhabitants of platz mobilize themselves in court to defend the right to stay in their living place. After the passage of the police notifying the decision of expulsion, the inhabitants prepare their defense. They contact a lawyer and they collect evidences of their insertion procedures and photos of the houses to attest that it’s a living place with the complicity of the associative actors. The inhabitants also express their emotions and try to convert their experience from expulsions to mobilization. The description will follow the stages of the mobilization, from the sensitive reaction of the inhabitants and supports to the elaboration of a press release carrying the collective speech, then to the publicization of the problem first at the level of the local militant network then on a national level. We will insist on the interweaving and the simultaneity between the joint action of different circles of affected, concerned and committed actors in the resolution of the problem, and the articulation between advertising practices and informal negotiations behind the scenes. Faced with the disillusionment caused by the failure of the negotiations with the town hall, the inhabitants and their close supporters will choose to refocus on a model of informal discussions and small arrangements for a secret and concerted move
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Trandafir, Ionita Cornelia. "L'intégration des immigrants roumains sur le marché de travail québécois." Mémoire, 2009. http://www.archipel.uqam.ca/2418/1/M11051.pdf.

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Abstract:
L'intérêt pour la recherche sur l'immigration a connu un développement considérable au cours des dernières années. Pourtant, aucune recherche n'a analysé en profondeur le processus d'intégration des immigrants sur le marché de travail québécois. La présente recherche vise à comprendre les facteurs qui influencent ce processus d'intégration en se penchant sur une minorité ethnique de plus en plus nombreuse sur le sol québécois: les Roumains. Dans notre recherche, nous sommes partie de l'hypothèse que l'intégration des immigrants roumains sur le marché de travail québécois est un processus long et complexe, marqué par plusieurs facteurs. L'objectif poursuivi consiste à identifier ces facteurs et à déterminer l'influence que chacun d'entre eux a sur l'accès des immigrants au marché du travail. Cette démarche s'inscrit dans une perspective qualitative et exploratoire. À partir de douze entrevues semi-dirigées, nous avons étudié la problématique à laquelle s'est confronté chaque répondant après son arrivée. Nous avons observé que la manière dont les immigrants roumains conçoivent l'intégration était influencée par plusieurs facteurs: les stratégies abordées quant à la recherche d'emploi, les facteurs individuels, les facteurs externes et la discrimination associée par nos répondants avec le manque d'expérience sur le marché de travail canadien. De plus, nos résultats nous ont montré que l'accès à des emplois qualifiés est plutôt influencé par les études faites au Québec, que par le genre. Les résultats ne pourront pas inférer sur d'autres populations que celle étudiée. Notre étude a toutefois permis d'explorer des notions qui n'auraient pas pu être mises en évidence autrement, tout en répondant à notre objectif de recherche, qui était d'étudier la façon dont les immigrants roumains interprètent leur accès sur le marché de travail québécois. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Immigrants, Roumains, Emploi, Études, Discrimination.
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Book chapters on the topic "Discrimination – Roumanie"

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"’Europe, c’est vous, protéger cette liberté, ce discrimination? Combien différentes cultures». [...] Allemands, c’est nous, pluralisme, cette diversité, de films français, combien Si vous le permettez, Français, ce sont tous les dont nous sommes si de films allemands sur le je voudrais partager cet peuples et toutes les fiers? marché américain? instant avec tous nos cultures de notre Je rêve moi aussi de la Combien de productions concitoyens d’Europe: continent. C’est nous, à construction d’un édifice européennes sur les quatre cent millions de l’Ouest, ce sont les commun, d’une grande chaînes de télévision lecteurs! autres, à l’Est, ce sont maison européenne. Mais américaines? Où est le Quatre cent millions nos amis hongrois, je voudrais que ses protectionnisme? Aux d’hommes et de femmes tchèques, roumains, fenêtres ne s’ouvrent pas États-Unis, les quotas qui attendent de nous polonais, les Allemands qu’aux vents d’Atlantique, appliqués aux productions non pas de vagues de la RDA. je voudrais qu’elles américaines ne sont pas paroles, mais des actes, La dernière guerre laissent passer le souffle de 50 %, pas de 70 %, des initiatives, la nous avait séparés en du continent européen, mais bien de 100 % sur constitution d’une deux blocs, aujourd’hui les brises de la les networks! [. . .] grande Europe de la les frontières Méditerranée ou de la Mais ce ne sont pas culture et de la création. commencent à Baltique. . . Cette maison, les Américains qui sont la Ce soir, je rêve d’un s’estomper et l’Europe je voudrais la faire vivre, la source de nos maux. S’ils grand sursaut, oui, d’une de demain se dessine. Je rendre accueillante : exportent si grande insurrection veux croire, de toutes quelques meubles massivement, c’est que contre l’uniformité, mes forces, que ce ne d’Amérique et du Japon – l’Europe audiovisuelle est contre un conformisme sera pas l’Europe triste, il en est de fort beaux – une passoire! La imposé de l’extérieur et l’Europe fade, l’Europe mais aussi des meubles responsabilité n’est pas à qui ne nous ressemble creuse qui en réalité européens, français, Washington ou Los pas. masque l’Europe espagnols, italiens, Angeles, elle est à Paris Ce soir, je voudrais implacable des grandes allemands. . . [. . .] ou à Rome! Et s’il faut retrouver avec vous concentrations Voici donc que nous, nous battre, tous l’esprit de Valmy [2], cet économiques. Si nos Européens, nous élevons ensemble, c’est aussi enthousiasme que le amis de l’Est se libèrent un peu la voix.Voici que contre nous-mêmes. grand Goethe avait si peu à peu du carcan des nous demandons un peu Contre l’indifférence et la bien reconnu, le soir idées mortes, s’ils se de place, un peu d’espace facilité, le laisser-faire et le même de la bataille: «Ici tournent maintenant pour nos productions laisser-aller. et aujourd’hui vers nous, qu’avons-nous audiovisuelles.Voici que Cette préférence commence une nouvelle à leur proposer? N’est-nous évoquons un européenne, nous l’avons époque de l’histoire du ce pas cela, la vrai système préférentiel, le établie pour l’agriculture monde. . .» question? respect de certaines et l’industrie. En quoi est-Les mois qui Allons-nous leur dire : proportions raisonnables ce sacrilège de l’instituer viennent sont aussi «Bienvenue au pays de la pour les œuvres d’origine aussi pour la Culture? décisifs pour notre jungle! Bienvenue au européenne. Mais quelle Comme M. François avenir que le fut en pays de la rentabilité outrecuidance! Quelle Mitterrand l’a rappelé il y septembre 1792 la immédiate! Bienvenue audace! a quelques jours à bataille de Valmy pour au pays du conformisme, Los Angeles crie à la Bologne: «L’Europe n’est l’idéal républicain. Le du modèle unique!»? discrimination, au coup de pas qu’un marché, s’il est champ de bataille? Ne risquons-nous pas force, à l’injustice, au un ciment à l’Europe c’est L’Europe toute entière? de les décevoir scandale! Los Angeles bien cet espace L’enjeu? L’Europe toute cruellement? Ne faut-il menace! Los Angeles intellectuel et artistique entière! pas dès à présent attaque! où cohabitent et prendre les moyens de Mais où est la dialoguent nos." In Francotheque: A resource for French studies, 137–39. Routledge, 2014. http://dx.doi.org/10.4324/978020378416-23.

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