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Journal articles on the topic 'Diversité des espèces – Afrique subsaharienne'

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Tacher, Georges, and Léon Letenneur. "Le secteur des productions animales en Afrique subsaharienne des indépendances à 2020. II. Approche des échanges par zones sous-régionales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 1 (January 1, 2000): 27. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9762.

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Abstract:
Pour préciser la grande diversité des échanges et des consommations à l'intérieur de l'Afrique subsaharienne, un zonage en sept sous-régions (Ouest, Centre-Ouest, Centre-Nord, Est, Centre, Sud, Madagascar) a été réalisé à partir de la demande en produits animaux, de l'homogénéité et de la complémentarité des échanges, et en considérant les unions politiques. Importations et exportations portent en majorité sur les viandes avec une grande diversité selon les zones : solde excédentaire pour la zone orientale, solde déficitaire en Afrique centrale. Toutes les sous-régions identifiées sont déficitaires en produits laitiers avec un déficit global de 428 millions de dollars américains en 1994. Les cuirs et les peaux représentent 15 p. 100 des exportations, et 67 p. 100 de celles-ci sont réalisées par l'Afrique australe. Elles représentent un solde positif et compensent les importations nettes de volailles. Les consommations examinées par sous-régions montrent plusieurs types de consommation et une grande diversité dans les quantités de protéines animales consommées par jour et par habitant allant de 4,2 g en zone centrale à 13,8 g clans la zone de l'Igad (intergovernmental Authority on Drought). Les évolutions des consommations montrent une forte augmentation de la consommation des viandes blanches dans les régimes alimentaires dans la plupart des zones. L'offre montre une grande diversité entre les sept zones tant dans la composition et les effectifs des espèces animales et des produits que dans les importations. Les deux grandes sous-régions importatrices sont l'Afrique centrale et l'Afrique australe.
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Schiff, Maurice W. "Capital socioculturel, diversité ethnique et réforme économique en Afrique subsaharienne." Revue d'économie du développement 3, no. 3 (1995): 41–53. http://dx.doi.org/10.3406/recod.1995.927.

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3

Seck-Sarr, Sokhna Fatou. "Professionnalisation et politisation des commentaires numériques sur la marque Orange en Afrique de l'Ouest." Revue Communication & professionnalisation, no. 11 (February 23, 2021): 94–115. http://dx.doi.org/10.14428/rcompro.vi11.59523.

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Abstract:
Cet article explore la professionnalisation et la politisation des commentaires numériques sur la marque de l’opérateur mobile Orange en Afrique subsaharienne. Il souligne d’abord la surreprésentation de commentaires négatifs publiés sur Facebook et Twitter ainsi que la diversité des actions de boycott initiées par les internautes « clients » : orangesatch (2013), Boycott-orange-Niger (2015) Stop aux anarques d’orange Mali (2015) Afrique boycott orange (2016) ou encore Talatay-orange (2018). Il détaille ensuite la nature des commentaires numériques, aux soubassements idéologiques, politiques, voire géopolitiques, ainsi que le détournement des messages publicitaires de la marque (Cultural Jamming) par les contestataires disposant a priori de compétences techniques et sociales. L’étude expose les tactiques privilégiées par la marque Orange notamment la mise en place de « Team digitale » pour animer ses pages Facebook et comptes officiels Twitter ainsi que le recours à des blogueurs/influenceurs pour renforcer son autorité réputationnelle. Enfin, le caractère promotionnel ou divertissant des réponses apportées par les community managers de la marque, dans une situation de communication sensible pouvant déboucher sur une crise, interroge les compétences reliées à l’autorité énonciative de la marque.
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Tindano, Elycée, Souleymane Ganaba, and Adjima Thiombiano. "Composition floristique et état des peuplements ligneux des inselbergs suivant un gradient climatique au Burkina Faso (Afrique de l'Ouest)." Flora et Vegetatio Sudano-Sambesica 17 (December 1, 2014): 9–27. http://dx.doi.org/10.21248/fvss.17.24.

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Abstract:
Au Burkina Faso les études menées sur la végétation des inselbergs sont fragmentaires et insuffisantes. Il existe très peu de données sur la végétation des inselbergs et aucune étude n'a encore été menée sur cette végétation suivant un gradient climatique. L'objectif de cette étude est de décrire la végétation ligneuse des inselbergs des quatre secteurs phytogéographiques du Burkina Faso suivant un gradient climatique nord-sud. Les données ont été collectées dans des placeaux de 30 m x 30 m, suivant un échantillonnage stratifié et aléatoire. Des indices de diversité, d'équitabilité, de valeur d'importance et de similitude ont été calculés pour la végétation des inselbergs granitiques et gréseux des secteurs phytogéographiques. Un total de 188 relevés a été réalisé. 143 espèces ligneuses ont été recensées et se répartissent inégalement dans les quatre secteurs phytogéographiques. Plus de trois quarts moitié (79%) de ces espèces se retrouve dans le secteur Sud-soudanien, ce qui le rend plus riche floristiquement. Le secteur le moins riche en espèces est le secteur Nord-sahélien avec 37 espèces (26%). La richesse floristique augmente du nord au sud du gradient climatique et met en évidence la variation taxonomique suivant le gradient latitudinal de précipitation. Les 143 espèces ligneuses recensées sur les inselbergs des quatre secteurs phytogéographiques représentent 65 % des espèces ligneuses et 7 % de la flore totale du Burkina Faso. Les facteurs topographie et nature du substrat n'ont pas un effet significatif (p > 0,05) sur la composition floristique des inselbergs. La densité et la surface terrière des peuplements ligneux varient significativement suivant l'altitude (p < 0,05). Le climat, particulièrement le niveau de précipitation, reste le principal facteur qui influe sur la répartition des taxa devant la nature du substrat, la topographie et l’anthropisation. Les peuplements ligneux des inselbergs des secteurs sud-sahélien et ord-soudanien sont les moins denses. Ils subissent plus de pression anthropique par rapport aux peuplements ligneux des secteurs Nord-sahélien et Sud-soudanien. Les inselbergs les plus hauts ont une végétation ligneuse plus dense que les inselbergs les plus bas.
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Temple, Ludovic, and Hubert de Bon. "L’agriculture biologique : controverses et enjeux globaux de développement en Afrique." Cahiers Agricultures 29 (2020): 3. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020002.

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Abstract:
L’agriculture biologique offre plusieurs options pour documenter les transitions technologiques vers de nouveaux modèles de production, même si elle présente des aspects controversés : faiblesse des rendements, accessibilité aux normes, valeurs des écobilans ou accroissement du travail. En mobilisant différentes situations en Afrique subsaharienne, ce numéro thématique des Cahiers Agricultures contribue à illustrer ces controverses. Les articles constitutifs montrent comment l’agriculture biologique définie par les normes des pays industriels ne peut rendre compte de la diversité des réalités agricoles africaines. Il s’ensuit l’émergence de nouvelles certifications et demandes des sociétés locales. Cette émergence reste contrainte par l’insuffisance des bases de connaissances comparatives des réalités productives entre l’agriculture biologique et conventionnelle. Des innovations méthodologiques pour réduire les asymétries de connaissances sur la comparaison des performances sont alors proposées. Les résultats interrogent la nécessité de nouveaux indicateurs intégrant les questions de sécurité nutritionnelle et sanitaire. Ils montrent que l’agriculture biologique peut aussi être un levier de l’accroissement des rendements quand la rente forestière a été consommée par l’agriculture d’exportation. Tout en éclairant les controverses, ce numéro thématique pose l’hypothèse, que sous certaines conditions, l’agriculture biologique est une opportunité de rupture de paradigme technologique qui répond aux enjeux de développement en Afrique. Il invite à ne pas confondre cette rupture avec les mécanismes de transition incrémentaux portés par l’agroécologie.
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Havard, Michel, A. Fall, and Aboubakar Njoya. "La traction animale au coeur des stratégies des exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (March 1, 2004): 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9889.

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Abstract:
Cet article fait une analyse comparative de trois situations contrastées d’utilisation de la traction animale : le bassin arachidier du Sénégal, le Nord-Cameroun et l’est du Burkina Faso. L’objectif est de caractériser les dynamiques de la traction animale dans les exploitations agricoles. Dans chaque situation, les données, collectées selon des méthodes et outils spécifiques et avec la collaboration de partenaires différents, n’ont pas permis de faire systématiquement des comparaisons entre les trois pays. Dans tous les cas, cette analyse montre que l’appropriation de la traction animale dans l’exploitation est un processus souvent difficile et progressif. La première étape est l’acquisition d’un attelage pouvant demander des années d’efforts. Elle engendre d’importantes transformations dans le fonctionnement du système de production de l’agriculteur qui doit chercher à équilibrer le disponible en force de traction, en surface agricole et en main-d’oeuvre. La traction animale favorise l’extension des superficies cultivées et renforce l’intégration agriculture élevage. Elle modifie l’organisation et la répartition du travail, et elle est source d’augmentation et de diversification des revenus. Enfin, elle créée de nouvelles tâches, comme l’élevage d’animaux de trait qui engendre des dépenses supplémentaires. A l’échelle des exploitations agricoles, les analyses font ressortir la variété des trajectoires d’équipements et donc la diversité des stratégies des agriculteurs pour accéder à la traction animale, puis la conserver. Elles confirment aussi le rôle pivot de la traction animale dans leur cycle de vie. A l’échelle du village, elles montrent le rôle déterminant des échanges de travail et de terre entre les exploitations dans le processus d’appropriation de la traction animale. Ce processus, qui doit encore être accompagné, est avancé dans le bassin arachidier, et il est en cours dans l’est du Burkina Faso et au Nord-Cameroun. Les priorités sont l’acquisition des attelages pour les exploitations non équipées à l’est du Burkina Faso et au Cameroun, et la reproductibilité des exploitations équipées (diversification des activités, maîtrise de la technique, innovations endogènes) dans toutes les situations étudiées, et particulièrement au Sénégal.
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Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

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Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
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Mulatris, Paulin, and Malanga-Georges Liboy. "Autour de la diversité des orientations sexuelles : regard croisé Afrique-Canada parmi les jeunes francophones issus de l’immigration africaine subsaharienne." Canadian Ethnic Studies 52, no. 1 (2020): 73–93. http://dx.doi.org/10.1353/ces.2020.0000.

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Dury, Sandrine, Arlène Alpha, Nadine Zakhia-Rozis, and Thierry Giordano. "Les systèmes alimentaires aux défis de la crise de la Covid-19 en Afrique : enseignements et incertitudes." Cahiers Agricultures 30 (2021): 12. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020052.

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Abstract:
La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne. Mises en perspective avec les rapports des organisations internationales, ces informations permettent de dresser un constat nuancé. Si le commerce mondial des produits de base et la production agricole dans les pays du Sud ont été relativement peu affectés par les mesures de restriction prises pour limiter la propagation du virus, certaines filières de produits périssables ont rencontré des difficultés pour écouler leurs produits. Mais surtout, la crise a mis en exergue la déconnexion entre le monde de la production agricole, du commerce alimentaire et la situation des consommateurs précaires, qui dans les villes et dans le secteur informel ont pris de plein fouet l’arrêt des activités économiques. Cette crise sanitaire invite à repenser les mesures de gestion de la crise, tant à court terme qu’à plus long terme, avec une approche intégrée des systèmes alimentaires pour renforcer leur résilience et soutenir les stratégies d’adaptation des acteurs.
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Ibrahim, Dariatou, Oumarou Hama, Pablo Perez Daniels, Maman M. Inoussa, Moussa Barage, Toudou Adam, Maria R. Alcantara, and Felix Infante. "Diversité des champignons basidiomycètes à carpophores inféodés à certaines espèces des Caesalpiniaceae du Parc National du W du Niger (Afrique de l’Ouest)." Journal of Applied Biosciences 116, no. 1 (November 29, 2017): 11566. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v116i1.5.

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Tacher, Georges, and Léon Letenneur. "Le secteur des productions animales en Afrique subsaharienne des indépendances à 2020. III. Prospectives de la demande et de l'offre pour 2020 et voies de réponse au nécessaire développement de l'élevage." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 4 (April 1, 2000): 365. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9714.

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Abstract:
L'évolution des productions animales de 1964 à 1994 montre une diminution des protéines disponibles par habitant et par jour. Elle montre également une part faible de l'Afrique subsaharienne (Ass) dans le marché mondial des produits animaux. Les prospectives de 1994 à 2020 ont été faites en fonction d'un maintien du niveau de consommation actuelle, de la croissance démographique, du développement des villes et du niveau des revenus des ménages. Elles montrent que la consommation globale des viandes devrait croître de 3,9 p. 100 par an, celle des produits laitiers et des oeufs de 3,3 p. 100. L'offre, en fonction des ressources alimentaires disponibles pour l'alimentation des animaux, pourrait multiplier par 1,3 la production de viandes rouges, par 4,25 celle de viandes blanches, par 1,75 celle de lait et par 3,1 celle d'oeufs. Les consommations examinées par sous-régions indiquent plusieurs types de consommation et une grande diversité dans les quantités de protéines animales consommées par jour et par habitant allant de 4,2g en zone centrale à 13,8g dans la zone de l'Igad (Intergovernmental Authority on Drought). Les évolutions des consommations selon les produits montrent une forte augmentation des viandes blanches dans les régimes dans la plupart des zones. Ce bilan général de l'évolution de l'offre peut paraître pessimiste. Il ne doit pas occulter les efforts entrepris. En 30 ans, les productions de viande ont plus que doublé et les productions de produits laitiers ont été multipliées par 1,8. Pour prévoir la demande dans une génération, c'est-à-dire en 2020, trois facteurs qui influencent fortement sa croissance sont retenus: la démographie, l'urbanisation et l'élévation du niveau de vie. L'hypothèse selon laquelle la consommation individuelle de produits animaux en Afrique subsaharienne, où la sous-nutrition est déjà présente, ne peut continuer de baisser est également émise. Les facteurs d'évolution conditionnant l'offre sont passés en revue : ils portent sur les accords mondiaux sur le commerce et sur des facteurs propres à l'Ass (régionalisation...). Les conclusions développent l'obligation de l'intensification des productions animales qui passe par l'organisation des professionnels, la privatisation, les infrastructures.
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Penot, Eric, and Isabelle Ollivier. "L'hévéa en association avec les cultures pérennes, fruitières ou forestières : quelques exemples en Asie, Afrique et Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 301, no. 301 (September 1, 2009): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.301.a20407.

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Abstract:
Initialement développée par le secteur des grandes plantations au début du siècle, l'hévéaculture est aujourd'hui principalement le fait de petites exploitations paysannes. Le modèle de diffusion initial fut la monoculture stricte. Cependant, les cultures vivrières intercalaires pendant la période immature de l'hévéa, Hevea brasiliensis, sont relativement bien développées, y compris dans les anciens projets de développement sectoriels. En revanche, les associations incluant des cultures pérennes ou forestières sont peu recensées et souvent peu acceptées par les institutions de développement, comme ce fut le cas en Indonésie durant années 1990. Elles existent localement, parfois sur des superficies importantes : le " jungle rubber ", par exemple. Ces pratiques assurent pourtant une meilleure valorisation de la terre et de la main-d'oeuvre et les associations permanentes avec des cultures pérennes constituent un facteur de stabilisation économique des plantations et de diversification des revenus. Les systèmes agroforestiers complexes constituent aussi un avantage écologique puisqu'ils sont garants du maintien d'une grande partie de la biodiversité rencontrée en forêt naturelle. Le peu d'intérêt officiellement reconnu pour ces associations malgré des avantages économiques et environnementaux peut être imputé au fait qu'elles ne correspondent pas au type d'hévéaculture dominant au sein des grandes sociétés de plantations et des institutions de développement. Nombre de paysans ont innové et mis au point des systèmes astucieux et pratiques leur permettant de diminuer les risques et de diversifier leur production. Le présent article tend à faire le point sur les associations existantes : hévéa associé au café, au thé, au cacao, au rotin ainsi qu'aux espèces fruitières ou forestières. Il ne prétend pas analyser les systèmes en détail mais a pour objectif d'en présenter la diversité. (Résumé d'auteur)
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Forni, Eric, Vivien Rossi, Jean-François Gillet, Fabrice Bénédet, Guillaume Cornu, Vincent Freycon, Isaac Zombo, et al. "Dispositifs permanents de nouvelle génération pour le suivi de la dynamique forestière en Afrique centrale : bilan en République du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31760.

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Abstract:
Gérer durablement les forêts tropicales de production nécessite de connaître leur diversité, leur dynamique et l’impact de l’exploitation sur ces caractéristiques. Cette connaissance peut s’obtenir avec de grands dispositifs de suivi permanents dont les arbres sont régulièrement mesurés. Un seul dispositif de ce type existe en Afrique centrale, M’Baïki, installé en 1982 en République centrafricaine. Il a fait référence pour établir les règles d’aménagement d’un grand nombre de concessions forestières de la région. Plusieurs projets ont permis l’installation de nouveaux dispositifs, en privilégiant des zones situées sur des substrats géologiques différents. Deux dispositifs ont ainsi été installés dans des concessions forestières aménagées au nord de la République du Congo, sur alluvions de l’ère cénozoïque (Loundoungou) et sur grès de Carnot de l’ère mésozoïque (Mokabi). Chaque dispositif est constitué de deux blocs de 400 ha, contenant chacun un sentier d’environ 4 000 arbres d’une vingtaine d’espèces commerciales et deux parcelles de 9 ha suivies en plein. Tous les arbres supérieurs à 10 cm de diamètre sont mesurés. Un bloc sera exploité après quelques années de suivi, l’autre restera en témoin. L’installation et le premier inventaire d’un dispositif ont nécessité en moyenne 34 mois de travail avec une équipe de huit personnes pour un coût total moyen de 94500 €. Les peuplements des deux dispositifs, Loundoungou et Mokabi respectivement, ont les caractéristiques suivantes : 240 et 230 espèces d’arbres, densité de 346,8 (± 5,8) et 426,8 (± 3,6) arbres par hectare, biomasse de 432,6 (± 13,8) et 457,3 (± 9,3) Mg/ha. Les difficultés rencontrées lors de l’installation des dispositifs (emplacement, localisation des parcelles, constitution des sentiers, application du protocole d’inventaire, logistique...) sont analysées. Plusieurs recommandations sont émises pour améliorer l’installation de tels dispositifs et leur protocole d’inventaire.
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Sourabie, Soumaïla, Patrice Zerbo, Djibril Yonli, and Joseph I. Boussim. "Connaissances traditionnelles des plantes locales utilisées contre les bio-agresseurs des cultures et produits agricoles chez le peuple Turka au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1390–404. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.18.

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Abstract:
La présente étude a pour objectif de faire l’état des connaissances traditionnelles endogènes relatives aux plantes locales utilisées contre les bio-agresseurs des cultures et des produits agricoles. A travers une série d’enquêtes ethnobotaniques réalisée de 2018 à 2019 dans la région des Cascades au Burkina Faso, 150 personnes appartenant à l’ethnie Turka ont été interviewées. Les informations recherchées en utilisant des entretiens semi-directifs, ont concerné les noms locaux des plantes, les parties utilisées, les domaines d’utilisation et leurs modes d'utilisation. Les données collectées ont permis de recenser 33 espèces de plantes réparties en 30 genres et 19 familles utilisées traditionnellement contre les bio-agresseurs agricoles. Ces plantes interviennent sélectivement dans trois domaines : la répulsion des insectes, l’inhibition des herbes envahissantes et la construction des greniers. Les espèces sont utilisées soit directement ou transformées en poudre ou en cendre. Les feuilles sont plus utilisées que les autres organes. Cassia nigricans est l’espèce la plus utilisée pour son effet répulsif et Parkia biglobosa pour son effet inhibiteur. Des études approfondies sur les propriétés chimiques des potentielles espèces permettront de réduire l’impact des produits chimiques en agriculture contre les bio-agresseurs.Mots clés : Ethnobotanique, diversité végétale, ennemi agricole, secteur sud-soudanien, Afrique de l’ouest English Title:Traditional knowledge of local plants used against pests of crops and agricultural products among the Turka poeple in Burkina Faso The objective of this study is to provide an overview of endogenous traditional knowledge relating to local plants used against pests of crops and agricultural products. Through an ethnobotanical’s surveys carried out from 2018 to 2019 in the Cascades area in Burkina, 150 Turka ethnic group people were interviewed. Through semi-structured interviews, information looking for were concerned plants local names, their parts used, the domains and the modes of use. Data collected allowed to identify 33 plants’ species belonged to 30 genera and 19 families, used traditionally against agricultural pests. These plants are selectively involved in three domains: repelling insects, inhibiting invasive weeds and building lofts. Species are used either directly or processed into powder or ash. The leaves are used more than other organs. Cassia nigricans is the most used species for its repellent effect and Parkia biglobosa for its inhibitory effect. In-depth studies on the chemical properties of potential species will reduce the impact of chemicals in agricultural against pests.Keywords: Ethnobotany, plant diversity, agricultural pest, South Sudanese sector, West Africa
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Moussa, Soufianou, and Jean-François Kobiané. "Inégalités des ménages face à la réception de transferts informels. Quelques leçons issues de Ouagadougou (Burkina Faso)." Articles 44, no. 2 (April 4, 2016): 223–49. http://dx.doi.org/10.7202/1035954ar.

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Abstract:
En Afrique de l’Ouest, la crise macroéconomique persistante empêche tout développement d’une protection sociale institutionnelle volontariste. Les plus vulnérables ne peuvent compter, en termes de soutien, que sur les transferts qu’ils reçoivent de leur entourage familial. C’est dans ce contexte que nous traitons de l’architecture des aides reçues par les ménages dans cinq quartiers suivis par l’Observatoire de la Population de Ouagadougou (Burkina Faso). Nous analysons d’une part les différences de profils entre les ménages aidés et ceux qui ne le sont pas et d’autre part les caractéristiques des appuis reçus en fonction du degré d’urbanisation des quartiers, grâce à des analyses en composantes multiples. Nos résultats montrent que si une faible part des ménages reçoit une assistance informelle, les ménages des quartiers formels en sont les plus dépendants. Le sexe du chef de ménage apparaît comme plus déterminant pour la réception d’une aide informelle que son âge, et les ménages dirigés par une femme, malgré leur forte diversité sociale, sont les plus assistés. D’autres facteurs jouent un rôle très important, comme l’état matrimonial du chef de ménage. En revanche, les ménages les plus pauvres ne constituent pas les plus aidés. De même, le niveau de vie de la famille d’origine du chef de ménage ne joue que très faiblement sur la probabilité pour un ménage de recevoir une aide, ce qui sous-entend une architecture des transferts informels basée davantage sur la proximité géographique que familiale. Enfin, dans l’ensemble, nous avons observé que l’assistance informelle est plus aléatoire dans les quartiers urbanisés alors que, dans les quartiers informels, l’assistance en espèces est jugée comme la moins utile par les bénéficiaires.
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Barou, Jacques. "La idea de la muerte y los ritos funerarios en el África subsahariana. Permanencia y transformaciones." Revista Trace, no. 58 (July 9, 2018): 125. http://dx.doi.org/10.22134/trace.58.2010.376.

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Abstract:
La importancia de los rituales funerarios en el África subsahariana ha sorprendido a los observadores, quienes, independientemente de la diversidad de los rituales, los han relacionado con el dominio del grupo sobre el individuo y con el proceso del perpetuo retorno de los muertos entre los vivos. La evolución interna de las religiones africanas tradicionales, llamadas religiones del terruño, ha hecho surgir formas culturales más elaboradas en torno a los antepasados de prestigio, intermediarios entre el mundo humano y el universo invisible. Dicha evolución preparó la aceptación de las religiones reveladas, que no han modificado totalmente los rituales mortuorios ni han eclipsado por completo la creencia en los antepasados y en la reencarnación. Lo que transforma los rituales funerarios y la idea de la muerte son los fenómenos vinculados con la modernidad, en particular el éxodo rural y la emigración a lugares lejanos. A partir de ciertas referencias a los principales conocimientos sobre la muerte y los ritos funerarios del África subsahariana y a partir de dos investigaciones de campo, una llevada a cabo en el Senegal y la otra en Francia, el autor de este artículo se esfuerza por analizar el sentido de la transformación de la idea de la muerte y de los ritos funerarios que se puede observar hoy en día al sur del Sáhara.Abstract: The importance of funeral ritual in Black Africa has impressed the observers. They have analysed these rites as reflecting the group’s domination of the individual and as expressing a process of perpetual return of dead among living people. The internal evolution of traditional African religions has produced more sophisticated cults concerning prestigious ancestors, intermediate between human and invisible world. Such an evolution has prepared the arrival of the revealed faiths which have not completely transformed the funeral rites nor destroyed the beliefs in ancestors and in reincarnation. These rituals have been above all transformed by the modern life and processes like migration and rural exodus. This article uses references to the main knowledge concerning death and funeral rites in Africa and the results of two surveys made recently in Senegal and in France to analyse the meaning of the changes of the idea of death one can observe today in the south of Sahara.Résumé : L’importance des rituels funéraires en Afrique subsaharienne a frappé les observateurs qui les ont reliés, au-delà de leur diversité, à la domination du groupe sur l’individu et à un processus de retour perpétuel des morts parmi les vivants. L’évolution interne des religions africaines traditionnelles, appelées religions du terroir, a fait émerger des formes cultuelles plus élaborées autour d’ancêtres prestigieux, intermédiaires entre le monde humain et l’univers invisible. Cette évolution a préparé l’acceptation des religions révélées qui n’ont pas modifié totalement les rituels mortuaires ni tout à fait éclipsé la croyance aux ancêtres et à la réincarnation. Ce sont les phénomènes liés à la modernité, en particulier l’exode rural et les migrations lointaines, qui transforment les rituels funéraires et l’idée de la mort. A partir de références aux principales connaissances sur la mort et les rites funéraires en Afrique subsaharienne et à partir de deux recherches de terrain, l’une menée au Sénégal et l’autre en France, cet article s’efforce d’analyser le sens des transformations de l’idée de la mort et des rites funéraires que l’on peut observer aujourd’hui au sud du Sahara.
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Ramde, Seydou, and Marc Bidan. "Déploiement du Financement Participatif de Proximité au Burkina Faso." Management & Data Science, September 2020. http://dx.doi.org/10.36863/mds.a.14014.

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Abstract:
Cet article s’intéresse aux éléments de contexte liés à une opérationnalisation de technologies innovantes telles que le financement participatif de proximité (FPP) en Afrique subsaharienne (Burkina Faso) impliquant des populations modestes dans le cadre de projets concrets (puits, pompes, énergie, plantation, etc.) La recherche est basée théoriquement sur les travaux de Shamba et Livian (2014) et sur ceux de Gallo (2017) et empiriquement sur une démarche qualitative investigant trois communautés villageoises (Arbollé, etc.) au sein desquelles furent testés des dispositifs type FPP. Nos résultats montrent qu'une mécanique d'aide – via les Organisations Non Gouvernementales ou via les communautés religieuses - malgré une efficacité sur l'urgence ont contribué à installer une logique de dépendance face à l’aide extérieure qui ne facilite pas l'implication des populations. Cette aide exterieure inhibe de facto les tentatives d'opérationnalisation du FPP. Toutefois, les apports potentiels du FPP semble entrer en cohérence avec les liens familiaux et la diversité des groupes ethniques notamment s'il est déployé au niveau de ce qu'il est possible de nommer le « bassin de vie ».
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Vroh, Bi Tra Aimé. "Plant species used in traditional medicine against the main symptoms of COVID-19 in Sub-Saharan Africa: literature review." Ethnobotany Research and Applications 20 (September 18, 2020). http://dx.doi.org/10.32859/era.20.26.1-14.

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