Academic literature on the topic 'Diversité végétale – Conservation'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Diversité végétale – Conservation.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Diversité végétale – Conservation"

1

Mikoungui Gomo, Mat-Sheridan, Donatien N’zala, and Saint Fédriche Ndzai. "Diversité floristique des dépendances vertes périurbaines de Brazzaville (Congo) menacées de dégradation." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 7 (2020): 2567–82. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.16.

Full text
Abstract:
A Brazzaville, les dépendances vertes jouent un rôle important sur le bien-être et le cadre de vie des citadins. Cependant elles sont menacées de dégradation à cause d’une urbanisation mal contrôlée. Cette étude a été menée pour identifier et caractériser la biodiversité végétale de ces milieux. A cet effet, des relevés floristiques ont été réalisés au niveau de deux types de phytocénoses « dégradée » et « semi intacte » dans deux sites des quartiers périphériques de Ngamakosso et Sadelmi suivant un dispositif de 17 parcelles (30 m x 20 m). Au total, 205 espèces végétales reparties en 160 genres et 65 familles ont été inventoriées. La présence/abondance de certaines espèces et familles (Asteraceae, Rubiaceae, Poaceae) associée avec l’appréciable proportion des nanophanérophytes, révèle le caractère arbustif et perturbé de cette végétation sur des sols sableux et pauvres, favorables aux érosions. La conservation et la reconstitution des phytocénoses étudiées sont assurées grâce à des espèces endémiques, guinéo-congolaises et pantropicales, à très large distribution. Les connaissances acquises de cette étude suggèrent d’intégrer la problématique de l’aménagement des espaces végétalisés urbains dans les politiques de développement durable de la ville. Mots clés : Richesse floristique, biodiversité urbaine, phytocénose, conservation, reconstitution. English Title: Floristic diversity of peri-urban green dependencies in Brazzaville (Congo) threatened by degradation In Brazzaville, green dependencies have an important role in the well-being and living environment of city dwellers. However, they are threatened with degradation due to poorly controlled urbanization. This study was conducted to identify and characterize the plant biodiversity of these habitats. For this purpose, floristic surveys were carried out at the level of two kinds of "degraded" and "semi intact" phytocenosis at two sites in the outlying areas of Ngamakosso and Sadelmi following a scheme of 17 plots (30 m x 20 m). In total, 205 plant species distributed into 160 genera and 65 families were inventoried. The presence/abundance of certain species and families (Asteraceae, Rubiaceae, Poaceae) associated with the significant proportion of nanophanerophytes, revealed the shrubby and disturbed character of this vegetation on sandy, poor and erosive soils. The conservation and reconstitution of the studied phytocenosis are ensured by endemic, Guineo-Congolese and pantropical species, with very wide distribution. The knowledge acquired from this study suggests integrating the issue of vegetative landscaping into the city’s sustainable development policies. Keywords: Floristic richness, urban biodiversity, phytocenosis, conservation, reconstitution
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Gone Bi, ZB, D. Kouame, I. Kone, and CY Adou Yao. "Diversité végétale et valeur de conservation pour la Biodiversité du Parc National du Mont Péko, une aire protégée, menacée de disparition en Côte d’Ivoire." Journal of Applied Biosciences 71, no. 1 (2013): 5753. http://dx.doi.org/10.4314/jab.v71i1.98820.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Niwah, Claudette Baye, Gilbert Todou, Konsala Souare, Abassi Abdoulaye, Sakitai Bay, and Efuet Atem. "Diversité et usages des plantes ligneuses des agrosystèmes périphériques de la ville de Maroua (Extrême-Nord, Cameroun)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (2020): 966–82. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.25.

Full text
Abstract:
Une étude a été menée en périphérie de Maroua (Extrême-Nord, Cameroun) dans le but de contribuer à une gestion durable des ressources végétale sahélienne. Cette étude a identifié et a calculé la diversité des plantes ligneuses des champs de case suivant un dispositif de 20 quadrats (50 m x 50 m) dans cinq localités. Elle a aussi déterminé les catégories d’usage et les organes récoltés de chaque plante utilisée. La Méthode Accélérée de Recherche Participative (MARP) a été reprise pour collecter les données ethnobotaniques auprès de 100 ménages. Les analyses des résultats obtenus ont montré que les champs de case comportent au total, 38 espèces (26 plantes locales) réparties dans 27 genres et 26 familles. Les familles les plus abondantes ont été Méliacées (32,26%) et Mimosacées (29,26%). Acacia nilotica, Acacia albida, Balanites aegyptiaca, Moringa oleifara, Sclerocarya birrea, Tamarindus indica et Ziziphus mauritiana sont les espèces locales les plus utilisées (au moins quatre catégories d’usages). Les résultats ont montré que les champs de case peuvent être des bons systèmes de valorisation et de conservation des plantes locales.Mots clés : Champs de case, plantes ligneuses, enquête ethnobotanique et socio-économique, valorisation, usage durable. English Title: Diversity and uses of woody plants from peripheral agro-systems in the city of Maroua (Far North, Cameroon)A study was conducted around Maroua (Far North, Cameroon) with the aim of contributing to sustainable management of Sahelian plant resources. This study identified and calculated the diversity of woody plants in village fields using a system of 20 quadrats (50 mx 50 m) in five localities. It also determined the categories of use and the organs harvested from each plant used. The Accelerated Participatory Research Method (MARP) was used to collect ethnobotanical data from 100 households. Analyzes of the results obtained have shown that the village fields contain in total 38 species (26 native plants) in 27 genera and 26 families. The most abundant families were Meliaceae (32.26%) and Mimosaceae (29.26%). Acacia nilotica, Acacia albida, Balanites aegyptiaca, Moringa oleifara, Sclerocarya birrea, Tamarindus indica and Ziziphus mauritiana found to be the most commonly used local species (at least four categories of uses). The results showed that village field can be good systems for the recovery and conservation of native plants.Keywords: Village field, woody plants, ethnobotanical and socio-economic survey, valorization, sustainable use.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Bognounou, Fidèle, Adjima Thiombiano, Patrice Savadogo, Joseph Issaka Boussim, Per Christer Oden, and Sita Guinko. "Structure et composition spécifique de la végétation ligneuse de quatre sites sur un gradient latitudinal au Burkina Faso occidental." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 300, no. 300 (2009): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20412.

Full text
Abstract:
Comprendre la distribution de la végétation ligneuse et les facteurs qui la soustendent est une étape cruciale pour la conservation et la gestion des communautés végétales de l¿écosystème des savanes boisées. Cet article présente la composition spécifique, la structure et la diversité des essences ligneuses de quatre sites sur un gradient latitu - dinal dans les secteurs nord-sahélien, sud-sahélien, nord-soudanien et sud-soudanien du Burkina Faso occidental. Toutes les essences ligneuses ont été systématiquement identifiées et mesurées sur 82 placettes de 50 × 20 m2. La densité, la dominance, la fréquence, les espèces et les valeurs d¿importance ont été calculées pour caractériser la composition spécifique. Des mesures de diversité ont été calculées pour analyser l¿hétérogénéité de chacun des sites. Au total, 74 espèces représentant 26 familles et 53 genres ont été recensées, parmi lesquelles les familles des Combrétacées, Mimosacées et Caesalpiniacées s¿avèrent dominantes. Les caractéristiques structurelles font apparaître des différences significatives (p < 0,001) entre sites et espèces. Pour certains sites, les distributions par classe de dimension font apparaître une courbe en J'inversé, indiquant une végétation dominée par des arbres juvéniles. La composition spécifique fait apparaître une faible similitude entre sites, indiquant une diversité bêta élevée qui reflète des différences au niveau des conditions du milieu, de la topographie et de distance entre sites. Les différences spécifiques entre sites mettent en lumière l¿importance des approches à l¿échelle du paysage pour comprendre les distributions, la composition, la structure et la diversité spécifiques, dans une optique de mise en oeuvre de mesures de restauration et de conservation favorisant la surface terrière totale et la diversité de ces écosystèmes. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Blanchard, Elodie, Philippe Birnbaum, Christophe Proisy, et al. "Prédire la structure des forêts tropicales humides calédoniennes: analyse texturale de la canopée sur des images Pléiades." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 209 (January 29, 2015): 141–47. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.226.

Full text
Abstract:
Cartographier et classifier les forêts denses humides (FDH) selon une typologie structurale objective est un enjeu majeur pour leur conservation et leur gestion. Les principales contraintes dans l'étude des FTH sont dues à leur forte hétérogénéité et à leur faible accessibilité. Les images satellites Pléiades offrent de nouvelles opportunités pour l'étude, à large échelle, de l'organisation structurale de ces forêts. Dans cet article nous avons évalué à travers une étude de cas en Nouvelle-Calédonie leur potentiel pour construire une typologie des FDH à partir d'une analyse de texture de la canopée. La méthode FOTO (FOurier-based Textural Ordination) a été appliquée à des images à très haute résolution spatiale pour produire des indices de texture de la canopée. Les résultats ont montré que cette méthode était prometteuse pour, d'une part isoler la FDH des autres formations végétales, et d'autre part mettre en évidence leur diversité structurale à large échelle. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Ajbilou, Redouan, Teodoro Marañón, Juan Arroyo, and Mohammed Ater. "Structure et diversité de la strate arbustive des forêts de la Péninsule Tingitane (Maroc)." Acta Botanica Malacitana 32 (December 1, 2007): 147–60. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v32i0.7034.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ. Structure et diversité de la strate arbustive des forêts de la Péninsule Tingitane (Maroc). Cette étude concerne les communautés végétales arbustives des massifs forestiers sur substrat gréseux couvrant la Péninsule Tingitane au nord ouest du Maroc. La structure et la diversité de ces communautés ont été étudiées sur la base de 98 relevés représentatifs. Les subéraies (Quercus suber) sont les formations forestières naturelles les plus représentatives et les plus diversifiées de l´aire d´étude. L´altitude s’est révélée être un facteur écologique très discriminant, en séparant clairement les communautés arbustives des forêts des hautes montagnes. Au niveau des zones de basses altitudes, la fertilité, l´acidité et la perturbation anthropique jouent un rôle déterminant dans la distribution des communautés végétales arbustives. Cette distribution semble exprimer la dynamique de la végétation selon un gradient de conservation-perturbation. En conclusion, l´étude souligne l´intérêt remarquable que présentent les forêts du nord du Maroc, du point de vue de leurs significations écologiques, biogéographiques et évolutives.Mots clés. Péninsule tingitane, diversité, écologie, strate arbustive, substrat gréseux.RESUMEN. Estructura y diversidad del estrato arbustivo de bosques de la Península Tingitana (Marruecos). Se estudian las comunidades arbustivas de los bosques que se presentan sobre la formación de arenisca de la Península Tingitana en el noroeste de Marruecos. Se analiza la estructura y diversidad de estas comunidades en base a 98 muestras representativas. Los alcornocales (Quercussuber) son las formaciones forestales más representativas y más diversificadas en el área de estudio. La altitud es el principal factor ecológico, separando nítidamente las comunidades arbustivas de los bosques de zonas altas, según el análisis de correspondencia canónica (CCA). Por otro lado, en los bosques de zonas bajas, la distribución de las comunidades arbustivas viene determinada por el grado de fertilidad y acidez del suelo, y por la perturbación antrópica. Esta distribución parece reflejar la dinámica de la vegetación según un gradiente de conservación – perturbación. Por último, el estudio Cellellama la atención sobre el gran interés que presentan los bosques del norte de Marruecos, desde el punto de vista ecológico, biogeográfico y evolutivo.Palabras clave. Península Tingitana, diversidad, ecología, estrato arbustivo, areniscas.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Dourma, Marra, Kperkouma Wala, Ronald Bellefontaine, Komlan Batawila, Kutzo-Atsu Guelly, and Koffi Akpagana. "Comparaison de l'utilisation des ressources forestières et de la régénération entre deux types de forêts claires à Isoberlinia au Togo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, no. 302 (2009): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20400.

Full text
Abstract:
Une étude ethnobotanique sur un échantillon de 135 personnes a permis de définir le rôle de l'homme et les utilisations des ressources végétales au sein des forêts claires à Isoberlinia du domaine soudanien au Nord-Togo. Les caractéristiques structurales et les modes de régénération ont été étudiés sur 28 placeaux de 20 x 20 m installés dans six forêts villageoises à accès libre et 28 autres placeaux situés dans la réserve de faune d'Alédjo ayant un statut de protection. La matrice " utilisations x personnes enquêtées " a été soumise à la classification ascendante hiérarchique grâce au logiciel Statistica 6.0. Elle a permis de confirmer le rôle écologique, agricole, économique et vital des ressources végétales à 35 % de dissemblance. Le mode actuel d'exploitation des forêts locales compromet leur pérennité, surtout en l'absence de mesures de sauvegarde. La richesse spécifique est assez semblable dans les deux types de forêts claires. Les indices de Shannon (3,77 bits) et d'équitabilité de Piélou (0,68) sont plus élevés dans les forêts protégées que dans celles à accès libre (3,31 bits ; 0,53). Ce qui suggère que l'absence d'activités anthropiques favorise une meilleure conservation de la diversité des forêts qui se régénèrent par semis, par rejets de souche et par drageons. La densité (475 tiges/ha), la surface terrière (15,2 m²/ha), le diamètre moyen (23,9 cm) et la hauteur moyenne (15,5 m) des arbres sont plus élevés dans les forêts protégées que dans celles non protégées (300 tiges/ha ; 13,9 m²/ha ; 18,8 cm ; 11,9 m). (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Traore, El Hadji, Cheikh Alassane Fall, Djby Dia, Dingamgoto Jesse Barde, Séga Ndao, and Cheikh Sall. "Ressources fourragères, affourragement et pâturage dans le Sud et à l’Est du Sénégal." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (2020): 940–48. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.23.

Full text
Abstract:
Les sécheresses successives, aggravées par les activités anthropiques et les effets du changement climatique, entrainent la disparition effrénée de plusieurs espèces végétales locales, adaptées selon les zones avec une importance sociale et économique avérée pour nos campagnes. Si le rythme de disparition noté n’est pas stoppé ou freiné, il s’en suivra la perte de l’essentiel de nos ressources végétales céréalières, fourragères et forestières locales. Certes, la recherche agricole s’évertue à trouver des solutions pour disposer de nouvelles variétés végétales adaptées. Mais, ce n’est pas toujours le cas pour les espèces fourragères. Ainsi, dans le cadre des activités de recensement et de collecte multi-spécifiques de ressources phytogénétiques pour l’alimentaire et l’agriculture, une synthèse spécifique a été consacrée au ressources fourragères des zones visitées. L’objectif visé est de recensé les ressources fourragères (naturelles ou cultivées) disponibles et leur méthode de gestion. Il ressort que les méthodes et le niveau d’exploitation des ressources fourragères naturelles et des résidus de récolte diffèrent d’une zone à l’autre. Le parcours naturel plus ou moins bien fourni dans les régions sud et est, constitue la principale ressource alimentaire des animaux au niveau de toute la zone d’étude. Les résidus de récolte bien qu’abondants et variés, ont peu d’intérêt chez les éleveurs du sud du Sénégal où la diversité qui est l’indice de qualité et le volume des pâturages sur le parcours naturel sont abondants. Certes, l’inventaire des espèces fourragères ne peut se faire selon la même méthodologie que celle des espèces agricoles et maraîchères. Mais, la photographie obtenue devrait servir de guide à un recensement des espèces fourragères herbacées et ligneuses les plus consommées sur le parcours naturel, tout en étudiant les méthodes de conservation et de production des espèces recensées afin, de dégager les meilleures méthodes de gestion et d’utilisation durable.Mots clés : Ressources fourragères, régions sud et est du Sénégal, ligneux et herbacés, résidus de culture. English Title: Forage resources, feeding and grazing in the South, and East of SenegalSuccessive droughts, aggravated by anthropogenic activities and the effects of climate change, lead to frantic disappearance of several local plant species, adapted according to the areas, and with proven social and economic importance for our countryside. If the rate of disappearance noted, is not stopped or slowed, it will follow the loss of most of our local grain, fodder and forest plant resources. Certainly, agricultural research is struggling to find solutions to have new adapted plant varieties; this is not always the case for forage species. Thus, within the framework of multi-specific census and collection activities of plant genetic resources for food and agriculture, a specific summary was devoted to the fodder resources of the areas visited. The objective is to identify the fodder resources (natural or cultivated) available and their management method. It appears that the methods and level of exploitation of natural fodder resources and crop residues differ from one area to another. The more or less well supplied natural route in the south and east regions constitutes the main food resource for animals throughout the study area. Crop residues, although abundant and varied, are of little interest to breeders in the south of Senegal where the diversity which is the quality index and the volume of pastures on the natural range are abundant. Of course, the inventory of fodder species cannot be done according to the same methodology as that of agricultural and market garden species. However, the photograph obtained should serve as a guide for a census of herbaceous and ligneous fodder species most consumed by animals on natural route, while studying the methods of conservation and production of the listed species; in order to identify the best methods of management and sustainable use.Keywords: Fodder resources, southern and eastern regions of Senegal, ligneous and herbaceous plants, crop residues.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

YIANNIKOURIS, A., and J. P. JOUANY. "Les mycotoxines dans les aliments des ruminants, leur devenir et leurs effets chez l’animal." INRAE Productions Animales 15, no. 1 (2002): 3–16. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2002.15.1.3683.

Full text
Abstract:
Les mycotoxines sont des métabolites secondaires sécrétés par des moisissures appartenant principalement aux genres Aspergillus, Penicillium et Fusarium. Elles sont produites sur une large variété de denrées alimentaires avant, pendant et après récolte. En raison de la diversité de leurs effets toxiques et de leurs propriétés synergiques, les mycotoxines présentent un risque pour le consommateur d’aliments contaminés. Le métabolisme des mycotoxines est complexe et comprend plusieurs voies de bioactivation et de détoxication régies par des mécanismes de biotransformation résultant de l’action d’enzymes de l’hôte et de la flore microbienne présente dans le tube digestif. Une partie des toxines ou de leurs métabolites peut se fixer dans les tissus biologiques ; la majorité est éliminée par voie urinaire, fécale et lactée. Des différences de sensibilité sont observées entre espèces animales. Chez les ruminants, la toxicité se manifeste généralement par des troubles chroniques légers et n’aboutit que rarement à la mort. Une diminution de l’ingestion et des performances zootechniques est généralement observée. Le problème de la présence éventuelle de résidus toxiques se pose pour les produits animaux destinés à la consommation humaine (lait, viande, abats). La réduction des risques passe par un contrôle de la contamination fongique des végétaux résultant de la maîtrise des méthodes de culture, de récolte et de conservation, par des techniques d’élimination des toxines sur l’aliment contaminé, et par une réduction de leur biodisponibilité dans le tractus digestif des animaux par l’emploi d’adsorbants.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

RYSCHAWY, J., M. BENOIT, N. HOSTIOU, and C. DELFOSSE. "Quelles concurrences et synergies entre cultures et élevage dans les territoires de polyculture-élevage ?" INRA Productions Animales 30, no. 4 (2018): 363–80. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2266.

Full text
Abstract:
Associer productions animales et végétales conférerait des bénéfices économiques, sociaux et environnementaux aux exploitations par rapport à la spécialisation. Malgré ces intérêts potentiels, les exploitations de polyculture-élevage sont en déclin en U.E., en lien notamment avec un fort besoin de main-d’oeuvre pour combiner cultures et élevage et peu d’incitations politiques. L’objectif de cet article est de montrer en quoi les grandes cultures et l’élevage entrent en concurrence dans les territoires où ils cohabitent et de proposer des leviers d’actions pour favoriser des synergies. Pour cela, nous éclairerons la diversité des bouquets de services fournis par les systèmes de polyculture-élevage dans les territoires où cohabitent grandes cultures et élevage. Une analyse transversale de trois cas d’étude français (Montmorillonnais, Bresse et Tarn-Aveyron) montre que l’élevage est plus ou moins concurrencé par les grandes cultures en fonction des contextes locaux. Cette analyse nous permet de faire émerger i) des contraintes et opportunités pour la polycultureélevage, ii) des leviers d’action pour favoriser les synergies entre grandes cultures et élevage pour mieux gérer les compromis entre services dans les exploitations et les territoires. Au niveau des exploitations comme des territoires, les systèmes de polyculture-élevage offrent de nombreux leviers techniques pour favoriser la transition agroécologique. Tout d’abord, le chargement animal doit être adapté au potentiel des terres disponibles pour favoriser le lien au sol. Une réelle intégration entre grandes cultures et élevage permet d’augmenter l’autonomie des systèmes en intrants par deux leviers principaux : la diversification des assolements et des rotations et via la fertilisation organique des cultures et prairies. Aussi, une simple cohabitation de grandes cultures et d’élevage ne permet pas d’atteindre des objectifs agroécologiques ni au niveau des exploitations, ni au niveau des territoires. Des systèmes cultureséleevage gagnants-gagnants intégrant agroforesterie ou agriculture de conservation peuvent ouvrir de nouvelles pistes. Au niveau des territoires, les échanges entre céréaliers et éleveurs peuvent être considérés. Des voies d’améliorations organisationnelles et des choix politiques sont susceptibles d’accroitre les interrelations entre cultures et élevage au niveau de l’exploitation et du territoire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Diversité végétale – Conservation"

1

Damien, Maxime. "Favoriser les ennemis naturels de ravageurs par la diversité végétale dans un contexte hivernal." Thesis, Rennes 1, 2018. http://www.theses.fr/2018REN1B027/document.

Full text
Abstract:
L’agriculture intensive et les changements climatiques ont profondément modifié la biodiversité et les systèmes d’interactions trophiques dans les paysages agricoles, entrainant la perte de services écosystémiques tel que le contrôle biologique de ravageurs. La lutte biologique par conservation vise à restaurer la complexité des réseaux trophiques au sein des terres cultivées par l’utilisation de la diversité végétale et la mise en place d’aménagements fonctionnels. Ces travaux de thèse ont cherché à identifier, par des expériences en laboratoire et trois hivers de suivi des populations, comment la diversité végétale et son aménagement pendant la saison hivernale pouvait favoriser les ennemis naturels des pucerons dans les grandes cultures céréalières de l’ouest de la France. Les études en laboratoire ont montré que la diversité floristique cultivée dans les couverts hivernaux devait faire l’objet d’une sélection fonctionnelle. En particulier il est nécessaire de combiner plusieurs espèces, alliant attractivité et profitabilité pour les insectes parasitoïdes de pucerons présents dans la mosaïque agricole durant l’hiver. A l’échelle des parcelles cultivées, il a pu être démontré que l’augmentation des températures hivernales favorisait l’activité et la diversité des insectes parasitoïdes, mais aussi des prédateurs généralistes des communautés d’insectes de la faune du sol. La mise en place d’habitats fonctionnels par la sélection d’une diversité végétale adaptée à ces nouvelles conditions et aux besoins spécifiques de ces agents de bio-contrôle permet alors de promouvoir leur activité. En favorisant ces différentes guildes d’arthropodes pendant cette période de l’année, il pourrait être possible d’augmenter la pression précoce qu’ils exercent sur les populations de pucerons et de limiter le développement de ces dernières au printemps. L’ensemble des résultats obtenus suggère que la saison hivernale représente une période favorable au développement de méthodes durables pour la lutte biologique par conservation dans les régions au climat tempéré
Intensive agriculture and global warming induced deep modifications in the agricultural landscapes’ biodiversity and trophic system structures, resulting in the loss of several ecosystem services such as pest biological control. Conservation biological control aims to restore trophic systems’ stability within arable lands by using plant diversity and creating functional habitats for natural enemies. This thesis aimed at identifying how vegetal diversity and its management during the winter season could favor aphids’ natural enemies in cereal intensive agricultural landscapes from the west part of France. Laboratory research and a follow-up of populations over three consecutive winters led to significant results, further developed in this thesis. The experimental laboratory research showed that the selection of the flower diversity used in sown winter cover crops should take into account their functional traits. It is indeed necessary to use a variety of species, thus combining attractiveness and profitability for the aphid’s parasites present in the agricultural mosaic during wintertime. At the field scale, studies demonstrated that warmer winter conditions are also favoring the activity of generalist ground dwelling predators, as well as that of parasitoids. The implementation of functional habitats, through the selection of an adequate plant diversity better adapted to the changing climates and to the aphids’ natural enemies’ needs, allowed to support the ground predators’ activities. Consequently, their increased activity should contribute to the early regulation of aphid populations, allowing to decrease the intensity of their population dynamics during the growing seasons. The results obtained in this thesis suggest that winter constitutes a favorable period/season for the development of new methods within the conservation biological control framework/biological control framework for conservation in temperate climatic areas
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Salhi, Nadia. "Eléments de déterminisme de la diversité végétale des ilots boisés dans la région d'openfield (Brie francilienne)." Paris, Muséum national d'histoire naturelle, 1999. http://www.theses.fr/1999MNHN0024.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Meunier, Geneviève. "Le gaillet mollugine (Galium mollugo L.) envahisseur : analyse de sa répartition et de ses impacts sur la diversité végétale au parc national du Bic." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25467/25467.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Gourmelon, Véronique. "Formations végétales et diversité microbienne des substrats ultramafiques en Nouvelle-Calédonie, implication pour la conservation et la restauration écologique." Thesis, Nouvelle Calédonie, 2016. http://www.theses.fr/2016NCAL0009/document.

Full text
Abstract:
Les bactéries et champignons des sols sont impliqués dans différentes fonctions des écosystèmes terrestres. Ils sont notamment investis dans la formation des sols, la stabilité des agrégats et les successions végétales. La Nouvelle- Calédonie est un archipel subtropical, classé comme hotspot de biodiversité et dont un tiers de la surface est recouvert par les substrats ultramafiques. Ces milieux sont caractérisés par de faibles concentrations en nutriments (N, K, P) et de fortes concentrations en métaux lourds (Ni, Co, Cr, Mn). Les écosystèmes présents sur ces substrats sont originaux et diversifiés. Ils sont aussi fortement menacés par l’activité minière. Cependant, pour pouvoir correctement restaurer ces milieux et relancer les dynamiques végétales, il est important de connaître les communautés microbiennes associées à ces écosystèmes ainsi que les facteurs les structurant. Ce travail de recherche a permis d’améliorer nos connaissances sur les communautés microbiennes issues de différents écosystèmes des sols ultramafiques néo-calédoniens, ainsi que sur les interactions existantes entre ces microorganismes et les facteurs biotiques et abiotiques. Les résultats obtenus ont montré que chaque formation végétale et chaque site possèdent une communauté microbienne qui lui est propre, d’où l’intérêt de conserver et protéger les écosystèmes calédoniens. De plus, ces travaux ont aussi montré la capacité des communautés bactériennes et fongiques de servir de bio-indicateurs, et plus particulièrement les communautés fongiques qui sont plus sensibles aux perturbations et variations de la couverture végétale. Il a aussi été démontré qu’en maquis ou forêts monospécifiques, les communautésectomycorhiziennes possèdent des fonctions similaires dans la production d’enzymes de dégradation de la matière organique. Ces travaux ont permis une meilleure connaissance des communautés microbiennes associées auxformations végétales des substrats ultramalfiques ainsi que des facteurs les structurant. Cela devrait améliorer la mise en place des futurs chantiers de restauration de ces écosystèmes
Soil bacteria and fungi play different functions in terrestrial ecosystems. They are implicated in soil formations, aggregate stability, and plant succession. New Caledonia is a subtropical archipelago, classified as a biodiverse hotspot and a third of its surface is covered by ultramafic soils. These soils are characterised by low concentrations of nutrients (N, K, P) and high concentrations of heavy metals (Ni, Co, Cr, Mn). Ecosystems present in these soils are origina and diversified but strongly threatened by mining activity. It is a necessity to restore these ecosystems after ore exploitation. However, to correctly restorethese environments and relaunch plant dynamics, it is important to identify the microbial communities associated with these ecosystems as well as the structuring factors.This research enabled us to improve our knowledge of microbial communities from different ecosystems on New Caledonian ultramafic substrates, as well as the interactions which exist between these microorganisms and biotic and abiotic factors. Results obtained showed that each plant formation and each site possessed its own microbial community,hence the interest in conserving and protecting New Caledonian ecosystems. Moreover, these works also showed the capacity of bacterial and fungal communities to be used as bioindicators, and more particularly fungal communities which are more sensitive to disturbance and plant cover variations. It has also been demonstrated that in monospecific maquis and rainforests, ectomycorrhizal communities have similar functions in the production of degradative enzymes of organic matter. This research improved understanding of microbial communities associated with plant formations on ultramafic substrates as well as structuring factors. This should improve the implementation of future restoration projectson these ecosystems
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Vaquié, Agathe. "Diversité intra- et interspécifique dans les systèmes céréaliers et ses effets sur la régulation des ravageurs." Thesis, Paris, Institut agronomique, vétérinaire et forestier de France, 2019. http://www.theses.fr/2019IAVF0008/document.

Full text
Abstract:
Augmenter la diversité végétale au sein même du champ permet de réguler les populations de ravageurs dans de nombreux agroécosystèmes. Les mélanges variétaux (diversité intraspécifique) ou les associations de cultures avec une plante compagne (diversité interspécifique) sont considérées comme des pratiques agroécologiques prometteuses pour les systèmes de culture à bas intrants ou l'agriculture biologique. En effet, ces pratiques favorisent de nombreux services écosystémiques tels que la régulation des ravageurs, des maladies ou des adventices, ainsi que la fertilisation azotée. Cependant, le potentiel de régulation des ravageurs du blé par la combinaison de ces deux pratiques de diversification n'a pas encore été étudié.Nous avons combiné ces deux pratiques dans le cadre d'expérimentations menées en plein champ et sur deux saisons de culture, afin d'examiner leurs impacts sur les populations de pucerons et d'ennemis naturels. Nous avons également évalué le potentiel de régulation des ravageurs en mesurant les taux de prédation de proies sentinelles.La combinaison des diversités intra- et interspécifique n'est pas plus performante pour réduire les populations de pucerons que les pratiques prises séparément. L'association de culture blé-trèfle tend à être moins infestée par les pucerons, tandis que le mélange variétal est plus infesté que la variété la moins sensible. Les variations annuelles des conditions climatiques impactent fortement le développement du blé et du trèfle, ainsi que la date d'apparition du pic de puceron. Le rendement du blé, ainsi que le taux d'azote du grain sont réduits par l'association de culture par 7 à 10%, mais pas par le mélange variétal. La présence d'un couvert de trèfle dans les champs de blé, semble avoir favorisé la biodiversité fonctionnelle, particulièrement les ennemis naturels tels que les carabes, mais pas le mélange variétal. Les résultats sont variables selon la famille d'arthropodes concernée et leur position au sein du couvert végétal (au sol ou dans le feuillage). Le couvert de trèfle et le champ ont influencé la composition de la communauté de carabes prédateurs. Les taux de prédation des proies sentinelles n'ont pas été impactés par les pratiques de diversifications.En laboratoire, nous avons évalué comment l'association du blé avec des légumineuses (trèfle ou pois) pouvait modifier le comportement du puceron du blé Sitobion avenae en terme de location de sa plante hôte et du développement de la population. Les pucerons ont résidé moins de temps sur le blé quand il était associé à du trèfle. Les populations de pucerons se sont moins développées dans les associations du blé avec une légumineuse par rapport à du blé seul, mais si l'on prend en compte la biomasse du blé, seulement l'association blé-trèfle a considérablement réduit les densités de pucerons sur le blé. Ainsi l'espèce associée et sa densité sont des paramètres importants qui devraient être pris en compte dans les études sur la diversité interspécifique, car ils pourraient expliquer la grande variation dans les résultats rapportés par les analyses bibliographiques.Nos résultats suggèrent qu'augmenter la diversité cultivée au sein du champ peut aider à réguler les pucerons dans une certaine mesure, mais la combinaison des deux pratiques de diversification ne résultent pas en un trade-off entre la régulation des ravageurs et les performances agronomiques particulièrement attractifs pour les agriculteurs
Increasing intrafield plant diversity has been shown to regulate pest populations in various agroecosystems. Polyvarietal mixtures of a crop species (intraspecific diversity) or associations of a crop and a companion plant (interspecific diversity) are both considered as promising agroecological practices for low-input or organic agriculture systems by providing several ecosystem services such as pest, disease and weed control, and nitrogen fertilization. However, combining both diversification practices has not been studied yet in perspective of winter wheat pest control.In organic field experiments over two growing seasons, we combined both practices and examined the direct impact on aphid and natural enemy populations and on wheat production. We also investigated the potential pest regulation service through the assessment of the rate of predation by using sentinel preys.Results show that combining intra- and interspecific diversity did not outperform each practice individually in reducing aphid populations, thus not clearly showing synergetic effects. Taken separately, intercropping tended to have lower aphid infestation, while it the cultivar mixtures was more infested by aphids than the least susceptible cultivar. Yearly variation in climatic conditions strongly impacted wheat and clover development, as well as the appearance of aphid peaks. Wheat yields and grain nitrogen content were reduced in intercropping by 7 to 10%, but not in cultivar mixtures. Functional biodiversity, especially natural enemies such as ground beetles, tended to be positively correlated to the presence of a clover cover in the wheat fields (interspecific diversification), but did not respond to the wheat cultivar mixture (intraspecific diversification). Results varied according to the family of arthropods concerned and their position within the vegetation layer (ground dwelling or foliage dwelling arthropods). The cover of white clover and the field context influenced the community composition of predatory ground dwelling beetles. Rates of predation on sentinel preys were not influenced by any of the diversification practices.Under laboratory conditions, we evaluated how combining wheat and legumes (clover or pea) modifies the behaviour of the cereal aphid Sitobion avenae in terms of host-plant location, and population growth. We observed that aphids’ residence time on wheat was decreased when this host-plant was intercropped with clover. At the population level, wheat-legume intercrops reduced the number of aphids on wheat plants compared to wheat sole crops but if we take into account plant biomass, only intercropping clover with wheat significantly reduced aphid densities on wheat. The species used as non-host plants and their density are important parameters that should be taken into account in studies on intercropping systems and that may explain the large variability in the results observed in the literature.Our findings suggest that intrafield diversification may regulate wheat aphids to some extent, but combining the two diversification practices did not result in an interesting trade-off between pest regulation and wheat production in real farming conditions
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Wang, Yusha. "Contrôle biologique par conservation effets des plantes non cultivées sur les communautés d'arthropodes inféodées aux agrosystèmes." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2020. http://www.theses.fr/2020COAZ6047.

Full text
Abstract:
La lutte biologique par conservation manipule l’agro-écosystème et son environnement de manière à améliorer les performances des ennemis naturels (telles que la survie, la fitness ou le comportement) et ainsi optimiser leur efficacité contre les ravageurs. Les plantes non cultivées sont cultivées pour créer un environnement nuisible aux ravageurs et aux maladies et / ou bénéfique aux agents de lutte biologique. L'objectif de ce travail de doctorat était d’étudier comment les plantes non cultivées affectent les interactions entre les plantes cultivées, les herbivores et leurs ennemis naturels à la fois au niveau individuel (traits d'histoire de vie) et de la population (dynamique des populations). Dans un premier temps, nous avons analysé la littérature sur les plantes non cultivées et leur impact sur la performance des ennemis naturels. Les familles des Apiacées, Asteracées, Polygonacées, Brassicacées, Lamiacées and Fabacées sont ressorties comme étant les plus bénéfiques pour les ennemis naturels. Dans un deuxième temps, nous avons mené des études de terrain sur deux agro-systèmes basés sur le blé-maïs et la tomate au champ. Nous avons évalué l'impact de trois niveaux de diversité des plantes non cultivées sur le rendement des cultures des communautés d'insectes et il a été montré un effet fort de la diversité des plantes non cultivées sur le contrôle biologique et sur la dynamique temporelle des interactions naturelles ennemi-ravageur. La diversité des plantes non cultivées a eu un impact positif sur les niveaux trophiques supérieurs (ennemis naturels), la lutte biologique contre les ravageurs, la biodiversité communautaire et la stabilité du réseau trophique. Enfin dans un 3ème temps, nous avons montré par des tests en laboratoire que l'ajout de plantes non cultivées peut améliorer la longévité et / ou la reproduction de Harmonia axyridis, en absence de proies. Ces plantes non cultivées pourraient être des candidats à utiliser pour diversifier les agro-écosystèmes et stimuler le contrôle biologique
Conservation biological control is the deliberate manipulation of agro-ecosystems and their close environment to enhance the performance of natural enemies (e.g. survival, fitness, and/or behaviour) and thus improve their efficacy against pests. Non-crop plants are grown to create an environment that is detrimental to pests and diseases and/or beneficial to biological control agents. The aim of the Ph.D study was to disentangle how non-crop plants might affect interactions among crop plants, herbivores and their natural enemies at both the individual (life-history traits) and population (population dynamics) levels. We first reviewed the literature and did meta-analysis about the impact of non- crop plants on many natural enemy performance traits. Apiaceae, Asteraceae, Polygonaceae, Brassicaceae, Lamiaceae and Fabaceae families are found to be the most potentially beneficial plant family for natural enemies, carefully selecting and mixting non-crop plants are necessary to the promote biocontrol efficiency. Secondly, we evaluated the impact of three diversity levels of non-crop plants on insect communities. The studies were carried on two agrosystems based on wheat-maize and tomato in the field. The results showed a strong effect of increased diversity of non-crop plants on biological control and on the temporal dynamics of natural enemy-pest interactions. Non-crop plants diversity had a positive impact on higher trophic levels (natural enemies), biocontrol of pests, community biodiversity, food web stability, and crop yields. Thirdly, we found evidence of the adding of selected non-crop plants can enhance the longevity and/or reproduction of Harmonia axyridis in lab experiments and could be non-crop candidates used to diversify the agro-ecosystems to boost biological control
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Merck, Florence. "La biodiversité végétale au service des ingrédients naturels : étude des propriétés antimicrobiennes et antioxydantes d’extraits végétaux et développement d’un conservateur naturel pour l’industrie cosmétique." Thesis, Université Côte d'Azur (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017AZUR4118/document.

Full text
Abstract:
Cette thèse de doctorat a été réalisée dans le cadre du projet NATUBAVAL visant à découvrir de nouveaux conservateurs naturels pour l’industrie cosmétique, à partir de plantes issues d’un des hotspots mondiaux de biodiversité : le bassin méditerranéen. Dix-sept extraits ont ainsi été obtenus et évalués quant à leurs propriétés antimicrobiennes contre Staphylococcus aureus, Pseudomonas aeruginosa, Aspergillus brasiliensis et Candida albicans, ainsi que leur capacité antioxydante. Santolina chamaecyparissus a démontré des propriétés remarquables, et a été sélectionnée pour une étude plus approfondie. Une approche par fractionnement bioguidé a permis l’isolement du composé majoritaire de la fraction la plus active, également identifié comme actif : un spirokétal énol connu de la famille des polyacétylènes. Une optimisation de l’extrait brut d’intérêt a alors été entreprise dans le but de maximiser son activité et de faire face au challenge d’une transposition industrielle et de son incorporation dans un produit cosmétique. En définitive, cette étude introduit une stratégie de développement d’un ingrédient naturel pouvant potentiellement être utilisé comme une alternative aux conservateurs de synthèse dans les produits cosmétiques
This PhD thesis is part of the NATUBAVAL project that aims at discovering new natural preservatives for the cosmetics industry, issued from one of the world’s biodiversity hotspots: the Mediterranean Basin. Seventeen plant extracts were obtained and screened for their antimicrobial properties against Staphylococcus aureus, Pseudomonas aeruginosa, Aspergillus brasiliensis and Candida albicans and their antioxidant capacity. Santolina chamaecyparissus extract was found to present superior properties and selected for further investigation. A bioguided fractionation permitted to isolate the major compound of the most active fraction, that was identified as the active compound, a known spiroketal enol from the polyacetylenes family. An optimization of the crude extract of interest was then performed in order to maximize its activity and to face the challenge of an industrial scale-up and its incorporation in a cosmetic formulation. Finally, this study introduces a natural ingredient development strategy that might potentially be used as an alternative to synthetic preservatives in cosmetics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Derrouch, Damien. "Adoption de l’agriculture de conservation : adaptations agronomiques et réponses des communautés adventices." Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2020. http://www.theses.fr/2020UBFCK052.

Full text
Abstract:
L’agriculture de conservation regroupe un ensemble de systèmes agricoles basés sur une application continue et simultanée de trois principes : une perturbation minimale du sol, une couverture végétale permanente de la surface du sol et une rotation diversifiée. Cette forme d’agriculture qualifiée de durable a été adoptée en France par les agriculteurs à partir des années 2000. Son adoption par les agriculteurs est freinée par un certain nombre de contraintes dont le développement et la gestion des adventices. En effet, d’un point de vue agronomique, l’adoption de l’agriculture de conservation se traduit pour les agriculteurs par une perte importante des leviers de gestion de la flore adventice liés à l’abandon du travail du sol. De même, d’un point de vue écologique, sa mise en application, en modifiant l’ensemble des processus d’assemblage qui agissent sur les communautés adventices, peut permettre l’émergence ou l’amplification de certains problèmes malherbologiques.Pour pallier au manque de connaissances existantes sur le sujet, nous nous sommes intéressés à 1) la manière dont les agriculteurs en agriculture de conservation adaptent leurs pratiques culturales et en particulier leur gestion de la flore adventice et 2) comment les communautés adventices répondent à une application continue des principes de l’agriculture de conservation. Pour répondre à nos objectifs, deux dispositifs ont été mis en place, l’un national au travers d’une enquête sur les pratiques utilisées par les agriculteurs français en agriculture de conservation et l’autre en Bourgogne Franche Comté sur un réseau de parcelles d’agriculteurs en agriculture de conservation avec un suivi sur deux années des pratiques et de la flore adventice.Bien que les adaptations de la gestion des adventices puissent varier d’un agriculteur à l’autre, nos résultats ont montré que les agriculteurs en agriculture de conservation compensent l’abandon du travail du sol par l’utilisation plus importante des leviers de gestion liés au désherbage chimique (notamment en interculture) et à la compétition (couverts végétaux, densité de semis). L’utilisation maitrisée des leviers de gestion des adventices permis par l’adoption des trois principes de l’agriculture de conservation et en particulier l’optimisation de la rotation, n’intervient qu’après plusieurs années (en moyenne 5 ans) pour une majorité des agriculteurs.L’adoption de l’agriculture de conservation se traduit pour les communautés adventices par une modification des contraintes environnementales et biologiques qui agissent sur les processus d’assemblage des communautés, permettant ainsi progressivement à de nouvelles espèces de s’y établir. L’application de l’agriculture de conservation tend, à long terme, à faire converger la composition taxonomique (les espèces) et fonctionnelle (les traits) des communautés adventices qui s’expriment dans les parcelles. Cette convergence est néanmoins modulée par les conditions locales : la flore observée sur une parcelle dépend de la durée d’application de l’agriculture de conservation et de la culture mise en place. Les changements de composition de la flore les plus importants apparaissent sur les parcelles de plus de dix ans en agriculture de conservation.Dans un contexte global de diminution de l’utilisation de pesticides, et au vu de l’importance des herbicides de synthèse dans la gestion des adventices, la durabilité de l’agriculture de conservation pourrait être remise en question dans un avenir proche
Conservation agriculture is a farming system based on the continuous and simultaneous application of three principles: minimal soil disturbance, continuous residue cover on the soil surface and diverse crop rotations. Adoption of this form of sustainable agriculture in France since the 2000s has been hampered by a number of constraints, including the development and management of weed populations. From an agronomic point of view, the adoption of conservation agriculture and associated abandonment of tillage results in a significant loss of weed management practices for farmers. From an ecological point of view, its application can modify all the assembly processes that act on weed communities.To address the lack of existing knowledge on the subject, we were interested in 1) how farmers using conservation agriculture adapt their cropping practices and their weed management and 2) how weed communities respond to a continued application of conservation agriculture principles. To meet our objectives, two survey designs were used: a national online survey of application of conservation agriculture practices and a regional survey of a network of farm plots applying conservation agriculture in Bourgogne-Franche-Comté.Although adaptations of weed management practices may vary between farmers, the results showed that farmers using conservation agriculture compensate for the abandonment of tillage by employing different management practices related to chemical weeding (especially during the intercropping period) and plant competition (cover crop, combined/companion crops, sowing rate optimization). The mastered use of weed management practices following the principles of conservation agriculture, particularly the optimization of crop rotation, tends to be achieved only after several years (average 5 years) for a majority of farmers.For weed communities, the adoption of conservation agriculture results in a modification of the environmental and biological constraints that act on community assembly processes, thus gradually allowing new species to become established. The long-term application of conservation agriculture tends to result in the convergence of the taxonomic (species) and functional (traits) composition of the weed communities. This convergence is nevertheless modulated by local conditions: the weed flora occurring on a plot depends on the duration of the application of conservation agriculture and the identity of the crop established. The greatest taxonomic and functional shift in the weed community occurred following 10 years of conservation agriculture.In an overall context of policies aimed at decreasing pesticide use, and given the current importance of synthetic herbicides in weed management, the efficacy of conservation agriculture in controlling weeds may be questioned despite the very significant investment made by farmers in this system that aims to contribute to a sustainable agriculture
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Saint-Pierre, Louise. "Le patrimoine à la carte : individualisation, réflexivité et globalisation dans le processus de patrimonialisation du végétal domestique au Québec." Master's thesis, Université Laval, 2007. http://hdl.handle.net/20.500.11794/19081.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Pouget, Marine. "Comment préserver l'héritage évolutif singulier des végétaux endémiques méditerranéens ?" Thesis, Aix-Marseille, 2014. http://www.theses.fr/2014AIXM4338/document.

Full text
Abstract:
Les patrons de diversité sont des états temporaires d'une dynamique de changements écologiques et évolutifs. Les politiques de conservation doivent intégrer cette dynamique et les priorités de conservation s'orienter vers les processus qui produisent et maintiennent cette diversité. Préserver la biodiversité, sans mesurer toutes ces facettes, nécessite de rechercher des substituts biologiques ou écologiques. Une démarche originale est d'évaluer la capacité de la phylogéographie à définir ces substituts. En effet, la phylogéographie permet de fournir des indices sur les zones de diversification et sur les entités (e.g. evolutionary significant units) qui soutiennent celles-ci au niveau intraspécifique. L'objectif général de ce travail est d'évaluer, en terme de cibles et de substituts, l'apport de la phylogéographie à la conservation de la flore méditerranéenne. Nos analyses s'appuient sur deux zones d'étude en région Provence-Alpes-Côte d'Azur intégrant deux plantes endémiques restreinte: le littoral des Alpes maritimes et l'endémique Acis nicaeensis, la basse Provence calcaire et l'endémique Arenaria provincialis. Chez Arenaria provincialis, les résultats montrent une répartition spatiale des phénomènes de persistance et de divergence et le rôle clé de la phylogéographie dans la recherche des critères optimaux de planification des actions de conservation. L'originalité génétique et écologique des populations d'Acis nicaeensis est mise en exergue à faible échelle. Leurs vulnérabilités face à l'urbanisation appellent à des actions de conservation ciblées sur des surfaces restreintes afin de préserver l'héritage évolutif de l'espèce
Diversity patterns are temporary state in a dynamic continuum of ecological and evolutionary changes. Thus, conservation policies have to integrate this dynamics and Conservation priorities have to be oriented towards the processes which generate and maintain diversity. Conserving biodiversity without needing to measure all its different components, it is necessary to search for biological and ecological surrogates. An original approach is to assess the capacity of phylogeography to define these surrogates. Indeed, the phylogeography allows providing indices for diversification zonation and can be used to delineate the units (e.g. evolutionary significant units) that support diversification at intraspecific level. The main objective of this work is to evaluate, in terms of targets and surrogates, the role of phylogeography for conservation of the Mediterranean flora. We based our analyses on two study areas of the South-East France harbouring two endemic species: the coastal ranges of Maritime Alps where Acis nicaeensis grows, and the calcareous Provence where Arenaria provincialis is found. The phylogeography of Arenaria provincialis revealed a spatial distribution of persistence and divergence. Our study highlights the critical role of phylogeography in the search for optimal criteria for defining the conservation strategies. The marked differences of genetic and ecology in populations of Acis nicaeensis but also in terms of its vulnerability to urbanization are highlighted in a local scale. The results demonstrate the need of conservation actions designed for small areas to avoid the loss of Acis nicaeensis evolutionary legacy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources

Books on the topic "Diversité végétale – Conservation"

1

(Foreword), Daniel H. Janzen, Gary A. Krupnick (Editor), and W. John Kress (Editor), eds. Plant Conservation: A Natural History Approach. University Of Chicago Press, 2005.

APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography