Academic literature on the topic 'Doctrine de l'Église'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Doctrine de l'Église.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Dissertations / Theses on the topic "Doctrine de l'Église"

1

Audoyer, Jean-Pierre. "L'Église et le management de l'entreprise : les applications de la doctrine sociale de l'Église à l'entreprise." Rennes 1, 1994. http://www.theses.fr/1994REN11027.

Full text
Abstract:
L'entreprise ne vit plus aujourd'hui sous l'ere du soupcon, rehabilitee dans l'esprit de nos contemporains, elle l'est aussi dans l'eglise de jean-paul ii (centesimus annus). Mais cette rehabilitation s'accompagne de quelques malentendus. Le management est aujourd'hui en crise, apres les modeles aux pre-supposes utilitaristes (taylor, l'ecole systemique. . . ) qu'a connus l'entreprise, il semblait pourtant que l'avenement de l'entreprise du "3eme type" avait marque un tournant. En effet, ce modele converge avec la plupart des themes catholiques : participation, delegation, ethique, etc. . . Mais cette crise est une crise de nature productiviste. L'eglise, parce qu'elle subordonne son enseignement rationnel a la morale evangelique (cf. "le travail et la propriete") est a meme de prevenir de telles derives. Ainsi, c'est en differenciant l'interet general (vouloir vivre ensemble) du bien commun (respect mutuel de la dignite de chacun) qu'on peut seulement apprehender la veritable nature de la doctrine sociale catholique sur l'entrprise. Ainsi, la delegation releve comme la solidarite de l'interet general alors qu'il en va autrement de la subsidiarite et de la charite qui appartiennent comme la justice sociale au bien commun, ces dernieres en constituant l'inspiration morale. L'entreprise-communaute que preconise l'eglise prend en compte cette dimension du bien commun. En derniere analyse, la fonction sociale de l'eglise apparait comme de nature plus utopique qu'ideologique<br>In france, companies are no longer viewed with suspicion. They have been rehabilitated, not only in contemporary minds, but also in the eyes of the church, headed by john paul ii (centesimus annus). This rehabilitation, however, is accompanied by misconceptions and management is in a state of crisis. After the supposed utilitarian models (taylor, the systemic school, the school of human ressources. . . ), it seemed that "third type" companies (those in "search of exce llence) had reached a turning point. Indeed, this model coincides with most of the themes of the catholic church : participation, delegation, morals, etc. . . The crisis however is one of productivism. Since the catholic church's rational teaching is subordinated to evangelical morals (the catholic church's doctrine with reference to work and property), she should have been able to prevent such ideological deviation. Only in making the distinction between the "common interest" (the need to live together in harmony) and the "common good" (mutual respect), is it possible to appreciate the true nature of the catholic church's social doctrine with reference to financial enterprises. Thus, "delegation", as is "solidarity", is a funtion of "common interest", whilst the confidence placed in those to whom work is delegated, that is subsidiarity, are quite different, belonging, as does "social justice" or charity to the concept of "common good", these latter constitute the morale inspiration of who delegates
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Laurent, Bernard. "La doctrine sociale de l'église : une lecture critique de l'idéologie libérale." Paris 1, 2003. http://www.theses.fr/2003PA010032.

Full text
Abstract:
L'objet de cette recherche vise à monter que la doctrine sociale de l'Eglise défend une pensée critique de " l'idéologie libérale ", entendue comme le système de pensée des Lumières, et par voie de conséquence du libéralisme économique, considéré comme le mode de régulation de la société moderne de liberté. La thèse met en évidence, depuis la " rupture des Lumières ", la permanence d'un affrontement, dont les formes évoluent selon les périodes, sans être jamais réduit sur le fond. Elle se déroule selon un plan chronologique en quatre parties : la première partie présente les enjeux idéologiques de la doctrine sociale de l'Eglise ; la deuxième partie analyse les encycliques de Léon XIII et de Pie XI, qui portent la tradition intransigeante sur le terrain social ; la troisième partie défend la permanence de l' intransigeantisme dans les encycliques conciliaires de Jean XXIII et de Paul VI, même si la forme de l'opposition est plus mesurée ; la quatrième partie évoque le retour à catholicisme plus offensif avec Jean-Paul II. Le résultat de la thèse confirme la lecture idéologique de la doctrine sociale de l'Eglise. Le magistère ne doit pas être interprété comme un appel au discernement, mais bien plutôt comme une résistance à la culture moderne dominée par la sphère économique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Vieira, Domingos. "La notion de coniunctio et de solidarietas dans l'enseignement social de l'Église catholique au XIXème et XXème siècle : les fondements historiques, sociologiques, philosophiques et éthiques de la notion de solidarité dans les encycliques sociales de l'Église catholique." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040058.

Full text
Abstract:
Prenant comme point de départ l'hypothèse que la notion de solidarité (coniunctio et solidarietas) dans l'enseignement social de l'Eglise catholique connaît un réseau d'influences et d'héritages historiques, philosophiques, sociologiques, éthiques, cette étude se propose de montrer la continuité et la rupture entre le concept de solidarité né en France au XIXème siècle, l'usage du concept par le solidarisme chrétien, l'idée de solidarité popularisée en Pologne au début des années 1980 et la notion de solidarité de Jean-Paul II dans ses encycliques sociales. En mettant en valeur le comment et le pourquoi de l'appropriation de la notion de solidarité dans l'enseignement social de l'Eglise cette étude s'emploie à faire comprendre sa signification dans l'enseignement social de l'Eglise et son intérêt pour l'éthique sociale chrétienne lorsque Jean-Paul II la définit en tant que " vertu " (1987) et en tant que " principe éthique " (1991)<br>Taking as a starting point the hypothesis that the notion of solidarity (coniunctio and solidarietas) in the social teaching of the Catholic Church is related to a network of historical, sociological, philosophical and ethical influences and legacies, the purpose of the present study is to establish the continuity and the rupture between the concept of solidarity, born in France in the 19th century, the use of the concept by the Christian solidarism, the idea of solidarity as made popular in Poland in the early 1980's and the notion of solidarity as used by John-Paul II in his social encyclicals. For a successful conduct of this work, a genealogical review of how the concept of solidarity emerged in the secular and in the Christian thoughts was realised. By underlining the how and the why of the appropriation of the notion of solidarity in the social teaching of the Church, this study aims at having its meaning understood in the social teaching of the Church as well as its interest for the Christian social ethics, when John-Paul II defines it as a "virtue" (1987) and as an "ethical principle" (1991)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Tiankavana, Odilon. "L' examen de l'allocation personnelle à la lumière de la doctrine sociale de l'église." Aix-Marseille 3, 2007. http://www.theses.fr/2007AIX32022.

Full text
Abstract:
Face à la persistance du chômage, de la pauvreté et de l’exclusion, des difficultés de réinsertion pour les plus démunis et de l’érosion du lien social, les aptitudes du système français à faire sortir d’une « crise » économique et sociale sont contestées. Dès lors, on propose un autre dispositif d’assistance à travers un mécanisme de redistribution des aides sociales appelé « allocation personnelle ». Dès lors, la doctrine sociale de l’Église à qui l’on reproche son manque de réalisme et le vague dans son intervention sur les questions sociales et économiques, n’a-t-elle pas une opportunité à saisir dans ce dispositif compte tenu de certaines affinités philosophiques. C’est en tout cas la question que nous nous posons dans cette thèse. Pour mieux répondre à cette question, nous avons analysé dans un premier temps la doctrine sociale de l’Église et ses principes de la vie sociale. Cette doctrine est exprimée dans les encycliques et les discours des papes, ainsi que les documents des conciles et des épiscopats. Ces principes de justice, l’Église les puise dans l’enseignement du Christ et ses traditions. La justice vise en premier lieu la généralité et l’universel en s’exprimant dans la loi. Alors que la charité peut exprimer le désintéressement et la générosité de chacun. Cependant, l’action caritative, telle qu’elle se donne à voir et à comprendre a son caractère essentiellement ponctuel et gratuit. En tant que principe éthique et social, il faut mettre en œuvre institutionnellement la solidarité dans l’organisation. Car, la vie sociale requiert une organisation très variée et des fonctions fort diverses. D’ailleurs, une solidarité qui ne serait pas universelle ne ferait que constituer des groupes antagonistes et susciter des rivalités voire des oppositions violentes. Par conséquent, avec la solidarité il faut viser l’égalité, l’impartialité dans la mesure où des institutions se révèlent capables d’établir des solidarités et construisent et perpétuent l’ordre social. Pour notre part nous soutenons que la solidarité et la charité restent complémentaires. Dans une deuxième partie, nous avons examiné dans quelle mesure l’allocation personnelle, étant, comme nouvel dispositif de redistribution des aides sociales, conçu pour lutter contre la pauvreté proposée par A. Leroux satisfait cette complémentarité et est compatible avec la doctrine sociale de l’Église. L’allocation personnelle est égale pour tous. Ainsi, l’unique fonction de chaque mutuelle est la redistribution des allocations de base à ses membres car l’allocation de base n’est pas versée directement à la personne mais à la mutuelle de redistribution à laquelle la personne a choisi d’adhérer. Ce dispositif engage tout un travail d’accompagnement qui privilégie une relation de proximité à travers ce que A. Leroux appelle un dialogue confidentiel. Dans cette lutte contre la pauvreté, la doctrine sociale de l’Église se trouve en dialogue avec l’allocation personnelle par intermédiaire de la philosophie personnaliste d’E. Mounier. Par ailleurs, l’Eglise possède une solide expérience en ce domaine social et elle saurait évaluer la pertinence de cette initiative si elle était mise en œuvre. Elle suscite et accompagne les gestes de charité et les démarches de solidarité avec beaucoup d’intelligence en privilégiant le dialogue dans des relations de proximité. Nul doute que le projet de l’allocation personnelle s’inscrit dans cette logique de participation où le rôle des bénévoles demeure essentiel. Notre conclusion mentionne les limites de l’allocation personnelle et propose des mesures notamment celle de dépasser la solution monétaire pour mieux remédier aux causes profondes de la pauvreté dont les caractéristiques sont multidimensionnelles. Quant aux mutuelles de redistribution, elles peuvent être un espace du lien social et du partage de connaissance ainsi que de l’auto-accomplissement<br>Given the persistence of unemployment, poverty, exclusion and the difficulties encountered when trying to reintegrate the most deprived, the capacity of the French approach to tackle this social and economic « crisis » are put into question. For this reason, a growing number of scholars propose another device, based on a redistribution mechanism of social assistance called « personal basic income ». But, in this case, doesn't the social teaching of the church, which is accused of « missing realism » or « vagueness » when dealing with social and economic issues, have an opportunity to seize given certain philosophical affinities? This is the question we would like to answer in this work. First, in order to deal with this question, we have examined the social teaching of the church as well as its principles regarding social life. Web find this in the encyclical, in several papal discourses as well as in some documents issued by council and bischofsconference. These principles of justice are drawn from the tradition of Social teaching. The first thing to note is that this conception of justice aims at the type of universality which expresses itself in the Law. But, Charity expresses itself in the indifference and generosity of each and everyone. However, charitable action, as it is commonly understood, has a « specific » and « free » character. As a social and ethical principle one needs to institutionalise solidarity because social life is a varied organisation and responds to diverses objectives. Moreover, a solidarity which would not be conceived in a universal manner would just be understood differently in different groups and provoke violent competitive behaviour. As a consequence, solidarity and equality (or impartiality) should not be viewed independently of each other to the extent that it is the task of institutions to establish solidarity and the social order. As far as we are concerned we defend the idea that solidarity and charity are complementary. In the second part of this work, we examined whether the personal basic income, proposed by A. Leroux, as a new distribution scheme aimed to tackle poverty can do justice to this complementarity and to what extent it can be viewed as being compatible with the social teaching of the church. The personal basic income is the same for each and everyone. As such, the only task of a mutual insurance company is to redistribute the basic income among its members as the basic income is not given directly to the person, but to the mutual insurance company she chose to adher to. This device requires a close monitoring through a « proximity relation» which expresses itself in a confidential dialogue, as A. Leroux calls it. In the fight against poverty, the social teaching of the church and the device of the personal basic income may be seen as being connected via the personnalist philosophy of E. Mounier. In addition, the church possesses a solid experience in the social domain and, if implemented, would be able to evaluate of the relevance of this device. The church accompanies charitable acts as well as acts performed out of solidarity in an intelligent way by focusing on the dialogue in relations which can be characterized by proximity. No one doubts that the project of personal basic income is based upon a similar logic, notably where participation and benevolence is essential. Our conclusion highlights some limitations inherent in the personal basic income approach and proposes ways to avoid them, notably this involves going beyond the purely monetary solution in order to account for the deep causes of poverty which are multidimensional. As for the mutual insurance companies, they may become a place where the social link, exchange of knowledge and self-fulfilment can go hand in hand
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Beaucher, Richard. "Le travail contemporain dialogue entre la doctrine sociale de l'église et les sciences managériales." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2007. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/5209.

Full text
Abstract:
Avec les débuts de l'industrialisation, le travail humain s'est métamorphosé, transformant la vie individuelle et sociale. Devant les problèmes engendrés par une telle révolution du travail et la recherche toujours inassouvie d'efficacité et de rentabilité, on a vu naître et se développer la Doctrine sociale de l'Église dans un effort d'organisation du travail respectant la dignité inaliénable de la personne et favorisant la justice. Par ailleurs, bientôt, les sciences managériales sont apparues et se sont développées, se spécialisant progressivement en diverses disciplines. Cette recherche, motivée par l'état de crise dans lequel le travail contemporain se retrouve, met en dialogue la Doctrine sociale de l'Église et les sciences managériales. En juxtaposant des approches aussi différentes, nous voulons vérifier la qualité humaine des options de travail proposées dans leur rapport avec les besoins humains et donc dans une perspective de développement intégral de la personne et de la société.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Akplogan, Pamphile. "L'approche de la doctrine sociale de l’église catholique sur l’effacement de la dette des pays africains." Thèse, Université de Sherbrooke, 2014. http://hdl.handle.net/11143/5375.

Full text
Abstract:
MÉDITATION D'OUVERTURE, FORCE DE CONVICTION : Nous ne pouvons laisser à la génération qui vient une Afrique écologiquement naufragée, économiquement sinistrée, politiquement disloquée, socialement désintégrée, moralement désorientée, spirituellement désespérée. Le seul héritage que nous devons laisser à nos enfants pour le siècle qui vient, c'est : l'Afrique de la Vie, l'Afrique de l'Humain, l'Afrique de l'Espoir (Ka Mana, La nouvelle évangélisation en Afrique, Paris - Yaoundé, Karthala - Clé, 2000, pp. 26-27) En Afrique noire, les tâches d'Évangile s'inscrivent dans une région du monde où les puissances de l'argent ont décidé de faire de ce territoire de l'humanité une réserve d'esclaves et de main-d'œuvre à bon marché. Pour les Églises, la question posée par cette situation est claire : chaque jour, au nom de l'Évangile, écrire l'histoire de la libération effective des opprimés. (Jean-Marc Éla, Le cri de l'homme africain, Paris, L'Harmattan, 1993, p. 166) Cette tâche de libération incombe d'abord aux Africains eux-mêmes qui doivent faire leur propre autocritique face souvent à une mauvaise gouvernance que traduisent des comportements irresponsables que Jean-Paul II a appelés structures de péché. Ces comportements sont, notamment, la corruption et les détournements massifs de deniers publics. Pour y parvenir, il faudra travailler à construire une nouvelle conscience de l'homme noir.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Blancarte, Pimentel Roberto Javier. "Histoire de l'Église catholique au Mexique de 1938 à 1982 : la doctrine catholique face aux questions sociales et politiques." Paris, EHESS, 1988. http://www.theses.fr/1988EHES0034.

Full text
Abstract:
Apres la "guerre des cristeros" de 1926-1929, l'eglise catholique au mexique cherche des voies nouvelles pour combattre l'ideologie et le systeme social issus de la revolution mexicaine. A la suite d'une phase d'hostilite ouverte et de persecution anticlericale, l'eglise et l'etat retrouvent un accommodement entre 1936 et 1938 appelle modus vivendi. Ce modus vivendi ne subsiste que jusqu'au debut des annees cinquante, quand la hierarchie catholique decide de renouveler ses efforts pour contrecarrer la poussee du processus de secularisation et essayer de recuperer un modele social integral. En effet, l'eglise conteste l'hegemonie de l'etat issu de la revolution de 1910 et centre ses critiques du systeme sur trois demandes fondamentales: justice sociale, moralisation des moeurs et liberte religieuse. C'est dans l'integralite de ces demandes de l'eglise et de son projet social qu'il faut comprendre les actions des dirigeants catholiques face au projet seculaire de l'etat au mexique<br>After the war of cristeros (1926-1929) the catholic church in mexico sought new ways to combat the ideology and social system which resulted from the mexican revolution. Following a period of open hostility and anticlerical persecution the church ans state reached an unofficial understanding from 1936-1938, known as modus vivendi. This modus vivendi only survived until the beginning of the fifties when the catholic hierarchy decided to renew its efforts to counter the process of secularisation and to try to recover an integral social model. In fact, the church was contesting the hegemony of the state which resulted from the 1910 revolution and was focusing its criticism of the system on three basic demands: social justice, moralisation of life and customs and religious freedom. The actions of the catholic leaders regarding the secular program of the mexican state must therefore be understood in the context of the integrality of the church's social plan and of its demands
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

El, Hage Ranim. "L'arbitrage entre équité et efficacité dans l'entreprise socialement responsable selon la Doctrine Sociale de l'Eglise Catholique." Thesis, Paris 1, 2014. http://www.theses.fr/2014PA010007.

Full text
Abstract:
La DSE est née des premières actions caritatives catholiques et s'est consolidée grâce à la proclamation de textes pontificaux sur la dignité humaine au cœur de l'activité économique. Sans livrer un manuel scientifique d'utilisation, la DSE proclame des principes et oriente implicitement les comportements des agents économiques qui s'y réfèrent. Le études transversales entre la DSE et les filières de l'économie et de la gestion sont rares. La DSE, de son côté, ne proclame ni modèles ni stratégies d'entreprises précises. Une étude critique des principaux courants économiques, du courant de la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) ainsi que de certains modèles de management à la lumière de principes de la DSE permet d'identifier les postulats que la DSE approuve et ceux qu'elle réprouve en termes de respect de la dignité de la personne. La DSE s'adresse particulièrement aux patrons d'entreprise, principaux promoteurs de la répartition équitable de la valeur ajoutée entre parties prenantes, notamment s'ils aspirent à la pérennisation de leurs activités économiques. La DSE permet de justifier la cohabitation possible entre équité sociale et efficacité économique travers la conversion perpétuelle du progrès économique en développement humain. À travers l'universalité de se principes, la DSE est susceptible d'être acceptée par tous les hommes de bonne volonté. Des dirigeants de diverse origines culturelles construisent implicitement leurs objectifs et leurs lignes de conduite sur ces principes. Ils sont convaincus que la réussite de leurs affaires est étroitement liée à leur souci permanent de respecter le principe de la dignité humaine<br>The SDC was born from the first catholic charitable actions and was later consolidated by the proclamation of pontifical texts on the dignity of the human person within economic activity. Though not providing a scientific instruction manual, the SDC proclaims principles and implicitly orients the behavior of the economic agents who refer to it. Transversal studies linking the SDC to the scientific channels of economics and management are rare. The SDC, on its part, proclaims no precise models or strategies for enterprises. A critical study of the main economic currents, of the Corporate Social Responsibility (CSR) stream and of some management models in light of the SDC principles allows identifying the postulates approved by the SDC, as well as the ones disproved, with regard to personal dignity and human development. The SDC is particularly addressed to business executives, as they are the main promoters of an equitable distribution of the added value among the stakeholders, especially if they aspire at a perpetuation of their activities. This teaching allows the justification of a possible coexistence between social equity and economic efficiency. It proclaims that economic progress ought to be constantly converted into development of the common good. Thanks to the universality of its principles, the SDC is likely to be accepted by all people of good will. Business executives of diverse cultural origins implicitly build their objectives and set up their lines of action on these principles. They are convinced that success in their businesses is intimately connected with a permanent concern for respecting the ultimate principle of human dignity
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Bouflet, Joachim. "Institution et charisme dans l'Église de 1846 à nos jours : la question du jugement épiscopal sur les apparitions mariales modernes et contemporaines." Thesis, Bordeaux 3, 2014. http://www.theses.fr/2014BOR30014/document.

Full text
Abstract:
Le 4 novembre 1847, Mgr de Bruillard, évêque de Grenoble, institue une commission d'enquête destinée à préparer le jugement doctrinal qu'il doit porter sur l'apparition alléguée de la Vierge Marie à La Salette le 19 septembre 1846. S'il ne fait en cela que reprendre les règles classiques de l'Eglise en matière de discernement des esprits, il innove en définissant de façon rigoureuse le cadre canonique dans lequel doit s'exercer ce discernement, selon une procédure calquée pour partie sur celle préconisée en matière de canonisations par le De servorum Dei beatificatione et de beatorum canonizatione (1734-1738) de Prospero Lambertini, futur pape Benoît XIV. Pour exemplaire que se veuille cette procédure – adoptée par un nombre croissant d'évêques concernés par des faits d'apparitions dans leurs diocèses –, pour efficace qu'elle se révèle, elle se heurte rapidement à divers obstacles montrant ses limites, obstacles dont les moindres ne sont pas, au XXe siècle jusqu'au concile Vatican II, les interventions de plus en plus fréquentes du Saint Office auprès des évêques. Après Vatican II, une plus grande latitude sera laissée aux évêques, mais les répercussions au niveau mondial de certaines mariophanies amèneront la Congrégation pour la doctrine de la foi à édicter en 1978 des Normes générales, véritable feuille de route destinée aux évêques. Ces Normes seront néanmoins rendues bientôt inapplicables à cause de l'émergence de nouveaux types de mariophanies, dont la matrice est le “phénomène Medjugorje” (1981) : qualifiée d'apparition de rupture, cette mariophanie pose, par ses implications non seulement religieuses, mais également sociétales et même politiques, la question de la réaction de l'institution ecclésiale face à des faits et des attitudes qui, tout en se réclamant de l'Église, prétendent se soustraire pour partie à son jugement sous le prétexte d'une plus libre et immédiate insertion dans l'histoire actuelle des hommes, et où l'efficacité temporelle du phénomène le dispute à son authenticité spirituelle et à sa fonction ecclésiale, au risque de constituer le principal critère de jugement de la mariophanie<br>On the 4th of November 1847, Msgr de Bruillard, the Bishop of Grenoble, sets up a commis-sion of inquiry aimed at clearing the way for the doctrinal judgment he will have to pass on the alleged apparition of the Virgin Mary at La Salette on the 19th of September 1846. In doing so is merely applying once again the usual rules of the Church in matters pertaining to the discernment of spirits, but he actually does innovate by rigorously definiting the canonical framework within which this judgment must be exercised, following – in matters regarding the question of canonization – a procedure which, to some extent, faithfully reflected the one already favoured by the De servorum Dei beatificatione et de beatorum canonizatione (1734-1738) by Prospero Lambertini (the future pope Benedict XIV). Even though it aims to serve as a model (adopted by a growing number of bishops having to come to terms with events of apparitions in their dioceses), and however efficient it proves to be, this type of procedure soon meets with a variety of obstacles exposing its own limitations : among these obstacles one could not minimize the increasingly frequent interference of the Holy Office in its dealings with the bishops, before the Second Vatican Council. After the Council, the bishops are given more leeway, but the repercussions – on a world scale – of certain mariophanies will induce the Congregation for the Doctrine of the faith to edict in 1978 a set of general Norms, offering the bishops the guiding lines of a roadmap. Nevertheless, these norms will soon become inapplicable, in the face of newly emerging types of mariophanies, whose primary source is the 'Medjugorje case' (1981). Because of its implications – not just religious, but political and societal as well – this mariophany has been dubbed the breaking point apparition, raising the question of how the ecclesiastical Institution should respond to facts and attitudes which, while pretending to speak in the name of the Church, claim the right to disregard part of her decisions, by using as an excuse the need for a more open-minded and a more immediate involvement in the history of mankind – as it appears nowadays ; so much so that, conflicting with the judgments on the authenticity of the case and its relevance for the Church, the claimed fruitfulness of the event runs the risk og beeing viewed as the principal criterion for a judgment on the phenomenon itself
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Castro, Jean-Luc. "Une approche exploratoire de l'influence des valeurs catholiques du dirigeant de PME sur son mode de management : la doctrine sociale de l'église catholique à l'épreuve de l'entreprise." Paris 9, 2002. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=2002PA090041.

Full text
Abstract:
Fondée sur une enquête d'une vingtaine d'interviews de dirigeants de PME affiliés au CFPC de la région des Pays de Loire (centre français des dirigeants et patrons chrétiens), l'exploitation des données repose sur la méthode d'analyse inductive proposée par Glaser & Strauss (1967) et perfectionnée par Strauss & Corbin (1990). En effet, la faiblesse de la littérature sur le sujet rend pertinent l'usage de cette approche dont les finalités explicites sont la création conceptuelle et le développement de théorie à propos de phénomènes mal connus et peu étudiés. Cette première approche est complétée par la confrontation des données empiriques à ce qui peut être considéré comme l'idéal-type d'une gestion des ressources humaines totalement inspirée par la doctrine sociale de l'Eglise catholique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
More sources
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography