Academic literature on the topic 'Domicile conjugal'

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Journal articles on the topic "Domicile conjugal"

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Trudel, G., L. Dargis, L. Villeneuve, J. Cadieux, R. Boyer, and M. Préville. "Fonctionnement conjugal, sexuel et psychologique des couples aînés vivant à domicile : les résultats d’une enquête nationale avec méthodologie longitudinale (première partie)." Sexologies 22, no. 4 (2013): 176–83. http://dx.doi.org/10.1016/j.sexol.2013.03.004.

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Trudel, G., L. Dargis, L. Villeneuve, J. Cadieux, R. Boyer, and M. Préville. "Fonctionnement conjugal, sexuel et psychologique des couples aînés vivant à domicile : les résultats d’une enquête nationale avec méthodologie longitudinale (deuxième partie)." Sexologies 23, no. 2 (2014): 52–68. http://dx.doi.org/10.1016/j.sexol.2013.03.006.

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Rodet, Marie. "« Le délit d'abandon de domicile conjugal » ou l'invasion du pénal colonial dans les jugements des « tribunaux indigènes » au Soudan français, 1900-1947." French Colonial History 10, no. 1 (2009): 151–69. http://dx.doi.org/10.1353/fch.0.0013.

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Nahmani, I., V. Scolan, F. Fiechter-Boulvard, F. Paysant, and P. Vittini. "Filicide-suicide non altruiste : un cas clinique évoquant un syndrome de Sardanapale ?" European Psychiatry 30, S2 (2015): S134. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.263.

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Abstract:
Les meurtres d’enfants font partie des crimes les plus intolérables. Ils suscitent l’indignation de toute la société d’autant plus lorsqu’ils sont commis par le père ou la mère de l’enfant, se dénominant dès lors sous le terme de « filicide ». Resnick et al. ont distingué en 1969, 5 types de filicides, dont celui de « Filicide-Vengeur », c’est-à-dire un filicide commis par un parent dans une dynamique de vengeance à l’égard de l’autre parent, avec majoritairement le suicide du parent–auteur dans les heures suivant les faits, se qualifiant ainsi de « filicide-suicide ». Nous vous présentons un cas de filicide-suicide vengeur, ayant des atypicités séméiologiques. Il s’agit d’un homme de 38 ans père de deux enfants de 5 et 7 ans en cours de séparation après 10 ans de vie maritale. Il est retrouvé décédé au rez-de-chaussée à son domicile, en partie carbonisé, avec une plaie thoracique autoinfligée (seppuku), les corps de ses deux enfants sont quant à eux découverts dans la chambre conjugale, entièrement calcinés. Nous soulignons une mise en scène étrange avec incendie de l’intégralité du domicile familial et mise en évidence à l’entrée de la maison d’une sacoche noire, à l’abri du feu, contenant des lettres d’adieu adressées à l’entourage proche ainsi que des photographies familiales, évoquant le syndrome de Sardanapale, inspiré d’un Roi illustre qui se suicida en mettant le feu à son palais avec sa famille et ses domestiques. Par l’étude des données médico-légales, des écrits du défunt et des auditions des proches de la famille au cours de l’enquête policière, associée à une revue de la littérature concernant ce type de crime spécifique, nous essayerons de dégager des hypothèses conceptuelles psychiatriques afin de tenter d’expliquer un tel passage à l’acte et d’envisager des actes préventifs. Les homicides infantiles représentent une part non négligeable de la mortalité infantile. Les filicides suicides vengeurs comme celui que nous présentons sont commis exclusivement au cours d’une procédure de séparation entre les parents. Étant donné l’augmentation du nombre de divorces à l’heure actuelle, on peut se demander si l’incidence de ce crime, difficilement compréhensible, n’augmenterait pas significativement au cours des années à venir ?Annexe : L’examen des lieux mettait en évidence une mise en scène du décès avec présence d’une sacoche à l’arrière de la boîte aux lettres du domicile sur laquelle étaient posées deux bougies (Fig. 1). À l’intérieur de la sacoche étaient relevées des photographies de mariage du couple et des enfants, des relevés bancaires et « des lettres d’Adieu » destinés à l’ex-épouse du défunt, aux parents et beaux-parents.
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Haddad, Marine. "Des trajectoires familiales liées aux conditions du retour." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 34 (September 29, 2020): 25–50. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.034.02.

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Abstract:
Cet article étudie les liens entre les trajectoires familiales des migrant·e·s de retour dans les départements d’outre-mer (Martinique, Guadeloupe, Guyane, la Réunion) et les conditions de leur retour. À partir de l’enquête Migrations, Famille et Vieillissement et d’analyses de séquences, il dresse une typologie des trajectoires de cohabitation, de mise en couple et de parentalité de ces populations. Cinq types de trajectoires sont mis en valeur : l’entrée rapide dans la parentalité déclinée selon trois configurations conjugales, le départ tardif du domicile parental et la décohabitation rapide non suivie de mise en couple ou naissance d’enfants. Des régressions analysent ensuite l’effet des retours sur les trajectoires. Pour les femmes, le retour retarde la naissance d’enfants ou l’union et favorise les ruptures, surtout en cas de contraintes ou difficultés. Pour les hommes, le retour accélère au contraire ces étapes. Ces analyses soulignent ainsi l’organisation genrée des calendriers migratoires et familiaux, dans un rapport différencié à la contrainte.
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Fagnani, Jeanne. "L’enjeu de la localisation résidentielle au sein des stratégies professionnelle et familiale des femmes instruites des classes moyennes." Notes de recherche 2, no. 1 (2005): 93–101. http://dx.doi.org/10.7202/057537ar.

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Abstract:
Nous nous proposons ici d'analyser les critères et arbitrages qui ont présidé au choix du lieu de résidence de ménages, vivant en Île-de-France, où la femme bénéficie d'un bon « capital scolaire » et exerce une activité professionnelle. Des entretiens approfondis et semi-directifs ont été menés auprès de 40 mères (et 20 de leurs conjoints) ayant deux ou trois enfants et résidant soit dans le centre soit en banlieue proche ou périphérique. Les femmes ont été plus soucieuses que leur conjoint de limiter la durée de leurs trajets domicile-travail, afin de pouvoir concilier plus facilement leurs obligations professionnelles et familiales. Les femmes ont ainsi souvent réussi à faire prévaloir leurs besoins dans les négociations conjugales. Lorsqu'elles résident dans les secteurs centraux, elles en apprécient la multifonctionnalité et la densité. Par contre, elles soulignent les inconvénients de ce contexte spatial pour les jeunes enfants. Les femmes vivant en banlieue semblent avoir privilégié la « vie de famille » : les couples y mènent d'ailleurs un mode de vie différent que celui de leurs homologues parisiens. Accédant à la propriété, ils ont choisi de résider dans un environnement « agréable » et propice à cette vie de famille. Pour les femmes et leur conjoint, le choix du lieu de résidence se pose toutefois en termes de dilemme et compromis (du fait des contraintes du marché immobilier) entre des aspirations et des besoins contradictoires.
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Velasco, Hayzza Juliana Lopes, Rafaely De Cassia Nogueira Sanches, Cremilde Aparecida Trindade Radovanovic, Ligia Carreira, and Maria Aparecida Salci. "Influências da sobrecarga no cônjuge do cuidador do idoso fragilizado." Revista de Enfermagem UFPE on line 12, no. 3 (2018): 658. http://dx.doi.org/10.5205/1981-8963-v12i3a25349p658-664-2018.

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RESUMOObjetivo: investigar as influências da sobrecarga no cônjuge do cuidador do idoso fragilizado. Método: estudo qualitativo, realizado com dez cônjuges de cuidadores de idosos fragilizados, por meio de entrevistas abertas e individuais no domicílio. A análise dos dados foi subsidiada pela técnica de Análise de Conteúdo, na modalidade Análise Temática. Resultados: identificaram-se diversas alterações no cotidiano familiar, com destaque para a perda da liberdade, que provocou alterações na vida social, com interrupções das atividades de lazer; alterações nos relacionamentos conjugal e com os filhos compreendidas pela falta de atenção que o cuidador do idoso consegue dispensar a essas pessoas no dia a dia da vida em família e apontamentos a aspectos negativos e positivos dessa relação. Conclusão: mesmo com todas as mudanças ocorridas na organização familiar, os cônjuges conseguiram promover um realinhamento dos papéis familiares para o bem-estar de todos os integrantes da família. Descritores: Saúde do Idoso; Envelhecimento; Família; Relações Familiares; Cuidadores; Cônjuges. ABSTRACT Objective: to investigate the influence of overload on the caregiver's spouse of the frail elderly. Method: a qualitative study, carried out with ten spouses of caregivers of frail elderly, through open and individual interviews at home. The analysis of the data was subsidized by the technique of Content Analysis, in the modality Thematic Analysis. Results: several changes were identified in family daily life, especially the loss of freedom, which caused alterations in social life, with interruptions of leisure activities; changes in marital and child relationships understood by the lack of attention that the elderly caregiver can give to these people in the daily life of the family and notes to the negative and positive aspects of this relationship. Conclusion: even with all the changes that occurred in the family organization, the spouses were able to promote a realignment of family roles for the well-being of all family members. Descriptors: Health for the Elderly; Aging; Family; Family Relations; Caregivers; Spouses.RESUMEN Objetivo: investigar las influencias de la sobrecarga en el cónyuge del cuidador del anciano fragilizado. Método: estudio cualitativo, realizado con diez cónyuges de cuidadores de ancianos fragilizados, por medio de entrevistas abiertas e individuales en el domicilio. El análisis de los datos fue subsidiada por la técnica de Análisis de Contenido en la modalidad Análisis Temático. Resultados: se identificaron diversas alteraciones en el cotidiano familiar, con destaque para la pérdida de la libertad, que provocó alteraciones en la vida social, con interrupciones de las actividades de ocio; cambios en las relaciones conyugales y con los hijos, comprendidas por la falta de atención que el cuidador del anciano logra dispensar a esas personas en el día a día de la vida en familia; y, apuntes a aspectos negativos y positivos de esa relación. Conclusión: incluso con todos los cambios ocurridos en la organización familiar, los cónyuges lograron promover un realineamiento de los papeles familiares, para el bienestar de todos los integrantes de la familia. Descriptores: Salud del Anciano; Envejecimiento; Familia; Relaciones Familiares; Cuidadores; Esposo.
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Pollien, Alexandre, Eric D. Widmer, Jean-Marie Le Goff, and Francesco Giudici. "Transitions familiales et brouilles conjugales : cumulation ou compensation des problèmes d’intimité à travers les phases du parcours de vie familial?1." No. 9 (April 3, 2009): 0. http://dx.doi.org/10.7202/029634ar.

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Résumé Cette étude esquisse, sur la base d’un grand échantillon représentatif et longitudinal de couples vivant en Suisse et du point de vue des femmes ayant répondu à l’enquête, un tableau de l’évolution des problèmes conjugaux rencontrés au cours des différentes phases de la vie familiale. Le processus de dégradation de la relation est reconstitué à partir de deux mesures faites dans un intervalle de 5 ans. La genèse des difficultés conjugales est considérée à travers le prisme des transitions familiales, en particulier la naissance des enfants, leur entrée à l’école et leur départ du domicile parental. L’analyse révèle le potentiel déstabilisateur de ces transitions pour le couple. Les bouleversements de l’équilibre relationnel évoluent, dans certains cas, vers un cumul de difficultés qui envahissent l’espace conjugal pour déboucher sur une situation inextricable.
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Hachet, Benoît. "L’alternance et ses moments. Âge, genre et temporalités de la résidence alternée." Enfances, Familles, Générations, no. 27 (August 31, 2017). http://dx.doi.org/10.7202/1045080ar.

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Cadre de la recherche : L’organisation temporelle de la résidence alternée, qui est une configuration de l’après-séparation conjugale, dans laquelle les parents partagent de façon paritaire le temps de résidence de leurs enfants, ce qui implique qu’ils aient des domiciles proches. Objectifs : Interroger ce que l’âge et le genre font à l’organisation temporelle de la résidence alternée. Les temporalités considérées sont celles de l’expérience quotidienne de la résidence alternée, mais aussi celles des temporalités biographiques. Il s’agit d’interroger les différents moments de l’alternance – la mise en place, les transformations du cadre temporel dans la durée, ou les sorties de cette organisation – au regard de l’âge et du genre des enfants comme des parents. Méthodologie : L’enquête repose sur l’analyse de 45 entretiens semi-directifs menés avec des parents séparés, ce qui correspond à 34 situations de résidence alternée. Les participants à l’enquête ont été recrutés sur l’ensemble du territoire national français. Résultats : Lorsque les enfants sont jeunes, la différence genrée des compétences parentales pèse sur l’entrée en résidence alternée. Quand les enfants grandissent, leur poids augmente dans la transformation des organisations temporelles, et les relations de genre entre les parents et leurs enfants influencent ces changements. Quand les parents vieillissent, leur « univers des possibles » se réduit, ce qui peut rendre plus difficilement supportable la contrainte spatio-temporelle de l’alternance. Conclusions : Les différences de genre entre les parents pèsent plus sur les organisations quand les enfants sont jeunes, alors que les différences de genre entre les parents et leurs enfants semblent peser davantage quand ces derniers sont plus âgés. Contribution : Cet article souligne l’importance de penser les relations de genre entre les ex-conjoints ou entre ces derniers et leurs enfants, de façon dynamique, puisqu’elles se transforment dans la durée.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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Dissertations / Theses on the topic "Domicile conjugal"

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Nagy, Veronika. "Le domicile conjugal comme source de conflits judiciaires : ce que la face "honteuse" du divorce nous enseigne sur le lien matrimonial." Paris, EHESS, 2011. http://www.theses.fr/2011EHES0095.

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Abstract:
L'ambition de cette thèse de doctorat est de montrer la profonde intrication de la dimension affective et de la dimension économique du lien de couple à travers l'étude des conflits judiciaires qui opposent des conjoints et des ex-conjoints au sujet de leur ancien logement commun. Ce faisant, il s’agit aussi d'éclairer les enjeux des divorces difficiles et transgressifs du point de vue du modèle de « bon divorce » pacifié. Le matériau empirique est constitué de 55 affaires de divorce et de contentieux patrimonial (liquidation de communauté, sortie d'indivision), recueillies respectivement dans un cabinet d'avocats français (29 dossiers) et dans un tribunal municipal hongrois (26 dossiers). Ce travail se situe donc à la croisée de la sociologie du droit et de la sociologie de la famille, tout en étant également enrichi d'une dimension comparative France-Hongrie. Le traitement des affaire judiciaires analysées est qualitatif, avec une attention particulière portée au point de vue de intéressés, aux arguments qu'ils déploient et aux principes de justice auxquels ils font référence<br>The aim of this doctoral dissertation is to show the intense connection between the emotional and the economical dimension of couple and marriage through the study of conflicts that oppose spouses and former spouses about the matrimonial home. In doing so, the objective is also to understand what is on stake in divorces when the model of the "Peaceful Divorce" is not respected. The empirical material consists in 55 divorces and patrimonial dispute collected in a French law firm (29 cases) and a municipal court in Hungary (26 cases). This work is at the crossroads of the sociology of law and sociology of the family, while also being enriched by a comparison between France and Hungary The cases are analyzed qualitatively with particular attention to the views of involved parties, their arguments and the principles of justice to which they refer
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Thai, Trung Kien. "Le logement de la famille en droit vietnamien : approche critique et comparative de la notion." Lyon 3, 2010. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2010_out_thai_t.pdf.

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Abstract:
Le logement est l’une des conditions de base de la vie familiale. Au Vietnam, dans ces dernières années, l’accès de chaque famille au logement devient difficile à cause du prix élevé des biens immobiliers, tandis que la moralité et la coutume se montrent insuffisantes pour la résolution des contentieux familiaux dans ce domaine. Par conséquent, les règles juridiques doivent constituer une nouvelle réglementation envers le logement de la famille. Or, en droit vietnamien, il n’y a toujours pas encore de notion du logement de la famille. Prenant en compte le présent contexte, cette étude cherche à établir un concept du logement familial en droit vietnamien, qui s’attache à l’évolution actuelle de la famille elle-même. Le logement de la famille sera donc protégé dans toutes les unions familiales nonobstant la forme de couple, dans tous les rapports familiaux, à toutes les périodes de la vie familiale, mais avec, évidemment, des mesures différentes en fonction des personnes et situations en cause. Une telle notion permettra, de façon systématique, de déterminer la place respectable du logement dans la vie familiale ainsi que le statut juridique du logement familial, ceux qui contribueront tous à consolider l’attachement des membres de la famille. Sous un autre aspect, cette étude critique et comparative met en évidence des convergences et divergences entre le droit vietnamien et des systèmes juridiques étrangers, notamment celui de la France. Les connaissances acquises sont tout à fait utiles pour les activités législatives et judiciaires au Vietnam, dans la recherche des meilleures protections pour la famille, dont celles en faveur du logement de la famille<br>Housing is one of the basic conditions of the family life. In Vietnam, in these last years, the access of each family to the housing becomes difficult because of the high price of the real estate, while morality and custom are insufficient for the resolution of the family disputes in this fields. Consequently, the legal rules must constitute a new regulation towards the housing of the family. Nevertheless, in Vietnamese law, there has not been a notion of the housing of the family yet. Taking into account the present context, this study tries to establish a concept of family housing in Vietnamese law, which attaches to the current evolution of the family itself. The housing of the family will thus be protected in all family unions notwithstanding the couple form, in all family relationships, at all periods of family life, but with, obviously, different measures according to the persons and situations in question. Such a concept will allow, in a systematic way, to determine the respectful place of housing in the family life and the legal statute of the family housing, those that will contribute all to consolidate the attachment of the members of the family. In addition, this critical and comparative study highlights convergences and divergences between the Vietnamese law and foreign legal systems, in particular France’s one. Acquired knowledge is completely useful for the legislative and judicial activities in Vietnam, in the research of best protections for the family, of which those in favour of the housing of the family
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Prud'homme, Catherine. "Les résidences séparées." Nancy 2, 2004. http://www.theses.fr/2004NAN20015.

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Escudey, Gaëtan. "Le couple en droit international privé : contribution à l’adaptation méthodologique du droit international privé du couple." Thesis, Bordeaux, 2016. http://www.theses.fr/2016BORD0301/document.

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Abstract:
L’influence libérale en droit de la famille et l’essor de l’idéologie individualiste ont provoqué un pluralisme des formes de conjugalité et ont considérablement accru la diversité des règles et des méthodes applicables aux couples en droit international privé contemporain.L’analyse des couples en droit international privé nous a alors conduit à repenser le droit international privé du couple. La déconstruction de la matière met en lumière l’inadaptation actuelle de la méthode conflictuelle classique et l’insuffisance de la méthode de la reconnaissance. En effet, l’actuel droit international privé du couple ne permet pas de garantir la continuité internationale du lien conjugal, pas plus qu’elle ne permet d’assurer un traitement juridique cohérent des problèmes auxquels sont confrontés les couples internationaux. Une réflexion quant à une possible évolution méthodologique de la matière était donc nécessaire. Cette étude vise à démontrer qu’une adaptation de la méthode conflictuelle classique à l’aune des objectifs de la méthode de la reconnaissance et fondée sur un raisonnement en termes de conflit d’autorités est possible. Elle apporterait aux règles de droit international privé du couple une meilleure cohérence tout en assurant aux rapports conjugaux internationaux une réelle stabilité<br>The liberal influence in Family Law and the rise of individualist ideology have led to a multiplication of conjugal life forms and considerably increased the diversity of laws and methods applicable to couples in International Private Law. To analyse couples under International Private Law leads us to rethink the International Private Law of the Couple. Deconstructing this subject brings to light the current non-adaptation of the classic conflict of laws method and the insufficiency of the recognition approach. In fact, current International Private Law as it pertains to couples neither guarantees the international recognition of theconjugal bond nor ensures a coherent legal treatment of legal problems faced by international couples. It is therefore necessary to examine a possible methodological evolution of thesubject. This study aims to demonstrate that it is possible to adapt the classic conflict of lawsmethod by taking into account the objectives of the recognition approach whilst founding iton the lex auctoritas rule. This would not only bring better coherence to International Private Law of the Couple but it would also assure a real legal stability for international conjugal relationships
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Books on the topic "Domicile conjugal"

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Canada. Indian and Northern Affairs Canada. Women's Issues and Gender Equality Directorate. After marriage breakdown : information on the on-reserve matrimonial home =: Après la rupture du mariage : informations sur le foyer matrimonial dans la réserve. Indian and Northern Affairs Canada = Affaires indiennes et du Nord Canada, 2003.

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de Guzman, Maria Rosario T., Jill Brown, and Carolyn Pope Edwards, eds. Parenting From Afar and the Reconfiguration of Family Across Distance. Oxford University Press, 2018. http://dx.doi.org/10.1093/oso/9780190265076.001.0001.

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Abstract:
The definition of family as a conjugal group consisting of parents and children living in the same household is in the process of a profound reworking, one that includes the constellation of family life that exists around the world. Increased migration and mobility have challenged traditional notions of what constitutes a family, yet much mainstream research relies on past notions of a cohesive unit under one domicile. Many families today are separated across distance and maintain ties in a multitude of ways. And although researchers have increasingly paid attention to this new picture of the family, much of this work has focused on transnational families separated in the context of overseas economic migration. In fact, family separation and long-distance parenting result from a multitude of reasons undertaken in various circumstances. This volume presents work from scholars who collectively show reasons that motivate parenting across distance, how families cope with separation and maintain ties, the impact of separation on family members, and how family is redefined and reconfigured in these various settings. By better understanding how we parent from a distance, this volume synthesizes ideas of kinship, relationships, and bonding and helps readers broaden their own ideas of parenting and family life.
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