Academic literature on the topic 'Dominicains (ordre religieux) – Théologie – Moyen âge'

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Dissertations / Theses on the topic "Dominicains (ordre religieux) – Théologie – Moyen âge"

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Kajiwara, Yoichi. "Les dominicains français face au système universitaire des grades à la fin du Moyen Âge." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE2015/document.

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Abstract:
Bien que la relation entre les universités et l’ordre dominicain, nettement orienté vers l’étude depuis ses premières années, attire l’attention des historiens du Moyen Âge depuis longtemps, la rencontre des Prêcheurs avec le système universitaire des grades, qui constituait le premier attrait de l’universitas pour ces religieux, n’a pas encore donné lieu à des études systématiques. Focalisée sur l’époque postérieure au milieu du XIVème siècle, où la prolifération rapide des facultés de théologie en Europe a offert aux dominicains davantage d’occasions d’accéder aux grades universitaires, la présente thèse a pour objectif de mesurer l’impact qu’a exercé le magisterium sur les normes, pratiques et idées des fils de saint Dominique de France, dont l’idéologie était étroitement liée aux activités universitaires. Dans les provinces françaises de l’ordre, où le réseau des studia dominicains ont vu un véritable essor, l’élite intellectuelle se procurent l’estime des frères et de nombreux avantages dès le XIIIème siècle. L’aspiration au statut privilégié des frères savants s’accentue au fur et à mesure que le système des grades de théologie, établi tout d’abord au sein de l’université de Paris, est implanté dans bien des communautés universitaires d’Europe. Il en découle que les supérieurs de l’ordre ont voulu contrôler plus rigoureusement la conquête du diplôme par les frères, ce qui a donné lieu à un régime de surveillance des candidats dominicains aux grades universitaires, codifié dès le début du XVème siècle en vertu d’une nouvelle constitution de l’ordre et raffiné grâce à de nombreuses ordonnances du chapitre général. Les règlements étant établis de façon à conditionner l’obtention des grades universitaires, la relation entre les normes et les pratiques s’avère cependant loin d’être univoque, ce que nous montrent les données prosopographiques des dominicains autorisés à poursuivre le magisterium. Parfois, les normes restrictives s’adaptent aux pratiques que vivent nos religieux. Cette élasticité des législations dominicaines augmente l’importance du jugement ad hoc des supérieurs pour examiner et garantir les qualités intellectuelles et morales des religieux admis à l’obtention des grades, dans la mesure où, après le foisonnement des facultés de théologie, le chapitre général, auquel incombe de façon exclusive la décision finale de l’envoi des religieux vers les universités, se trouve étouffé à cause de l’entassement des dossiers de candidature des frères aspirant au doctorat. D’où un enchevêtrement sensible qui caractérise les pratiques d’autorisation de la conquête du magisterium, auxquelles participent de manière active les religieux désirant le diplôme eux-mêmes. En revanche, la famille religieuse ne semblait pas très préoccupée des actes académiques accomplis en pratique au sein de la faculté, car, en s’appuyant sur la faveur pontificale généreusement accordée, elle pouvait conférer le magisterium aux frères qui le méritaient. La prédilection de nos religieux pour le magisterium est d’autant plus inébranlable que cette dignité s’associe étroitement à la conscience de soi des fils de saint Dominique. Le regard des frères vis-à-vis des magistri se révèle cependant à double tranchant, car l’état doctoral ne peut jamais se libérer de la suspicion de la vanité mondaine. Particulièrement intéressés par cette question récurrente de l’arrogance magistrale, les observants se montrent aussi attachés aux grades que les frères qui n’embrassent pas la cause de la réforme. L’ancrage du système universitaire des grades dans l’idéologie des fils de saint Dominique s’avère si profonde que, voué à un idéal analogue à celui des universitaires – participation par voie intellectuelle à la prospérité de l’Église –, l’ordre dominicain apparaît à son tour comme une universitas des docteurs de la science sacrée à la fin de notre époque
Although the relationship between the Universities and the Dominican Order in the Middle Ages has attracted historians’ attention for a long time, the impact of the University degree system upon the Friars Preachers has not yet given rise to systematic studies. Focusing on the fifteenth century, where a rapid proliferation of faculties of theology in Europe has given Dominicans more opportunities to access university degrees, this dissertation aims to measure an influence that the magisterium had on the norms, practices and ideas of French Dominican friars, whose ideology was closely linked to university activities. In the French provinces, where the network of Dominican Studia was highly developed, the intellectual elite earned the respect of brothers and enjoyed many advantages within the Order. Aspiration to the privileged status of scholarly Dominicans is accentuated as the degree system of faculty of theology, first established within University of Paris, is implanted in many universities of Europe. As a result, the superiors of the Order wanted to control more rigorously friars’ obtaining of the magisterium. Finally, the Order established a system of supervision for Dominican degree candidates, which was codified in the Order’s new constitution enacted in the beginning of the fifteenth century and refined through many ordinances of the General Chapter. In spite of Dominicans’ efforts to condition the obtaining of university degrees, the relationship between norms and practices was fairly complex, as shown by a prosopographical analysis of the friars authorized to pursue the magisterium. Sometimes, restrictive norms adapt to practices. Such an elasticity of Dominican legislation increased the importance of ad hoc judgments by the superiors, who were responsible to examine and guarantee intellectual and moral qualities of the friars admitted to the degree. Hence, authorizing process of Dominican degree candidates became quite complicated, as the friars who were eager for the degree committed themselves actively in such a process. On the other hand, the Order did not seem very interested in the academic acts which Dominicans performed in practice within the faculty, because, relying on pontifical favor generously granted, it could confer the magisterium on the friars who deserved it. The predilection of Dominicans for the degree seems all the more unshakable as the magisterium is closely associated with their self-consciousness. Friars' view of the magistri is, however, double-edged, for the doctor can never be free from suspicion of worldly vanity. The Observant Dominicans were particularly interested in this recurrent question of masters’ arrogance. They were nevertheless as attached to the degree as the non-reformed friars. The University degree system took root so profoundly in the Dominicans’ ideology that they shared an ideal with University men, that of intellectual contribution to a prosperity of the Church, and the Dominican Order appeared as an universitas of doctors of theology
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Bartkó, Janós. "Un instrument de travail dominicain pour les prédicateurs du XIII siècle : les Sermones de evangeliis dominicalibus de Hugues de Saint-Cher ([mort en] 1263) : édition et étude." Lyon 2, 2003. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2003/bartko_j.

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Abstract:
Nous avons édité et étudié une des collections de sermons des dimanches (Sermones de evangeliis dominicalibus) de Hugues de Saint-Cher (mort en 1263), premier cardinal dominicain. D'abord, nous avons présenté les trois aspects de la carrière de l'auteur (Université, ordre dominicain, cardinalat). Après avoir passé en revue ses oeuvres exégétiques et théologiques, nous avons présenté sa collection de sermons que nous avons comparé avec les recueils des auteurs précédents et contemporains. Ensuite, en analysant les textes des sermons, nous avons souligné l'importance des techniques exégétiques, telles les distinctions qui sont souvent complétées par des autorités (scripturaires ou patristiques) et des interprétations de noms bibliques. De même, nous avons analysé en détail les doctrines théologiques et les questions morales figurant dans les sermons. La société est présente d'une manière ambivalente dans les sermons : d'une part Hugues fait souvent référence à la société ecclésiale, d'autre part, il est à peine quelques traces des états de vie : les différents statuts de gens apparaissent dans les sermons comme de simples métaphores. Enfin, nous avons souligné l'importance de l'opposition riche - pauvre.
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3

Bain, Emmanuel. "Eglise, richesse et pauvreté dans l'occident médiéval : l'éxégèse des Evangiles aux XIIe-XIIIe siècles." Nice, 2010. http://www.theses.fr/2010NICE2025.

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4

Delacroix-Besnier, Claudine. "Les Dominicains et la Chrétienté grecque aux quatorzième et quinzième siècles." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1994PA100214.

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Abstract:
Les dominicains furent des agents majeurs de la politique pontificale visant à mettre un terme au schisme grec. Les prêcheurs furent des diplomates, négociant avec les souverains d'orient. Ils se trouvèrent impliques dans le processus qui aboutit à la constitution de principautés autonomes en Ruthénie et Moldavie. Mais leur apostolat les conduisit à une ouverture vers les cultures indigènes. Dans les colonies latines, ils exerçaient leur ministère essentiellement auprès des communautés catholiques. Les métropoles ne toléraient pas le prosélytisme des missionnaires et contrôlaient étroitement les églises locales. Le principal but des autorités civiles était en effet la paix sociale. Ceci permit une cohabitation pacifique des communautés religieuses et une certaine fusion des élites. Ailleurs, le prosélytisme dominicain s'exerça surtout auprès de l’Elite sociale. Il fut à l'origine de conversions à la cour de Byzance et permit les discussions qui aboutirent à la réunion du concile de Ferrare-Florence
The Dominicans were great agents of a pontifical policy aiming at the end of the Greek schism. The preachers were diplomats negotiating with the oriental sovereigns. They were involved in the process which ended with the settlement of self-governing principalities, for example Ruthenia and Moldavia. But their apostolate led them to an opening out to native cultures. In Italian settlements, they mainly carried on their ministry among catholic communities. Mother countries did not tolerate the missionaries' proselytism and strictly controlled local churches. The main purpose of local officers was indeed social peace. This policy resulted in a peaceful cohabitation of all the religious communities and the melting of upper classes. In other countries, the Dominican proselytism was exerted among upper elites. It brought about both several conversions to the catholic faith among members of the byzantine court and holding of the council of Florence (1439). The heart of the mission was the sudium
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5

Silvestre, Laurence. "Jean Bréhal : inquisiteur d'exception ou inquisiteur exemplaire de la fin du Moyen Age." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H098/document.

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Abstract:
Jean Bréhal est un dominicain normand, docteur en théologie, qui s’est fait un nom en tant qu’inquisiteur du royaume de France, non pas en traquant l’hérésie, ou en poursuivant des sorcières, mais en annulant des condamnations, et plus particulièrement celle de la Pucelle d’Orléans, vingt-cinq ans après le bûcher de Rouen. Sa longévité dans l’officio inquisitionis (de 1452 à 1474), sous les règnes de Charles VII et de Louis XI, contraste avec le nombre réduit d’affaires qu’il a instruites, d’après les sources. Aussi on peut se demander s’il fait figure d’exception, ou s’il est inquisiteur exemplaire de la fin du Moyen Âge. Le «cas Bréhal» invite à examiner la charge d’inquisiteur après le Concile de Vienne, dans le contexte particulier, à la fois d’un territoire encore marqué par les antagonismes de la guerre de Cent ans, et d’une Église éprouvée par le Grand Schisme et ses séquelles. Sur la base d’un corpus composé principalement des écrits du dominicain, dont certains éléments sont des manuscrits inédits, mais dont le noyau est constitué par la procédure en nullité de la condamnation de Jeanne d’Arc, cette thèse se propose non seulement d’appréhender l’homme et son parcours, mais aussi et surtout sa pensée, d’analyser son écriture scolastique, de saisir le sens de son action, percer ses motivations, et peut-être comprendre la nature du «pouvoir» qu’il a incarné pendant plusieurs décennies. Au final, c’est une époque, des milieux, et la situation d’un office, que cette étude centrée sur Jean Bréhal éclaire, tout autant que la spécificité d’un individu. Elle a surtout pour but de faire connaître une œuvre qui embrasse des champs variés et des centres d’intérêts divers
Jean Bréhal is a Dominican friar from Normandy and a theology professor, who became renowned as an inquisitor in the kingdom of France, neither for tracking down heresy nor pursuing witches, but for quashing sentences, more especially the sentence of condemnation of the Maid of Orléans, twenty five years after she was burnt at the stake in Rouen. The longevity of his tenure in the officium inquisitionis (from 1452 until 1474), in the reigns of Charles VII and Louis XI, contrasts with how few investigations he actually conducted, according to the documentation. So we wonder whether he was an exception or exemplary for the late Middle Ages. The “Bréhal case” suggests looking upon the office of inquisitor after the Council of Vienne, in the particular context of a territory that was still scarred by the divisions of the Hundred Years’ war, and of a Church that had been tested by the Great Schism and its aftermaths. Our corpus mostly consists of the Dominican’s own writings, of which some documents are unpublished manuscripts, and its core lies in the trial of nullification of the condemnation of Joan of Arc. On that basis, the aim of this thesis is to know not only the man and his journey but also, and above all, his thinking, to parse his scholastic prose, to grasp the meaning of his action, to discover his motivation, and to understand the nature of the “power” that he has embodied over several decades. Eventually, this study, while focusing on Jean Bréhal, sheds light as much on a time, a world and the state of an office, as on the specificities of one individual. Above all, its goal is to introduce readers to a body of works that contains various fields and interests
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