Academic literature on the topic 'Données à haut-fréquence'

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Journal articles on the topic "Données à haut-fréquence"

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Lagergren, Mårten. "Transfers between Levels of Care in a System of Long-term Care for the Elderly and Disabled." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 15, no. 1 (1996): 97–111. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800013313.

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Abstract:
RÉSUMÉLes modes de référence de patients entre différents niveaux de soins dans un système local de soins de longue durée pour personnes âgées et handicapées sont décrits et analysés à l'aide des données collectées de 1985 à 1991 dans la commune de Solna grâce au système de contrôle appelé ASIM. Ces références entre niveaux de soins avaient lieu dans les deux sens, mais la fréquence des transferts vers le bas était faible comparée au nombre de transferts vers le haut – en particulier pour les foyers-logements et les résidences-hôtels. Pour tous les niveaux de soins, on a constaté de grandes variations dans le degré d'incapacité des personnes prises en charge, suggérant le charactère non-systématique des procédés d'évaluation lors de l'admission dans les services de soins. Une analyse des changements intervenus avec le temps dans les modes de référence a illustré l'interdepéndence des différents niveaux des soins. La réduction des ressources des services de soins hospitaliers de longue durée a eu pour résultats un arrêt presque total des références à partir des résidences-hôtels et une augmentation générale de l'incapacité moyenne des patients pris en charge.
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Fleury, A., J. D. Lafitte, C. Monchaux, and F. Bauduer. "Évolution anthropométrique et physiologique des surfeurs de haut niveau. Recherche de paramètres associés à la performance." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 31, no. 3-4 (November 26, 2018): 171–83. http://dx.doi.org/10.3166/bmsap-2018-0028.

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Abstract:
Les paramètres anthropométriques et physiologiques à l’effort constituent des éléments déterminants dans la pratique sportive à haut niveau. Notre étude s’est appliquée à dresser l’évolution du profil d’un échantillon de surfeurs du pôle France entre deux périodes (2000-2005 versus 2010-2015) et à déterminer quels paramètres sont associés à la performance en surf de haut niveau (jugée par rapport au classement fédéral des individus). Nous avons utilisé les données issues des évaluations annuelles de ces sportifs. Elles comprennent l’âge, les paramètres anthropométriques : taille, poids, indice de masse corporelle (IMC), pourcentage de masse grasse à l’adipomètre ainsi que physiologiques à l’effort : consommation maximale d’oxygène (VO2 max), puissance maximale aérobie (PMA), fréquences cardiaques aux seuils ventilatoires aérobie (SV1) et anaérobie (SV2) exprimées en pourcentage de la fréquence cardiaque maximale (FC max) et puissance maximale anaérobie alactique (PMAA) des membres inférieurs évaluée par un test de détente verticale. Nous avons étudié au total 83 hommes et 23 femmes. Par rapport à l’échantillon plus ancien, nous avons mis en évidence une réduction du dimorphisme sexuel et du pourcentage de masse grasse et, sur le plan physiologique, une amélioration globale des paramètres physiologiques chez les hommes avec une significativité statistique au niveau du VO2 max et de la PMAA. Les paramètres physiologiques retrouvés significativement associés à la performance chez les hommes (p < 0,05) sont la PMAA ou la détente des membres inférieurs, les puissances à SV2 et à SV1, les pourcentages de FC max atteints à SV2 et à SV1 et la PMA. On observe un processus de sélection/adaptation chez les surfeurs de haut niveau spécifique à leur discipline sur le plan biométrique et physiologique. Des constatations identiques ont été faites dans diverses autres pratiques sportives, mais avec une distribution différente des paramètres associés à la performance. Ces éléments sont importants pour la sélection initiale et le suivi des individus ainsi que pour la mise en place de programmes optimaux d’entraînement.
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Hétu, Bernard. "Évolution récente d’un talus d’éboulis en milieu forestier, Gaspésie, Québec." Géographie physique et Quaternaire 44, no. 2 (December 18, 2007): 199–215. http://dx.doi.org/10.7202/032818ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Recouverts par la forêt dans leur partie inférieure, les talus d'éboulis des basses vallées gaspésiennes sont très dynamiques plus haut sur le versant, où la forêt est rapidement remplacée par des nappes de pierraille très mobiles. Des tranchées excavées dans les fronts forestiers sur les éboulis de la vallée de Mont-Saint-Pierre montrent que partout la forêt est en régression au profit des nappes de pierraille. L'analyse stratigraphique et dendrochronologique d'un éboulis représentatif a permis de reconstituer l'évolution d'un front forestier sur plus d'un siècle. Au XIXe siècle, le front forestier était situé plus bas sur le versant, soit 10 à 15 m au moins derrière sa position actuelle (Petit Âge glaciaire?). Après une période d'expansion des forêts sur le versant, au début du XXe siècle, au cours de laquelle le front forestier s'est déplacé vers le haut, au-delà de son tracé actuel, on enregistre un recul du front forestier, important, surtout à partir des années 1950-60. La forêt s'étiole; le sous-bois est peu à peu envahi par les blocs roulés et les paquets de débris transportés par les avalanches. Par endroits, l'épaisseur de pierraille accumulée dépasse les 75 cm. Les données stratigraphiques montrent que le recul récent du front forestier correspond à une augmentation de la fréquence des avalanches. Le site étudié enregistre au moins neuf avalanches chargées de débris depuis 1950-60, alors qu'il n'en recevait aucune au cours de la première moitié du XXe siècle. Cette sédimentation en milieu forestier produit des faciès très originaux où alternent les nappes de blocs roulés, accumulées durant les périodes d'expansion du couvert forestier, et les couches de pierraille plus fine déposées par les avalanches lors de la dégradation des fronts forestiers. Les oscillations du front forestier sont difficiles à interpréter à partir d'un seul site. Il pourrait s'agir d'un phénomène local, déclenché par des feux de forêt ou les déboisements anthropiques, mais elles pourraient correspondre aussi à une tendance régionale influencée par révolution récente du climat.
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McFaull, SR, M. Frechette, and R. Skinner. "Surveillance aux services d'urgence des blessures associées aux lits superposés : Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT), 1990-2009." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 1 (December 2012): 44–53. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.1.05f.

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Abstract:
Introduction Pour des raisons d'espace, bien des ménages utilisent des lits superposés. La hauteur et l'aménagement de ces lits peuvent présenter un risque de chute et d'étranglement, en particulier pour les jeunes enfants. La présente étude visait principalement à décrire les blessures associées aux lits superposés signalées au Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) pour la période 1990-2009. Méthodologie Le SCHIRPT est un système de surveillance des blessures et des intoxications en place dans les services d'urgence de plusieurs hôpitaux d'un bout à l'autre du Canada, soit 11 hôpitaux pédiatriques et 4 hôpitaux généraux. Les codes de produits du SCHIRPT et les descriptions fournies ont été utilisés pour extraire les données nécessaires. Résultats Au cours de cette période de surveillance de 20 ans, 6 002 personnes se sont présentées aux services d'urgence d'hôpitaux canadiens pour des blessures associées à des lits superposés. Dans l'ensemble, la fréquence des blessures liées aux lits superposés signalées dans le SCHIRPT est demeurée relativement stable, la variation du taux annuel moyen se situant à -1,2 % (-1,8 % à -0,5 %). Plus de 90 % des blessures associées au lit du haut étaient attribuables à des chutes; les enfants de 3 à 5 ans constituaient le groupe le plus fréquemment en cause (471,2 cas enregistrés dans le SCHIRPT pour 100 000). Conclusion Les services des urgences au Canada continuent de recevoir des enfants présentant des blessures associées aux lits superposés, dont bon nombre sont des lésions importantes. Les mesures de prévention des blessures devraient être axées sur les enfants de moins de 6 ans.
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MOUGEON, RAYMOND, SANDRINE HALLION, DAVY BIGOT, and ROBERT PAPEN. "Réponses aux commentaires." Journal of French Language Studies 26, no. 2 (April 12, 2016): 177–81. http://dx.doi.org/10.1017/s0959269516000090.

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Abstract:
Tout d'abord, nous tenons à remercier nos collègues de leurs commentaires sur notre article. L'espace prévu pour nos réponses étant limité notre réaction à ces commentaires sera sélective et brève. La question de l'effet de la méthodologie sur la fréquence des variantes dans les corpus a retenu l'attention de nos collègues. En particulier, ils se sont interrogés sur la signification et les raisons de la fréquence relativement plus grande de ne . . . que à Saint-Boniface. Cette interrogation est légitime, car ce résultat pourrait être l'indice du début d'une montée de ne . . . que durant les vingt ans qui séparent le recueil des corpus de Welland et Bonnyville (1975 et 1976) de celui du corpus de Saint-Boniface (1995/97). Étant donné que dans ce dernier corpus la mesure de l'influence de l’âge n'apporte pas un soutien concluant à l'hypothèse du changement, nous penchons plutôt pour y voir un impact de la méthodologie: les locuteurs de la classe supérieure étaient surreprésentés dans l’échantillon et l'enquêtrice n'appartenait pas à la communauté. S'il nous semble difficile de trancher entre ces deux interprétations, il ne faut pas perdre de vue l'effet positif des traits spécifiques de la méthodologie utilisée pour la collecte de ce corpus. En effet, la surreprésentation des locuteurs de la classe supérieure a eu le mérite de fournir suffisamment d'occurrences de la variante pour effectuer une analyse de l'influence des contraintes linguistiques. De plus, les origines françaises de l'enquêtrice ont mis au jour le fait que les membres de la classe supérieure font un usage plus fréquent de cette variante en situation d'accommodation linguistique ascendante. Par contraste, dans les trois autres corpus et dans ceux utilisés par les études antérieures, la fréquence marginale ou l'absence de ne . . . que, en partie imputable à la collecte des données par des membres de la communauté, a occulté ce type d'accommodation. Il y a donc complémentarité entre la méthodologie du corpus de Saint-Boniface et celle des autres corpus. Il a également été souligné à quelques reprises qu'il y avait plus de locuteurs catégorisés comme cols bleus que de locuteurs catégorisés comme cols blancs dans le corpus de Saint-Laurent. Comme nous l'avons précisé, Saint-Laurent est une communauté où le statut social et l’éducation des habitants sont, en règle générale, peu élevés. La forte prédominance de rien que dans le corpus pourrait donc refléter en partie la spécificité de la structure sociologique propre à cette communauté. Par ailleurs, le corpus de Saint-Laurent a le mérite de révéler que dans ce type de communauté les locuteurs qui sont en haut de l’échelle sociale ont un taux d'emploi de cette variante fort élevé et ne se distinguent guère des locuteurs des couches sociales basses. Par contraste, dans les trois autres communautés, la couche sociale haute se distingue nettement des couches sociales plus basses par un emploi moins fréquent de rien . . . que. La comparaison du corpus de Saint-Laurent avec les trois autres corpus, fournit donc une indication de la force de l'effet de la cohésion sociale sur la variation dans le parler de la communauté franco-métisse.
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Neri, C., and I. Needham. "La santé mentale des personnes incarcérées et leur perception du stress." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S138. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.272.

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Abstract:
Les personnes incarcérées présentent plus de problèmes de santé mentale que la population générale. L’environnement carcéral en soi peut provoquer des troubles mentaux et un haut niveau de stress mais, pour beaucoup de détenus, les troubles mentaux étaient préexistants à l’incarcération. Actuellement, les soins dispensés dans les prisons sont au centre d’enjeux sociopolitiques importants, ils représentent une opportunité d’améliorer la santé mentale des personnes incarcérées. Le but de cette étude est de constater la santé mentale des personnes incarcérées ainsi que leur perception du stress et d’explorer les relations entre leur santé mentale, leur perception du stress et leurs caractéristiques sociodémographiques. Cette étude descriptive exploratoire a inclus 40 personnes incarcérées en détention avant jugement dans une prison préventive de Suisse selon une méthode d’échantillonnage non probabiliste par convenance. Les trois instruments utilisés afin de collecter les données sont l’échelle HoNOS-Secure-F, l’échelle du stress perçu et un questionnaire sociodémographique. Les résultats montrent que les domaines obtenant les scores les plus élevés au niveau de la santé mentale concernent les problèmes sociaux et les troubles du comportement. Les détenus présentant la plus mauvaise santé mentale sont incarcérés pour des délits relatifs aux mœurs. Les détenus souffrant d’antécédents psychiatriques présentent plus de problèmes sociaux durant leur détention. Les détenus souffrant de troubles liés à la consommation de substances ainsi que de troubles cognitifs ont la fréquence la plus élevée d’incarcérations. Dans cette étude, la santé mentale est associée de manière statistiquement significative avec le stress perçu. Les résultats de cette étude, discutés d’après le modèle conceptuel pour la promotion de la santé mentale et la prévention des troubles mentaux permettent de constater que les personnes incarcérées présentent un cumul de facteurs de risque pour la santé mentale, alors que les facteurs protecteurs de la santé mentale sont peu présents en milieu carcéral.
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Ritzler, Barry. "Personality Factors in Genocide: The Rorschachs of Nazi War Criminals." Rorschachiana 22, no. 1 (January 1997): 67–91. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.22.1.67.

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Abstract:
Les facteurs de personnalité associés au génocide ont été étudiés à partir des Rorschach de simples soldats Nazis danois qui ont été évalués à l’occasion des procès pour crime de guerre à Copenhague en 1946. L’échantillon comprend 165 citoyens danois qui ont collaboré avec les Nazis pendant l’occupation du Danemark et de 22 officiers allemands. Les protocoles de Rorschach ont été cotés selon le Système Intégré ( Exner, 1993 ). La fiabilité de la cotation s’établit à 80% et plus d’accord inter-correcteurs pour toutes les catégories. En raison des défauts de l’enquête dans la plupart des protocoles, les critères de cotation pour les couleurs, l’estompage et la dimension formelle furent modifiés, et la somme pondérée des cotations spéciales ne fut pas calculée ( Ritzler & Nalenik, 1990 ). Avant de procéder à l’analyse des données, nous avons fait l’hypothèse que nous allions trouver trois profils basés sur des facteurs de personnalité antérieurement suggérés en rapport avec le génocide: 1) Banalité ( Arendt, 1963 ); 2) obéissance aveugle à l’autorité ( Milgram, 1963 ; 1974 ); et 3) Sadisme psychopathique ( Miale & Slezer, 1975 ). Les normes du Système Intégré ont été utilisées comme données comparatives en l’absence d’échantillon non-Nazi plus approprié. Le profil “Banalité” fut opérationnalisé dans le Système Intégré en terme de simplicité de la personnalité et manque de ressort: Lambda > 0,99, Coping Deficit Index (CDI) > 3, Zd < –3, et différences significatives dans l’utilisation des Détails Courants (élevée), Fréquence des scores Z (basse) et Persévérations (élevées). Le profile “obéissance aveugle à l’autorité” comprend le besoin de structure externe, la conventionnalité et une pensée rigide: EB ambiéquaux, X+% > 85, P > 7, et une disproportion significative dans le rapport entre mouvements actifs et passifs (un de plus que le double de l’autre). Le profile “Sadisme Psychopathique” comprend des indicateurs de manque d’empathie, comportement primitif, affect relativement peu modulé, narcissisme, et agressivité: peu de contenus humains, DQv > 1, DQ + < 6, CF+C > FC+1, Fr+rF > 1, Space > 2, AG > 2, MOR > 2, et S–% > 41. La comparaison des Nazis danois avec les normes du Système Intégré semble confirmer le profile “Banalité: plus grande fréquence de Lambda > 0,99 et de CDI > 3, plus de Détails Courants et de Persévérations, et moins de scores Z. Zd fut la seule variable à ne pas présenter de différence significative. L’analyse des composantes du CDI montre que le résultat est dû à un manque d’empathie et de sentiments positifs envers les autres (i. e., EA bas, peu de COP, p > a+1, et faible nombre de H étaient significatifs), et non à un manque d’engagement (i. e., peu d’AG, faible WSumC, Afr bas et Indice d’Isolation élevé n’étaient pas significatifs). Le profil ”Obéissance aveugle à l’autorité“ ne fut pas confirmé sur les variables de conventionnalité ou de rigidité (i. e., X+%, P et le rapport a/p ne sont pas significatifs). Toutefois, on a trouvé beaucoup plus de EB ambiéquaux (46% dans l’échantillon Nazi par comparaison avec 23% dans les normes du Système Intégré). Le profile ”Sadisme Psychopathique“ fut confirmé sur les variables manque d’empathie et comportement primitif (i. e., peu de réponses H, DQv élevé, CF+C > FC+1, AG et MOR furent significatifs) mais non pour le narcissisme et l’agressivité internalisée (i. e., Fr+rF et les variables Space ne furent pas significatives). Nous avons aussi trouvé des résultats que nous n’avions pas prévus dans nos hypothèses: grande fréquence de la réponse ”caméléon“ dans les D latéraux de la planche VIII (21% des Nazis contre moins de 2% chez les non-Nazis). Deux autres variables nous ont frappées. Les réponses de Texture ”négative“ (c’est-à-dire des réponses T non associées à des sensations de douceur ou plaisantes) étaient représentées avec une grande fréquence. En outre, les Rorschach des Nazis contenaient des Indices EGO bas (< 0,33). Nous avons interprété ces résultats comme une marque d’ambivalence envers l’intimité (ambivalence et non pas évitement) et une faible estime de soi (congruente avec leur statut de simple soldat). Nous avons étudié le recouvrement éventuel des profils modifiés de ”Banalité“ (Lambda élevé et CDI), Ambiéqualité (et non plus Obéissance Aveugle), et Sadisme (et non plus psychopathique), et nous avons trouvé un haut degré de recouvrement entre Banalité et Ambiéqualité, un degré de recouvrement modéré entre Ambiéqualité, Sadisme et Caméléon, et un faible recouvrement entre Banalité, Sadisme et Caméléon. Les résultats de cette étude indiquent nettement qu’il n’existe pas de profil unique de personnalité qui puisse expliquer le génocide Nazi. Est-ce que nous avons identifié des facteurs de personnalité qui peuvent contribuer à expliquer pourquoi les humains commettent des génocides? Oui, les facteurs Banalité, Ambiéqualité et Sadisme semblent représentés de manière inhabituellement fréquente dans les Rorschach danois. En outre, et quelle qu’en soit la signification psychologiques, il semble important de tenir compte de la réponse caméléon ainsi que de la faible estime de soi (Indice EGO bas) et de l’ambivalence envers l’intimité (Texture négative). Est-ce que ces facteurs sont suffisants à rendre compte de la motivation psychologique à participer à un génocide? A l’exception peut-être du Sadisme qui n’est apparu que rarement sans la présence concomitante d’au moins l’un des autres facteurs, chacun des facteurs majeurs n’est apparu de manière isolée que dans environ 1/3 des cas. Le recouvrement était courant et il apparaît que l’explication du génocide Nazi à partir des Rorschachs danois n’est pas simplement affaire d’identifier des variables isolées. Enfin, est-ce que les Rorschach danois ont identifié la plupart des facteurs psychologiques du génocide? Environ 1/3 des protocoles ne contenaient aucun des facteurs identifiés dans cette étude. Peut-être faut-il se contenter des résultats obtenus sur les deux autres tiers, en termes de facteurs explicatifs potentiels. Il est fort probable que près d’un tiers des acteurs de génocide ne sont en rien différents des être humains que l’on appelle ”normaux“. Cette hypothèse ne pourra être confirmée que par d’autres études sur la psychologie du génocide.
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8

Poznanski, Thaddée. "Loi modifiant la loi des accidents du travail." Commentaires 22, no. 4 (April 12, 2005): 558–65. http://dx.doi.org/10.7202/027838ar.

Full text
Abstract:
Le Bill 79 modifiant la Loi (québécoise) des accidents du travail a été sanctionné le 12 août 1967 et est entré en vigueur le même jour, mais plusieurs dispositions essentielles de la nouvelle loi ne prennent effet qu'à compter du 1er septembre 1967. Les changements principaux apportés par ce Bill concernent l'amélioration des prestations versées aux accidentés et à leurs survivants; ceci non seulement pour les accidents qui surviendront à compter du 1er septembre 1967, mais aussi celles versées présentement pour les accidents antérieurs à cette date. Mentionnons, cependant, que pour les accidents survenus à compter du 1er septembre 1967 la limite du salaire annuel compensable est haussée à $6,000, cette limite n'étant avant cette date que de $5,000 et cela à partir du 1er janvier 1960 ($4,000 à partir du 1er janvier 1955, $3,000 à partir du 1er février 1952, $2,500 à partir du 1er juillet 1947 et $2,000 depuis 1931 — l'année d'entrée en vigueur de la Loi des accidents du travail). Pour saisir l'importance de la modification du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000, on peut mentionner qu'en 1966 presque 40% des accidentés ayant droit à une prestation pécuniaire ont eu un salaire dépassant la limite de $5,000, et dans quelques classes de risque le pourcentage en question dépasse 75% (par exemple: aciéries, etc.). Pour les accidentés d'avant le 1er septembre 1967 le salaire compensable reste le même que lors de l'accident (« gains moyens pendant les douze mois précédant l'accident si son emploi a duré au moins douze mois, ou de ses gains moyens au cours de toute autre période moindre pendant laquelle il a été au service de son employeur »),avec les limites alors en vigueur, même si le salaire effectif de l'accidenté (calculé de la manière précitée) dépassait la limite en question. Mais déjà lors de la revalorisation des rentes effectuée en 1964 (avec effet du 1er octobre 1964) on a tenu compte, dans une certaine mesure, des modifications successives du plafond et les pourcentages ajoutés aux montants des rentes des accidentés d'antan sont basées justement sur l'échelle de ces plafonds et leurs relations. Toutefois, dans l’intention de vouloir couvrir la capitalisation des majorations dues à la revalorisation par le fonds disponible, on s'est vu obligé de n'accorder que 40% de l'augmentation; ainsi, par exemple, pour les accidents des années 1931-1947, quand la limite des salaires compensables était de $2,000 par année, la revalorisation accordée en 1964 était de 60%, tandis que le plafond a augmenté de 150%, à savoir de $2,000 à $5,000; de la même façon, les rentes pour les accidents survenus entre le 30 juin 1947 et le 1er février 1952 ont été augmentées de 40% et celles pour les accidents survenus entre le 31 janvier 1952 et le 1er janvier 1955 de 27% et celles des années 1955-1959 de 10%. La revalorisation prévue présentement, par le Bill 79, est basée sur d'autres principes que celle effectuée en 1964. En premier lieu, il est à noter que lors de la revalorisation en 1964 on n'a pas tenu compte, du moins explicitement, du fait que les rentes des bénéficiaires dont les accidents datent d'avant 1956 sont calculées d'après un taux inférieur à 75% présentement (à partir du 1er janvier 1956) applicable pour l'incapacité permanente totale (et des taux proportionnels en cas d'incapacité permanente partielle), à savoir selon un taux de 66 2/3% pour les accidents survenus de 1931 au 31 janvier 1952 et selon le taux de 70% du 1er février 1952 au 31 décembre 1955. On peut toutefois signaler que les montants des rentes revalorisées en 1964 selon les pourcentages consignés à l'art. 38 de la loi (donc de 40% à 10% selon l'année de l'accident) sont, dans tous les cas, supérieurs aux montants théoriques provenant d'un ajustement hypothétique selon le taux de 75%. En passant, il est à mentionner que dans les autres provinces canadiennes le seul ajustement effectué à date, c'est de recalculer les rentes en les basant sur le taux de 75%. * La revalorisation prévue par le Bill 79 tient compte de trois facteurs. En premier lieu, la majoration de la rente ne part pas du montant initial de la rente, mais de celui augmenté par la revalorisation de 1964. Le deuxième facteur amène toutes les rentes au taux de 75%, expliqué plus haut. Le troisième facteur tient compte du changement de l'indice du coût de la vie entre la date de l'octroi de la rente (date de l'accident) et l'année 1966, avec correction que la rente ainsi ajustée, d'après le coût de la vie, ne soit pas inférieure à celle d'après le principe du taux de 75%. Voici donc la table des majorations prévue par le Bill 79 (annexe A), applicable aux rentes payables le 30 septembre 1967, donc déjà augmentées, le cas échéant d'après la revalorisation de 1964. ANNEXE "A" A LA LOI Année de l'accident Taux de majoration 1931 -1939 40 % 1940 34 % 1941 26 % 1942 21 % 1943 19 % 1944 18 % 1945 7 % 1946 14 % 1947 -1951 12.5 % 1952 -1954 7.14 % 1955 10 % 1956 9 % 1957 5 % 1958 2.2 % 1959 1.1 % 1960 10 % 1961 9 % 1962 8 % 1963 6 % 1964 4 % 1965 2 % Cette échelle des majorations selon l'année de l'accident nécessite, peut-être, quelques explications par des exemples suivants: a) Les rentes provenant des accidents survenus après le 1er janvier 1960, n'étaient pas revalorisées en 1964. D'après l'échelle maintenant adoptée, elles seront majorées selon un taux de 2% par année écoulée depuis l'année de l'accident jusqu'à 1966. b) Les rentes provenant des accidents de la période 1955-1959 ont été revalorisées en 1964 de 10%; pour tenir compte de l'indice du coût de la vie, l'échelle prévoit des augmentations allant de 1.1% à 10% selon l'année de l'accident. c) Les rentes provenant des accidents de la période 1952-1954 ont été revalorisées en 1964 de 27%; après la revalorisation d'un tel pourcentage, les rentes sont déjà plus élevées que d'après l'indice du coût de la vie; l'échelle du Bill prévoit donc pour ces rentes un ajustement de 70% à 75%, c'est-à-dire une majoration de 7.14%. d) Les rentes provenant des accidents de la période 1948-1951 ont été revalorisées en 1964 de 40%; maintenant, d'après le Bill 79, elles sont majorées de 12.5% pour tenir compte de la relation de 75% à 66 2/3%. e) La même chose s'applique aux rentes provenant de la première moitié de l'année 1947, revalorisées en 1964 de 60%. f) Pour les rentes provenant des accidents d'avant le 1er janvier 1947, l'échelle du Bill 79 prévoit une majoration selon l'indice du coût de la vie, car un ajustement de 66 2/3% à 75% serait inférieur. En plus de la revalorisation des rentes aux accidentés, tel que décrit plus haut, le Bill 79 prévoit une majoration substantielle des rentes aux survivants; ces rentes sont, en principe, indépendantes du salaire compensable de l'ouvrier — victime d'un accident. D'après le Bill 79 les rentes mensuelles versées aux veuves (ou veufs invalides) seront portées de $75 à $100, donc une majoration de 33 1/3%. Les rentes pour les enfants seront portées de $25 à $35 par enfant, donc une majoration de 40%, et les rentes aux orphelins de père et de mère de $35 à $55. Mentionnons, en passant, que lorsque de la revalorisation en 1964 des rentes aux accidentés, les montants des rentes aux survivants n'ont pas été modifiés; la rente de veuve au montant de $75 existe depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement à cette date elle était de $40 de 1931 à 1947 et de $45 durant la période 1947-1954). De même les rentes pour les enfants au montant de $25 et $35 aux orphelins existent depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement elles étaient de $10 resp. $15 durant la période 1931-1947 et de $20 resp. $30 durant la période 1947-54). Il est à remarquer que dans tous les cas le montant des rentes était fixé selon la date du paiement (de l'échéance) quelle que soit la date de l'accident. La loi prévoit à l'art. 34, par. 10 qu'en principe, le total des rentes mensuelles payées au décès d'un ouvrier, ne peut excéder 75% de son salaire compensable et, le cas échéant, les rentes sont réduites proportionnellement. Cependant la rente mensuelle minimum payable à une veuve (ou un veuf invalide) avec un seul enfant est fixée d'après le Bill 79 à $135 en prévoyant ainsi une augmentation de la situation précédente de $35; pour une veuve avec deux enfants la rente est portée de $125 à $170 (une augmentation de $45) et pour une veuve avec plus de deux enfants de $150 à $205 (une augmentation de $55). S'il y a plus que deux enfants admissibles à ces rentes (donc âgés de moins de 18 ans ou aux études ou invalides) le montant à la veuve (y compris pour les enfants) peut excéder le dit montant de $205 par mois lorsque le salaire mensuel de la victime dépasse $273.33 (car 75% de $274 est de $205.50). Le Bill 79 en majorant les rentes en cours payables aux survivants des victimes des accidents survenus avant le 1er septembre 1967, prévoit une augmentation identique aux rentes qui seront accordées aux survivants des victimes des accidents survenus à compter du 1er septembre 1967. En outre, le Bill stipule que l'allocation spéciale payable à la veuve (ou à la mère adoptive) en plus des dépenses encourues pour les funérailles de l'ouvrier, devient $500 au lieu de $300. Une autre amélioration des prestations provient du fait que dorénavant les rentes accordées dans le cas d'incapacité permanente (totale ou partielle) seront versées jusqu'à la fin du mois durant lequel décède un tel rentier. D'après le texte précédent l'ouvrier n'a droit à sa rente que « sa vie durant »; ainsi les rentes exigibles pour le mois dans lequel a eu lieu le décès n'étaient payables (à la succession) que proportionnellement selon le nombre de jours qu'il a vécus (il est à mentionner à cette occasion que la loi parle toujours de la « rente hebdomadaire » quoique ces rentes sont versées en termes mensuels). La modification à ce propos est d'ailleurs conforme aux principes du Régime de rentes où on stipule que « le paiement d'une prestation est dû au début du mois, mais il est versé à la fin de chaque mois pour le mois écoulé ». En parlant des rentes aux victimes des accidents, il peut être intéressant de signaler que la très grande partie de ces rentes sont: payées pour l'incapacité partielle; ainsi selon l'état au 31 décembre 1966 le nombre des rentiers dont l'incapacité ne dépasse pas 20% est d'environ 63% du total et même la proportion de ceux avec une incapacité ne dépassant pas 50% est de 91%. Le degré moyen d'incapacité s'élevait à 24.4%. Parmi d'autres modifications apportées par le Bill 79, on peut mentionner l'article qui couvre le cas d'aggravation d'un mal d'un accidenté du travail. L'amendement prévoit que dans de tel cas la compensation pour l'incapacité temporaire ou permanente sera basée sur le salaire de l'ouvrier au moment de l'aggravation (rechute, etc.) si celle-ci survient plus que trois (3) ans après cet accident, bien entendu lorsque ce salaire est plus élevé que ceux qui ont servi de base pour établir la compensation antérieure. Dans le passé ce délai était de 5 ans. Une autre modification, inspirée celle-ci par la Loi sur le Régime de rentes, prévoit que la CAT peut déclarer morte une personne disparue à la suite d'un accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail, dans les circonstances qui font présumer son décès et reconnaître, la date de l'accident (ou la disparition) comme date de son décès, et par le fait même, de verser aux survivants les prestations requises. Une disposition spéciale du Bill 79 concerne le cas de pneumoconiose (silicose et amiantose); d'après la nouvelle teneur de l'article en question la CAT peut accepter une réclamation à cette fin, aussi si la pneumoconiose « est accompagnée d'une autre complication »; dans le passé il existait justement la restriction que la pneumoconiose ne soit « accompagnée d'aucune complication » (art. 108 de la Loi) pour avoir droit à une compensation. Enfin un article du Bill 79 donne droit aux compensations à toute personne qui serait blessée ou tuée alors qu'elle accompagne un inspecteur des mines, en vertu de la Loi des mines, même si c'est un travail d'occasion ou étranger à l'industrie de l'employeur, lesquels cas, règle générale, ne donnent droit aux compensations. De la revalorisation des rentes en cours vont profiter en 1967 environ 15 mille bénéficiaires (soit accidentés ou atteints de maladie professionnelle) et l'augmentation des rentes atteindra $62,500 par mois ou $750,000 par année; cela fait en moyenne environ 10% des montants versés avant la revalorisation. En ce qui concerne les rentes aux veuves leur nombre est d'environ 2,300, tandis que le nombre d'enfants admissibles atteint environ 3,800 (y compris les orphelins de père et de mère, ainsi que les étudiants au dessus de 18 ans et les enfants-invalides). L'article 5 du Bill 79 prévoit que l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux accidentés découlant de la revalorisation incombe au fond d'accident ou à l'employeur de la même manière que celle de la rente de base; une disposition semblable se trouvait dans l'amendement de la Loi lors de la revalorisation en 1964. Par contre le Bill 79 ne dit pas explicitement à qui incombe l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux survivants décrétée par ce Bill. On peut toutefois déduire de l'art. 3 de la Loi que l'employeur dont l'industrie est mentionnée dans la cédule II (et qui par le fait même ne contribue pas au fond d'accident) est personnellement tenu de payer la compensation y compris la modification accordée par le Bill. D'autre part, toujours d'après le même article, l'employeur dont l'industrie est mentionnée à la cédule I, n'est pas responsable de payer la compensation, étant tenu de contribuer au fond d'accident de la Commission. La réforme des prestations aux survivants (des rentes et de l'allocation spéciale) causées par les accidents mortels, survenus après le 31 août 1967 aura comme conséquence l'augmentation des dépenses de la Commission et, par ricochet, amènera une faible majoration des taux de contributions. On estime que de ce fait le taux futur de contribution devra subir une majoration moyenne de moins de 4% du taux actuel; la majoration ne sera pourtant uniforme dans toutes les classes d'industries ou de risque; elle dépendra, en premier lieu, de la fréquence des accidents mortels qui est très différente selon la classe. Par contre, la revalorisation des rentes aux accidentés et l'ajustement de celles aux survivants (veuve, enfants)en cours en septembre 1967, c'est-à-dire causées par les accidents antérieurs soulève un problème particulier. Lors de la revalorisation des rentes en 1964, la Commission pouvait se prévaloir d'un excédent qui se trouvait (implicitement) dans son fond d'accident, pour former la capitalisation des augmentations des rentes provenant de la dite revalorisation. Contrairement à la position de 1964, la situation financière de la CAT en 1967 n'accuse pas de tel excédent (ni explicitement, ni implicitement) pour former la capitalisation des majorations décrétées par le Bill 79. D'après une déclaration du ministre du Travail en Chambre, les majorations en question exigeraient une capitalisation d'environ $21,5 millions. Il serait impossible (et même illogique) de prélever des employeurs une telle somme d'un seul coup. La Commission pourra donc se prévaloir, paraît-il, des dispositions de l'art. 32 de la Loi qui prévoit que « la Commission peut, de la manière et à telle époque ou à telles époques qu'elle croit le plus équitable et le plus en harmonie avec les principes généraux et les dispositions de la présente loi, prélever des employeurs qui ont exploité dans le passé, qui exploitent actuellement ou qui exploiteront à l'avenir une des industries visées par la présente loi, les sommes additionnelles résultant de l'augmentation des compensations payables en vertu des dispositions de la présente loi ». En vertu de cet article (qui est rédigé quasi « sur mesure » de notre problème) il est donc loisible à la Commission de répartir le montant nécessaire sur une longue période, par exemple 25 ans, en prélevant annuellement à titre de sommes additionnelles (sans nécessairement les identifier comme telles) aux contributions régulières; une telle répartition sur une période de 25 ans exigerait environ 6.4% du montant de la capitalisation nécessaire de $21,5 millions, donc environ $1,400,000 par année; ce montant tient compte d'intérêt à raison de 4% composé annuellement, c'est-à-dire le même que le taux d'escompte appliqué pour évaluer la valeur présente des augmentations accordées. Dans l'hypothèse que les contributions annuelles régulières dépasseront $50 millions, la cotisation additionnelle serait d'ordre de 3% et possible moins, si on envisage que la hausse du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000 et l'assujettissement projeté de nouveaux groupes des travailleurs augmentera sensiblement le volume global des contributions régulières. D'après le plan quinquennal préparé par la Commission et annoncé par le ministre du Travail dans la Gazette du Travail du Québec (juillet 1967) on peut s'attendre que le nombre des salariés couverts par la Loi augmentera dans 5 ans de 50%, en passant de un million en 1966 à un million et demi en 1972, ceci selon les données disponibles actuellement concernant les nouvelles entreprises qui deviendront progressivement assujetties à la Loi. Lors de la discussion du Bill 79 à l'Assemblée législative on a soulevé la question du rajustement ou de l'adaptation automatique au coût de la vie des prestations de la Commission aux accidentés (et à leurs survivants), tout comme cela est prévu pour les prestations du Régime de rentes (au Québec et dans les autres provinces canadiennes) et aussi pour les pensions (fédérales) de la sécurité de la vieillesse. Selon l'explication donnée en Chambre par le ministre du Travail, le gouvernement a envisagé d'une manière objective la question de la revalorisation automatique future des rentes de la CAT, mais le gouvernement n'a pas voulu cette année, selon l'expression du ministre, en faire une disposition particulière dans la loi, bien qu'on y avait songé; et cela surtout, d'après le ministre, à cause du coût supplémentaire pour les employeurs (lesquels, comme on sait, sont les seuls qui contribuent à la CAT), lequel serait occasionné par un tel ajustement automatique. Le ministre a ajouté que le gouvernement est bien conscient du problème et qu'il ne l'a pas abandonné. Il faut donc comprendre qu'il sera étudié plus tard, peut-être, avec l'ajustement automatique d'autres prestations payables par le gouvernement.1 A ce propos, il est à signaler qu'à date, à notre connaissance, il y a une seule province au Canada, celle de la Colombie-Britannique, dans laquelle les prestations périodiques sont sujettes à un accroissement automatique, selon l'indice des prix à la consommation. En substance, si cet indice augmente d'une année à l'autre de pas moins de 2%, les rentes seront accrues de 2% pour chaque augmentation de 2% de l'indice.
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Dissertations / Theses on the topic "Données à haut-fréquence"

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Kouontchou, Kepawou Patrick. "De l'information en haut fréquence : quatre essais empiriques sur les mesures de risques et l'évaluation des actifs financiers." Phd thesis, Université Panthéon-Sorbonne - Paris I, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00364023.

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Abstract:
Cette thèse exploite les données de haute fréquence, plus proches des « vrais » processus de prix, mais qui engendrent un certain nombre de problèmes techniques qui nous permettent de réexaminer certains modèles d'évaluation des actifs financiers et la gestion des risques financiers. Nous commençons par explorer un phénomène dénommé « Rose des vents » découvert par Crack et Ledoit (1996) caractérisant les échanges à très haute fréquence. Cette question a déjà fait l'objet de plusieurs études qui n'ont pu complètement caractériser les conditions de cette structure sur quelques titres du marché français. Nous montrons dans un deuxième essai que la précision d'une mesure de risque efficiente, appelée Valeur-en-risque, est améliorée lorsqu'on utilise des données de haute fréquence. Nous exploitons une Analyse en Composants Indépendantes pour extraire les facteurs de risques, et nous montrons qu'elle donne des résultats plus robustes, hors échantillon, qu'une extraction par composantes principales. Nous généralisons ensuite les modèles traditionnels d'évaluation des prix des actifs aux moments d'ordres supérieurs « réalisés ». Nous montrons que cette généralisation améliore sensiblement les estimations. Nous terminons cette thèse par une extension sur l'extraction d'un temps d'échanges implicite qui permet de retrouver une distribution Gaussienne des rendements. Nous obtenons, à partir d'une méthode d'optimisation directe, un temps implicite sur plusieurs titres du marché français des actions.
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Donnet, François. "Synthèse de haut niveau contrôlée par l'utilisateur." Paris 6, 2004. http://www.theses.fr/2004PA066095.

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Dégardin, Virginie. "Analyse de la faisabilité d'une transmission de données haut débit sur le réseau électrique basse tension." Lille 1, 2002. https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Num/2002/50376-2002-269-270.pdf.

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Abstract:
La technique PLT (Power Line Telecommunication) consiste à utiliser l'installation électrique pour transmettre des données haut débit, supérieur à 1 Mb/s. Cependant le réseau électrique s'avère être un support critique pour assurer une transmission de qualité, ceci étant dû à un canal sélectif en fréquence et non stationnaire et à la présence de bruits bande étroite et impulsifs. Un modèle stochastique déduit des mesures de fonction de transfert et de bruit est proposé puis intégré dans un simulateur de canal. Pour lutter contre le bruit bande étroite, des méthodes d'allocation binaire pour des liaisons multi-porteuses sont comparées, puis pour s'affranchir de la sélectivité et de la non stationnarité du canal, une méthode d'estimation du canal proposée. Enfin des techniques de codage sont optimisées pour lutter contre le bruit impulsif.
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Pasca, Bogdan Mihai. "Calcul flottant haute performance sur circuits reconfigurables." Phd thesis, Ecole normale supérieure de lyon - ENS LYON, 2011. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00654121.

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Abstract:
De plus en plus de constructeurs proposent des accélérateurs de calculs à base de circuits reconfigurables FPGA, cette technologie présentant bien plus de souplesse que le microprocesseur. Valoriser cette flexibilité dans le domaine de l'accélération de calcul flottant en utilisant les langages de description de circuits classiques (VHDL ou Verilog) reste toutefois très difficile, voire impossible parfois. Cette thèse a contribué au développement du logiciel FloPoCo, qui offre aux utilisateurs familiers avec VHDL un cadre C++ de description d'opérateurs arithmétiques génériques adapté au calcul reconfigurable. Ce cadre distingue explicitement la fonctionnalité combinatoire d'un opérateur, et la problématique de son pipeline pour une précision, une fréquence et un FPGA cible donnés. Afin de pouvoir utiliser FloPoCo pour concevoir des opérateurs haute performance en virgule flottante, il a fallu d'abord concevoir des blocs de bases optimisés. Nous avons d'abord développé des additionneurs pipelinés autour des lignes de propagation de retenue rapides, puis, à l'aide de techniques de pavages, nous avons conçu de gros multiplieurs, possiblement tronqués, utilisant des petits multiplieurs. L'évaluation de fonctions élémentaires en flottant implique souvent l'évaluation en virgule fixe d'une fonction. Nous présentons un opérateur générique de FloPoCo qui prend en entrée l'expression de la fonction à évaluer, avec ses précisions d'entrée et de sortie, et construit un évaluateur polynomial optimisé de cette fonction. Ce bloc de base a permis de développer des opérateurs en virgule flottante pour la racine carrée et l'exponentielle qui améliorent considérablement l'état de l'art. Nous avons aussi travaillé sur des techniques de compilation avancée pour adapter l'exécution d'un code C aux pipelines flexibles de nos opérateurs. FloPoCo a pu ainsi être utilisé pour implanter sur FPGA des applications complètes.
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Taamouti, Abderrahim. "Problèmes d'économétrie en macroéconomie et en finance : mesures de causalité, asymétrie de la volatilité et risque financier." Thèse, 2007. http://hdl.handle.net/1866/1507.

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