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Journal articles on the topic 'Dossier médical électronique'

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Tschudi, Hunziker, Kündig, Lüscher, Freiermuth, Heller, and Heberer. "Internet-Kommunikation zwischen Hausärzten und Universitätsspital." Praxis 91, no. 7 (February 1, 2002): 257–60. http://dx.doi.org/10.1024/0369-8394.91.7.257.

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Abstract:
Les nouvelles perspectives qu'offre la communication électronique en médecine sont illustrées ici par un projet pilote d'une interface de communication via internet (MeDaCom: medical data communication) entre médecins référents et praticiens hospitaliers. L'avantage des échanges électroniques réside principalement dans leur rapidité et leur capacité pour le transfert de données. Ceci confère à ces dernières une disponibilité, une compatibilité et une facilité d'intégration en adéquation avec les diverses contraintes de la gestion et du traitement d'un dossier médicale. Les qualités requises pour un programme gérant la communication électronique de données médicales sont donc liées à la sécurité du transfert, la disponibilité et l'intégration des données ainsi qu'au potentiel de gestion proprement dit du dossier médical (confidentialité, stabilité, simplicité d'utilisation, flexibilité, gestion comptable). L'efficacité de gestion du dossier voire du traitement médical peut être améliorée par la communication électronique dans la mesure où, au delà de la simple substitution du courrier papier par sa version électronique, celle-ci est compatible avec des fonctions plus complexes associées à une utilisation optimisée et généralisable des technologies modernes.
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Lavayssière, Robert, Bruno Silberman, and Jean-Philippe Masson. "Le dossier médical électronique partagé." Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1463. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)77515-0.

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3

Decor, Thierry, Sophie Heitz, Isabelle Moser, and Eliane Zeindler. "Un dossier médical électronique innovant pour les enfants suivis en PMI." Cahiers de la Puéricultrice 54, no. 311 (November 2017): 16–19. http://dx.doi.org/10.1016/j.cahpu.2017.09.004.

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4

Chabriais, Joël, Karima Bourquard, Yvonnick Morice, and Robert Sigal. "Qu’est-ce que le dossier médical électronique ? Quelles sont les contraintes à respecter ?" Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1144. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)76437-9.

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5

Zemour, L., A. Belghitri, and N. Midoun. "Satisfaction des utilisateurs du dossier électronique médical dans le système d’information hospitalier, Oran." Revue des Maladies Respiratoires 35 (January 2018): A235—A236. http://dx.doi.org/10.1016/j.rmr.2017.10.547.

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6

Chabriais, Joël, Karima Bourquard, Francis Joffre, and Hugues Dufey. "Le dossier médical électronique : l’offre industrielle, les expériences, les projets internationaux, les projets en France." Journal de Radiologie 85, no. 9 (September 2004): 1145. http://dx.doi.org/10.1016/s0221-0363(04)76448-3.

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7

Zemour, L., A. Belghitri, N. Touil, N. Malyi, Z. Abdedaim, Y. Abdelkadous, N. Boumansour, A. Dali Ali, and N. Midoun. "Déploiement du dossier électronique médical à l’Établissement hospitalier universitaire d’Oran : évaluation de la satisfaction des utilisateurs." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 67 (March 2019): S111. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2019.01.109.

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8

Choucrani, S., S. Ouhadj, F. Agag, and N. Midoun. "Aide à la gestion de la transition pour le passage au dossier électronique médical (Dem) à l’établissement hospitalier universitaire d’Oran (EHUO)." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (March 2013): S26—S27. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.01.073.

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9

Zemour, L., A. Belghitri, I. Damouche, K. Reguieg, R. Tedjani, and N. Midoun. "Mesure de la satisfaction des utilisateurs du dossier électronique médical au sein du système d’information hospitalier à l’établissement hospitalier et universitaire d’Oran, Algérie." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 64 (September 2016): S260. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2016.06.324.

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Andrade, Lesley, Kathy Moran, Susan J. Snelling, Darshaka Malaviarachchi, Joanne Beyers, Kelsie Near, and Janis Randall Simpson. "Au-delà de l’IMC : étude de faisabilité de la mise en oeuvre de NutriSTEP dans les établissements de soins primaires au moyen des dossiers médicaux électroniques (DME)." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 40, no. 1 (January 2020): 1–11. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.40.1.01f.

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Abstract:
Introduction Les fournisseurs de soins primaires ont un rôle à jouer dans l’acquisition de saines habitudes alimentaires, en particulier au cours des premières années de vie. Cette étude porte sur la faisabilité de l’intégration de NutriSTEP® – un outil valide de dépistage des risques nutritionnels en 17 points chez les tout‑petits et les enfants d’âge préscolaire – au dossier médical électronique (DME) dans les établissements de soins primaires de l’Ontario (Canada), afin d’éclairer la prise de décisions en matière de soins primaires et la surveillance en santé publique. Méthodologie Cinq établissements de soins primaires ont intégré, au moyen d’un questionnaire normalisé, le programme de dépistage NutriSTEP au DME. Afin de comprendre les expériences vécues par les professionnels en la matière et d’évaluer les facteurs associés à la réussite de l’implantation de NutriSTEP, nous avons mené des entrevues semi‑dirigées de nature qualitative auprès des fournisseurs de soins primaires connaissant le mieux les détails de sa mise en oeuvre dans leur établissement. Nous avons évalué la qualité des données extraites des DME en déterminant le nombre de questionnaires de dépistage NutriSTEP dûment remplis et avons consigné les mesures de croissance des enfants. Résultats Les établissements de soins primaires ont mis en oeuvre le questionnaire de dépistage NutriSTEP dans le cadre de diverses rencontres cliniques périodiques, avec des processus de collecte de données variables selon l’établissement. Des données de dépistage NutriSTEP valides ont été recueillies dans les DME de 80 % des établissements de soins primaires. Dans près de 90 % de ces dossiers, le questionnaire avait été entièrement rempli et 70 % des dossiers comportaient à la fois un questionnaire de dépistage NutriSTEP valide complet et des mesures de croissance valides. Conclusion Il est possible d’intégrer NutriSTEP dans les établissements de soins primaires sous la forme d’un questionnaire normalisé dans le DME, même si, dans notre étude, la façon dont NutriSTEP avait été mis en oeuvre variait selon les établissements. L’utilisation, dans le cadre d’un système de surveillance global du poids santé des enfants, du questionnaire de dépistage NutriSTEP intégré au DME mérite d’être étudiée davantage.
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Cheng, Phoebe, Atousa Zagaran, Fahra Rajabali, Kate Turcotte, and Shelina Babul. "Établissement d’une base de référence : description des intoxications au cannabis dans un hôpital pédiatrique canadien avant la légalisation de la consommation de cannabis à des fins récréatives." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 40, no. 5/6 (June 2020): 215–23. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.40.5/6.08f.

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Abstract:
Introduction Cette étude décrit les événements et les circonstances à l’origine des admissions de jeunes de 16 ans et moins au service des urgences d’un hôpital pédiatrique canadien pour une intoxication au cannabis. Méthodologie Nous avons extrait de la base de données du Système canadien hospitalier d’information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) les cas d’intoxication au cannabis ayant été traités au service des urgences de l’Hôpital pour enfants de la Colombie­Britannique (HECB) entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2018. Nous avons examiné le système électronique d’information sur la santé de l’hôpital ainsi que le dossier médical des patients pour obtenir plus de renseignements sur le contexte des cas, notamment les caractéristiques spatiales et temporelles. Résultats Des 911 cas d’intoxication traités à l’HECB, 114 étaient liés à la consommation intentionnelle de cannabis (12,5 %). Moins de 10 concernaient des enfants ayant ingéré du cannabis par inadvertance, avec un âge médian pour ces cas de 3 ans. Toutes les ingestions accidentelles sont survenues à la maison et, dans tous les cas, le cannabis appartenait à un membre de la famille du patient. La vaste majorité des intoxications étaient dues à une consommation intentionnelle soit de cannabis seul (28,9 %) soit de cannabis avec d’autres substances psychoactives (co­ingestion, 71,1 %). L’âge médian des patients était de 15 ans. La plupart des patients ont déclaré avoir consommé le cannabis par inhalation et en groupe. Les intoxications au cannabis seul et au cannabis co­ingéré avec d’autres substances étaient plus fréquentes les jours de semaine que les fins de semaine. Dans la plupart des cas d’intoxication au cannabis, le cannabis avait été consommé dans une résidence privée. La majorité des victimes d’intoxication au cannabis ont obtenu des soins médicaux par elles­mêmes ou ont été aidées par leur famille. Conclusion Les caractéristiques des cas d’intoxication pédiatrique au cannabis portent sur les trois ans précédant la légalisation de la consommation de cannabis à des fins récréatives au Canada, de manière à établir une base de référence pour des comparaisons futures. Nous abordons aussi la question de l’amélioration des initiatives et des politiques de prévention à la lumière de ces résultats.
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Tu, K., T. Mitiku, H. Guo, D. S. Lee, and J. V. Tu. "Incidence de l’infarctus du myocarde et validation des données de facturation des médecins et des données d’hospitalisation à partir des dossiers médicaux électroniques." Maladies chroniques et blessures au Canada 30, no. 4 (September 2010): 148–54. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.30.4.06f.

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Abstract:
Objectif La détection au sein d’une population des personnes qui ont subi un infarctus du myocarde ne repose actuellement que sur la liste des patients en phase aiguë se présentant à l’hôpital. Nous voulons déterminer si, en combinant les données de facturation des médecins aux données sur les congés d’hôpital, nous obtiendrions une meilleure détection. Méthodologie Nous avons utilisé comme échantillon de référence 969 patients adultes, choisis au hasard à partir de dossiers médicaux électroniques fournis par des médecins de première ligne en Ontario (Canada). Résultats Un algorithme fondé sur trois facturations de médecins au cours d’une période d’un an, dont au moins une provenait d’un spécialiste ou d’une consultation dans un centre hospitalier ou une salle d’urgence, et sur un dossier de congé d’hôpital a permis d’obtenir une sensibilité de 80,4 % (IC à 95 % : 69,5-91,3), une spécificité de 98,0 % (IC à 95 % : 97,19-8,9), une valeur prédictive positive de 69,5 % (IC à 95 % : 57,7-81,2), une valeur prédictive négative de 98,9 % (IC à 95 % : 98,2-99,6) et une valeur kappa de 0,73 (IC à 95 % : 0,63-0,83). Conclusion L’utilisation combinée des dossiers de congé d’hôpital et des données de facturation des médecins pourrait être la meilleure façon d’évaluer les tendances sur une longue période de la fréquence des infarctus du myocarde, car elle permet de détecter davantage de cas que la méthode fondée sur les seules données d’hospitalisation.
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Schultz, SE, DM Rothwell, Z. Chen, and K. Tu. "Repérage des cas d'insuffisance cardiaque congestive à partir de données administratives : étude de validation utilisant des dossiers de patients en soins primaires." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 3 (June 2013): 179–86. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.3.06f.

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Abstract:
Introduction En vue de déterminer si l'utilisation conjuguée des données administratives hospitalières et des factures présentées par les médecins au titre des soins ambulatoires pouvait permettre de repérer avec exactitude les patients souffrant d'insuffisance cardiaque congestive (ICC), nous avons mis à l'essai neuf algorithmes pour repérer à partir de données administratives les personnes souffrant d'ICC. Méthodologie La cohorte de validation par rapport à laquelle les essais ont été effectués combinait des données provenant d'un échantillon aléatoire de patients adultes inscrits dans la base de données EMRALD de dossiers médicaux électroniques des médecins de premier recours en Ontario, au Canada, et des données recueillies en 2004-2005 à partir d'un échantillon aléatoire de patients en soins primaires pour une étude sur l'hypertension. On a évalué la sensibilité, la spécificité, la valeur prédictive positive, l'aire sous la courbe ROC et la combinaison des rapports de vraisemblance positif et négatif des algorithmes. Résultats Nous avons constaté qu'un dossier d'hospitalisation ou de facturation de médecin suivi d'un second dossier provenant de l'une ou l'autre de ces sources dans la même année produisait les meilleurs résultats, avec une sensibilité de 84,8 % et une spécificité de 97,0 %. Conclusion La prévalence de l'ICC dans la population peut être mesurée avec exactitude à partir de données administratives issues de l'hospitalisation et des soins ambulatoires.
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Lacour, Stéphanie. "Du secret médical aux dossiers de santé électroniques. Réflexions juridiques sur la protection des données de santé." Médecine & Droit 2016, no. 138 (June 2016): 62–69. http://dx.doi.org/10.1016/j.meddro.2016.03.001.

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Devillier, Nathalie. "Chapitre 5. De la gestion à l'optimisation des données de santé : l'état d'avancement des dossiers médicaux électroniques." Journal International de Bioéthique 25, no. 3 (2014): 81. http://dx.doi.org/10.3917/jib.253.0081.

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Negm, Ahmed M., Courtney C. Kennedy, Janet M. Pritchard, George Ioannidis, Vasilia Vastis, Sharon Marr, Christopher Patterson, et al. "The Short Performance Physical Battery Is Associated with One-Year Emergency Department Visits and Hospitalization." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 38, no. 4 (March 4, 2019): 507–11. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980819000011.

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Abstract:
RÉSUMÉLes outils cliniques employés dans les établissements de soins peuvent fournir des informations pronostiques importantes aux professionnels de la santé. Dans cette étude observationnelle prospective d’un an, nous avons examiné l’association entre les scores au Short Performance Physical Battery (SPPB), d’une part, et les consultations à l’urgence et les hospitalisations au cours de l’étude, d’autre part. Au total, 191 patients ayant été nouvellement référés à une clinique gériatrique externe de Hamilton (Ontario) ont été contactés, et parmi eux, 120 pris part à l’étude. Le SPPB et d’autres évaluations ont été réalisés dans le cadre de consultations de routine. Les dossiers médicaux électroniques ont été examinés pour déterminer le nombre de consultations à l’urgence et d’hospitalisations dans l’année qui a suivi l’évaluation de base. Des analyses de régression logistique ont été utilisées pour identifier des prédicteurs des consultations à l’urgence et des hospitalisations. Le score moyen au SPPB dans la cohorte étudiée (moyenne d’âge = 80,6 ans, écart-type = 6,3 ans ; 53 % de femmes) était de 6,3 (écart-type = 3,2). Au cours de cette période d’un an, le score au SPPB était associé au nombre de consultations à l’urgence [RR = 0,90 (0,78-1,03)] et d’hospitalisations [RR = 0,84 (0,72-0,97)], après ajustement pour l’âge, le sexe et les comorbidités.
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"Dossier médical électronique et aide à la décision." PrimaryCare 12, no. 06 (March 14, 2012): 101–4. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2012.09117.

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"Arosa 2020 ou le dossier médical électronique – quo vadis?" PrimaryCare 13, no. 09 (May 8, 2013): 153–55. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2013.00343.

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"Dossier médical électronique et utilisation de l'ordinateur dans un réseau urbain de médecins." PrimaryCare 10, no. 06 (April 14, 2010): 115–16. http://dx.doi.org/10.4414/pc-f.2010.08575.

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Altman, C., G. Bonnaud, I. Ingrand, S. Beorchia, and JC Letard. "Utilisation du dossier médical électronique (DME) par les hépato-gastroentérologues (HGE) en France." Endoscopy 43, no. 03 (March 2011). http://dx.doi.org/10.1055/s-0031-1273168.

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Manning, Jessica, Robert T. Pammett, Abu Obeida Hamour, Aleisha Enemark, and Barret Barr. "Assessing Use of a Standardized Allergy History Questionnaire for Patients with Reported Allergy to Penicillin." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 74, no. 2 (April 19, 2021). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v74i2.3096.

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Abstract:
Background: Inappropriate allergy labelling is associated with significant clinical and pharmacoeconomic implications. Detailed antimicrobial allergy assessments represent a key component of antimicrobial stewardship and aid in identifying true type I (immediate hypersensitivity) reactions. The allergy history form currently used at the University Hospital of Northern British Columbia (UHNBC), in Prince George, relies on the assessor’s ability to ask appropriate prompting questions to obtain a thorough history, but it may not be sufficient to accurately identify true allergies. Objective: To compare a standardized allergy history questionnaire and the current allergy history form in terms of the quality and quantity of documentation gathered. Methods: This prospective observational study involved patients who were admitted to medical and surgical services at UHNBC from November 2018 to January 2019 with a penicillin-class allergy reported on their electronic medical record (EMR). A list of patients with EMR-reported allergies was generated by the hospital’s health information software system, and these patients were interviewed using the standardized allergy history questionnaire. Results: A total of 48 patients were assessed during the study period. Nineteen (40%) of the patients had an inappropriate allergy label on their EMR. Only 36 (75%) had an allergic reaction described on their EMR. Furthermore, only 36 (75%) of the 48 patients had the same allergy recorded on the EMR and on the allergy history form contained in their paper chart, of whom 22 had a documented reaction. The mean time to complete the standardized allergy history questionnaire was 2 minutes. Conclusions: At the study institution, documentation of allergy histories was often incomplete. Detailed allergy assessments are the first step in identifying true immunoglobulin E–mediated hypersensitivity reactions. Utilization of a standardized allergy history questionnaire is feasible and may serve to improve documentation and overall antimicrobial stewardship. RÉSUMÉ Contexte : L’étiquetage inapproprié de l’allergie est associé à des conséquences cliniques et pharmacoéconomiques importantes. Les évaluations détaillées des allergies antimicrobiennes sont une composante-clé de la gestion antimicrobienne : elles contribuent à déterminer les réactions d’hypersensibilité véritables de type 1 (immédiates). Le formulaire des antécédents d’allergies actuellement utilisé à l’University Hospital of Northern British Columbia (UHNBC), à Prince George, s’appuie sur la capacité de l’évaluateur à poser les questions appropriées pour obtenir un historique détaillé, mais il ne suffit pas de déterminer précisément les véritables allergies. Objectif : Comparer la qualité et la quantité des informations recueillies au moyen d’un questionnaire normalisé sur les antécédents d’allergies avec celles recueillies au moyen des formulaires. Méthodes : Cette étude d’observation prospective portait sur des patients admis dans les services médicaux et chirurgicaux à l’UHNBC de novembre 2018 à janvier 2019, dont les dossiers médicaux électroniques (DME) indiquaient une allergie à des médicaments de la classe de la pénicilline. Le logiciel des informations sur la santé a généré une liste des patients présentant les allergies indiquées et ces patients ont été interrogés à l’aide d’un questionnaire normalisé des antécédents d’allergies. Résultats : Un total de 48 patients a été évalué pendant la période de l’étude. Le DME de dix-neuf (40 %) patients portait une étiquette inappropriée. Seuls 36 DME des patients (75 %) décrivaient une réaction allergique. De plus, seulement 36 (75 %) des 48 patients avaient la même réaction allergique enregistrée à la fois au DME et dans le formulaire des antécédents d’allergies de leur dossier papier, et la réaction de 22 d’entre eux était documentée. Le temps de réponse moyen au questionnaire normalisé sur les antécédents d’allergies était de 2 minutes. Conclusion : Dans cette étude, la description des antécédents d’allergies était souvent incomplète. Les évaluations détaillées des allergies sont la première étape permettant de déterminer les réactions véritables d’hypersensibilité à l’immunoglobuline E. L’utilisation d’un questionnaire normalisé des antécédents d’allergies est faisable et pourrait servir à améliorer la documentation ainsi que la gestion globale des antimicrobiens.
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Giunio-Zorkin, Nicole, and Glen Brown. "Real-Life Frequency of New-Onset Thrombocytopenia during Linezolid Treatment." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 72, no. 2 (April 25, 2019). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v72i2.2883.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong><br /><strong></strong></p><p><strong>Background:</strong> Thrombocytopenia is a well-recognized adverse effect of linezolid; however, the frequency of this adverse effect during therapy has been variable across previous studies, and the associated risk factors are unclear. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objectives:</strong> To identify the real-life frequency of new-onset thrombo -cytopenia due to linezolid and to determine the associated risk factors. <br /><strong>Methods:</strong> A retrospective observational cohort study was conducted among consecutive inpatients at a tertiary care hospital who received linezolid for a minimum of 5 days between January 2013 and August 2017. Data were extracted from electronic medical records obtained from a hospital database. Thrombocytopenia was defined as platelet count less than 100 × 109/L or a 50% reduction from baseline (i.e., before linezolid initiation). Risk factors were identified by comparing the characteristics of patients who experienced the adverse effect during linezolid therapy with those of patients who did not experience the adverse effect. Continuous data were analyzed with the t test and categorical data with the 2 test. <br /><strong></strong></p><p><strong>Results:</strong> A total of 102 patients were included (38 women, 64 men; overall mean age 50 years, standard deviation [SD] 21). The mean duration of linezolid therapy was 14 (SD 10) days. Thrombocytopenia occurred in 18 patients (17.6%). Risk factors for the development of thrombocytopenia included mean duration of therapy (22 [SD 18] days versus 12 [SD 7] days; p = 0.023), renal replacement therapy (17% versus 4%; p = 0.032), renal impairment (61% versus 32%; p = 0.021), and concomitant administration of unfractionated heparin (50% versus 21%; p = 0.013). <br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions:</strong> The real-life frequency of new-onset of thrombocytopenia in patients receiving linezolid for a minimum of 5 days was 17.6%. Risk factors for linezolid-induced thrombocytopenia included prolonged duration of therapy, renal impairment, and concomitant unfractionated heparin.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte :</strong> La thrombopénie est une réaction indésirable bien connue, induite par le linézolide; cependant, la fréquence de cette réaction indésirable pendant le traitement hvariait d’une étude à l’autre et on ignore quels sont les facteurs de risque associés à cet antibiotique. <br /><strong></strong></p><p><strong>Objectifs :</strong> Découvrir la fréquence réelle des nouveaux cas de thrombopénie causés par le linézolide et déterminer les facteurs de risque qui lui sont associés. <br /><strong></strong></p><p><strong>Méthodes :</strong> Une étude de cohorte observationnelle rétrospective a été menée auprès de patients hospitalisés consécutivement dans un hôpital de soins tertiaires, qui ont reçu du linézolide pendant au moins cinq jours entre janvier 2013 et août 2017. Les données ont été tirées des dossiers médicaux électroniques provenant d’une base de données d’un hôpital. La thrombopénie a été définie comme un taux de plaquettes de moins de 100 × 109/L ou comme une réduction de 50 % de leur valeur initiale (c’est-à-dire, avant l’amorce du traitement au linézolide). Les chercheurs ont établi les facteurs de risque en comparant les caractéristiques des patients ayant subi la réaction indésirable pendant leur traitement au linézolide avec les caractéristiques des patients n’ayant pas subi cet effet indésirable. Les données continues ont été analysées à l’aide d’un test t et les données catégoriques à l’aide d’un test de 2. <br /><strong></strong></p><p><strong>Résultats :</strong> Au total, 102 patients ont été admis (38 femmes, 64 hommes; âge moyen de 50 ans, écart-type de 21). La durée du traitement au linézolide était de 14 jours (écart-type de 10). Dix-huit patients (17,6 %) ont souffert de thrombopénie. Parmi les facteurs de risque de thrombopénie, on comptait la durée moyenne du traitement (22 jours [écart-type de 18] contre 12 jours [écart-type de 7]; p = 0,023), le traitement de suppléance rénale (17 % contre 4 %; p = 0,032), l’insuffisance rénale (61 % contre 32 %; p = 0,021) et l’administration concomitante d’héparine non fractionnée (50 % contre 21 %; p = 0,013). <br /><strong></strong></p><p><strong>Conclusions :</strong> La fréquence réelle de nouveaux cas de thrombopénie parmi les patients recevant du linézolide pendant un minimum de 5 jours était de 17,6 %. Parmi les facteurs de risque de thrombopénie associés au linézolide, on mentionne l’allongement de la durée du traitement, l’insuffisance rénale et l’administration concomitante d’héparine non fractionnée.</p><p> </p>
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Lee, Robin, Karen Dahri, Tim T. Y. Lau, and Stephen Shalansky. "Perceptions of Hospital Pharmacists Concerning Clinical Research: A Survey Study." Canadian Journal of Hospital Pharmacy 71, no. 2 (May 2, 2018). http://dx.doi.org/10.4212/cjhp.v71i2.1860.

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Abstract:
<p><strong>ABSTRACT</strong></p><p><strong>Background: </strong>Few studies have attempted to determine the proportion of Canadian hospital pharmacists involved in clinical research, despite a general consensus that research should be an essential component of a pharmacist’s professional role.</p><p><strong>Objectives: </strong>The primary objective was to characterize the involvement in clinical pharmacy research of hospital pharmacists in the 4 health authorities of the Lower Mainland of British Columbia (collectively known as the Lower Mainland Pharmacy Services). The secondary objective was to identify perceived barriers to conducting research.</p><p><strong>Methods: </strong>Pharmacists employed within Lower Mainland Pharmacy Services were invited to participate in an online cross-sectional survey, for completion in August and September 2015. Descriptive statistics were used to analyze the results. Groups of survey participants were compared to examine differences in measured outcomes.</p><p><strong>Results: </strong>A total of 534 pharmacists were surveyed, with a response rate of 16% (85/534). Overall, 77% (55/71) of the respondents reported having participated in research, and 87% (62/71) expressed interest in conducting future research. Chart reviews (78%, 36/46) and surveys (41%, 19/46) were the most common study designs used in prior research. Participants self-identified their research-related strengths as literature evaluation (46%, 27/59) and hypothesis generation (44%, 26/59). Conversely, 81% (48/59) of respondents self-identified statistical analysis as a weakness. Most respondents stated that personal satisfaction (82%, 49/60) and the opportunity to learn about disease states (78%, 47/60) were the driving factors for conducting research. The most commonly cited barrier to conducting research was lack of time (92%, 55/60). Opportunities to join existing teams (73%, 44/60) and mentorship programs (70%, 42/60) were identified as the most popular arrangements for encouraging future research.</p><p><strong>Conclusions: </strong>Most of the pharmacists who responded to this survey reported having participated in clinical pharmacy research, but a lack of dedicated time appears to be a major hurdle to greater research participation. A targeted program increasing exposure to existing research teams and mentorship opportunities is recommended for promoting future research.</p><p><strong>RÉSUMÉ</strong></p><p><strong>Contexte : </strong>Peu d’études ont cherché à déterminer la proportion de “pharmaciens d’hôpitaux canadiens qui contribuent à la recherché clinique, et ce, malgré un consensus voulant que la recherche doive être un élément essentiel du rôle professionnel des pharmaciens.</p><p><strong>Objectifs : </strong>L’objectif principal était d’offrir un portrait de la contribution à la recherche sur la pharmacie clinique des pharmaciens d’hôpitaux des quatre régies régionales des basses-terres continentales de la Colombie-Britannique (appelées collectivement <em>Lower Mainland Pharmacy Services</em>, c.-à-d. services de pharmacie des basses-terres continentales). L’objectif secondaire était de recenser les éléments perçus comme des obstacles à la réalisation de recherches.</p><p><strong>Méthodes : </strong>Les pharmaciens employés au sein des services de pharmacie des basses-terres continentales ont été invités à participer par voie électronique à une enquête transversale qui devait être complétée en août et en septembre 2015. Des statistiques descriptives ont été employées pour analyser les résultats. On a aussi comparé des groupes de participants à l’enquête afin d’examiner les différences entre les résultats mesurés.</p><p><strong>Résultats : </strong>Au total, 534 pharmaciens ont été sondés et le taux de réponse était de 16 % (85/534). Dans l’ensemble, 77 % (55/71) des répondants indiquaient avoir participé à des recherches et 87 % (62/71) souhaitaient faire de la recherche dans l’avenir. L’analyse de dossiers médicaux (78 %, 36/46) et les sondages (41 %, 19/46) représentaient les plans d’étude les plus utilisés par les répondants au cours de recherches antérieures. Les participants ont indiqué que leurs forces en lien avec la recherche étaient leur capacité d’évaluer la littérature (46 %, 27/59) et de formuler des hypothèses (44 %, 26/59). En revanche, 81 % (48/59) ont signalé l’analyse statistique comme leur point faible. La plupart des répondants croyaient que la satisfaction personnelle (82 %, 49/60) et la perspective d’acquérir des connaissances sur les maladies (78 %, 47/60) représentaient les principaux facteurs les motivant à faire de la recherche. Ce qui était évoqué le plus souvent comme un obstacle à la recherche était le manqué de temps (92 %, 55/60). Les occasions de se joindre à des équipes en place (73 %, 44/60) et les programmes de mentorat (70 %, 42/60) ont été désignés comme les dispositions les plus attrayantes pour encourager à poursuivre de futures recherches.</p><strong>Conclusions : </strong>La plupart des pharmaciens ayant répondu au sondage ont indiqué avoir contribué à des recherches en pharmacie clinique, mais le manque de temps réservé pour la recherche semblait être un obstacle important à une plus grande participation aux activités de recherche. Un programme ciblé multipliant les possibilités de fréquenter des équipes de recherche déjà établies et offrant plus d’occasions de mentorat serait une façon de promouvoir de futures recherches.
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Dominguez, Virginia. "US anthropologie." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.132.

Full text
Abstract:
Il est à la fois attendu et surprenant que l’American Anthropological Association (AAA) fonctionne en anglais à l’heure actuelle et qu’elle l’ait fait dans une très large mesure au fil des ans. Dans le premier cas, cela s’explique par trois raisons : un, c’est la principale association d’anthropologues des États-Unis et ce pays est un pays dont le gouvernement, la formation et le commerce sont dominés par l’anglais; deux, il s’agit d’une association dont la majorité des membres sont anglophones et dont beaucoup n’ont que peu, voire aucune expérience en matière de présentation d’exposés professionnels ou même d’enseignement dans une langue autre que l’anglais; trois, alors que dans les premières années de l'association, les États-Unis étaient moins dominants qu'aujourd'hui, et que le français était souvent enseigné à l'école et considéré comme la langue de la « culture », l'anglais demeurait néanmoins la langue dominante dans l'empire britannique. Dans le deuxième cas, il est quand même surprenant que l’American Anthropological Association ait fonctionné et fonctionne toujours seulement en anglais, alors que de nombreux anthropologues basés aux États-Unis étudient une deuxième, et peut-être même une troisième langue, afin d’effectuer leur travail de terrain. C'est le cas de la plupart des anthropologues socioculturels, de la quasi-totalité des anthropologues linguistiques et de nombreux archéologues anthropologues. Cela semble moins l’être parmi les anthropologues biologiques. La question est donc de savoir pourquoi toutes ces langues ne sont utilisées que dans le cadre de la recherche sur le terrain et pourquoi l’anglais demeure l’unique langue de l’American Anthropological Association. Pour y répondre mettons cela dans une perspective plus large. À ma connaissance, et même à celle des membres de longue date de l'AAA, l'anglais est non seulement la langue de l’Association, mais également celle de sa principale conférence annuelle et de ses principaux journaux et bulletins d'information (incluant les bulletins trimestriels) : American Anthropologist, American Ethnologist, Cultural Anthropology, Medical Anthropology Quarterly (le journal de la société d’anthropologie médicale), Ethos (le journal de la Society for Psychological Anthropology) et, enfin, Anthropology and Education Quarterly (le journal de la Society for Anthropology and Education). Ce monolinguisme est intéressant à relever, sachant par ailleurs que les États-Unis se considèrent comme une société immigrée et, au fil des ans, de nombreux Américains n’ont pas du tout parlé anglais ou ne l’ont pas parlé couramment, et qu’au moins un sixième de la population des États-Unis est d'origine latino-américaine, dont une partie ne parle pas l'anglais comme langue maternelle ou ne parle pas confortablement cette langue. De sorte que si l’AAA devait refléter les pratiques linguistiques et les expériences des habitants des États-Unis, cette association ne serait pas aujourd’hui monolingue, pas plus qu’elle ne l’a été au XXe siècle. Si nous examinons d’autres sociétés anthropologiques du monde, nous constatons que cette situation n’est pas spécifique à l’AAA. Nous avons ainsi l’exemple de la Société canadienne d’anthropologie (CASCA), mais aussi ceux de l’Association européenne des anthropologues sociaux (EASA/l’AESA) et de l’Union internationale des sciences anthropologiques et ethnologiques (IUAES/l’UISAE). En effet, ce qui est de jure n'est pas nécessairement de facto et toutes ces associations anthropologiques illustrent bien cette tendance à l’usage exclusif de l’anglais. Anthropologica, le journal de l'association canadienne, est officiellement bilingue anglais français, mais la majorité des soumissions sont en anglais. De même, l’EASA/l'AESA, fondée il y a près de 30 ans au moins en partie pour contrer l'AAA et pour permettre des présentations en anglais et en français, voit ses conférences bisannuelles devenir au fil des ans des conférences largement anglophones, avec peu de panels ou même de présentations en français. Et quelque chose de similaire est arrivé à l'IUAES, à tel point que Miriam Grossi, responsable du congrès de l’IUAES de 2018 à Florianopolis, au Brésil, s'est efforcée d'autoriser les présentations non seulement en anglais et en français, mais également en espagnol et en portugais. Le fait est que beaucoup de personnes aux États-Unis et ailleurs pensent que « tout le monde parlant anglais », les anthropologues américains n'auraient pas besoin de maîtriser (ou même d'apprendre) une langue autre que l'anglais. Il y a à peine un an, l'un de nos étudiants de troisième cycle m'a demandé pourquoi ils devaient encore être soumis à des examens en langues étrangères. J'ai été étonnée de la question, mais j'ai simplement répondu que pour des raisons éthiques et politiques, si nous incitons d’autres personnes à apprendre l’anglais suffisamment bien pour présenter leurs travaux universitaires en anglais, et pas seulement pour le parler, nous devons prendre la peine de leur rendre la pareille en apprenant d’autres langues que l’anglais. Il existe clairement une incohérence entre la politique déclarée de la communauté des anthropologues américains – telle qu’elle est représentée par le AAA et de nombreux départements universitaires, si ce n’est tous – et leurs pratiques sur le terrain. Une profession qui tient à dire qu'elle étudie toute l'humanité et se soucie de tous les groupes humains et de toutes les communautés est une profession de foi qui devrait se préoccuper des langues de tous les groupes humains et de toutes les communautés, y compris des politiques d'utilisation de ces langues. Comme on l’a relevé ci-dessus, la plupart des anthropologues socioculturels, presque tous les anthropologues linguistiques et de nombreux archéologues anthropologistes apprennent sur le terrain des langues, mais ils ne les étendent pas à leurs enseignements, à leurs conférences ou leurs publications. Ed Liebow (Directeur exécutif de l’AAA) me l'a confirmé lorsque je lui ai demandé par courrier électronique si l'AAA avait, à sa connaissance, des politiques linguistiques officielles. Ce dernier a ajouté qu’après l’examen des dossiers du Conseil Exécutif de l'AAA, remontant au début des années 1970, l’une de ses collègues lui a précisé qu’elle n'avait trouvé aucune résolution concernant les langues autres que l'anglais dans l’AAA, à la seule exception de la revue American Anthropologist. C’est ainsi que, tôt au cours de ce siècle, sous la direction de Tom Boellstorff, rédacteur en chef de l'époque de l’American Anthropologist, les auteurs ont été invités à inclure des résumés dans un maximum de deux langues autres que l'anglais. Sous la direction du rédacteur en chef Michael Chibnik et plus récemment de Deborah Thomas, l’American Anthropologist a proposé d’inclure les manuscrits originaux, avant leur traduction en anglais, sur un site Web associé à la revue. Malgré ces bonnes intentions, cela ne s’est pas encore concrétisé. Pour sa part, la Société pour l’Amérique latine et les Caraïbes (SLACA), une section de l’AAA, a périodiquement permis aux universitaires de présenter leurs communications en espagnol. Enfin d’autres rédacteurs de revues, comme ce fut mon cas lorsque j’étais éditrice responsable de l’American Ethnologist entre 2002 et 2007, autorisent théoriquement la soumission de manuscrits dans des langues autres que l'anglais et, dans certains cas, envoient même ces manuscrits à des collègues pour examen, mais cela ne se produit que dans les cas où l'éditeur estime que la chance de trouver des pairs examinateurs capables d’évaluer un manuscrit dans ces langues (telles que l'espagnol) est grande, et le manuscrit est toujours traduit en anglais pour publication. Bref, nous, les anthropologues américains, sommes justement accusés d'hégémonisme linguistique, car nous insistons pour que l'anglais soit la langue prédominante dans les publications et les présentations dans les colloques et congrès scientifiques. Cela désavantage les chercheurs dont l'anglais n'est pas la langue maternelle, les pairs examinateurs ne pouvant s'empêcher d'être influencés par les nuances du style discursif. De plus, les revues anglophones en anthropologie ont de loin les facteurs d’impact les plus importants, reflétant (même imparfaitement) la fréquence avec laquelle les publications de langue anglaise sont citées et influençant du coup la pensée des chercheurs à travers le monde. Nous savons par ailleurs combien la publication dans une des revues de l’AAA est recherchée par les universitaires. L’un des récents moyens que nous avons développé pour corriger ce biais consiste dans un nouvel instrument – le référentiel ouvert de recherche en anthropologie, The Open Anthropology Research Repository (OARR), qui servira de plateforme accessible au monde entier pour déposer des documents de recherche, des rapports techniques, des présentations de conférences, des plans de cours, dans n'importe quelle langue. À la différence de Researchgate et Academia.edu, qui appartiennent à des sociétés commerciales et exploitent activement les données des utilisateurs pour promouvoir l'utilisation et la vente de publicité, l'OARR est construit avec l'aide d'un groupe consultatif international composé de l'Union mondiale d'anthropologie (WAU), de l’Institut royal d'anthropologie (RAI), de l’Association américaine des anthropologues physiques (AAPA), de la Société pour l'archéologie américaine (SAA), de la Société pour l'anthropologie appliquée (SfAA) ainsi que de la Société linguistique d'Amérique. Le but étant d’élargir la diffusion du savoir.
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