Academic literature on the topic 'Droite (science politique) – France – 1945-1970'

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Journal articles on the topic "Droite (science politique) – France – 1945-1970"

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Mucchielli, Laurent. "L’impossible constitution d’une discipline criminologique en France." Criminologie 37, no. 1 (July 29, 2004): 13–42. http://dx.doi.org/10.7202/008716ar.

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Abstract:
Résumé En France, la criminologie n’a jamais été une discipline autonome. Elle n’existe institutionnellement qu’en tant qu’annexe du droit pénal. En réalité, elle se situe au carrefour de trois pôles universitaires qui sont autant de pratiques professionnelles : la médecine, le droit et les sciences sociales. On propose ici, pour le comprendre, de faire un détour historique depuis la fin du xixe siècle. C’est à la « Belle époque » que se joue la première partie. Elle met aux prises des médecins (qui parlent d’« anthropologie criminelle »), des juristes et des sociologues. Elle ne débouche sur aucun consensus et aucune construction disciplinaire. L’entre-deux-guerres voit ensuite s’affirmer la criminologie des juristes et des médecins qui raffermissent leurs liens institutionnels classiques (la médecine légale et la psychiatrie légale), tandis que s’introduit la psychanalyse. De son côté, la sociologie du crime disparaît et il faut attendre les années 1950 pour qu’elle se reconstruise. Dans les années 1950-1970, un contexte intellectuel et politique général permet des rapprochements inédits à l’échelle historique, malgré des conflits persistants entre les approches cliniques et les approches sociologiques. Puis les conflits s’estompent, les idéologies qui produisaient une culture commune reculent et chacun se replie sur ses logiques professionnelles. En un sens, la criminologie existe moins que jamais comme discipline. Les recherches empiriques sur le crime connaissent pourtant une croissance continue dans les sciences sociales, du fait toutefois de financements institutionnels ponctuels qui posent des problèmes de politique scientifique discutés en conclusion.
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Makaremi, Chowra. "Governing Borders in France: From Extraterritorial to Humanitarian Confinement." Canadian journal of law and society 24, no. 3 (December 2009): 411–32. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100010103.

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Abstract:
RésuméDans les états occidentaux, les politiques migratoires restrictives des trente dernières années ont entraîné un changement dans les pratiques de contrôle, menant à la construction d'institutions de détention aux frontières. L'incarcération aux frontières suscite un questionnement important à propos des droits fondamentaux, questions portant sur les notions de légalité et de légitimité ainsi que sur la définition des nouvelles technologies du gouvernement. En France, les origines de l'incarcération aux frontières démontrent comment des pratiques administratives préexistantes ont été légalisées à l'aide de l'adoption de « zones d'attentes », nouveau régime d'incarcération qui rehausse les conditions de détention ainsi que le contrôle disciplinaire sur les détenus. Pour les activistes qui font la revendication des droits humains et qui s'opposent à l'incarcération aux frontières depuis la seconde moitié des années 1970, ce développement représente des gains paradoxaux et un dilemme difficile : les droits accordés par l'État aux voyageurs incarcérés aux frontières ont demeurés insuffisants tandis que la légalisation a permis la création de nouveaux mécanismes de contrôle. L'étude de l'incarcération aux frontières implique une analyse des paradoxes créés par les négociations constantes entre, d'une part, une administration voulant resserrer son contrôle sur les frontières et, d'autre part, certains groupes civils dont les préoccupations incluent la défense des droits de base et l'encadrement légal des pratiques du contrôle. Les conditions des processus d'exclusion de l'administration légale sont soulignées, en France, par la diffusion des modèles de l'administration pénitentiaire et l'ambiguïté de la loi. Qu'est-ce que ces processus révèlent sur l'évolution des régimes gouvernementaux à l'intérieur de systèmes libéraux basés sur les droits?
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Delage, Pauline. "La violence conjugale à l’épreuve de l’État social : une comparaison franco-états-unienne." Enfances, Familles, Générations, no. 22 (June 9, 2015): 68–84. http://dx.doi.org/10.7202/1031119ar.

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Abstract:
À partir de la fin des années 1970, les associations féministes qui prennent en charge le problème de la violence conjugale se sont insérées dans le secteur social, avec plus ou moins de succès, et ont bénéficié de financements venant de l’État. Dans une période de reconfigurations de l’État social, qui affectent notamment les modes d’attribution des budgets publics, celui-ci perd en légitimité symbolique et voit ses fonctions se modifier. Quels sont les effets de ces mutations sur la prise en charge, étatique et associative, du problème de la violence conjugale ? La comparaison entre la France et les États-Unis met en lumière un paradoxe concernant l’évolution de la cause dans ces deux contextes institutionnels et politiques. Alors que l’État social est moins fort aux États-Unis qu’en France, la légitimité de la cause dans l’espace social permet de créer des droits spécifiques aux femmes victimes et d’instaurer notamment un régime d’exception les prémunissant des contraintes duworkfare.Parallèlement, en France, les organisations féministes oeuvrent toujours à la pleine reconnaissance de ce problème public et semblent davantage menacées par les réductions budgétaires. En s’appuyant sur une enquête ethnographique menée principalement dans le comté de Los Angeles et en région parisienne, cet article propose de retracer les trajectoires de la cause de la violence conjugale prisme des transformations provoquées par les mutations de l’État social.
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Maldavsky, Aliocha. "Financiar la cristiandad hispanoamericana. Inversiones laicas en las instituciones religiosas en los Andes (s. XVI y XVII)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 114. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.06.

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Abstract:
RESUMENEl objetivo de este artículo es reflexionar sobre los mecanismos de financiación y de control de las instituciones religiosas por los laicos en las primeras décadas de la conquista y colonización de Hispanoamérica. Investigar sobre la inversión laica en lo sagrado supone en un primer lugar aclarar la historiografía sobre laicos, religión y dinero en las sociedades de Antiguo Régimen y su trasposición en América, planteando una mirada desde el punto de vista de las motivaciones múltiples de los actores seglares. A través del ejemplo de restituciones, donaciones y legados en losAndes, se explora el papel de los laicos españoles, y también de las poblaciones indígenas, en el establecimiento de la densa red de instituciones católicas que se construye entonces. La propuesta postula el protagonismo de actores laicos en la construcción de un espacio cristiano en los Andes peruanos en el siglo XVI y principios del XVII, donde la inversión económica permite contribuir a la transición de una sociedad de guerra y conquista a una sociedad corporativa pacificada.PALABRAS CLAVE: Hispanoamérica-Andes, religión, economía, encomienda, siglos XVI y XVII.ABSTRACTThis article aims to reflect on the mechanisms of financing and control of religious institutions by the laity in the first decades of the conquest and colonization of Spanish America. Investigating lay investment in the sacred sphere means first of all to clarifying historiography on laity, religion and money within Ancien Régime societies and their transposition to America, taking into account the multiple motivations of secular actors. The example of restitutions, donations and legacies inthe Andes enables us to explore the role of the Spanish laity and indigenous populations in the establishment of the dense network of Catholic institutions that was established during this period. The proposal postulates the role of lay actors in the construction of a Christian space in the Peruvian Andes in the sixteenth and early seventeenth centuries, when economic investment contributed to the transition from a society of war and conquest to a pacified, corporate society.KEY WORDS: Hispanic America-Andes, religion, economics, encomienda, 16th and 17th centuries. BIBLIOGRAFIAAbercrombie, T., “Tributes to Bad Conscience: Charity, Restitution, and Inheritance in Cacique and Encomendero Testaments of 16th-Century Charcas”, en Kellogg, S. y Restall, M. 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BLAIS, ANDRÉ, ELISABETH GIDENGIL, RICHARD NADEAU AND NEIL NEVITTE. Anatomy of a Liberal Victory: Making Sense of the Vote in the 2000 Canadian Election. By Linda Trimble 187NEVITTE, NEIL, ed. Value Change and Governance in Canada. By Donald E. Blake 188MONIÈRE, DENIS. Pour comprendre le nationalisme au Québec et ailleurs. Par François- Pierre Gingras 190LAMOUREUX, DIANE. L'amère patrie. Féminisme et nationalisme dans le Québec contemporain. Par Édith Garneau 192MACLURE, JOCELYN. Récits identitaires. Le Québec à l'épreuve du pluralisme. Par Geneviève Nootens 195MASSOLIN, PHILIP. Canadian Intellectuals, The Tory Tradition, and the Challenge of Modernity, 1939-1970. By William Christian 197BETCHERMANN, LITA-ROSE. Ernest Lapointe: Mackenzie King's Great Quebec Lieutenant. By Robert Bothwell 198BRODIE, IAN. Friends of the Court: The Privileging of Interest Groups Litigants in Canada. By Miriam Smith 200ROACH, KENT. The Supreme Court on Trial: Judicial Activism or Democratic Dialogue. By Gerald Baier 202BERNIER, ROBERT. Un siècle de propagande? Information. Communication. Marketing gouvernemental. Par Anne-Marie Gingras 203JOFFRIN, LAURENT. Le gouvernement invisible. Naissance d'une démocratie sans le peuple. Par Réjean Pelletier 205LUXTON, MEG AND JUNE CORMAN. Getting By in Hard Times: Gendered Labour at Home and on the Job. By Stephanie Ross 207VILLALBA, BRUNO ET XAVIER VANDENDRIESSCHE, sous la direction de. Le Front National et le Droit. Par Alain Baccigalupo 209HAYNES, JEFF. Democracy in the Developing World: Africa, Asia, Latin America and the Middle East. By Bruce Morrison 212DEFFONTAINES, JEAN-PIERRE ET JEAN-PIERRE PROD'HOMME. Territoires et acteurs du développement local : de nouveaux lieux de démocratie. Par Guy Chasson 214CORRALES, JAVIER. Presidents without Parties: The Politics of Economic Reform in Argentina and Venezuela in the 1990s. By Anil Hira 215JEFFREY, LESLIE ANN. Sex and Borders: Gender, National Identity, and Prostitution Policy in Thailand. By Teri Caraway 216GAUDREAULT-DESBIENS, JEAN-FRANÇOIS. Le sexe et le droit. Sur le féminisme de Catharine MacKinnon. Par Ann Robinson 218HAFFNER, SEBASTIAN. Allemagne, 1918. Une révolution trahie. Par Augustin Simard 220CRAIG, LEON HAROLD. Of Philosophers and Kings: Political Philosophy in Shakespeare's Macbeth and King Lear. By Edward Andrew 223LECA, JEAN. Pour(quoi) la philosophie politique : petit traité de science politique, Tome 1. Par Chedly Belkhodja 225PIOTTE, JEAN-MARC. Les neufs clés de la modernité. Par Gilles Labelle 227NARDIN, TERRY. The Philosophy of Michael Oakeshott. By Jeremy Rayner 228RAEDER, LINDA C. John Stuart Mill and the Religion of Humanity. By Richard Vernon 230FROESE, KATRIN. Rousseau and Nietzsche: Toward an Aesthetic Morality. By Sophie Bourgault 231TOURAINE, ALAIN. Beyond Neoliberalism. By Pascale Dufour 233BAUDRILLARD, JEAN. D'un fragment l'autre. Entretiens avec François L'Yvonnet. Par Yves Laberge 234WYN JONES, RICHARD, ed. Critical Theory and World Politics. By Jacqueline Best 235DERRIENNIC, JEAN-PIERRE. Les guerres civiles. Par Hugo Loiseau 236O'LEARY, BRENDAN, IAN LUSTICK AND TOM CALLAGHY, eds. Right-Sizing the State: The Politics of Moving Borders. By Tobias Theiler 237BARNETT, MICHAEL. Eyewitness to a Genocide: The United Nations and Rwanda. By John Hickman 239GOLDSTEIN, AVERY. Deterrence and Security in the 21st Century: China, Britain, France and the Enduring Legacy of the Nuclear Revolution. By David G. Haglund 240
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Dominguez, Virginia. "Anthropologie israélienne." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.130.

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Abstract:
Israël est un pays complexe et les anthropologues qui en font l’étude le savent bien (Dominguez 1989; Marx 1980; Motzafi-Haller 2018). La plus grande partie de l’anthropologie en Israël a jusqu’à présent été réalisée par des anthropologues juifs, hommes et femmes, ashkénazes (principalement d’ascendance européenne du nord et de l’est d’Europe) et mizrachi (principalement d’origine nord-africaine, ibérique et du Moyen-Orient). Les juifs ashkénazes ont largement prédominé dans les domaines politique, universitaire, économique et artistique au cours des premières décennies qui ont suivi la création de l'État d'Israël, ce pays qui vient de fêter ses 70 ans. Il n'est donc pas surprenant qu’on y retrouve beaucoup plus d'anthropologues juifs ashkénazes que d’anthropologues juifs Mizrachim ou d’anthropologues palestiniens. La plupart des anthropologues en Israël sont des anthropologues sociaux ou socioculturels (Abuhav 2015). Certains d’entre eux sont des anthropologues praticiens / appliqués qui travaillent dans les ministères de l’éducation, de la santé et de l’absorption des immigrants juifs et qui ont font partie d’une association d’anthropologie appliquée. Mais beaucoup n’adhèrent à aucune association. L'archéologie, partie des quatre champs de l’anthropologie selon la conception américaine de cette dernière, n'est pas considérée comme une carrière anthropologique en Israël, même si elle y est considérée comme une discipline visible et importante. On trouve la présence d’anthropologues médicaux et biologiques en Israël, mais ils ne sont certainement pas la majorité et ils sont rarement embauchés par les départements de l'université ou du collège dans lesquels travaillent la plupart des anthropologues universitaires. Jusqu'à récemment, tous ces départements étaient dans les faits des départements de sociologie et d'anthropologie, composés d’une majorité de sociologues. Ce n'est que depuis 5 ans qu'un département entièrement composé d’anthropologues a vu le jour, soit le département de l'Université de Haïfa qui se consacre au niveaux supérieurs de formation. L’association d’anthropologie d’Israël ((HaAguda HaAntropologit HaYisraelit)) remonte au début des années 1970 et n’a compté jusqu’à présent que des anthropologues juifs comme chefs ou présidents. Des efforts ont été faits pour changer cette situation au fil des ans, car tous les membres de l’Association ne sont pas juifs et certains d’entre eux croient fermement qu’ils ne doivent pas tous être juifs. Cette question demeure délicate pour certains des membres les plus en vue de la communauté anthropologique en Israël, citoyens d’Israël mais également Palestiniens (Kanaaneh 2002; Sa’ar 2016). Alors que l’association d’anthropologie d’Israël s'oppose largement à l'occupation de la Cisjordanie et à toute forme de discrimination à l'encontre des Palestiniens, en particulier de ses concitoyens, cette organisation est toujours israélienne et a toujours été une association fortement juive. En fait, ce n’est que récemment que la plupart des départements universitaires israéliens ont engagé des Arabes, des Palestiniens, voire des musulmans, en tant que membres du corps enseignant. Pour les quelques Palestiniens qui occupent actuellement ces postes dans des universités ou des collèges israéliens, les postes de direction de l'association anthropologique israélienne les laisseraient ouverts à la critique selon lesquelles ils seraient simplement des collaborateurs ou des complices des sionistes israéliens qui considèrent Israël comme un pays réservé aux juifs et un pays réalisé par les juifs dont les valeurs morales l'obligent à être tolérant envers les non-Juifs parmi eux. Ainsi, une nouvelle association appelée Insaniyyat a simplement été créée ces dernières années pour et par des anthropologues palestiniens Pendant des années et avant la date de la fondation de l’association (1973) l’anthropologie a été enseignée aux niveaux universitaire dans toutes les grandes universités israéliennes et les étudiants ont obtenu un baccalauréat en sociologie et en anthropologie, une maîtrise en anthropologie et un doctorat en anthropologie en Israël. Le corps professoral et les étudiants israéliens font des recherches, présentent leurs travaux lors de conférences et pratiquent périodiquement des activités d'anthropologie engagée ou de plaidoyer. La qualité de leurs recherches et de leurs publications est généralement élevée, et les universités s'attendent à de nombreuses publications dans des revues savantes internationales de haute qualité destinées à toute personne considérée pour une promotion et une permanence. Pendant des années aussi, l'anglais a été fortement enseigné et fortement favorisé à la fois dans la communauté universitaire en général en Israël et dans la communauté anthropologique israélienne en particulier. En fait, la publication en hébreu dans des revues israéliennes n'a pas autant de valeur que celle dans des revues de langue anglaise au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Australie ou au Canada. Une partie de cette tendance est valable pour les universités israéliennes en général, mais une autre est spécifique à l'anthropologie en Israël. Au fil des ans, plusieurs influences ont marqué l'anthropologie en Israël. Le regretté professeur Shmuel Eisenstadt (1967), qui a marqué la sociologie et l'anthropologie en Israël, en particulier dans son département d'origine à l'Université hébraïque de Jérusalem, compte parmi celles-la. Pendant bon nombre d'années, ce professeur a été nommé à Harvard (pendant six mois) alors qu'il était également à l'Université hébraïque de Jérusalem. Ce professeur se croyait autant anthropologue que sociologue et considérait l'anthropologie comme une branche de la sociologie, cela bien que ce n’était généralement pas l’opinion des anthropologues qu’il était disposé à engager comme professeurs dans ce même département. Sa connexion à Harvard était importante. C’est vers les États-Unis qu’il s’est tourné en ses qualités de sociologue et d’anthropologue, mais aussi que sur l’organisation de l’enseignement supérieur en Israël. Ce n’était pas l’Allemagne, la Pologne, la France, l’Italie ou tout autre pays imaginable. Ce n’est donc pas un hasard si ce chercheur a privilégié les publications en anglais et plus particulièrement aux États-Unis. La deuxième influence importante qui a marqué l’anthropologie israélienne a été celle de la Manchester School dirigée par Max Gluckman, un juif sud-africain émigré en Angleterre à l’origine de ce puissant département d'anthropologie à l'Université de Manchester en Angleterre. Gluckman a formé des anthropologues à Manchester pour effectuer des travaux d'anthropologie sociale en Israël, et certains de ses plus importants étudiants sont restés en Israël et y sont devenus professeurs d'anthropologie sociale. Une troisième influence sur le développement de l'anthropologie en Israël fut le sionisme travailliste lui-même. Des juifs d'autres pays sont venus s'installer en Israël pour participer au développement d'un Israël à tendance socialiste dans les années 1950 et 1960. Certains d'entre eux étaient des anthropologues titulaires d'un doctorat de pays anglophones (ou dominants anglophones), comme les États-Unis, le Royaume-Uni, Canada, l’Australie, l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande. Pendant de nombreuses années, peu de postes de professeur d’anthropologie dans des universités israéliennes ont été occupés par des Israéliens nés dans le pays, et certainement pas par des anthropologues n’ayant jamais étudié dans un pays anglophone, suivi une formation postuniversitaire dans un pays anglophone ou encore terminé au moins un postdoc dans un pays anglophone. Quand des collègues qui sont des rédacteurs de revues anglophones en anthropologie aux États-Unis, au Royaume-Uni ou au Canada font une remarque sur le nombre de manuscrits qu’ils reçoivent d’anthropologues israéliens et sur leur qualité, je souris. Les anthropologues israéliens publient en dehors d’Israël parce que leur université accorde plus d’importance, en particulier dans les articles de revues, et que leurs textes sont bons (c’est-à-dire que leurs problèmes sont familiers et qu’ils respectent les normes des articles de journaux aux États-Unis), car ils ont en grande partie été formés et par des anthropologues anglophones. Une génération plus jeune est maintenant moins à l'aise de publier ou de présenter ses recherches en anglais, parce que l'anglais n'est pas la langue maternelle des anthropologues israéliens, mais le fait demeure qu'ils lisent des livres et des articles en anglais tout au long de leurs études universitaires. Il faut mentionner que peu de livres ou d'articles académiques sont traduits de l’anglais vers l’hébreu. Quoi que les conférences et conversations universitaires soient en hébreu, de nombreux livres et articles qu'ils sont censés lire sont en anglais. Quels sont les champs et thèmes de recherche privilégiés par ces anthropologues ? Sans surprise, ils travaillent sur une variétés de sujets, mais aussi, sans surprise, on note quelques changements au fil des ans (Feldman 2008; Levy et Weingrod 2004; Markowitz 2013). Les premières vagues d'anthropologues en Israël avaient tendance à travailler sur des groupes d'immigrants juifs non ashkénazes en Israël ou sur des communautés non juives vivant en Israël. Pour la plupart, ils ont étudié les kibboutzim et les moshavim ou villes de développement en Israël. Cette tendance s’est partiellement modifiée dans les années 1980 et 1990, mais la plupart des anthropologues israéliens travaillent encore largement sur le terrain en Israël et non en dehors d’Israël. L'adaptation et l'intégration des nouveaux arrivants ne sont plus des thèmes dominants. D’autres thèmes de recherche apparaissent tels que les LGBTQ, les New Agers en Israël, certains se penchent sur la science et la technologie en Israël, d’autres sur la reproduction et sa politique en Israël, sur le néolibéralisme en Israël ou encore les tribunaux de conversion en Israël. Les autres sujets prédominants sont l'anthropologie médicale et psychologique, la jeunesse, le féminisme et le genre, et ainsi que les études environnementales. L'anthropologie israélienne interroge de nombreux aspects de la vie en Israël. Elle se considérait de gauche dans les premières décennies d’Israël (quand Israël avait un gouvernement à tendance socialiste) comme c’est toujours le cas aujourd’hui (malgré le mouvement connu d’Israël vers la droite) (voir Lomsky-Feder et Ben-Ari 2000). L'anthropologie israélienne a longtemps été influencée par l'anthropologie dans le monde anglophone et aucun signe n’indique que cela soit en train de changer. L’anthropologie israélienne a longtemps été centrée sur la vie en Israël (juive et arabe) ; bien que les thèmes de recherche aient tendance à se diversifier, et encore là tout indique que cette tendance se poursuit, même si davantage d’anthropologues israéliens travaillent dorénavant sur terrains en dehors d’Israël. Les anthropologues israéliens ont reçu une formation rigoureuse à tous les niveaux de leurs études universitaires, et je vois que cela continue. Reste à savoir si les juifs et les palestiniens trouveront davantage de collaborations que ce que l’on constate aujourd’hui. Lorsque la communauté anthropologique américaine a sérieusement envisagé le mouvement BDS (mouvement britannique de boycott, désinvestissement et sanction face à Israël) (voir Redden 2016) les anthropologues israéliens se sont préparés au boycott qu'ils attendaient des départements, revues et maisons d'édition anthropologiques américains. Ils ont également subi un peu de pression (de leurs universités et de leurs collègues) pour combattre le BDS. Beaucoup s'inquiètent de l'impact du BDS sur la communauté anthropologique israélienne. Rétrospectivement, c’est un signe vraiment visible de la manière dont la communauté anthropologique israélienne a été liée - et continue de l’être - à la communauté anthropologique américaine. Certains[DVR1] [DVR2] [DVR3] [DVR4] anthropologues israéliens de la première génération craignent que la jeune génération ne fasse plus de travail sur le terrain en immersion totale et, partant, que l'anthropologie disparaisse bientôt de la vie et du monde universitaire israéliens, mais je vois des continuités tout autant que des changements dans l'anthropologie israélienne, et je ne pense pas que l'anthropologie est susceptible de disparaître en Israël.
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Dissertations / Theses on the topic "Droite (science politique) – France – 1945-1970"

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Kessler, Nicolas. "Histoire politique de la jeune droite (1929-1942)." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040229.

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Abstract:
A la confluence du maurrassisme, du catholicisme intransigeant, et de l'esprit des années 30, la jeune droite s'est efforcée, entre 1929 et 1942, de rénover les positions traditionnelles de la droite conservatrice. Composée d'une dizaine de revues - réaction, les cahiers, la revue française, la revue du siècle, la revue du XXème siècle, Combat, L'insurgé, civilisation et idées -animée par un groupe d'intellectuels ou l'on retrouve les noms de Thierry Maulnier, Jean de Fabregues, Maurice Blanchot, Claude Roy, Robert Brasillach, Jean-Pierre Maxence, Jacques Laurent, Jean-Francois Gravier, René Vincent et Kleber Haedens, cette mouvance informelle a su mêler les apports de Maurras, de Massis et de Maritain en une synthèse originale, antilibérale, sociale et révolutionnaire, qui a exerce une certaine influence sur le débat intellectuel de l'entre-deux-guerres. Dans une double perspective historique et idéologique, ce travail s'efforce de rendre intelligible le système complexe d'influences et d'hybridations qui ont donne le jour a cette expression caractéristique du désarroi de la génération de la crise
Between Maurrassism, intransigent catholicism, and the "spirit of the 1930's", the "young right" endeavoured, from 1929 to 1942, to renovate french conservative politics. Formed by a dozen reviews - reaction, les cahiers, la revue française, la revue du siècle, la revue du xxème siècle, combat, L'insurgé, Civilisation et idées - this non-organized movement was drived by a group of young and talented intellectuals, such as Thierry Maulnier, Jean de Fabregues, Maurice Blanchot, Claude Roy, Robert Brasillach, Jean-Pierre Maxence, Jacques Laurent, Jean-Francois Gravier, René Vincent and Kleber Haedens. It succeeded in mixing the ideas of Maurras, Massis and Maritain, and elaborating an original political doctrine. Antiliberal, revolutionarist, with strong socialist tendencies, this doctrine had an unquestionable influence on the debates which took place in France between the two world wars. This study tries to make clear the complexity of the historical and ideological origins of a movement that expressed the distress and confusion of the "angry young men" of the 1930's
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Richard, Gilles. "Le Centre national des indépendants et paysans de 1948 à 1962, ou L'échec de l'union des droites françaises dans le parti des modérés." Paris, Institut d'études politiques, 1998. http://www.theses.fr/1998IEPP0028.

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Abstract:
De 1948 à 1962 - entre le blocus de Berlin et la crise des fusées de Cuba, c'est-à-dire en pleine phase aiguë de la guerre froide - le CNIP a représenté la première vraie tentative, raisonnée et persévérante, de regrouper dans une même organisation politique d'abord les modérés, puis les différentes composantes de la droite française telles que R. Rémond les a identifiées depuis la révolution. Cette tentative avait un objectif précis et affiche : faire de la France un pays comme les autres ;, ressemblant aux pays du bloc occidental qui lui étaient comparables : les Etats-Unis, la RFA, le Royaume-Uni, l'Italie. Le projet qui guida R. Duchet, infatigable animateur de cette tentative, se définit au départ en réaction aux deux logiques politiques qui inspiraient le MRP et le RPF. Il préférait oeuvrer à l'union des modérés et des radicaux, ces deux forces qui n'avaient pas su faire face à l'offensive-éclair de l'Allemagne nazie en 1940, mais qui avaient eu raison du front populaire en 1938. Pendant quatorze années, le CNIP fédéra progressivement des forces jusque-là dispersées, se donnant comme modèle à imiter le parti conservateur britannique. Il touchait au but en 1958 mais le retour de Ch. De Gaulle aux affaires - auquel les indépendants avaient d'ailleurs beaucoup contribué - bouscula tous les plans. Le CNIP partit alors à la dérive. Comment les modérés se constituèrent-ils en parti structure prétendant bientôt rassembler toutes les droites? Pourquoi échouèrent-ils? La variété des sources que j'ai consultées m'a permis de répondre à ces questions en confrontant les différents niveaux de la réalité historique, l'événementiel et le structurel, le national et le local, le politique et le social, etc. , de mener une sorte d'histoire parallèle du CNIP et des autres grandes forces politiques en présence, une histoire des indépendants dans la société française tout autant qu'une histoire du CNIP et de sa stratégie politique.
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Thomas, Jean-Paul. "Droite et rassemblement du PSF au RPF, 1936-1953 : hommes, réseaux, cultures : rupture et continuité d'une histoire politique." Paris, Institut d'études politiques, 2002. http://www.theses.fr/2002IEPP0009.

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Auzépy-Chavagnac, Véronique. "Jean de Fabrègues : persistance et originalité d'une tradition catholique de droite pendant l'entre-deux-guerres." Paris, Institut d'études politiques, 1993. http://www.theses.fr/1993IEPP0034.

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Abstract:
A travers l'itinéraire d'un intellectuel engagé se dessine la persistance et l'originalité d'une tradition catholique de droit. Les revues créées par Jean Fabrègues pendant l'entre-deux-guerres favorisent le regroupement d'un courant de pensée spécifique : jeune, influence par l'Action française, royaliste, catholique, traditionaliste. Il ne se confond pas avec l'extrême-droite maurrassienne insoumise au pape après 1926, ne véhicule pas une idéologie fascisante, ne se mélange pas avec les autres mouvements non-conformistes. Dans la mesure où ces tendances empruntent elles-mêmes à une tradition autoritaire, hiérarchique et nationaliste, il présente avec elles certaines analogies. Il en demeure cependant irréductiblement séparé par ses convictions religieuses. La jeune droite catholique réunie autour de Jean de Fabrègues revendique son attachement aux valeurs néo-thomistes. Elle s'efforce d'en informer un ordre nationaliste intégral. Le caractère original de cette synthèse lui confère une place spécifique dans l'histoire des idées politiques
Through the itinerary of an intellectuel engage, the persistence and the originality of a conservative catholic tradition is becoming apparent. The reviews foundedby Jean de Fabrègues, between the two World Wars, provide a forum for a specific current of thought : young, influenced by "Action francaise", royalist, catholic and tradititionalist. It neither merges with the maurrassian extreme-right tendancy which is in rebellion against the pope, nor serves as a vehicule for fascist ideology, nor does it associate itself with the other non-conformist groups. It resembles these movements in so far as they all stem from an authoritarian, hierarchical and nationalist tradition. Yet it remains distinctly apart from them because of its religious belief. The "catholic young right", surrounding Jean de Fabrègues, claims its attachment to neo-thomist values. It tries to integrate them into a full nationalist order. The original character of this synthesis gives it a specific place in the history of political ideas
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Massart, Alexis. "Udf : naissance et organisation d'un regroupement de partis." Lille 2, 1997. http://www.theses.fr/1997LIL20002.

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Abstract:
Creee le 1er fevrier 1978, l'union pour la democratie francaise depasse le simple cadre du cartel electoral qui lui a longtemps ete attribue. Si les elections legislatives de 1978 ont effectivement influe sur le regroupement des non gaullistes de la majorite, la naissance de l'udf repond egalement a d'autres logiques. L'impact des institutions de la veme republique, et plus particulierement de la place occupee par le president de la republique au sein du systeme politique, a rendu necessaire la formation de ce qui etait appele a devenir le parti du president dont valery giscard d'estaing avait besoin pour son action. De plus, les relations conflictuelles qui existaient a l'epoque entre gaullistes et non-gaullistes au sein de la majorite rendaient importante l'hypothese d'une cooperation forte entre les soutiens les plus actifs du president en place. Des lors, le parti republicain, le centre des democrates sociaux et le parti radical, vite rejoints par le parti social-democrate et les clubs perspectives et realites, ont mis en place une structure commune: l'udf. En creant une nouvelle formation sur la base de partis politiques preexistants qui tenaient a garder une autonomie fonctionnelle, les fondateurs de l'udf ont mis en place une organisation de type particulier. Rapidement identifiee comme un parti politique de type classique par l'opinion, l'udf s'est avant tout organisee sur la base d'une place centrale accordee a ses differentes composantes. Des lors, son fonctionnement a tourne autour de la defense des interets propres a chacun des partis membres et ce au detriment d'une logique veritablement commune. Les difficultes endemiques a la prise de decision illustrent parfaitement les antagonismes existant entre le developpement d'un fonctionnement unitaire de l'ensemble ayant vocation a optimiser l'impact politique et electoral de cette formation et une logique individualiste etablie par chaque composante dont l'effet a limite l'efficacite politique de l'udf. Le ayant vocation a optimiser l'impact politique et electoral de cette formation et une logique individualiste etablie par chaque composante dont l'effet a limite l'efficacite politique de l'udf
Founded on february 1st 1978 the union pour la democratie francaise (udf) goes beyond the concept of electoral cartel it has long been associated with. In the 1978 general election did play a part in gathering the non gaullist members of the right with majority the creation of udf was the outcome of other strategies. The specificity and impact of the political institutions of the fifth republic and more particularity the prominent role played by the president within the political system made it necessary to set up a structure that was meant to be the presidential party valery giscard d'estaing needed to achieve his goals. Morever the clash of interests that was prevailing at the time betxeen gaullist and no gaullist members of the right wing majority made it vidal to build up close cooperation between the most active supporters of the incumbent president. That is why the parti republicain, the centre des democrates sociaux (cds) and the parti radical soon joined by the parti social-democrate as well as clubs perspectives et realites set up a common structure: udf. However while setting up a new structure based on already existing political parties, with each of them anxious to keep its individual policies, the founders of udf implemented a particular kind of organisation. Although quickly identified as a political party of the traditional type by the public, the udf was organised on the basis of granting a vital role to each individual political body that make it up. Since that time it has mainly functionned as a body whose policy was to safeguard the particular interest of each member party at the expense of really common comprehensive policy. Permanent difficulties underlying any decision making clearly showed the clash between a concerted effort of a whole body devoted to maximize the electoral and political impact of the party and the individualistic stategy devised by each member party; the result of which was to limit the udf's political effiency. As they stuck to traditional political policies the various member parties maintained the original ideological and political splits that existed among the various parties of the confederation prior to the creation of the udf
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Dewaele, Hélène. "Les relations entre droites autoritaires françaises et espagnoles de 1931 à 1940." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0109.

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Abstract:
Cette thèse prend pour objet les relations entre droites autoritaires françaises et espagnoles de 1931 à 1940. En 1931, on assiste à l'avénement de la seconde République et à l'exil, en France, de certains monarchistes espagnols. La necessité de créer une opposition suscite leur intérêt pour les ligues françaises. Nous analysons les relais par lesquels s'est infiltrée la culture contrerévolutionnaire française en Espagne, en soulignant le rôle de Barcelone dans la réception et la diffusion du maurrassisme. Puis nous étudions le développement d'Acción española grâce aux réseaux relationnels constitués en exil. Nous nous interrogeons ensuite sur l'influence des droites espagnoles sur leurs homologues françaises. Il semble qu'à partir de la Guerre civile, elles projettent sur l'Espagne leur volonté d'instaurer un régime autoritaire en France, par un investissement d'ordre politique et culturel. La nomination de Pétain au poste d'ambassadeur en Espagne, puis à la tête de l'Etat français de Vichy fut accueillie comme une "divine surprise". Mais les relations personnelles qui auraient pu rapporcher la France et l'Espagne de 1939 à 1944 furent subordonnées au poids du contexte international.
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Bensoussan, David. "Les droites en Bretagne dans l'entre-deux-guerres : tensions et déchirements dans un monde catholique et rural." Paris, Institut d'études politiques, 2002. http://www.theses.fr/2002IEPP0015.

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Blanchard, Pascal. "Nationalisme et colonialisme : Idéologie coloniale, discours sur l'Afrique et les Africains de la Droite nationaliste française, des années 30 à la Révolution Nationale." Paris 1, 1994. http://www.theses.fr/1994PA010596.

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Abstract:
La droite nationaliste, réactionnaire, fasciste et maurrassienne élabore à partir des années 30 un discours et une idéologie spécifique sur l'entreprise coloniale : depuis les années 1880-1910 ou les "droites" développent une certaine forme d'"anticolonialisme" jusqu'à la prise de conscience progressive de l'empire au cours des années 20, dont l'aboutissement sera la glorification impériale dans les années 30 et surtout avec Vichy, la "révolution impériale". Cette étude se propose de présenter la structure et les référants de ce cheminement, et l'influence des "droites" dans la politique coloniale française. Le domaine d'étude porte sur l’Afrique "française", champs discursif principal des "droites", et sur les populations de ces colonies, des années 30 aux années 1940-1944. Cette recherche est fondée sur l'analyse d'un corpus de presse représentant l'ensemble des tendances de droite, de fonds d'archives, d'une enquête auprès d'un panel représentatif d'anciens militants et sympathisants de la droite extrême, et enfin d'une analyse de la littérature de l'époque. Cette thèse souligne la place essentielle de la droite française dans l'édifice colonial et son influence sur l'opinion publique française, aux côtés d'une idéologie coloniale de "gauche" et du "parti colonial". Elle souhaite montrer aussi que la droite extrême française a développé une idéologie coloniale spécifique qui entre 1935 et 1944 a largement influencé la destinée de l'empire colonial français
The nationalist, reactionary, fascist and "maurrassienne" right elaborate from the 1930's a discourse and a spedifici ideology about the colonial attempt. Since 1880-1910 the nationalist right express an "anticolonialism" until its understanding of the empire during the 20's about which the final will be the imperial glorification, mainly during the Vichy period : the "revolution nationale". The purpose of this study is to present the structure and the influence of the colonial ideology of the "droites". In this outline, the main point studied is the france colonial domain of africa, which is the main concern of the different right parties from the 1920's to 1940-1944. Then it is underlined a "representation" of the Africa and the African natives during this period. This thesis is based upon the analysis of the printing press corpus which represent all the tendancies of the right, and also an investigation to a representative sample of the extreme right and at last this study of the literature during the period. This thesis underline the position of the french right in the colonial structure and its ascendancy on an important fringe of the politic opinion besides the left colonial "ideology" and the "parti colonial". We hope to show throw this study that the french extreme right has a specific colonial ideology and. .
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Sauger, Nicolas. "Les scissions de l'UDF (1994-1999) : unité et dissociation des partis, mécanismes de transformation de l'offre partisane." Paris, Institut d'études politiques, 2003. http://www.theses.fr/2003IEPP0015.

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Lovighi, Christian. "Henri de Kerillis, 1889-1958." Paris, Institut d'études politiques, 1993. http://www.theses.fr/1993IEPP0022.

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Abstract:
Journaliste et député nationaliste, Henri de Kerillis fut l'animateur du centre de propagande des Républicains nationaux. Il s'illustra dans la lutte contre le redressement allemand et son refus des accords de munich. Précurseur de la résistance à l'Allemagne, il regroupa autour de son journal L’époque les partisans de la fermeté face à Hitler. Il milita également pour l'union sacrée et la guerre à outrance à partir de septembre 1939. Le 17 juin 1940 il rejoignit l'Angleterre. Il préféra s'installer aux Etats Unis et ne reprit une activité de journaliste qu'en janvier 1942 pour soutenir le général de Gaulle. Il fut amené par la suite à s'opposer à de Gaulle à qui il reprochait son nationalisme et son ambition politique. A la Libération, il ne revint pas en France. Il resta aux Etats Unis, y écrivit un livre vengeur contre de Gaulle intitulé "De Gaulle dictateur". Il mourut le 25 avril 1958
Journalist and nationalist deputy, Henri de Kerillis managed the "Centre de propagande des Républicains nationaux". He became famous in the struggle against German recovery and Munich agreements. Precursor of the resistance against Germany, he gathered around his newspaper L'époque, the believers in firmly facing Hitler. During the war he militated in favour of national union and war to the knife. The 17th of June 1940, he rejoined England with de Gaulle. Later he prefered to go to the United States. He went back journalist in January 1942 to support de Gaulle. Afterwards, he was opposed to de Gaulle, to his nationalism and his political ambition. At the Liberation, he didn't come back in France. He stayed in the United States where he wrote a vengeful book against de Gaulle headed "De Gaulle dictateur". He died the 25th of April 1958
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