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Journal articles on the topic 'Égyptien ancien (langue)'

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1

Noël, Marie-Pierre. "Le grec ancien, langue de culture ?" Éla. Études de linguistique appliquée 147, no. 3 (2007): 277. http://dx.doi.org/10.3917/ela.147.0277.

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2

Fournet, Arnaud. "Le mokša ancien, une langue sans adverbes ?" Adverbes et compléments adverbiaux / Adverbs and adverbial complements 36, no. 2 (December 31, 2013): 184–200. http://dx.doi.org/10.1075/li.36.2.01fou.

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Abstract:
The paper first presents a little-known language, Mokša, belonging to the Uralic family, and investigates adverbs as they were listed in the first linguistic description of Mokša published by Ahlquist in 1861. It is shown that originally all adverbial forms in Mokša were motivated and transparent derivatives of deictics, adjectives and nouns. There apparently did not exist primary adverbs, unanalyzable in the synchronic system of Proto-Mokša. The unanalyzable adverbs stem from recent borrowings taken from Russian and Turkic languages. This situation opens the way toward a kind of lexical utopia where there would exist no primary unanalyzable adverbial form in a language.
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3

Brunel, Clovis. "Le plus ancien acte original en langue provençale." Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale 1, no. 1 (1989): 31–46. http://dx.doi.org/10.3406/anami.1989.2882.

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4

Roncaglia, Aurelio. "Le plus ancien texte dans une langue romane." Comptes-rendus des séances de l année - Académie des inscriptions et belles-lettres 138, no. 1 (1994): 129–36. http://dx.doi.org/10.3406/crai.1994.15326.

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5

Terada, Akira. "L’évolution des idées sur la langue dans le Japon ancien." Histoire Épistémologie Langage 31, no. 2 (2009): 163–73. http://dx.doi.org/10.3406/hel.2009.3124.

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6

Queffélec, Ambroise. "Coordonnants actuels et coordonnant virtuel en ancien français." Revue québécoise de linguistique 19, no. 1 (May 6, 2009): 57–75. http://dx.doi.org/10.7202/602665ar.

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Abstract:
Résumé Si les empiétements du coordonnant virtuel ne sur les jonctifs actuels et/ou de l’ancien français sont bien connus, le phénomène inverse n’a pratiquement jamais été étudié. À partir d’une étude de la distribution de ces différents signes dans les énoncés comportant soit une négation explétive soit une négation pleine, l’article se propose, en se fondant sur des analyses de type guillaumien, de montrer comment l’usage des coordonnants correspond à une logique rigoureuse qui témoigne de la subtilité de l’ancienne langue.
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7

Arrighi, Laurence, and Isabelle Violette. "De la préservation linguistique et nationale : la qualité de la langue de la jeunesse acadienne, un débat linguistique idéologique." Articles 44, no. 2 (June 3, 2015): 67–101. http://dx.doi.org/10.7202/1031001ar.

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Abstract:
Cet article a pour objectif d’analyser un débat linguistique idéologique centré sur le rapport établi entre l’avenir de la francophonie canadienne, la qualité de la langue et le devoir de la jeunesse en la matière. L’idée que la jeunesse serait particulièrement responsable de la dégradation de la langue fait l’objet d’un discours ancien et sans cesse redéployé. Nous proposons une approche critique de son actualisation récente en Acadie, telle qu’elle s’est manifestée dans des publications médiatiques aux parentés argumentatives fortes, entre l’automne 2012 et le printemps 2013. Afin d’objectiver les prises de position, nous montrons qu’elles puisent légitimité et autorité dans les fondements idéologiques du nationalisme politique moderne, qui font de la langue le ciment de l’identité collective et de sa « bonne maîtrise » une compétence accessible sur base démocratique.
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8

St-Pierre, Marc, Daniel Gosselin, Monique Lemieux, and Marthe Faribault. "Le temps recouvré : de la pertinence d’une constitution de corpus; méthodologie et usage." Revue québécoise de linguistique 20, no. 2 (May 7, 2009): 263–79. http://dx.doi.org/10.7202/602714ar.

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Abstract:
RésuméDans l’analyse, en syntaxe historique, d’un ancien état de langue, les attentes récentes de la théorie ne sont pas toujours comblées par les études et les grammaires traditionnelles de l’ancienne langue. Dans notre étude diachronique du français, nous devons donc mettre sur pied un corpus tiré de textes médiévaux afin d’accéder directement aux données qui répondent à nos questionnements théoriques. Le présent article explique les justifications pour la création de notre corpus du moyen français et pour le choix des textes qui le composent. On y présente d’abord les étapes qui permettent un traitement informatisé pratique et rapide du corpus, et ensuite les possibilités qu’offre ce traitement.
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9

Lagorgette, Dominique. "Quel ancien français pour quels étudiants ? Pour une didactique de la langue médiévale1." Médiévales, no. 45 (September 16, 2003): 119–34. http://dx.doi.org/10.4000/medievales.641.

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10

Bouquet, Olivier. "Un ancien régime typographique: Culture manuscrite, société graphique et ponctuation turque ottomane." Annales. Histoire, Sciences Sociales 76, no. 1 (March 2021): 85–116. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.46.

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Abstract:
Un ancien régime typographique: Culture manuscrite, société graphique et ponctuation turque ottomaneLa présente étude substitue une analyse technique et graphique des opérations typographiques à l’approche politique et culturelle qui met habituellement l’accent sur les obstacles opposés à l’apparition de l’imprimerie dans l’Empire ottoman. Au-delà d’une démarche historiographique centrée sur les échecs de la modernisation culturelle, un examen combiné des caractères typographiques et des signes de ponctuation invite à proposer une histoire conjuguée de l’imprimé et du manuscrit. Celle-ci, tournée vers l’étude des vitalités textuelles, met au jour des convergences entre les productions calligraphiques, les expérimentations de la typographie et les progrès de la lithographie. Elle relie le travail du typographe aux actions de la main, les activités de l’éditeur aux productions de l’auteur, l’impression des matrices aux inscriptions de la plume. La ponctuation est un terreau d’innovation qui propose, au fil de ses modalisations, de nouvelles insertions, créations et hybridations contribuant au développement de la société graphique ottomane : les gens de l’écrit (scribes, copistes, lettrés, mais aussi éditeurs, typographes et imprimeurs) produisent des textes en fonction d’une culture manuscrite, de contraintes techniques et des caractères propres à la langue turque ottomane. Dès lors, une approche technique de l’ensemble des formes de production écrite permet d’ouvrir un nouveau chantier : celui d’une histoire croisée de la langue et des textes.
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Kemedjio, Cilas. "Mongo Beti : les ultimes défis d’un ancien combattant (1990-2000)." Études littéraires africaines, no. 42 (April 11, 2017): 21–36. http://dx.doi.org/10.7202/1039400ar.

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Abstract:
Le retour de Mongo Beti au Cameroun et sa confrontation avec la réalité de son pays ont profondément influencé ses analyses. Plongé dans la banalité de la vie quotidienne, l’auteur a ouvert une discussion féconde, même si elle a parfois été contestée, sur des sujets tels que les manifestations étudiantes de Yaoundé (au début des années 1990) ou le poids important accordé à l’ethnie en politique. Pour que ces discussions soient porteuses de sens, pour lui comme pour le public auquel il s’adressait, Mongo Beti, après des années d’exil qui l’avaient rendu étranger à son pays, a réappris la langue de la tribu. Cette attitude d’humilité a notamment permis à sa pensée d’évoluer, s’éloignant d’une dénonciation récurrente, voire dogmatique, des élites politiques corrompues pour embrasser ce que j’appellerais une posture éthique. Les échanges avec les étudiants en grève ont conforté Mongo Beti dans l’idée que la nouvelle génération saurait continuer les combats qu’il menait lui-même.
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Larrivée, Pierre. "Les coordonnants et l’inversion du sujet en français ancien." Oslo Studies in Language 12, no. 1 (June 29, 2021): 105–23. http://dx.doi.org/10.5617/osla.8912.

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Abstract:
Le point de départ de ce travail est le constat que le français ancien, qui contient des constructions à verbe en seconde position avec sujet postposé comme c’est par exemple le cas en norvégien, a également des sujets postposés à un verbe précédé d’un coordonnant, structure inexistante en norvégien. La construction à inversion du sujet avec coordonnant initial en français ancien est réévaluée ici. Cette construction a tendance à être analysée par les études existantes comme étant une coordination d’un verbe en position syntaxiquement basse suivie du sujet in situ, et non pas comme une structure à verbe second avec le verbe en position haute. L’analyse est fondée sur l’absence de postposition de sujets clitiques dans les données analysées. Ces données sont cependant essentiellement littéraires, et au regard de l’attestation de sujets clitiques dans d’autres langues romanes comme l’italien, des données alternatives du français sont examinées. Ces données confirment que la construction ne relève pas du verbe en seconde position, parce que le verbe ne figure pas en position syntaxique haute. Elle illustre plutôt une coordination asymétrique, ce qui est courant dans l’ancienne langue, expliquant les divergences d’avec le norvégien et le français actuel.
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Viala, Alain. "Éléments pour une poétique historique de recueils : un cas ancien singulier, la Comparaison de Desmarets." Études littéraires 30, no. 2 (April 12, 2005): 13–22. http://dx.doi.org/10.7202/501199ar.

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Abstract:
On peut distinguer des " recueils collectifs " et des " recueils individuels ", et encore des recueils " unigénériques " et des " polygénériques ". En envisageant un exemple des premières réalisations de ce type d'ouvrage en France, avec Desmarets de Saint-Sorlin et sa Comparaison de la langue et de la poésie française avec la grecque et la latine (1670), on peut aussi voir ce que ces distinctions, et nos habitudes de pensée actuelles, ont d'aléatoire. Desmarets mêle en effet ses écrits et ceux d'autres auteurs, l'essai, la critique et la poésie en un seul et même ouvrage, à vocation polémique. Il révèle donc combien ce " genre " est élastique, et ses usages indéfiniment ouverts.
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Mezeg, Adriana. "Le vocabulaire militaire dans le corpus français-slovène FraSloK." Linguistica 58, no. 1 (March 14, 2019): 237–48. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.58.1.237-248.

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Abstract:
Le présent article se propose d’étudier l’usage du vocabulaire militaire dans le corpus parallèle français-slovène FraSloK, qui contient des textes publiés entre 1995 et 2009. Partant de la fréquence d’occurrences du mot guerre(s) dans les textes français sources, le sous-corpus journalistique composé de 300 articles du Monde diplomatique et 3 romans du sous-corpus littéraire se sont avérés intéressants pour notre recherche. À la base des listes de tous les mots utilisés, nous avons manuellement extrait les noms du domaine militaire (3735 occurrences pour 289 mots différents). Appuyée sur des dictionnaires monolingues français et slovènes, la classification par niveaux de langue témoigne de la prédominance de la langue standard en français bien que certains mots soient très spécialisés ; il est intéressant de noter que dans le principal dictionnaire slovène, plusieurs traductions (équivalents slovènes de tels mots français) portent un indicateur du registre de langue non standard (militaire, jargon, jargon militaire, etc.). En outre, les textes de notre corpus contiennent un certain nombre de mots d’origine étrangère ou bien d’emprunts, tandis que ceux d’autres registres de langue (ancien, courant, familier, moderne, politique, vieux) ne sont que sporadiques. Les mots portant l’indicateur militaire ou argot sont quasi inexistants. Notre article révèle de quelles guerres parlent les textes français du FraSloK, expose le lexique utilisé regroupé dans cinq catégories de variétés du français et identifie les stratégies de traduction vers le slovène employées.
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Kaya, Mümtaz. "De l’intraculturel à l’interculturel : l’opération traduisante." Meta 52, no. 3 (November 21, 2007): 584–88. http://dx.doi.org/10.7202/016745ar.

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Abstract:
Résumé Dans ces lignes, l’auteur se fait l’écho des difficultés rencontrées lors de sa traduction vers le français, du Ruhmana, ouvrage doctrinaire de Saparmourat Turkmenbashi, ancien chef du jeune état turkmène. Au-delà des évidents problèmes posés par le transfert d’éléments culturels vers la langue d’arrivée, sont apparues des difficultés « intraculturelles », liées à la diversité culturelle à l’intérieur même de la zone linguistique turque, et des difficultés d’ordre linguistique (lexicale, sémantique), d’ordre sociologique (diversité des niveaux sociaux et des substrats identitaires) et d’ordre idéologique (intention doctrinaire, symbolique). S’appuyant sur des exemples précis, l’auteur dresse une typologie des difficultés intraculutrelles et propose, pour chaque type, une attitude pour guider « l’opération traduisante ».
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Dion, Gérard. "La langue de travail dans l’industrie au Québec." Relations industrielles 23, no. 3 (April 12, 2005): 387–88. http://dx.doi.org/10.7202/027918ar.

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Abstract:
La question de la langue de travail dans l’industrie au Québec n'est pas sans poser un problème sérieux pour l'existence, le maintien et le développement de la culture canadienne-française. Il y va aussi de la dignité et du respect de l'homme. Comment, en effet, les canadiens-français, même s'ils sont en majorité au Québec, pourront-ils conserver leur identité et se développer selon leur culture s'ils sont obligés à la journée longue d’utiliser une langue qui n'est pas la leur ? Le problème n'est pas nouveau au Québec et surtout dans les milieux urbains, car, pour une bonne part, l'initiative économique et la direction des grandes entreprises a été entre les mains de personnes de langue anglaise. Dans le passé, il n'était cependant pas aussi aigu qu'il l'est aujourd'hui, alors que la plus grande partie des travailleurs canadiens-français s'adonnaient à l'agriculture ou travaillaient dans de petites entreprises et vivaient soit dans des milieux ruraux ou des petites villes. Avec la montée de l’industrialisation et la concentration des travailleurs dans de grandes agglomérations urbaines, la situation s'est aggravée et peut même devenir catastrophique. Plusieurs en sont conscients. Il faut alors rechercher une solution. Pour certains, il n'y en a pas et on devrait simplement laisser les choses évoluer spontanément sans se soucier de l’avenir. Pour d'autres, il faut frapper un grand coup et imposer par la loi l'unilinguisme français dans les limites du territoire québécois. En dehors de ces deux catégories extrémistes, d'autres, attachés aussi à la valeur de la culture canadienne-française et au respect des hommes, reconnaissent la complexité du problème et ne croient pas à la possibilité d'une solution simpliste. C'est alors qu'il faut faire montre de réalisme, d'imagination et d’initiative. Depuis quelques années, la direction de Relations industrielles a colligé un certain nombre de témoignages, d'opinions et de documents. Dans le but d'aider à cerner différentes dimensions de ce problème elle les publie ensemble dans ce numéro. Nous avons été aidé dans cette tâche par notre ancien collègue Roger Chartier. Nous le remercions de même que tous les autres collaborateurs qui nous ont permis de reproduire leur texte. Il va sans dire que chacun assume la responsabilité de son opinion et que celle-ci n'est pas nécessairement partagée par la revue.
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Lehmann, Winfred P. "Towards a History of Early Indo-European." Diachronica 16, no. 1 (August 6, 1999): 67–95. http://dx.doi.org/10.1075/dia.16.1.05leh.

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Abstract:
SUMMARY The author argues that Indo-Europeanists must now set out to produce a history of the language to upgrade the 'purely systematic form' of Brug-mann's Grundriss (1897: xi) and Meillet's 'correspondences that are the sole reality for the comparatist to study' ( 1937[ 1922]:viii). Residues provide evidence for reconstructing Pre-Indo-Euopean, the earlier stage of Proto-Indo-European. The dialects must be investigated to identify more of these, and for innovations that provide perspective on the earlier structure. Our knowledge of the various types of language, notably the active, enables us to interpret them. Such study will lead to improved understanding of the history of the dialects and also that of Proto-Indo-European. RÉSUMÉ L'auteur soutient que les indo-européanistes doivent à l'heure actuelle entreprendre la création d'une histoire de la langue afin d'avancer plus loin que la 'forme purement systématique' du Grundriss (1897: xi) de Brugmann et "les concordances sont la seule realité qu'ait à étudier le comparatiste" de Meillet ( 1937[ 1922]:viii). Les débris historiques sont des indices permettant de reconstruire le pré-indo-européen, l'état de langue le plus ancien de l'indo-européen. Il faut examiner les dialectes afin d'en trouver davantage, ainsi que des innovations qui jettent de la lumière sur cet état de langue le plus ancien. Notre connaissance de divers types langagiers, notamment le type actif/statif, nous permettra d'interpréter ces faits. De telles études nous feront mieux comprendre l'histoire des divers dialectes de l'indo-européen, comme celle de l'indo-européen luimême. ZUSAMMENFASSUNG Der Autor dieses Artikels ist der Ansicht, daB es an der Zeit sei, eine Sprachgeschichte zu erstellen, die uber die Auffassung hinausgeht, die in Brugmanns Grundriss (1897: xi, i.e., daB man nur "bloBe systematische Formen" rekonstruiere) sowie in Meillets Introduction à l'étude comparative ( 1937 [ 1922] : viii: "les correspondances sont la seule réalité qu'ait à étudier le comparatiste") vertreten wird. Ihm zufolge bieten strukturelle Ùberreste nutzliche Hinweise zur Rekonstruktion der vor-indoeuropäischen Grund-sprache, der fruheren Entwicklungsstufe des Protoindoeuropäischen. Um dies zu bewerkstelligen, müssen nicht nur einzelne Dialekte untersucht werden, um weitere solche Uberreste aufzufinden, sondern auch Neuerungen, die einen Ruckblick auf fruhere Formen ermöglichen. Unsere Kenntnisse der verschiedenen Strukturtypen von Sprachen, insbesondere von sog. aktiven, ermöglichen uns deren Interpretation. Ein solches Studium fuhrt zu einem besseren Verstandnis der Geschichte der einzelnen Dialekte, und auch des Protoindoeuropàischen.
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PERDICOYIANNI-PALEOLOGOU, H. "Rev. N. Lanérès, Les formes de la phrase nominale en grec ancien. Etude sur la langue de l'Iliade." Orbis 40, no. 1 (January 1, 1998): 275–79. http://dx.doi.org/10.2143/orb.40.1.505049.

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Timelli, Maria Colombo. "Marco Maulu, Les “Sept Sages de Rome” en diachronie: observations sur le plus ancien incunable en langue française." Studi Francesi, no. 191 (LXIV | II) (August 1, 2020): 387. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.31473.

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Ouvrard, Gilles. "Proposition d’un cours « Lecture de discours » visant à améliorer la prononciation et l’intelligibilité de la lecture à haute voix en langue B Seconde partie1, 2." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 14, no. 2 (December 31, 2016): 274–303. http://dx.doi.org/10.1075/forum.14.2.06ouv.

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Abstract:
Resumé Le présent article est la seconde partie de la description d’un cours expérimental de « Lecture de discours » en français conçu pour les étudiants coréens du Département coréen-français de la Graduate School of Interpretation and Translation de l’Université Hankuk des Études étrangères (Séoul). L’auteur, francophone maternel, ancien interprète de conférence, propose différentes hypothèses quant aux causes de certains défauts de prononciation, décrit de nouveaux défauts de prononciation et défauts du rythme de l’élocution française dus au décalage entre l’écrit et l’oral dans la maîtrise du français B, puis relève quelques erreurs méthodologiques supplémentaires dans la lecture à voix haute. Il revient sur certains aspects de ce cours, et conclut sur son intérêt pédagogique.
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Vovin, Alexander. "Once Again on the Accusative Marker in Old Korean." Diachronica 12, no. 2 (January 1, 1995): 223–36. http://dx.doi.org/10.1075/dia.12.2.04vov.

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Abstract:
SUMMARY Miller (1977) proposed reconstructing the Old Korean accusative marker as hel < *gel and compared it with the Old Turkic accusative = j/=g, the Mongolian accusative =[ii]g, and the Tungusic directive-locative =kilaa/=kilii. His proposal was criticized in Martin (1990). I will argue that although Miller's proposal is valid as far as Old Korean is concerned, his comparison with Old Turkic, Tungusic, and possibly with Mongolian cannot be maintained. I will demonstrate on the basis of the internal evidence that Old Korean =yïl < Proto-Korean *=biî, and is therefore related to the corresponding accusative markers in Japanese and Tungusic. RÉSUMÉ En proposant de reconstruire l'accusatif du vieux coréen comme hel < *gel Miller (1977) compara l'accusatif avec ceux du turc ancien =y/=g, du mongol =[ii]g, et avec le directif-locatif toungouze =kilaa/=kilii.. Sa proposition fut critiquée par Martin (1990). L'auteur de cet article discute ici que la reconstruction de l'accusatif coréen ancien de Miller, mais qu'il est nécessaire de rejeter sa comparaison avec les marques de cas du turc ancien, du toungouze et peutêtre aussi du mongol. A partir des resources internes de la langue, je démontre que =yïl du vieux coréen < *=bïl du proto-coréen, et qu'il est conséquemment apparenté aux marques de cas accusatif en japonais et en toungouze. ZUSAMMENFASSUNG Miller (1977) schlug hel < *gel als rekonstruierte altkoreanische Akku-sativmarkierung vor und verglich sie mit dem alttiirkischen Akkusativ = y/=g, dem mongolischen Akkusativ =[ii]g und dem tungusischen Direktiv-Lokativ =kilaa/=kilii. Sein Vorschlag wurde in Martin (1990) kritisiert. In diesem Aufsatz wird dargelegt, daB, wenngleich Millers Vorschlag fur das Altkoreanische zutrifft, sein Vergleich mit dem Alttiirkischen, dem Tungusischen und vielleicht mit dem Mongolischen hingegen abgelehnt werden muB. Aufgrund internen Beweismaterials wird hier der Nachweis gefuhrt, daB altkoreanisch = yïl aus protokoreanisch *=bïl hergeleitet werden kann und deshalb mit den entsprechenden Akkusativmarkierungen im Japanischen und Tungusischen verwandt ist.
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Joseph, John E. "Structure, mentalité, société, civilisation : les quatre linguistiques d’Antoine Meillet." SHS Web of Conferences 78 (2020): 15002. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20207815002.

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Abstract:
Aujourd’hui le nom d’Antoine Meillet (1866-1936) rappelle surtout ses manuels de linguistique comparée des langues indo-européennes, ses études slaves et arméniennes, et sa présidence d’une « école de Paris » où seraient formés les grands linguistes de la génération suivante. Pourtant il ne faut pas oublier l’importance de ses contributions à la linguistique synchronique, y compris l’analyse de la langue française. Sa conception originale de la « grammaticalisation » dans un article de 1912, où il tire ses exemples clés du français, a démontré l’impossibilité d’une stricte séparation entre les catégories analytiques, et plus généralement entre la synchronie et la diachronie. Dans d’autres ouvrages il prétend qu’un Français conçoit un objet différemment de la façon dont un ancien Romain le concevait, à cause de la structure des grammaires latine et française ; que le passage de vocables d’un genre spécifique (tel l’argot des marins) à l’usage général est le principal moteur de l’évolution sociale d’une langue, et qu’il y a une hiérarchie quasi-féodale entre les mots selon leur origine ; qu’il n’existe en Europe que quatre « langues de civilisations », face auxquelles les autres langues seraient destinées à disparaître. Bien que Meillet ait joué un rôle cardinal dans le développement du structuralisme linguistique de la première moitié du XXe siècle, il a gardé ses distances avec le mouvement, et cette réserve, léguée à ses étudiants (à quelques exceptions près), clarifie certains aspects du caractère particulier de la linguistique française.
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Doherty, Cathal. "Residual verb second in Early Irish." Diachronica 17, no. 1 (December 31, 2000): 5–38. http://dx.doi.org/10.1075/dia.17.1.03doh.

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Abstract:
SUMMARY This paper seeks to establish that Early Irish is a ‘residual Verb Second (V2)’ language: i.e. one in which the V2 pattern is no longer general, but in which residues of an earlier V2 stage remain. The central argument is that the exceptional word order known as ‘Bergin’s construction’ (Bergin 1938), attested only in archaic registers, reduces straightforwardly to the V2 pattern. Based on this observation, it is argued that V2 was general in Irish, at a stage which predates the Old Irish record. In support of this, other possible V2 residues are identified in Early Irish, e.g. the interrogative system, and ‘noun-initial’ sentences brought to light by Mac Cana 1973. This proposal, if correct, has broad consequences for the diachronic syntax of Irish, primarily that Verb-initial order did not develop directly from Indo-European Verb-final order, but was mediated by another (V2) stage. RÉSUMÉ Cet article cherche à établir le fait que l’Ancien irlandais est une langue à verbe second (V2) restant, c’est-à-dire une langue dans laquelle le schéma V2 n’est plus général, mais où il subsiste des traces d’un V2 plus ancien. L’argument central est que l’ordre de mots exceptionnel, connu sous le nom de ‘Bergin’s construction’ (Bergin 1938) et seulement attesté dans les registres archaïques, réduit sans détour au schéma V2. Partant de cette observation, il est dit que V2 était un trait général de la langue irlandaise à un moment qui précède le Vieil irlandais. Pour soutenir cela, d’autres traces possibles de V2 ont été identifiées en Ancien irlandais, par exemple, le système interrogatif, les phrases avec ‘nom-initial’. Celles-ci ont été mises en lumière par Mac Cana 1973. Si cette proposition est correcte, elle aurait de larges conséquences pour la syntaxe diachronique de l’irlandais, tout d’abord celle de montrer que l’ordre en V-initial n’a pas été directement formé de l’ordre V-final indo-européen, mais qu’une autre étape en V2 s’est interposée entre les deux. ZUSSAMENFASSUNG Dieses Papier versucht, herzustellen, daß Alt-Mittelirische eine Sprache ‘residual Verb Second (V2)’ sind: d.h., ein in dem die Wortsellung V2 nicht mehr produktiv ist, aber, in welchen Überresten eines frühere Wortstellung V2 bleiben. Das zentrale Argument ist, daß der unregelmässiger Satztypus, das als ‘Berginskonstruktion’ bekannt ist (Bergin 1938) und bezeugt nur in den archaischen Registern, ist eines Beispeil für V2. Gegründet auf dieser Beobachtung, wird es argumentiert, daß Irische an einem Stadium V2 allgemein war, bevor die ältesten Irischen speichern. Zur Unterstützung dieses werden andere mögliche Überreste V2 auf Alt-Mittelirischen, z.B. das fragende System und der Satztypus mit vorangestellten Nominalphrasen, die zum Licht von Mac Cana 1973 geholt werden gekennzeichnet. Dieser Antrag, wenn korrekt, hat ausgedehnte Konsequenzen für die historische Syntax von Irische, hauptsächlich, daß die Verbanfangswortstellung nicht direkt von die indogermanische Verbausgangswortstellung entwickelte, aber wurde durch ein anderes Stadium (V2) vermittelt.
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Cumes, Aura. "La cosmovision maya et le patriarcat : une interprétation critique1." Articles 30, no. 1 (August 29, 2017): 47–59. http://dx.doi.org/10.7202/1040974ar.

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Abstract:
Dans cet article, l’auteure cherche à répondre aux questions suivantes : Le patriarcat a-t-il toujours été un système universel de domination? Les sociétés dites « non occidentales » sont-elles aussi des sociétés patriarcales? Que dit la pensée maya ancienne (la cosmovision maya) à propos des relations hommes-femmes? Quelles sont les relations de pouvoir qui mènent au patriarcat? Pour répondre, l’auteure centre d’abord son analyse sur un texte ancien nommé « Popol Wuj » en langue K’iche’, ce qui se traduit généralement par « Livre du conseil ». Ensuite, elle analyse sommairement la construction des structures relationnelles entre les femmes et les hommes mayas dans un contexte de colonisation. Analyser le Popol Wuj est un projet ambitieux qui demande beaucoup de temps. Pour cette raison, l’auteure ne cherche pas à parler de ce texte en lui-même, mais plutôt à faire un exercice d’interprétation sur ce qu’il dit à propos des relations entre les hommes et les femmes, entre le féminin et le masculin, afin de le mettre en rapport avec l’histoire subséquente qui débute par la colonisation.
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Brasseur, Annette. "Les Hauts-de-France, patrie du plus ancien t�moin de la pr�dication dominicaine conserv� en langue vernaculaire�: Le Sermon d�Amiens." Nord' N�70, no. 2 (2017): 49. http://dx.doi.org/10.3917/nord.070.0049.

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Schmitz, Max. "Les éléments provençaux dans le Viridarium encyclopédique de Jean Raynaud (vers 1382–1385 - après 1416)." Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 24 (December 31, 2012): 152–82. http://dx.doi.org/10.1075/rein.24.08sch.

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Abstract:
Une des caractéristiques majeures du Viridarium, encyclopédie inédite du juriste avignonnais Jean Raynaud (ca 1357–1432/1433), est l’ancrage régional de l’œuvre. Elle comporte deux types d’éléments qui peuvent être qualifiés de provençaux: d’une part, des références explicites à la Provence, surtout des mirabilia, et d’autre part des termes en ancien provençal, soit dans les notes marginales, soit dans le texte principal. Le premier type d’éléments atteste l’intérêt pour les réalités régionales de la part de l’auteur. Dans certains cas, ce sont même des témoignages qui dépassent le savoir livresque et qui donnent une vue inédite sur la culture provençale. Ensuite, les 31 noms vernaculaires de plantes et de vents notés dans la marge, et les 20 autres qui figurent dans le texte permettent de vérifier l’identité des realia décrits et de mettre en évidence les cas problématiques où Jean Raynaud, en tant que compilateur, a sans doute eu une autre compréhension du texte que l’auteur dont il s’inspire. Certains de ces synonymes sont des mots hybrides qui oscillent entre le latin et la langue vulgaire. Un autre apport important de ces deux catégories d’éléments est qu’elles contribuent sensiblement à confirmer l’identité de l’auteur méconnu.
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Fortin, Gérald. "Le Québec : une société globale à la recherche d'elle-même." Articles 8, no. 1 (April 12, 2005): 7–13. http://dx.doi.org/10.7202/055333ar.

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Abstract:
Nous voudrions soutenir dans le bref exposé qui suit la thèse que les notions de groupe ethnique et de relations ethniques sont très peu utiles pour expliquer les relations du Québec avec le reste du Canada et le monde international. Ces concepts, nous semble-t-il, mettent trop l'accent sur l'aspect linguistique et culturel et négligent les autres niveaux de la réalité sociale et économique. Sous le couvert de la langue, c'est un système de valeurs, une forme d'organisation sociale, des techniques même, que l'on veut promouvoir ou sauvegarder. Plus profondément encore, sous la lutte ethnique se révèle une définition de la société globale idéale ; définition qu'une élite en possession du pouvoir ou à la recherche du pouvoir veut rendre collective. L'ouverture du groupe ethnique sur le monde et sur les relations internationales va dépendre non pas du succès ou de l'insuccès de la lutte ethnique mais plutôt de la définition de la société idéale proposée à l'acceptation collective des membres de cette société. Ce sont ces quelques propositions que nous voudrions essayer d'illustrer en analysant à grands traits les caractéristiques du nationalisme canadien-français ancien et nouveau. Après cette courte monographie, nous essaierons de préciser comment la notion de société globale pourrait être utilisée avantageusement dans l'étude des relations ethniques.
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Junker, Marie-Odile. "L’effet V1: le verbe initial en moyen français." Canadian Journal of Linguistics/Revue canadienne de linguistique 35, no. 4 (December 1990): 351–71. http://dx.doi.org/10.1017/s0008413100013931.

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Abstract:
Le moyen français (MF) est une langue à sujet nul qui permet les sujets postverbaux et dont le verbe occupe généralement la seconde position. N’importe quel constituant peut occuper la première position de la phrase, y compris le sujet. Le sujet nul et le sujet postverbal sont habituellement le fait des langues romanes. L’effet du verbe second, “l’effet V2”, est caractéristique des langues germaniques. Une question longuement débattue par la tradition philologique (Foulet 1928; Herman 1954; Hilty 1968; Kuen 1957) est celle de l’influence des langues germaniques sur l’évolution du francais. Fidèles en ce sens à cette tradition, mais dans le cadre de la grammaire générative, Benincà (1984) puis Adams (1987) et Vance (1987) ont appliqué l’analyse proposée par Thiersch (1978) pour l’allemand à l’ancien français (AF) en assumant deux règles de mouvement: antéposition du verbe tensé et topicalisation de n’importe quel adverbe ou NP en position initiale. Le caractère obligatoire de la règle de topicalisation V2 est mis en doute par l’existence de phrases déclaratives à verbe initial en ancien et en moyen français. En effet, on en trouve de la Chanson de Roland (XIIe siècle) jusqu’à Rabelais et Montaigne (XVIe siècle) tant en phrases matrices qu’en phrases subordonnées.
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Oualdi, M'hamed. "Une succession d'empires: Les historicités d'une société maghrébine (1860-1930)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 4 (December 2017): 1055–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264918000586.

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Abstract:
RésuméEn étudiant un conflit juridique transméditerranéen autour de la succession d'un ancien ministre tunisien mort à Florence en 1887, cet article appelle à une écriture de l'histoire du Maghreb contemporain qui ne soit pas seulement conçue à partir de l’étude des sources coloniales européennes ou selon une temporalité coloniale mais qui puisse emprunter d'autres cadres d'analyse. Il s'agit aussi de prendre en compte le chevauchement des temporalités impériales française et ottomane en Méditerranée jusqu'aux années 1920, ainsi que la multiplication des litiges nés avant la colonisation de la Tunisie, des dissensions qui continuaient à fournir des raisons d'agir durant la période coloniale. Reconsidérer ces conflits non pas à l'aune de la colonisation mais selon leurs multiples temporalités et en diversifiant les sources nuancerait largement l'idée d'une absence de sources dites « locales » souvent avancée dans les études d'histoire coloniale du Maghreb. Tout autant que les parties prenantes européennes, les acteurs maghrébins impliqués dans des litiges juridiques furent à l'origine d'une profusion documentaire. Ils n'ont cessé de produire des preuves écrites et des justifications – y compris littéraires – en langue arabe pour appuyer leurs argumentaires. Les archives coloniales n'ont capté qu'une partie de ces écrits et donc des sources disponibles pour raconter une autre histoire contemporaine du Maghreb.
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Roccati, G. Matteo. "Anne-Françoise Labie-Leurquin et Marie-Laure Savoye, JONAS: Une base de données de la littérature et des manuscrits en ancien français et en langue d’oc." Studi Francesi, no. 147 (XLX | III) (December 1, 2005): 607. http://dx.doi.org/10.4000/studifrancesi.32732.

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Migge, Bettina. "The origin of the copulas (d/n)a and de in the Eastern Maroon Creole." Diachronica 19, no. 1 (October 22, 2002): 81–133. http://dx.doi.org/10.1075/dia.19.1.04mig.

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Abstract:
Summary It is generally assumed that the copulas (d/n)a and de in the creoles of Suriname emerged due to processes of reanalysis and grammaticalization from that and there, respectively. While Arends (1989) argued that these processes were triggered and guided by substrate influence, McWhorter (1997a) explicitly excludes such influence. Neither of the two studies is conclusive, however, since they did not examine in sufficient detail relevant data from the primary substrate input. The aim of the present study is to fill this gap by exploring in detail the copular domain in the Eastern Maroon Creole (EMC), a conservative descendant of the early Suriname Creole, and its main input languages, the varieties of Gbe and Kikongo. The comparative analysis reveals close similarities between the three languages. When combined with findings from diachronic research (Arends 1986, 1989), these finding suggests that the overall make-up of the copular domain emerged due to influence from the primary substrate input, particularly from Gbe. The main functional and distributional properties of (d/n)a were modeled on the demonstrative pronoun that functioning as a resumptive pronoun in non-native varieties of English and on the focus markers in the substrate languages. Those of de were based on the non-nominal copulas in the substrate varieties and on the locative adverb there in existential construction. Subsequent to their emergence, they were affected by language-internal change. Résumé On accepte en général l’idée que les copules (d/n)a et de dans les créoles du Suriname se sont développées à la suite d’un processus de réanalyse et de grammaticalisation du pronom démonstratif anglais that et de l’adverbe locatif there. Arends (1989) propose que ces processus ont été provoqués et guidés par le substrat principal du créole. Par contre, McWhorter (1997a) nie que le substrat ait influencé l’émergence des deux copules. Les résultats de ces deux études ne sont probablement pas tout à fait définitifs, vu que leurs analyses du substrat n’étaient pas suffisamment détaillées. Le but de cette étude est d’analyser l’origine de (d/n)a et de en faisant une analyse comparative détaillée de la prédication en Eastern Maroon Creole (EMC), un descendant du créole ancien du Suriname, et dans le substrat principal de ce créole ancien, notamment les variétés de la langue gbe et de la langue kikongo. L’enquête montre qu’il y a des ressemblances importantes entre les trois langues. En conjonction avec les données diachroniques (Arends 1986, 1989), les résultats de l’étude comparative montrent que l’organisation structurelle de la prédication dans les créoles surinamien est calquée sur celle du substrat, essentiellement les langues gbe. Les propriétés fonctionnelles et distributives de (d/n)a sont dues au pronom démonstratif anglais that dans sa fonction comme marqueur d’emphase dans les variétés d’anglais seconde langue et les particules d’emphase dans les variétés de gbe et de kikongo. Celles de de sont dues à celles de la copule non-nominale dans les langue du substrat et de l’adverbe locatif there. Après leur émergence ces éléments ont été modifiés par des processus de changement langagier ne mettant pas en cause le substrat. Zusammenfassung Es wird generell angenommen, dass sich die Kopulas (d/n)a und de in den Kreolsprachen von Suriname durch Reanalyse- und Grammatikalisierungsprozesse von dem englischen Demonstrativpronomen that und dem Adverb there her entwickelt haben. Arends (1989) argumentiert, dass diese Prozesse durch Substrateinflüsse in Gang gesetzt und geleitet worden sind, wohingegen McWhorter (1997a) die Beteiligung von Substrateinflüssen explizit ausschließt. Die Ergebnisse dieser beiden Studien können jedoch nicht als abschließend betrachtet werden, da sie auf einer nicht sehr detaillierten Analyse der Substratsprachen basieren. Das Ziel der vorliegenden Studie ist es daher, durch einen Vergleich der Kopuladomäne im Eastern Maroon Creole (EMC), eine konservative Tochtersprache des frühen Plantagenkreols von Suriname, und den Hauptsubstratsprachen, Varietäten des Gbe und Kikongo, den Ursprung der Kopuladomäne in den surinamesischen Kreols erneut zu untersuchen. Die komparative Analyse zeigt, dass signifikante Ähnlichkeiten zwischen den Kopulasystemen der drei Sprachen bestehen. Kombiniert mit den Ergebnissen einer diachronen Studie (Arends 1986, 1989), deuten diese Ähnlichkeiten darauf hin, dass die Struktur der prädikativen Konstruktionen durch den Einfluss der Substratsprachen, insbesondere des Gbe, entstanden sind. Die funktionellen und distributionellen Charakteristika von (d/n)a basieren auf denen des Demonstrativpronomens that in seiner Funktion als Fokusmarker in Zweitsprachvarietäten des Englischen und denen der Fokusmarker in den Substratsprachen. Die Charakteristika von de basieren auf denen der nicht-nominalen Kopula in den Substratsprachen und dem Adverb there. Einige wenige Charakteristika von (d/n)a und de entstanden durch sprachinternen Wandel.
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Henrion-Dourcy, Isabelle. "Une rupture dans l’air." Anthropologie et Sociétés 36, no. 1-2 (August 10, 2012): 139–59. http://dx.doi.org/10.7202/1011721ar.

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Abstract:
La plupart des études des diasporas soulignent le rôle de cohésion culturelle, sociale et souvent politique joué par les médias au sein de ces groupes établis à travers plusieurs espaces nationaux. Mais tous les médias dans la langue du groupe sont-ils pour autant des vecteurs de cohésion ? Le cas de la télévision satellite dans la communauté tibétaine de Dharamsala (Himachal Pradesh, Inde), où cette enquête ethnographique a été menée, est particulier, du fait que les Tibétains ont accès, depuis à peine une dizaine d’années, à une offre télévisuelle aussi foisonnante qu’idéologiquement variée. À la soixantaine de chaînes du bouquet de STAR, G et Sony TV s’ajoutent des médias diasporiques (deux programmes en tibétain réalisés soit à Dharamsala, soit à Washington) et des médias transnationaux (trois chaînes en tibétain et trois autres en chinois diffusées depuis le Tibet). Les observations révèlent que la consommation différentielle de ces médias met en lumière les fractures internes de la communauté, non seulement selon l’âge, mais aussi et surtout selon le parcours migratoire, plus ou moins ancien en Inde, des téléspectateurs. Par ailleurs, l’impact d’une exposition continue des exilés, très politisés, aux médias chinois est soit passé sous silence par les autorités, soit démenti par les spectateurs, au nom d’une rhétorique qui survalorise les contenus discursifs à la fois de l’identité tibétaine et du langage télévisuel. Or, celui-ci n’est pas qu’outil pédagogique, il est aussi machine à créer du désir, consommatoire ou affectif, deux dimensions pour l’instant négligées localement.
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Guillorel, Éva. "Sources orales et mémoire historique dans la Bretagne d’Ancien Régime : la représentation des héros." Quatrième partie : les marges, lieux de résistance. Les chants de la marge : paroles entretenues, no. 13-14-15 (October 27, 2009): 407–19. http://dx.doi.org/10.7202/038445ar.

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Abstract:
Résumé Le répertoire ancien de tradition orale en langue bretonne — se rapportant à des faits antérieurs au xixe siècle — reflète un discours issu d’une source orale, bretonnante, partiellement populaire et massivement rurale, soit l’inverse des sources écrites, urbaines, lettrées et francophones qui constituent les bases de la documentation historique. Or, en qui concerne le regard porté sur les héros politiques, le propos de la chanson s’avère souvent différent de celui des archives écrites, reflet du discours officiel. Il s’agit donc de s’interroger sur la subjectivité de cette expression de la marge afin d’apprécier en quoi elle constitue une forme de résistance face au discours du centre. Le choix des héros retenus par la tradition pose la question d’une mémoire sélective et longue, qui perpétue le souvenir de personnages dont l’identification et les références historiques ont souvent perdu de leur sens. Le traitement des épisodes retenus invite à s’interroger sur les processus de mythification des héros, la question de la réécriture de l’histoire officielle ou encore la capacité de conservation de la réalité historique au fil de la transmission. La question de l’origine des chansons à contenu politique se pose également : celles-ci sont-elles toujours d’inspiration plus ou moins lettrée? Quelle place existe-t-il pour un discours de création plus proprement populaire? De même, l’interrogation porte sur les destinataires des chansons et sur l’utilisation de la chanson comme arme de propagande, mais également sur le réinvestissement de la marge par le centre lorsque le politique estime pouvoir en tirer profit, ou sur la question de l’assimilation d’un discours lettré dans la tradition populaire.
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Considine, P. "The History of Words - F. Létoublon (ed.): La langue et les textes en grec ancien. Actes du Colloque Pierre Chantraine (Grenoble, 5–8 septembre, 1989). Pp. 369. Amsterdam: J. C. Gieben, 1992. Paper, Gld. 145." Classical Review 45, no. 1 (April 1995): 80–84. http://dx.doi.org/10.1017/s0009840x00292263.

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Pérez Lorido, Rodrigo. "On the Grammatical Domain of Gapping in Old English." Diachronica 13, no. 2 (January 1, 1996): 319–46. http://dx.doi.org/10.1075/dia.13.2.06per.

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Abstract:
SUMMARY This paper is a study of verbal ellipsis in coordinated constructions in Old English, carried out within the theoretical framework of Transformational Grammar and assuming a deletion-based approach. The rule analysed here is the one known as Gapping, and the study focuses primarily on the discussion of its grammatical domain, trying to determine if the rule is a syntactic one or if it falls outside the domain of pure syntax. In order to achieve this, two basic aspects are dealt with which have traditionally constituted good tests of the grammatical nature of Gapping in different languages within the deletion-based approach: the extent to which the application of the rule depends on structural parallelism, and the possibility that Gapping may apply to non-adjacent sentences. The method I have pursued consists of analysing the Gapping patterns found in a corpus of seven Old English texts and comparing them with the well-known facts for Modern English under different perspectives. The conclusions I have come to seem to suggest that Gapping in Old English cannot be accounted for from a purely syntactic point of view and that stipulations of a pragmatic nature must also be included in its formulation. This has obvious consequences for a theory of ellipsis in Old English in particular, and for a theory of Old English grammar in general, for it might suggest that word order in Old English would nut rely only on principles of a syntactic nature, but also on others of a pragmatic, discourse-based one. RÉSUMÉ II s'agit, dans cet article, d'une etude de l'ellipse verbale dans les structures coordonnees en vieil-anglais, etude entreprise dans le cadre theorique de la grammaire generative transformationnelle et dans la perspective d'effacement par identite. La reglejque nous analysons ici est connue sous le nom de 'gapping' et le but fondamental de notre etude est de delimiter le domaine-gramma-tical ou cette regie opere, tout en essayant de demontrer s'il s'agit d'une regie strictement syntaxique ou si — au contraire — il s'agit d'une regie qui deborde le champ de la syntaxe. Pour atteindre ce but on a analyse surtout deux aspects qui constituent, traditionnellement, des preuves fiables lors de la determination du domaine grammatical du 'gapping', a savoir, le degre de parallelisme structural necessaire pour que la regie y opere et la possibilité d'application de celle-ci dans des phrases non adjacentes. La demarche suivie dans cette etude con-siste a analyser les differents exemples de 'gapping' depouilles dans un corpus constitue par sept textes d'ancien anglais, et a les comparer avec des faits pertinents en anglais moderne sous d'autres perspectives. Les conclusions aux-quelles l'auteur a abouti semblent indiquer que le 'gapping' en ancien anglais repond moins a des restrictions syntaxiques qu'en anglais moderne, et que dans sa formulation des stipulations syntaxiques aussi bien que pragmatico-discursives doivent y intervenir. Ce fait aura d'evidentes repercussions pour une theorie de l'ellipse en ancien anglais et, par la, meme pour une theorie de la grammaire de 1'ancien anglais en general, puisqu'il suggere que l'ordre des mots dans cette langue n'est pas uniquement le reflet de principes de type syn-taxique, mais egalement de type communicatif et discursif. ZUSAMMENFASSUNG Dieser Aufsatz untersucht die verbale Auslassung in koordinierten Kon-struktionen des Altenglischen; dabei diente sowohl die generative Transforma-tionsgrammatik als auch die Gleichheitsauslassung als theoretische Grundlage. Die hier analysierte Regel ist allgemeinhin als 'Gapping' bekannt. Die Studie befaßt sich hauptsachlich mit der Untersuchung der grammatischen Reichweite dieser Regel; dabei wird versucht zu ermitteln, ob sie nur auf den syntak-tischen Bereich angewandt werden kann oder ob sie liber die reine Syntax hinausreicht. Um dies zu erreichen, werden zwei grundlegende grammatische Aspekte genauer untersucht, die erfahrungsgemaB zu guten Ergebnissen bei der grammatischen Analyse von Gapping in anderen Sprachen beigetragen ha-ben: das AusmaB, von dem die Anwendung der Regel von struktureller Paral-lelitat abhangt, und die Moglichkeit, daB Gapping auch bei nicht aufeinander folgenden Satzen angetroffen werden kann. Die hier angewandte Methode besteht aus einer Analyse der vorhandenen Muster von Gapping in einem Korpus von sieben altenglischen Texten und einem anschließenden Vergleich mit den weitlaufig bekannten Fakten des modernen Englisch. Die Ergebnisse, zu denen der Autor gekommen ist, machen deutlich, daB im Altenglischen Gapping nicht so sehr den syntaktischen Restriktionen entspricht wie im modernen Englisch, und daB man in seine Formulierung auch grammatisch-diskursive Festlegungen einschließen soil. Das hat deutlich Folgen für eine Theorie der Auslassung im Altenglischen und auch fiir eine Grammatiktheorie des Altenglischen im Allgemeinen, denn das würde heiBen, daB die Wort-stellung in dieser Sprache nicht nur von Prinzipien syntaktischer Art abhangig ist, sondern auch von solchen kommunikativer und diskursiver Natur.
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Perko, Gregor. "Présentation." Linguistica 51, no. 1 (December 31, 2011): 3–4. http://dx.doi.org/10.4312/linguistica.51.1.3-4.

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Abstract:
Au cours des dernières décennies où l’on assiste à une refondation de la morphologie, la discipline s’intéresse de plus en plus à des phénomènes « périphériques », « marginaux », « irréguliers » ou « extragrammaticaux », à des phénomènes n’appartenant pas aux « régions nodales » de la morphologie. Le présent numéro de Linguistica, premier numéro thématique de notre revue, réunit des études qui s’intéres- sent aux frontières internes et externes de la morphologie. La diversité et la richesse des thèmes abordés et des approches proposées témoignent d’un intérêt croissant que les linguistes, non pas uniquement les morphologues, portent à cette thématique.Les articles proposés s’articulent autour de cinq axes majeurs.Un premier axe rassemble les articles qui étudient les frontières entre différentes composantes de la morphologie. L’étude de Michel Roché examine les contraintes lexicales et morphophonologiques sur le paradigme des dérivés en –aie. Les résultats de son analyse remettent en question la notion de « règle de construction des lexèmes ». Irena Stramljič Breznik et Ines Voršič se penchent sur les néologismes de sport en slovène et essaient d’évaluer la productivité ou la créativité des procédés morphologiques en jeu. Dans une étude d’inspiration cognitiviste, Alexandra Bagasheva aborde l’hétérogénéité des verbes composés en anglais. En s’appuyant sur les données fournies par les para- digmes verbaux du maltais, Maris Camilleri examine la complexité du phénomène de classes flexionnelles basées sur les radicaux. Trois travaux concernent des procédés typiquement « extragrammaticaux » servant à former le plus souvent des occasionnalismes: Arnaud Léturgie tente de dégager des propriétés prototypiques de l’amalgamation lexicale en français, notamment celles de la création des mots-valises; Silvia Cacchiani analyse, à l’intérieur du cadre de la morphologie naturelle, les mots-valises formés à partir de noms propres et de substantifs, phénomène relativement récent en ita- lien ; Thomas Schwaiger, se fondant sur les données tirées de la base « Graz Database on Reduplication », traite des constructions rédupliquées dans une perspective universelle. Deux articles adoptent une perspective contrastive: celui d’Eva Sicherl et Andreja Žele étudie la productivité des diminutifs nominaux en slovène et en anglais ; celui de Marie-Anne Berron et Marie Mouton propose une analyse détaillée de l’importance quantificative et qualificative des procédés de la morphologie marginale dans le slam en France et en Allemagne. Géraldine Walther présente un nouveau modèle général, inscrit dans une approche réalisationnelle, qui permet d’évaluer et de formaliser la (non-)canonicité de phénomènes flexionnels.Un deuxième axe se situe sur la frontière séparant la morphologie dérivationnelle de la morphologie flexionnelle. Tatjana Marvin se penche sur le problème de la préservation de l’accent dans les dérivés anglais, mettant en comparaison les approches de Chomsky et de Marantz avec celle de la théorie de l’Optimalité. L’article de Patrizia Cordin explore la façon dont les constructions locatives verbales dans les langues et les dialectes romans, notamment dans le dialecte trentin, ont perdu en partie leur sens spatial au profit d’un sens grammatical plus abstrait (aspect, résultat, intensité etc.). Se focalisant sur la langue indigène d’Australie kayerdild, Erich Round insiste sur l’utilité de la notion de « morphome » qui permet d’instaurer un niveau de représentation linguistique intermédiaire entre les niveaux lexical, morphosyntaxique et morphophonologique. La contribution de Varja Cvetko Orešnik, qui adopte le cadre théorique de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, apporte quelques données nouvelles sur la morphophonologie et la morphosyntaxe du verbe en ancien indien.Les deux articles suivants examinent des questions d’ordre morphologique aux- quelles se heurtent les langues entrant en contact : Georgia Zellou traite du cas du cir- confixe /ta...-t/ que l’arabe marocain a emprunté au berbère, tandis que Chikako Shigemori Bučar analyse le sort réservé aux emprunts japonais en slovène.L’axe diachronique est exploré principalement par les articles de Douglas Lightfoot, de Javier E. Díaz Vera et de Metka Furlan. D. Lightfoot examine la perti- nence de la notion d’affixoïde et evalue la « suffixoïdité » de l’élément germanique « -mann ». J. E. Díaz Vera décrit la lexicalisation, voire la grammaticalisation des verbes causatifs en ancien anglais. Metka Furlan se penche sur une relation « morpho- logique » archaïque rattachant le nom protoslave pol’e à l’adjectif hittite palhi-.Autour du dernier axe se réunissent les contributions qui examinent la frontière entre la morphologie et les disciplines linguistiques voisines, telles que la phonologie ou la syntaxe. Marc Plénat étudie en détail les contraintes morphologiques, syntaxiques et phonologiques pesant sur la liaison de l’adjectif au masculin singulier sur le nom en français. Janez Orešnik, fondateur de l’école ljubljanaise de la syntaxe naturelle, explore le comportement morphologique de l’impératif dans une perspective universelle. Mojca Schlamberger Brezar propose une étude contrastive, à partir des don- nées tirées de corpus monolingues et parallèles, de la grammaticalisation du gérondif et du participe en français et en slovène. L’article de Gašper Ilc applique la notionde« cycle de Jespersen » à la négation dans le slovène standard et dans les dialectes pannoniens. Mojca Smolej propose une étude fouillée de l’émergence des articles défini et indéfini dans le slovène parlé spontané.
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Gligorijevic-Maksimovic, Mirjana. "Slikarstvo XIV veka u manastiru Treskavcu." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 42 (2005): 77–124. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0542077g.

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Abstract:
(francuski) Le monast?re de Treskavac, dont l'?glise remonte vraisemblablement au XIII?me si?cle, a connu un net essor sous le r?gne du roi Dusan. Son entr?e dans le cadre de l'Etat serbe en 1334, a ?t? suivie, dans le bref intervalle d'une d?cennie, par l'octroi de trois (voire quatre) chrysobulles d?livr?s par Dusan. Par ces chartes ce monast?re s'est notamment vu rattacher de nombreux biens et privil?ges. Simultan?ment, son sanctuaire originel ? nef unique, d?di? ? la Dormition de la Vierge, a ?t? agrandi par l'?rection du c?t? ouest d'un exonarthex, dont une partie forme une branche s'avan?ant au sud, et ult?rieurement peint. D'apr?s une inscription appos?e au sud de l'entr?e dans l'?glise, cet ?difice aurait pu avoir pour ktitor le roi Dusan. Les peintures alors r?alis?es ? Treskavac, aujourd'hui partiellement conserv?es, peuvent ?tre dat?es entre 1334-1335 et les ann?es cinquante de ce si?cle. Un premier groupe ornant les murs, la calotte aveugle, la coupole et le tambour de l'exonarthex constitue une remarquable r?alisation picturale de la fin des ann?es trente et du d?but des ann?es quarante du XIV?me si?cle. D'autres, dispos?es sur la fa?ade ouest de l'ancienne chapelle venue s'appuyer sur le mur sud de la branche sud de l'exonarthex et sur les fa?ades ouest et sud de ce dernier, doivent plus vraisemblablement ?tre dat?es des ann?es cinquante de ce m?me si?cle. D'apr?s les restes d'une inscription, le ktitor de cette chapelle aurait port? le haut titre aulique de tepcija. Compte tenu de la raret? de ce titre en Serbie vers le milieu du XIV?me si?cle, et au vu des donn?es historiques il semble que ce ktitor puisse ?tre identifi? avec le tepcija Gradislav. Entre les ann?es trente et les ann?es quatre-vingts du XIV?me si?cle celui-ci est en effet le seul tepcija mentionn? pour ce qui est des environs de Prilep, et nous savons qu'il a rattach? des biens aux monast?res de Treskavac, aux Saints-Archanges ? Prizren et ? l'h?pital de Chilandar. Imm?diatement apr?s la con?struction de la chapelle venue jouxter l'exonarthex on a entrepris la d?coration des fa?ades ouest et sud de l'exonarthex puis de l'adjonction d'un portique ouvert. Dans la calotte de la coupole aveugle surmontant la partie sud de l'exonarthex, autour de la figure du Christ Emmanuel, et sur les murs des parties sud, centrale et nord de l'exonarthex, se d?veloppent les sc?nes du calendrier eccl?siastique le plus souvent accompagn?es de distiques iambiques. Par des jeux de mots bas?s sur des radicaux similaires, ces vers attribu?s ? Christophore de Mytil?ne po?te byzantin du Xl?me si?cle, expliquent la mort en martyrs des saints et annoncent la r?compense qui les attend dans l'autre monde. Sont aujourd'hui conserv?es les illustrations correspondant ? une partie du mois de janvier (du 20 au 30), au mois de mars (du 1er au 31), une partie du mois d'avril (le 5, du 10 au 15 et du 22 au 26), puis deux figures correspondant ? la fin du mois de mai et, finalement, une partie des mois de juin (du 1er au 7) et d'ao?t (du 22 au 29). Ce calendrier peint, accompagn? de distiques iambique trouve ses plus nettes analogies dans les sc?nes d'un calendrier partiellement conserv?es dans l'?glise Saint-Nicolas Orphanos ? Thessalonique, dont les compositions reprennent ?galement les vers de Christophore de Mytil?ne. La coupole surmontant la partie nord de l'exonarthex accueille une repr?sentation de la Cour c?leste, compos?e de trois parties. Au sommet de la coupole se tient le Christ roi des rois audessous duquel se d?veloppe une vaste composition incluant 1' H?timasie avec le tr?ne appr?t?, la Vierge et le roi David rev?tu de ses habits royaux. Tous sont entour?s, conform?ment ? la hi?rarchie c?leste, de s?raphin, ch?rubin et des tr?nes du premier ordre, des seigneuries puissances et forces du deuxi?me ordre et des principaut?s, archanges et anges du troisi?me ordre. La troisi?me partie de cet ensemble est compos? par les figures en pied de huit saints guerriers et martyrs rev?tus de v?tements auliques luxueux, dispos?s dans le tambour de la coupole. Cette composition a pour fondements premiers la lecture des psaumes ainsi que la Hi?rarchie c?leste de Dionysos l'Ar?opagite, auxquels se sont ?galement raccroch?es certaines influences venant d'autres textes liturgiques et th?ologiques. Certains ?l?ments ou d?tails, ainsi que des repr?sentations quelque peu diff?rentes de la Cour c?leste peuvent ?galement ?tre relev?s ? Zaum, dans le Monast?re de Marko, ? Nicolas Sisevski et dans les contr?es proches de Thessalonique. Au registre inf?rieur l'exonarthex accueille respectivement, dans sa partie centrale, les figures en pied de quatre saints guerriers et de quatre saints ermites, dans sa partie nord les figures en pied de quatre saints ermites, et dans la branche sud celles de quatre jeunes saints. Le portrait de ktitor du roi Dusan, ult?rieurement recouvert par une nouvelle fresque laissant appara?tre 1' inscription de l'?poque de la d?coration de l'exonarthex, a trouv? place au registre inf?rieur de la fa?ade de l'?glise, au sud de l'entr?e. Le coloris des fresques situ?es dans la partie sud de l'exonarthex est plut?t ?touff? alors que dans la partie nord il est plus clair et plus chaud. Des fresques datant des ann?es cinquante du XIV?me si?cle sont ?galement conserv?es sur l'ancienne fa?ade ouest de la chapelle jouxtant la branche sud de l'exonarthex et, partiellement, sur les fa?ades ouest et sud de ce dernier. L'ancienne fa?ade de la chapelle est orn?e des portraits du ktitor et de son ?pouse tenant le mod?le de leur fondation qu'ils remettent au Christ et ? la Vierge repr?sent?s dans deux niches. D'apr?s la partie conserv?e de l'inscription accompagnant son portrait, ce ktitor portait le titre de tepcija, de sorte qu'en se fondant sur les sources ?crites il est tr?s probable qu'il s'agit du tepcija Gradislav, ? savoir le dernier personnage connu ? avoir port? ce titre. Peu de temps apr?s l'?rection de la chapelle jouxtant le mur sud de l'exonarthex, on a ?galement orn? de fresques plusieurs niches dispos?es sur les fa?ades ouest et sud de l'exonarthex et vraisemblablement, ?rig? un portique ouvert qui a ?t? plus tard mur?. Sur la fa?ade ouest sont partiellement conserv?es les repr?sentations de saint D?m?trios ou saint Georges ? cheval, au nord de l'entr?e, de la Vierge ? l'Enfant, dans la niche surmontant l'entr?e, et d'une Vierge ? l'Enfant sur un tr?ne, au sud de cette m?me entr?e. Quand au mur sud, il accueille, dans une niche situ?e ? l'ouest de la porte donnant acc?s ? la branche sud de l'exonarthex, les figures en pied de saint Jean le Pr?curseur et de saint Jean Chrysostome qui s'adressent au Christ sur le tr?ne, repr?sent? dans une niche situ?e ? l'est de cette entr?e. Au-dessus de cette m?me porte appara?t le buste d'un ange, alors que plus ? l'est, au-dessus d'une ancienne porte a trouv? place un buste de l'archange Gabriel. Toutes ces peintures ornant les fa?ades ouest et sud de l'exonarthex ne sont que partiellement conserv?es et de qualit? quelque peu inf?rieure. Sur la repr?sentation de saint D?m?trios ou saint Georges ? cheval, fortement mutil?e, on note toutefois la qualit? du dessin et la r?alisation de la t?te de sa monture. Elles sont d'un coloris clair, quelque peu p?li, dans lequel pr?dominent les tons chauds et la couleur marron. Les peintures r?alis?es au XTV?me ? Treskavac, au cours de trois phases chronologiquement proches, d?notent certaines particularit?s tant du point de vue de leurs th?mes que de leur style. En tant que fondation du roi Dusan, le plus ancien groupe de ces fresques illustraient deux th?mes plut?t inhabituels: la Cour c?leste et le calendrier eccl?siastique. Bien que chacun d'eux ait eu des prototypes ou mod?les ant?rieurs, ils pr?sentent ici des solutions uniques. La Cour c?leste a ?t? enrichie de plusieurs niveau de signification symbolique alors que le calendrier eccl?siastique est, pour sa plus grande partie accompagn? de distiques iambiques repris de Christophore de Mytil?ne. Ces deux th?mes peuvent trouver quelques parall?les, plus ou moins partiels dans des monuments situ?s aux environs de Thessalonique. Les distiques iambiques complexes accompagnant les fresques et l'emploi exclusif du grec dans ces inscriptions attestent l'engagement de peintres ayant une parfaite connaissance de cette langue. De m?me, par son style, cette peinture pourrait trouver des ressemblances dans la peinture du milieu thessalonicien. Enfin, les fresques, ? pr?sent passablement endommag?es datant des ann?es cinquante du XFV?me si?cle ou quelque peu ult?rieures d?notent une certaine baisse de qualit? survenue avec le temps.
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Arsov, Borče. "The Stylization in the Translations of the New Testament in Vernacular Macedonian from the 19th Century." Sociétés plurielles Exaptriate, Varia (August 31, 2021). http://dx.doi.org/10.46298/societes-plurielles.2021.8424.

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Abstract:
The Konikovo Gospel (KG), The Kulakia Gospel (KuG) and The Boboščica Gospel (BG) are among the first known translations of the New Testament in Macedonian vernacular dating from the 19th century. They are all written in Greek alphabet. In this article we present the most specific examples demonstrating a stylization tendency towards a wider dialectal base and/or towards a more elevated style. The most important conclusion is that of all the analysed gospels the most stylized text is the oldest among them, the KG (1852), especially its second hand. The stylization steps are less common for the KuG (1860) and even less for the BG (1880). It is possible to say that the texts analyzed in this paper, together with the other translations of the New Testament in Macedonian vernacular from the 18th and the 19th centuries, open, more or less, a clear path towards the formation of one Biblical language, leading to the translations of the Bible in contemporary Macedonian standard language in 1976, 2003 and 2007. L’Évangéliaire de Konikovo (EK), l’Évangéliaire de Kulakia (EKu) et l’Évangéliaire de Boboščica (EB) sont les premières traductions sérieuses duNouveau Testament en langue vernaculaire macédonienne du XIXe siècle. Ils sont tous écrits en alphabet grec. Cet article présente les exemples les plus spécifiques des textes montrant une tendance à la stylisation par élargissement de la base dialectale et/ou par élévation du style. De toutes les traductions des évangiles en langue vernaculaire macédonienne de Macédoine du sud du XIXe siècle ayant été analysées, on peut conclure que le texte le plus stylisé et en même temps le plus ancien est celui de l’EK (1852), et surtout sa deuxième main. Les démarches de stylisation sont moins perceptibles dans le texte de l’EKu (1860) et encore moins perceptibles dans celui de l’EB (1880). On peut dire que les traductions analysées, mais aussi les autres traductions du Nouveau Testament en langue vernaculaire macédonienne de Macédoine du sud des XVIIIe et XIXe siècles ouvrent, plus ou moins, une voie vers la formation d’une langue biblique, voie aboutissant aux traductions de la Bible en macédonien standard contemporain en 1976, 2003 et 2007.
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Mekki-berrada, Abdelwahed. "Ethnopsychiatrie." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.045.

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Abstract:
Le terme « ethnopsychiatrie » a été proposé pour la première fois, autour des années 1940, par le psychiatre et diplomate haïtien Louis Mars (1945). « Ethno-psych-iatrie » vient de ethnos qui en grec ancien, et à la suite d’une série de glissements sémantiques signifie tour à tour famille, tribu, peuple, nation, race. Le terme psuche indique les idées d'âme et d'esprit et, enfin, celui de iatros réfère au médecin, au guérisseur, au soin et au médicament. La notion d’ethnopsychiatrie consiste donc en cette alliance complexe entre ethnos, psuche et iatros. Dans la présente rubrique, l’ethnopsychiatrie est sommairement abordée selon trois dimensions essentielles, à savoir : 1. l’ethnopsychiatrie comme ensemble de théories et de pratiques culturelles; 2. l’ethnopsychiatrie comme discipline anthropologique; et 3. l’ethnopsychiatrie comme pratique clinique. 1. En tant que théorie et pratique culturelle, l’ethnopsychiatrie se veut universelle. Pour Georges Devereux (1908-1985), considéré comme le fondateur de l’ethnopsychanalyse (variante fondatrice de l’ethnopsychiatrie) (Laplantine 2007), « il n’est pas de peuple sans ‘’ethnopsychiatrie’’, c’est-à-dire sans son propre repérage, sans ses modalités de prise en charge des désordres, de ce type de négativité que la science appelle ‘’psychopatologie’’ » (cité par Nathan 2011). L’alliance complexe entre ethnos, psuche et iatros (ethno-psych-iatrie), se décline cependant de multiples façons et par différents peuples pour construire des espaces d’expression du désordre, du mal, du malheur, du mal-être, de la maladie, de la souffrance sociale et de leur dimension cosmogonique. Ces espaces sont des ethnopsychiatries plurielles que chaque société humaine abrite comme dans les traditions ayurvédique, humorale, homéopathique, exorcistique, chamanistique qui s’ajoutent à une liste interminable de théories et d’actions au sujet de la maladie et de l’univers. L’ethnopsychiatrie inclut aussi des rituels tels que, parmi tant d’autres, Mpombo, Mizuka et Zebola qui déploient un répertoire de gestes, de signes et d’êtres mythiques, et qui permettent aux femmes congolaises de (re)négocier leur rôle social et de (re)prendre une parole singulière pour exprimer leur mal-être dans une société où la parole dominante est généralement collective. Loin du Congo, nous retrouvons en Afrique de l’Est et dans la Péninsule arabique, le Zar, un rite impliquant essentiellement des femmes et favorisant lui aussi la résolution de conflits par l’expression collective de ceux-ci. Dans l’ensemble, l’ethnopsychiatrie contribue à la saisie des désordres intrapsychiques, interpersonnels ou sociaux, et cosmogoniques menaçants (Mekki-Berrada 2013). L’ethnopsychiatrie peut être considérée comme un « fait culturel total » qui se décline dans toutes les cultures et dans toutes les sociétés à travers les cinq continents. Au-delà de tous les particularismes, l’ethnopsychiatrie demeure à chaque fois culturellement située et consiste idéalement à transformer un monde chaotique en un monde qui fait sens pour la personne souffrante et son entourage. La psychiatrie contemporaine, elle-même, peut être considérée comme étant une ethnopsychiatrie parce qu'elle est comme les autres culturellement ancrée et dotée d’un ensemble de théories et de pratiques qui lui sont propres (Mekki-Berrada, 2013). Le « fou » dans l’Europe du XVIIIe siècle était un être de « déraison », dans le sens foucaldien du terme, au même titre que tous les autres exclus de la « raison » dominante de l’époque mêlant valeurs religieuses chrétiennes et valeurs sociales aristocratiques et monarchiques; le « fou », « l’insensé » se retrouvait alors avec les mendiants, les homosexuels, les libertins, les prostituées, tous entassés dans les hôpitaux généraux à des fin de contrôle social (Foucault 1972). La psychiatrie moderne est née dans l’Europe de l’Ouest du XIXe siècle quand le fou cessa d’être délinquant, pour être considéré comme malade. Même si, partiellement libéré du regard inquisiteur de l’Église et de la Monarchie, le « déraisonnable » devient aujourd’hui tantôt proie, tantôt sujet, au regard de la psychiatrie contemporaine. 2. En tant que discipline, l’ethnopsychiatrie se propose d’étudier les ethnopsychiatries comme espaces culturels où convergent les savoirs nosologiques, étiologiques et thérapeutiques au sujet du « désordre » mental, social et cosmogonique. L’ethnopsychiatrie-discipline ne constitue pas un bloc théorique monolithique. Sans nous arrêter sur les particularismes régionaux ou nationaux de l’anthropologie (« américaine », « britannique », « française »), la tendance historique générale de l’ethnopsychiatrie veut que cette discipline étudie, à ses débuts, la geste thérapeutique « exotique », non-occidentale, non-biomédicale. Avec le tournant interprétatif inauguré en anthropologie dans les années 1970 par Clifford Geertz et ce que l’on nommera dans les années 1980, avec Arthur Kleinman et Byron Good, l’anthropologie médicale interprétative, l’ethnopsychiatrie va cesser de se limiter aux espaces ethnomédicaux non-occidentaux pour se pencher aussi sur les «traditions ethnomédicales occidentales» incluant la biomédecine et la psychiatrie (Mekki-Berrada 2013), tout en plongeant dans le foisonnement des symboles et des interprétations de la maladie, du mal et du malheur. L’anthropologie médicale interprétative utilisera la culture comme moteur explicatif et principal cheval de bataille théorique. Elle sera cependant vite soumise aux vives critiques de Soheir Morsy (1979) et d'Allan Young (1982). Pour ces auteurs, l'approche interprétative « surculturaliserait » la maladie car elle en privilégierait les significations culturelles et en évacuerait les dimensions sociales et politiques. Cette critique sera poursuivie par Baer et Singer (2003) au sein d’un nouveau paradigme qu’ils nommeront « anthropologie médicale critique », paradigme dans lequel l’économie politique de la santé mentale est le moteur explicatif de la maladie et de la souffrance. De ce point de vue la culture serait un outil idéologique au service de la classe dominante, un « réseau de significations autant que de mystifications » (Keesing 1987 cité par Good 1994) qui camouflerait les inégalités sociales. Généralement considérée comme radicale sur le plan théorique, l’anthropologie médicale critique finira par trouver un équilibre des plus constructifs avec un autre courant nommé « anthropologie médicale interprétative-critique » (Lock et Scheper-Hughes 1996) qui offre l’avantage conceptuel et méthodologique de n’évacuer ni le culturel ni le politique, mais articule ces éléments pour mieux cerner l’enchevêtrement complexe des dimensions tant culturelles et microsociales de la maladie mentale et de la souffrance sociale que leurs enjeux macrosociaux. 3. En tant que pratique clinique, l’ethnopsychiatrie est relativement récente. Si Devereux apparaît comme le fondateur incontesté de l’ethnopsychiatrie-discipline, ce sont ses étudiants, Tobie Nathan et Marie-Rose Moro, qui fonderont l’ethnopsychiatrie-clinique à partir des années 1980, tous trois Français « venus d’ailleurs », porteurs et bricoleurs d’identités métissées. L’ethnopsychiatrie-clinique est une pratique psychiatrique, mais aussi psychologique, dépendamment de l’orientation centrale du « thérapeute principal » qui est soit psychiatre (ex. : Moro), soit psychologue (ex. : Nathan). En Amérique du Nord, ce sont essentiellement des psychiatres qui pratiquent l’ethnopsychiatrie-clinique, ou plutôt l’une de ses variantes, la « psychiatrie transculturelle » (Kirmayer, Guzder, Rousseau 2013) dont les principaux chefs de file sont basés à Harvard Medical School (ex. : Arthur Kleinman) ou à McGill University (ex. : Laurence Kirmayer, Cécile Rousseau). Il est à noter que l’ethnopsychiatrie clinique est très peu en vogue en dehors de l’Amérique du Nord et de l’Europe de l’Ouest. Il existe un certain nombre de variantes du dispositif clinique, mais une consultation ethnopsychiatrique nécessite au minimum : 1. un groupe de thérapeutes issus de cultures et de disciplines diverses, dont un-e seul est responsable et en charge de la circulation de la parole ; 2. la langue maternelle des patients et la présence d’interprètes culturels, ainsi que le passage d’une langue à l’autre, sont des éléments centraux du dispositif clinique afin d’aider à l’identification de nuances, subtilités, connotations et catégories culturelles; 3. le patient est fortement invité à se présenter en consultation avec des personnes qui lui sont significatives dans son propre réseau social ; 4. le dispositif groupal et le passage d’une langue à l’autre posent un cadre multi-théorique et l’ethnopsychiatre peut ainsi établir « un cadre métissé dans lequel chaque élément du matériel [biographique] peut-être interprété selon l’une ou l’autre logique » (Nathan 1986:126). Un tel dispositif facilite la mise en place d’un « espace intermédiaire » qui fait intervenir la culture comme « levier thérapeutique » et permet de révéler des conflits interpersonnels et intrapsychiques (Laplantine 2007 ; Streit, Leblanc, Mekki-Berrada 1998). Les ethnopsychiatres cliniciens procèdent souvent eux-mêmes à des « mini ethnographies » (« mini ethnography » ; Kleinman et Benson 2006) en se mettant « à l’école des gens qui consultent, pas l’inverse » (Nathan 2007). Ces mini ethnographies ont pour outil les « modèles explicatifs de la maladie » (« Illness Explanatory Models » ; Kleinman 1988) qui ont pour but d’être à l’écoute des perspectives des patients pour mieux explorer leur culture ainsi que les dimensions sociales et culturelles de la maladie mentale. En plus d’explorer la dimension culturelle du désordre, l’ethnopsychiatrie cherche à mieux comprendre la dimension psychiatrique des cultures tout en évitant de sur-psychiatriser la culture et de sur-culturaliser la psychiatrie (Laplantine 2007). Dans tous les cas, dès le début de la discipline qu’il a fondée, Devereux (1977) proposait une perspective « complémentariste » encore très utilisée aujourd’hui. Celle-ci exige le recours à la psychanalyse et à l’anthropologie de façon non simultanée, en ce sens que l’ethnopsychiatre est appelée à d’abord épuiser son recours à l’une des deux disciplines avant de se référer à l’autre, et ce, de façon constante. La méthode complémentariste s’accompagne nécessairement de la « décentration » qui est une attitude ou un mécanisme incontournable, qui force le thérapeute à identifier et à minimiser, dans la rencontre clinique, l’impact de sa subjectivité "égocentrée" ou "sociocentrée". En somme l’ethnopsychiatrie, telle que sommairement abordée ici, est un espace culturel où convergent les savoirs nosologiques, étiologiques et thérapeutiques, tous culturellement situés, et qui prend pour objet le « désordre » mental, social et cosmogonique; elle est aussi une discipline anthropologique qui se propose d’étudier ces espaces culturels ; elle est enfin une pratique clinique. Il s’agit de trois pans indissociables et constitutifs d’un même trièdre.
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