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Dissertations / Theses on the topic 'Écocritique'

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Noël, Martine. "Écocritique comparée de Jean Marc Dalpé et de Joseph Boyden." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2018. http://hdl.handle.net/10393/38442.

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Abstract:
Ma thèse est une étude comparée des oeuvres de Joseph Boyden et de Jean Marc Dalpé, et plus spécifiquement de leur imaginaire spatial. Mon analyse se veut essentiellement géocritique et géosymbolique. Elle s’inspire des travaux de Bertrand Westphal, qui s’intéressent à l’insertion et la transformation littéraire des espaces humains. L’ancrage géographique nordique des textes de ces deux auteurs, et plus spécifiquement dans le Nord ontarien où la nature est omniprésente, me semble particulièrement porteur de sens. Il s’agit d’ailleurs de l’élément principal permettant de rassembler et de comparer les oeuvres de Boyden et de Dalpé. Mon étude se centre ainsi sur la géocritique, mais se veut surtout une écocritique, puisque cette approche me permet de cerner davantage les thèmes et les symboles issus spécifiquement de l’environnement naturel. Je procède donc à une exploration du wilderness littéraire dans les oeuvres, qu’il soit forestier, minier, aquatique ou vivant. Grâce aux travaux de William Cronon, je note que ce concept est remis en question dans les oeuvres du corpus, car il ne s’agit pas ici d’un wilderness en tant que nature vierge. Les personnages vivent, au contraire, à proximité de la forêt, entretiennent un contact quotidien avec la nature. Une véritable relation entre les personnages et les éléments de leur environnement se met donc en place. Toutefois, cette relation n’est pas toujours idyllique, car la nature sauvage demeure tout de même dangereuse. Les auteurs puisent parfois dans un symbolisme plutôt universel ou connu, celui des bêtes sauvages dangereuses et des monstres. La forêt boréale est menaçante, et évoque les ouvrages de Robert Progue Harrison ou encore de Margaret Atwood. L’hiver et le froid soutiennent le thème de la survivance. Ma thèse montre aussi que le sentiment d’emprisonnement suscité par la forêt est une symbolique récurrente. Il existe un lien de parenté entre l’univers de la nature sauvage et l’imaginaire de la biorégion du nord ontarien. Cet imaginaire est marqué par des symboles qui cadrent avec l’expérience que font les personnages du wilderness, mais il est aussi teinté par la mythologie autochtone et renvoie ainsi à la présence importante des peuples des Premières Nations dans la région. En somme, mon analyse du symbolisme écologique s’intéresse à la présence d’un wilderness nord ontarien polysémique et multiforme dans les oeuvres à l’étude. En outre, par sa nature comparative, ma thèse montre que malgré les différences de langue, et les différences culturelles qui en découlent irrémédiablement, il y aurait un imaginaire du wilderness commun à ces auteurs canadiens bien connus, imaginaire cependant directement tributaire de la géographie ontarienne.
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Sebbfolk, Annie. "L'union fait la force (géologique) : une analyse écocritique des Fourmis de Bernard Werber." Thesis, Umeå universitet, Institutionen för språkstudier, 2019. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:umu:diva-160984.

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Abstract:
The paper is an ecocritical analysis of the Empire of the ants, a book written in 1991 by Bernard Werber. Through this green reading, the author seeks to better understand how climate change is created from a social point of view and why, by inherence, it is so difficult to avert. As the book is largely a juxtaposition of the human society and that of ants, the author compares the two species in order to determine which one is better equipped to tackle climate change, as well as which factors, cultural, political or biological, allow for the necessary measures to be taken. The study finds that the complexity of climate change exceeds our understanding of time and space, making it impossible for us to imagine and consequently tackle in any satisfactory manner. Though ants display features superior to ours when it comes to carrying out this task, the study further concludes that there is an accompanying moral dilemma to such actions, as the environmentally profitable not always is in the best interest of individual lives.
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Paré, Denise. "Les contes de l'Oikos, création scénaristique, suivi de Une écocritique de la représentation filmique de l'habitat urbain." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2014. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/88.

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Abstract:
La difficulté des sociétés développées à s’inscrire de manière soutenable dans la biosphère et à résoudre les problèmes écologiques provoqués par leur croissance pose un défi de taille à la civilisation postindustrielle qui s’est, de manière illusoire, autonomisée de son substrat naturel. Motivé par le désir de régénérer le rapport entre l’être humain et son milieu biophysique, ce mémoire de recherche-création explore la possibilité des œuvres de fiction cinématographique de mettre en jeu une pensée pragmatique et mythique qui s’applique à ressaisir l’habitat humain urbain de manière à assurer la viabilité de l’écosystème dans lequel il s’inscrit. D’une certaine manière, l’entreprise peut se rapprocher d’une recherche sur les pratiques émancipatoires dans le domaine de l’habitation urbaine écologique, dont le rapport prend une forme insolite, c’est-à-dire un scénario de film. La première partie du mémoire est constituée d’un travail de création scénaristique : Les contes de l’Oikos. Une biologiste souhaite rénover, avec l’aide de son compagnon et de leur fille, la maison de son père dont elle vient d’hériter. Son projet consiste à concevoir cet habitat urbain et le milieu dans lequel il s’insère comme un écosystème. Elle voit son entreprise mise en péril par celle d’un promoteur immobilier. Parallèlement à ce récit, un conte peuplé de personnages mythiques, créé par les parents pour la fillette, fait écho aux motifs réalistes et offre une interprétation onirique des scènes du quotidien. La deuxième partie tente Une écocritique de la représentation filmique de l’habitat urbain. Cet essai retrace l’émergence, au cours des années 1990 aux États-Unis, d’une nouvelle perspective théorique issue de la critique littéraire, soit l’écocritique. Son développement et son rayonnement sont examinés avant de cerner plus précisément comment cette approche envisage les thèmes étudiés : l’habitat et la ville. Sur le plan méthodologique, la recherche explore les possibilités offertes par la réflexion de Bruno Latour afin de conduire l’analyse écocritique de deux films qui mettent en scène, dans une certaine mesure, des habitats urbains : l’un, dystopique, Soleil vert, l’autre, eutopique, La belle Verte. Enfin, Les contes de l’Oikos sont reconsidérés à la lumière de ces analyses.
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4

Laplante, Josée. "Le rapport humain-animal dans les Histoires naturelles du Nouveau Monde de Pierre Morency une lecture écocritique." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2009. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/2625.

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Abstract:
Ce mémoire propose d'examiner la représentation des rapports homme-animal dans les Histoires naturelles du Nouveau Monde de l'écrivain québécois Pierre Morency. S'inscrivant dans le cadre général de l'écocritique, la lecture mise de l'avant est éclairée par de nouvelles connaissances issues des sciences du vivant, et recourt à des outils théoriques et méthodologiques empruntés aux théories constructivistes de l'identité et de l'altérité, à la socio-sémiotique, à la narratologie et aux théories de l'énonciation. L'analyse se déploie en trois temps principaux. Le premier chapitre consiste en une analyse de l'énonciation et des procédés discursifs qui concourt à dégager les effets de ces derniers sur la représentation des rapports humain-animal. Le second chapitre trace le portrait sémantique de la figure de l'animal telle qu'elle apparaît dans la trilogie de Pierre Morency.Ce portrait est complété par un examen de certains éléments de rhétorique et d'onomastique, ainsi que d'une analyse des dimensions spatiales associées à l'altérité animale dans le texte. Enfin, le troisième chapitre explore dans le détail la représentation des rapports humain-animal en articulant les éléments d'analyse dégagés dans les deux premiers volets de la lecture, et en abordant les questions de l'affect , de la conscience et de la réflexivité qui circulent dans le discours sur les animaux des Histoires naturelles du Nouveau Monde .
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Ben, Abdallah Sondes. "La femme face à la société néolibérale : regards écocritiques, écoféministes et postcoloniaux sur la littérature italienne contemporaine." Thesis, Montpellier 3, 2020. http://www.theses.fr/2020MON30003.

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Abstract:
Notre thèse aborde la présence des personnages féminins dans le roman italien contemporain du point de vue des relations de care, du rapport à l'écologie et à la démocratie. Selon une perspective écoféministe et postcoloniale, nous étudions le rapport des femmes protagonistes du roman italien contemporain aux 'lieux' qu'elles habitent. À travers l'analyse littéraire de trois romans essentiels, notre travail consiste à montrer le rôle de la littérature dans la réinscription de l'esthétique dans l'éthique en présentant la femme dans la littérature comme un symbole de résistance à la crise écologique, au déracinement et au néolibéralisme effréné.Dans le vaste panorama de la littérature italienne contemporaine, nous avons choisi de nous rapprocher de ces femmes qui, comme les terres polluées ou confisquées et les populations colonisées, n'ont pas vraiment de voix car subalternes à la culture néolibérale. Étudiée d'un point de vue écoféministe, postcolonial et selon une éthique du care, l'image de la femme protagoniste du roman italien contemporain peut proposer une nouvelle lecture des enjeux du féminisme actuel. Marilina Labruna de Carmen Covito dans La bruttina stagionata, Estrellita, L'Iguane d'Anna Maria Ortese ou les femmes immigrées dans l’Italie contemporaine dans les romans Amiche per la pelle de Laila Wadia, Adua d'Igiaba Scego et Pecore nere sont toutes des expressions différentes de la démocratie dans le sens où elles représentent des figures de résistance au déracinement et à l'assimilation culturelle<br>This thesis addresses the presence of female characters in the contemporary Italian Novel from the viewpoint of care relationships, in relation to ecology and democracy. From an ecofeminist and postcolonial perspective, we attempt to study the relationship of the female protagonists of the contemporary Italian Novel to the 'places' they inhabit. Through the literary analysis of three essential novels, our work consists of showing the role of literature in the reinstatement of aesthetics in ethics by presenting women in literature as a symbol of resistance to the ecological crisis, to uprooting and unrestrained neoliberalism. In the vast panorama of contemporary Italian literature, we have chosen to get closer to these women who, like polluted or confiscated lands and colonized populations, are voiceless because they are subordinate to neoliberal culture. Studied from an ecofeminist, postcolonial point of view and according to the ethics of care, the image of the protagonist woman of the contemporary Italian novel can offer a new reading of the challenges facing current feminism. Marilina Labruna by Carmen Covito in La bruttina stagionata, Estrellita in L'Iguana by Anna Maria Ortese or immigrant women in contemporary Italy in the novels Amiche per la pelle by Laila Wadia, Adua d'Igiaba Scego and Pecore nere are all different expressions of democracy in the sense that they represent figures of resistance to uprooting and cultural assimilation
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Näsström, Anna. "Mémoire de licence Quand un paysage naît, un autre meurt : – Une analyse écocritique du roman Naissance d'un pont." Thesis, Högskolan Dalarna, Franska, 2015. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:du-21116.

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Abstract:
Ce mémoire est constitué par une analyse écocritique du roman Naissance d'un pont, écrit par Maylis de Kerangal. Le but général du mémoire est d'examiner comment ce roman décrit la relation entre l'homme et la nature. Nous examinons surtout les stratégies narratives employées par l'auteure pour transmettre l'image de cette relation et en plus, nous discutons le rôle joué par les différents paysages se retrouvant dans le récit. Finalement, l'analyse comprend aussi une brève réflexion sur la capacité éventuelle du roman d'influencer l'attitude du lecteur envers l'écologie. L'analyse des stratégies narratives se concentre sur le rôle du narrateur, ainsi que sur la présence et la fonction des perspectives éthiques, des noms symboliques et des figures de style. Ces stratégies contribuent à dépeindre une variété d'idées par rapport aux modes de vie de la société humaine, alors que les descriptions des paysages démontrent la relation complexe entre cette société et les paysages naturels et construits respectivement. Naissance d'un pont semble promouvoir une attitude à l'égard de la nature qui est plus humble que celle dominant dans la société moderne. Afin de pouvoir juger la capacité du roman de transmettre ces valeurs au lecteur, il serait pourtant raisonnable de tenir compte de plusieurs facteurs, tels que la complexité du langage et le niveau de crédibilité de l'histoire.<br>This essay consists of an ecocritical analysis of the novel Naissance d'un pont, written by Maylis de Kerangal. The essay's overall purpose is to examine how this novel describes the relationship between humans and nature. Above all, we look at the narrative strategies used by the author to convey the image of this relationship and moreover, we discuss the role of the different landscapes figuring in the novel. Finally, the analysis also includes a brief reflection on the novel's potential to influence the reader's attitude towards ecology. The analysis of narrative strategies focuses on the narrator's role, as well as the presence and function of ethical perspectives, symbolic names and figures of speech. These strategies contribute to depicting a variety of ideas concerning human lifestyles, whereas the descriptions of landscapes demonstrate the complex relationship between the human society and the natural and constructed landscapes respectively. Naissance d'un pont seems to promote a more humble attitude to nature than the one dominating in today's society. In order to evaluate the novel's capacity to transmit these values to the reader, it would however be reasonable to take several factors into account, such as the complexity of the language and the story's credibility level.
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Cheng, QianQian. "Bridging divisions in Loren Eiseley's writings on science and nature." Thesis, Toulouse 2, 2017. http://www.theses.fr/2017TOU20007/document.

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Abstract:
Loren Eiseley (1907-1977) a été connu tour à tour comme archéologue, anthropologue, éducateur, philosophe, poète ou bien encore auteur d’études en sciences naturelles. Il remet en cause les thèses sur la science, la nature et l’homme qui avaient cours à son époque. Il unit les sciences et les humanités au travers de sa prose et de ses poèmes, anticipant le concept actuel d’humanités environnmentales. En tant qu’archéologue, il utilise la science, l’imagination et l’observation tels des outils dans le but de reconstruire le passé. Il a mis au point de nouveaux angles de vue permettant d’appréhender l’univers et la place de l’homo sapiens en son sein. Il pense que l’homme moderne s’est dénaturé en devenant le destructeur de la planète et, de ce fait, anticipe le point de vue éco-centrique qui s’est imposé dans la période qui a fait suite à la révolution industrielle, période de plus en plus désignée comme l’anthropocène. Les écrits de Eiseley pressent l’humanité de renouer avec notre passé animal de façon à respecter l’ordre naturel dont nous sommes issus. Son œuvre force le lecteur à participer à son projet de rénovation de notre univers mental et culturel<br>Loren Eiseley (1907-1977) has been variously described as archaeologist, anthropologist, educator, philosopher, poet, and natural science writer. He challenges the views of science, nature, and man that were current at the time he wrote. He brings science and the humanities together by expressing his ecological, philosophical and metaphysical ideas in both prose and poems, anticipating the concept of environmental humanities nowadays. He is an archeologist who uses the tools of science, imagination and observation to reconstruct the past. Eiseley finds new angles from which to view the universe and homo sapiens’ place within it. He argues that modern man has fallen out of nature and become a planet destroyer. He anticipates the eco-centric position that is becoming necessary in the era following the Industrial Revolution that is increasingly being recognized as the Anthropocene. Eiseley’s writings urge that humanity reconnect with our animal past in order to respect the natural world from which we came. In bridging the nature and culture divide, his work forces readers to participate in the project of re-examining our own mental and cultural world
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Hedenmalm, Li. "La perception de la Nature dans Le Roman de Tristan et Iseut : Étude écocritique comparative entre la composition de Joseph Bédier et ses sources médiévales." Thesis, Uppsala universitet, Romanska språk, 2019. http://urn.kb.se/resolve?urn=urn:nbn:se:uu:diva-416710.

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Abstract:
Ce mémoire est une analyse comparative écocritique entre Le Roman de Tristan et Iseut, composé par Joseph Bédier en 1900, et ses sources médiévales principales : les poèmes du XIIIe siècle de Béroul, de Thomas d’Angleterre, d’Eilhart d’Oberg et de Gottfried de Strasbourg. L’objectif principal de notre étude est de chercher à savoir si la perception de la Nature dans le roman de Bédier diffère de celle des textes médiévaux. Pour atteindre ce but, nous dirigeons notre attention sur les descriptions des paysages sauvages et sur les épisodes où les forces de la Nature semblent influencer le déroulement des évènements du récit. Nous analysons ces passages, et nous les comparons avec les descriptions correspondantes tirées des sources de Bédier. Nos résultats montrent que, même si la représentation de la Nature est chez Bédier loin d’être unilatérale, elle témoigne généralement d’une vue plus positive de la nature sauvage par rapport aux textes médiévaux. De ce fait, le roman de Bédier s’éloigne de la tradition médiévale, qui consiste à voir les environnements sauvages comme étant inhospitaliers et périlleux, et s’approche plutôt de la tradition romantique qui célèbre les merveilles de la Nature.<br>This essay is a comparative ecocritical analysis of The Romance of Tristan and Iseult, composed by Joseph Bédier in 1900, and its principal medieval sources: the thirteenth-century poems of Béroul, Thomas of Britain, Eilhart von Oberge and Gottfried von Strassburg. The overall aim of the study is to investigate how the perception of Nature in Bédier’s work differs from that in the medieval texts. To meet this aim, we turn to the textual descriptions of wild landscapes and the episodes where the forces of Nature seem to have a powerful influence on the unfolding of the events in the story. These passages are analysed and compared with the corresponding descriptions in Bédier’s sources. Our results show that, while Bédier’s portrayal of Nature is by no means one-sided, it generally displays a more positive view of Nature and wilderness than the medieval texts. In this regard, Bédier’s novel moves away from the medieval tradition of imagining wild environments as inhospitable and perilous and approaches the romantic tradition of celebrating the wonders of Nature.
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Lauwers, Margot. "Amazones de la plume : les manifestations littéraires de l'écoféminisme contemporain." Thesis, Perpignan, 2014. http://www.theses.fr/2014PERP1193.

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Abstract:
En s’intéressant aux écrits entourant l’histoire houleuse de la mouvance écoféministe, cette thèse dresse le portrait des différentes manifestations littéraires de l’écoféminisme contemporain en soutenant l’idée selon laquelle la critique littéraire constitue le cœur de cette mouvance, plutôt qu’une simple manifestation de celle-ci. La première partie de notre travail reprend l’histoire complexe de l’écoféminisme et de la critique littéraire écoféministe, depuis les années 1970 jusqu’à nos jours, en opérant une remise en contexte historique. Ceci permet d’aborder le problème de l’essentialisme souvent associé à l’écoféminisme en faisant apparaître la stérilité de ce débat au regard des évolutions que la mouvance peut apporter, d’une part, et, d’autre part, d’insister sur les racines (éco)féministes de l’écocritique. Notre seconde partie établit les grandes lignes d’une praxis écoféministe transversale, avant de se concentrer plus particulièrement sur la façon dont l’écocritique féministe articule le rapport au lieu, à la corporéité et le rapport au langage. Enfin, la troisième partie de la thèse porte sur l’objet d’étude de l’écocritique féministe : la littérature. Nous y proposons nos propres analyses écocritiques féministes d’une sélection de textes contemporains. La troisième partie offre ainsi une application concrète de la praxis écoféministe transversale à laquelle la seconde partie s’intéresse, afin d’illustrer notre point clef : la théorie sert à guider et informer la lecture, bien entendu, mais la littérature et la critique littéraire ont également alimenté et enrichi la pratique critique et l’activisme<br>By focusing on the writings which have accompanied the ecofeminist movement’s heated history, this thesis offers an overview of the literary manifestations of contemporary ecofeminism and argues that literary criticism is in fact at the heart of the ecofeminist movement instead of being a mere manifestation of it. The first part of our work retraces the complex history of ecofeminism and feminist ecocriticism, from its beginnings in the 1970s to the present day, which puts it back into its historical context. This allows a closer look at the essentialist problem which is often associated with ecofeminism, this debate’s sterility appears by itself when one takes into account the changes that this movement can help establish from the one hand, and from the other, this allows us to concentrate on the (eco)feminists roots of ecocriticism. Our second part offers a broad outlining of a transversal ecofeminist praxis by unearthing ecocriticism’s feminist roots and by focusing on the way feminist ecocriticism deals with the sense of place, corporeality and its relationship towards language; three main themes of feminism and environmentalism of the past forty years. Finally, the third part of the thesis emphasizes the object of feminist ecocritical studies: literature. We offer our own feminist ecocritical analysis of a selection of contemporary texts. This allows for a practical use of the transversal ecofeminist praxis which our second part sheds light on and illustrates our main argument: theory is, indeed, useful to guide and inform a critical reading, but literature can also guide and inform critical practice and activism
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Eya'a, Obame Daisy Fabiola. "Pour une réflexion écocritique postcoloniale : lecture de Petroleum de Bessora, Les neuf consciences du Malfini de Patrick Chamoiseau, The Conservationist de Nadine Gordimer et la trilogie postcoloniale de Kate Grenville (The Secret River, The Lieutenant, Sarah Thornhill)." Thesis, Brest, 2021. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-03789590.

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Abstract:
La logique impérialiste et anthropocène a donné lieu à des pratiques dont les traces se lisent dans un hégémonisme environnemental et une difficulté à tenir compte du lien au vivant, à cet autre différent, humain ou non-humain, qui participe cependant de la relation. Par une analyse écocritique postcoloniale, il apparaît que ces exploitations qui se perpétuent dans la contemporanéité ont un lien avec la crise écologique. Une approche comparatiste des œuvres de Bessora, Patrick Chamoiseau, Nadine Gordimer et Kate Grenville éclaire cet état de crise : elle guide le lecteur vers de nouvelles réalités et annonce les contours changeants d’un environnement naturel en mutation. Les œuvres réapprennent également à l’humain à poser un regard autre sur la nature environnante et véhiculent des valeurs culturelles propres à enrichir la relation au vivant. En ce sens, la littérature contribue à montrer que la réconciliation se construit par l’éveil d’une conscience environnementale, c’est-à-dire la modélisation de l'interaction entre l’humain et l’environnement pour préserver la nature. La réconciliation se tisse en outre par un rapprochement entre l’imagination littéraire et l'inclusion de réalités socioculturelles, qui conduit à une poétique sensible de l’habitation du monde. La trajectoire culturelle d’un groupe étant liée à la terre, il est nécessaire que la prise de conscience écologique passe d’abord par les cultures locales. Autrement dit, il faut décoloniser le savoir écologique afin d’aboutir à une restauration de l’environnement naturel et des relations entre les différentes formes de vie. Le but de ce travail est donc de mettre en évidence les éléments qui rendent possible une réconciliation entre exigences anthropocentrées et éthique environnementale<br>The imperialist and anthropocene logic has given rise to practices whose traces are to be found in an environmental type of hegemonism and a difficult apprehension of the connection to the living, to this different, human or non-hum another, who nevertheless participates in the relation. A postcolonial ecocritical analysis shows that these exploitations which are perpetuated in the contemporary world have a link with the ecological crisis. A comparatist approach to the works of Bessora, Patrick Chamoiseau, Nadine Gordimer and Kate Grenville highlights this state of crisis: it guides the reader to wards new realities and announces the evolving contours of a changing natural environment. These works also teach humans to look at the surrounding nature in a different way and convey cultural values that are likely to enrich the relationship with the living. In this sense, literature shows that reconciliation cannot be achieved without man’s awakening to an environmental conscience, that is to say the modelling of the interaction between humans and the environment to preserve nature. Reconciliation means that the working together of the literary imagination and the inclusion of socio-cultural realities will lead to a sensitive poetics of inhabiting the world. Since the cultural trajectory of a group is linked to the earth, ecological awareness must first be developed by local cultures to then influence global cultures. In other words, it is necessary to decolonize ecological know ledge in order to restore the natural environment and the relationships between the different forms of life. The goal is therefore to identify the elements that enable a reconciliation between anthropocentric requirements and environmental ethics
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Laplante, Josée. "Perceptions de la nature dans des écrits de Pierre Morency, Robert Lalonde, Sharon Butala et Don McKay : essai d'écocritique." Thèse, Université de Sherbrooke, 2017. http://hdl.handle.net/11143/11597.

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Abstract:
Cette thèse examine les représentations des rapports entre l'humain, le monde animal et l'ensemble du monde naturel dans 4 écrits canadiens contemporains (2 en français et 2 en anglais) qui affichent un intérêt marqué pour l'expérience d'une "rencontre" avec la nature. La lecture se concentre sur l'évocation des perceptions du sujet humain parmi la nature, prend en compte les divers aspects "dialogiques" de ces textes, et fait ressortir les différentes modalités ou variations de la représentation des relations entre humain, animal et nature.
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Gaffric, Gwennaël. "Taïwan, écriture et écologie : explorations écocritiques autour des œuvres de Wu Ming-yi." Thesis, Lyon 3, 2014. http://www.theses.fr/2014LYO30019/document.

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Abstract:
Quels peuvent être les espaces d’interaction entre écriture et écologie – comprises toutes deux dans leur sens large – à l’ère de l’Anthropocène ? En prenant pour pivot de réflexion les textes de Wu Ming-yi吳明益 (1971-), auteur taïwanais contemporain, cette thèse souhaite interroger ces interactions à travers trois modalités :1) la mise en narration de l’environnement naturel : que signifie « écrire la nature » ? Quelles incidences esthétiques, politiques, ontologiques induisent l’utilisation de la catégorie discursive de « nature » et son dépassement, à travers par exemple l’écriture de l’espace urbain, au profit d’une « écopoétique » ?2) l’écriture et la pratique écologiste : comment l’écriture investit les plateformes idéologiques, de la réécriture de l’histoire (post)coloniale de Taïwan à la résistance militante ?3) l’écriture et l’imagination littéraire de devenirs-humain et de devenirs-monde alternatifs : comment l’écriture peut fait naître la possibilité d’envisager l’existence d’un monde commun respectueux du divers ?À l’appui d’une lecture écocritique des œuvres de Wu Ming-yi – sans limitation de genre (romans, nouvelles, essais et même travaux académiques) – et leur mise en perspective avec d’autres textes (littéraires ou non) et issus d’horizons géographiques différents, l’objectif de cette thèse est ainsi de réfléchir sur la poétique de la relation telle qu’elle s’exprime dans l’appropriation par Wu de problématiques environnementales dans le contexte spécifique de Taïwan.Nous essaierons de nous intéresser plus particulièrement à l’écopoétique en tant que réflexion sur l’idée de « nature », en tant que programme cosmopolitique et en tant que philosophie concrète et rhizomatique de la Relation<br>Due to its highly transversal dimension, the contemporary paradigm of the Anthropocene forces us to profoundly rethink the mapping of knowledge domains. Then, how to reconsider the interstitial spaces between ecology and writing, at an age when the human influence has become the most powerful geophysical force on the planet? By focusing mainly on the Taiwanese contemporary writer Wu Ming-yi 吳明益 (1971-), this thesis addresses these interactions through three lenses: 1) writing and observation of the natural environment; 2) writing and environmental 2 activism and 3) writing and the literary imagination of alternative relational becomings. This thesis offers an ecocritical reading of Wu Ming-yi’s works putting them into perspective with other texts (literary or not) coming from different geographical backgrounds. This study aims at highlighting the way in which Wu’s texts are creating a kind of poetics of Relation in the socio-historical context of Taiwan, in a time when ecological crisis transcend our normative conceptions of the local and the global
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Giancaspero, Laura. "L'art mural comme stratégie de survie des communautés rurales. Trois études de cas en milieu rural italien." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCA158/document.

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Abstract:
Cette thèse s'intéresse aux peintures murales en milieu rural, dans la péninsule italienne. A travers trois études de cas elle propose d'analyser le phénomène muraliste comme l'expression des rapports écologiques des communautés locales avec leur environnement. L'étude de ce phénomène, mené en conjuguant l'approche géohistorique à l'écocriticism américain, révèle que ces peintures murales représentent une riposte aux nombreuses fractures, territoriales, identitaire et écologiques, qui sont intervenues dans ce territoires ruraux à l'époque contemporaine. Tout ces changements ont en effet brisé les rapports séculaires que les communautés locales entretenaient avec leur territoire en menaçant leur existence même. Il s'agit d'un phénomène courant en Italie qui a entrainé l'abandon de nombreux villages ruraux. Dans le cas des trois villages analysés, la population locale a fait recours à l'art murale afin de se réapproprier les lieux et de redéfinir les rapports avec son environnement, ce qu'enfin a garanti la survie des ces petites communautés<br>This thesis is focused on Italian mural paintings in rural environments. Through three case studies, it analyses artistic phenomenon as an expression of the ecological relationship between the local community and their environment. The study of this phenomenon, conducted by combining the geohistorical approach with American ecocriticism, reveals that these murals represent a response to the many fractures: territorial, identity and ecological, which have occurred in this rural area during contemporary times. All these changes, therefore, broke the centuries-old relationships that local communities maintained with their territory by threatening their own existence. This is a common phenomenon in Italy that has resulted in the abandonment of many rural villages. In the case of the three villages analyzed, the local population employed the mural art in order to reclaim their place and to redefine the relationship with their environment, which finally affirmed the survival of these small communities
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Lafontaine, Tania. "Ecocriticism and Science Fiction Theory: the Role of Environments and Representations of Post-Nature in Starfish, Maelstrom and Behemoth by Peter Watts and The Road by Cormac McCarthy." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2014. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/77.

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Abstract:
(Résumé) Ce mémoire propose une analyse des représentations de la nature et de l’environnement dans deux œuvres de science-fiction: la trilogie des Rifters—de l’auteur canadien Peter Watts—, qui comprend trois romans en quatre tomes: Starfish (1999), Maelstrom (2001), Behemoth B-Max (2004) et Behemoth Seppuku (2005); et le roman The Road (2006) de l’auteur américain Cormac McCarthy. Cette étude vise à théoriser les implications critiques et littéraires de ces représentations. Pour ce faire, un survol de quelques-unes des principales théories de la science-fiction précède l’analyse des romans. L’intégration de ces théories et des concepts qu’elles mettent de l’avant à l’analyse des romans me permet d’articuler le fait que, dans les récits choisis, les novums science-fictionnels entraînent la défamiliarisation de la nature et de l’environnement, ce qui produit un effet d’étrangeté. En effet, dans ces récits la nature est soit hybride— transformée par l’intervention des humains et de la technologie—, soit malade, mourante, détruite, ou absente et pleurée par les personnages, qui se la remémorent en rêve. Dans les deux cas, la nature est ré-imaginée, l’environnement est recontextualisé et des mondes post-naturels sont présentés d’une façon qui implique des stratégies littéraires semblables, mais une différence critique importante: la trilogie de Watts met en évidence les conséquences tragiques possibles de notre échec à surmonter les enjeux environnementaux de notre époque. Le roman de McCarthy dresse le portrait de la destruction de la société et de la planète tels que nous les connaissons, mais en tait les causes. // (Abstract) This thesis analyzes the representations of nature and environments in two works of science fiction: the Rifters Trilogy, by the Canadian author Peter Watts, comprised of three novels in four volumes: Starfish (1999), Maelstrom (2001), Behemoth B-Max (2004), and Behemoth Seppuku (2005); and the novel The Road (2006), by the American author Cormac McCarthy, in order to theorize their critical and literary implications. To do so, some significant theories in the field of science fiction theory are explored and appropriated in order to develop analyses of the novels. The integration of these theories and their concepts in the analyses allows me to articulate how nature and environments are defamiliarized and generate an estrangement effect within the selected narratives because of their respective sf novums and the consequences they entail. Nature is presented in the primary texts as hybrid — transformed by human intervention and technology — but also as sick, dying, destroyed, and as something lost, absent, mourned and virtually only remembered in dreams. Both works re-imagine nature, re- contextualize environments, and ultimately present post-natural worlds in ways that evidence similar literary strategies. However, they offer a major critical difference: for the Rifters trilogy points out the possible tragic consequences of the failure to overcome environmental issues in our time, while The Road portrays the destruction of society and the planet as we know them but silences the causes.
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Smagina, Margarita. "Ecrire parmi les ruines : résistance et restauration dans les écofictions nord-américaines contemporaines." Thesis, Lyon, 2020. http://www.theses.fr/2020LYSEN078.

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Abstract:
Cette thèse propose une lecture écocritique de quatre romans nord-américains : Through the Arc of the Rain Forest de Karen Tei Yamashita (1990), Salvage the Bones de Jesmyn Ward (2011), Flight Behavior de Barbara Kingsolver (2012), et A Tale for the Time Being de Ruth Ozeki (2013). Ces textes associent scénarios de catastrophes écologiques et exploration des traumatismes individuels et collectifs subis par des sujets humains et non-humains. L’étude vise à analyser les dimensions suivantes des textes étudiés : 1) Les rapports entre la représentation des catastrophes naturelles et de la crise écologique, et celle des individus opprimés par les systèmes socioéconomiques (néo)coloniaux et patriarcaux ; 2) Les dispositifs textuels de mise en scène de ces subjectivités marginalisées – « féminisées », « racisées » ou non-humaines –, par le biais desquels ces écrivaines mettent en évidence les différentes manières dont les catégories de sexe et de race, ainsi que les notions « humain » et « non-humain », sont socialement construites et par là même empreintes d’une fluidité porteuse de changement ; 3) La manière dont ces récits font place aux multiples formes de déchets et de détritus matériels, humains et non-humains, créés et légitimés par ces systèmes d’oppression.L’approche adoptée, résolument transdisciplinaire, combine microlectures, qui prêtent attention aux traits langagiers et stylistiques des textes, et mises en contexte historiques, écologiques et socioéconomiques plus larges des ouvrages étudiés, en employant les outils conceptuels des critical animal studies, des waste studies, et des trauma studies.Cette étude, in fine, cherche à interroger le rôle que les écofictions peuvent espérer jouer face aux urgences écologiques et notamment climatiques. À travers l’analyse des représentations de l’environnement et de l’espace, de la corporalité et agentivité non-humaines autant qu’humaines, des traumatismes individuels et transgénérationnels, ce travail de recherche offre une réflexion sur le potentiel décolonisateur et libérateur de la fiction climatique à l’ère de l’Anthropocène<br>This thesis offers an ecocritical reading of four American ecofiction novels: Karen Tei Yamashita’s Through the Arc of the Rain Forest (1990), Jesmyn Ward’s Salvage the Bones (2011), Barbara Kingsolver’s Flight Behavior (2012), and Ruth Ozeki’s A Tale for the Time Being (2013). These novels combine representations of ecological crises with the explorations of personal and collective traumas or repression experienced by fictional non-human and human subjects. The study addresses the following dimensions of the texts: 1) The ways in which the authors combine narratives of ecological degradation or catastrophe on one hand, and of socioeconomic oppression inflicted on marginalized subjects by the patriarchal, (neo-)colonial, capitalist systems on the other; 2) The textual interplay between the representations of such oppressed sexualized, racialized, and non-human subjects, which allows the authors to demonstrate the fluidity and bias inherent in the identity categories they explore; 3) The representations of material waste and of “wasted” human and non-human subjects, rendered pathological and discarded as “by-products” of these oppressive systems.The approach pursued in this study is strongly interdisciplinary and combines close reading, paying attention to linguistic and stylistic features, and larger historical, ecological, and socioeconomic contextualizing, as it draws upon notions developed by critical animal studies, waste studies, and trauma studies.This study ultimately addresses what role climate fiction can play in understanding, and perhaps mitigating, the current planetary ecological crises, as it faces the conjoined difficulties of representing global phenomena and non-human subjectivities while maintaining focus on individual human-oriented stories. Examining the representations of space and the environment, non-human animacy and embodiment, and individual and intergenerational trauma, this study interrogates the activist potential of climate novels, addressing the possibilities and the limitations of ecofiction in the Anthropocene
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Masse, Marie-Claude. "Le voyage engagé pour une lecture politique du roman de la route actuel québécois." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2010. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/2635.

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Abstract:
Indéniablement"fille de son temps", force médiatrice entre l'imaginaire et le social, la littérature ne peut être dissociée des grandes idéologies - ou courants de pensée -, qui caractérisent son époque. Le roman de la route, qui se manifeste au Québec principalement depuis la décennie 1960, possède la capacité de présenter un état du monde complexe pour une raison évidente : reposant sur le thème de la rencontre , il met de l'avant une pluralité de voix qui s'entrechoquent fournissant, ainsi, une prise de parole sur une société donnée. Véritable catalyseur de consciences plurielles et ennemi de la pensée univoque, le roman de la route apparaît comme le genre pouvant le mieux (trans)figurer les discours culturels, sociaux et politiques de son époque. L'actuelle fascination pour l'Autre et l'ailleurs permet en outre de croire que le roman de la route, que d'autres nomment le récit de voyage fictif, tend à devenir une pratique courante dans l'univers littéraire. La question que pose ce mémoire est donc celle-ci : à la suite d'une présence marquée de la place de l'intime et des préoccupations plus personnelles dans la littérature depuis principalement vingt-cinq ans, et dont la plus fidèle représentante est sans doute l'autofiction, est-il juste de pressentir un certain retour du politique dans le genre romanesque? Et si oui, peut-on considérer le roman de la route comme un discours littéraire permettant la représentation du politique? Trois études permettent de mesurer le poids politique du roman de la route à travers l'analyse de thèmes bien ancrés dans le discours social actuel, soient l'environnement, les questions du commerce - et plus largement la mondialisation -, ainsi que la migration. Le joueur de flûte de Louis Hamelin (2001), La logeuse d'Éric Dupont (2006) et La conjuration des bâtards de Francine Noël (1999) servent de support à cette analyse qui vise avant tout à une réflexion sur l'espace et le discours politique que permet le roman de la route.
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Cayouette, Murielle, and Murielle Cayouette. "Mountains and rivers for a home : a study of the cultural and social repercussions of the return to nature in Leslie Marmon Silko's Ceremony and Thomas King's Green grass, running water." Master's thesis, Université Laval, 2013. http://hdl.handle.net/20.500.11794/24908.

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Abstract:
La présente recherche a pour but de procéder à une étude comparative du processus régénératif au cœur de deux romans phares de la fiction autochtone contemporaine, soit Ceremony de Leslie Marmon Silko et Green Grass, Running Water de Thomas King. Trois volets principaux sont examinés : le rôle de la nature en tant que référent culturel dans le processus de régénération des personnages principaux de chaque roman, l’évolution de la quête identitaire dans un environnement post-contact, ainsi que les répercussions de la réactualisation de l’identité de chaque protagoniste sur la communauté à laquelle il appartient. Cette comparaison entre les procédés employés par Silko et King permettront, en un premier temps, d’identifier des éléments de continuité entre les deux auteurs. Ces similarités incluent la centralité de la nature dans la reconnexion des protagonistes avec leur culture et leur identité ainsi que l’emphase sur la nécessité d’une identité hybride dans un environnement post-contact. De plus, la comparaison entre ces deux auteurs issus de deux contextes socio-historiques distincts permet d’isoler certains éléments du contexte propre à chaque roman afin de déterminer le rôle de la réalité autochtone sur la fiction produite à chaque époque. De façon plus spécifique, il sera entre autres question de l’influence de la montée du mouvement environnementaliste euro-américain sur la valeur symbolique du retour à la nature, ainsi que de l’importance grandissante de la classe moyenne autochtone éduquée et de la façon dont ce nouveau phénomène est exprimé dans l’œuvre de King.<br>La présente recherche a pour but de procéder à une étude comparative du processus régénératif au cœur de deux romans phares de la fiction autochtone contemporaine, soit Ceremony de Leslie Marmon Silko et Green Grass, Running Water de Thomas King. Trois volets principaux sont examinés : le rôle de la nature en tant que référent culturel dans le processus de régénération des personnages principaux de chaque roman, l’évolution de la quête identitaire dans un environnement post-contact, ainsi que les répercussions de la réactualisation de l’identité de chaque protagoniste sur la communauté à laquelle il appartient. Cette comparaison entre les procédés employés par Silko et King permettront, en un premier temps, d’identifier des éléments de continuité entre les deux auteurs. Ces similarités incluent la centralité de la nature dans la reconnexion des protagonistes avec leur culture et leur identité ainsi que l’emphase sur la nécessité d’une identité hybride dans un environnement post-contact. De plus, la comparaison entre ces deux auteurs issus de deux contextes socio-historiques distincts permet d’isoler certains éléments du contexte propre à chaque roman afin de déterminer le rôle de la réalité autochtone sur la fiction produite à chaque époque. De façon plus spécifique, il sera entre autres question de l’influence de la montée du mouvement environnementaliste euro-américain sur la valeur symbolique du retour à la nature, ainsi que de l’importance grandissante de la classe moyenne autochtone éduquée et de la façon dont ce nouveau phénomène est exprimé dans l’œuvre de King.<br>This thesis compares the regenerative processes at the heart of two milestone novels of contemporary Native American literature, Leslie Marmon Silko’s Ceremony and Thomas King’s Green Grass, Running Water. My comparative study will be divided into three main sections: the role of nature as a cultural referent in the main characters’ regenerative processes in each novel, the evolution of the identity quest in a post-contact environment, and finally, the repercussions of the protagonists’ re-actualization of identity on the rest of their community. Through the comparative study of the processes employed by Silko and King with respect to one’s relationship to nature, cultural identity and social relations, I will be able to identify several similarities shared by the two novels, which demonstrate that they belong to the same Native artistic continuum. These resemblances include the central role of nature in reconnecting the protagonists to their identity, as well as a predominant emphasis on the emergence of a hybridized identity in a post-contact environment. Moreover, the comparison of two novels emerging from two different eras of Native American Literature –that of the 1970s and of the 1990s- will allow me to isolate the influence of the cultural context to which each particular work belongs. In doing so, it becomes possible to determine the influence of some transformations in Native lifestyle on the fiction produced at a given time. More specifically, the modifications I chose to focus on include the rise of Euro-American environmentalism on the symbolic value of returning to nature for Natives as well as the increasing presence of middle-class, educated Natives and their representation, mostly present in King’s fiction.<br>This thesis compares the regenerative processes at the heart of two milestone novels of contemporary Native American literature, Leslie Marmon Silko’s Ceremony and Thomas King’s Green Grass, Running Water. My comparative study will be divided into three main sections: the role of nature as a cultural referent in the main characters’ regenerative processes in each novel, the evolution of the identity quest in a post-contact environment, and finally, the repercussions of the protagonists’ re-actualization of identity on the rest of their community. Through the comparative study of the processes employed by Silko and King with respect to one’s relationship to nature, cultural identity and social relations, I will be able to identify several similarities shared by the two novels, which demonstrate that they belong to the same Native artistic continuum. These resemblances include the central role of nature in reconnecting the protagonists to their identity, as well as a predominant emphasis on the emergence of a hybridized identity in a post-contact environment. Moreover, the comparison of two novels emerging from two different eras of Native American Literature –that of the 1970s and of the 1990s- will allow me to isolate the influence of the cultural context to which each particular work belongs. In doing so, it becomes possible to determine the influence of some transformations in Native lifestyle on the fiction produced at a given time. More specifically, the modifications I chose to focus on include the rise of Euro-American environmentalism on the symbolic value of returning to nature for Natives as well as the increasing presence of middle-class, educated Natives and their representation, mostly present in King’s fiction.
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Gancea, Uliana. "L’écocritique dans les romans "Globalia" et "Amour à l’Ancienne Ligne"." Thesis, Paris Est, 2014. http://www.theses.fr/2014PEST0008/document.

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Abstract:
La présente thèse est une étude écocritique où l’on analyse l’environnement dans les romans: Globalia (2004), écrit par l’écrivain français Jean-Christophe Rufin et Amor en la Línea Vieja (Amour sur l’Ancienne Ligne) (2007), écrit par le Costaricien Walter Rojas Pérez. Cette investigation examine l’expression de la conscience écologique, représentée à partir de l’optique de chaque romancier non seulement dans des périodes différentes (2004/2007), mais aussi dans des endroits distincts. Ici sont analysées les visions singulières de l’Homme en relation avec la campagne et la ville, accompagnées d’une structure politique corrompue où l’on observe l’inégalité de correspondances qui influence le déséquilibre écologique, affectant les systèmes naturels , anthropiques et l’être humain. Les romans étudiés ne reflètent pas l’image de la nature vue comme «enfer vert», au contraire, le naturel traduit le portrait d’une Mère qui fournit tout le nécessaire pour la survie des êtres vivants. C’est pour cela que les postulats de dénonciation critiquent l’abus que l’être humain fait contre l’environnement, le déboisement de la forêt, la contamination des bassins hydrographiques, l’utilisation indistincte des produits agrochimiques, la pollution de l’air et de la terre avec des résidus industriels tirés comme décharges à ciel ouvert, tout en se transformant en éléments destructifs qui raccourcissent la vie des êtres vivants sur la Planète Verte. Dans les deux romans les auteurs accusent l’exploitation insoutenable des ressources naturelles par l’homme conquérant de la nature qui sert aux buts globalisateurs de l’industrialisation. Les textes enregistrent une séries de scène qui critiquent la pratique du développement non-durable et où le paupérisé dévaste la nature et se soumet au pouvoir économique par la nécessité de survivre, pour se transformer finalement en «des-gens», vivre comme les ordures recyclées et se nourrir des déchets de l’industrialisation. La pauvreté globale est telle que les «trois quarts de la population mondiale vivent dans le Tiers Monde, ce qui représente plus de deux tiers du secteur de la surface de la terre» (Stokke 19). La Terre incarne l’être vivant qui appartient à un écosystème universel et, pour se maintenir robuste, elle a besoin de son espace soutenable, dans un milieu écologique sain. La stabilité de la planète est d’importance suprême pour le reste des espèces qui la cohabitent. Voici le discours écocritique que les romanciers Rufin et Rojas Pérez souhaitent transmettre dans le but de perpétuer la viabilité terrestre, de sorte que toute espèce prenne plaisir au nectar qui la maintient vigoureuse. La dénonciation des romanciers cherche à éveiller la conscience pour maintenir l’équilibre écologique sur la Planète Verte. De la même manière, le discours environnementaliste-littéraire va au-delà de la frontière terrestre, tout en arrivant à des mondes cosmiques et universalisés de la Terre, comme celui qui apparaît dans le roman Globalia. L’analyse écocritique dans Amor en la Línea Vieja fait transparaître une réalité cosmologique définie depuis une dimension inextricable qui cherche à recréer la bonne interrelation entre toutes les espèces. Ce monde terrestre-universel offre l’occasion de coexister avec la société interplanétaire où les espèces maintiennent une racine commune. Tant Globalia comme Amor en la Línea Vieja donnent aux nouvelles générations le message écocritique suivant: elles sont dédiées à sauver l’habitat global<br>The following study analyzes the environment in the novels: Globalia (2004), written by the French novelist Jean-Christophe Rufin and Amor en la Línea Vieja (Love at the Old Rail) (2007), written by the Costa Rican author Walter Rojas Pérez. This research examines the expression of ecological consciousness represented from the authors’ perspectives both in different periods of time (2004/2007) and distinctive places. Below are analyzed the peculiar visions of the Mankind in relationship with the country and the city, accompanied by a corrupt political structure where the inequality of connections influences the ecological unbalance, affecting the natural, anthropic, and human beings’ ecosystems. The novels here studied do not reflect the image of nature viewed as «a green hell»; nonetheless, the natural aspects depict the portrait of a Mother furnishing all the necessary for the humankind’s survival. Thus, the denunciation premises criticize the abuse committed by mankind against the environment, the deforestation of woods, the contamination of hydrographic basins, the indistinct use of agrochemical products, air and land pollution with industrial residue dumped outside as garbage; most likely destructive elements which shorten humankind’s life on the Blue Planet. Both novels accuse the unsustainable exploitation of natural resources by the human conqueror of nature and who serves the globalization goals of the industrialization. This unsustainable development favors the ecological imbalance which leads to the disappearance of uncountable species dying without having ever been studied, taking away the opportunity to the future generations to have even known them. The texts register how the economically poor human beings devastate the nature and give into the economic power for the need to survive, and to finally become “un-people”. Global poverty is such that “three quarters of the world population live in the Third World, which stands for more than two thirds of the earth’s surface” (Stokke 19). The lucky ones, supported by certain people in power, manipulate the citizens by means of transnational companies, and –using the excuse of modernization- they steal nature’s resources. Therefore, when these living beings stop serving the petty interests of the rich, they are laid off without any benefits, directly affecting their human ecology and that of their families; consequently, the underprivileged have no other alternative but to join certain at-risk settlements, live as recycled garbage, and eat from the industrialization’s waste. The Earth embodies a living being that pertains to a universal ecosystem and which requires its own sustainable space, within a healthy ecological environment. The planet’s stability is of supreme importance to the rest of the species that live together on it. This is the ecocritical discourse that the novelists Rufin and Rojas Pérez desire to transmit, hoping to perpetuate the terrestrial viability that all species could enjoy the nectar which maintains it strong. The novelists’ denunciation awakens the consciousness for preserving the Blue Planet’s ecological balance. Moreover, the environmental-literary discourse goes beyond the terrestrial frontiers, getting to the Earth’s cosmic and universal worlds, as the one that appears in the novel Globalia. A defined cosmological reality surges in Amorn en la Línea Vieja, when –from an inextricable point of vegetation on Earth- one may go through a tunnel onto another dimension where friendly beings interact with each other. On that terrestrial-universal world, the vegetation resembles the one known on Earth, and where the characters Ion and Elena welcome Nuria as member of their family, thus giving Nuria the opportunity to coexist with an interplanetary society of common root species. Both Globalia and Amor en la Línea Vieja pass on to the new generations a clear ecocritical message: they are dedicated to save the global habitat
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De, Vriese Hannes. "Mobilités écopoétiques et écritures de la nature : espace et paysage dans la littérature contemporaine en français." Thesis, Toulouse 2, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU20070.

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Abstract:
Cette étude s’interroge sur l’écriture de la nature dans la littérature contemporaine en français. À partir d’un corpus de textes pris dans la littérature européenne (Chevillard, Michon, Mingarelli, Ollier, Réda, Rouaud, Simon, Tesson, Trassard) et antillaise (Chamoiseau, Glissant, Maximin), l’auteur examine comment la menace écologique influe sur la géographie littéraire et plus généralement sur la représentation de l’espace. Le cadre théorique utilisé à cet effet se nourrit, d’une part, de l’écocritique nord-américaine et s’inscrit, d’autre part, dans l’écopoétique, plus à même de rendre compte de la littérature en français. La recherche démontre que la conscience écologique va de pair avec une nouvelle conception du monde qui met à mal les représentations traditionnelles de l’espace. L’exploration de l’espace sauvage ne conduit dès lors pas à une célébration d’un paysage sublime, mais associe les découvertes du voyageur tout au plus à un sublime suspendu, tremblé et par là provisoire. De même, le récit préhistorique ne recourt pas aux stratégies littéraires du roman préhistorique traditionnel. Plutôt que de procéder comme ce dernier à la représentation du temps préhistorique et que de montrer l’arrivée triomphante de l’homme, le récit contemporain se livre, au contraire, à une enquête incertaine autour de la trace humaine dans l’espace. Il apparaît ainsi un décalage entre la relativité de l’histoire humaine et la permanence du temps géologique. La littérature met en avant la nécessaire reconfiguration des représentations traditionnelles de l’espace et remet en cause la place centrale que l’homme s’attribue. Il s’agit pour les textes de montrer en quoi la géographie apparaît comme une entité plastique et mobile, comme en témoigne par exemple le motif du jardin qui réconcilie les efforts d’aménagement de l’homme et l’énergie désordonnée de la nature. L’esthétique contemporaine relève alors d’une mobilité écopoétique en signe d'une nouvelle empathie avec le monde<br>This dissertation reflects on nature writing in French-speaking contemporary literature. Drawing on a corpus of literary texts from Europe (Chevillard, Michon, Mingarelli, Ollier, Réda, Rouaud, Simon, Tesson, Trassard) and the Caribbean (Chamoiseau, Glissant, Maximin), the author examines how awareness of ecological peril determines literary geographies and the representation of space more generally. North-American ecocriticism offers a part of the theoretical framework, but recent findings in European ecopoetics prove to be more suitable to analyse literature in French. The study shows that ecological awareness entails a new worldview that invalidates pre-existing representations of space. Thus, exploring the wilderness does not longer lead the observer to celebrate the sublime landscapes that nature offers him. On the contrary, the encounter with the wilderness tends to be unsuccessful, and if it entails any sublime experience, it is equally a temporary and a fragile one. Likewise, the prehistoric narrative does not longer rely on the literary strategies of the traditional prehistoric novel: rather than to reconstruct a prehistoric time and to show the triumphant arrival of humankind as does the latter, the contemporary narrative conducts in the present an uncertain and troubled investigation regarding the significance of prehistoric human traces. Literary texts thus show the discrepancy between the relativity of human history and the permanence of geological time. They underline the need to reconfigure traditional representations of space and question the central position that humankind attributes to himself. Literature then promotes space as a plastic and mobile entity. The garden more precisely appears to be a motive that reconciles human efforts of planning and managing with the disorderly energy of nature. Contemporary literary aesthetics appear then to be determined by an ecopoetic mobility that signals a new empathy with the world<br>In deze studie wordt het natuurschrijven (nature writing) in de hedendaagse Franssprekende literatuur ondervraagdUitgaand van een corpus van Europese (Chevillard, Michon, Mingarelli, Ollier, Réda, Rouaud, Simon, Tesson, Trassard) en Caribische teksten (Chamoiseau, Glissant, Maximin), bestudeert de auteur hoe de bewustwording van de ecologische crisis de literaire afbeelding van plaats beïnvloedt. Het theoretisch kader wordt deels door de Noord-Amerikaanse ecokritiek verschaft, maar de recente ondervindingen van de Europese ecopoetiek blijken nog beter aangepast aan de Franstalige literatuur. Het onderzoek toont aan dat de ecologische crisis een nieuw wereldbeeld meebrengt dat de traditionele weergave van plaats in vraag stelt. De verkenning van de wildernis leidt bijvoorbeeld niet tot een sublimering van het natuurlandschap, maar de ontdekkingen van de reiziger blijven beperkt tot een gedempt subliem, een tijdelijke gebeurtenis die op elk ogenblik onderbroken kan worden. Het prehistorisch verhaal vernieuwt evenzeer de literaire structuren van de traditionele prehistorische roman. Daar waar deze laatste de prehistorische tijd getrouw weergeeft en de triomf van de mensheid in beeld brengt, vertelt het prehistorische verhaal veeleer een twijfelende en angstig zoektocht omtrent de prehistorische sporen van de mensheid in het landschap. De relatieve historische tijd van de mens contrasteert zo met de ononderbroken eeuwigheid van de geologische tijd. Wat de literatuur dan naar voor brengt, is de nood om de bestaande verwoordingen van ruimtegevoel te herzien en om de mens te doen afzien van de centrale plaats die hij zich gewoonlijk toekent. Plaats is dan, zoals de teksten aantonen, een plastisch en mobiel gegeven. Zo blijkt de tuin een plek te zijn die de menselijke zin voor ordening en vormgeving verzoent met de ontembare energie van de natuur. De esthetische weergave van plaats in de hedendaagse literatuur beantwoordt zo aan een ecopoëtische beweeglijkheid als teken van een vernieuwde overeenstemming met de wereld
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Chang, Ti-Han. "The Role of the Ecological Other in Contesting Postcolonial Identity Politics : an Interdisciplinary Study of the Postcolonial Eco-literature of J.M Coetzee and Wu Ming-yi." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE3014/document.

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Abstract:
Cette thèse présente une analyse comparée des œuvres de deux écrivains contemporains, John Maxwell Coetzee (1940-), originaire d’Afrique du Sud, et Wu Ming-yi (1971-), de Taïwan, que l’on associe au genre de la « littérature écologique postcoloniale ». À partir de leurs travaux, cette thèse propose une étude interdisciplinaire couvrant trois dimensions de leurs travaux : la théorie, la politique et le littéraire. Les textes choisis pour l’analyse sont ceux qui cherchent à la fois à fournir une image dystopique de l’exploitation des environnements naturels et des êtres non-humains et à représenter l’oppression coloniale des peuples colonisés et de l’exploitation des ressources naturelles dans différentes parties du monde. En ce qui concerne la dimension théorique, la thèse aborde le questionnement suivant : comment la philosophie occidentale contemporaine prend en compte les animaux et les êtres écologiques (êtres non-humains et non-animaux), afin de reconsidérer la question plus générale de l’altérité. Quant à la dimension politique, la thèse adopte une posture philosophique afin de questionner les contextes historiques des pays postcoloniaux, notamment ceux de l’Afrique du Sud et de Taïwan. Enfin, la dimension littéraire examine les écrits de Coetzee et de Wu afin de montrer comment leurs textes décrivent l’« autre écologique » (ecological other) en tant que moyen pour lutter contre l’identité politique postcoloniale<br>This thesis presents the literary works of two contemporary writers—John Maxwell Coetzee (1940-), originally from South Africa, and Wu Ming-yi (1971-) from Taiwan—whom it analyses as key exponents of postcolonial eco-literature. The thesis offers an interdisciplinary study of their works in their theoretical, political and literary aspects. The texts selected for analysis are those that seek to present a dystopian image of the exploited natural environment or nonhuman entities, while, at the same time, associating and articulating these representations with the suppressions and exploitations carried out within colonial frameworks in different parts of the world. As regards the theoretical perspective of the thesis, it addresses the subject of how contemporary continental philosophy takes nonhuman animals and other kinds of ecological beings into account and rethinks the philosophical question of the other. With respect to politics, it contextualises this philosophical questioning by looking at the history of various postcolonial countries, notably South Africa and Taiwan. Lastly, as far as literature is concerned, it examines the writings of Coetzee and Wu in order to show how their texts depict the ecological other as a way of contesting postcolonial identity politics
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Verardi, Giulia. "The last human beings : post-apocalyptic climate fictions." Electronic Thesis or Diss., Perpignan, 2024. https://theses-public.univ-perp.fr/2024PERP0041.pdf.

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Abstract:
Le genre littéraire de la « fiction climatique » ou « cli-fi » ne se contente pas de raconter les conséquences désastreuses que le changement climatique peut engendrer, mais il offre également la possibilité de repenser notre système social pour éviter la catastrophe environnementale. Cette recherche explore les liens entre la dégradation de l'environnement et l'émergence de maladies dans les fictions climatiques post-apocalyptiques, tout en analysant les nouvelles communautés interspécifiques décrites. Le corpus anglophone d'oeuvres contemporaines étudiées comprend : Always Coming Home (Le Guin, 1985), Parable of the Sower et Parable of the Talents (Butler 1993, 1998), The Ice People (Gee, 1998) et la trilogie MaddAddam (Atwood, 2003-2013). Ces romans sont analysés en comparaison avec le roman précurseur de Mary Shelley, The Last Man (1826), en s'appuyant sur des études écocritiques et écoféministes, la narratologie, ainsi que des théories anthropologiques et sociologiques Par le biais de la théorie interdisciplinaire du chaos, l'étude du corpus est développée à travers : 1) une analyse du temps dans les romans ; 2) une exploration du climat, des écosystèmes et des pandémies ; 3) une enquête sur les communautés/sociétés futuristes représentées. Les résultats montrent que les romans post-apocalyptiques favorisent l'intersectionnalité et la non-linéarité, tant en termes de forme que de thèmes : la narration, les écosystèmes et les sociétés sont profondément enchevêtrés et s'influencent mutuellement à tous les niveaux<br>Not only does the literary genre of “climate fiction” or “cli-fi” recount the disastrous consequences that climate change can generate, but it also offers the possibility of rethinking our social system to avoid environmental disaster. This research explores the links between environmental degradation and the emergence of disease in post-apocalyptic climate fiction as well as analysing the new interspecific communities described. The English-language corpus of contemporary works is composed of: Always Coming Home (Le Guin, 1985), Parable of the Sower and Parable of the Talents (Butler, 1993 - 1998), The Ice People (Gee, 1998) and the MaddAddam trilogy (Atwood, 2003-2013). These novels are analysed in comparison with Mary Shelley's seminal novel The Last Man (1826), drawing on ecocritical and ecofeminist studies, narratology, anthropological and sociological theories. Through the lens of the interdisciplinary theory of chaos, the study of the corpus is developed through: 1) an analysis of time in the novels; 2) an exploration of climate, ecosystems and plague; 3) an investigation of the futuristic communities/societies depicted. The results show that post-apocalyptic novels promote intersectionality and non-linearity, in terms of form and themes: narratives, ecosystems and societies are profoundly intertwined and influence one another at all levels
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Moutel, Noémie. "Cartographier des trajectoires d’émancipation écoféministe à partir de l’œuvre de Theodore Roszak." Electronic Thesis or Diss., Angers, 2023. http://www.theses.fr/2023ANGE0069.

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Abstract:
De la contre-culture états-unienne aux perspectives écoféministes contemporaines, cette thèse présente l’œuvre et la carrière de Theodore Roszak tout en montrant de quelles manières la proposition écopsychologique de l’auteur s’appuie sur les postulats féministes, écologiques et anticapitalistes forgés durant les années 1960 aux Etats-Unis. Ce travail présente également à la communauté scientifique un apport conceptuel innovant qui consiste à repérer des trajectoires d’émancipation écoféministe dans la littérature de fiction à l’aune des quatre topoï définis : le foyer, la lisière, la forêt et la clairière. Cette spatialisation des lieux concrets et métaphoriques qui ordonnent des processus écoféministes de désaliénation des paradigmes patriarcaux et néo-libéraux est présentée au travers d’un corpus de sept autrices tatsuniennes. Cette thèse défend enfin l’idée que les notions de « trajectoire d’émancipation écoféministe » et de « viol de la terre » sont constitutives d’une approche écoféministe de la littérature et des études culturelles anglophones<br>From the American counter culture to contemporary ecofeminist perspectives, this thesis exposes Theodore Roszak’s works and career while showing the ways in which his ecopsychological proposition is founded in the feminist, ecological, and anticapitalist premises forged during the 1960s in the United States. This dissertation also brings to the attention of the scientific community an innovating and conceptual input which consists in mapping ecofeminist emancipatory trajectories in fiction via the four topoi here defined: the hearth, the edges, the forest and the glade.This spatialization of the concrete and metaphorical places that organize ecofeminist processes of desalienation from patriarcal and neoliberal paradigms is presented via a corpus of sevent female authors from the United States. This thesis eventually defends the idea that the notions of « ecofeminist emancipatory trajectory » and of « the rape of the earth » are constitutive of an ecofeminist approach to literature and cultural studies
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Awele, Emmanuel Chukwudi. "Globalization and slow violence : slow genocide at the periphery in Jeannette Armstrong’s Whispering in shadows and Kaine Agary’s Yellow-Yellow." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2015. http://hdl.handle.net/11143/6850.

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Abstract:
Abstract : The work that follows analyses the environmental, cultural, economic and rhetorical methods of conceptualizing violence affecting traditional Niger-Deltan and pan-Indigenous peoples. Whispering in Shadows by Jeanette Armstrong and Yellow-Yellow by Kaine Agary represent how Okanagan and other pan-Indigenous peoples of the Americas and Niger Deltans experience contemporary forms of slow genocide as a result of environmental pollution and various forms of displacement from ancestral spaces. This analysis of both texts brings to the fore the Indigenous sense of life, well-being, and progress that is grounded in a holistic view of communal life on traditional lands, and places it in contrast with the non-traditional use of traditional lands, as well as the exploitation of Okanagan and Nigerian Indigenous peoples produced by the dominant socio-economic realities controlled by the forces of globalization. Indigenous environmentalism reflected by Armstrong’s and Agary’s novels views human relationships with the land in terms of an interconnected familial dependence, and not within extreme notions of romanticized abstinence from dependence on land or of capitalist exploitative use of land. In the light of the environmental criticism of Yellow-Yellow and Whispering in Shadows, I propose that both texts may be read as eco-literature. However the ecocritical work of both novels is based, not on Western-identified notions of ecocriticism that often prioritize the non-human through what Graham Huggan and Helen Tiffin describe as “anti-human” environmentalism. Rather, the novels adopt an Indigenous view of humans and non-humans not as competing subjects, but as interdependent and interrelated parts of one entity: the land. Agary’s and Armstrong’s renderings of displacement disrupt dominant utilitarian perceptions of the land by showing that it carries meaning and identity that encompasses culture, social, personal and communal existence. I suggest that a reaffirmation of culturally-grounded relations with the land, a reconnection to land and rebuilding of localized networks between Individuals in eco-devastated communities and between such communities in a form of globalization-from-below provides a strong base for healing, for cultural preservation, and for creative collaborative responses and solutions to globalization. Global minority collaboration and cultural affirmation ultimately has potentials of destabilizing and resisting globalization in sustainable ways. They insulate communities from the hegemony of the dominant Western socio-cultural models. The close familial ties between Indigenous peoples and the land, coupled with historic, cultural and economic meaning of land to such communities suggest that the loss of traditional land under systems of globalization is a traumatizing and devastating experience for traditional peoples. I argue that such cultural and physical dislocation normalizes a trend of infighting and social instability, which becomes a self-reproducing violence that exacerbates the process of slow genocide: “the emotional and physical harm done to survivors of violence over time that leads to extreme hardship and premature death for many” (Cottam, Huseby, and Lutze 2). At the heart of Armstrong’s and Agary’s texts are critiques of both environmental and social injustices that emanate from industrial activities on Indigenous traditional lands. The environmental representations of Armstrong and Agary portray Indigenous perspectives that link environmentalism to the cultural, economic and social facets of sustainability. The pan-Indigenous and African environmentalisms represented in Whispering in Shadows and in Yellow-Yellow respectively do not define “environmental concerns” and issues of justice in terms of separate issues that need linking. Rather, they represent the issues of equity, justice, and environmental, spiritual and cultural stability as a one and the same interrelated issue of sustainability.<br>Résumé : Ce qui suit analyse des dispositifs environnementaux, culturels, économiques et rhétoriques qui engendrent le déplacement chez les peuples traditionnels autochtones et du Delta de Niger. Whispering in Shadows de Jeannette Armstrong et Yellow-Yellow de Kaine Agary représentent, de manière similaire, la façon dont les peuples traditionnels autochtones et ceux du Delta de Niger expérimentent les formes contemporaines du génocide lent sous forme de pollution environnementale, ainsi que des déplacements spatiaux. Cette analyse porte un regard particulier sur le sens de la vie, du bien-être et du progrès selon les cultures traditionnelles autochtones qui se basent sur une vision globale de la vie commune sur la Terre ancestrale. Cette cosmologie est mise en contraste avec la culture mondialisée qui encourage notamment l’utilisation non-traditionnelle des terrains et l'exploitation des peuples traditionnels autochtones. L'environnementalisme autochtone reflété dans les romans d'Armstrong et d’Agary considère les relations des humains avec la Terre comme étant une dépendance familiale interconnectée. Cette relation ne se définit pas sur base des notions extrêmes d'abstinence romancée ou de non-dépendance sur la Terre. Elle n’est pas définie non plus par des notions de l'exploitation écocidaire capitaliste de la Terre. À la lumière de la critique environnementale de Whispering in Shadows et de Yellow-Yellow, je propose que les deux textes soient lus comme des éco-littératures. Cependant, le travail des deux romans écocritiques est fondé non sur les notions occidentales de l’écocritique qui privilégient souvent les non-humains dans un environnementalisme que Graham Huggan et Helen Tiffin (2010) décrivent comme étant « antihumain », mais plutôt sur celles qui considèrent les humains et les non-humains non pas comme des sujets en concurrence, mais comme les parties interdépendantes et intimement liées au sein d’une seule entité: la Terre. La conception de la question du déplacement selon Agary et Armstrong déstabilise la perception dominante matérialiste de la Terre en montrant que la Terre est porteuse d’un sens et d'une identité qui peuvent sembler arbitraires, mais qui englobent au fait la culture, la vie sociale, personnelle et communautaire. Je propose qu’une base solide pour gagner la guérison spirituelle, la préservation des cultures marginalisées et la lutte contre la mondialisation se trouve dans la réaffirmation des relations culturellement fondées avec la terre, la reconnexion à la terre et la construction de réseaux localisées entre les individus dans les communautés éco-dévasté, ainsi qu’entre ces communautés, dans une forme de « mondialisation d’en bas. » La collaboration entre les minorités et l'affirmation culturelle ont de la potentielle à déstabiliser et résister la mondialisation de manière durable. Cette globalisation d’en bas isole aussi les communautés de l'hégémonie des modèles socio-culturels dominants venant souvent de l’occident. Les liens familiaux étroits que partagent les peuples autochtones et leur Terre, ainsi que les significations historiques, culturels et économiques de la Terre pour ces communautés autochtones, suggèrent que la perte des espaces terrestres traditionnelles sous les systèmes de la mondialisation est vécue comme une véritable expérience traumatisante et dévastatrice. Cette injustice normalise par la suite une tendance de la violence latérale et de l'instabilité sociale qui devient une violence autoreproductrice et qui maintient le processus historique du génocide lent: «le préjudice émotionnel et physique subi par les victimes de la violence au fil du temps qui mène à la pauvreté extrême et à la mort prématurée pour beaucoup» (ma traduction : Cottam, Huseby, et Lutze 2). Au cœur des textes d'Armstrong et d’Agary se trouvent des critiques contre les injustices sociales et environnementales émanant des activités industrielles dans les espaces traditionnelles autochtones. L’environnementalisme d'Armstrong et d’Agary décrit des cosmologies autochtones qui interagissent entre l'écologie et les aspects culturelles, économiques et sociaux du développement durable. L’environnementalisme autochtone d’Armstrong et l’environnementalisme africain d’Agary, en fonction de leurs cosmologies traditionnelles respectives, ne conceptualisent pas des «préoccupations environnementales» et les questions de justice dans le contexte des questions distinctes qui devraient être liées comme la culture dominante occidentale les conçoivent. Pour eux, les questions de l'équité, de la justice, de la stabilité environnementale, spirituelle et culturelle ne sont qu’une et la même question du développement durable.
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Dinh, Van Aurélie. "Pour une écologie-monde de la littérature : relation esthétique et diversité culturelle." Thesis, Toulouse 2, 2014. http://www.theses.fr/2014TOU20009.

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Abstract:
La relation esthétique aux œuvres lues est traduite ici par une approche biopoétique de la diversité culturelle, qui nous autorise à la transcrire en termes d’écologie entendue comme ce qui a trait aux relations, aux interactions mais aussi aux ruptures et aux brisures du lien. Il s’agit d’abord de revenir sur la notion de patrimoine en proposant différents usages de la littérature par un sujet lecteur prenant ses distances vis-à-vis des mondanités institutionnelles. La ritualisation de la relation au texte d’autrui bannit les pétrifications monumentales redevables à une logique cartographique destinée à compartimenter les productions littéraires. À partir de là, on remarque que la resymbolisation de la trajectivité du lecteur au sein des balisages institutionnels infléchit les voies prescriptives d’une lecture clivée et permet d’envisager la lecture comme un geste scriptural à l’origine de nouvelles genèses littéraires. La bibliothèque intérieure situe les diversités interprétatives sous le signe d’un humanisme écologique qui décline à présent l’œuvre lue en texte-paysage, texte-habitat et texte-écosystème dans lequel se diffractent des individualités redonnant vie aux livres endormis. La notion de plasticité vivante enfin nous permet de poursuivre une approche écologisée de la littérature francophone en tant que médiateur culturel, ouvrant à de nouvelles perspectives de mise en récit du monde. La reconfiguration des œuvres littéraires se réalise sous le signe d'une écoplastie digne de transfigurer les interférences culturelles à l'oeuvre dans l'activité littéraire: la mobilité et l'organicité membranique de ces transactions redéfinissent l'hospitalité envers autrui<br>This dissertation considers the aesthetic relation between the reader and literary texts from a biopoetic viewpoint, thus translating cultural diversity into ecological terms that are linked to the dynamics of relations and interactions, of ruptures and fractures. Therefore it is first necessary to reconsider the notion of patrimony by taking into account the different ways in which the reading subject takes his distance toward social institutions. Ritualizing the relation to the texts of others excludes the monumentalizing petrification due to a cartographical logic aiming to compartmentalize literary production. We notice furthermore that the resymbolization of the reader’s trajectory within institutional boundaries bends the disassembling reading that is dictated and considers reading rather as a scriptural gesture initiating a new literary genesis. The interior library associates the multiplication of interpretations to an ecologic humanism that transforms the read literary work into a text-landscape, a text-habitat, a text-ecosystem, in which individualities are diffracted, thus giving live to dormant texts. The notion of living plasticity leads us finally to an ecologized approach of francophone literature as a cultural mediator implying new perspectives for narrating the world. Reconfigurating literary texts is realized through ecoplasticy and its capabilities to transfigure cultural interferences present in literary activity: the mobility and membranic organicity of these transactions redefine the hospitality shown toward others
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Close, Anne-Sophie. "Visions croisées dans la littérature du Grand Océan: approche comparatistes des littératures francophones et anglophones de Polynésie." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2015. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/209163.

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Abstract:
Ancrée dans les réalités du monde océanien contemporain et prenant comme thématique centrale les questions de la représentation de la terre et du lien à la terre, cette recherche doctorale consiste en une analyse comparative et écocritique des textes et contextes formant le champ particulier des littératures autochtones produites en Polynésie, tant en français qu’en anglais. Les problématiques environnementales et la question de l’attachement à la terre sont au cœur des œuvres littéraires polynésiennes contemporaines, tant francophones qu’anglophones, dont elles permettent de questionner la parenté. Le choix d’une approche critique novatrice et originale, basée sur les "postcolonial ecologies", permet de faire dialoguer « texte » et « monde » et d’ainsi toucher à l’universel. En s’attachant à certaines problématiques humanitaires et écologiques cruciales, dont l’urgence se fait de plus en plus pressante en cette ère où le réchauffement climatique et les pollutions multiples mettent en péril la survie de nombreuses cultures et écosystèmes, ce travail doctoral dépasse le domaine purement littéraire et réaffirme avec force le pouvoir de l’imagination poétique dans la réinvention d’un autre rapport au monde, plus juste socialement et écologiquement.<p>Par le choix de son objet autant que par celui de sa méthode, où le dialogue interdisciplinaire et interculturel occupe une place essentielle, cette étude se veut doublement novatrice. Elle embrasse plusieurs objectifs. Premièrement, faire connaître une production littéraire francophone largement méconnue, issue d’une aire géographique et culturelle spécifique (la Polynésie). Deuxièmement, renforcer le dialogue trans-océanique grâce à la confrontation des productions francophones et anglophones, et s’inscrire ainsi pleinement dans l’actualité de la recherche sur les littératures océaniennes. Troisièmement, usant des apports de ce dialogue et des outils proposés par l’analyse écocritique, poser la question de l’existence ou non d’un univers littéraire trans-linguistique et océanien. Quatrièmement, contribuer à enrichir et éclairer les théories littéraires écocritiques grâce aux spécificités et aux problématiques soulevées par les littératures polynésiennes. Œuvres littéraires et méthode critique s’inscrivent donc dans un processus d’échanges et de retours constant et dynamique, s’éclairant réciproquement afin de parvenir à une compréhension mutuelle plus profonde et féconde de nouvelles possibilités.<p><br>Doctorat en Langues et lettres<br>info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Cazajous-Augé, Claire. "À la trace : l'animal dans les nouvelles de Rick Bass." Thesis, Toulouse 2, 2017. http://www.theses.fr/2017TOU20108.

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Abstract:
Cette thèse s’intéresse à la manière dont l’écriture dans les nouvelles de Rick Bass est intimement liée aux modes d’être des animaux. L’esquive, le mutisme, la souffrance silencieuse ou bien encore la capacité de régénération des animaux mettent l’écriture au défi et l’entraînent à se renouveler. L’auteur évite en effet toute prise prédatrice du langage sur les mondes animaliers et instaure une coïncidence entre son écriture et les « styles » des animaux. Les traces descriptives, les comparaisons inattendues et les variations rythmiques ou sonores donnent à éprouver la présence animalière et disent l’altérité et la vulnérabilité des espèces que les narrateurs et les personnages chassent, rencontrent ou côtoient. Bass met ainsi en œuvre un processus d’approche simultanément physique et scriptural qui permet non seulement de réinventer le mode descriptif, mais aussi de renouveler nos conceptions de l’animal et notre relation au monde non-humain. Cette étude de la représentation animalière dans les nouvelles de Bass tente ainsi de montrer comment la structure et la substance de l’écriture fictionnelle revêtent un rôle essentiel, éthique, politique et idéologique, au sein d’un combat éminemment militant et écologiste<br>This dissertation examines the manner in which the ways of being of animals have a shaping influence on the writing of Rick Bass’s short stories. The animals’ elusive presence, muteness, silent suffering, and capacity for regeneration challenge the writing and renew it. Indeed, far from trying to intellectually capture the worlds of animals with language, Bass creates some coincidence between his discourse and the “styles” of animals. The descriptive traces, surprising images, and rhythmic or sound variations make the reader feel the presence of animals and transcribe the otherness and the vulnerability of the species that Bass’s narrators and characters hunt, meet, or live with. Rick Bass thus creates a scriptural and physical approach that allows him to redefine the descriptive mode and to reinvent the relations between man and the nonhuman world. This study of the representation of animals in Rick Bass’s short stories thus tries to show how the structure and the substance of fictional writing play an essential role at the ethical, political and ideological levels in an outstandingly activist and environmental fight
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Vadnais, Christiane, and Christiane Vadnais. "Mécanique de la nuit suivi de Narration et imagination environnementale dans"Les larmes de saint Laurent" de Dominique Fortier." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37624.

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Abstract:
Tableau d'honneur de la FÉSP<br>Tableau d'honneur de la FÉSP<br>Ce mémoire de recherche-création se divise en deux parties. La première, Mécanique de la nuit, est un recueil de nouvelles oniriques qui aborde la confrontation entre l’humain et la nature en mettant en scène des catastrophes naturelles, des animaux sauvages, des parasites, etc. Les textes se structurent par des échos entre les personnages et les lieux. Ils sont portés par une voix narrative qui raconte les histoires à la troisième personne et disserte sur la notion de rêve dans une perspective scientifique. La seconde partie s’intitule Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. Elle analyse la place de la narration dans la poétique de cette oeuvre éclatée pour ensuite en étudier la portée d’un point de vue écocritique. De cette façon, elle vise à dégager la contribution potentielle d’une narration atypique au renouvellement de l’imaginaire environnemental contemporain.<br>Ce mémoire de recherche-création se divise en deux parties. La première, Mécanique de la nuit, est un recueil de nouvelles oniriques qui aborde la confrontation entre l’humain et la nature en mettant en scène des catastrophes naturelles, des animaux sauvages, des parasites, etc. Les textes se structurent par des échos entre les personnages et les lieux. Ils sont portés par une voix narrative qui raconte les histoires à la troisième personne et disserte sur la notion de rêve dans une perspective scientifique. La seconde partie s’intitule Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. Elle analyse la place de la narration dans la poétique de cette oeuvre éclatée pour ensuite en étudier la portée d’un point de vue écocritique. De cette façon, elle vise à dégager la contribution potentielle d’une narration atypique au renouvellement de l’imaginaire environnemental contemporain.<br>This master thesis in creative writing is divided in two parts. The first one, Mécanique de la nuit, gathers dreamlike short stories about the conflict between human and nature. It stages natural catastrophes, wild animals, parasites, etc. The short stories are structured by echos between characters and places. They are told by an omniscient narrator who also talks about dreams in a scientific perspective. The title of the second part is Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. It talks about the role of narration in the novel poetic, and then analyses its scope with an ecocritic perspective. It aims to determine the potential contribution of an unusual narrative voice to the renewal of contemporary environmental imagination.<br>This master thesis in creative writing is divided in two parts. The first one, Mécanique de la nuit, gathers dreamlike short stories about the conflict between human and nature. It stages natural catastrophes, wild animals, parasites, etc. The short stories are structured by echos between characters and places. They are told by an omniscient narrator who also talks about dreams in a scientific perspective. The title of the second part is Narration et imagination environnementale dans Les larmes de saint Laurent de Dominique Fortier. It talks about the role of narration in the novel poetic, and then analyses its scope with an ecocritic perspective. It aims to determine the potential contribution of an unusual narrative voice to the renewal of contemporary environmental imagination.
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Beggour, Imad. "Littérature germanophone et catastrophe nucléaire (1945-1989) - une littérature de l'anthropocène ?" Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2024. http://www.theses.fr/2024ULILH019.

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Abstract:
Le présent travail est une étude en littérature sur la représentation de la catastrophe nucléaire dans la littérature germanophone entre 1945 et 1989. Cette thématique est mise en relation avec les débats actuels sur la nouvelle ère géologique de l'anthropocène. En effet, plusieurs géologues estiment qu'une des preuves les plus significatives du début de l'anthropocène réside dans l'utilisation du nucléaire à partir des années cinquante. En analysant des œuvres littéraires parues entre la fin de la Deuxième Guerre mondiale et la chute du mur de Berlin, ce travail s'efforce de traiter plusieurs questionnements. Il consiste à montrer les différentes manières dont la littérature aborde le thème de la catastrophe nucléaire. La question centrale est de savoir à quel point cette littérature et la représentation de la catastrophe nucléaire sont une première prise de conscience précoce de l'ère de l'anthropocène avant même l'émergence du terme au début des années 2000. La première partie de notre recherche souhaite montrer dans quelle mesure le récit catastrophique de l'anthropocène se manifeste dans cette littérature sur le nucléaire. Dans la deuxième partie, la question soulevée concerne le personnage du « dernier homme » (terme introduit par le philosophe Günther Anders) comme un personnage de l'anthropocène et un personnage central de la littérature qui s'attache à la question du nucléaire. Se basant sur les thèses de Günther Anders, la dernière partie questionne l'existence, dans le corpus retenu, de la critique de l'anthropocentrisme de l'homme, démontrant que le raisonnement d'Anders contribue à enrichir ce narratif de la catastrophe. L'objectif de cette étude n'est pas de montrer qu'une littérature de l'anthropocène n'a pas existé avant 1945 mais bel est bien de prouver que la littérature sur l'utilisation du nucléaire est par excellence une littérature de l'anthropocène<br>The present work is a study of literature on the theme of nuclear power, with particular reference to the representation of nuclear catastrophe in German literature from 1945 to 1989. This theme is linked to current debates on the new geological era of the Anthropocene. Indeed, many geologists assume that one of the most significant signs of the onset of the Anthropocene is the use of nuclear power from the 1950s onwards. By analysing literary works published between the end of the Second World War and the fall of the Berlin Wall, this work seeks to address several issues. It shows the different ways in which literature deals with the theme of nuclear catastrophe. The central question is to what extent this literature and the representation of nuclear catastrophe represent an early awareness of the Anthropocene era, even before the emergence of the term in the early 2000s. The first part of our research aims to show the extent to which the catastrophic narrative of the Anthropocene manifests itself in this nuclear literature. In the second part, the question raised concerns the character of the “Last Man” (a term introduced by the German philosopher Günther Anders) as a figure of the Anthropocene and a central figure in the literature that focuses on the nuclear issue. Based on the theses of Günther Anders, the final part questions the existence, in the selected corpus, of the critique of man's anthropocentrism, demonstrating that Anders' reasoning contributes to enriching this narrative of catastrophe. The aim of this study is not to show that a literature of the Anthropocene did not exist before 1945, but rather to prove that the literature on the use of nuclear energy is par excellence a literature of the Anthropocene
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Bouttier, Sarah. "L'écriture du non-humain dans la poesie de D.H Lawrence." Thesis, Paris 3, 2011. http://www.theses.fr/2011PA030186/document.

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Abstract:
Chez D. H. Lawrence, le non-humain correspond à la fois à une forme de vitalité primordiale et aux créatures végétales et animales que cette vitalité anime bien davantage que les hommes, étouffés par une civilisation moderne qui les rend inertes. Le non-humain apparaît comme le dépositaire d‘une présence pure, existant avant ou hors de la culture. Lawrence est donc confronté à la difficulté de représenter cette présence pure par un moyen intrinsèquement « humain », le langage poétique. Il ne se pose alors pas simplement en anti-humaniste : son écriture poétique du non-humain procède d‘un conflit permanent entre la volonté de se libérer du carcan humain et la nécessité de demeurer dans la sphère humaine, voire de réinstaurer la limite entre humain et non-humain. Ce conflit s‘exprime déjà dans le non-humain comme simple matière vivante, sous la forme d‘une tension entre une conception de la matière comme pure présence extérieure à tout discours humain et une vision de la matière comme objet scientifique par excellence. Dans l‘évocation des créatures, le conflit incite Lawrence à réinventer spécifiquement pour elles des rapports au monde (émotions, perception, agentivité) qui leur permettent de préserver leur présence. Dans le rapport de Lawrence aux créatures non-humaines, le conflit demeure car Lawrence remet en question la limite qui le sépare du non-humain mais la réaffirme également. Enfin, la dialectique entre la volonté de saisir la présence du non-humain et la crainte de l‘abstraire complètement en l‘incluant dans le langage semble particulièrement présente dans ce que nous tentons de définir comme un langage poétique propre au non-humain, au-delà de sa simple utilisation chez Lawrence<br>In D. H. Lawrence‘s poetry, the non-human is both a form of primordial vitality and the living world of non-human creatures. Non-human creatures are seen as more able to embody this vitality than modern men, stifled by their civilization. The non-human stands outside the sphere of culture, and its mode of existence is consequently an untouched, pure form of presence. Therefore, Lawrence faces the difficulty of representing this pure presence through an inherently ―human‖ means, poetic language. However, his stance is not entirely anti-humanist: his poetic writing of the non-human is founded on an unceasing conflict between the will to break free from the constraints of humanity and the necessity to remain within a human sphere, and even to reinstate the limit between human and non-human. In the representation of the non-human as mere living matter, this conflict is already manifest, taking the shape of a tension between matter as existing completely outside human discourse, and matter as a scientific object par excellence. When Lawrence evokes the creatures, this conflict brings about a reconfiguration of specific non-human modes of being in the world (emotions, perception, agency), which allow the creatures to interact with each other without diminishing or abstracting their presence. In the poet‘s own relationship with the non-human creatures, the conflict appears again as Lawrence questions the limit between human and non-human while reinstating it. At last, the dialectic between a will to capture non-human presence and the fear of abstracting it when including it within the sphere of language seems particularly present in what we have attempted to establish as a poetic language specific to the representation of the non-human, in Lawrence and other poets
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Boulard, Anaïs. "Un monde à habiter : imaginaire de la crise environnementale dans les fictions de l'Anthropocène." Thesis, Angers, 2016. http://www.theses.fr/2016ANGE0005/document.

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Abstract:
Certains géologues s’accordent à dire que l’Holocène, l’ère géologique d’environ dix mille ans dans laquelle nous nous situons, a laissé sa place à l’Anthropocène, nouvelle couche géologique caractérisée par l’empreinte irréversible de l’activité humaine sur le monde. Cette hypothèse scientifique est corroborée par la crise environnementale qui frappe le monde contemporain et qui met désormais en doute les possibilités de survie de la planète et donc de l’humanité. Depuis quelques décennies, la culture nord-occidentale s’empare de cette réalité anxiogène en la représentant à travers des scénarios fictifs. Ces représentations, diverses et nombreuses, constituent un véritable imaginaire social de la crise environnementale. Cette étude se concentre sur cette représentation plus particulièrement en littérature. Il s’agit d’interroger, à travers l’analyse comparative de huit romans nord-occidentaux (de France, du Canada et des États-Unis), désignés comme des « fictions de l’Anthropocène », comment les œuvres fictives contemporaines participent de l’imaginaire social de la crise environnementale. Ces œuvres reprennent des motifs communs, comme la pollution ou le réchauffement climatique, mais proposent aussi d’explorer des ailleurs fictifs permettant d’imaginer des futurs possibles pour un monde en danger. Elles montrent ainsi en quoi la crise environnementale est fondamentalement liée à notre façon d’habiter le monde. C’est donc une crise de l’humain qui est dévoilée par ces fictions, lesquelles révèlent, à travers une écriture travaillée et un imaginaire puissant, l’intérêt d’une approche spécifiquement littéraire des récits sur notre survie à l’heure de l’Anthropocène<br>Some geologists argue that the Holocene, our current geological epoch, has now been replaced by the Anthropocene, a new geological time characterized by the irreversible impact of human activity on Earth. This scientific hypothesis is substantiated in large part by the environmental crisis striking the contemporary world. The many ways our environment is declining force us to question the current chances for the planet, and thus humanity, to survive. In the last decades, many works within northern occidental culture have been reflecting this troubling reality through fictitious scenarios. This network of numerous and diverse representations participate in building a social “imaginary” (the French concept of “imaginaire”) of the environmental crisis.This study focuses on such representation in literature by comparing eight novels from France, Canada and the United States, deeming them as « fictions of the Anthropocene ». It investigates what, in fact, contemporary fictions contribute to the social imaginary of the environmental crisis. The works this study concentrates on use common themes such as pollution or global warming, but also elaborate fictitious scenarios which imagine possible futures for an endangered world. Such works depict how the environmental crisis is related to the way we, as humans, dwell in the world. Within this context, it becomes convincingly apparent that the current environmental crisis is profoundly affecting humans individually and collectively. The elaborate writing and the corresponding imaginary of these works confirm the relevance of literary narratives when considering the question of human survival in the Anthropocene
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Poupon, Frédéric. "Trois poètes du sauvage : Robinson Jeffers, Gary Snyder et Kenneth White." Thesis, Bordeaux 3, 2020. http://www.theses.fr/2020BOR30012.

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La poésie et l’écologie entretiennent des relations étroites que le discours scientifique écrase. Pourtant la poésie étoffe nos imaginaires. Aux États-Unis, Robinson Jeffers (1887-1962) célèbre dans des poèmes courts la beauté sauvage de la côte californienne. Après lui, un autre californien, Gary Snyder (1930-), installé dans les montagnes de la Sierra, poursuit une œuvre littéraire initiée aux débuts de la Beat Generation. Parce qu’il est un vrai montagnard, ses poèmes et ses essais interrogent ensemble les enjeux d’une écologie poétique. Pour Robinson Jeffers et Gary Snyder, le wild est une notion clef. Ils l’empruntent à H. D. Thoreau. Leurs œuvres littéraires sont tournées vers la vie « sauvage », la vie au grand air au contact des bêtes, des pierres, des hommes. Existe-t-il en France et en Europe une telle tradition poétique ? L’écrivain Kenneth White (1936-), né en Écosse, est un poète français de langue anglaise qui représente cette école littéraire. White la nomme « géopoétique ». Son entreprise littéraire est résolument tournée vers les espaces géographiques et naturels, et vers les livres qui les célèbrent. White est un chaînon pour articuler dans une approche comparatiste une poésie engagée dans le refus de l’envahissement total du Terrestre. En étudiant le rapport des poèmes à l’espace (première partie) nous avons observé qu’ils s’inscrivaient dans une histoire de la poésie américaine, où les figures d’Ezra Pound, de Charles Olson et de William Carlos Williams dominent. Cette inscription procède de choix esthétiques qu’il convient d’observer et de distinguer (deuxième partie). Or, les poèmes de Jeffers, Snyder et White révèlent qu’une poésie soucieuse d’écologie mène à une écologie de la poésie : celle-ci naît dans des lieux, se développe dans un climat, comme une plante sauvage, une bête, un Indien, un moine Japonais ou un vacher américain. L’oïkos de la poésie, c’est la Terre ; et la vocation de la poésie sauvage est de proposer une vie nouvelle, peut-être une paideia sauvage (troisième partie)<br>Poetry and ecology enjoy a deep relation relationship with scientific discourse usually thwarts. Yet, poetry expands our imaginary powers. In the United States, Robinson Jeffers (1887-1962) sings of the wild beauty of the Californian coast in his short poems. Following in his steps, another Californian, Gary Snyder (1930-), settled in the Sierra mountains, pursues a literary oeuvre he started at the beginning of the Beat Generation. Being a true man of the mountains, his poems and essays question the issues raised by a poetical ecology. For Robinson Jeffers and Gary Snyder, “the wild” is a key notion, descending from H. D. Thoreau. Their literary works deal with life “in the wilderness”, life in the open air, in proximity with beasts, rocks, and men. Do France and Europe have such a poetical tradition? Writer Kenneth White (1936-), born in Scotland, is a French poet writing in English who is part of this literary school, which he calls “geopoetics”. His literary enterprise is most definitely oriented towards the natural, geographical spaces and the books that celebrate them. White is a link that allows the fitting of a poetry that refuses to be totally invaded by that which is entirely Terrestrial, in a comparatist approach. By studying the rapport between poems and space (Part I), we have found that they were in line with an American poetry history, where such figureheads as Ezra Pound, Charles Olson and William Carlos Williams are dominant. These three poets make aesthetic choices we must examine and distinguish between (Part II). As it happens, Jeffers’, Snyder’s and White’s poems reveal that a form of poetry that cares about ecology leads to an ecology of poetry, born in specific loci, developing in a specific climate, just as wild plant, a beast, an Indian, a Japanes monk or an American cowboy would. Poetry’s oïkos is the Earth ; the call of wild poetry is to offer new life – a wild paideia, perhaps (Part III)
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Brito, Luciano. "Les Mondains sauvages ˸ formes de l'apprentissage urbain au vingtième siècle (Proust, Lins, Naipaul, Oates, Bolaño)." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCA127.

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Abstract:
Écrites dans le vague souvenir des romans d’apprentissage du début de l’ère industrielle, les œuvres de Marcel Proust, Osman Lins, Vidiadhar Surajprasad Naipaul, Joyce Carol Oates et Roberto Bolaño reviennent avec mélancolie à une question qui marque la modernité : comment tracer l’histoire de l’arrivée dans une grande ville ? À la Recherche du temps perdu et Blonde examinent des rituels mondains au sein des capitales transformées par la guerre. L’absence d’ordre produit des fils énigmatiques, à l’image du kaléidoscope, de la spirale, du labyrinthe et de la cité de sable, ces dispositions s’appliquant à l’écriture de l’espace urbain et du récit qui y conduit. L’Énigme de l’arrivée les relie aux problématiques de la migration, de la langue mondiale et de l’empire multiculturel qui se consolide dans la deuxième moitié du XXe siècle. L’œuvre de Lins fait converger l’urbanité, l’ésotérisme et des mondanités intellectuelles : l’imitation, la citation, la bibliographie. L’urbain devient une satire chez Bolaño : ses arrivistes et ses carriéristes, qui sont des poètes et des professeurs de littérature, appartiennent à la famille des meurtriers de masse. La nostalgie du roman d’apprentissage urbain, désormais sous le signe du regret, demande une réévaluation intégrale. Alors que la métaphore végétale indique des processus stylistiques de décomposition qui joignent la désurbanisation et l’émergence de la vie de l’esprit, l’écriture des plantes peut conduire plus largement à de nouvelles possibilités d’individuation, moins motivées par la pulsion mondaine qui caractérise les récits capitalistes, et plus discrètement marquées par l’inscription non instrumentale et involontaire, autrement violente, dans la nature<br>Written with the vague memory of the novels of formation of the beginning of the industrial era, the novels of Marcel Proust, Osman Lins, Vidiadhar Surajprasad Naipaul, Joyce Carol Oates and Roberto Bolaño return with melancholy to a question that has marked modernity: how do we record the story of the arrival in a big city? In Search of Lost Time and Blonde examine the worldly rituals at the heart of the capitals transformed by war. The absence of order produces enigmatic forms: in the image of the kaleidoscope, the spiral, the labyrinth and the city of sand, these forms arrange the writing of the urban space and the narrative that leads into it. The Enigma of Arrival links those processes to the problematics of migration, global language and the multicultural empire that has taken shape during the second half of the twentieth century. The work of Lins brings together urbanity, esoterism and elements of intellectual worldliness: imitation, quotation, bibliography. The urban becomes a satire in Bolaño: his arrivistes and his careerists, who are poets and teachers of literature, belong to the family of mass murderers. The novel of urban formation, now available only as a lost object, a target for nostalgia under the sign of regret, merits thorough reevaluation. Seeing that the vegetal metaphor points to stylistic processes of decomposition that bring together de-urbanization and the emergence of the life of the mind, the writing of plants may lead to new possibilities of individuation, less motivated by the worldly pulsion that characterizes capitalistic narratives, and bearing more discreet traces of the non-instrumental and involuntary, more violent inscription into nature
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Barreiro, Jiménez David. "La construction d’un imaginaire environnemental dans trois romans hispano-américains : la Vorágine (1924), Los pasos perdidos (1953), La casa verde (1965) : une étude écopoétique." Electronic Thesis or Diss., Paris 10, 2019. http://www.theses.fr/2019PA100145.

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Abstract:
Depuis les Indépendances et jusqu’à la moitié du XXe siècle, la littérature latino-américaine a eu la nature comme source d'inspiration. Cette présence de l’environnement naturel apparaît dans différents courants et concepts comme la novela de la tierra. C’est dans ce cadre qu’apparaissent les novelas de la selva, principalement autour des bassins de l’Orénoque et de l’Amazone. Nous avons choisi comme grille d'analyse de notre corpus ( La Vorágine (1924), Los pasos perdidos (1953) et La casa verde (1965), l'écocritique, outil théorique peu utilisé dans l'aire hispanophone. À partir de trois tropes écologiques (destruction, préservation et soutenabilité) et d’un cadre théorique qui remet en question le concept classique du rapport Nature/Culture (basé notamment sur les travaux de Philippe Descola et Bruno Latour), nous nous interrogeons sur la pertinence de l’analyse écocritique dans le cadre d’une relecture de ces trois fictions, à l'aune d'une nouvelle sensibilité : l'écologie<br>Since the Independences and until the middle of the 20th century, Latin American literature was largely consolidated in the wake of its relationship with nature. Different currents and concepts such as novela de la tierra are anchored in this relationship. It is in this context that the novelas de la selva appear, mainly in the area around the Orinoco and Amazonian basins. We have based our work on an ecocritical analysis of La Vorágine (1924), Los pasos perdidos (1953) and La casa verde (1965), a framework that is not frequently used in the Spanish-speaking area. Through the study of three ecological tropes (destruction, preservation and sustainability) and a theoretical framework that challenges the classic concept of the Nature/Culture relationship (based in particular on the work of Philippe Descola and Bruno Latour), we will examine the relevance of ecocritical analysis as far as those three novels are concerned, in the light of a growing awareness for ecology<br>Desde las Independencias y hasta la mitad del siglo XX, la literatura latinoamericana ha tenido la naturaleza como fuente de inspiración. Diferentes corrientes y conceptos como novela de la tierra se basan en esa relación. Es en este marco aparecen las novelas de la selva, principalmente alrededor de la cuenca de Orinoco y del Amazonas. Nuestro trabajo se basa en un análisis de La Vorágine (1924), Los pasos perdidos (1953) y La casa verde (1965), desde un punto de vista ecocrítico, corriente teórica aun hoy poco utilizada en el ámbito hispano. A partir de tres tropos ecológicos (destrucción, preservación y sostenibilidad) y con la ayuda de un marco teórico que cuestiona el concepto clásico de la relación Naturaleza/Cultura (basado en los estudios de Philippe Descola y Bruno Latour), vamos a interrogarnos sobre la pertinencia de un análisis ecocrítico en el contexto de una relectura de estas tres novelas, a la luz de una nueva sensibilidad: la ecología
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Ordóñez, Díaz Leonardo. "La selva contada por los narradores : ecología política en novelas y cuentos hispanoamericanos de la selva (1905-2015)." Thèse, 2016. http://hdl.handle.net/1866/18455.

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Abstract:
La forêt a été, et reste encore, un sujet clé de la littérature hispano-américaine. Ce travail étudie les images de la forêt dans le roman hispano-américain du dernier siècle, tout en mettant l’accent sur l’analyse d’ouvrages dont l’action se situe dans la forêt amazonienne, le milieu sylvestre latino-américain par excellence. Quelles sont les visions de la forêt qui priment dans la production narrative ? Comment la crise écologique mondiale a-t-elle influencé les manières de « raconter la forêt » ? De quelle façon reflètent-elles la tournure prise par la situation environnementale aujourd’hui ? Quelles sortes de rapports entre les sociétés humaines et les écosystèmes forestiers sont représentés dans ces ouvrages ? Quelle est la participation des peuples autochtones dans les faits racontés ? Et celle des animaux, des plantes et d’autres entités non humaines ? Est-ce que les œuvres expriment des notions de « nature » et de « culture » différentes de celles de l’Occident moderne, ou des besoins et regards différents de ceux des humains ? Pour trouver une réponse à ces questions, le travail se focalise sur quatre sujets clés de la production romancière : la construction d’une conscience historique des images de la nature, les rapports entre les peuples de la forêt et les colonisateurs occidentaux, la vision de la forêt comme un écosystème complexe et fragile, et la quête de façons coopératives de bâtir notre relation avec l’environnement. Bien que la méthodologie choisie favorise les outils de l’écocritique et de l’écologie politique, le travail s’appuie aussi sur l’essor récent de la philosophie environnementale, la biogéographie des forêts tropicales et l’anthropologie culturelle. Par le truchement d’une telle approche, nous misons sur la possibilité d’ouvrir une plateforme de dialogue entre la critique littéraire et d’autres champs du savoir. L’objectif est d’utiliser les textes littéraires comme des fenêtres pour explorer la dimension environnementale de la condition humaine, en fournissant des idées et des points de vue féconds pour les débats actuels autour du changement de paradigme qu’il faut opérer afin que la civilisation humaine soit capable de créer un nouveau rapport, symbiotique et non simplement extractif, avec les écosystèmes naturels.<br>The forest has been, and remains, a key theme in Hispanic American literature. This research examines images of the forest in the Hispanic American narrative of the last century, stressing the analysis of works of writing set in the Amazon rainforest, Latin America’s quintessential natural setting. What are the most common imaginaries of the rainforest in this narrative production? What impact has the global ecological crisis had on different ways of “narrating the forest”? What types of relationships between human societies and rainforest ecosystems are represented in this corpus? What environmental and ecological problems are thematized in the texts? What role do Indigenous peoples play in the stories? And what role do animals, plants, and other nonhuman entities play? Do these works give a voice to notions of “nature” and “culture” that are different from Western ones? Do they give a voice to needs and perspectives that are different from human ones? To answer these questions, my work delves into four key issues of canonical rainforest narratives: the cultural perceptions of a tropical rainforest setting, the relationships between Indigenous peoples and settlers, the development of a historical consciousness of images of nature, and the search for new forms of relating to the natural environment. Although the proposed methodology favors the tools of ecocriticism and political ecology, the work also draws on current developments in environmental philosophy, rainforest biogeography, and cultural anthropology. By means of such an interdisciplinary approach, my work seeks to create a suitable setting for dialogue between literary criticism and other areas of knowledge. Ultimately, I aim to use these chosen literary texts as a window to exploring the human condition’s environmental dimension, providing ideas and viewpoints that could contribute to building a distinct, symbiotic and not merely extractive relationship between human societies and natural ecosystems.<br>La selva ha sido, y sigue siendo, un tema central de la literatura hispanoamericana. Este trabajo estudia las imágenes de la selva en la narrativa hispanoamericana durante el último siglo, enfatizando el análisis de obras cuya acción se sitúa en la selva amazónica, el entorno natural latinoamericano por excelencia. ¿Cuáles son los imaginarios de la selva más comunes en la producción novelística y cuentística? ¿Cuál ha sido el impacto de la crisis ecológica global en las formas de «contar la selva»? ¿Qué tipos de relación entre las sociedades humanas y los ecosistemas selváticos aparecen representados en estas obras? ¿Qué problemas ambientales y ecológicos son tematizados en ellas? ¿Qué papel desempeñan en los hechos narrados las poblaciones autóctonas? ¿Y cuál desempeñan, a su vez, los animales, las plantas y otras entidades no-humanas? ¿Las obras le dan voz a nociones de «naturaleza» y «cultura» distintas a las de Occidente, o a necesidades u ópticas distintas a las de los humanos? Para responder estas preguntas, el trabajo profundiza en temas claves del canon de las narrativas de la selva, como las percepciones culturales del ambiente selvático, las relaciones entre los pobladores indígenas de la selva y los colonizadores, el desarrollo de una conciencia histórica de las imágenes de la naturaleza y la búsqueda de nuevas formas de relación con el entorno ambiental, entre otros. Si bien la metodología escogida privilegia las herramientas del ecocriticismo y la ecología política, el trabajo se apoya igualmente en desarrollos recientes de la filosofía ambiental, la biogeografía de las selvas tropicales y la antropología cultural. Mediante este enfoque pluridisciplinar, el trabajo procura abrir un escenario de diálogo fecundo entre la crítica literaria y otras áreas del conocimiento. El objetivo último es aprovechar los textos literarios seleccionados como una ventana para explorar la dimensión ambiental de la condición humana, proveyendo ideas y puntos de vista que contribuyan en la construcción de una relación distinta, simbiótica y no simplemente extractiva, entre las sociedades humanas y los ecosistemas naturales.
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