Academic literature on the topic 'Éducation aux médias – France – Cas, Études de'

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Journal articles on the topic "Éducation aux médias – France – Cas, Études de"

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Barthes, Angela, and Sylviane Blanc-Maximin. "Quelles évolutions de l’école française face à l’éducation au patrimoine?" Revue des sciences de l’éducation 43, no. 1 (November 21, 2017): 85–115. http://dx.doi.org/10.7202/1042075ar.

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Abstract:
Au cours des deux dernières décennies, l’école française connaît plusieurs évolutions dont celles liées à l’émergence deséducations à. Notre analyse porte sur les modalités d’évolution de la forme scolaire vues à travers des études de cas d’éducation au patrimoine local dans les écoles primaires publiques françaises. La méthodologie comprend une analyse diachronique effectuée par questionnaires avant et après les projets sur un échantillon de 90 élèves âgés de 10 à 12 ans répartis dans cinq écoles du sud-est de la France. Elle est complétée par des entretiens qui identifient le sens accordé par les enseignants à cette éducation au patrimoine et par l’étude du discours des concepteurs des projets pédagogiques. Une analyse des travaux d’élèves permet le repérage des savoirs et capacités des élèves préalables et acquis. Les résultats montrent la présence de savoir-faire, de savoirs locaux, mais peu de liens créés avec les savoirs scolaires et une absence de réflexion critique sur la notion de patrimoine. Ils alimentent une réflexion sur la légitimité des savoirs liés aux particularismes locaux, puis sur les valeurs et finalités qui sous-tendent leur mise en oeuvre. Ces travaux permettent d’avancer une réflexion sur les évolutions de la forme scolaire face auxéducations à.
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Martig, Alexis. "Esclavage contemporain." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.085.

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Abstract:
Depuis la fin du XXe siècle, on assiste à un usage récurrent et de plus en plus fréquent de la notion d’esclavage moderne par tout un ensemble d’acteurs sociaux et politiques : organisations non gouvernementales, associations, organisations internationales, médias, gouvernements nationaux… Selon l’Organisation internationale du Travail, il s’agit d’un phénomène touchant plus de 25 millions de personnes et qui génère 150 milliards de dollars de profits annuels illégaux. Face à ce constat, un certain nombre de disciplines (sociologie, économie politique, études des migrations, droit, histoire) en ont fait un objet propre, tentant quelquefois de le définir (Bales 1999) et, parlant d’esclavage moderne ou d’esclavage contemporain, certains ont été jusqu’à évoquer l’émergence d’un nouveau champ d’études : lesContemporary Slavery Studies (Brysk et Choi-Fitzpatrick 2012). Comment expliquer le fait que l’anthropologie contemporaine a quant à elle jusqu’alors produit peu de réflexions sur le sujet ? Le premier élément de réponse a trait à la nature même de l’analyse anthropologique, qui la distingue des autres disciplines des sciences humaines et sociales, et qui considère avant tout les notions émiques mobilisées par les sujets. Dans le cas de l’esclavage moderne, on est face à une notion éminemment politisée et utilisée avant tout par des acteurs associatifs, institutionnels ou médiatiques pour décrire les conditions de travail ou d’exploitation d’autres sujets souvent associés au passage au registre des « victimes ». Ce n’est que depuis très récemment qu’on assiste à l’usage de la notion par les sujets eux-mêmes pour dénoncer leurs conditions de travail, sans doute sous l’effet de sa banalisation dans les discours des acteurs de la lutte contre l’esclavage moderne. L’apparition et la dissémination de cette notion chez les acteurs sociaux et politiques ne sont cependant pas sans intérêt pour l’anthropologie. Elles sont notamment révélatrices de ce que Didier Fassin a qualifié d’« économie morale de notre temps » et de « nouvel ordre moral » mondial (2005) : il s’agit de cette économie morale globale constituée autour de nouveaux intolérables moraux inhérents aux droits de l’homme et à l’invention de la catégorie anthropologie d’humanité dans le contexte postérieur à la Seconde Guerre mondiale. La condamnation morale globale de l’esclavage moderne en est un exemple parfait. Les discours qui la constituent expriment et visent à générer une indignation, tout en ayant fréquemment recours aux registres des « victimes », de la « vulnérabilité » et de « la traite » avec pour effet de nier l’agencéité des sujets en faisant disparaître leurs trajectoires de vie et leurs motivations spécifiques. Comme l’a montré l’anthropologue américaine Alicia Peters (2015), si politisée que soit cette notion, rien n’empêche l’anthropologie de s’en saisir comme objet en étudiant notamment les jeux d’acteurs au cœur des plans de lutte qui en découlent. Peters a ainsi montré comment, aux États-Unis, la moralisation du travail du sexe et de la prostitution forcée a eu pour effet de rendre invisibles ou illégitimes la majorité des cas de traite humaine qui touchent d’autres secteurs : agriculture, usines, restaurants, sphère domestique… Cette moralisation et surreprésentation du travail du sexe et de la prostitution forcée dans la lutte contre l’esclavage moderne, assimilée à la traite d’êtres humains (human trafficking), est caractéristique des pays développés. Le deuxième élément de réponse touche au caractère fourre-tout d’une notion générique qui renvoie à tout un ensemble de situations hétérogènes situées dans des contextes sociaux, historiques et culturels extrêmement différents et dont la complexité, les spécificités et les nuances sont reléguées au second plan dans les discours politiques. En fonction des acteurs, l’esclavage moderne désigne des cas de : mariage forcé, travail forcé, travail infantile, enfants soldats, camps de travail, exploitation sexuelle… et ce, sur toute la planète… Mais pour saisir les spécificités et la complexité des cas étudiés, il faut aussi considérer les formes socioculturelles légitimatrices de la servitude ou de l’esclavage, de son acceptation ou de sa tolérance et les formes de régulation de la domination inhérentes : formes de parrainage, dettes, processus d’altérisation infériorisants… Si les situations dénoncées ont émergé ou ont évolué à partir de formes passées dans un contexte global de précarisation des conditions de travail, et en ce sens sont bien des phénomènes contemporains, il est pour autant impossible de les penser en faisant abstraction de la mémoire des régimes d’esclavages précédents et notamment de l’esclavage transatlantique. Il faut à ce titre distinguer les réflexions sur l’esclavage moderne, du grand nombre d’études anthropologiques sur les descendants d’esclaves, la mémoire de l’esclavage ou les problématiques de réparation. Comme l’a fait remarquer Roger Botte (2005), l’esclavage a toujours été pluriel. Il faut cependant reconnaître que l’une des caractéristiques de l’époque contemporaine est bien celle de la disparition progressive, depuis les abolitions de l’esclavage en tant que statut officiel. C’est en ce sens qu’Alain Morice, au sujet de travailleurs temporaires marocains en France, a utilisé l’expression d’« esclavage métaphorique » (2005), en opposition à l’esclavage historique. Derrière cette distinction s’en cache une autre qu’il est capital de saisir pour comprendre les enjeux des situations qualifiées d’esclavage moderne et leur analyse anthropologique : celle des conditions d’esclavageet dustatut d’esclave. Dans une analyse très intéressante entre un cas d’esclavage domestique en France en 2013 avec un cas d’esclavage datant du début du XIXe siècle, l’historienne Rebecca Scott (2013) attire l’attention sur le fait que, statut officiel ou non, les conditions des situations dénoncées sous l’expression d’esclavage moderne peuvent être identiques à celles de régimes d’esclavage passés. L’attention portée à la nature des conditions est intéressante car elle vient souligner que, s’il est important de conserver une distance face à un discours institutionnel et politisé, il n’en demeure pas moins que dans certains cas l’esclavage n’est pas que métaphorique… Une autre caractéristique liée à la disparition du statut est le fait que les situations observées sont très souvent temporaires, pour des raisons de coûts économiques et dans le but d’éviter de possibles contrôles. Plusieurs auteurs ont, de manière distincte, mis en avant que l’esclavage moderne n’est pas fondé de manière absolue sur des critères raciaux, mais sur des critères inscrits dans des rapports de production (Botte 2005 ; Bales 1999). Comme le fait justement remarquer Julia O’Connell Davidson (2015), si cela est pertinent, il ne faut pas pour autant perdre de vue que la majorité des populations concernées se trouvent dans d’anciennes colonies ou émigrent de celles-ci vers les pays développés. Si la race n’est donc pas l’élément premier à l’origine des formes d’exploitation, celles-ci s’inscrivent pour autant dans une division internationale du travail racialisée et genrée telle que décrite par la sociologie décoloniale, et Ramon Grosfoguel (2014) notamment. À ce sujet, il est intéressant de souligner certaines dynamiques de cette division internationale du travail qui distinguent les formes d’esclavage moderne dans les pays développés et les pays en développement. Dans les premiers, les cas concernent principalement des migrants légaux ou illégaux confrontés à des politiques migratoires qui les vulnérabilisent structurellement. Dans les pays en développement, il s’agit majoritairement et massivement de citoyens nationaux, protégés normalement par ailleurs par les droits associés à leur citoyenneté. La question de l’esclavage moderne se pose alors en termes d’anthropologie des droits associés à la citoyenneté, et de leur performativité, en s’intéressant aux manières dont les critères symboliques à la base de la construction de ces citoyens en tant qu’alter inégaux ont tendance à normaliser la négation de leurs droits comme dans le cas des travailleurs ruraux au Brésil, ou encore des intouchables en Inde, etc. S’ajoutent à cela les exclus des nations issues de la colonisation – là où d’anciens empires ont laissé la place à des nations aux frontières dessinées par les colons –qui constituent une main-d’œuvre potentielle, comme dans la zone située entre la Thaïlande et la Birmanie (Ivanoff, Chantavanich et Boutry 2017). L’un des enjeux spécifiques de la réflexion anthropologiques touche à la méthode d’investigation de la discipline : l’enquête de terrain. Pour la plupart des cas, ou du moins les plus extrêmes, il est quasiment impossible d’accéder aux terrains en question pour y pratiquer une forme d’observation participante. Les difficultés d’accès s’apparentent à celles des terrains de guerre, de combats, de prostitution, de camps de travail forcé, etc. Les recherches de terrain consistent donc le plus souvent à rencontrer et accompagner les sujets postérieurement aux situations pour réaliser avec eux des entretiens. Quand cela est possible, car comme le souligne l’anthropologue Denise Brennan, auteurede Life Interrupted: Trafficking into Forced Labour in the United States, s’entretenir au sujet d’une expérience souvent traumatisante n’est pas non plus sans difficultés ou sans poser de questions quant au rôle de l’anthropologue et de la nature de sa relation avec les sujets du terrain (Brennan 2014). L’un des autres enjeux des analyses anthropologiques, dans des contextes prononcés de vulnérabilité structurelle et face aux processus de subalternisation des sujets par le biais des discours institutionnels, est de faire ressortir l’agencéité des sujets. L’anthropologie, dans sa tendance à replacer les situations étudiées dans les trajectoires de vie des sujets et à donner la parole à ces derniers, possède un avantage certain sur d’autres disciplines pour donner à voir leur agencéité sans perdre de vue pour autant les contraintes structurelles auxquelles ceux-ci font face. L’engagement volontaire de sujets dans la prostitution, de manière temporaire (ou non), pour améliorer leur quotidien matériel, d’enfants au travail malgré leur âge mineur, la migration illégale volontaire par l’intermédiaire de passeurs, la fuite, l’usage des compétences linguistiques ou une volonté de travailler plus dur que les autres, etc., sont autant d’exemples d’agencéité des sujets. Plutôt que de négliger de prendre en considération l’esclavage moderne à cause de son caractère institutionnalisé et sa nature protéiforme, il me semble que l’anthropologie et son regard critique ont un rôle à jouer pour mettre en lumière la complexité des différentes dimensions de ce phénomène et leur enchevêtrement : une économie morale globale, une économie néolibérale précarisant les conditions de travail et une division internationale du travail racialisée, genrée et hiérarchisée entre les pays développés et en développement. Pour ce faire, et apporter une plus-value heuristique, les analyses anthropologiques sur l’esclavage moderne devront s’ancrer dans le contemporain et repenser des catégories analytiques dichotomiques héritées du début des sciences sociales qui ne parviennent plus à rendre compte des situations étudiées : esclavage, liberté, travail libre et travail non libre, etc. Ces catégories ne permettent pas de penser le continuum de situations (allant de libres à non libres) de travail dans lequel les sujets évoluent dans le temps et l’espace, et dont les conditions peuvent, à une extrémité du continuum, être similaires à des régimes passés d’esclavage. C’est dans cet esprit qu’une des voies pour saisir la complexité du social et les dynamiques de ce phénomène si actuel est celle des « situations contemporaines de servitude et d’esclavage » (Martig et Saillant 2017). La notion de « situations » permet en effet de garder à l’esprit que l’objet étudié relève localement des spécificités sociohistoriques et culturelles considérées tout en se « situant » aussi dans le contexte économique, moral, politique et historique plus global : c’est l’articulation de ces différentes dimensions qui permettent de saisir la complexité du social. Enfin, penser en termes de situation a pour avantage de replacer l’expérience liée à l’esclavage moderne dans la trajectoire de vie plus large des sujets, et de saisir ainsi plus facilement leur agencéité. Il s’agit d’une proposition. D’autres voies verront sûrement le jour pour analyser un phénomène complexe qui, loin de disparaître, donne à voir les limites des mythes du travail libre et de la performativité des droits des sociétés démocratiques libérales contemporaines, et en appelle du coup à une anthropologie du contemporain.
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Dissertations / Theses on the topic "Éducation aux médias – France – Cas, Études de"

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Loicq, Marlène. "Médias et interculturalité : l'éducation aux médias dans une perspective comparative internationale (Australie, Québec, France)." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28807/28807.pdf.

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Kerneis, Jacques. "Analyse didactique et communicationnelle de l‘éducation aux médias : éléments d‘une grammaire de l‘incertitude." Rennes 2, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00451046/fr/.

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Abstract:
Notre travail de thèse vise à identifier la grammaire de l‟incertitude dans les situations didactiques. Notre corpus est constitué de séances d‟éducation aux médias filmées dans des classes de 4ème et 3ème au collège. Certaines sont des séances ordinaires et les autres ont été conçues dans le cadre d‟une ingénierie didactique coopérative. Ces séances sont analysées au sein de la TACD ou Théorie de l’Action Conjointe en Didactique. Nous mettons l‟accent sur sa dimension communicationnelle (sémiose) en nous appuyant sur l‟analyse comparative des postures énonciatives. Nous analysons l‟impact des objets médiatiques (ensembles rédactionnels dans la presse écrite, infographies) sur lesquels travaillent les élèves. Nous décrivons les jeux d‟apprentissage à l‟aide d‟un système de catégories théoriques. L‟incertitude et la réticence sont présentes depuis l‟origine dans la théorie didactique (contrat didactique et milieu) mais elles n‟ont jamais été étudiées spécifiquement. Nous établissons les différentes dimensions de cette incertitude, pour le professeur et pour l‟élève puis recherchons les liens existants avec la construction de certitudes. Nous postulons que l‟éducation aux médias se caractérise par un haut degré d‟incertitude et le risque d‟une construction dogmatique des savoirs par effet d‟influence du professeur et/ou des médias et non par une enquête rationnelle dans un milieu
Our thesis aims at identify a grammar of uncertainty in didactic situations. Our corpus is composed by media education lessons videotaped in Grade 8 and 9. Some are ordinary lessons and others were elaborated within a cooperative didactic design. These lessons are analyzed inside the JATD or Joint Action Theory in Didactics. We focus on communicational aspects (semiosis) and compare enunciative postures. We analyze the impact of media objects (editorial, info graphics) on which students work. Learning games are described using a system of theoretical categories. Uncertainty and reticence have been used in didactics theories (didactic contract and milieu) since the beginning but they have never been studied specifically. We define the different dimensions of uncertainty for the teacher and the students then we look for connections with the construction of certainty. Media education is characterized by a high degree of uncertainty and the risk of a construction of dogmatic knowledge through the teacher‟s and/or media influence instead of a rational inquiry
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Poulin-Mallet, Carine. "Les interactions entre démarches évaluatives et demandes sociales d'éducation : quelles perspectives pour les politiques éducatives locales ? : études de cas relatives aux C.E.L. en Haute-Garonne." Toulouse 2, 2005. http://www.theses.fr/2005TOU20050.

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Abstract:
Par leur caractère instituant, les demandes sociales d'éducation participent de l'évaluation des politiques éducatives locales. Les interactions entre ce type de demandes et le processus d'évaluation constituent un élément prédictif des évolutions de ces dernières. Le cadre spécifique du Contrat Éducatif Local offre un terrain d'investigation privilégié pour étudier le processus d'évaluation et rend compte de manière pertinente de ses relations avec les demandes sociales. La dimension empirique de ce travail est construite autour d'une expérience de terrain au titre de chargée d'étude, c'est pourquoi la base de nos investigations repose sur l'analyse et la réinterrogation de deux études de cas. Au travers de ce travail liant demandes sociales d'éducation et évaluation, la question des valeurs, du sens, de la place de l'éducatif, du social et du politique dans le projet éducatif local sera interrogée permettant de mener la réflexion autour de la dimension instituante de l'évaluation
By their character instituting, social questions of education participate of the valuation educative local policies. Interactions enters this type of questions and the progress of valuation constitute an element of evolutions prediction of those lasts. The specific frame of CEL gives a ground to privilege inquisition to study the process of valuation and gives back counts of pertinent manner of his relations with social questions. The empiric dimension of this work is built round an experience of ground, this is why bases her of our inquisitions lies on the analysis of two case-studies. Through this study binding social questions of education and valuation, the values question, of the sense, of the place of the educative, of the social ans of the policy in the educative local project will lie permetting to lead the reflection round the instituted dimension of the valuation
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Michon, Bruno. "La culture religieuse des adolescents en France et en Allemagne : des connaissances aux défis de l'exculturation, de la popularisation et de l'altérité." Strasbourg, 2011. http://www.theses.fr/2011STRA1030.

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Abstract:
Cette recherche sur la culture religieuse des adolescents français et allemands est une contribution à la sociologie des religions, des connaissances et aux sciences de l’éducation. Dans ce travail, nous cherchons à comprendre les modalités de construction d’un stock de connaissance sur les religions au sein d’une population dont on postule depuis les années 80 l’inculture religieuse. Après être revenu sur l’histoire du «topos» de la perte de culture religieuse et à l’aide d’une enquête qualitative et quantitative construite à l’aide des outils théoriques de la sociologie issue de la phénoménologie, nous avons étudié le «stock de connaissance» sur différentes religions antiques et contemporaines. Dans un premier temps, cette recherche nous a permis de révéler l’importance des connaissances informelles sur le sujet des religions. A l’encontre des idées traditionnelles sur la connaissance, les médias (télévision, Internet, jeux vidéo) et le groupe de pairs occupent une place au moins aussi importante que la famille ou l’école. Ce phénomène s’applique autant aux adolescents français que allemands. Dans un deuxième temps, nous avons constaté l’importance de la situation de pluralité religieuse dans l’acquisition de connaissances sur le religieux. Nous avons enfin cherché à approfondir le phénomène «d’exculturation» (éloignement de la culture française et allemande majoritaire du christianisme) à l’aide de celui de la popularisation (diffusion du marqueur religieux dans des sphères non religieuses)
In this work I aim at understanding the broad consensus on the topos of “the loss of religious knowledge among French teenagers”. The research begins with an historical study on this topos. Then, I discuss the issue of the modality of construction, among French and German teenagers, of a "stock of knowledge" about religion. Thanks to a qualitative and quantitative study conducted by means of phenomenological oriented sociology, I have studied the individual knowledge on five different religions : Christianity, Judaism, Islam, Buddhism, Hinduism. This research brings to light that informal knowledge (medium, peers group) plays a more effective role than formal knowledge (school, family) in the teenagers contructed ideas about religion, and that this phenomenon works for French teenagers as well as for the Germans. Further, this work reveals the importance of a situation of religious plurality for the acquisition of knowledge about religion. Lastly, I have tried to understand the phenomenon of exculturation (the dissociation of the French and German mainstream culture from Christianity) with the help of the concept of popularization (dissolution of the boundaries between religiously marked and unmarked communication)
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Zingraff-Vigouroux, Nadine. "Les politiques d'ouverture sociale des classes préparatoires aux grandes écoles : le cas d'un dispositif expérimental singulier, la C.P.E.S. (Classe Préparatoire aux Études Supérieures)." Thesis, Université de Lorraine, 2017. http://www.theses.fr/2017LORR0089/document.

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Abstract:
La mise en œuvre d'initiatives en faveur de la mixité sociale dans les classes préparatoires aux grandes écoles s'est largement développée depuis 2001. Des dispositifs expérimentaux d'ouverture sociale ont ainsi été lancés à l'initiative d'établissements prestigieux. Cette recherche présente dans un premier temps le système sélectif des classes préparatoires basé sur le principe de méritocratie, analyse les mécanismes de sélection sociale qui s'y opèrent et donne un éclairage sur le contexte national et international qui a contribué à mettre ce système en mouvement. Une réflexion est ensuite menée sur les enjeux de cette volonté récente d'ouverture sociale de l'accès aux filières élitistes puis sont examinés des dispositifs porteurs de solutions nouvelles en faveur de la diversité. Une enquête de terrain évalue la pertinence et l'efficacité de l'un d'entre eux créé en 2006 par le lycée Henri IV et repris depuis par d’autres établissements : la Classe Préparatoire aux Études Supérieures. Cette année de mise à niveau post-baccalauréat à destination d'élèves boursiers prometteurs souhaite remédier aux injustices sociales et culturelles produites en amont et lutter ainsi contre la forte reproduction sociale des classes préparatoires aux grandes écoles. Une analyse des données quantitatives et qualitatives recueillies auprès d'étudiants et de responsables de CPES est menée afin de vérifier si cette année de rattrapage a véritablement rempli sa mission en améliorant le parcours scolaire de jeunes boursiers à fort potentiel et s'il s'agit bien là d'une amorce de rétablissement de l'égalité des chances au sein du système éducatif
The implementation of initiatives in favour of social mix in the Classes Préparatoires aux Grandes Écoles has significantly developed since 2001. Thus, experimental strategies for social openness have been launched by prestigious schools. This research aims at presenting the Classes Préparatoires selective system which is based on meritocracy values, it then analyses the social selection mechanisms occurring in these classes and it also highlights the national and international situation which has contributed to setting up this system. The research then focuses on the stakes of this recent social openness desire concerning the access to elitist courses and on the measures that convey new answers in favour of this diversity. This study next examines a field survey assessing the relevance and effectiveness of one of these measures known as the Classe Préparatoire aux Études Supérieures (CPES). The CPES was created in 2006 by Lycée Henri IV and has then been reproduced in other schools. This one-year post-baccalauréat bridging course targeting promising scholarship students is aimed at finding a solution to social and cultural injustices and thus at fighting the strong social reproduction noticed in the Classes Préparatoires aux Grandes Écoles. An analysis of quantitative and qualitative information collected from students and from teachers in charge of the CPES is being carried out in order to check whether this one-year catch-up course has really been successful in improving the academic path of high-potential young scholarship students. This same analysis also checks whether the CPES actually is the starting point of restoring equal opportunities within the educational system
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Avenel, Céline. "Les choix d'orientation vers les études supérieures chez les filles comparativement aux garçons. Recherche sur la filière Médecine, massivement féminisée depuis vingt ans en France, avec le cas de Montpellier." Thesis, Montpellier 3, 2013. http://www.theses.fr/2013MON30074.

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Abstract:
La féminisation d’une filière de l’enseignement supérieur constitue un phénomène complexe en termes d’ajustements et de reconfigurations des pratiques et des choix des individus. Les conséquences d’un passage d’une situation non mixte à mixte ne peuvent s’observer uniquement sur une échelle uni-dimensionnelle. Le genre, en tant que rapport social sexué imbriqué dans un ensemble de rapports sociaux et identitaires, indissociables et constitutifs du processus d’orientation scolaire et professionnelle, forme un outil conceptuel pertinent à l’analyse des ajustements en termes de représentations (scolaires, professionnelles et sexuées). Cette thèse s’appuie sur des données quantitatives, issues d’une enquête par questionnaires auprès de lycéen-ne-s de terminales scientifiques, mais aussi sur des données qualitatives, issues d’un suivi longitudinal par entretiens auprès d’étudiant-e-s en faculté de médecine. L’objectif de cette thèse est d’analyser les conséquences du mouvement de féminisation des études de médecine en termes d’élaboration des projets d’avenir féminins et masculins dans le supérieur et en termes de projections professionnelles et personnelles sexuées. Notre recherche vise à participer à la compréhension des évolutions et des configurations complexes du principe de bi-catégorisation de sexe à travers l’orientation scolaire et professionnelle
The feminization of a field of higher education is a complex phenomenon in terms of adjustments and reconfigurations of individual practices and choices. The consequences of an evolution from a mixed-sex situation cannot be observed only on a one-dimensional scale. Gender, as a social report nested in a set of inseparable social identity reports constituting of educational and vocational guidance, represents a relevant conceptual tool for the analysis of adjustments in terms of perceptions (gender-based perceptions of career and orientation choices and professions). This thesis is based on the results of a survey by questionnaire of scientific students in secondary schools but also on qualitative data from a longitudinal study by interviews with students in medical studies. The aim of this thesis is to analyze the consequences of this feminization on medical studies in terms of educational and vocational guidance of both genders and in terms of personal projections. Our research aims to contribute to the understanding of evolution and complex configurations of the principle of bi-categorization of sex from educational and vocational guidance
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