Academic literature on the topic 'Éducation des filles – France – 18e siècle'

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Journal articles on the topic "Éducation des filles – France – 18e siècle"

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Ford, Philip. "An Early French Renaissance Salon: The Morel Household." Renaissance and Reformation 40, no. 1 (January 1, 2004): 9–20. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v40i1.8942.

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Abstract:
Dès la fin des années 1540, la famille de Jean de Morel accueillait dans sa maison de la rue Pavée à Paris les poètes et les humanistes les plus proéminents de la capitale: Nicolas Bourbon, Jean Salmon Macrin, Jean Dorat parmi les néo-latins; Joachim Du Bellay, Ronsard, Jean-Antoine de Baïf, pour ne citer que quelques-uns des poètes de langue vulgaire. Or, la femme de Morel, Antoinette de Loynes, et ses trois filles, Camille, Lucrèce et Diane, avaient toutes les quatre reçu une éducation humaniste, leur permettant non seulement de participer aux activités littéraires et humanistes de ce que l'on a appelé le premier salon en France, mais encore d'attirer l'admiration du monde cultivé de l'époque. En examinant la correspondance des membres de la famille ainsi que certains ouvrages imprimés, cet article se propose d'illustrer les relations que les membres de la famille ont entretenues avec les visiteurs du salon ainsi que les changements d'attitude qui ont eu lieu au cours du XVIe siècle à l'égard de l'éducation des jeunes filles.
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Dissertations / Theses on the topic "Éducation des filles – France – 18e siècle"

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Daniellou, Emmanuelle. "Les Enseignantes en Bretagne aux XVIIème et XVIIIème siècles : religion, éducation et société." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2005. http://www.theses.fr/2005STR20019.

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Abstract:
Malgré une faible alphabétisation des femmes en Bretagne sous l'Ancien Régime, l'éducation des filles est loin d'avoir été totalement abandonnée et elle s'inscrit pleinement dans le projet de la Réforme catholique. L'essor monastique du XVIIème siècle profita largement aux établissements scolaires. Les Ursulines, qui se sont rapidement implantées dans la province, s'imposent par leur vocation comme le modèle des enseignantes religieuses. Au service des plus pauvres dans leurs classes externes, elles offrent aussi des pensionnats pour les jeunes filles. Rares sont les congrégations ou ordres religieux n'ayant jamais proposé de pensionnats ou de classes gratuites pour les plus défavorisés. Aux côtés de ce puissant modèle religieux, émerge peu à peu au cours du siècle des Lumières un réseau de femmes laïques engagées dans l'instruction de la jeunesse. Parallèlement, les nouvelles communautés religieuses non soumises à la clôture se multiplient également au XVIIIème siècle, favorisant la diffusion d'un enseignement dans les campagnes. La fonction enseignante sous l'Ancien Régime se dégage comme une œuvre apostolique plus générale que la seule formation aux rudiments représentés par la lecture, l'écriture et le calcul. De plus, nous ne découvrons pas un système scolaire élitiste, mais proposant au contraire une grande diversité des lieux d'enseignement destinés à tous les milieux sociaux. La conception de l'éducation des filles constitue certainement l'obstacle majeur à une scolarisation plus répandue et à une alphabétisation systématique des jeunes filles sous l'Ancien Régime : les structures existent mais les mentalités freinent l'action des enseignantes. En effet, la scolarisation des filles s'inscrit prioritairement dans le cadre d'une formation religieuse à laquelle il n'est accordé que bien trop peu de temps pour acquérir une instruction même élémentaire
Although women were rarely taught to read and write in Brittany under the Old Regime, the education of girls was not totally ignored, it was even an importat factor of the Catholic Reform. The development of monasteries in the 17th century particularly helped educational establishmets. The Ursulin nuns who settled in the province were quickly perceived as being the ideal religious teacher because of their special vocation, educating the poor in classes during the day, and even boarding young girls. In fact a large majority of religious congregations and orders usually offered free education and boarding for the very poor. During the Age of enlightenment and parallel to this strong religious model, gradually emerged a movemet of lay women teachers for the young. And also several no-cloistered congregations were started in the 18th century thus promoting education in the rural areas. Teaching under the Old Regime appeared generally like apostolic work more than just giving access to the skills of reading, writing and arithmetic. Moreover it seems that education, far from being an elitist school system, offered a wide variety of schools open to young people from every class of society. Under the Old Regime, the popular opinion about educating girls was very certainly a major obstacle in systematically reaching all the girls to give them an education and to teach them to read and write : the structures existed but the mentality kept the teachers from attaining their objectives. Actually education for girls was limited to the time allotted for religious instruction which proved much too short to acquire even a minimum of reading and writing skills
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Picco, Dominique. "Les Demoiselles de Saint-Cyr (1686-1793)." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010566.

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Abstract:
Fondée en 1686 par Louis XIV sur les conseils de Mme de Maintenon, la maison royale de Saint-Louis établie à Saint-Cyr, au bout du parc du château de Versailles, était une institution éducative destinée aux jeunes filles de la vieille noblesse française désargentée. Cette étude s'attache à faire une partie de l'histoire des élèves de l'établissement de 1686 à sa fermeture en 1793. Car, si Saint-Cyr, dans ses liens avec Louis XIV et Mme de Maintenon, dans ses contenus pédagogiques a pu intéresser les historiens, ceux-ci, hormis quelques généalogistes érudits du XIXe et du début du XXe siècle, n'ont guère porte attention aux trois mille élèves qui y séjournèrent. Tout, ou presque était donc à faire les concernant. Cette recherche s'est d'abord orientée, à partir de sources manuscrites et imprimées conservées à la bibliothèque nationale, vers les directives monarchiques en matière de recrutement, sur les modalités effectives de celui-ci et en particulier sur les critères de sélection du monarque. La totalité des effectifs (3152 élèves) a été saisie sur informatique a partir, entre autres, des dossiers de preuves de noblesse indispensables à l'admission. De là, il a été possible de recenser et d'analyser les origines géographiques des demoiselles. Toutes ces fillettes reçues à Saint-Cyr devaient être de noble extraction, et nous avons tenté de déterminer leur appartenance aux différentes catégories de la noblesse des XVIIème et XVIIIème siècles afin de vérifier si elles étaient uniquement, comme l'avait souhaité le fondateur, membres d'une noblesse ancienne, militaire et aux faibles revenus. Cette recherche permet de mesurer quel a été l'impact différent de cette fondation royale sur les noblesses de la France d'alors. Achevée elle sortira enfin du silence de l'oubli ces jeunes filles qui reçurent pendant environ dix années une éducation dont les principes, établis par Mme de Maintenon, demeurèrent inchangés de 1686 à 1793. Éducation qu'elles transmirent à leur milieu familial jusque dans le premier quart du XIXe siècle
It was on madame de Maintenon's advice that king Louis XIV established the maison royale de Saint-Louis in 1686. Located at Saint-Cyr, close to the palace of Versailles, the institution catered for the education of daughters from impoverished noble families. This study aims at writing a part of the history of the pupils of the school from its inception in 1686 to its closing down in 1793. Historians have been hitherto more interested in studying the links between the institution and its founders, or in the courses that were taught, and the 3,000-odd pupils who were boarded there attracted litlle attention, excepted from some 19th- or 20th-century genealogists. Virtually everything remained to be done. Manuscript as well as printed sources kept in the bibliotheque nationale were first used to study the rules edicted by the king about who was to be admitted, how these rules were effectively implemented, and more particularly the selection process and its criteria. Applicants had to be of noble descent and a dossier, called preuves de noblesse, was to be presented to support their claim. The personal details for all the pupils (3,152 names) have been computerized in order to study the geographical origins of the demoiselles. We tried to determine which strata of the 17th- and 18th-century nobility they belonged to, and if the wishes expressed by Louis XIV, that these young girls were to belong to the ancient and military brand of the nobility, with low incomes, had been respected. This work shows what the impact of this institution was and how it varied from one strata of the nobility to another. It will put in broad daylight all these hitherto forgotten young girls, who were each raised and educated there for ahout 10 years, along the lines that were stated by Mme de Maintenon and remained untouched until 1793 - an education they subsequently passed on to their descendants well into the first quarter of the 19th century
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Gilles, Florent. "Soumission, révolte, sexualité : l'éducation des jeunes filles de Mme de Lafayette à Sade." Thesis, Reims, 2016. http://www.theses.fr/2016REIML006/document.

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Abstract:
Cette thèse s’intéresse s’attache à définir le topos littéraire de la jeune fille nubile faisant son entrée dans le monde et son rapport avec la réalité historique, sociale et culturelle de la fin du XVIIe et du XVIIIe siècle. Comment le modèle fictionnel de la jeune fille et le réel interfèrent-ils l’un sur l’autre ? À la lumière des gender studies, nous nous intéressons à la littérature comme participant de la construction culturelle des genres et à cette époque en tant que naissance d’un certain féminisme L’éducation des jeunes filles, absente ou incomplète volontairement, apparaît alors comme une propédeutique à la future condition asservie de la femme à cette époque, au rôle que la société attribue au genre féminin. L’éducation est alors à comprendre dans une acception large : éducation intellectuelle, morale mais aussi sentimentale et sexuelle. Dans cette optique notre corpus regroupe trois types d’œuvres, fort diverses en apparence, afin d’avoir une vue d’ensemble sur ce phénomène : à des œuvres morales et des majores, s’ajoutent des œuvres licencieuses et des minores, œuvres des romancières pourtant à succès du XVIIIe siècle
This thesis deals with how to define the literary report of the nubile young girl breaking into the world and its link to the historical, social and cultural reality in the end of the 17th century and 18th century. How the fictional model of the young girl and the reality interfere in each other? With the help of " gender studies", we will take interest in literature as an active participant of the cultural construction of genres , and in this era as the birth of a kind of feminism. The young girls missing or deliberately incomplete education , appears as a foundation course to the future enslaved condition of woman of this era, to the role given to the feminin gender by society. The word education is to be understood in a larger way: intellectual education, moral education but also sentimental and sexual education. From this perspective, our corpus joins together three types of works, really different works, in order to have an overview on this phenomenon: moral and major works, loose and minor works, and works of female yet successful writers from the 18th century
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Vales, Le Guennec Géraldine. "L'enseignement secondaire des jeunes filles à Paris de 1880 à 1938." Paris 5, 2004. http://www.theses.fr/2004PA05H036.

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Abstract:
La thèse est articulée autour de deux axes : d'une part l'enseignement secondaire des jeunes filles à Paris est étudié comme ayant un caractère spécifique en ce qui concerne son financement, et par conséquent, la nature de ses établissements. L'application de la loi Camille Sée du 21 décembre 1881, dans la capitale, révèle un désaaccord entre le conseil municipal de Paris, composé de républicains radicaux et autonomistes, et les républicains opportunistes du gouvernement, sur le contrôle de la nouvelle institution. Les cinq premiers lycées parisiens de jeunes filles, (Fénelon, Racine, Molière, Lamartine et Victor Hugo) sont crées à la seule charge de l'Etat, entre 1883 et 1895,. D'autre part l'enseignement secondaire féminin entre, à partir de 1905, dans une période de mutations qui se traduit notamment par la réorientation des études en vue de la préparation au baccalauréat. Paris est choisi comme laboratoire d'études pour mesurer les enjeux de cette évolution et pour appréhender les raisons qui vont amener à la réforme de 1924, assimiliant les enseignements secondaires féminin et masculin. A travers l'exemple de la capitale également, sont étudiées les conditions d'application de la réforme Léon Bérard dans les lycées féminins, ainsi que les résultats de cette assimilation et le nouveau visage de l'enseignement secondaire féminin
The thesis emphasizes two main issues. It is devoted, first, to the specific funding model of secondary education for girls in Paris, and its impact on the nature of the schools themselves. From the application of the Camille Sée law of 21st december 1880 in Paris, oppositions grew between the radical and the autonomist republicans in the Paris City Council and the opportunist republicans of the french government, as to the means of controlling the new institution , and the first five lycées for girls in Paris (Fénelon, Racine, Molière, Lamartine et Victor Hugo) created between 1883 and 1895 were funded soleley by the state. Second, from 1905, a period of mutations began for secondary education for girls, following which studies were reoriented for the preparation of the french baccalaureate. The analysis concentrates on Paris as a sample city in order to examine the issues raisedby the former evolution and explains the reasons leading to the 1924 reform, which assimilated secondary education for boys and girls. From the exemple of the capital city of France, the thesis also discusses the conditions of application of the Léon Bérard reform in parisian lycées for girls, together with the results of the assimilation and the new situation of secondary education for girls
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Miech, Stéphanie. "L'éducation des filles chez les romancières au siècle des Lumières." Thesis, Nancy 2, 2007. http://www.theses.fr/2007NAN21009.

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Abstract:
La réflexion que mènent les Lumières avec enthousiasme sur la société et leur constat de la dégradation des moeurs les conduisent à s'interroger sur l'éducation, et plus particulièrement sur celle des filles, ces futures mères qui formeraient les hommes d'une société nouvelle. En marge des discours, les femmes s'emparent d'une question qui leur tient particulièrement à coeur, et voient, dans la création romanesque un formidable outil pour exprimer leurs critiques, leurs théories et leur idéal, mais aussi leurs espoirs déçus, leurs rêves inassouvis et leurs griefs contre les hommes et contre une société qu'elles jugent injuste dans le traitement inégal qu'elle réserve aux deux sexes. Leur réflexion sur l'éducation et sur le rôle et la place de la femme dans la société trouve un appui solide chez les philosophes et les théoriciens de l'éducation : saint François de Sales, Fénelon, Mme de Maintenon, Mme de Lambert, et plus tard Rousseau et les philosophes vinrent nourrir leurs idées qui s'enrichissent encore des débats qui animent les salons dont elles sont souvent les dignes animatrices. Les héroïnes des contes, nouvelles, romans qu'elles imaginent sont nourries de l'idéal classique, et, progressivement à l'ensemble des vertus d'une morale chrétienne teintée de stoïcisme elles joignent des faiblesses qui les rendent plus humaines. Tout au long du siècle et au-delà, nombre d'entre elles se distinguent par leur héroïsme et leur volontarisme : actives et énergiques, elles luttent efficacement contre l'adversité et prennent en main leur destin avec courage. Vers la fin du siècle, les femmes auteurs s'interrogent sur la morale du devoir, et réclament une morale plus humaine. La question du mariage constitue un thème de choix qui permet aux romancières d'exposer leur vision de l'amour, et sert de tremplin à une critique des moeurs qui font de la jeune fille un objet de marchandise, et de la femme une mineure démunie de droits et de biens dans l'adversité. Toutefois, le féminisme des romancières reste teinté d'ambiguïté et se révèle encore timide. Soumises au poids des bienséances et de l'opinion, imprégnées par la morale chrétienne, et plus tard déçues par la Révolution et ce qu'elles en attendent pour leur sexe, elles souhaitent plus d'égalité entre les hommes et les femmes, des relations appaisées dans le couple et un respect de leur personne. En fait de féminisme, elles se replient, pour se défendre contre les méfaits masculins, sur une solidarité féminine qui constitue une marque originale dans la littérature romanesque des Lumières
The ardent reflections of the Age of Enlightenment writers leads them to an awareness of the decline in the moral standards of their contemporary society and thence to an inquiring look at the educational system. They are particularly concerned with the education of girls, the future mothers who would be bringing up and educating the men of the new generation. On the fringe of the debate, women authors are also grappling with a problem they are especially concerned about and they realize that the novel is a tremendously effective means of expressing their criticisms, theories and ideals dashed hopes, unfulfilled dreams and grievances towards men and society whose treatment of women is so unfair. Their reflections on education, on the role and place of women in society, are vigorously supported by such philosophers and theorists as Saint François de Sales, Fénelon, Mme de Maintenon, Mme de Lambert and, later on, by Rousseau and other philosophers who find food for thought during the enriching discussions that take place in the salons the Age of Enlightenment women writers so competently hold. The heroines of their tales, short stories and novels are nurtured on the principles of the classical ideal but, little by little, to these embodiments of Christian virtues tinged with stoicism, they introduce weakness that make them more human. Throughout the century and beyond many will be renowned for their herosim and determination : they are active and energetic, fight successfully against adversity and courageously take their lives in hand. Towards the end of the century, women authors are pondering over the ethics of duty and demand a more humane moral doctrine in society. Marriage is a choice theme that enables them to expose their vision of love and serves as a framework for their criticisms of a society in which young girls are considered as objects and women as second-rate citizens without rights or belongings in adversity. However, the novelists' feminism remains ambiguous and timid. The authors are subjected to the rules of etiquette and public opinion that is imbued with Christian morality and will later be disappointed by the Revolution and its promises to their sex ; they dream of more social equality, calm relationships between man and wife and of respect for themselves. Their feminism, their defence against male misconduct, rely on feminine solidarity which is the distinctive hallmark of the fictional literature of the Age of Enlightenment
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Roux, Jacqueline. "Le lycée Lamartine : 1891-1996 : histoire d'un lycée parisien de jeunes filles." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010612.

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Abstract:
Une histoire de l'éducation nationale vue d'en bas et réalisée avec les archives propres de l'établissement. Comment sont reçues les directives venues du ministère et du rectorat (lois Camille SEE, réforme Bérard, gratuite des frais scolaires, reforme Capelle, réforme Haby, etc. ) quand elles arrivent au lycée ? quelle part existe-t-il, d'autonomie, voire de désobéissance aux ordres? Cette monographie d'un lycée centenaire du IXe arrondissement est à 4 temps : le temps des demoiselles, de 1891 à 1914, celui du diplôme, d'un ardent féminisme et d'œuvres sociales (vestiaire et colonie de vacances). L'établissement payant recrute parmi les enfants de la bourgeoisie du quartier (familles juives, protestantes et laïques militantes), mais contrairement aux directives, pousse ses "aigles" à faire des études supérieures, alors que les "oisons" suivent un mi-temps, pour l'après-midi faire des visites avec leur mère. Le temps des bachelières, de 1914 à 1954, avec la scolarisation de la petite bourgeoisie de banlieue. Le lycée fabrique une centaine de bachelières par an, dans les années trente. Une partie du recrutement est maintenant due au mérite (examen d'entrée en sixième) et pas seulement au statut social. La seconde guerre est pour le lycée, une période noire, étant donné le fort pourcentage d'élèves juives (déportation, Etoile jaune, enfants cachés, fonctionnaires exclus). Le temps des effervescences et des mouvements lycéens (mai 68, l'affaire Guiot, celle des fiches, l'agitation contre la loi Debré, etc. ), la création d'un foyer de contestation et d'intense créativité entrainant une fracture dans le monde adulte (enseignants et parents). Le temps du reflux des activités pédagogiques périscolaires et de l'agitation politique, après 1980 (malgré 1986 et 1990), une mixité incomplète, un collège socialement plus élitiste que le lycée, la disparition des banlieusards. Le lycée qui n'est plus un lycée de jeunes filles, cherche un second souffle
A history of our national education viewed from down below, carried out from the institution's own archives. How are accepted the instructions issued by the ministry of education and the educational district when delivered at the lycee: Camille See act, Berard reform, charge exemption from scholarly costs, Capelle reform? What is the part of autonomy, sometimes of ignoring instructions? Four periods in this monograph of a century-old lycee of the 9th district: - the time of young ladies, 1891-1914, that of the diploma, of passionate feminism and social work (workroom and holiday camps). Enrolment- for a fee -is from children of the district middle-class - jewish, protestant and militant agnostic families - but, contrary to instructions, "eagles" are induced to enter the university, while "goslings" study part-time and, with their mothers, spend the afternoon on social life. - The time of graduates - 1914-1954- with enrolment from the suburdan middle-class. In the thirties the lycee turns out around a hundred graduates every year. An entrance examination to the lower form makes registration dependent on merit, not only on social status. The second war is a black period, owing to to the large number of jewish girls: deportations, "yellow star", hidden children, exclusion of teachers. - the time of effervescence and dissent - may '68, guiot affair, the "files", movement against the debre act, etc. . . - creates a hotbed of protest and intense creativity, resulting in a fracture among the adults, teaching staff and parents. - The time of ebbing of perischolar pedagogic activities and political activism after 1980, despite ups and downs : the opening to boys remains incomplete, the college (lower forms) becomes socially more elitist than the lycee, suburban enrolment disappears. The lycee is seeking for a new breath
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Puga, Alice. "Naissance et vie d'une congrégation religieuse entre 1800 et 1953 : le Saint Nom de Jésus." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040099.

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Abstract:
La congrégation du Saint Nom de Jésus qui fait ici l'objet d'une étude est née en 1800, à Toulouse. Au fil de son existence, c'est toute une page de l'histoire du catholicisme français qui se déroule, à travers cette communauté de religieuses enseignantes qui connaîtront les divers régimes politiques de 1800 à 1950. Mais l'histoire du Saint Nom de Jésus écrit aussi une page de celle de l'enseignement des filles aux XIX et XX° siècles : la traversée des difficiles années 1900 - 1905, jointe à l'évolution de la Société française et de l'Eglise contraignent les religieuses à repenser un enseignement jusqu'ici conçu sur un modèle masculin, un peu édulcoré. Il s'agit, pour le Saint Nom de Jésus, qui s'est affilié à l'Ordre Dominicain en 1888, non seulement de poursuivre la tâche que lui fixe l'Eglise, mais encore de trouver une place dans une Société de plus en plus hostile aux ordres religieux. Cette étude se veut donc d'abord une illustration de ce qu'est une congrégation entre 1800 et 1950, et ce, avec un regard à la fois extérieur - Comment les Sœurs vivent-elles, sont-elles accueillies,. . . - et intérieur, - comment les Sours envisagent-elles leur vie, quels mobiles les poussent à entrer dans le couvent, quels objectifs se sont-elles fixées,. . . Ensuite, ce travail fait suite à une interrogation : pourquoi certaines congrégations ont-elles traversé victorieusement les remous des deux siècles derniers alors que tant d'autres ne leur survécurent pas? A travers l'histoire du Saint Nom de Jésus, nous avons tenté de donner une réponse : la pérénité d'un institut religieux, au-delà de facteurs extérieurs secondaires, tient d'abord à l'esprit qui anime ses membres
The Congregation of the Holy Name of Jesus, object of this study, was born in 1800 in Toulouse. Its existence over the years provides a page of the history of French CAtholicism, through this community of teaching Sisters meeting the diverse governements between 1800 and 1950. In addition, the story of the Holy Name of Jesus provides a page of the history of the instruction of girls in the 19Th and 20th centuries : living through years from 1900 to 1905, the evolution of french society and of the Church, obliged the sisters to reconsider their teaching, which, until that time, was a softened form of the teaching given to the boys. For the Holy Name of Jesus, affilated to the Dominican Order in 1888, it was a question not only of pursuing the taste entrusted to it by the Church, but also of finding its place in a Society which was more and more hostile to religious orders. This study, then, hopes first to be an illustration of what a congregation is between 1800 and 1950, from both the outside - How do the Sisters live? How are they greeted?- and the inside - How do the Sisters see theirs life? What motives incline their enter in couvent? What are theirs goals?- Second, that work leads to a question : why were some congregations victorious in passing through the upsets of the two last centuries why so many others did not survive them? Through the history of the Holy name of Jesus we have endeavored to provide a response : beyong secondary exterior factors, the perenity of a religieous institute first depends on the spirit which animates its members
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Heitz-Muller, Anne-Marie. ""Je ne suis qu'une pauvre femme. . . Comme disent certains" : les effets de la Réformation sur la vie et la vocation spirituelle des Strasbourgeoises du XVIe siècle (1521-1549)." Strasbourg 2, 2005. http://www.theses.fr/2005STR20057.

Full text
Abstract:
Les historiens s'accordent sur le fait que la Réformation a apporté de profondes modifications à la vie des femmes au XVIe siècle, mais ils sont divisés quant à la nature et à la signification de ces changements. Nos recherches, qui ont porté sur de nombreux textes du XVIe siècle – traités, avis, correspondances, commentaires bibliques, prédications – et en particulier sur ceux des figures de proue du mouvement évangélique strasbourgeois, conduisent à penser que l'influence des Réformateurs fut bénéfique aussi bien pour la vie quotidienne que pour la vocation spirituelle des Strasbourgeoises : ces femmes ont su à la fois profiter des avantages que leur procurait la Réformation et utiliser les arguments évangéliques pour se créer des rôles dans lesquels elles ont tenu une place de premier rang
Historians agree that Reformation brought deep modifications to the life of women in the XVIth century, but they are divided on the nature and the signification of these changes. Our research, which has focused on many texts of the XVIth century – treaties, notices, letters, biblical commentaries, sermons – and in particular on those written by the leaders of the evangelical movement in Strasbourg, leads us to think that the influence of Reformation was beneficial for the everyday life as well as for the spiritual vocation of women in Strasbourg: these women were able to take advantage of the ideas of Reformation and at the same time to use evangelical arguments to define leading roles for themselves
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Loussouarn, Sophie. "La transmission du savoir aux jeunes filles en Angleterre au dix-huitième siècle." Paris 4, 1996. http://www.theses.fr/1996PA040267.

Full text
Abstract:
Soucieux de la diffusion et de l'acquisition du savoir, le siècle des Lumières va se pencher sur l'éducation des filles, jusque-là laissées pour compte en matière d'instruction. Les anglais contestent la place accordée aux arts d'agrément et reconnaissent l'importance du savoir intellectuel. Sans pour autant prôner la transmission des mêmes connaissances aux garçons et aux filles, les éducateurs déterminent le contenu de l'enseignement en fonction du destin auquel les filles sont promises. Néanmoins, la transmission du savoir reflète surtout le privilège de la naissance et l'étendue de la fortune familiale, à une époque où l'éducation est laissée à l'initiative des parents ou des proches. La famille reste une pépinière privilégiée pour l'éducation des jeunes filles de l'aristocratie, encadrées par une gouvernante, parfois assistée de précepteurs. Les manuels se multiplient, constituant autant de supports écrits pour l'éducation. Un réseau d'écoles se développe alors en Angleterre, suscitant un débat relatif au lieu le plus propice à la transmission du savoir. A côté des internats et des externats, réservés aux jeunes filles les plus privilégiées, des écoles de charité sont créées par des philanthropes, afin de permettre l'accès des filles pauvres ou orphelines au savoir élémentaire et de leur garantir un travail grâce à l'apprentissage de savoir-faire. Les manuels de bienséance reflètent l'image traditionnelle de la femme et les traités d'éducation ébauchent des projets pédagogiques novateurs. Cependant, l'écart entre théorie et pratique, le choc entre nouveauté et tradition, progrès et archaïsme restent énormes. Le dix-huitième siècle ne marque pas moins une étape décisive dans le domaine de l'éducation des filles en Angleterre
The age of enlightenment has highly contributed to the development of girls' education which had been previously neglected. English moralists were very critical of the emphasis placed on accomplishments and tended to stress the importance of academic knowledge instead. Educationalists did not advocate the same education for boys and girls. They built up their syllabus in view of the future awaiting the girls. Nevertheless, education reflected the privilege of birth and the wealth of a family at a time when education was left to the appreciation of parents and relatives. The family remained the best place for the nurture of young girls belonging to the aristocracy, who were overseen by a governess sometimes assisted by tutors. More and more schoolbooks were produced to create a written basis for education. Henceforth a network of schools developed in England giving rise to debate on the most appropriate place for the acquisition of knowledge. Boarding schools and day schools provided for the academic education of the wealthiest young ladies, while charity-schools were being opened by philanthropists, in order to enable poor girls and orphans to acquire the basics, then skills, before apprenticeship. Conduct-books were the mirror of the traditional image of woman. Furthermore, the theories of education drafted innovative teaching methods and yet, the gap between theory and practise, the clash between novelty and tradition, the conflict between progress and archaism were very much in evidence. The eighteenth-century is nonetheless a milestone in girls' education in England
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Constant, Paule. "L'éducation des jeunes filles de l'aristocratie (du seizième au dix-neuvième siècle)." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1986PA040302.

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Abstract:
Cette thèse se propose d'étudier l'éducation des jeunes filles dans une classe sociale qui les exalte parce qu'elle les juge comme les plus représentatives de leur sexe. Les principes de cette éducation et son organisation matérielle, la formation intellectuelle et morale de la demoiselle et sa préparation à la vie sociale sont analysés à partir de plusieurs sources. Littérature d'expression proprement féminine : lettres, conversations, souvenirs, mémoires, témoignages, journaux; textes d’inspiration religieuse : règlements des couvents, constitutions, entretiens, conseils et avis; ouvrages spécifiquement écrits pour l'éducation : pièces de théâtre, contes, romans, magasins, proverbes. . . En bref, cette étude montre comment fut assurée, tout au long des siècles (du seizième au dix-neuvième siècle) la permanence d'un grand dessein éducatif visant à établir la jeune fille dans son rôle de modèle, de miroir ou de mythe de la féminité
The purpose of this thesis is to study the education of young girls within a class of society which extolled them as the very paragons of their sex. The analysis of the principles of this education and its material organization, as well as of the intellectual and ethical moulding of the "damsel" and her training at social life draws from a variety of sources - such as written works or documents which are specific expressions of women and the feminine world (letters, conversations, memories, memoirs, records, newspapers): texts inspired by religion or the church (convent rules, statutes and constitutions, converses, counsels and advice); works aiming more especially at some form of education (plays, tales, novels, gazettes, charades). . . In short the whole study tends to demonstrate how the permanence of a grand design purporting to bring up and train the "damsel" in such ways as to eventually establish and maintain her as a model or mythical mirror of the ideal feminity was insured throughout a long period of French history running from the sixteenth to the nineteenth centuries
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