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Harhoff, Frederik. "Le Tribunal international pour le Rwanda: présentation de certains aspects juridiques." Revue Internationale de la Croix-Rouge 79, no. 828 (December 1997): 711–20. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100057208.

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Abstract:
Une question fondamentale paraît avoir retenu l'attention des premiers législateurs, dès les origines du droit de la guerre: pourquoi, en fait, des limites juridiques devraient-elles venir entraver l'action menée par les belligérants pour détruire un ennemi extérieur ? De prime abord, en effet, de telles contraintes — quelles qu'elles soient — paraissent en contradiction avec le but même de la guerre et n'avoir, par conséquent, aucune valeur aux yeux de ceux qui se sont trouvés obligés de résister à une attaque armée ou qui, au contraire, ont eux-mêmes décidé de faire la guerre à un ennemi.
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Mutabazi, Éric. "Échec du vivre-ensemble au Rwanda : quelle est la responsabilité des manuels scolaires d’histoire ?" Articles 48, no. 1 (September 19, 2013): 131–53. http://dx.doi.org/10.7202/1018405ar.

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Abstract:
Le Rwanda, enclavé dans la région des Grands Lacs en Afrique centrale, a connu la guerre et les massacres aboutissant au génocide de 1994. Plusieurs penseurs et chercheurs ont tenté d’expliquer les raisons de ces massacres inhumains et monstrueux qui ont ravagé ce pays. Alors que les facteurs politiques, historiques et économiques sont plus souvent évoqués pour justifier ces horribles événements, cette contribution consiste à dégager la responsabilité des manuels scolaires d’histoire dans l’échec du vivre-ensemble au Rwanda avant le génocide. Notre analyse des contenus des manuels scolaires révèle que certaines valeurs transmises à travers l’enseignement de l’histoire du Rwanda ont généré toutes sortes d’injustices, d’inégalités, de victimisation, de souffrances, etc., à l’école et dans la société. Nous essaierons de montrer en quoi le contenu des manuels a contribué à l’échec du vivre-ensemble au Rwanda et nous proposerons des perspectives qui pourraient guider l’élaboration du nouveau contenu contribuant à la paix, à l’unité et au vivre-ensemble au Rwanda après le génocide.
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Khodr, Fadi. "Dépassement imaginaire et narratif de la guerre : vers une éducation à la paix." Contemporary French and Francophone Studies 18, no. 5 (October 20, 2014): 496–504. http://dx.doi.org/10.1080/17409292.2014.976372.

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Tavernier, Paul. "L'expérience des Tribunaux pénaux internationaux pour l'ex-Yougoslavie et pour le Rwanda." Revue Internationale de la Croix-Rouge 79, no. 828 (December 1997): 647–63. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100057166.

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Abstract:
La juridiction pénale internationale est un vieux rêve qui peu à peu devient réalité. Le traité de Versailles de 1919 avait prévu à son article 227 le jugement de l'empereur d'Allemagne Guillaume Il par un tribunal international pour répondre à l'accusation d'«offense suprême contre la morale internationale et l'autorité sacrée des traités». Mais les Pays-Bas ayant refusé de livrer l'accusé, le procès n'eut jamais lieu et Guillaume Il devait mourir en 1941 dans son exil néerlandais. Quant aux articles 228 et 229, ils organisaient le jugement des criminels de guerre et ils trouvèrent une application décevante dans le procès de Leipzig. Les procès de Nuremberg et de Tokyo, après la Seconde Guerre mondiale, ont marqué incontestablement un progrès vers une véritable juridiction pénale internationale. Ils restaient cependant fortement marqués par leur origine et constituaient plutôt l'application de la loi et de la justice des vainqueurs que celle de la communauté universelle des États.
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Brusset, Emery. "Imidugudu et aide humanitaire : l'influence incertaine des ONG au Rwanda après la guerre." Autrepart 26, no. 2 (2003): 107. http://dx.doi.org/10.3917/autr.026.0107.

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Mourlan, Lou. "La forêt dans Éducation européenne, un espace humaniste : de l’esthétique à l’éthique." Voix Plurielles 16, no. 2 (November 29, 2019): 22–36. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v16i2.2307.

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Abstract:
Cet article interroge la représentation de la forêt dans Éducation européenne (1945) de Romain Gary : lieu de vie des personnages du roman, elle en est de facto le cadre romanesque. Mais n’est-t-elle pour autant qu’une localisation géographique ou un effet de réel ? En tant qu’espace sauvage et préservé de la guerre qui fait rage dans le reste du roman, mais aussi en tant qu’espace où émerge et se concentre la critique de la barbarie humaine, la forêt devient alors une hétérotopie telle que la théorise Michel Foucault et dont nous proposons ici une lecture écopoétique. Gary fait de la forêt un espace qui fait sens et qui, paradoxalement, symbolise la survivance de l’humanisme dans les temps où il est le plus menacé.
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Garcia, Anaïs. "Reproduire la culture, reproduire la nation : éducation et citoyenneté des mères indigènes dans l’après-guerre au Guatemala." Cahiers des Amériques latines, no. 88-89 (December 31, 2018): 37–60. http://dx.doi.org/10.4000/cal.8826.

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Claverie, Éric, Julien Krier, and Jean-François Loudcher. "L’UFOLEP et sa commission scolaire sous la Quatrième République française : de la réhabilitation à l’embellie d’une voie sportive laïque dans l’école élémentaire." Sport History Review 52, no. 1 (May 1, 2021): 109–34. http://dx.doi.org/10.1123/shr.2020-0019.

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Abstract:
Cette recherche se propose d'éclairer la renaissance d’une fédération affinitaire sous la Quatrième République française, l’UFOLEP. Elle met l’accent sur les difficultés de reconstruction, puis sur la réussite à trouver un espace de développement. Celui-ci prend la voie de l'école élémentaire, par le biais de son ancienne commission scolaire : l’USEP. Dans ce cadre parascolaire, qui rayonne peu à peu à l’enseignement de l’EPS lui-même, l’USEP développe des innovations conformes à son éthique en faveur d’une éducation physique et d’un sport éducatif protégé des voies fédérales classiques. Cette orientation sportive (et non voie) s’accorde bien avec le registre doctrinal de la Ligue de l’Enseignement qui héberge ce mouvement sportif, autour d’une idée laïque repensée dans cette France d’après-guerre. En revanche l’UFOLEP peine à développer sa voie postscolaire qui, après s'être redressée, stagne.
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Muhayimana, Alice, Donatilla Mukamana, Jean Pierre Ndayisenga, Olive Tengera, Josephine Murekezi, Josette Uwacu, Eugenie Mbabazi, and Joyce Musabe. "Implications of COVID-19 Lockdown on Child Preparedness among Rwandan Families." Research Journal of Health Sciences 8, no. 3 (October 9, 2020): 214–20. http://dx.doi.org/10.4314/rejhs.v8i3.8.

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Abstract:
The world is currently facing the fatal viral pandemic called coronavirus disease 2019 (COVID-19), earlier named 2019-novel coronavirus (2019- nCoV). Every country of the world keeps responding to the challenges posed by covid-19 in all aspects of human endeavour with high demand and burden on health care. The report of the first case in Rwanda on 14th March 2020 was accompanied by actions to drive control measures by the government of Rwanda importantly to prevent the spread of COVID-19. Those measures included education on personal preventive behaviours, social distancing and restricting the movement of people locally, nationally and internationally resulting to lockdown that allowed only essential services. Lockdown has particularly affected Rwandan families with pregnant mothers in the context of childbirth preparation in different aspects. This review paper articulates the possible various dimensions of influence of the COVID-19 lockdown on birth preparedness by families and the possible maternal and neonatal health adverse outcomes that may be associated. This is with the intention of helping health care providers and other stakeholders anticipate, track and prepare for appropriate mitigation to reduce maternal-neonatal morbidity and mortality. French title: Implications du verrouillage de COVID-19 sur la préparation des enfants dans les familles RwandaisesLe monde est actuellement confronté à la pandémie virale mortelle appelée maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), précédemment appelée 2019-nouveau coronavirus (2019-nCoV). Chaque pays du monde continue de répondre aux défis posés par le Covid-19 dans tous les aspects de l'activité humaine avec une forte demande et un fardeau sur les soins de santé. Le rapport du premier cas au Rwanda le 14e mars 2020 a été accompagné d'actions à conduire des mesures de contrôle par le gouvernement du Rwanda important pour prévenir la propagation de Covid-19. Ces mesures comprenaient une éducation sur les comportements personnels de prévention, la distanciation sociale et la restriction de la circulation des personnes aux niveaux local, national et international, entraînant un verrouillage qui n'autorisait que les services essentiels. Le verrouillage a particulièrement affecté les familles Rwandaises de mères enceintes dans le cadre de la préparation à l'accouchement sous différents aspects. Cet article de synthèse articule les différentes dimensions possibles de l'influence du verrouillage du COVID-19 sur la préparation à la naissance des familles et les éventuels effets indésirables sur la santé maternelle et néonatale qui peuvent être associés. Ceci dans le but d'aider les prestataires de soins de santé et les autres parties prenantes à anticiper, suivre et préparer des mesures d'atténuation appropriées pour réduire la morbidité et la mortalité materné-néonatales.
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Soulier, Virginie. "Exposer le patrimoine de la Retirade: la pédagogie au croisement des logiques sociales et institutionnelles. Étude de cas à Argelès-sur-Mer." Canadian Review of Art Education: Research and Issues / Revue canadienne de recherches et enjeux en éducation artistique 43, no. 1 (October 17, 2016): 105. http://dx.doi.org/10.26443/crae.v43i1.20.

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Abstract:
Abstract: Seventy-five years after the Spanish Civil War, the CIDER (Centre d’interprétation et de documentation sur l’Exil et la Retirade) of Argelès-sur-Mer retraces the history of that traumatic past. Reporting on the confinement of 200,000 Spanish Republicans in a barbed wire camp raises many heritage-related issues. This forced exile of half-a-million refugees is one of the most substantial European exoduses to occur during the last century. Many individuals are still affected and it still resonates today. This article discusses CIDER’s museographical project. If social and institutional logic clash between times of emergence, construction and valorization in the course of patrimonialization, they overlap in the pedagogical aspect of the permanent exhibition. KEYWORDS: Museum study; museology; informal education; immigration; heritage; memorial; monument; Spanish Civil War; citizenship; Résumé: Soixante-quinze ans après la Guerre civile espagnole, le Centre d’interprétation et de documentation sur l’Exil et la Retirade (CIDER) d’Argelès-sur-Mer présente l’histoire de ce passé traumatique. Rendre compte de l’enfermement de plus de 200 000 Républicains espagnols dans un camp de barbelés soulève de nombreux enjeux patrimoniaux. Cet exil forcé d’un demi-million de réfugiés représente l’un des exodes européens les plus importants du siècle dernier. Il touche encore de nombreuses personnes et demeure en résonance avec l’actualité. Le présent article vise à rendre compte du projet muséographique du CIDER. Les logiques sociales et institutionnelles s’affrontent entre les moments d’émergence, de construction et de valorisation dans le processus de patrimonialisation, mais elles se recouvrent dans la perspective pédagogique de l’exposition permanente.MOTS CLES: Muséologie; éducation non formelle; immigration; patrimoine; memorial; Guerre d’Espagne; citoyenneté
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Camelin, Colette. "Morale et éthique dans des romans de Gisèle Bienne et de Scholastique Mukasonga." Études françaises 53, no. 3 (December 4, 2017): 105–26. http://dx.doi.org/10.7202/1042287ar.

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Abstract:
Comment la morale serait-elle légitime après que l’histoire du xxe siècle a mis en cause le « progrès de l’humanité », le « sens de l’Histoire » et les « grands récits » qui les accompagnaient, après que l’organisation même des génocides, justifiée par des valeurs « morales » et des « raisons scientifiques », a altéré l’humanité même de l’homme ? Les romans de Gisèle Bienne et de Scholastique Mukasonga se situent hors de la morale instituée puisqu’ils affrontent l’expérience de l’inhumain. Les Paysages de l’insomnie de Marcel, revenu de la Première Guerre mondiale, sont hantés par les fantômes de ses camarades morts : il a perdu l’estime de soi et la capacité d’insérer ses actes dans la vie collective. Son expérience l’a séparé des siens : il reste « tenu au silence » face à celles qui restent du côté de la morale catholique et nationaliste. L’étrange solitude de Manfred Richter, ancien prisonnier nazi, et son silence, sont dépassés quand il transmet à Hélène, vingt ans, une leçon éthique contre l’ordre moral existant. Inyenzi ou les Cafards de Mukasonga aborde le génocide au Rwanda du point de vue d’une exilée tutsie dont la famille a été massacrée au nom de la morale chrétienne, républicaine et socialiste. La littérature, par son ironie, éclaire l’hypocrisie et la lâcheté. Notre-Dame du Nil va à la racine de la catastrophe : le mythe hamitique, inventé par les Européens, s’est transformé en cauchemar racial, orchestré par l’Église. La fiction ironique de Mukasonga est libératrice car elle s’oppose aux discours pesants des idéologies. Pour les personnages de ces quatre romans, l’Histoire n’est que mensonge, chaos, cruauté ; ils ne peuvent croire au sens de l’Histoire, mais la lucidité et l’ironie des romans donnent du sens à leur expérience humaine. De plus, les romans renouent les échanges sensibles entre les humains et avec le monde.
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André, Marc. "Luc Capdevila, Femmes, armée et éducation dans la Guerre d’Algérie. L’expérience du service de formation des jeunes en Algérie, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2017, 234 p., ISBN 978-2-7535-5911-0." Revue d’histoire moderne & contemporaine 67-4, no. 4 (2020): 175. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.674.0177.

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Naoufal, Nayla. "Éducation relative à l’environnement, dialogue intercommunautaire et apprentissage du vivre-ensemble." 37, no. 2 (January 11, 2010): 186–203. http://dx.doi.org/10.7202/038823ar.

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Abstract:
RésuméIl existe peu de recherches et de pratiques en éducation relative à l’environnement (ERE) qui participent explicitement à la création d’une dynamique de paix. Ni la recherche en éducation, ni les organismes d’éducation populaire et communautaire, ni le milieu éducatif formel, ni le grand public ne prennent généralement en compte les liens entre les problématiques environnementales et l’émergence de conflits, exception faite de quelques organismes non gouvernementaux. Or, la dégradation du milieu de vie et l’apparition ou l’exacerbation de guerres sont interdépendantes et étroitement liées, tout comme le sont la protection de l’environnement et la création d’une dynamique de paix. Il importe certes de prendre en compte ce double enjeu dans la recherche et la pratique en ERE. L’éducation relative à l’environnement peut contribuer à l’apprentissage du vivre-ensemble dans un environnement partagé, notamment à travers des projets collectifs et concrets de résolution de problèmes et d’écodéveloppement. Cet article présente notamment deux exemples d’interventions : un projet de coopération hydrique et environnementale entre communautés voisines en conflit politique et un projet de jardinage collectif réunissant des groupes précédemment en guerre. Ces démarches participent à la consolidation de la paix et à l’innovation sociale.Signalons d’entrée de jeu que la méthodologie adoptée pour la rédaction de cet article est celle d’une démarche réflexive et critique de synthèse d’une recension d’écrits exhaustive sur un ensemble de thématiques et sur les liens entre celles-ci : environnement, guerre, éducation, ERE, consolidation de la paix, projets éducatifs contribuant à une dynamique de paix, etc. Elle intègre des éléments d’une recherche spéculative, à savoir « un travail de l’esprit produisant des énoncés théoriques à partir et à propos d’autres énoncés théoriques » (Van der Maren, 1995, p. 134), en vue de proposer des pistes de réflexion sur la contribution de l’ERE à la création d’un dialogue intercommunautaire environnemental et à la construction d’une dynamique de paix.
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Mujawamariya, Donatille, and Susan Ship. "La guerre et le génocide de 1994: Impacts et nouveaux espoirs sur l'éducation des jeunes filles au Rwanda." Comparative and International Education 34, no. 2 (December 1, 2005). http://dx.doi.org/10.5206/cie-eci.v34i2.9061.

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Abstract:
A travers un cadre theorique femme/genre et developpement, les auteures menent une discussion sur la sous-scolarisation des filles au Rwanda. Elles explorent ensuite comment les inegalites de genre interagissent avec des inegalites socioeconomiques et regionales pour entraver l'acces equitable et la participation des filles it l'education formelle au cours des periodes coloniale, apres l'independance et postgenocide. Dans la suite, elles montrent comment les organisations de femmes jouent, actuellement, un role crucial dans la promotion de l'empowerment des filles et l'equite de genre en education a travers la conscientisation a la problematique de genre, des programmes et activites innovateurs. The authors discuss, through a women/gender and development theoretical framework, the under-schooling of girls in Rwanda. Then they explore how gender inequity interacts with socio-economic and regional inequities to establish barriers against girls in their equal access and participation to formal education during the colonial, the independence, and post-genocide periods. They show then how women's organizations currently play a crucial role in promoting women's empowerment and gender equity in education through conscientization of the gender problems, and of programmes and innovative activities.
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Jaunait, Alexandre. "Discours de guerre contre dialogues de paix. Les cas de l'ex-Yougoslavie et du Rwanda." Cultures & conflits, no. 40 (September 1, 2000). http://dx.doi.org/10.4000/conflits.482.

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Plas, Pascal. "L’intime livre au public. Recit des exactions contre les femmes dans les proces de guerre." Revista Psicologia e Saúde, July 2, 2014. http://dx.doi.org/10.20435/pssa.v6i1.337.

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Abstract:
Les conflits dans l’ex Yougoslavie, de même que la guerre civile au Rwanda ont joué un rôle clef dans la prise de conscience des exactions commises contre les femmes, en particulier les « viols de guerre ». Dans les deux cas c’est l’existence de juridictions pénales internationales qui a permis, étayé et renforcé l’émergence rapide de la parole des victimes à la différence de ce que l’on observe pour celles des deux guerres mondiales. C’est à cet aspect particulier qu’est consacré le texte qui suit. Après un retour et une mise au point sur l’évolution du cadre normatif de la possibilité du récit des exactions – droit international, structures judiciaires -- une analyse des formes même du récit des victimes sera menée dans le nouveau contexte de la Justice Pénale Internationale ainsi que dans les espaces d’expression conjoints (enquêtes, récits personnels, récits donnés aux ONG, aux cinéastes documentaristes). L’approche de cet intime livré au public conduira s’interroger aussi sur la valeur et la portée de ces dires, sur leur impact réparateur et reconstructeur mais aussi sur leurs limites, sur les silences et les impossibilités de mise en mots. Mots-clés : Violence; Viols; Justice Pénale Internationale (JPJ); Témoignages.
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Grün, Laurent. "Plein air et jeux de plein air dans les écoles primaires de Metz (1919-1932)." Educar em Revista 37 (2021). http://dx.doi.org/10.1590/0104-4060.77081.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les jeux de plein air scolaires organisés par la ville de Metz entre 1919 et 1932 représentent une expérience originale. Créés sous le régime du Reichsland en 1903, ils se poursuivent cependant après la première guerre mondiale, après que Metz soit revenue à la France. Organisés par des instituteurs volontaires, ils proposent aux élèves qui le désirent des activités physiques ou sportives en dehors des heures scolaires. L’ambition est de développer la santé des élèves dans un cadre moins contraignant que celui de la gymnastique obligatoire de l’école, tout en les éloignant des tentations de la rue. Ces jeux de plein air s’adressent sans distinction de sexe aux garçons comme aux filles et sans distinction confessionnelle aux catholiques, aux protestants, aux laïcs. Pour ce faire, divers lieux d’activité sont investis, toujours en plein air. Les activités choisies relèvent le plus souvent des jeux traditionnels, mais peuvent aussi être de la culture physique, des activités sportives, des promenades, des bains de plein air. De 1919 à 1932, plusieurs centaines d’écolières et d’écoliers messins ont donc bénéficié d’une éducation corporelle morale et hygiénique. Celle-ci s’est déroulé dans un cadre moins strict que celui de l’école, sous la direction d’instituteurs qui utilisaient des pédagogies plus actives et moins traditionnelles qu’à l’école.
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Rollwagen, Katharine. "Classrooms for Consumer Society: Practical Education and Secondary School Reform in Post-Second World War Canada." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, April 20, 2016. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v28i1.4449.

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Abstract:
ABSTRACTYoung people’s intersecting roles as students, workers, and shoppers have received little attention from historians, who have focused on young people as either students or workers. This paper begins to examine these roles by analyzing the efforts of the Canadian Education Association to define and promote practical education in the late 1940s. The Canadian Research Committee on Practical Education solicited industry and business perspectives and surveyed students that were leaving school before graduation. The committee’s work and the discussion it generated reveal a desire to make secondary schools more profitable and palatable for Canadian teenagers. Educators and industry leaders wanted the post-war high school to serve all young Canadians by catering to their interests, keeping them in school, and preparing them to be both workers and consumers upon graduation.RÉSUMÉLes jeunes comme groupe peuvent se définir selon trois caractéristiques : élèves, travailleurs et consommateurs. Cette façon de concevoir la jeunesse n’a reçu que peu d’attention de la part des historiens. Ces derniers ont étudié les jeunes soit comme élèves ou soit comme travailleurs. Cet article s’intéresse à ces trois caractéristiques en s’intéressant aux actions entreprises par l’Association canadienne d’éducation. L’auteure analyse les efforts de cette dernière pour définir et promouvoir les arts et métiers en éducation à la fin des années 1940. Le Comité de recherche canadien sur l’éducation pratique a sollicité l’aide des industries et des maisons d’affaires pour recenser les élèves qui quittaient l’école avant la fin de leurs études. Le travail du comité et les discussions qui s’ensuivirent ont révélé le besoin de rendre les écoles secondaires plus utiles et plus attirantes pour les adolescents canadiens. Les éducateurs et les chefs d’entreprises souhaitaient que l’école secondaire d’après-guerre soit utile aux jeunes Canadiens ; ils désiraient susciter leurs intérêts, les garder à l’école et les préparer à devenir des travailleurs et des consommateurs une fois leurs études terminées.
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Céline Clément and Catherine Bonvalet. "Un baby-boom, des baby-boomeuses ? Trajectoires professionnelles des femmes françaises issues du baby-boom." Hors-thème, no. 24 (August 15, 2016). http://dx.doi.org/10.7202/1038118ar.

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Abstract:
Dans le schéma classique des années 1960, la vie en dehors de la famille était exclusivement réservée aux hommes, alors que les femmes étaient considérées comme les « reines du logis ». Élevées selon ce modèle, les générations nées après-guerre vont pourtant s’en affranchir et initier des comportements plus autonomes en élaborant de nouvelles formes de vie au sein du couple et de la famille, mais aussi en dehors de cette sphère privée. Ainsi, à partir du moment où les femmes ont reçu une éducation, ont eu la possibilité de maîtriser leur fécondité en choisissant le moment de l’arrivée et la taille de leur descendance finale, leurs trajectoires se sont diversifiées, notamment par le biais de leur activité professionnelle, comme en témoigne leur insertion massive et durable dans le marché de l’emploi à partir de 1960. Il s’agit alors d’une véritable rupture sociologique, d’une transformation radicale du rapport à l’emploi, avec le passage d’un modèle féminin d’inactivité à celui d’une activité discontinue, lequel va permettre l’émergence du modèle que nous connaissons aujourd’hui, celui de la continuité et du cumul (Maruani, 2000). Or, si les générations du baby-boom sont souvent considérées comme les initiatrices de ce dernier modèle, il en coexiste plusieurs à cette période.L’objet de cet article est de décrire, dans le temps long, ces différents modèles d’activité à partir de 32 récits de vie réalisés à Paris et en région parisienne auprès de femmes issues de la première génération du baby-boom, c’est-à-dire nées entre 1945 et 1954. Cela permettra de s’interroger sur ces profils d’activité qui se construisent depuis l’enfance notamment selon l’empreinte maternelle (Battagliola, 1987), jusqu’à la fin de vie active, en passant par les modes d’entrée dans la vie adulte, source de différenciation sociale des trajectoires féminines (Blösset al.,1996), et d’en établir une typologie (tout en sachant que ces modèles sont loin d’être statiques et s’avèrent poreux, les femmes pouvant passer d’un modèle à un autre, notamment lorsqu’elles se séparent). Car ces évolutions ne se réalisent pas pour toutes, ni au même moment du cycle de vie, ce qui induit une hétérogénéité des parcours, mais aussi différentes visions de ce que doit être la place des femmes au sein de la famille et de la société, ces différents modèles structurant fortement l’organisation familiale ainsi que les représentations de la famille, et influençant leurs trajectoires– notamment conjugales.
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Moussaoui, Abderrahmane. "Violence extrême." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.134.

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Abstract:
Même si la guerre, comme destruction de masse, a été très tôt au centre des intérêts de la discipline, l’anthropologie ne l’a jamais caractérisée comme une « violence extrême ». Ce qui pose d’emblée la question en termes autres que quantitatifs. L’extrême dans la violence n’est pas forcément dans l’importance du nombre de ses victimes. Il faut y ajouter d’autres dimensions comme l’inanité de l’acte, sa gratuité, son degré de cruauté et le non-respect des règles et normes partagées. Celles de la guerre, par exemple, imposent de ne s’attaquer qu’à l’ennemi armé et d’épargner les civils, de soigner le blessé etc. La violence extrême passe outre toutes ces normes et règles ; et s’exerce avec une cruauté démesurée. La première guerre mondiale constitue aux yeux des défenseurs de cette thèse, le moment inaugural dans le franchissement d’un tel seuil. Car, c’est dans cette guerre que fut utilisé pour la première fois le bombardement aérien, lié à l’ère industrielle, exterminant de nombreuses populations civiles non armées. Associée aux affrontements et insurrections débordant les cadres étatiques, l’expression peut désormais inclure également des faits commis dans le cadre des guerres conduites par des États. La violence extrême est une agression physique et une transgression outrancière d’une éthique partagée. Qu’elle s’exerce lors d’une guerre ou dans le cadre d’une institution (violence institutionnelle) elle est une violence extrême dès lors qu’elle use de moyens estimés inappropriés selon les codes communs et les sensibilités partagées. Les manières et les moyens d’agir doivent être proportionnels à l’objectif visé ; et toute outrance délégitime l’acte de violence, quand bien même celui-ci relèverait de « la violence légitime » monopole de l’Etat. Le qualificatif extrême vient donc spécifier un type de violence qui atteint ce point invisible ou imprévisible, en bafouant l’ordre éthique et conventionnel. Aller à l’extrême c’est aller au-delà du connu et de l’imaginable. La violence extrême est celle donc qui dépasse une limite se situant elle même au-delà des limites connues ou considérées comme impossibles à franchir. Elle renvoie à ce qui dépasse l’entendement par son ampleur ou par sa « gratuité » ; car, ce sont ses finalités qui rationalisent la guerre et toute autre forme de violence. Dépourvue de toute fonctionnalité, la violence extrême n’a d’autres buts qu’elle-même (Wolfgang Sofsky (1993). En d’autres termes, la violence extrême est ce qui oblitère le sens en rendant vaines (ou du moins imperceptibles) les logiques d’un acte jusque-là appréhendé en termes d’utilité, de fonctionnalité et d’efficacité. La violence est extrême quand elle parait démesurée par le nombre de ses victimes (génocide, nettoyage ethnique, meurtres et assassinat de masse) ; mais elle l’est d’autant plus, et le plus souvent, quand elle est accompagnée d’un traitement cruel, froid et gratuit : dépeçage, brûlure, énucléation, viols et mutilations sexuelles. Outrepassant l’habituel et l’admissible, par la démesure du nombre de ses victimes et le degré de cruauté dans l’exécution de l’acte, la violence extrême se situe dans un « au-delà », dont le seuil est une ligne mouvante et difficilement repérable. Son « objectivation » dépend à la fois du bourreau, de la victime et du témoin ; tous façonnés par des constructions culturelles informées par les contextes historiques et produisant des sensibilités et des « esthétiques de réception » subjectives et changeantes. La violence extrême est, nécessairement, d’abord une question de sensibilité. Or, celle-ci est non seulement une subjectivation mais aussi une construction historiquement déterminée. Pendant longtemps et jusqu’au siècle des lumières, le châtiment corporel fut, pour la justice, la norme dans toute l’Europe. Les organes fautifs des coupables sont maltraités publiquement. On exhibait les femmes adultères nues et on leur coupait les seins ; on coupait les langues des blasphémateurs et les mains des voleurs. Le bûcher était réservé aux sodomites, aux hérétiques et aux sorcières. On crevait les yeux (avec un tisonnier incandescent) du traître. Les voleurs de grands chemins subissaient le châtiment d’être rompus vifs. On écartelait et on démembrait le régicide. La foule se dépêchait pour assister à ces spectacles et à ceux des supplices de la roue, des pendaisons, de la décollation par le sabre etc. Placidement et consciencieusement, les bourreaux ont appliqué la « terreur du supplice » jusqu’au milieu du XVIIIe siècle (Meyran, 2006). Il a fallu attendre les lumières pour remplacer le corps violenté par le corps incarcéré. Aujourd’hui insupportables, aux yeux du citoyen occidental, certains de ces châtiments corporels administrés avec une violence extrême sont encore en usage dans d’autres sociétés. Après les massacres collectifs qui ont marqué la fin du XXe siècle, les travaux de Véronique Nahoum-Grappe portant sur le conflit de l’ex-Yougoslavie vont contribuer à relancer le débat sur la notion de « violence extrême » comme elle le rappellera plus tard : « Nous avions utilisé la notion de « violence extrême » à propos de la guerre en ex-Yougoslavie pour désigner « toutes les pratiques de cruauté « exagérée » exercées à l’encontre de civils et non de l’armée « ennemie », qui semblaient dépasser le simple but de vouloir s’emparer d’un territoire et d’un pouvoir. » (Nahoum-Grappe. 2002). Elle expliquera plus loin qu’après dix années de ces premières observations, ce qu’elle tentait de désigner, relève, en fait, d’une catégorie de crimes, graves, usant de cruauté dans l’application d’un programme de « purification ethnique ». Pourtant, quel que soit le critère invoqué, le phénomène n’est pas nouveau et loin d’être historiquement inédit. Si l’on reprend l’argument du nombre et de la gratuité de l’acte, le massacre n’est pas une invention du XXe s ; et ne dépend pas de la technologie contemporaine. On peut remonter assez loin et constater que dans ce domaine, l’homme a fait feu de tout bois, comme le montre El Kenz David dans ses travaux sur les guerres de religion (El Kenz 2010 & 2011). Parce que les sensibilités de l’époque admettaient ou toléraient certaines exactions, aux yeux des contemporains celles-ci ne relevaient pas de la violence extrême. Quant aux cruautés et autres exactions perpétrés à l’encontre des populations civiles, bien avant Auschwitz et l’ex-Yougoslavie, l’humanité en a souffert d’autres. Grâce aux travaux des historiens, certaines sont désormais relativement bien connues comme les atrocités commises lors des colonnes infernales dans la guerre de Vendée ou le massacre de May Lai dans la guerre du Vietnam. D’autres demeurent encore méconnues et insuffisamment étudiées. Les exactions menées lors des guerres coloniales et de conquêtes sont loin d’être toutes recensées. La mise à mort, en juin 1845, par « enfumade » de la tribu des Ouled Riah, dans le massif du Dahra en Algérie par le futur général Pélissier sont un exemple qui commence à peine à être porté à la connaissance en France comme en Algérie (Le Cour Grandmaison, 2005.). Qu’elle soit ethnique ou sociale, qu’elle soit qualifiée de purification ethnique ou d’entreprise génocidaire, cette extermination qui passe par des massacres de masse ne peut être qualifiée autrement que par violence extrême. Qu’elle s’exerce sur un individu ou contre un groupe, la violence extrême se caractérise presque toujours par un traitement cruel, le plus souvent pensé et administré avec une égale froideur ; une sorte d’« esthétisation de la cruauté ». Pour le dire avec les mots de Pierre Mannoni, la violence extrême use d’un certain « maniérisme de l'horreur », ou de ce qu’il appelle « une tératologie symbolique » (Mannoni ,2004, p. 82-83), c‘est à dire l’art de mettre en scène les monstruosités. Motivée par un danger ou une menace extrême justifiant, aux yeux du bourreau, une réponse extrême, cette violence extrême a pu s’exécuter par la machette (Rwanda) ou dans des chambres à gaz, comme par d’autres moyens et armes de destruction massive. C'est l'intégrité du corps social et sa pureté que le bourreau « croit » défendre en recourant à une exérèse… salvatrice. La cruauté fait partie de l’arsenal du combattant qui s’ingénie à inventer le scénario le plus cruel en profanant l’intime et le tabou. Françoise Sironi le montre à propos d’une des expressions de la violence extrême. L’efficacité destructrice de la torture est obtenue entre autres par la transgression de tabous culturels ; et par l’inversion qui rend perméable toutes les limites entre les dedans et les dehors. Réinjecter dans le corps ce qui est censé être expulsé (excréments, urine, vomissures) ; féminiser et exposer les parties intimes ou les pénétrer en dehors de la sphère intime, associer des parties démembrées d’un corps humain à celles d’un animal, sont autant de manières de faire violence extrême. Cette inversion transgressive use du corps de la victime pour terroriser le témoin et le survivant. Outrepassant l’habituel et l’attendu par la manière (égorgement, démembrement, énucléation, émasculation etc.,), les moyens (usage d’armes de destruction massive, d’armes nucléaires bactériologiques ou chimiques) et une certaine rationalité, la « violence extrême » est un dépassement d’horizon. L’acte par sa singularité suggère une sortie de l’humanité de son auteur désensibilisé, déshumanisé ; qui, par son forfait et dans le même mouvement, exclue sa victime de l’humanité. Pour Jacques Semelin, la violence extrême « est l’expression prototypique de la négation de toute humanité ; dans la mesure où ses victimes sont le plus souvent d’abord « animalisées » ou « chosifiées » avant d’être anéanties (Sémelin, 2002). Ajoutons qu’elle n’est pas qu’anéantissement, elle est aussi une affirmation démonstrative d’une surpuissance. Que ce soit par le nombre, la manière ou l’arbitraire, la violence extrême a ponctué l’histoire de l’humanité et continue à la hanter Parmi ses formes contemporaines, le terrorisme est une de ses manifestations les plus spectaculaires ; permettant de comprendre qu’elle est d’abord une théâtralisation. L’image de chaos que renvoient les attentats et autres exactions spectaculaires, est le résultat dument recherché à l’aide d’une organisation minutieuse et de stratégies affinées que cette image chaotique occulte souvent. Il s’agit d’une démarche rationnelle tendant à produire un acte apparemment irrationnel. Les massacres collectifs qui font partie de ce que Stéphane Leman-Langlois qualifie de « mégacrimes » (Leman-Langlois, 2006) constituent une autre forme contemporaine de cette violence extrême ; dont la Bosnie-Herzégovine et le Rwanda demeurent les exemples les plus dramatiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En raison de leur ampleur et l’organisation méthodique de leur exécution, ces massacres ont été, à juste titre, souvent qualifié de génocide. C’est le professeur de droit américain d’origine polonaise, Raphael Lemkin qui donnera le nom de génocide à ce que, Winston Churchill, parlant du nazisme, qualifiait de « crime sans nom ». Au terme génocide devenu polémique et idéologique, sera préféré la notion de massacre que Semelin définit comme « forme d’action le plus souvent collective de destruction des non combattants » (Sémelin 2012, p. 21). Dans les faits, il s’agit de la même réalité ; sans être des entreprises génocidaires, ces massacres de masse ont visé l’« extermination » de groupes humains en vue de s’emparer de leur territoire au sens le plus large. La violence extrême agit à la fois sur l'émotionnel et sur l'imaginaire ; en franchissant le seuil du tolérable et de la sensibilité ordinairement admise dans le cadre de représentations sociales. Le caractère extrême de la violence se définit en fonction d’un imaginaire partagé ; qu’elle heurte en allant au-delà de ce qu'il peut concevoir ; et des limites de ce qu'il peut « souffrir ». Il s’agit d’une violence qui franchit le seuil du concevable et ouvre vers un horizon encore difficilement imaginable et donc insupportable parce que non maîtrisable. Qu’est-ce qui motive ce recours à l’extrême ? Nombre d’historiens se sont demandé si les logiques politiques suffisaient à les expliquer. Ne faudrait-il pas les inférer aux dimensions psychologiques ? Plusieurs approches mettent, quelquefois, en rapport violence extrême et ressorts émotionnels (peur, colère et haine et jouissance..). D’autres fois, ce sont les pulsions psychiques qui sont invoquées. Incapables d’expliquer de telles conduites par les logiques sociales ou politiques, ce sont les dimensions psychologiques qui finissent par être mises en avant. L’acte, par son caractère extrême serait à la recherche du plaisir et de la jouissance dans l’excès, devenant ainsi une fin en soi. Il peut également être une manière de tenter de compenser des manques en recherchant du sens dans le non-sens. Cela a pu être expliqué aussi comme une manière de demeurer du côté des hommes en animalisant ou en chosifiant la victime, en la faisant autre. L’auteur de la violence extrême procède à une négation de sa victime pour se (re) construire lui-même. Pure jouissance (Wolfgang Sofsky) délire (Yvon Le Bot, J Semelin) ou conduite fonctionnelle de reconstruction de soi (Primo Levi), sont les trois approches avancées pour expliquer la cruauté comme acte inadmissible et inconcevable (Wierworka, 2004 : p 268). Or, la violence extrême prend la forme d’une cruauté quand ses protagonistes redoublent d’ingéniosité pour inventer le scénario inédit le plus cruel. Car la violence extrême est d’abord un indéchiffrable insupportable qui se trouve par commodité rangé du côté de l’exceptionnalité. Parce qu’inintelligible, elle est inacceptable, elle est extra… ordinaire. Ses auteurs sont des barbares, des bêtes, des monstres ; autrement dit ; des inhumains parce qu’ils accomplissent ce que l’humain est incapable de concevoir. Dans quelle mesure, de telles approches ne sont-elles pas une manière de rassurer la société des humains qui exclue ces « monstres » exceptionnels seuls capables d’actes … inhumains ? Parce qu’inexplicables, ces violences sont quelquefois rangées dans le registre de la folie ; et qualifiées de « barbares » ou de « monstrueuses » ; des qualificatifs qui déshumanisent leurs auteurs et signalent l’impuissance du témoin à comprendre et à agir. En d’autres termes, tant que la violence relève de l’explicable (réciprocité, échange, mimétisme etc.), elle demeure humaine ; et devient extrême quand elle échappe à l‘entendement. Indicible parce qu’injustifiable, la violence extrême est inhumaine. Cependant, aussi inhumaine soit-elle d’un point de vue éthique, la violence extrême demeure du point de vue anthropologique, un acte terriblement humain ; et que l’homme accomplit toujours à partir de déterminants et selon un raisonnement humains. Comme le dit Semelin : « Les deux faces de la violence extrême, sa rationalité et sa démence, ne peuvent se penser l’une sans l’autre. Et rien ne sert de dénoncer la sauvagerie des tueurs en omettant de s’interroger sur leurs buts » (Semelin, 2000). L’auteur de l’acte de violence extrême s’érige en homme-dieu pour dénier toute humanité à la victime qu’il décide d’exclure de la vie, de la déshumaniser en l’expulsant vers l’infra humain.
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Tiriba, Lia. "Colectivo obrero, trabajo y educación: escenas Madrilenas del trabajo industrial en la Guerra Civil española." Revista Brasileira de Estudos Pedagógicos 77, no. 185 (June 18, 2019). http://dx.doi.org/10.24109/2176-6681.rbep.77i185.1091.

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Abstract:
Ao se constituir como uma frente popular de luta contra o fascismo, a guerra civil espanhola (1936-1939) promoveu mudanças significativas na estrutura do Estado e nas diferentes instâncias da sociedade. Socializados os meios de produção, as coletividades operárias e camponesas ensaiaram os primeiros passos em busca de uma outra lógica para a articulação entre o mundo da cultura e o mundo da produção, tendo como perspectiva a construção de uma nova ordem social inspirada nos princípios do socialismo. Neste artigo reconstituímos a história da Asociación Colectivade Trabajo Almacenes Quirós (ACTAQ) e, para compreender as dimensões da relação entre trabalho e educação no interior da fábrica, nos perguntamos: No cenário político, económico e social da revolução popular, quais os desafios da produção? Quais os objetivos do Conselho Operário no processo de educação dos demais trabalhadores coletivos? Que concepções de trabalho e de mundo estavam subjacentes ao processo educativo? Em que medida as práticas de trabalho, inspiradas nos princípios stajanovistas, iam em sentido contrário ao ideário de homem e de sociedade? Em que medida a vida cotidiana no chão-de-fábrica contrariava/reproduzia a lógica da organização capitalista de trabalho? Abstract Constituting itself as a popular struggle front against the fascism, the Spanish civil war (1936-1939) promoted meaningful changes in the structure of the State and in the different instances of the society. Socialized the means of production, the worker collectivities and peasants tested the first steps in search of an other logic for the articulation between world of the culture and world of production, toward the construction of a new inspirational social order according to the principles of the socialism. In this article we reconstitute the history of the Asociacion Colectiva de Trabajo Almacenes Quiros (ACTAQ) and in order that to understand the dimensions of the relationship work-education in the interior of the factory, we ask ourselves: In the political, economic and social context of the popular revolution, which were the challenges of the production? Which the objectives of the Worker Council in the education process of the other collective workers? What work and world conceptions were underlying in the educational project? In what extent occupational practices, inspired in the stajanovist principles, went in opposite sense to the ideal of man and of society? In what measure the daily life in the "factory-floor" was contradicting/was reproducing the logic of capitalistic organization of the work? Résumé En se constituant comme un front populaire contre lefascisme, la guerre civile espagnole (1936-1939) a promu des changements pleins de sens dans la structure de I 'Etat et dans les instances differentes de la societe. Socialises les moyens de production, les collectivities des ouvriers et pay sans ont testé les premiers pas dans la recherche d'une autre logique pour l'articulation entre monde de la culture et monde de la production, vers la construction d'un nouveau ordre social inspiré dans les principes du socialisme. Dans cet article, nous reconstituons l'histoire de l 'Asociación Colectiva de Trabajo Almacenes Quirós (ACTAQ) et, pour comprendre les dimensions du rapport travail-éducation dans l'intérieur de l'usine, nous demandons: Dans les contextes politique, économique et social de la révolution populaire, quels étaient les défis de la production? Quels étaient les objectifs du Conseil de l'Ouvrier dans l'éducation des autres ouvriers colectifs? Quelles conceptions du travail et du monde étaient sousjacentes au projet éducatif? Dans quelles mesures les practiques labourales, inspirées dans les principes stajanovistes ont résisté I 'ideal de l'homme et de société? Dans quelle mesure la vie quotidienne dans l'usine contredisait/reproduisait la logique de l'organisation capitaliste du travail? Resumen Al constituirse como un frente popular de lucha contra el fascismo, la guerra civil española (1936-1939) promovió cambios significativos en la estructura del Estado y en las diferentes instancias de la sociedad. Socializados los medios de producción, las colectividades obreras y campesinas ensayaron los primeros pasos en búsqueda de otra lógica para la articulación entre mundo de la cultura y mundo de la producción, hacia la construcción de un nuevo orden social inspirado en los principios del socialismo. En este articulo reconstituimos la historia de la Asociación Colectiva de Trabajo Almacenes Quirós (ACTAQ) y, para comprender las dimensiones de la relación trabajo-educación en el interior de la fábrica, nos preguntamos: En el escenario político, económico y social de la revolución popular ¿cuáles eran los desafíos de la producción? ¿Cuáles los objetivos del Consejo Obrero en el proceso de educación de los demás trabajadores colectivos? ¿Qué concepciones de trabajo y de mundo estaban subyacentes en el proyecto educativo? En qué medida las prácticas laborales, inspiradas en los principios stajanovistas, iban en sentido contrario al ideario de hombre y de sociedad? ¿En qué medida la vida cotidiana "al pie-de-la-máquina" contrariaba/reproducía la lógica de la organización capitalista del trabajo?
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Gandsman Ari, Vanthune Karine. "Génocide." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.098.

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Abstract:
Si le but premier de l'anthropologie est de faire de notre monde un endroit sans danger pour les différences humaines, tel que l’affirma Ruth Benedict, le génocide, qui a pour but ultime l'élimination systématique de la différence, pose un problème urgent pour la discipline. Au cours des dernières décennies, le rôle et les responsabilités éthiques de l'anthropologue vis-à-vis des groupes auprès desquels il mène ses recherches ont fait l’objet de nombreux débats –dont entre autres ceux conduits par Scheper-Hughes (1995), qui plaide pour un engagement militant des chercheurs au nom d’une responsabilité morale, et d’Andrade (1995), qui argue pour leur neutralité afin de préserver leur objectivité. Toutefois, dans le contexte du génocide, de tels débats n’ont pas leur place, l'anthropologue ne pouvant en être un observateur détaché. L’anthropologie du génocide n’est apparue que vers la fin des années 1990, avec la publication d’Annihilating Difference (2002) de Laban Hinton. Plus généralement, les anthropologues ne s'intéressèrent pas à la violence étatique avant leur intérêt croissant pour le discours et la défense des droits humains, à partir des années 1980. Dès lors, ils s’éloignèrent de l'étude à petite échelle de communautés relativement stables, pour se concentrer sur des objets de plus grande échelle comme l’État, les institutions ou les mouvements transnationaux. Ce changement d’approche eut pour effet de dé-essentialiser le concept de culture, complexifiant du même coup l’analyse des différences humaines et de leur construction et leur réification pour fins d’annihilation. Les approches anthropologiques du génocide en historicisent et contextualisent le concept, en en faisant remonter les origines aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, lorsque les atrocités commises par l'Allemagne nazie furent décrites par Winston Churchill comme « crime sans nom ». Raphael Lemkin, un juriste polonais-juif, inventa le néologisme en combinant genos, le préfixe grec pour « gens », avec cide, le suffixe latin pour « meurtre » (Power 2002). Il fut adopté par le droit international en 1948, via la Convention des Nations Unies sur la prévention et la répression du génocide, qui le définit comme une série d'actes « commis dans l’intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel ». Bien que les anthropologues n’abordassent pas directement le génocide nazi, beaucoup furent impliqués dans ce dernier. L’anthropologue Germaine Tillion, qui fut internée dans le camp de concentration de Ravensbrück après avoir été capturée comme membre de la résistance française, en publia même une étude ([1945] 2015). Le mouvement d’autocritique de la discipline a amené nombre d’anthropologues à relire, au travers du prisme du génocide, la complicité de leurs prédécesseurs avec les projets coloniaux de l’époque. L'« ethnologie de sauvetage », par exemple, a été dénoncée comme ayant problématiquement eu pour prémisse la disparition inévitable et rapide des peuples autochtones. Nancy Scheper-Hughes (2001) a à ce titre analysé la relation ambivalente qu’eut Alfred L. Kroeber avec Ishi, alors présumé dernier survivant d’un peuple décimé. L'anthropologie biologique et physique a pour sa part été accusée d’avoir accordé une crédibilité scientifique à des idéologies racistes ayant légitimé des génocides, comme ce fut le cas en Allemagne nazie. Plus insidieux est le fait que des théories anthropologiques aient pu être appropriées par des promoteurs de discours de différenciation et d’haine raciale, comme par exemple les théories hamitiques, inspirées des études linguistiques et mythologiques de l’indo-européen, qui furent plus tard mobilisées pour justifier le génocide rwandais. La plupart des études anthropologiques contemporaines sur le génocide en examinent l’après. Les anthropologues se concentrent notamment sur la manière dont les génocides sont remémorés et commémorés, en particulier en termes de construction de « la vérité » dans le contexte de projets dits de « justice transitionnelle », ou en relation avec le legs à plus long terme de cette violence, qui peut toucher plusieurs générations. Ce type d’études se centre généralement sur l’expérience des victimes. Quelques travaux, néanmoins, étudient les origines des génocides, et portent alors leur regard sur leurs auteurs –comme ceux de Taylor (1999) sur le Rwanda, ou de Schirmer (1998) sur le Guatemala– et se penchent sur la question du passage à l’acte et de la responsabilité individuelle (Terestchenko 2005 ; Kilani 2014). Ce type d’études prend ce faisant très au sérieux le problème éthique de la représentation du génocide, tel que le décria Adorno, quand il qualifia de barbare l’écriture de poésie après Auschwitz. Si représenter le génocide se présente comme une injonction morale, demeure le danger de le mystifier ou de le normaliser. C’est pourquoi la plupart des anthropologues qui analysent ce phénomène essaient d’être fidèles à l’appel de Taussig (1984) d’« écrire contre le terrorisme ». Ils reconnaissent toutefois les limites de toute approche compréhensive de ce phénomène, le témoin idéal du génocide, comme l’ont souligné Levi (1989) et Agamben (1999), étant celui qui ne peut plus parler. La définition du génocide continue de faire l’objet de débats importants parmi ses spécialistes, dont les anthropologues. Si les cibles d’un génocide sont généralement perçues comme constituant un groupe ethnique ou religieux aux yeux de ses protagonistes, Lemkin avait initialement prévu d'y inclure les groupes politiques. Or ces derniers furent exclus de la définition de la Convention en raison d'objections soulevées notamment par l'Union soviétique, à l'époque engagée dans l’élimination des présumés opposants politiques au régime stalinien. De nombreux chercheurs continuent de plaider pour que la définition du génocide ne fasse référence qu’à la seule intention d'éliminer des personnes sur la base de leur présumée différence raciale. D'autres, cependant, s’opposent à cette restriction de la définition, suggérant au contraire de l’élargir afin d'y inclure les catastrophes écologiques, par exemple, ou la destruction systématique d'identités culturelles, telle que le projetât le système des pensionnats indiens au Canada (Woolford 2009). Si élargir le sens du génocide risque de diluer sa spécificité au point de le banaliser, reste qu’une définition trop stricte du phénomène peut faciliter la contestation d’allégations de génocide pour quantité de meurtres de masse –et dès lors entraver sa prévention ou punition. C’est pourquoi Scheper-Hughes (2002), par exemple, plaide plutôt pour la reconnaissance de « continuums génocidaires ». Selon elle, démontrer le potentiel génocidaire des formes de violence quotidienne et symbolique par le biais desquelles les vies de certains groupes en viennent à être dévaluées, peut contribuer à la prévention de ce type de violence de masse. Un autre sujet de controverse concerne le particularisme de l'Holocauste, tantôt conçu comme un événement historique singulier qui défie toute comparaison, ou comme un phénomène d’extermination de masse parmi d’autres ayant eu pour précurseurs des génocides antérieurs, comme le génocide arménien. Une autre question est de savoir si un génocide ne peut se produire que dans un contexte où ses victimes sont sans défense, ce qui rendrait dès lors l’utilisation de ce concept inadmissible dans des situations où les victimes ont eu recours à la violence pour se défendre. De nombreux travaux anthropologiques ont d’ailleurs remis en cause la nature exclusive des catégories de victime, d’auteur ou de spectateur dans des situations de violence extrême, et ce étant donnée la « zone grise » identifiée par Levi (1989) et discutée par Agamben (1999) –soit ce matériau réfractaire, dans des situations de violence de masse, à tout établissement d'une responsabilité morale ou légale, l’opprimé pouvant devenir l’oppresseur, et le bourreau, une victime. Ce faisant, la plupart rejettent une conceptualisation purement relativiste du génocide, et dénoncent la mobilisation de ce concept pour justifier des programmes politiques racistes ou anti-immigration – comme c’est aujourd’hui le cas en Amérique du Nord et en Europe, où certains groupes fascistes d’extrême droite revendiquent être les victimes d’un « génocide blanc » pour légitimer des politiques xénophobes. La question de qui a l’autorité de qualifier des actes de violence comme constituant un génocide, et au nom de qui, demeure –tel que le démontre Mamdani (2009) dans sa critique du mouvement « Sauver le Darfour ». Qualifier tout phénomène de violence de masse de « génocide » n'est pas qu’un acte de description. Il constitue d’abord et avant tout une action politique qui implique un jugement éthique.
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