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Fournioux, Jean-Claude, and Roger Bessis. "Influence de la teneur en gaz carbonique sur la morphogenèse de la vigne en culture in vitro." Canadian Journal of Botany 64, no. 11 (November 1, 1986): 2608–16. http://dx.doi.org/10.1139/b86-345.

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Abstract:
Two different types of morphogenesis are induced in vitro in the grapevine by changing the system of sealing the culture tubes (with or without Parafilm). The differences appear mainly in the degree of miniaturiation: the plants the most miniaturized, those with Parafilm, have all the characteristics of an immature juvenile state. The others, without Parafilm, show an intermediate morphology between the adult and the juvenile forms. It follows then that the importance of juvenile characters is linked to the degree of miniaturization. One of the effects of Parafilm is in the modification of the amount of CO2 in the atmosphere of the tubes: in excess during the dark phase and in severe shortage during the light phase. We have found then, that among all the environmental factors which could influence the morphogenesis of the grapevine in vitro, CO2 appears to play a relatively important role.
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DOREAU, M., R. BAUMONT, and J. M. PEREZ. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 24, no. 5 (December 8, 2011): 411–14. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3274.

Full text
Abstract:
Les impacts environnementaux liés aux productions animales sont pris en considération depuisau moins deux décennies. Mais jusqu’à une date récente, ils étaient considérés comme des «dommagescollatéraux» résultant de la nécessité de nourrir la planète. Depuis le rapport de la FAO«Livestock’s long shadow» (Steinfeld et al 2006), les préoccupations environnementales liées enparticulier aux gaz à effet de serre (GES) ont pris une importance croissante auprès des acteursdes filières animales et des décideurs politiques. Elles sont désormais au centre de la réflexion surle développement de l’élevage. En témoignent des documents dépassant le cadre de l’agriculturecomme la publication des propositions du «Grenelle 2» par le gouvernement français, ou la feuillede route de l’Union Européenne pour une baisse drastique des émissions de gaz carbonique àl’échéance de 2050. En fait, le problème est planétaire, car la consommation mondiale de produitsanimaux augmente, tendance appelée à se poursuivre en raison de l’évolution démographiqueet de l’accroissement de la part des produits animaux dans l’alimentation dans les pays endéveloppement et émergents (Gerber et al 2011). La revue INRA Productions animales a publié depuis plusieurs années de nombreux articlesrelatifs aux relations entre élevage et environnement, analysées sous divers angles. Récemmentdes articles relatifs aux polluants ou aux aspects environnementaux plus globaux ont été publiésdans le cadre de trois numéros thématiques : «Porcherie verte» avec notamment des articles surles éléments à risque et les émissions gazeuses lors de la gestion des effluents (Bonneau et al2008a, b), «Les nouveaux enjeux de la nutrition et de l’alimentation du porc» avec un article surles relations entre nutrition et excrétion de polluants (Dourmad et al 2009), et «Elevage en régionschaudes» avec un article consacré aux impacts et services environnementaux (Blanfort et al2011). Des articles ont également été publiés sur la quantification des émissions de méthane parles animaux d’élevage en France (Vermorel et al 2008) et sur la modélisation des émissions deméthane chez les ruminants (Sauvant et al 2009). Enfin, les moyens de réduire les rejets porcinset avicoles par la génétique ont été analysés (Mignon-Grasteau et al 2010). A signaler aussi lenuméro spécial «Elevage bio» en 2009, qui analysait les systèmes d’élevage biologique sans toutefoisdiscuter leurs avantages au plan environnemental. La réduction des émissions de GES par l’élevage est devenue un enjeu majeur des recherchessur les systèmes d’élevage et en nutrition animale. Ce dossier composé de quatre articles estconsacré aux GES en élevage bovin en mettant l’accent sur le méthane. En effet dans la plupartdes systèmes laitiers et à viande, le méthane est le gaz à effet de serre qui contribue le plus auxémissions, exprimées en équivalent gaz carbonique, comme le montre le premier article (Dollé etal 2011) qui replace les émissions de méthane dans l’ensemble des émissions de gaz à effet deserre. Un travail considérable a été réalisé pour évaluer et comparer les systèmes français, et lesINRA Productions Animales, 2011, numéro 5situer dans un contexte plus global : depuis quelques années les émissions induites par des systèmesd’élevage très divers sont étudiées dans le monde, principalement en Europe. Le deuxièmearticle (Sauvant et al 2011) analyse les relations étroites entre la production de méthane et les fermentationsdans le rumen selon la nature du régime alimentaire, puis discute la précision des principaleséquations empiriques de prévision de la production de méthane, ainsi que des modèlesmécanistes qui ont été développés. Des voies d’amélioration sont proposées. Dans un troisièmearticle (Popova et al 2011), les mécanismes de production de méthane dans le rumen sont analysés.Un intérêt particulier est porté au rôle des Archaea méthanogènes, microorganismes qui constituentun domaine spécifique du règne vivant et qui sont les seuls à produire du méthane à partirde l’hydrogène. La compréhension des mécanismes est un élément majeur pour prévoir les effetspossibles d’une ration, d’un additif, d’une biotechnologie sur la production de méthane. Laconnaissance actuelle de ces effets est présentée dans un quatrième article (Doreau et al 2011),centré sur les résultats obtenus in vivo. Il est en effet important de confronter les annonces faitesà partir d’essais in vitro, ou d’un seul essai in vivo mené sur le court terme, aux résultats d’étudesapprofondies reposant sur une base expérimentale solide. Ce dossier dresse un bilan des recherches et de l’état des connaissances sur le méthane entérique,et mentionne les principaux leviers d’action pour réduire les émissions des trois principauxgaz à effet de serre. Une vision plus large nécessiterait le développement d’aspects complémentaires.En premier lieu, celui des émissions de méthane et de protoxyde d’azote liées aux effluents.Elles sont toutefois très mal connues et éminemment variables, comme l’ont souligné Hassounaet al (2010) qui ont développé une méthode permettant de les évaluer en bâtiments. En deuxièmelieu, l'impact des nombreuses voies permettant de réduire les émissions de protoxyde d'azote auchamp doit être évalué. Ainsi, serait nécessaire une analyse portant sur les différents moyens permettantde limiter la fertilisation azotée minérale (fertilisation «de précision», recours aux légumineuses,inhibition des réactions de nitrification/dénitrification dans les sols, meilleure gestiondu pâturage…) qui sont seulement évoqués dans le texte de Dollé et al (2011). Enfin, la séquestrationde carbone par les prairies doit être prise en compte dans l’analyse de la contribution desélevages de ruminants au réchauffement climatique. Les valeurs actuellement retenues sont probablementsous-estimées (Soussana et al 2010), mais les résultats récents mettent en évidence unetrès grande variabilité de ce stockage de carbone, liée non seulement au type de végétation et auxconditions pédologiques, mais aussi, entre autres, au type d’exploitation par les animaux et auxaléas climatiques (Klumpp et al 2011). Le réchauffement climatique est actuellement considéré par les médias et les décideurs politiquescomme l’urgence en termes de protection de notre environnement. Cela ne doit pas faireoublier qu’il est nécessaire de prendre en compte simultanément l’épuisement de certaines ressourcescomme l’énergie fossile et les phosphates, la raréfaction des réserves en eau, la compétitionpour les surfaces agricoles, et la pollution de l’air, des sols et de l’eau par différentes moléculesminérales et organiques. L’analyse des impacts environnementaux, en tant que composantede la durabilité des systèmes d’élevage, doit donc être multifactorielle et prendre également encompte les services environnementaux et sociétaux de l’élevage, une activité qui fait vivre plusd’un milliard d’habitants de notre planète.
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Lesiak, Aleksandra, Adam Rakowski, Agnieszka Brzezinska, Michal Rogowski-Tylman, Pawel Kolano, Anna Sysa-Jedrzejowska, and Joanna Narbutt. "Effective Treatment of Nodular Amyloidosis with Carbon Dioxide Laser." Journal of Cutaneous Medicine and Surgery 16, no. 5 (September 2012): 372–74. http://dx.doi.org/10.1177/120347541201600519.

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Abstract:
Background: Nodular amyloidosis is a rare form of localized cutaneous amyloidosis that is characterized by nodules located on the extremities, trunk, genitalia, or face. In treatment regimens, many approaches have been described, including carbon dioxide (CO2) laser therapy. Objective: We present a case of a 60-year-old white male with a 20-year history of disseminated waxy, purpuric, yellowish, and bullous skin lesions on the trunk and extremities. The skin changes were accompanied by pain during palpation and were temporarily pruritic. Method: Based on histologic and direct immunofluorescence test findings, the diagnosis of cutaneous nodular amyloidosis was established. Skin lesions were treated with a CO2 laser. During surgery, treated tissue was found to be slightly friable, and there was a little problem with hemostasis that correlated with amyloid infiltration of the dermis and blood vessels. However, after 8 weeks, we observed clinical improvement of all treated areas with the presence of atrophic scars. In the regions of laser therapy, no recurrence of the disease was observed during a 12-month follow-up. Conclusion: Based on these results, we conclude that CO2 laser has a beneficial effect in the treatment of nodular amyloidosis; however, surgery procedures may be associated sometimes with tissue friability and poor hemostasis. Contexte: L'amylose nodulaire est une forme rare d'amylose cutanée localisée, qui se caractérise par des nodules situés sur les membres, le tronc, les organes génitaux, et la face. Diverses formes de traitement ont été décrites, notamment le traitement au laser à gaz carbonique (CO2). Objectif: Nous exposons ici le cas d'un homme de 60 ans, de race blanche, présentant, depuis une vingtaine d'années, des lésions cutanées bulleuses, jaunâtres, purpuriques, et d'apparence cireuse, disséminées sur le tronc et les membres. Les lésions s'accompagnaient de douleur à la palpation et étaient prurigineuses pendant un certain temps. Méthode: Le diagnostic d'amylose nodulaire cutanée a été posé d'après les résultats de l'examen histologique et de l'immunofluorescence directe. Les lésions ont été traitées au laser à CO2. Les tissus se montraient légèrement friables durant la chirurgie, et l'hémostase était quelque peu difficile en raison de l'infiltration amyloïde du derme et des vaisseaux sanguins. Toutefois, une amélioration clinique de toutes les régions traitées a été marquée, au bout de 8 semaines, par l'apparition de cicatrices atrophiques. Il n'y a pas eu de récidive de la maladie dans les régions traitées au laser, au cours d'un suivi de 12 mois. Conclusion: Nous avons déduit des résultats que le laser à CO2 avait un effet favorable sur l'amylose nodulaire; cependant, l'intervention chirurgicale peut parfois être gênée par la friabilité des tissus et une mauvaise hémostase.
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Combe, Laurette, Jean-Michel Bertolini, and Philippe Quétin. "Photosynthèse de la primevère (Primula obconica Hance): Effets du gaz carbonique et de l’éclairement." Canadian Journal of Plant Science 73, no. 4 (October 1, 1993): 1149–61. http://dx.doi.org/10.4141/cjps93-154.

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Abstract:
Net CO2 exchange rates were measured on a 1 m2 crop of Primula obconica placed in a closed loop growing chamber as a function of irradiation and CO2 concentration. Greenhouse cultivation with CO2 enrichment (700 ppm) or without (350 ppm) had only very little effect on dry weight or on flowering rate and did not modify photosynthetic capacity of primrose. Productivity differences between horticultural techniques, such as supplemental lighting and/of CO2 enrichment, can be partly explained by study of photosynthesis curves: light increase is more efficient than carbon dioxide increase, the latter giving the best results with young primroses under strong irradiation. Key words: Primula obconica, net assimilation, carbon dioxide air concentration, light intensity, carbon fertilization
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Nyarwaya, J. B., P. Sébastien, V. Umbrain, K. Samii, and A. d’ Hollander. "Effets de L’embolie au gaz carbonique sous ventilation au mélange oxygène-protoxyde d’azote chez le porc." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 12, no. 12 (1993): R138. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(16)30138-1.

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DIRRENBERGER1, P. "Méthanisation (partie 1) : principe, paramètres et polluants émis – état de l’art." Techniques Sciences Méthodes, no. 9 (September 21, 2020): 15–30. http://dx.doi.org/10.36904/tsm/202009015.

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Abstract:
La méthanisation est un processus biologique de dégradation anaérobie de la matière organique, poursuivant deux buts principaux : une valorisation énergétique par la production de biogaz, composé en majorité de méthane (CH4) et de gaz carbonique (CO2), et une valorisation agronomique par la production de digestat (résidu organique liquide ou pâteux des déchets non digérés), riche en nutriments (azote, phosphore, potassium) et pouvant être utilisé comme fertilisant ou amendement (épandage direct ou compostage). La digestion anaérobie est un procédé complexe mettant en jeu de nombreux microorganismes. Pour qu’il soit efficace, des paramètres variés (température, pH, temps de séjour…) doivent être pris en compte, maîtrisés et suivis tout au long du processus. Il est également nécessaire de connaître les inhibiteurs de la méthanisation pouvant enrayer le processus. Comme tout procédé de traitement des déchets, la méthanisation est susceptible de générer, à chaque étape, de nombreux gaz et aérosols pouvant être délétères pour la santé des travailleurs potentiellement exposés. Cet article vise à rappeler le principe et le fonctionnement de la méthanisation, à répertorier les paramètres influant sur le procédé, les notions permettant de définir les caractéristiques du déchet entrant et les polluants délétères potentiellement émis au cours du procédé.
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Bourguignon, Chloé, Charlotte Vernisse, Joffrey Mianné, Mathieu Fieldès, Engi Ahmed, Aurélie Petit, Isabelle Vachier, et al. "Les organoïdes pulmonaires." médecine/sciences 36, no. 4 (April 2020): 382–88. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/2020056.

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Abstract:
L’impact en santé publique des pathologies respiratoires chroniques ne cesse de croître. Dans ce contexte, il paraît indispensable d’améliorer les modèles d’études du poumon afin de reproduire au plus proche l’architecture pulmonaire complexe, garante des fonctions d’oxygénation et d’épuration du gaz carbonique. Les connaissances actuelles en physiopathologie respiratoire résultent en partie des études de modèles de reconstitution d’épithélium bronchique in vitro à partir de cellules primaires, en deux dimensions sur des inserts, ou en trois dimensions, en organoïdes mimant jusqu’à l’arborescence pulmonaire. Le développement de ces modèles in vitro a connu un nouvel essor grâce aux organoïdes pulmonaires issus de cellules souches pluripotentes et la démocratisation des outils d’édition du génome. Ces apports technologiques récents offrent de nouvelles perspectives en matière de thérapeutiques ou de compréhension physiopathologique et pourraient, dans le futur, ouvrir les portes de la médecine régénératrice pulmonaire.
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Zunquin, Gautier, Denis Theunynck, Bruno Sesboüé, Pierre Arhan, and Dominique Bouglé. "Effets de la puberté sur la balance glucido-lipidique lors de l’exercice de l’enfant obèse." Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism 31, no. 4 (August 2006): 442–48. http://dx.doi.org/10.1139/h06-015.

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Abstract:
Étudier l’effet de la puberté sur l’oxydation des substrats énergétiques lors d’un test d’effort aérobie chez des enfants obèses. Deux groupes d’adolescents obèses garçons (34 pré-pubères : indice de masse corporelle (IMC) = 25,94 ± 2,63; Z-score = 4,43 ± 1,83 et 26 post-pubères : IMC = 31,14 ± 4,88; Z-score = 5,264 ± 1,76) ont effectué un test d’intensité croissante sur cycloergomètre. Le premier palier du test est fixé à 30 W, puis l’incrémentation est de 20 W toutes les 3 min 30 s. La moyenne des mesures des gaz ventilatoires, effectuée lors des 30 dernières secondes de chaque palier, nous a permis de calculer les taux d’oxydation des glucides et des lipides en fonction de l’intensité de l’exercice. Les taux d’oxydation des lipides sont significativement supérieurs dans le groupe d’enfants post-pubères. Quand les niveaux d’oxydation sont rapportés à l’importance de la masse maigre (mg·min–1·kg–1 de masse maigre), les niveaux d’oxydations des lipides sont plus importants pour les enfants n’ayant pas effectué leur puberté. La puberté est responsable d’une diminution de la capacité de la masse maigre à utiliser les lipides pour un même niveau d’exercice.
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Bouzid, Noureddine, Noureddine Settou, Touhami Lanez, Abdelkader Djelloul, Ahmed Abdelhafid Bebba, and Fatiha Chelgham. "Rôle des transferts thermiques sur la corrosion des concentriques utilisés dans les puits producteurs d’eau albienne." Revue des sciences de l'eau 22, no. 3 (August 3, 2009): 397–406. http://dx.doi.org/10.7202/037778ar.

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Abstract:
Résume L’eau de l’aquifère albien de la région de Haoud‑Berkaoui est utilisée à grande échelle et à des fins variées dans le Bas‑Sahara algérien, notamment dans le domaine de l’extraction pétrolière. Pour améliorer les conditions d’exploitation de l’eau souterraine, des concentriques ont été installés au sein des puits producteurs pour l’acheminement d’inhibiteurs de corrosion. La durée de vie de ces concentriques, prévue initialement pour cinq années, a été réduite à seulement deux ans, des fuites importantes d’eau ainsi que des dégradations au niveau des têtes de puits ayant été constatées. Les analyses chimiques des échantillons d’eau de plusieurs forages montrent que ces derniers sont de nature incrustante, chargés en sulfates, peu riches en gaz carbonique dissous et ne contiennent pas de H2S ni d’oxygène. Il a été possible, par thermométrie, de mettre en évidence l’existence d’un gradient de température, variable en fonction de la profondeur et pouvant atteindre 16 °C. La corrosion du concentrique sous transfert thermique a été examinée à l’aide des techniques électrochimiques. La vitesse de corrosion augmente considérablement en fonction du gradient de température croissant, quelle que soit la nature de l’eau (ayant ou non subi un traitement préalable par bactéricides et inhibiteurs). La meilleure efficacité des traitements employés a été obtenue pour un gradient nul et n’atteint que 30 %. L’absence totale de FeS élimine toute possibilité de corrosion d’origine bactérienne, le gradient de température semble favoriser l’accélération de la cinétique d’échange entre le métal et l’eau.
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Constant, P., L. Poissant, and R. Villemur. "Impact de la variation du niveau d'eau d'un marais du lac Saint-Pierre (Québec, Canada) sur les concentrations et les flux d'hydrogène, monoxyde de carbone, méthane et dioxyde de carbone." Revue des sciences de l'eau 18, no. 4 (April 12, 2005): 521–39. http://dx.doi.org/10.7202/705571ar.

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Abstract:
Le but de la présente étude était d'étudier l'impact de la variation des niveaux d'eau d'un marais d'eau douce (Baie Saint-François, Québec) sur l'évolution des concentrations et des flux d'hydrogène, monoxyde de carbone, méthane et dioxyde de carbone. Une approche originale impliquant l'association d'un gradient de concentration de ces composés sur un profil vertical de 1,5 m au transfert de flux turbulent micrométéorologique fut utilisée pour la détermination des flux. L'étude démontre qu'une hausse du niveau d'eau d'un bassin versant alimentant une zone humide influence les flux de méthane, de monoxyde de carbone d'hydrogène et de dioxyde de carbone. En conditions submergées, le marais émettait du méthane et du monoxyde de carbone et consommait moins d'hydrogène troposphérique. Ainsi, cette étude démontre que des mesures in situ peuvent servir à inférer des scénarios d'impacts possibles des changements climatiques et des variations des niveaux d'eau sur les émissions des gaz à effets de serre dans l'écosystème du fleuve Saint-Laurent.
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Razakarisoa, O., P. Muntzer, P. Rimmenlin, and L. Zilliox. "Incidence de la source de pollution sur la dissolution et la rétention sélective d'hydrocarbures en milieu poreux saturé en eau." Revue des sciences de l'eau 5, no. 2 (April 12, 2005): 157–78. http://dx.doi.org/10.7202/705126ar.

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Abstract:
Des expérimentations menées sur des modèles-colonnes de milieu poreux, se localisant sur des études de lessivage du corps d'imprégnation formé par des mélanges d'hydrocarbures et sur des essais de propagation de leurs parties solubles, ont été réalisées au laboratoire. Il est montré que le comportement des hydrocarbures en solution pendant le lessivage est fonction de la nature de la source de pollution, et que le transport des traces solubles d'alcanes est fortement freiné par les effets de l'échange liquide-gaz masquant les propriétés adsorbantes de la matrice solide, ou pouvant entraîner une modification du processus de sorption des hydrocarbures par la phase solide. La solubilité n'est pas un critère suffisant pour expliquer la dissolution sélective et progressive des constituants d'un corps d'imprégnation formé par un mélange de plusieurs espèces d'hydrocarbures, et lors du transport des parties solubles d'une telle source de contamination, l'influence des paramètres solubilité, constante de Henry et coefficient de distribution doivent être pris en compte simultanément pour étudier leur rétention sélective.
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Gaudy, Jean Henri, Marielle Quignon Atos, Jean François Sicard, and Raymond Maneglia. "Effets de l’halothane sur la ventilation et les gaz du sang artériel chez le rat avec ou sans paralysie diaphragmatique." Canadian Journal of Anaesthesia 42, no. 3 (March 1995): 249–55. http://dx.doi.org/10.1007/bf03010688.

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Metay, A., B. Mary, D. Arrouays, J. Labreuche, M. Martin, B. Nicolardot, and J. C. Germon. "Effets des techniques culturales sans labour sur le stockage de carbone dans le sol en contexte climatique tempéré." Canadian Journal of Soil Science 89, no. 5 (November 1, 2009): 623–34. http://dx.doi.org/10.4141/cjss07108.

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Abstract:
En régions de climat tempéré, les terres cultivées ont un potentiel de stockage de carbone que l’on peut tenter d’utiliser pour réduire d’autant les émissions de CO2 atmosphérique par des pratiques culturales adaptées et notamment par les techniques culturales sans labour (TCSL). Cette capacité de stockage de carbone dans le sol a été évaluée sur l’essai de longue durée de Boigneville (Bassin de Paris, France) et a été comparée aux données de la littérature internationale. Le suivi du stock de carbone du sol sous une rotation maïs-blé indique une tendance à un stockage modéré tant en système labouré (0,10 t C ha-1 an-1 sur 28 ans) qu’en TCSL (respectivement 0,21 t et 0,19 t C ha-1 an-1 pour le travail superficiel et le semis direct sur cette même période). Avec une absence de différence significative entre le semis direct et le travail superficiel, l’effet spécifique moyen des TCSL évalué à 0,10 t C ha-1 an-1 sur 28 ans apparait sensiblement plus faible que celui mesuré sur les 20 premières années et évalué à 0,20 t C ha-1 an-1. Ces valeurs, inférieures à d’autres valeurs largement diffusées par ailleurs, et cette variation décroissante de la capacité de stockage avec la durée de TCSL sont cohérentes avec la tendance moyenne observée à partir d’un large échantillonnage de données de la littérature internationale. L’évolution de ce stockage de carbone est discutée en lien avec les indications sur l’évolution du stock de carbone des sols de cette même région, les indicateurs de stockage potentiel, et les implications liées à l’évolution du climat.Mots clés: Techniques de culture sans labour, travail superficiel, semis direct, stockage de carbone, séquestration, mitigation, gaz à effet de serre, essai de longue durée, climat tempéré
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BRUNSCHWIG, P., C. HURTAUD, Y. CHILLIARD, and F. GLASSER. "L’apport de lin dans la ration des vaches laitières : Effets sur la production, la composition du lait et des produits laitiers, les émissions de méthane et les performances de reproduction." INRAE Productions Animales 23, no. 4 (November 14, 2010): 307–18. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2010.23.4.3310.

Full text
Abstract:
La supplémentation en lin des rations des vaches laitières est une pratique qui se développe, avec pour objectifs l’amélioration de la qualité nutritionnelle du lait et la diminution des rejets de méthane. En effet, la recherche de laits moins riches en Acides Gras (AG) saturés et avec un rapport plus faible entre acide linoléique et acide linolénique, incite à utiliser des aliments riches en acides gras polyinsaturés (et en particulier en acide alpha-linolénique C18:3 n-3) pour corriger des rations insuffisamment riches en cet AGPI. Parmi les aliments des vaches laitières, le lin est un aliment particulièrement riche en C18:3 n-3. La diminution des rejets de gaz à effet de serre (dont le méthane) est également une préoccupation actuelle des filières animales. De nombreux essais de supplémentation en lin, sous différentes formes, ont été publiés ces dernières années, et les données disponibles permettent de tirer des conclusions sur ces effets attendus. Le présent article fait le point sur les disponibilités en lin et sur les différentes formes d’apport dans les rations. Les effets du lin sur la production laitière, sur la composition du lait et des produits laitiers, la production de méthane et la reproduction sont passés en revue. L’analyse des effets sur le lait s’appuie sur 41 essais zootechniques publiés. La culture de lin oléagineux est peu importante en France. L’approvisionnement est fait dans des pays européens et au Canada. Les variétés présentent des teneurs variables en acide alpha-linolénique. L’introduction de lin dans la ration diminue un peu la quantité de MS ingérée mais ne modifie en général pas la production laitière (volumes et taux). La teneur du lait en AG saturés diminue et le pourcentage en C18:1-trans est augmenté, et ce d’autant plus que l’apport de lipides se fait sous forme non protégée (graines extrudées, huile) et avec des rations riches en amidon (pour les AG trans). La teneur en C18:2 n-6 n’est en moyenne pas modifiée, sauf par l’apport d’huile. La proportion en C18:3 n-3 du lait est multipliée en moyenne par 2 ou 3 pour les formes pratiques les plus efficaces (graines aplaties, farine), et peut atteindre jusqu’à 1,4% des AG du lait avec ce type de supplémentations. Il n’apparaît pas d’effet dose de lipides apportée pour le C18:2 n-6 et le C18:3 n-3, alors qu’il en existe un pour les C18:1-trans. Le beurre et les fromages ont la même composition en AG que le lait dont ils proviennent. Les qualités organoleptiques de beurres et fromages ne sont pas modifiées par l’addition de lin dans la ration. Différents effets sont cités dans la bibliographie pour expliquer une augmentation potentielle de la fertilité, qui reste à confirmer. La production ruminale de méthane est diminuée par l’ajout de lin dans la ration. En conclusion, l’ajout de lin à la ration des vaches laitières a des effets analogues à ceux d’introduction d’herbe dans le régime fourrager, à l’exception d’une teneur en AG trans supérieure.
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Gaudy, Jean-Henri, Jean-François Sicard, Raymond Maneglia, and Marielle Quignon. "Effets de l’halothane sur les gaz du sang et l’équilibre acido-basique artériels chez le rat intact et chez le rat chémodénervé." Canadian Journal of Anaesthesia 40, no. 9 (September 1993): 883–90. http://dx.doi.org/10.1007/bf03009263.

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La Branche, Stéphane. "La gouvernance climatique face à la mobilité quotidienne. Le cas des Lyonnais." Environnement urbain 5 (September 21, 2011): 10–23. http://dx.doi.org/10.7202/1005874ar.

Full text
Abstract:
Dans leurs efforts pour atteindre des objectifs de réduction des émissions de gaz à effets de serre, les villes font face à plusieurs défis, dont notamment le refus et les réticences des citoyens aux mesures climatiques. En matière de mobilité, ce problème est d’autant plus important qu’il touche aux phénomènes de « dépendance au sentier » et de l’automobilisme qui l’accompagnent : logistique et infrastructures, politique et économie, comportements et attitudes, temps et activités. Par le biais d’un sondage réalisé auprès de 650 Lyonnais, l’étude offre un portrait des motivations et des raisons de leur rejet relatif des modes doux de transports. L’étude montre que le changement climatique n’est pas un facteur de décision dans la mobilité quotidienne, que le confort, la rapidité et la liberté sont plus déterminants et ce, même pour les acteurs pour qui le climat représente le défi du 21e siècle. L’article termine avec quelques réflexions sur les implications pour une stratégie de politiques urbaines de déplacements.
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Courte, Amandine, Nathalie Cialdella, Alexandre Muller, Vincent Blanfort, Jean-Luc Bochu, and Michel Brossard. "Recenser et évaluer les pratiques agricoles qui stockent le carbone des sols, premier pas vers une agriculture à faible impact en Guyane." Cahiers Agricultures 29 (2020): 21. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020019.

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Abstract:
En Guyane, les questions environnementales et le besoin croissant en énergie et produits alimentaires liés à la croissance démographique exercent une pression accrue sur les ressources naturelles par le changement d’affectation des sols qu’ils engendrent. Des agriculteurs testent cependant des pratiques à faible impact conciliant objectifs de production et respect de l’environnement. Une prospection dans les systèmes de production agricoles guyanais, basée sur des enquêtes de terrain, a permis la description de ces pratiques ; parmi celles-ci, les pratiques à faible impact sur la dynamique du carbone ont été sélectionnées dans des systèmes maraîchers et arboricoles, pour des mesures spécifiques des stocks de carbone des sols. En Guyane, la pratique de la défriche est toujours active afin d’étendre les surfaces agricoles utiles. Cela induit des pertes de carbone importantes. Nous cherchons donc à identifier des pratiques qui permettent de compenser ces pertes. La place du sol dans les prises de décision des agriculteurs a été appréhendée et des mesures spécifiques des stocks de carbone des sols ont complété l’enquête, pour mieux comprendre les logiques des pratiques mises en œuvre et en cerner les effets. Nos résultats montrent que les agriculteurs maîtrisent « l’objet sol » dans ses composantes physiques ; la matière organique est un indicateur reconnu qui conditionne l’organisation des cultures sur l’exploitation. En Guyane, les agriculteurs mobilisant des pratiques à faible impact ont des systèmes de production efficients au niveau économique et environnemental (carbone et gaz à effet de serre).
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Aissani, Samia, and Ali Zitouni. "It's not just the indoor allergen that influences asthma." Batna Journal of Medical Sciences (BJMS) 8, no. 1 (June 4, 2021): 77–80. http://dx.doi.org/10.48087/bjmsra.2021.8114.

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Abstract:
Il est connu depuis longtemps que l’environnement influence l’asthme par effets des allergènes, des irritants et de la pollution atmosphérique sur l’arbre bronchique. De nouveaux facteurs sont de plus en plus décrits dans l’apparition ou l’aggravation de l’asthme mais peu rechercher en pratique. L’environnement interne domestique ou professionnel, dont lequel nous passons plus de temps peut contribuer à l’apparition ou l’aggravation d’un asthme. Cet environnement est complexe. Il est composé d’allergènes, de produits chimiques, de gaz, d’animaux et de produits électriques. Ces facteurs peuvent majorer l’inflammation bronchique et entrainant ainsi un non contrôle de l’asthme. Par ailleurs, en raison du changement du mode de vie, on est moins exposé au soleil ; Ce qui favorise le déficit en vitamine D, qui va majorer l’inflammation bronchique et le risque d’infections respiratoires. La conséquence sera l’augmentation de la fréquence des exacerbations et du non contrôle de l’asthme. Tout récemment, les chercheurs ont démontré l’implication de tous ces facteurs environnementaux dans la perturbation du microbiome respiratoire nécessaire dans la régulation de l’inflammation bronchique. Mots clés : asthme, environnement interne, produits chimiques, vitamine D, microbiome.
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GERMON, Amandine. "Conséquences de la coupe rase sur la production de racines fines, CO2, CH4 et N2O jusqu'à la nappe phréatique dans une plantation d'Eucalyptus grandis menée en taillis sur un dispositif d'exclusion de pluie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 346 (January 13, 2021): 79–80. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a36293.

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Abstract:
Une meilleure connaissance de la dynamique spatio-temporelle des racines fines et des gaz à effet de serre dans les couches profondes du sol est indispensable pour identifier des pratiques sylvicoles plus durables pour les forêts plantées dans un contexte de changement climatique. Notre étude visait à évaluer les effets des coupes claires et de la sécheresse sur la production de racines fines et les flux et la production de CO2, CH4 et N2O sur tout le profil de sol jusqu'à la nappe, dans des plantations d'Eucalyptus grandis conduites en taillis au Brésil. Les racines fines (diamètre < 2 mm) ont été échantillonnées jusqu'à une profondeur de 17 m sur un dispositif d’exclusion de pluviolessivat permettant de comparer des peuplements où 37 % du pluviolessivat a été exclu à l'aide de bâches en plastique (–W) avec des peuplements sans exclusion d'eau de pluie (+W). La dynamique racinaire, les flux en surface et les concentrations dans le sol de CO2, CH4 et N2O ont été mesurés dans deux fosses permanentes pour les deux traitements, + W et – W, avant la coupe des arbres et ensuite en conduite en taillis. La croissance des racines fines était considérable à grande profondeur (> 13 m) pour les arbres menés en taillis et, étonnamment, la mortalité des racines fines était extrêmement faible quelle que soit la profondeur et le traitement. La biomasse des racines fines, leur longueur et leur surface spécifiques étaient respectivement plus élevées d'environ 25 %, 15 % et 15 % pour le traitement –W que pour +W. Les concentrations moyennes de CO2 et N2O pour –W sont plus faibles de 20,7 % et 7,6 % que pour +W, et les concentrations de CH4 pour –W sont plus élevées de 44,4 % que pour +W sur l'ensemble des profils du sol. Un modèle de diffusivité montre une production et une consommation de CO2, N2O et CH4 en grande profondeur et similaire pour les deux traitements, +W et –W. La mise en place de systèmes racinaires profonds dans les forêts tropicales plantées pourrait permettre aux arbres de résister aux périodes de sécheresse attendues dans le futur. Notre étude réalisée dans des peuplements d'eucalyptus gérés en taillis, représentatifs de vastes zones tropicales, suggère que les émissions de gaz à effet de serre pourraient être peu influencées par les modifications de régimes de précipitations dues au changement climatique.
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AUFRERE, J., K. THEODORIDOU, and R. BAUMONT. "Valeur alimentaire pour les ruminants des légumineuses contenant des tannins condensés en milieux tempérés." INRAE Productions Animales 25, no. 1 (March 31, 2012): 29–44. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.1.3193.

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Abstract:
Cette synthèse fait le point de l’état des connaissances sur la teneur en tannins condensés des légumineuses fourragères de milieu tempéré, leur structure et leur activité biologique, ainsi que sur les facteurs qui font varier ces paramètres. Les effets des tannins condensés sur l’ingestibilité, la digestion dans le rumen et dans l’intestin de la matière organique et des matières azotées sont passés en revue. A l’exception du lotier pédonculé, les tannins condensés affectent peu l’ingestibilité et la digestion de la matière organique. A l’inverse, la digestibilité des matières azotées est toujours diminuée en présence de tannins condensés. La baisse de la dégradabilité des matières azotées dans le rumen n’est que rarement compensée par une meilleure utilisation des acides aminés au niveau de l’intestin. Toutefois, la quantité d’azote retenu par l’animal n’est généralement pas diminuée ce qui est positif pour le ruminant sur le plan nutritionnel, et la part de l’azoté excrété dans l’urine est généralement réduite au profit de l’azoté excrété dans les fèces. La diminution du méthane éructé et de l’azote excrété dans l’urine, observée pour ces fourrages est favorable à la réduction des gaz à effet de serre et à la limitation des pertes d’azote par lessivage et volatilisation. Au final, les valeurs énergétiques et PDIE estimées à partir de mesures récentes sont cohérentes avec les valeurs des Tables INRA 2007. En revanche, les valeurs PDIN devraient être diminuées de 10 à 20 g/kg MS par rapport aux estimations fournies par les équations INRA 2007.
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Gaudy, Jean-Henri, Jean-François Sicard, and Marielle Quignon. "Mesure du pH et des gaz du sang sur des micro-echantillons: effets de la conservation à 4°C pendant une heure. Etude chez le rat." Canadian Journal of Anaesthesia 39, no. 8 (October 1992): 786–90. http://dx.doi.org/10.1007/bf03008289.

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Iyiola-Tunji, A. O. "Climate-smart livestock production: options for Nigerian farmers." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 136–48. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.3005.

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Abstract:
This paper is focused on reviewing the three key pillars of climate-smart agriculture (CSA) in relation to livestock production (i.e., increased productivity, mitigation of greenhouse gases emissions and adaptation to climate change) while exploring the development intervention options for Nigerian livestock farmers. The most serious impacts of climate change are anticipated in grazing systems because of their dependence on climatic conditions and the natural resource base, and their limited adaptation opportunities. Impacts are expected to be most severe in arid and semi-arid grazing systems at low latitudes, where higher temperatures and lower rainfall are expected to reduce yields on range lands and increase land degradation. The dual pathways of responses between climate change and livestock production activities were depicted in this review. It is of note that climate change as a natural phenomenon works on the principle of causes and effect. The actions and in-actions of man will dictate the type of results obtainable in his immediate environment. Means by which livestock farmers can mitigate the GHGs and adapt to the effect of climate changes were discussed in this paper. Concerted efforts at ameliorating the effect of climate change on livestock production are needed. The smart options for rearing livestock are capable of mitigating the attendant effect of production activities of the stocks, reducing the stress obtainable from altered environment and ensuring food security. Nigeria as a country will need to evolve policies that will ensure promotion and subsequent adoptions of technologies that are smart in terms of increasing productivity of farm animals, reducing emissions of GHG and positively altering the effect of climate change. Cet article se concentre sur l'examen des trois piliers clés de l'agriculture intelligente face au climat (ASC) en relation avec la production animale (c.-à-d. Augmentation de la productivité, atténuation des émissions de gaz à effet de serre et adaptation au changement climatique) tout en explorant les options d'intervention de développement pour les éleveurs nigérians. Les impacts les plus graves du changement climatique sont anticipés dans les systèmes de pâturage en raison de leur dépendance aux conditions climatiques et de la base de ressources naturelles, et de leurs possibilités d'adaptation limitées. Les impacts devraient être les plus graves dans les systèmes de pâturage arides et semi-arides à basses latitudes, où des températures plus élevées et des précipitations plus faibles devraient réduire les rendements sur les pâturages et augmenter la dégradation des terres. Les doubles voies de réponses entre le changement climatique et les activités de production animale ont été décrites dans cette revue. Il est à noter que le changement climatique en tant que phénomène naturel fonctionne sur le principe des causes et des effets. Les actions et les in-actions de l'homme dicteront le type de résultats pouvant être obtenus dans son environnement immédiat. Les moyens par lesquels les éleveurs peuvent atténuer les GES et s'adapter aux effets des changements climatiques ont été discutés dans ce document. Des efforts concertés pour atténuer les effets du changement climatique sur la production animale sont nécessaires. Les options intelligentes pour l'élevage du bétail sont capables d'atténuer l'effet connexe des activités de production des stocks, de réduire le stress résultant de l'altération de l'environnement et d'assurer la sécurité alimentaire. Le Nigéria, en tant que pays, devra élaborer des politiques qui assureront la promotion et l'adoption ultérieure de technologies intelligentes en termes d'augmentation de la productivité des animaux d'élevage, de réduction des émissions de GES et de modification positive des effets du changement climatique.
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Andrieu, Nadine, Eduardo Chia, and Eric Vall. "Recherche et innovations dans les exploitations de polyculture-élevage d’Afrique de l’Ouest Quelles méthodes pour évaluer les produits de la recherche ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 7. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10116.

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Abstract:
Alors que l’invention peut se définir comme la découverte d’un principe, l’innovation peut être définie comme l’adoption de ce principe par une population (1, 2, 3, 17). En Afrique de l’Ouest, la grande majorité des inventions et leur traduction fréquente en propositions techniques de la recherche pour intensifier les systèmes mixtes agriculture-élevage ont été peu ou n’ont pas été intégrées dans les systèmes de production (11, 13, 14, 18, 21, 23). Ce constat d’échec a amené la recherche à s’interroger sur ses démarches de conception et d’évaluation de ses propositions et à impliquer davantage les acteurs de terrain dans la formulation des problèmes et l’élaboration des solutions dans le cadre de recherches participatives (5, 8, 10, 12, 15, 16). L’analyse des facteurs d’adoption des inventions constitue un premier champ au sein des méthodes d’évaluation existantes. L’objectif est d’identifier les facteurs économiques, institutionnels, structurels ou sociotechniques qui favorisent le passage de l’invention à l’innovation (4, 20). Des outils de modélisation peuvent aussi être utilisés pour analyser le profil des populations susceptibles d’adopter telle ou telle technologie (7, 24). Les méthodes de diagnostic des impacts de la recherche constituent un deuxième champ d’évaluation. Il s’agit d’analyser les effets, prévus ou non, des propositions de la recherche quand elles sont expérimentées sur le terrain ou adoptées (19). La modélisation peut là encore s’avérer un outil puissant pour explorer les impacts potentiels des propositions de la recherche avant leur mise en oeuvre effective au sein des systèmes de production (6, 9, 22). L’objectif de ce numéro thématique est de passer en revue différents travaux sur l’évaluation des propositions de la recherche, récemment réalisés en zone agropastorale d’Afrique de l’Ouest, afin de définir comment concevoir et évaluer des innovations dans cette région. Les contributions se basent sur différentes études menées non seulement dans le domaine de la production et de la santé animales mais aussi dans celui des productions végétales intimement liées à l’élevage dans les systèmes mixtes étudiés. Elles abordent également la gestion socio-économique des exploitations et, en particulier, intègrent les projets des producteurs. Cette diversité de terrains et d’approches permet d’enrichir la réflexion sur les méthodes d’évaluation des innovations dans les systèmes d’élevage et dans les systèmes agro-sylvo-pastoraux de cette région. Les trois premiers articles s’intéressent aux facteurs d’adoption des produits de la recherche. Bouyer et coll. analysent les facteurs ayant joué sur l’adoption d’une nouvelle méthode de lutte sanitaire acaricide en milieu paysan au Burkina Faso. Ngondjeb et coll. étudient les facteurs d’adoption de techniques de lutte contre l’érosion hydrique des sols en zone cotonnière du Cameroun. Dans des contextes de changements socio-économiques induisant des stratégies adaptatives de producteurs camerounais, Pedelahore et coll. s’interrogent sur la place de processus d’intensification promus par la recherche. Ces méthodes fournissent des pistes pour mieux caractériser la diversité des besoins et des contraintes des populations cibles. Les autres travaux concernent surtout les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche. Ces évaluations sont prospectives pour deux articles : les travaux de Dabire et coll. explorent les impacts potentiels de la prévision saisonnière des pluies sur les performances économiques des exploitations familiales burkinabés ; ceux de Deffo et coll. évaluent les effets de différents systèmes de culture sur la durabilité des exploitations. L’article de Sempore et coll. combine évaluation prospective et évaluation ex post, respectivement avant et après l’expérimentation d’ateliers d’embouche chez des agroéleveurs. Trois articles analysent a posteriori les impacts de propositions expérimentées ou adoptées par les producteurs : Blanchard et coll. mesurent l’impact de l’utilisation raisonnée de la fumure organique au champ sur les rendements et les revenus de producteurs burkinabés ; Fokou et coll. explorent les liens entre, d’une part, les innovations technologiques et organisationnelles et, d’autre part, les relations de pouvoir dans des systèmes de production laitiers du Mali. Enfin, en s’inspirant d’une méthode expérimentée à la Réunion (France), Vayssières et coll. cherchent à mieux prendre en compte les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre dans les exploitations d’élevage d’Afrique de l’Ouest dans la conception de systèmes agropastoraux plus respectueux de l’environnement. L’objectif global de ces travaux est de consolider les méthodes d’évaluation des impacts de la recherche pour sélectionner les propositions qui contribuent le mieux au développement durable des systèmes agro-sylvo-pastoraux d’Afrique de l’Ouest.
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Shockley, Kenneth. "Divergent principles, development rights, and individualism in the Greenhouse Development Rights framework." Regions and Cohesion 2, no. 1 (March 1, 2012): 1–24. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2012.020101.

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Abstract:
The likelihood that the poor will suffer disproportionately from the effects of climate change makes it necessary that any just scheme for addressing the costs and burdens of climate change integrate those disproportionate effects. The Greenhouse Development Rights (GDRs) framework a empts to do just this. The GDRs framework is a burden-sharing approach to climate change that assigns national obligations on the basis of historical emissions and current capacity to provide assistance. It does so by including only those emissions that correspond to income exceeding a development threshold. According to the GDRs framework, this development threshold considers the right to develop to be held by individuals rather than the nations in which those individuals find themselves. The article provides a critique of this framework, focusing on three concerns: First, in generating national obligations the GDRs framework collapses significantly different moral considerations into a single index, presenting both theoretical and practical problems. Second, the framework relies on a contentious and underdeveloped conception of the right to develop. Third, the framework's exclusive focus on individual concerns systematically overlooks irreducibly social concerns. The article concludes by pointing to an alternative approach to balancing development against the burdens of climate change. Spanish La alta probabilidad de que los pobres sufran de manera desproporcionada los efectos del cambio climático requiere que cualquier sistema que se supone de hacer frente a los costos y las responsabilidades del cambio climático incorpore precisamente estos efectos desproporcionados. Esto es precisamente lo que el modelo de Derechos al Desarrollo con Emisiones Responsables de Gases de Efecto Invernadero (GDR por sus siglas en inglés) está tratando de hacer. El modelo promueve un enfoque para compartir la carga relacionada con los efectos del cambio climático asignando obligaciones nacionales sobre la base de las emisiones históricas y la capacidad actual de prestar asistencia. Lo hace mediante la inclusión de sólo aquellas emisiones que corresponden a un ingreso superior a un 'umbral de desarrollo' de finido. De acuerdo con el modelo GDR, este umbral implica el derecho al desarrollo que tienen las personas individuales, no los países en que viven. En este artículo presento una evaluación crítica del modelo propuesto con base en tres puntos principales. Primero, cuando el GDR genera obligaciones nacionales, colapsa significativamente diferentes consideraciones morales en un solo índice, presentando problemas teóricos y metodológicos. Segundo, el modelo se basa en una polémica y poco desarrollada concepción del derecho al desarrollo. Tercero, el enfoque exclusivo en las cuestiones individuales ignora sistemáticamente las irreductibles preocupaciones sociales. Concluyo esbozando un enfoque alternativo para equilibrar el desarrollo contra de las cargas del cambio climático. French La très forte probabilité que les pauvres souffrent de façon disproportionnée des effets du changement climatique exige qu'un système qui aborde les coûts et les responsabilités du changement climatique intègre justement ces effets disproportionnés. C'est précisément ce que le système des Droits au Développement dans un Monde sous Contrainte Carbone (DDMCC - anglais GDR, Greenhouse Development Rights) essaie de faire. Ce modèle propose la répartition entre les pays des responsabilités/contraintes associés aux effets du changement climatique en assignant des obligations nationales sur la base de leurs émissions cumulées et de leur capacité actuelle à apporter une aide. Ce e approche inclut uniquement les émissions de gaz correspondant aux revenus dépassant un certain seuil de développement. D'après le modèle DDMCC, le seuil de développement considère un droit au développement qui revient aux personnes individuellement, et non aux pays dans lesquels elles vivent. Dans cet article, je dresse un bilan critique du modèle proposé sur la base de trois points principaux. Premièrement, le modèle DDMCC confond différentes considérations morales en un seul index quand il génère des obligations nationales, ce qui pose des problèmes à la fois théoriques et pratiques. Deuxièmement, il se base sur une conception du droit au développement suje e à polémique et trop peu développée. Troisièmement, l'accent mis exclusivement sur les préoccupations individuelles néglige systématiquement les préoccupations sociales pourtant incontournables. Je conclus en esquissant une approche alternative perme ant d'équilibrer les exigences du développement et les contraintes du changement climatique.
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HERPIN, P., and J. M. PEREZ. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 21, no. 4 (September 27, 2008): 299–300. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2008.21.4.3403.

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Abstract:
Un enjeu majeur en élevage : la réduction des impacts sur l’environnement Le maintien, voire le développement, des productions animales sur notre territoire passe d’abord par la résolution des problèmes environnementaux en particulier dans les zones à fortes concentrations animales. Dans ces régions d’élevage intensif, l’impact de cette activité sur l’environnement est une préoccupation majeure, qui répond à une demande sociale forte. A cet égard dans l’esprit du public, plus encore que les autres productions animales intensives, la production porcine est considérée comme emblématique de pollution, en grande partie du fait des nuisances olfactives qui lui sont associées. Mais d’autres impacts environnementaux ont également attiré très tôt l’attention du public et du législateur sur la qualité des eaux, notamment les teneurs excessives en nitrates des ressources aquifères, et la réglementation actuelle sur les installations d’élevage est encore très largement basée sur cette seule dimension. Plus récemment, une prise de conscience des menaces que peuvent représenter les changements climatiques qui résultent et résulteront de l’accumulation de gaz à effets de serre dans l’atmosphère a pris corps, et il est clair qu’une attention particulière devra être accordée à la fertilité des sols qui pourrait être affectée à l’avenir par une accumulation excessive de métaux lourds. On le voit, les préoccupations sur les impacts environnementaux de l’élevage sont fondées et le monde de l’élevage doit résolument s’engager sur la problématique du développement durable en faisant évoluer «les manières de produire» ; en d’autres termes, il s’agit de relever le défi majeur de produire à des coûts compatibles avec les marchés mondiaux tout en réduisant ses impacts à des niveaux permettant de transmettre aux générations suivantes un environnement non dégradé. Porcherie verte : un programme précurseur en multi-partenariat Lancé en 2001 à l’initiative de l’INRA, le programme «Porcherie verte» a ouvert la voie dans ce domaine de recherche. C’est un programme interdisciplinaire conduit en multi-partenariat qui s’est donné précisément pour objectif de «concevoir et de promouvoir des systèmes durables de production porcine», diversifiés, compétitifs et répondant à un haut niveau d’exigences quant à la gestion de l’environnement. Les organisations partenaires (Adaeso, Ademe, Afssa, Agrocampus Ouest, Arvalis, Cemagref, Crab, Eaux et Rivières de Bretagne, FNP, Inra, Inzo, Ifip, MAP, MEDAD, Office de l’Elevage, RAD), ont voulu notamment contribuer à la réalisation de travaux de recherches concertés visant à mieux connaître et à mieux maîtriser les impacts environnementaux liés à l’activité de production porcine. Au-delà des nombreuses publications issues des ces travaux, et afin d’assurer une valorisation complète et un transfert des résultats les plus innovants, le programme «Porcherie verte» s’est conclu en novembre 2005 par un séminaire de réflexion et s’est traduit en 2007 par l’édition de fiches opérationnelles présentant les résultats-clé et leur impact scientifique et appliqué pour la filière porcine. Pour compléter cette diffusion et permettre une appropriation par un maximum d’acteurs et de porteurs d’enjeux, les coordonnateurs de «Porcherie verte» et les responsables d’INRA Productions animales ont décidé conjointement de consacrer un numéro complet de la revue à ce programme en s’appuyant cette fois sur une sélection de faits saillants sans vouloir être exhaustif. Ce document de synthèse apporte une touche finale à ce programme dont la réussite mérite d’être soulignée. Il est publié dans un contexte nouveau où, en prolongement du Grenelle de l’environnement et présence d’exigences renforcées vis-à-vis de l’environnement et du développement durable des territoires, l’INRA souhaite reproduire ce genre d’initiative avec d’autres filières. Bonne lecture !Patrick HERPIN et Jean-Marc PEREZ
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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim, and Enrique Murgueitio Restrepo. "Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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Abstract:
La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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BAUMONT, René, and Jean-Louis PEYRAUD. "avant-propos." INRA Productions Animales 28, no. 1 (January 10, 2020): 3–4. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.1.3005.

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Abstract:
Dans un contexte économique incertain et face à des demandes sociétales de plus en plus pressantes, les filières animales ont des défis majeurs à relever : assurer leur compétitivité et la viabilité économique des élevages ens’adaptant à l’ouverture des marchés et à une plus grande volatilité des prix ; reconstruire un modèle social en repensant l’acceptabilité de l’élevage et le métier d’éleveur ; produire des aménités reconnues par la société enlimitant les effets négatifs sur l’environnement et en qualifiant les services écosystémiques et patrimoniaux produits par les activités d’élevage. Répondre à ces enjeux nécessite de mettre en place de nouveaux modes de partenariats entre les acteurs. Le Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS) « Elevages Demain » crée en 2010 (www.gis-elevages-demain.org) et dédié aux systèmes de production animale (ruminants, porcs et volailles) à hautes performances économiques,environnementales et sociétales, rassemble quatorze partenaires de la recherche, du développement et des filières professionnelles. Cette démarche s’inscrit dans la volonté de l’ensemble des acteurs des filières animales derépondre ensemble aux défis posés à l’élevage afin de proposer de nouveaux modèles productifs, économiquement viables, respectueux de l’environnement et socialement acceptables et équitables, en un mot : durables. Lesorganismes initiateurs du GIS « Elevages Demain » se fixent donc comme objectif de définir les conditions d’une meilleure compatibilité entre les différentes catégories de performances (techniques, économiques, environnementales, sociales) des systèmes de production animale et de proposer des solutions qui soient innovantes et adaptées à la variété des contextes territoriaux et des filières. Les actions de recherche conduites par le GIS « Elevages Demain » s’organisent autour de quatre axes thématiques : i) les relations entre élevage, filières et territoire, avec une action sur les services rendus par l’élevage et une autre sur l’emploi dans les filières animales ; ii) les relations entre l’élevage et la société avec une action visant à recenser et à analyser les principales controverses ; iii) l’évaluation multicritère de la durabilité des systèmes d’élevage avec l’élaboration d’un guide méthodologique réalisé en commun avec le GIS « Grandes cultures à hautes performances économiques et environnementales » et iv) la conduite des animaux et des systèmes d’élevage avec des actions sur le phénotypage animal (avec le GIS Agenae), l’élevage de précision et l’agro-écologie en élevage.Les Réseaux Mixtes Technologiques du domaine de l’élevage constituent une autre forme de partenariat qui a pour objectif de constituer des pôles d’expertises pour les professionnels de l’élevage et les pouvoirs publics en stimulant les synergies entre disciplines, filières et territoires et sur des domaines précis, tels que l’économie des filières d’élevage, le travail en élevage, l’élevage et l’environnement, le bien-être animal, les bâtiments d’élevage etc...A travers son objectif de synthétiser les connaissances et de diffuser les résultats de la recherche sur les productions animales à un large public, la revue INRA Productions Animales s’efforce d’apporter régulièrementdes contributions pour éclairer le débat scientifique et sociétal sur les enjeux et les défis que doivent relever les productions animales. Ce fut le cas du dossier consacré aux « Gaz à effet de serre en élevage bovin », des numérosspéciaux sur le « Travail en élevage » ou sur « Quelles innovations pour quels systèmes d’élevage ? » pour ne citer que quelques exemples récents. C’est pourquoi nous avons souhaité réunir dans ce premier numéro de l’année2015 quatre articles complémentaires : - Le premier, issu d’un travail mené dans le RMT « Economie des filières animales », propose un état des lieux précis et une analyse détaillée des facteurs explicatifs de la spécialisation territoriale et de laconcentration des productions animales européennes. Il pose ainsi clairement un certain nombre d’enjeux relatifs aux services et aux « dys-services » rendus par les productions animales et à l’acceptabilité de cette concentration par la société ; - Le deuxième, issu d’un groupe de travail du GIS « Elevages Demain », propose une méthodologie originale pour identifier, qualifier et évaluer les multiples services économiques, environnementaux, sociaux et culturels rendus par les activités d’élevage. Cet article pose ainsi un certain nombre de questions de recherche pour progresser dans la quantification et l’évaluation de ces services ;- Le troisième, également issu d’un groupe de travail du GIS « Elevages Demain », présente le recensement et l’analyse des principales controverses qui traversent la société sur l’élevage à partir du regard croisé de différents acteurs. Cet article pose aussi de nombreuses questions de recherches sur les déterminants des attentes de la société vis-à-vis de l’élevage et sur les mécanismes permettant de résoudre ces controverses. - Le quatrième, issu du travail conduit par l’INRA dans le cadre de l’étude commanditée par le Commissariat Général à la Stratégie et à la Prospective, propose une méthodologie de conception et d’évaluation de systèmes de production multiperformants, c’est-à-dire conjuguant performances productives, économiques, environnementales et sociales. En s’appuyant sur un large répertoire de pratiques agricoles élémentaires dont l’impact a été qualifié sur les différentes catégories de performances, cette méthode se veut applicable à une large diversité d’orientations productives. Enfin, nous avons souhaité clore ce numéro avec un texte, issu d’une réflexion menée dans le GIS « Elevages Demain », sur les réseaux de référence en élevage et leur avenir. Ces dispositifs constituent de réelles infrastructures immatérielles de recherche et développement, et dans un contexte budgétaire contraint, il importe de les faire évoluer pour mieux répondre aux nouvelles attentes en lien avec la durabilité des élevages.
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Ahiwe, E. U., H. O. Obikaonu, O. E. Kadurumba, T. C. Iwuji, O. O. Emenalom, and E. B. Etuk. "Climate change and youth unemployment challenges in Nigeria: The poultry production option." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 107–20. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2992.

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Abstract:
This paper discusses climate change and poultry production as their interaction impacts on unemployment in Nigeria. Climate change and animal production have always had a negative impact on each other, with animal production accounting for about 15-18% global anthropogenic greenhouse gases (GHGs) emission in form of carbon dioxide (CO2), nitrous oxide (N2O) and methane (CH4) which are emitted when animals respire. On the other hand, the effect of climate change and global warming on animal production is on the increase and will continue to increase with the high rate of man's industrial activity if not checked. In Nigeria, there is an increasing demand for animal protein and the unemployment rate is increasing yearly because of high increase in population. In order to meet up with this increase in demand for food and reduce youth unemployment in an environment with less climate change challenge, more youth involvement in Agriculture is needed. But, this agricultural revolution will have great challenge on the environment because of the high rate of climate change that goes with industrialization and agriculture. Because poultry have low global warming potential, it has an edge over other animals or livestock such as cattle, sheep, and goat. This is because poultry has low GHGs emission as a result of its low enteric methane production rates compared to ruminant animal species. Apart from poultry being cheap, it is nutritious and readily marketable. In addition, it can be a nice source of investment and income generation for Nigerian youths, if harnessed properly. It is therefore, concluded and recommended that to meet up with the ever-increasing demand for jobs in an environment having less climate change challenges, various government agencies, banks, private sectors, civil society, rural co-operative societies, youth agencies in Nigeria with the assistance of various international donor agencies can collaborate and play a more facilitating role through giving of loans, grants and adequate extension services to ensure that food security and youth empowerment is achieved within an eco-friendly environment through profitable poultry production. Cet article discute du changement climatique et de la production de volaille comme leurs effets d'interaction sur le chômage au Nigéria. Le changement climatique et la production animale ont toujours eu un impact négatif l'un sur l'autre, la production animale représentant environ 15 à 18% des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) anthropiques sous forme de dioxyde de carbone (CO2), d'oxyde nitreux (N2O) et de méthane (CH4) qui sont émis lorsque les animaux respirent. En revanche, l'effet du changement climatique et du réchauffement planétaire sur la production animale est en augmentation et continuera d'augmenter avec le taux élevé de l'activité industrielle de l'homme s'il n'est pas maîtrisé. Au Nigéria, il y a une demande croissante de protéines animales et le taux de chômage augmente chaque année en raison de la forte augmentation de la population. Afin de répondre à cette augmentation de la demande alimentaire et de réduire le chômage des jeunes dans un environnement où les défis du changement climatique sont moins importants, une plus grande implication des jeunes dans l'agriculture est nécessaire. Mais, cette révolution agricole aura un grand défi sur l'environnement en raison du taux élevé de changement climatique qui accompagne l'industrialisation et l'agriculture. Parce que la volaille a un faible potentiel de réchauffement planétaire, elle a un avantage sur les autres animaux ou le bétail comme les bovins, les moutons et les chèvres. En effet, la volaille a de faibles émissions de GES en raison de ses faibles taux de production de méthane entérique par rapport aux espèces animales ruminantes. En plus d'être bon marché, la volaille est nutritive et facilement commercialisable. En outre, il peut être une belle source d'investissement et de génération de revenus pour les jeunes Nigérians, s'il est correctement exploité. Il est donc conclu et recommandé que pour répondre à la demande toujours croissante d'emplois dans un environnement ayant moins de défis liés au changement climatique, diverses agences gouvernementales, banques, secteurs privés, société civile, sociétés coopératives rurales, agences de jeunesse au Nigéria avec l'aide de divers organismes donateurs internationaux peuvent collaborer et jouer un rôle plus facilitateur en accordant des prêts, des subventions et des services de vulgarisation adéquats pour garantir la sécurité alimentaire et l'autonomisation des jeunes dans un environnement respectueux de l'environnement grâce à une production avicole rentable.
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Chamberlain, Erika. "THE CROWN’S FIDUCIARY DUTIES TO ABORIGINAL PEOPLES AS AN ASPECT OF CLIMATE JUSTICE." Windsor Yearbook of Access to Justice 30, no. 2 (October 1, 2012): 289. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v30i2.4378.

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Abstract:
Rapid climate change in the arctic is threatening the life, health and cultural traditions of the Inuit. Although they are among the least responsible for climate change, they are suffering disproportionately from its negative effects. In particular, the inherent link between Inuit land and culture means that their traditional practices are being threatened along with the arctic environment. However, their efforts to obtain redress from those responsible for greenhouse gas emissions have so far been unsuccessful. Claims in common law public nuisance have been plagued by issues of standing, justiciability and causation, and claims at international law are difficult to prove and enforce. It seems that a different approach may be required.This article examines whether the Crown’s fiduciary obligation toward Canada’s Aboriginal peoples might provide a useful conceptual framework for addressing arctic climate change. Although this obligation is typically applied in situations involving Aboriginal lands or distinctive cultural practices, it can arguably be invoked to protect the traditional subsistence lifestyle of the Inuit. Both the fiduciary obligations and the honour of the Crown require a minimum level of consultation and accommodation where significant Aboriginal interests are threatened. This could translate into an obligation to, at least, assist the Inuit in adapting to the changing arctic environment and preserving cultural practices to the extent possible.Les changements climatiques rapides dans l’Arctique menacent la vie, la santé et les traditions culturelles des Inuits. Même s’ils sont parmi les peuples les moins responsables de ces changements climatiques, ils souffrent de façon disproportionnée des effets négatifs de ces changements. Tout particulièrement, comme la culture inuite est intrinsèquement liée à la terre, les pratiques traditionnelles inuites sont menacées en même temps que l’environnement arctique. Par ailleurs, les efforts des Inuits pour obtenir réparation de la part des responsables des émissions de gaz à effet de serre sont restés vains. Les demandes fondées sur la nuisance en common law se sont heurtées aux questions relatives à la qualité pour agir, à la justiciabilité et à la causalité; de plus, en droit international, il est difficile de prouver et de faire valoir des réclamations. Il semble clair qu’une approche différente s’impose.Le présent article examine si l’obligation fiduciale de l’État envers les peuples autochtones du Canada pourrait constituer un cadre juridique utile pour traiter des changements climatiques dans l’Arctique. Bien que cette obligation soit systématiquement reconnue dans les situations concernant des terres autochtones ou des pratiques culturelles distinctives, il est permis de penser qu’elle pourrait être invoquée pour protéger le mode de subsistance traditionnelle des Inuits. Tant les obligations fiduciales que l’honneur de la Couronne requièrent un degré minimal de consultation et d’accommodement lorsque des intérêts autochtones significatifs sont menacés. Cela pourrait se traduire par une obligation minimale d’aider les Inuits à s’adapter à l’environnement arctique changeant et à préserver leurs pratiques culturelles dans la mesure du possible.
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"Effets d'une preparation riche en lipides sur la consommation d'oxygene (V̇o2), la production de gaz carbonique (V̇co2) et la depense energetique (de) chez le volontaire sain." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 9 (January 1990): R205. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(05)82214-2.

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