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Savard, Pierre. "Une jeunesse et son Église : les scouts-routiers." Les Cahiers des dix, no. 53 (October 30, 2012): 117–65. http://dx.doi.org/10.7202/1012961ar.

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Abstract:
L’histoire du scoutisme au Canada français est liée à son acceptation par le clergé catholique qui ne l’a soutenu et encouragé que lorsqu’il s’est retrouvé dûment encadré et intégré aux mouvements d’action catholique. Des différents groupes de scouts, les scouts-routiers forment la branche aînée du mouvement. On retrouve ici les étapes de formation et l’évolution des scouts-routiers franco-canadiens entre les années 1930 et 1960. Les activités, rassemblements, pèlerinages et autres réunions offrent l’image d’une jeunesse ardente et engagée à travers les témoignages laissés par les scouts eux-mêmes.
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Voisine, Nive. "La production des vingt dernières années en histoire de l'Église du Québec." Articles 15, no. 1 (April 12, 2005): 97–112. http://dx.doi.org/10.7202/055648ar.

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Abstract:
L'Église catholique a toujours eu au Québec une telle importance qu'on a été naturellement porté à confondre histoire du Canada français et histoire de l'Église catholique canadienne. Nos orateurs « patriotiques » l'ont souvent rappelé en faisant de la Providence l'explication ultime de l'histoire canadienne : à ce propos, vous me permettrez de citer Mgr Laflèche qui disait en 1865 : « Si les quelques familles sorties de la vieille France il y a quelque deux cents ans, et qui sont venues s'asseoir sur les bords du Saint-Laurent, sont devenues aujourd'hui une nation d'un million d'âmes, ce n'est point l'effet d'un hasard capricieux, ni d'une force aveugle; mais c'est bien l'œuvre d'une Providence toute miséricordieuse. Elle a voulu se servir de nos pères pour apporter la lumière de l'Évangile et les principes de la régénération chrétienne aux infortunées peuplades qui étaient depuis tant de siècles plongées dans les ténèbres de l'infidélité et assises à l'ombre de la mort dans cette belle et fertile vallée. » Nos premiers historiens n'ont pas voulu être en reste et ont cru, avec Parkman et en le répétant à satiété : « Un grand fait se détache en plein relief dans l'histoire du Canada, c'est l'Église de Rome. Plus encore que la puissance royale, elle a modelé le caractère et le destin de cette colonie. Elle a été sa nourrice, et, pour tout dire, sa mère. » Enfin, même les sociologues l'ont reconnu et M. Jean-Charles Falardeau écrivait en 1952: « La société canadienne-française a été, depuis les débuts même de son établissement, à tel point circonscrite, contenue et dominée tout entière par le clergé et les chefs ecclésiastiques, que son histoire se confond en tout point avec celle de l'Église canadienne. [...] L'histoire du Canada français, c'est l'histoire de l'Église au Canada, et réciproquement.» Il ne faut pas se surprendre que la production historique québécoise donne une place privilégiée aux hommes et aux œuvres d'Église. Ne remontons pas au déluge ni au régime français; regardons plutôt le XIXe siècle. Les premiers historiens, même laïcs, font une large part à l'action des missionnaires et du clergé; ils le font ordinairement avec sympathie car, s'ils se permettent la moindre critique du passé clérical, ils s'attirent, comme F.-X. Garneau et Benjamin Suite, les foudres vengeresses des historiens ecclésiastiques. Ceux-ci en effet — Les Ferland, les Casgrain, j'ose dire les Chapais (il ne lui manque que l'habit !) — n'ont pas assez de mots et d'images dithyrambiques pour chanter l'œuvre providentielle en terre d'Amérique. Il y a une exception, l'abbé Brasseur de Bourbourg, qui publie en 1852 son Histoire du Canada, de son Église et de ses missions... où il fait preuve d'un non-conformisme scandaleux: le clergé et surtout les évêques de Québec y passent un mauvais quart d'heure. L'abbé soutient que le choix des évêques par les autorités britanniques eut « pour objet les membres de ce clergé les moins capables de soutenir le poids de l'épiscopat » ; il s'apitoie sur Mgr Hubert tout en racontant méchamment que « dans les derniers temps de son épiscopat, son caractère habituellement faible et indécis, ébranlé encore par les oppositions de toute espèce qu'il avait rencontrées autour de lui, se trouvait réduit à une espèce d'enfance morale, accrue surtout par l'habitude abrutissante des boissons spiritueuses, que le malheureux évêque avait contractée insensiblement pour échapper à la conscience de ses fautes et de son chagrin ». Ces aménités (et d'autres de même farine) avaient fait bondir les « bons bourgeois » de Québec et les Messieurs du Séminaire; et l'abbé Ferland avait répliqué vertement dans ses Observations sur un ouvrage intitulé Histoire du Canada. Avec lui, l'histoire apologétique reprenait le dessus pour longtemps. Plus nuancée peut-être devait être l'œuvre de l'abbé Auguste Gosselin qui esquissa, sans la terminer, une des premières synthèses d'histoire de l'Église catholique au Canada ; elle annonçait les études plus scientifiques du XXe siècle. Pendant toute la première partie du XXe siècle, l'abbé Lionel Groulx domine l'historiographie canadienne-française. Il aborde tous les sujets, de Nos luttes constitutionnelles au Canada français missionnaire, une autre grande aventure ; mais il revient assidûment à l'étude du rôle de l'Église, car pour lui l'enseignement de l'histoire est une forme d'apostolat. Il le dira dans son testament: «... je n'avais choisi, ni ma carrière, ni mon devoir. J'ai accepté le choix qu'en ont fait pour moi mes supérieurs ecclésiastiques. Une autre de mes consolations, ce fut la conscience de travailler pour la survivance du Canada français : petit pays et petit peuple qui parce que catholiques, m'ont toujours paru la grande entité spirituelle en Amérique du Nord.» '' L'abbé Groulx n'est évidemment pas seul, mais il n'est pas question de rappeler, même brièvement, ce qui a pu s'écrire d'intéressant jusqu'en 1950. Je me permets cependant de noter deux événements qui préparent les changements futurs. En 1933 est fondée la Société canadienne d'histoire de l'Église catholique qui chaque année invite ses membres à une session d'étude et publie en un rapport les communications des conférenciers (section française et section anglaise). En quarante ans ont été ainsi publiées des études d'inégale valeur qui forment cependant un ensemble respectable et utile. Si au début la Société sert de tribune à des historiens reconnus, à majorité ecclésiastiques — l'abbé Groulx, Mgr Olivier Maurault, le père Charland, les abbés Maheux et Honorius Provost —, de plus en plus, pendant les dix dernières années, elle attire la collaboration de laïcs et déjeunes historiens. Le deuxième événement que je veux signaler est la fondation, en 1947, de l'Institut d'histoire de l'Amérique française et de la Revue d'histoire de l'Amérique française. Celle-ci veut fournir aux chercheurs « un centre, un foyer où exposer, échanger le fruit de leurs travaux et de leurs recherches ». L'histoire religieuse, comme les autres domaines, en profite beaucoup. Pendant les vingt-cinq premières années, 16.5% des articles sont consacrés à l'histoire religieuse, mais ce pourcentage monte à 22.9% de 1955 à 1963. Il ne faut donc pas se surprendre de trouver dans cette revue un bon nombre des meilleures études sur l'histoire de l'Église canadienne. Elles reflètent aussi l'élan nouveau donné à l'histoire par la fondation des Instituts de Montréal et de Québec. C'est en songeant à ces événements que j'ai choisi de faire un bilan de l'histoire de l'Église à partir de 1950. C'est une tâche immense que rend difficile la multiplication des études et des publications, et aussi l'extrême diversité des thèmes abordés par les historiens. Pour simplifier la présentation, j'aborderai les œuvres en les groupant selon la période qu'elles concernent : le régime français, le XIXe siècle, le XXe siècle.
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Rousseau, Sabine, and Denis Pelletier. "La crise catholique. Religion, societe, politique en France (1965-1978)." Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no. 77 (January 2003): 140. http://dx.doi.org/10.2307/3772245.

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Bremond d’Ars, Nicolas de. "Denis Pelletier, La Crise catholique ; religion société, politique en France (1965-1978)." Archives de sciences sociales des religions, no. 120 (October 1, 2002): 63–126. http://dx.doi.org/10.4000/assr.633.

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Jones, Peter M. "Quelques formes élémentaires de la vie religieuse dans la France rurale (Fin XVIIIe et XIXe siècles)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 1 (February 1987): 91–115. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283371.

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Abstract:
En 1920, Cromedeyre-le-Vieil, tragédie en vers de Jules Romains, est mise en scène pour la première fois. C'est l'histoire d'un village reculé du Velay (Haute-Loire) qui tente de faire revivre une conscience plus aiguë de la solidarité du groupe en installant un culte religieux distinctif dans une église construite à cet effet. L'intrigue peut se résumer à l'interpénétration de deux mythes : la révolte contre l'autorité spirituelle incarnée par la hiérarchie catholique romaine, et l'Enlèvement des Sabines ; en effet, Cromedeyre manque de femmes et doit, de temps à autre, organiser un raid dans les villages environnants afin d'y trouver des épouses et réaliser ainsi sa quête d'autodétermination.Selon toute apparence, le village en question et l'action qui s'y déroule sont imaginaires. Néanmoins, la pièce, imprégnée de naturalisme, éveille la curiosité de l'historien et de l'ethnographe.
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Toupin-Guyot, Claire. "Denis Pelletier, La crise catholique. Religion, société, politique en France (1965-1978), Paris, Payot, 2002, 321 p." Chrétiens et sociétés, no. 10 (December 31, 2003): 218–19. http://dx.doi.org/10.4000/chretienssocietes.3823.

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Dumons, Bruno. "Denis Pelletier, La crise catholique. Religion, société, politique en France (1965-1978), Paris, Payot, 2002, 321 p." Revue d’histoire moderne et contemporaine 53-1, no. 1 (2006): 216. http://dx.doi.org/10.3917/rhmc.531.0216.

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Benedict, Philip. "La Population Réformée Française de 1600 a 1685." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 6 (December 1987): 1433–65. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283464.

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Abstract:
Étudier l'évolution des effectifs protestants en France entre l'édit de Nantes et sa Révocation, c'est poser quelques jalons fondamentaux pour toute compréhension de l'histoire du protestantisme au XVIIe siècle. Dans ces villes du Midi où le consulat était divisé entre protestants et catholiques selon une formule liée plus ou moins directement au bilan des forces en présence, des changements dans la taille relative des deux confessions pouvaient entraîner des conséquences politiques immédiates, de sorte que les pasteurs s'efforçaient à combler les vides que pouvait ouvrir dans les rangs de leurs ouailles toute crise démographique. Là où des fluctuations de la taille des communautés ne risquaient pas d'entraîner des retombées politiques immédiates, l'étude du mouvement de la population protestante offre toujours un moyen de sonder la vitalité de cette minorité, face aux encouragements à la conversion de la part d'une Église catholique revivifiée et d'un appareil étatique de plus en plus fort et de plus en plus hostile. L'examen des variations régionales dans le mouvement de la population protestante nous amène aussi, ainsi que nous le verrons, à soulever une série de questions à propos du sort contrasté du « petit troupeau » dans diverses régions de la France, qui, jusqu'à présent, ont été à peine entrevues.
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Weis, Monique. "Le mariage protestant au 16e siècle: desacralisation du lien conjugal et nouvelle “sacralisation” de la famille." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 134. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.07.

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Abstract:
RÉSUMÉLe principal objectif de cet article est d’encourager une approche plus large, supraconfessionnelle, du mariage et de la famille à l’époque moderne. La conjugalité a été “désacralisée” par les réformateurs protestants du 16e siècle. Martin Luther, parmi d’autres, a refusé le statut de sacrement au mariage, tout en valorisant celui-ci comme une arme contre le péché. En réaction, le concile de Trente a réaffirmé avec force que le mariage est bien un des sept sacrements chrétiens. Mais, promouvant la supériorité du célibat, l’Église catholique n’a jamais beaucoup insisté sur les vertus de la vie et de la piété familiales avant le 19e siècle. En parallèle, les historiens décèlent des signes de “sacralisation” de la famille protestante à partir du 16e siècle. Leurs conclusions doivent être relativisées à la lumière de recherches plus récentes et plus critiques, centrées sur les rapports et les représentations de genre. Elles peuvent néanmoins inspirer une étude élargie et comparative, inexistante dans l’historiographie traditionnelle, des réalités et des perceptions de la famille chrétienne au-delà des frontières confessionnelles.MOTS-CLÉ: Époque Moderne, mariage, famille, protestantisme, Concile de TrenteABSTRACTThe main purpose of this paper is to encourage a broader supra-confessional approach to the history of marriage and the family in the Early Modern era. Wedlock was “desacralized” by the Protestant reformers of the 16th century. Martin Luther, among others, denied the sacramental status of marriage but valued it as a weapon against sin. In reaction, the Council of Trent reinforced marriage as one of the seven sacraments. But the Catholic Church, which promoted the superiority of celibacy, did little to defend the virtues of family life and piety before the 19th century. In parallel, historians have identified signs of a “sacralization” of the Protestant family since the 16th century. These findings must be relativized in the light of newer and more critical studies on gender relations and representations. But they can still inspire a broader comparative study, non-existent in traditional confessional historiography, of the realities and perceptions of the Christian family beyond denominational borders.KEY WORDS: Early Modern Christianity, marriage, family, Protestantism, Council of Trent BIBLIOGRAPHIEAdair, R., Courtship, Illegitimacy and Marriage in Early Modern England, Manchester, Manchester University Press, 1996.Beaulande-Barraud, V., “Sexualité, mariage et procréation. Discours et pratiques dans l’Église médiévale (XIIIe-XVe siècles)”, dans Vanderpelen-Diagre, C., & Sägesser, C., (coords.), La Sainte Famille. Sexualité, filiation et parentalité dans l’Église catholique, Problèmes d’Histoire des Religions, 24, Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2017, pp. 19-29.Bels, P., Le mariage des protestants français jusqu’en 1685. 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Abstract:
Résumé On a beaucoup exagéré les origines bretonnes du Québec. S’il est vrai qu’aux prémices du peuplement de la Nouvelle-France il y a des Bretons, il convient de préciser qu’ils ne sont pas les plus nombreux. En 1680, les Français qui ont déjà pris racine sur les rives du Saint-Laurent proviennent pour la plupart de Normandie et d’Île-de-France, les Bretons ne comptant que sept pour cent de cette population. S’agissant d’influence culturelle, il y a d’autres variables à considérer que les seules origines de la population. Comment expliquer par exemple la thèse de Gérard Morisset (1949) sur les sources bretonnes des maisons rurales de la région de Montréal, quand cette population venait d’ailleurs? Que penser aussi du succès qu’ont connu ici, au début du xxe siècle et plus tard, les chansons de Théodore Botrel, ce poète breton qui fonda en 1904 à Pont-Aven son pèlerinage, le pardon des Fleurs-d’Ajoncs, et qui eut l’honneur d’être publié dans les cahiers La Bonne Chanson (1939) de l’abbé Charles-Émile Gadbois, alors que les chansonniers parisiens de la libertaire butte Montmartre n’y étaient pas admis? N’y a-t-il pas lieu de considérer que les liens unissant le Québec à la Bretagne iraient plutôt dans le sens d’un discours construit par une Église québécoise conservatrice, qui voyait dans la Bretagne catholique, nationaliste et réfractaire de ce temps la seule mère patrie acceptable pour un peuple qui avait préféré la Conquête à la Révolution? Le Québec et la Bretagne catholiques ne menaient-ils pas alors un même combat de résistance de la marge ethnoreligieuse? L’analyse des traditions religieuses communes aux deux marges servira à soutenir l’idée que les prétendues origines bretonnes du Québec relèvent plus du discours défensif des élites clérico-nationalistes québécoises du début du xxe siècle que d’un examen attentif des faits.
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Hebbelinck, Thérèse. "L’Église catholique et l’enseignement de l’estime. Discours sur le judaïsme et relations avec les Juifs en Belgique et en France de 1965 à 2000." Cahiers de la mémoire contemporaine, no. 11 (December 1, 2014): 219–33. http://dx.doi.org/10.4000/cmc.376.

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Maldavsky, Aliocha. "Financiar la cristiandad hispanoamericana. Inversiones laicas en las instituciones religiosas en los Andes (s. XVI y XVII)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 114. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.06.

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Abstract:
RESUMENEl objetivo de este artículo es reflexionar sobre los mecanismos de financiación y de control de las instituciones religiosas por los laicos en las primeras décadas de la conquista y colonización de Hispanoamérica. Investigar sobre la inversión laica en lo sagrado supone en un primer lugar aclarar la historiografía sobre laicos, religión y dinero en las sociedades de Antiguo Régimen y su trasposición en América, planteando una mirada desde el punto de vista de las motivaciones múltiples de los actores seglares. A través del ejemplo de restituciones, donaciones y legados en losAndes, se explora el papel de los laicos españoles, y también de las poblaciones indígenas, en el establecimiento de la densa red de instituciones católicas que se construye entonces. La propuesta postula el protagonismo de actores laicos en la construcción de un espacio cristiano en los Andes peruanos en el siglo XVI y principios del XVII, donde la inversión económica permite contribuir a la transición de una sociedad de guerra y conquista a una sociedad corporativa pacificada.PALABRAS CLAVE: Hispanoamérica-Andes, religión, economía, encomienda, siglos XVI y XVII.ABSTRACTThis article aims to reflect on the mechanisms of financing and control of religious institutions by the laity in the first decades of the conquest and colonization of Spanish America. Investigating lay investment in the sacred sphere means first of all to clarifying historiography on laity, religion and money within Ancien Régime societies and their transposition to America, taking into account the multiple motivations of secular actors. The example of restitutions, donations and legacies inthe Andes enables us to explore the role of the Spanish laity and indigenous populations in the establishment of the dense network of Catholic institutions that was established during this period. The proposal postulates the role of lay actors in the construction of a Christian space in the Peruvian Andes in the sixteenth and early seventeenth centuries, when economic investment contributed to the transition from a society of war and conquest to a pacified, corporate society.KEY WORDS: Hispanic America-Andes, religion, economics, encomienda, 16th and 17th centuries. BIBLIOGRAFIAAbercrombie, T., “Tributes to Bad Conscience: Charity, Restitution, and Inheritance in Cacique and Encomendero Testaments of 16th-Century Charcas”, en Kellogg, S. y Restall, M. 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Béchacq, Dimitri, and Hadrien Munier. "Vodou." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.040.

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Le vodou haïtien compte parmi les religions issues des cultures afro-américaines telles que les différentes formes de candomblé au Brésil, la santería et le palo monte à Cuba ou encore le culte shango à Trinidad. Le vodou partage certains aspects avec ces autres religions nées de la traite et de l'esclavage des Africains, façonné par l'histoire singulière de la société dans laquelle il est s'est formé. Tout au long de l’histoire haïtienne, le vodou a été marqué par des rapports étroits avec le champ politique et religieux. Entre mythe et histoire, à la fois réunion politique et religieuse, la cérémonie vodou du Bois-Caïman est passée à la postérité comme l’événement initiateur de l’indépendance d’Haïti proclamée le 1er janvier 1804. Nées dans le contexte esclavagiste de la colonie française de Saint-Domingue, les pratiques alors assimilées au vodou (fabrication de poisons, danses, assemblées nocturnes, etc.) étaient interdites. Au XIXe siècle, différentes constitutions privilégièrent le catholicisme au détriment du vodou jusqu’au Concordat de 1860 entre Haïti et le Vatican. Si certains dirigeants haïtiens comptaient dans leurs réseaux des serviteurs du culte, d’autres soutenaient les campagnes antisuperstitieuses menées par le clergé. L’Occupation américaine d’Haïti (1915-1934) provoqua un sursaut nationaliste : l’indigénisme et le mouvement ethnologique et folklorique placèrent alors les classes populaires et le vodou au centre d’une refondation culturelle, ce qui fut ensuite récupéré par François Duvalier avec le noirisme (Béchacq 2014a). En 1986, des officiants et des temples vodou furent attaqués à la suite de l’exil de Jean-Claude Duvalier du fait de leur relation étroite, avérée ou supposée, avec la dictature. Deux premières associations de défense et de promotion du culte, Zantray et Bodè Nasyonal furent crées. Un mouvement d’institutionnalisation du vodou se développa dans les années 1990 par des militants souhaitant représenter les pratiquants dans les instances publiques nationales. En 2003, le culte fut reconnu par décret comme « religion à part entière » et en 2008, une fédération d’associations vodou désigna son représentant, Max Beauvoir, comme « Guide Suprême du Vodou » et défenseur du culte contre ses détracteurs (Béchacq 2014b). Le catholicisme, les églises protestantes et plus récemment l’islam entretiennent des relations complexes avec le vodou. Son influence est combattue par les autorités religieuses, notamment protestantes, qui appellent à la lutte contre le vodou, poursuivant ainsi l’œuvre des campagnes antisuperstitieuses catholiques (fin XIXe-milieu XXe siècles). Parallèlement, plusieurs religions peuvent être représentées dans une même famille ; l’adhésion au vodou, comme aux autres cultes, peut constituer une étape dans un parcours religieux, d’autant qu’il existe des similitudes entre vodou et pentecôtisme (glossolalie, transe, etc.). Le vodou est réputé pour être fréquenté majoritairement par des femmes, comme espace de tolérance pour les homosexuels et il existe plusieurs niveaux de rapport au vodou, du client non initié au pratiquant assidu. Si ce culte a pendant longtemps symbolisé la bipolarité socioculturelle haïtienne (pauvres/riches, noirs/mulâtres, campagne/ville, créole/français, etc.), toutes les couches sociales sont aujourd’hui représentées dans le vodou. Les serviteurs sont organisés en familles spirituelles sous l'autorité charismatique d'un oungan ou d'une manbo et liés par une filiation initiatique. De ce fait, et par son mode de transmission principalement oral, le vodou haïtien connaît une grande variabilité d'un groupe à l'autre. Une diversité régionale du vodou se manifeste dans les identités des esprits, les rites, les chants, les rythmes musicaux, la liturgie, l’initiation et dans le rapport à la possession, certains rituels régionaux valorisant des transes plus expressives. Enfin, selon qu'il soit pratiqué en ville, et surtout à Port-au-Prince, ou en milieu rural, lieu de nombreux pèlerinages, le vodou affiche des différences importantes affectant le rapport aux entités, la sophistication des cérémonies ou le rapport à l'environnement. Cette diversité amène certains auteurs à considérer qu'il existe plusieurs vodou (Kerboull 1973). L’essentiel de la liturgie est issu de rites de possessions africains, origine que l’on retrouve dans les noms des lwa (Legba, Danbala, Ogou…), dans ceux de leurs familles ou nanchon (nation), ou encore dans ceux des rituels (Rada, Nago, Kongo...) (Métraux 1958). Pendant la période coloniale, les pratiquants – principalement des esclaves mais également, à différents degrés d’implication, des colons ou des « libres de couleur » – se sont aussi appropriés le catholicisme populaire européen par l'usage des chromolithographies et des prières. Les deux autres influences sont la magie – européenne, diffusée par la circulation de livres, et plusieurs variantes africaines – et la franc-maçonnerie. Par ailleurs, le contact des esclaves avec les premiers habitants de l’île et l’usage d’artefacts taïno (haches polies, céramiques) dans le vodou étant avérés, certains intellectuels y voient la preuve d’une influence sur le culte. L'ensemble de ces influences, sans cesse retravaillées par les dynamiques sociales, a fait du vodou une « religion vivante » (Bastide 1996) parmi les religions afro-américaines. Le vodou fait partie intégrante du pluralisme médical haïtien, aux côtés de la phytothérapie populaire, des doktè fey (docteurs feuilles), de la biomédecine et de certaines églises évangéliques (Brodwin 1996 ; Vonarx 2011 ; Benoît 2015). Pour effectuer leurs trètman (traitements), les praticiens vodou recourent systématiquement à leurs entités, dépositaires du savoir thérapeutique. Les rituels de guérison et les séances de consultation prennent en charge les maux physiques, relationnels et spirituels et comprennent des bains, des prières, des boissons et/ou la confection d'objets magiques (Munier 2013). Ils sollicitent parfois des lieux spécifiques (église, carrefour, cimetière) et des éléments de l’espace naturel (rivière, mer, arbre, grotte). Ces pratiques visent à intégrer le patient dans des collectifs composés d'entités et de pratiquants, reliés entre eux par des échanges mutuels témoignant de la dimension holistique du vodou qui associe étroitement médecine et religion, environnement social et naturel. La diaspora haïtienne – en Amérique du Nord, dans la Caraïbe et en Europe francophone – s’est formée dans les années 1960 et est actuellement estimée à 2 millions de personnes. Ces communautés d’Haïtiens, leurs descendants et leur pays d’origine sont reliés par des réseaux familiaux, économiques, politiques et religieux, dont ceux du vodou (Richman 2005). Ce dernier s’est adapté à de nouveaux environnements urbains et participe de cette dynamique transnationale (Brown Mac Carthey 2001) ; Béchacq 2012). Du fait de son fort ancrage dans la culture haïtienne et de son absence de prosélytisme, le vodou est surtout pratiqué dans ces nouveaux espaces par des Haïtiens et leurs descendants, ainsi que par des Caribéens et des Africains-Américains mais assez peu par d'autres populations.
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Ottaviani, Edelcio. "I Jornada José Comblin PUC/SP & UNICAP." Revista de Cultura Teológica, November 17, 2019, 3–9. http://dx.doi.org/10.23925/rct.i0.46025.

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Abstract:
I Jornada José Comblin PUC/SP & UNICAP O presente volume é fruto da I Jornada José Comblin, realizada em junho de 2019 na Pontifícia Universidade Católica de São Paulo – PUC/SP, em parceria com a Universidade Católica de Pernambuco (UNICAP). Organizada pelos líderes dos Grupos de Pesquisa José Comblin (GPJC), Prof. Dr. Edelcio Ottaviani e Profª. Drª. Alzirinha Rocha de Souza, da PUC/SP e UNICAP respectivamente, a I Jornada não seria efetivada sem a valiosa contribuição dos membros do GPJC da PUC-SP, que estudam, aprofundam e difundem a produção do teólogo belga radicado no Brasil. Os Profs. Dr. Paulo Cappelletti (UMESP), Dr. Valter Luiz Lara (UNISAL), Ma. Mariane de Almeida Silva (Faculdade Católica de São José dos Campos) e Ma. Benedita Izabel Rosa (Escola Catequética Diocesana de São José Dos Campos) coordenaram as comunicações; os mestrandos Anderson Frezzato, Edi Gomes Ferreira, Fábio de Oliveira dos Santos Junior, Lucy Mariotti, Pedro Luiz Amorim Pereira, Samuel Sanches e o estudante de Iniciação Científica Wagner Rafael Rodrigues se ocuparam de toda a infraestrutura e dos materiais de divulgação e certificação. A Jornada teve início na noite do dia 05 com uma palavra de acolhida pelo mestrando Pedro Luiz Amorim e o líder do GPJC da PUC/SP, seguida da conferência intitulada “Comblin, um leitor dos Sinais dos Tempos (ST) e uma leitura dos ST para hoje”, proferida pelo Prof. Dr. Jung Mo Sung (UMESP). No dia 06, a Jornada foi precedida por um momento de oração, enriquecida pela assinatura do convênio entre os Programas de Estudos Pós-Graduados (PEPGs) em Teologia da UNICAP e PUC/SP e continuada com a segunda conferência, proferida pela Profª. Drª. Alzirinha de Rocha Souza. Logo após, foi realizada a mesa temática intitulada: “Ideologias e Teologias”, composta pelos Profs. Drs. Drance Elias da Silva (UNICAP), Edelcio Ottaviani e Paulo Cappelletti, tendo por mediador o Prof. Me. Domingos Zamagna. À tarde, foram realizadas as comunicações dos alunos pós-graduandos nas áreas de Teologias Bíblica e Sistemática (Grupo 1) e Teologia Prática e Análise Conjuntural (Grupos 2A e 2B). A conferência de encerramento foi realizada pelo Prof. Dr. Flávio Fernando de Souza (Grupo Marista, PR). O evento contou com a presença de vários pesquisadores de outros Estados e de Municípios próximos à cidade de São Paulo, estudantes de teologia e agentes de pastoral interessados no pensamento de José Comblin e nos desafios da Pastoral Urbana. Dentre os ouvintes, contamos com a presença da querida Profª. Drª. Ana Flora Anderson, biblista e revisora exegética da Bíblia de Jerusalém traduzida para o português, contemporânea e amiga do nosso querido teólogo.Há mais de 61 anos, José Comblin partia com um espírito missionário ao encontro das terras brasileiras. O jovem doutor em teologia, finalmente, acalmava seu coração que, havia anos, batia ansiosamente por levar a boa notícia de Jesus aos mais distantes rincões. O propósito do apóstolo Paulo de disseminar práticas e valores pautados no modo de ser de Jesus, ele o faria seu. Finalmente, depois de muita insistência, seu desejo de se tornar missionário estava se realizando. Por duas vezes, em 1955 e em 1957, expusera a seu Cardeal Joseph Ernest van Roey a vontade de partir em missão. Certamente, sua inteligência e capacidade teológica retardaram o assentimento do Cardeal. Talvez S. Emcia. tivesse outros planos para ele no interior da Igreja de seu país ou mesmo na famosa Universidade Católica de Lovaina, que apresentava ao jovem teólogo a possibilidade de uma carreira promissora. Os apelos de Pio XII, na Encíclica Fidei Donum, de abril de 1957, deu o impulso necessário à realização de seus apelos. Comblin partiu para o Brasil em 29 de junho de 1958, passando pelos Aeroportos de Recife, Rio de Janeiro e São Paulo. No dia 30, foi direto para Campinas, onde viveria e, por aproximadamente quatro anos, lecionaria na recém-fundada Universidade Católica. Em 1962, Comblin partiria para o Chile onde permaneceria até 1965. Convidado por D. Hélder Câmara, que o conhecera durante o Concílio Vaticano II, por intermédio de D. Manoel Larraín, bispo de Talca e presidente do Conselho Episcopal Latino-americano (CELAM), passa a viver em Pernambuco, sendo um dos fundadores do Instituto de Teologia do Recife (ITER). Perseguido pelos militares e expulso do país em 1972, por causa de suas análises críticas a respeito das conjunturas intra e extra eclesiais, passa a viver no Chile até 1980. Nesse mesmo ano, a mão forte e tirânica de Pinochet, a exemplo dos algozes da ditadura brasileira, expulsa-o também do país de Allende. De retorno ao Brasil, passa a viver como turista itinerante até receber de novo, pelo empenho da Comissão de Justiça e Paz de São Paulo e de D. Paulo Evaristo Arns, seu visto de permanência no país. Radicado na Paraíba, sob os auspícios de D. José Maria Pires nos anos noventa, passa seus últimos dias na diocese de Barra (BA), junto àquele que julgava um profeta dos tempos atuais, D. Luiz Flávio Cappio. Comblin tem uma vasta produção teológica (mais de setenta livros publicados e quinhentos artigos escritos em várias línguas). Destaca-se por aquela que ele julgava sua maior contribuição à teologia latino-americana, a Pneumatologia, e por ter sido um dos primeiros teólogos a refletir e a escrever sobre a Pastoral Urbana. Este dossiê traz à luz elementos de seu pensamento em diálogo com diferentes áreas da teologia e de outros saberes, tais como as ciências sociais, a filosofia e a história. Na conferência transformada em artigo, intitulada “As transformações do cristianismo na América Latina: contribuições de José Comblin”, a doutora em Teologia pela Université Catholique de Louvain, Alzirinha Souza, traz à tona parte de sua pesquisa pós-doutoral que reflete, entre outras coisas, sobre o futuro do Cristianismo e da Religião no mundo atual; apresenta as reflexões de Comblin a respeito do assunto, desenvolvidas por ele numa série de artigos publicados sobretudo em espanhol; fala da impossibilidade de a Igreja voltar ao projeto de Cristandade, muito embora haja um desejo entre os novos movimentos e comunidades de restabelecê-lo; e defende que o futuro do Cristianismo está entre os leigos e na fidelidade ao Evangelho, muito mais do que na profusão de normas e de dogmas promulgados pelo poder clerical. O segundo artigo, que tem por título “Pautas para a Evangelização da cidade, hoje”, é de autoria de Flávio Fernando de Souza, doutor em Teologia pela Pontifícia Universidade Católica do Paraná (PUC/PR) e mestre em Educação pela Universidade Tuiuti do Paraná (UTP). Ele aprofunda a Conferência de encerramento da I Jornada. Em seu texto, Flávio parte das preocupações de José Comblin e estabelece um diálogo com diferentes autores que se dedicaram a analisar o fenômeno urbano, para pensar o modo mais eficaz de anunciar o Evangelho nos espaços e temporalidades próprios aos contextos contemporâneos. Toma a realidade dos sujeitos interlocutores e as subjetividades urbanas como pontos de partida dos processos de evangelização das cidades e as alinha à representação de uma “Igreja em saída rumo às periferias existenciais”, como tem apontado insistentemente o Papa Francisco em sua Exortação Apostólica Evangelii Gaudium (2013). Como aprofundamento da mesa temática “Ideologias e Teologias”, o terceiro artigo, de autoria do Prof. Dr. Drance Elias da Silva, doutor em Sociologia pela Universidade Federal de Pernambuco (UFPE), procura explicitar os interesses sociais que condicionam o fazer teológico de José Comblin e o papel que a suspeita ideológica tem em seu modo de fazer teologia. Ressalta também a importância das ciências, em particular das ciências sociais (sociologia, economia, ciências políticas e antropologia) no pensamento do autor, para analisar a libertação da fome, da opressão e da exclusão social que constituem um dos maiores desafios para a Evangelização da América Latina e dos países abaixo da linha do Equador. O quarto artigo, de minha autoria, apresenta a busca pela verdade, em contraposição às ideologias religiosas, políticas e econômicas no acontecimento José Comblin. Ao analisar as ideologias que permearam três momentos significativos de sua vida (vinda à América Latina como padre Fidei Donum, expulsão do Brasil e do Chile em nome da Ideologia da Segurança Nacional, globalização do neoliberalismo), procuro mostrar a fidelidade de Comblin à verdade que brota do Evangelho, testemunhado no modo libertador de Jesus contra toda forma de dominação, tornando-se, ele mesmo, um acontecimento. Os três artigos que compõem a terceira e última parte do dossiê, dizem respeito a temas ligados, direta ou indiretamente, ao nosso autor. O artigo “Pensar com Francisco Taborda: hacia una teología fundamental de los Sacramentos en nuestros dias” – de autoria do Prof. Dr. Pedro Rubens Ferreira Oliveira, doutor em Teologia pelo Centre Sèvres de Theologie, Facultés Jésuites de Paris (France) e Reitor da UNICAP – propõe uma releitura do clássico da teologia latino-americana, “Sacramentos, práxis e festa”, de Francisco Taborda, no contexto atual, bem diferente daquele em que foi escrito (anos 80). Pedro Rubens atesta que o epíteto “clássico” se deve ao fato de ser “un libro que las personas no suelen decir que están leyendo, sino que siempre lo están releyendo”. Segundo o autor, o livro de Taborda se configura como “teologia fundamental dos sacramentos que reponde aos desafios de uma questão epocal latino-americana, segundo a orientação do Concílio Vaticano II de perscrutar os sinais dos tempos”. A releitura estabelece um vínculo com José Comblin, na medida em que os temas abordados refletem o modo de fazer teologia de nosso autor, partindo da realidade e estabelecendo modos de agir que têm como parâmetro os valores do Evangelho (metodologia do ver, julgar e agir). Taborda relaciona a categoria de “sociedade líquida”, elaborada por Zigmut Bauman, às exigências de uma Igreja em saída pensada pelo Papa Francisco, para repensar a ação evangelizadora a partir de feitos concretos que o papa Francisco valoriza. “Com gestos simbólicos que ele multiplica, ao orientar para uma comunhão da Humanidade com as grandes causas, seu pontificado entra em sintonia com a estrutura de reflexão de Taborda, segundo uma relação dialética entre o feito valorado, gesto simbólico e intercomunhão solidária”. À luz de Taborda, Pedro Rubens se pergunta até que ponto o novo interesse pela “ortodoxia” das liturgias romanas é uma expressão de verdadeira unidade com a Igreja Universal ou uma reação injustificada que afronta o laborioso esforço iniciado pelo Concílio Vaticano II. O segundo artigo dessa série, “A cidadania romana na Epístola aos Filipenses:um diálogo com José Comblin”, aponta para a perspectiva tão cara ao pensamento combliniano, ou seja, o olhar a realidade a partir de uma leitura atenta das Sagradas Escrituras, em especial dos escritos neotestamentários. O Prof. Dr. Valter Lara, doutor em Ciências da Religião pela Universidade Metodista de São Paulo (UMESP), estabelece um diálogo com Comblin, partindo do comentário à carta de São Paulo aos Filipenses, publicado por nosso autor em 1985. Valter alega que “a situação imediata de Paulo prisioneiro é, sem dúvida, motivação importante de um dos três bilhetes que compõem o conjunto da Epístola. Entretanto, a realidade de conflito social, vivida pela comunidade ao enfrentar o modelo sociocultural de desigualdade dominante, explica o caráter da exortação ética em torno da unidade (Fl 2,1-5) e o modelo cristológico apresentado como critério para viver o exemplo de Jesus que se fez escravo (Fl 2,6-11)”. Por fim, o artigo do Prof. Dr. Flávio Lyra de Andrade, doutor em Sociologia pela Universidade Federal da Paraíba (UFPB), intitulado “Igreja no Nordeste, pastorais sociais e cristianismo da libertação: Assembleia Popular nos anos 2005-2010”, encerra o dossiê. Segundo as palavras do próprio autor, o texto é um “recorte da pesquisa sobre a construção de identidade coletiva dos cristãos na Assembleia Popular, no qual são abordados pastorais e movimentos sociais nos Estados de Pernambuco e Paraíba, situando-os no contexto do Regional da CNBB NE2, no período de 2005 a 2010”. Ao refletir a partir do campo da sociologia da religião em diálogo com a teologia, enfatiza o modo como o cristianismo da libertação se expressa em iniciativa das pastorais sociais, na articulação da Assembleia Popular, constituindo-se como uma tradição político-cultural. Problematiza o trânsito entre os campos político e religioso dos cristãos e dos participantes dessa experiência e traz questões de cunho eclesiológico e político-pastoral, sobre o peculiar contexto das Igrejas Católicas de Olinda-Recife e João Pessoa naquele período. O vínculo com o pensamento de Comblin se dá justamente na análise das Assembleias Populares e da difusão das Comunidades Eclesiais de Base no Nordeste, como um novo modo de ser Igreja, aplicado à relidade latino-americana e alinhado à noção Povo de Deus, expressa no segundo capítulo da Constituição Dogmáticasobre a Igreja (Lumen Gentium).Eis aqui o fruto de um trabalho coletivo visando o aprofundamento e a difusão do pensamento e da vida do téologo José Comblin, expoente de uma teologia genuína que nasce a partir do solo e dos povos latino-americanos. Aproveito a ocasião para agradecer, em nome de todos os integrantes dos dois grupos de pesquisa José Comblin (PUC/SP e UNICAP), ao coordenador do Programa de Estudos Pós-graduados em Teologia da PUC/SP, Prof. Dr. Matthias Grenzer, e ao editor da Revista “Cultura Teológica”, Prof. Dr. Donizete José Xavier, pelo apoio recebido para a publicação deste dossiê associado ao segundo número da Revista neste ano de 2019.Agradeço também, de antemão, a todos que se dispuserem a pousar seus olhos sobre essas páginas, na esperança de que o mesmo Espírito, que animou os passos, os ditos e escritos de José Comblin, anime seus passos também. Boa leitura! Prof. Dr. Edelcio OttavianiEditor científico ad hoc
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