Academic literature on the topic 'Église et État – Allemagne (République démocratique)'

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Journal articles on the topic "Église et État – Allemagne (République démocratique)"

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Silomon, Anke. "Relations entre Église et État dans la République Démocratique Allemande : principes théoriques et applications pratiques." Anglophonia/Caliban 17, no. 1 (2005): 443–52. http://dx.doi.org/10.3406/calib.2005.1568.

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Chaves, Rafael, and Antonia Sajardo. "Politique sociale et économie sociale en Espagne : une perspective historique et institutionnelle de l’offre de services sociaux." Nouvelles pratiques sociales 12, no. 1 (2008): 83–103. http://dx.doi.org/10.7202/301438ar.

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Abstract:
Résumé L'article examine la nature et le rôle des organismes du tiers secteur de l'économie sociale dans l'histoire des services sociaux en Espagne depuis les années de la guerre civile (1936-1939). À cet effet, les auteurs distinguent deux périodes : une première période, qualifiée de période pré-État-providence, correspond aux années du régime dictatorial franquiste (de 1939 jusqu'au début des années 1970); une deuxième période, qualifiée de période démocratique et d'État-providence, se développe à partir de 1975 environ. L'analyse du tiers secteur pendant les deux périodes met l'accent sur des éléments comme la relation entre le tiers secteur et les pouvoirs publics, la régulation des organismes du tiers secteur, son financement, son implication dans la planification de la politique sociale, etc. L'article fait ressortir que les services sociaux en Espagne étaient peu développés au cours de la première période au moment où le secteur public assumait un rôle supplétif. Les services sociaux existants relevaient, pour une bonne part, des organismes du tiers secteur dont les plus importants appartenaient à un pôle religieux (Église catholique) du tiers secteur ou encore à une composante conservatrice du pôle laïc du tiers secteur. Au cours de la deuxième période, les services sociaux se développent plus rapidement grâce à un rôle accru de l'Etat et du secteur public. Plus on avance dans cette période, plus on constate que les organismes du tiers secteur de l'économie sociale continuent d'assumer un rôle important sur le plan de la production des services. On constate également que le pôle religieux du tiers secteur conserve de l'importance tout en connaissant un certain déclin, tandis que le pôle laïc — notamment la composante démocratique — assume un rôle plus important. Toutefois, le financement hautement public des organismes du tiers secteur tend à les confiner dans un rapport de dépendance par rapport au secteur public, ce qui risque de porter atteinte à leur spécificité. Cela accrédite l'idée qu'il y aurait en Espagne, comme en Italie, un quatrième modèle d'Etat-providence européen, un modèle qualifié de latin ou de méditerranéen qui se distinguerait des autres modèles anglo-saxon ou libéral (Royaume-Uni), corporatiste (Allemagne) et social-démocrate (pays scandinaves).
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Dissertations / Theses on the topic "Église et État – Allemagne (République démocratique)"

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Le, Grand Sylvie. "Les églises évangéliques et les groupes de base en RDA dans les années 1980." Strasbourg 2, 1996. http://www.theses.fr/1996STR20018.

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Abstract:
La these etudie les bases historiques, juridiques et ideologiques, la genese et les enjeux (politiques, sociologiques, existentiels) du developpement, autour de themes privilegies (paix, environnement, droits de l'homme, justice), de petits groupes de reflexion et d'action, chretiens ou non, sous le "toit" des eglises evangeliques de rda au cours de la decennie quatre-vingts. Le travail est centre sur l'examen des parcours biographiques et du discours des acteurs (membres des groupes et representants de l'eglise). Apres une analyse de l'emergence de la formule controversee d'"eglise dans le socialisme", utilisee a partir des annees soixante-dix pour definir la position des eglises evangeliques dans leur societe, le present travail traite des racines et de l'evolution thematique et politique du phenomene. Cette approche est completee par l'analyse de l'histoire de trois groupes particuliers (erfurt, grobhennersdorf, forst) ; par l'etude du fonctionnement politique du phenomene, compris comme dispositif triangulaire a geometrie variable (relations eglise etat groupes) sur lequel influent differents facteurs (stasi, candidats au depart, medias occidentaux) ; par l'interpretation d'une trentaine d'interviews biographiques ainsi que par l'examen de diverses publications samizdat, editees par les groupes sous couvert de l'eglise. Ces divers angles d'attaque permettent de montrer notamment que les qualificatifs "politico-alternatif" et "socio-ethique" qui sont frequemment appliques aux groupes, ne sont que partiellement adequats. La dimension politique de ces groupes resulte principalement du refus de toute "publicite" manifeste par le pouvoir et de sa tendance a reprimer toute forme d'initiative independante. Or, il ne s'agissait pas pour eux de conquerir le pouvoir, mais de revendiquer des modes d'expression et d'organisation autonomes. Leurs idees furent, a leur insu, influencees, par la propagande etatique (image de l'ouest deformee, tabou de la question nationale) et leurs actions limitees par le contexte politique repressif (impulsion moralisante, forte dimension symbolique). Le role logistique et intellectuel de l'eglise fut capital pour ces groupes qui furent des lieux de socialisation dont l'enjeu fut avant tout existentiel, dans le cadre d'une societe "verrouillee" par le pouvoir d'etat.
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Liszka, Arnaud. "Protestantisme et politique en République démocratique allemande : L'Eglise luthérienne de Saxe et le mouvement pacifiste, 1978-1989." Paris, EPHE, 2002. http://www.theses.fr/2002EPHE5050.

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Abstract:
La thèse porte sur le rôle politique des Eglises protestantes en RDA sur la période de 1978-1989. La problématique est traitée dans le cadre régional de l’Eglise luthérienne de Saxe et de ses rapports avec le mouvement pacifiste, se constituant entre 1978 et 1982 au niveau paroissial dans l’opposition à la politique de militarisation de la société est-allemande. Des études de cas locaux (séminaires de la paix de Königswalde et de Meissen, structures de coordinations des groupes pacifistes à Dresde, Leipzig et Karl-Marx-Stadt) permettent d’analyser la politique de l’Eglise de Saxe d’encadrement et d’intégration aux structures ecclésiastiques des groupes pacifistes de la période 1983-1986. Ces cas locaux permettent sur la période 1978-1989 d’analyser les conflits grandissants entre l’Eglise et les groupes et un phénomène d’émancipation des groupes de la tutelle ecclésiastique aboutissant à la formation du mouvement citoyen de l’automne 1989.
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Batel, Loïc. "Albrecht Schönherr : de "l'Eglise confessante" à "l'Eglise dans le socialisme"." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1998PA010539.

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Abstract:
Travail portant sur les relations des églises évangéliques et de l'état en Allemagne de l'est à travers le prisme d'une des figures de l'église des années 60-80, Albrecht Schonherr. Né en 1911, étudiant en théologie au moment du kirchenkampf des années trente, cet homme qui devait devenir le président de la fédération des églises évangéliques de RDA quatre décennies plus tard constitue un témoin de choix non seulement de l'histoire des églises protestantes allemandes mais aussi, par sa formation et la vision du monde qu'il devait développer, de l'histoire des Allemagne. Elève et ami du théologien Dietrich Bonhoeffer, très tôt membre de l'églises confessant, Schonherr allait dégager de son expérience du nazisme et de la guerre une approche résolument nouvelle de l'église et de la région que l'avènement de la RDA allait finalement rendre possible. Membre des fraternités (Bruderschaften) qui, en 1956-57 se rassemblent autour d'une même hostilité à la république fédérale et à la politique du président de l'église panallemande Otto Dibelius, Schonherr sera également un des fondateurs de cercles de réflexions tels le wak aux côtés de personnalités comme Gunter Jacob, Siegfried Ringhandt. Ces milieux se déclarent rapidement partisans d'une acceptation de l'état socialiste non seulement au titre de l'Obrigkeit luthérienne mais aussi au nom d'une faute historique commise par l'église à l'égard du socialisme, du communisme et des classes laborieuses. C'est sur de tels principes et sur l'idée fondamentale, héritée de Bonhoeffer, d'une église désormais confrontée à un "monde areligieux" que Schonherr bâtit finalement en 1969 son bund der evangelischen kirchen in der ddr, désormais indépendant de l'église de l'ouest, fédération qu'il mènera jusqu'en 1981, date de sa retraite, à travers les eaux tumultueuses des crises internes à l'église et à la RDA ou internationales, à l'image du printemps de Prague<br>My dissertation concerns the relations between the east german churches ans the east german state ans focuses on a personality who played a major role in the church from the 60's through the 80's namely Albrecht Schonherr. Born in 1911, Schonherr was a student and friend of Dietrich Bonhoeffer, took part in the kirchenkampf, was named temporary bishop of berlin in 1967 and president of the bund der evangelischen kirchen in der ddr in 1969. Beacause of the role he played through these capital years but also of his theoretical work about a "church of the future" based on the bonhoeffer's vision of a "non religious world", he can be considered as an emblematic figure in the interface between religion and politics in the gdr. Past work on the relations between church and face has focused on the institutional aspects of these relations. In my dissertation, I attempt to shed new light on the relationship by focusing first on the personality and motivations of schonherr who was to represent acurrent of thought that dominated the east german churches in the 60's and secondly on his theological positions as well as on his vision of the church-state relationship, mainly based on the idea of a historical sin committed by the church through the xixth and xxth century towards the working classes ans the socialist movement, positions and vision which i believe to be essential to an understanding of the evolution of the relations between the evangelical church and the sed government
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Mackosso, Juhan-Jaap. "La République laïque du Congo : réception de catégories modernes de l'Etat de droit en contexte congolais de passage à l'indépendance : le principe de laïcité." Paris 11, 2008. http://www.theses.fr/2008PA111024.

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Balaamo, Mokelwa Jean-Pacifique. "Eglises et Etat en République démocratique du Congo : évolution historique du droit congolais des religions (1885-2003)." Institut de droit canonique (Strasbourg), 2006. http://www.theses.fr/2006STR20021.

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Abstract:
Cette étude se veut une étude de la situation juridique des confessions, groupes et mouvements religieux en République démocratique du Congo. La religion a été prise en compte dans la dynamique politique du Congo contemporain. La législation coloniale en matière religieuse fut un droit des cultes et missions reconnus, qui régit les activités et institutions religieuses reconnues. La législation post-coloniale en matière religieuse réduisit les institutions religieuses à des associations cultuelles. Cette étude montre les limites du libéralisme comme fondement juridique de l'Etat dans l'histoire du Congo. Le libéralisme n'assure pas absolument la neutralité de l'Etat en matière religieuse. Le droit congolais des religions est complexe et varié, et touche divers aspects du droit (droit public, privé, pénal, fiscal, international, constitutionnel, administratif. . . )<br>This study focuses one's attention on the legal treatment of religious confessions, groups and movements in Democratic Republic of Congo. The religion is an important matter that affects deeply the political dynamic in the contemporary Congo. The colonial legislation of religions is legal status of cults and missions. The post-colonial legislation of religions condideres religions as cultuals associations. This study shows the limits of liberal policy, as legal basement of the State in history of Congo because this liberal policy doesn't assure a strict neutrality of the State in the respect of every conviction and belief. The congolish law of religions is complexe and various, and touchs different aspect of law (Public, Private, Penal, International law, Constitutional, Administrative Law. . . )
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Makiobo-Ma-Lelo, Clément. "L'Église catholique comme instance critique du régime Mobutu : contribution à l'histoire du catholicisme zaïrois (1972-1997)." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2002PA040194.

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Abstract:
Face à la situation économique, politique et sociale globalement déplorable du Zaïre sous le régime dictatorial du président Mobutu, l'Eglise catholique n'a cessé de dénoncer les injustices sociales, les violations des droits de l'homme, la cupidité et l'aveuglement moral de la classe politique zaïroise. Par la voix de ses évêques, elle partage avec beaucoup d'autres zaïrois le désir d'une société de participation pour assurer un partage équitable des responsabilités, des richesses et des biens. Ainsi, s'appuyant sur l'enseignement social de l'Eglise, la communauté catholique du Zaïre estime que le dynamisme des chrétiens, tant par la réflexion que par l'action peut contribuer largement à la naissance d'une nouvelle société zaïroise. Solidement implantée dans toutes les provinces du pays, l'Eglise catholique du Zaïre, avec ses nombreux mouvements et associations, répond aux besoins de la population en matière d'enseignement, de santé et de développement alors que l'Etat en est souvent incapable. Malgré ses dissensions internes, elle constitue une autorité morale pour le peuple zaïrois tout entier et une instance critique pour le monde politique<br>The Catholic Church in Zaïre has been a consistent critic of the Mobutu dictatorship during a period which has seen the country slide into economic, political and social chaos. It has been vocal on issues like social injustice and infringements of human rights, targeting, in particular way, the moral bankruptcy and greed of the local political élite. The Church, through the bishops, has expressed the desire of many citizens of Zaïre for the establishment of genuinely participative political society which would ensure a more just distribution of responsabilities, resources and wealth. Drawing on the social teaching of the Church, the Catholic community in Zaïre firmly believes that it can contribute to the emergence of new society in the country on a number of levels, ranging from reflective to the actively engaged. Thanks to its country-wide presence and its numerous local organisations and associations, the Catholic Church in Zaïre is a strong position to respond creatively to the education, health and economic needs of people at a time when the state's capacity for intervention is limited. In spite of its internal division, the Church constitutes a moral authority for the people of Zaïre and a vital critical voice in politics
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Bouiller, Sophie. "Le Parti social-démocrate allemand et la justice sociale dans les années 1980. Une identité social-démocrate à l'épreuve de l'unification (1989-1990)." Thesis, Sorbonne université, 2018. http://www.theses.fr/2018SORUL024.

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Abstract:
Cette thèse propose une analyse des notions de justice sociale et d'État-providence au prisme de la politique sociale du SPD dans les années 1980. À la fois parti d'opposition au Bundestag à Bonn et parti au pouvoir dans certains Länder en RFA, le SPD se trouvait dans une position ambiguë, propre au fédéralisme allemand. Afin de peser sur les réformes sociales initiées par le ministre du Travail Norbert Blüm (CDU) pour résoudre la crise de l'État-providence, les sociaux-démocrates adoptèrent une stratégie alternant opposition et coopération avec le gouvernement Kohl. Dans le même temps, ils engagèrent un travail de refondation programmatique en vue de reconquérir le pouvoir en 1990. Aux divisions générationnelles communément admises par la recherche se substitua une fracture entre une « aile sociale » adepte d'une politique traditionnelle et une « aile réformatrice » sensible aux valeurs post-matérialistes et « écosocialistes ». Du fait de son immédiateté, le processus d'unification de l'Allemagne (1989-1990) constitua un révélateur permettant de juger, à l'épreuve des faits, la validité des programmes et des discours sociaux-démocrates. Malgré les propositions concrètes de Rudolf Dreßler pour améliorer l'union sociale entre la RFA et la RDA, le SPD ne parvint ni à se faire entendre sur la question de l'unité allemande ni à imposer sa volonté de refonder l'État-providence. Les réserves d'Oskar Lafontaine sur l'emballement des coûts économiques et sociaux contribuèrent à entretenir la confusion concernant la position du SPD sur l'unité allemande<br>This doctoral thesis analyses the concepts of social justice and the welfare state in light of the social policies of the Social Democratic Party of Germany (SPD) in the 1980s. Both in the opposition in the Bundestag in Bonn and in office in some West German Länders, the SPD found itself in an ambiguous position, peculiar to German federalism. The Social Democrats took on a strategy based alternatively on opposition and cooperation with Helmut Kohl’s government, in order to influence the welfare reforms introduced by the Labour Minister Norbert Blüm (Christian Democratic Union, CDU). The SPD simultaneously started to overhaul its political platform with a view to taking back power in 1990. The generational conflicts, which have been widely established by researchers, gave way to a new divide between a “social wing” advocating a traditional policy and a “reforming wing” drawn towards post-materialist and “eco-socialist” values. By virtue of its immediacy, the German unification process (1989-1990) proved to be a litmus test, which allowed the efficiency of the SDP’s agenda and rhetoric to be evaluated. In spite of Rudolf Dreßler’s concrete propositions to improve the social union between East and West Germany, the SDP failed both to share its views on German unification and to impose its determination to overhaul the welfare state. Oskar Lafontaine’s reservations about the economic and social costs spiralling out of control contributed to a blurring of the lines on the SDP’s position on German unification.This doctoral thesis analyses the concepts of social justice and the welfare state in light of the social policies of the Social Democratic Party of Germany (SPD) in the 1980s. Both in the opposition in the Bundestag in Bonn and in office in some West German Länders, the SPD found itself in an ambiguous position, peculiar to German federalism. The Social Democrats took on a strategy based alternatively on opposition and cooperation with Helmut Kohl’s government, in order to influence the welfare reforms introduced by the Labour Minister Norbert Blüm (Christian Democratic Union, CDU). The SPD simultaneously started to overhaul its political platform with a view to taking back power in 1990. The generational conflicts, which have been widely established by researchers, gave way to a new divide between a “social wing” advocating a traditional policy and a “reforming wing” drawn towards post-materialist and “eco-socialist” values. By virtue of its immediacy, the German unification process (1989-1990) proved to be a litmus test, which allowed the efficiency of the SDP’s agenda and rhetoric to be evaluated. In spite of Rudolf Dreßler’s concrete propositions to improve the social union between East and West Germany, the SDP failed both to share its views on German unification and to impose its determination to overhaul the welfare state. Oskar Lafontaine’s reservations about the economic and social costs spiralling out of control contributed to a blurring of the lines on the SDP’s position on German unification
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Auclair, Nadine. "«Avec salutations socialistes» : lettres de plaintes et relations socio-étatiques en République démocratique allemande, 1953-1967." Thesis, 2020. http://hdl.handle.net/1866/25081.

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Abstract:
Ce mémoire de maîtrise consiste en une analyse des dynamiques relationnelles entre l'État de la République démocratique allemande et ses citoyen·ne·s à travers un échantillon de lettres de plaintes envoyées entre 1953 et 1967 concernant les problèmes liés au logement. Les plaignant·e·s ont adopté des « valeurs socialistes » tout au long de leurs discours pour justifier la légitimité de leurs demandes et ils ont utilisé les mots et les principes mêmes de l'État pour exiger des actions. Ce mémoire met en lumière non seulement ces différentes stratégies en utilisant une approche « par le bas », mais examine aussi examine également la réaction de l'État. On remarque notamment que les réponses envoyées par l’État aux plaignant·e·s étaient en général plus positives dans les années 1960 et 1950, ce qui montre d’une part une évolution dans le rapport entre l’État et la société, mais aussi d’autre part un certain changement quant à l’application même des principes socialistes. On remarque en outre que, dans les années 1960, le gouvernement de l’Est a davantage pris soin d'adapter la gestion de ses politiques intérieures aux besoins de la population. L'analyse de ces lettres se situe à la croisée de deux méthodes ; tout d'abord, une analyse discursive a permis de saisir les stratégies d'écriture récurrentes par lesquelles la population a tenté d’influencer l’État. Puis, une analyse statistique des réponses de l’État croisée à l’évolution des politiques intérieures a permis de saisir les changements d’attitude du gouvernement envers sa population.<br>This master’s thesis analyzes the dynamics between the German Democratic Republic and its citizens through complaint letters that East Germans sent to the State between 1953 and 1967 regarding housing problems. It argues that the complainants adopted “socialist values” throughout their discourses as a way of justifying the legitimacy of their complaints. In other words, they used the discourse and principles of the state against it in order to demand action and a resolution to their problems or concerns. This thesis not only highlight these various strategies, utilizing a “history from below” approach, but it also investigates the state’s reaction to the complaints of its citizens. It argues that the state responded overall better in the 1960s as it did in the 1950s, showing evolution in the relationship between state and society as well as a shift in the state’s way to understand socialism. By the 1960s the East German government had had time to slowly adapt its domestic politics towards the population’s needs. The analysis of these letters is at the crossroads of two methods: First I employ a discursive analysis that allows me to identify the recurring strategies by which the state and its citizens sought to influence each other. Second, I use a statistical analysis of the State’s responses coupled with an examination of domestic politics that allows me to capture the changing attitude of the government towards its population.
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