Academic literature on the topic 'Église Notre-Dame (Auxonne, France)'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Église Notre-Dame (Auxonne, France).'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Dissertations / Theses on the topic "Église Notre-Dame (Auxonne, France)"

1

Scaramozzino-Bouchard, Maria. "Notre-Dame d'Auxonne : histoire de la construction." Besançon, 1999. http://www.theses.fr/1999BESA1010.

Full text
Abstract:
Notre-Dame d’Auxonne est un édifice important dans l'architecture gothique bourguignonne. Erigé au plus tôt à l'extrême fin du XIIe siècle, sa construction s'est étalée jusqu'aux années 1260-1280 avant de subir d'autres transformations aux siècles suivants. Plusieurs campagnes de construction ponctuèrent l'avancée des travaux et conduisirent à l'hétérogénéité de son parti. L'analyse architecturale, après une étude historique et une critique d'authenticité, est divisée en plusieurs chapitres portant chacun sur une campagne différente. De cette manière, il a été démontré que le parti premier a été dénaturé. Cette méthode a également permis de rendre compte de la grande technicité de certaines parties de l'édifice, notamment en ce qui concerne le chœur pour lequel l'architecte utilisa la taille en série et le délit une importante adjonction transforma la façade occidentale au début du XVIe siècle. La construction d'un porche, surmonte de deux tours de façade, fut entreprise sous l'autorité d’Antoine le Rupt. L'imposante masse documentaire, conservée en partie par la fabrique de l'église, et composée essentiellement de comptes de construction, a rendu possible l'étude socio-économique d'un chantier de la fin du moyen âge. Mais le parti entrepris demeure très conservateur et les références, quant à elles, restent régionales et sobres.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Schumacher-Rinderer, Maria-Gratia. "L'eglise notre-dame de gargilesse et sa place dans l'art du 12e siecle." Paris 4, 1986. http://www.theses.fr/1986PA040252.

Full text
Abstract:
L'eglise notre-dame de gargilesse (indre), collegiale de chateau des seigneurs de naillac, se compose de deux parties differentes: le sanctuaire avec un chevet a 5 pans coupes couvrant 3 absides, ornees d'arcatures brisees, un transept peu saillant, une crypte de meme plan et une tour carree; et la nef, plus simple, accusant dans ses deux travees, conservees derriere la facade de bouchage, les premieres experiences de voutements sur ogives, accompagnee de collateraux tres etroits. La recherche d'espace continu (passages autour de la croisee, reunion des voutes), l'harmonie des proportions, le meme type de fenetres et la poursuite de la construction en bel appareil determinent pourtant une unite etonnante. Alors que le parti architectural reste sans comparaison en berry, des liens etroits existent avec le limousin (lubersac, vigeois) et meme la terre sainte (sainte-anne de jerusalem), avec le poitou-saintonge pour l'appareil decoratif et avec l'ile-de-france pour le voutement. L'ensemble des chapiteaux histories est exceptionnel par la qualite de la sculpture, la coherence et la complexite du programme iconographique. Leurs dimensions correspondent a leur emplacement, de facon symetrique, dans le monument, a leurs sujets et a la repartition entre plusieurs sculpteurs ayant travaille sur place parallelement (transept: ancien testament, absidioles: nouveau testament, croisee: apocalypse. .
The church notre-dame of gargilesse (indre), belonging to the castle of the seigneurs de naillac, has two different parts: the sanctuary with a polygonal chevet covering 3 apses, decorated by pointed archs, the transept protruding only a little bit, the crypt on the same plan and a quadrangle tower; and the nave, more simple, showing the first experiences of ribbed vaulting in its 2 bays preserved, the side aisles are very narrow. Nevertheless, the search about continual space (passages around the crossing, continuity of the vaulting system), the harmony in proportions, the same window system and the continuation of the same fitting of the stones cause the surprising impression of unity. While no comparison can be made in the berry, very important ones exist in the limousin (lubersac, vigeois) and even in the holy land (sainte-anne of jerusalem); the poitou-saintonge region may have inspired the decoratif elements and the ile de france the vaulting system of the chief nave. The ensemble of the historiated capitals from the sanctuary is exceptional for the quality of carving, the coherency and the complexity of the iconographic program. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Cabrero-Ravel, Laurence. "Notre-Dame du Port et la sculpture ornementale des églises romanes d'Auvergne, les chapitaux corinthiens et leurs dérivés : (fin XIe- XIIe siècle)." Besançon, 1996. http://www.theses.fr/1995BESA1042.

Full text
Abstract:
Au sein de l'Auvergne romane, Notre-Dame du Port apparait centrale au point de vue architectural et sculptural pour un groupe de 33 édifices situés dans l'ancien diocèse de Clermont. Son architecture se caractérise par l'abondance de conservatismes. Sa sculpture ornementale, également tournée vers le passé, s'inscrit parmi les diverses renaissances que connut le corinthien a l'époque romane mais se distingue tant par la variété des compositions et des types végétaux que par son ouverture sur des motifs issus d'un autre répertoire décoratif. Une analyse systématique de l'architecture et de la sculpture met en évidence, au sein de cet ensemble d'édifices apparentés à Notre-Dame du Port, des sous familles faisant apparaitre des évolutions architecturales ou sculpturales qui, palliant la carence des sources textuelles, permettent de proposer des datations. Des comparaisons stylistiques avec des édifices non auvergnats et avec la sculpture de saint-marcellin de Chanteuges, dont on peut admettre que la reconstruction intervint peu après son rattachement à la Chaise-Dieu (1137) font situer la construction de Notre-Dame du Port, et d'un certain nombre d'églises affiliées, dans le premier tiers du XIIe siècle. Outre Chanteuges, d'autres édifices auvergnats apparaissent plus tardifs, notamment Brioude Chauriat et Riom.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Pflieger, Mathilde. "Le Choeur de l'église Notre-Dame des Marais de la Ferté-Bernard : une fenêtre ouverte sur la Renaissance 1535-1569." Thesis, Tours, 2015. http://www.theses.fr/2015TOUR2001.

Full text
Abstract:
En 1535, alors que le chantier de l'église paroissiale Notre-Dame des Marais de La Ferté-Bernard est privé de maître-maçon depuis deux ans et que la fabrique vient d'obtenir la promulgation d'indulgences, un nouveau maître-maçon est élu par les habitants fertois. Mathurin Delaborde est chartrain. Maître des maçons des ville et bailliage de Chartres, Mathurin Delaborde est alors le maître-maçon de la clôture de choeur de la cathédrale. A La Ferté-Bernard, l'édifice qu'il découvre est dans l'état suivant : nef, transept et tour-clocher sont achevés depuis plus de trente ans, tandis que le choeur est en cours de construction. Les chapelles nord sont élevées, ainsi que la chapelle axiale qui vient d'être pavée et vitrée. L'ensemble, de facture sobrement flamboyante, reste toutefois non voûté. Trente-quatre ans plus tard, en 1569, alors que la fabrique fait appel à un nouveau maître-maçon pour achever les arcs-boutants, l'édifice est quasiment achevé. Il porte le monogramme MdLB en deux endroits – dans le triforium et dans la tourelle d'escalier qui mène au garde-corps des parties hautes du choeur. Avec ses trois niveaux d'élévation, les voûtes plates de ses chapelles rayonnantes et surtout l'abondant décor sculpté « à l'antique » de ses parois intérieures et extérieures, le choeur de l'église Notre- Dame des Marais de La Ferté-Bernard est une véritable « fenêtre ouverte sur la Renaissance »
In 1535, the building of Notre-Dame des Marais the parish church of La Ferté-Bernard has been deprived of maître-maçon for two years and the fabrique has just obtained an indulgence enactment, when a new maître-maçon is elected by the people of La Ferté, Mathurin Delaborde from the city of Chartres. A city maître des maçons and bailiwick in Chartres, Mathurin Delaborde becomes the maître-maçon of the chancel screen of the cathedral. On his arrival in La Ferté-Bernard, the nave, transept and church tower have been built for over thirty years whereas the choir is in the middle of its construction. The northern chapels are built, as well as the axis chapel which has just been paid for and windowed. Although soberly flamboyant crafted, the structure remains unvaulted. Thirty four years later, in 1569, the structure is almost finished when the people of La Ferté call on a new maître-maçon to finish the flying buttresses. The building bears the MdLB monogram in two different places – on the triforium and on the staircase turret of the choir. With three levels elevation, the voûtes plates of the radiating chapels and especially the great amount of « à l'antique » decoration sculpted on its inner and outer walls, the choir of the church Notre-Dame des Marais in La Ferté-Bernard is a « window opened upon the Renaissance »
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Meunier, Florian. "L’architecture flamboyante dans la vallée de la Seine, de Vernon à Harfleur." Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040070.

Full text
Abstract:
La vallée de la Seine en Normandie est l’une des régions les plus riches en églises flamboyantes de grande ampleur. D’amont en aval, Vernon, Les Andelys, Louviers, Pont-de-l’Arche, Elbeuf, Caudebec-en-Caux, Saint-Wandrille, Lillebonne, Quillebeuf, Pont-Audemer, Montivilliers et Harfleur peuvent rivaliser avec les églises de Rouen. Les églises de la vallée de la Seine partagent des cadres institutionnels semblables et un même approvisionnement en pierre par le fleuve, mais aussi un héritage esthétique qui peut être formalisé en une typologie des élévations et des tours. Parmi les particularités propres à la vallée de la Seine, plusieurs édifices illustrent la spécificité de la Normandie dans l’architecture gothique de la guerre de Cent Ans, dans la première moitié et au milieu du XVe siècle. Enfin, un développement exceptionnel se remarque non seulement autour des façades sud et porches latéraux des églises en amont de Rouen vers 1500, mais surtout autour d’un nouveau foyer artistique entre Pont-Audemer, Caudebec-en-Caux et Le Havre mené par l’architecte Thomas Theroulde en lien avec les grands architectes rouennais et les premières manifestations de la Renaissance au début du XVIe siècle
Church-building was very bold and affluent during the Late Gothic age in the Seine Valley (Upper Normandy). Vernon, Les Andelys, Louviers, Pont-de-l’Arche, Elbeuf, Caudebec-en-Caux, Saint-Wandrille, Lillebonne, Quillebeuf, Pont-Audemer, Montivilliers and Harfleur can be compared with Rouen churches. The organization of the parish is very similar in those towns, as well as the structural aspects of the building ; the same stone quarries were used by all the masons. Campaigns of construction are very rare in France during the end of the Hundred Years’ War, but the Seine Valley offers testimony to some buildings (c. 1400 to 1450s), especially in Caudebec. The last decades of Gothic architecture (1490-1530s) were extremely productive. A new artistic area was set up near Pont-Audemer, Caudebec and Le Havre ; most of the great enterprises were led by the master mason Thomas Theroulde who was in link with the major master masons of Rouen and the first Renaissance creations in Normandy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Fournot, Frédéric. "Un Corps d'Ancien Régime sur la défensive : les chanoines de l'église collégiale de Dole aux XVIIe et XVIIIe siècles." Thesis, Dijon, 2011. http://www.theses.fr/2011DIJOL010.

Full text
Abstract:
La fondation d'une collégiale dans la ville de Dole répond à un voeu très ancien, celui d’Othon IV, duc de Méranie et comte palatin de Bourgogne. La mort l’en empêche, c’est Mahaut d'Artois son épouse, qui fonde en 1304 un chapitre constitué de douze chanoines, avec quatre chapelains perpétuels appelés semi-prébendés, et un doyen qui possède une double prébende. Cette fondation répond à la nécessité pour la comtesse de disposer d’un clergé apte à assurer le service spirituel d’une ville et de sa chapelle. Ce chapitre est associé à une familiarité de 15 à 20 prêtres dont la particularité est qu’ils soient natifs de la cité doloise. Ce chapitre relève du pape et non de l'archevêque de Besançon, le pape se réserve l'investiture canonique des chanoines nommés par le roi. L’assise foncière et urbaine du chapitre est due à Mahaut d'Artois qui fait les premières fondations et donations. La période moderne voit se greffer une assise temporelle importante grâce aux volontés testamentaires des fidèles. Les possessions foncières du chapitre à l’extérieur de l’espace urbain (170 hectares) s'émiettent dans une dizaine ou vingtaine de kilomètres autour de Dole. En Haute-Saône, nous trouvons le prieuré de Marast (130 hectares de terres) où le chapitre seigneur féodal, règne en maître sur nombre de villages. Le chapitre dolois possède les fonctions de curé et prieur de Dole et imprègne la vie religieuse de la ville. Les chanoines assurent eux-mêmes la cura animarum, c’est-à-dire, qu’ils se chargent de toutes les messes de la paroisse en cette qualité, avec les rémunérations qui accompagnent les actes liturgiques, baptêmes, mariages, et enterrements. Les chanoines dolois sont convaincus qu’ils peuvent exercer une influence en profondeur sur les fidèles en mettant l’accent sur la gestuelle et le rite. Le chapitre touche aussi le produit des dîmes, c'est-à-dire entre 7 et 8 % des récoltes en tant que curé primitif. Originaires de la région et de la villeelle-même, les chanoines possèdent un réel bagage intellectuel que la municipalité doloise et les corps constitués de la ville savent utiliser. Les chanoines, sont représentés de façon non négligeable dans les structures de la ville, nous retrouvons leur présence dans l’université fondée en 1423 par le duc Philippe le Bon. Certains chanoines y occupent des postes de professeurs, d’autres siègent à la chambre des comptes ou au parlement de Dole. Le chapitre joue un rôle majeur dans les institutions à caractère charitable et hospitalier, comme l’hôpital général, la maison du Bon-Pasteur où un chanoine siège au conseil d’administration. A l'Hôtel–Dieu, un chanoine est toujours directeur, et ce en accord avec la ville. La prébende doloise fait partie d’un jeu local qui vise à placer un fils de la bourgeoisie ou de la noblesse au sein d’une communauté religieuse en fonction du prestige que sa famille peut en retirer. Les chanoines composent, à de très rares exceptions, un milieu homogène issu des milieux bourgeois dolois. Cette bourgeoisie judiciaire et marchande étroitement unie n’a de cesse de consolider sa position sociale et de « se farder de noblesse » grâce aux charges exercées. Avec ces 1 500 livres annuelles, au milieu du XVIIIe siècle, la prébende doloise paraît donc très attractive. Elle participe au désir d’ascension sociale d’une famille, et assure aux chanoines une modeste aisance. Etre chanoine de Dole c’est aussi faire partie des élites, le lévite dolois par sa fortune, son influence morale et religieuse peut se confondre avec les hommes de loi et plus particulièrement des notaires. Le chapitre de Dole reste à l’époque moderne le reflet de la position stratégique des familles doloises, d’une forme enviable de réussite, et d’un rôle majeur dans la vie religieuse doloise
The foundation of a college in the town of Dole answers to a very old cvcwish, the one of Othon IV, duke of Mérany, count palatine of Burgundy. His death prevented him from achieving his dream. His wife Mahaut d’Artois founded a chapter in 1304, of twelve canons with four perpetual chaplains, named semi-prebends, and a dean who had a double prebend. This foundation met the need for the countess to have a clergy able to ensure a perpetual unit city a chapel. This chapter is associated with a familiarity of 15 to 20 priests coming from Dole. This chapter is under the pope is and not the archbishop’s responsability. The pope keeps the canonical investiture of the canons appointed by the king. The land and urban base of the chapter is due to Mahaut d’Artois, who did the first foundations and donations. The modern times sees graft an important temporal basis thank to the testamentary wishes of the faithful. The landholdings of the chapter outside the city disappeared in a dozen kilometers around Dole. In Haute Saône, we can find the priory of Marast (130 hectares of land) where the chapter feudal lords reigns supreme on many villages. The Dole chapter has the functions of priest and pervades the religious life of the city. The Dole chapter has the functions of priest and pervades the religious life of the city. The canons provide themselves the cura animarum that’s to say they take care of all masses in the parish, being paid for the liturgical actions, baptisms, weddings and funeral. The canons are convinced they can exert influence over the faithful with an emphasis on gesture and ritual.The chapter also gets the money from the tithes that is to say between 7 and 8 % of the crops as the first priest. Coming from the region an from the town itself, the canons are really intellectually gifted that the town of Dole and the elcted assemblies in the locale communities and the fnd trully there again in the ducke Philippe le Bon. Some canons are working as teachers there and some others sit at the chamber of accounts or at the Dole parliament. The chapterplays a very important part in the institutions dealing with charities and hospital waters, as the general hospital, the Bon Pasteur house in which a canon sits at the board of governors. At the Hotel Dieu, a camon is always at its head and this with the town’s agreement.The prebend from Dole is part of a local interplay which sets a son coning from the Bourgoisies or Nobility’s rignts among a religious community depending or the prestige that his family com be provided with. The canons build, with little exception, a homogenous group descended from the Dole Bourgoisie. This judicial and commercial Bourgoisie closely linked never stop strenghening its social stats and copying the nobility thanks to its duties. With this 1500 “livres per year, in the mid 18th century the Dole prebend therefore one seems very attractive. It contributests a family’s ”wish toreach social achievement and provides confortable living.To be a canon from Dole it with quitea is also to beloowg to the elite the Dole levite thanks to his wealth his morale influence can be compared to new of law and more particularly to sollicitoirsThe Dole etaper remains in modern times, the reflet of the strategic situation of the Dole choper remains in modern times , the reflect of anenivisable vison of achievement and of major part in the Dole religions life
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Paquet, Fabien. "Des crosses et des couronnes : pοuvοirs abbatiaux et pοuvοirs rοyaux dans le diοcèse de Rοuen (fin du ΧΙΙe - milieu du ΧVe siècle)." Thesis, Normandie, 2018. http://www.theses.fr/2018NORMC029.

Full text
Abstract:
Cette thèse analyse l’évolution du pouvoir des abbés de onze abbayes bénédictines masculines du diocèse de Rouen entre la fin du XIIe siècle et le milieu du XVe siècle, mettant l’accent sur les plus grandes d’entre elles (Le Bec, Fécamp, Saint-Ouen, Saint-Wandrille…) mais prenant aussi en charge des maisons plus modestes et méconnues. Au cœur du raisonnement figurent la relation des abbés avec les pouvoirs royaux français et anglais. Après l’intégration de la Normandie au domaine royal capétien en 1204, les abbés devinrent royaux : en étudiant en particulier les actes de la pratique, cette thèse propose une définition de cette catégorie. Le rôle de Philippe Auguste dans la définition des rapports entre les crosses et les couronnes est mis en valeur. La suite du XIIIe siècle et le début du XIVe siècle sont marquées par une continuité politique assez remarquable, doublée d’une prospérité économique ; cela se traduisit par une réelle liberté des élections dans les monastères normands et l’avènement des abbés gestionnaires, qui parvinrent même à conserver les biens de leurs abbayes situées dans les terres du roi d’Angleterre. Les débuts de la Guerre de Cent ans furent un véritable tournant : à partir de ce moment-là, les abbés durent s’engager dans les affaires politiques et la guerre (notamment dans le conflit entre le roi de France et le roi de Navarre puis au moment de la conquête de la Normandie par Henri V, après sa victoire à Azincourt en 1415). S’appuyant sur une prosopographie de cent-quatre-vingt-huit abbés, la thèse étudie par ailleurs le profil de ces supérieurs (origines sociales et géographiques, formation, etc.) et l’évolution de la figure abbatiale au fil de ces trois siècles : de plus en plus de supérieurs furent formés à l’université ou gravitaient dans les cercles de pouvoir de l’Église ou de la royauté. En conséquence, ils fréquentaient de moins en moins leurs cloîtres, habituant les moines à leur absence, tandis que la liberté des élections était progressivement rognée sous l’influence du pape et des rois. L’étude, notamment, des sources narratives et figurées montre que les représentations de leur pouvoir évoluèrent en parallèle : de plus en plus attentifs à leur prestige extérieur, marqué notamment par le port des insignes pontificaux, ils ressemblèrent de moins en moins aux moines qu’ils dirigeaient. Cette thèse propose de lire la mise en place de la commende dans la continuité de ces évolutions du pouvoir abbatial, qui apparaissent moins comme une crise que comme une mutation
This thesis analyzes the evolution of the power of the abbots of eleven male Benedictine abbeys of the diocese of Rouen between the end of the 12th century and the middle of the 15th century, focusing on the largest of them (Le Bec, Fécamp, Saint-Ouen, Saint-Wandrille...) but also on more modest and unknown monasteries. At the heart of the reasoning lie the relationship of the abbots with the French and English royal powers. After the integration of Normandy in the Capetian royal domain in 1204, the abbots became royal: studying in particular the acts of the practice, this thesis proposes a definition of this category. The role of Philip Augustus in the building of these relationships between crosiers and crowns is underlined. The political continuation of the 13th century and the beginning of the 14th century, coupled with economic prosperity, resulted on the one hand in a real freedom of elections in the Norman monasteries and on the other hand in the advent of abbots managers, who even managed to preserve the property of their abbeys located in the lands of the King of England. The beginnings of the Hundred Years’ War were a real turning point: from then on, the abbots had to engage in political affairs and war (especially in the conflict between the King of France and the King of Navarre, then at the time of the conquest of Normandy by Henry V, after his victory at Azincourt in 1415). Based on a prosopography of one hundred and eighty-eight abbots, the thesis also studies the profile of these superiors (their social and geographical origins, their formartion and career, etc.) and the evolution of the abbatial figure over these three centuries: more and more superiors studied at the university and/or gravitated in the circles of power of the Church or of the kings. As a result, they were less and less physically present in their cloisters, accustoming the monks to their absence, while the freedom of the elections was gradually cut off under the influence of the pope and kings. Besides, the study, in particular, of the narrative and figurative sources shows that the representations of their power evolved in parallel: more and more attentive to their external prestige, marked in particular by the wearing of the pontifical insignia, they looked less and less like to the monks who they were ruling. This thesis proposes to read the setting up of the commendatory system in the continuity of these evolutions of the abbatial power, which appear less as a crisis than as a mutation
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Leblanc, Marie Chantal. "Formation artistique et contexte social des peintres canadiens à Paris (1887-1895)." Mémoire, 2008. http://www.archipel.uqam.ca/1280/1/M10507.pdf.

Full text
Abstract:
Ce projet de mémoire entreprend de montrer dans quelles conditions artistiques et sociales ont évolués cinq peintres canadiens à Paris à la fin du XIXe siècle. Les artistes à l'origine de la décoration de la chapelle Sacré-Coeur de l'église Notre-Dame de Montréal; Henri Beau, Joseph Franchère, Charles Gill, Ludger Larose ainsi que Joseph Saint-Charles, se présentent ici, comme un prétexte à l'étude du parcours emprunté par nombreux peintres canadiens à Paris à cette époque. Le choix de la période d'étude est déterminé par le début de leur séjour en France et par la fin du projet de décoration de la chapelle (1887-1895). Dans un premier temps, la recherche dresse un portrait du contexte de formation dans lequel ils ont progressé. À ce propos, l'École Nationale Spéciale des Beaux-Arts, l'Académie Julian et Colarossi sont les principales institutions fréquentées par les artistes. Dans un deuxième temps, cette étude établit quelles étaient leurs conditions de vie et occupations sociales à Paris. Pour ce faire, elle définit leur situation économique par le type d'habitation dans lequel ils vivaient et leur emplacement. Quant à leur vie sociale comme étrangers, elle est reconstituée à partir des lieux et des personnes qu'ils côtoyaient. Dans un dernier temps, ce mémoire entreprend d'illustrer dans quelle mesure leur passage dans la capitale mondiale de l'art a influencé leur carrière artistique au Canada. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Henri Beau, Joseph-Charles Franchère, Charles Gill, Ludger Larose, Joseph Saint-Charles, Académies, Paris, Chapelle du Sacré-Coeur, Montréal.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Books on the topic "Église Notre-Dame (Auxonne, France)"

1

Baffert, Jean-Marc. L' Orgue François Callinet, 1789: Auxonne, Église Notre-Dame. Auxonne: Les Heures musicales en Auxonnais, 1999.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Roland, Galtier, ed. Le grand orgue Cavaillé-Coll: Lunel, église Notre-Dame-du-Lac. Saint-Geniès-des-Mourgues: Bérange, 2005.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Lyon, Hortense. Garouste à Talant. Paris: Ereme, 2006.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Genèse d'une cathédrale: Les archevêques de Reims et leur église aux XIe et XIIe siècles. Langres: Dominique Guéniot, 2005.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Xavier, Dectot, and Musée de Cluny, eds. Paris ville rayonnante: Musée de Cluny-Musée National du Moyen Âge, 10 février-24 mai 2010. Paris: Réunion des musées nationaux, 2010.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Gustave Moreau à Decazeville : 14 tableaux dans l'église Notre-Dame. ROUERGUE, 2010.

Find full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography