Academic literature on the topic 'Église vieille-catholique'

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Journal articles on the topic "Église vieille-catholique"

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Voisine, Nive. "La production des vingt dernières années en histoire de l'Église du Québec." Articles 15, no. 1 (April 12, 2005): 97–112. http://dx.doi.org/10.7202/055648ar.

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Abstract:
L'Église catholique a toujours eu au Québec une telle importance qu'on a été naturellement porté à confondre histoire du Canada français et histoire de l'Église catholique canadienne. Nos orateurs « patriotiques » l'ont souvent rappelé en faisant de la Providence l'explication ultime de l'histoire canadienne : à ce propos, vous me permettrez de citer Mgr Laflèche qui disait en 1865 : « Si les quelques familles sorties de la vieille France il y a quelque deux cents ans, et qui sont venues s'asseoir sur les bords du Saint-Laurent, sont devenues aujourd'hui une nation d'un million d'âmes, ce n'est point l'effet d'un hasard capricieux, ni d'une force aveugle; mais c'est bien l'œuvre d'une Providence toute miséricordieuse. Elle a voulu se servir de nos pères pour apporter la lumière de l'Évangile et les principes de la régénération chrétienne aux infortunées peuplades qui étaient depuis tant de siècles plongées dans les ténèbres de l'infidélité et assises à l'ombre de la mort dans cette belle et fertile vallée. » Nos premiers historiens n'ont pas voulu être en reste et ont cru, avec Parkman et en le répétant à satiété : « Un grand fait se détache en plein relief dans l'histoire du Canada, c'est l'Église de Rome. Plus encore que la puissance royale, elle a modelé le caractère et le destin de cette colonie. Elle a été sa nourrice, et, pour tout dire, sa mère. » Enfin, même les sociologues l'ont reconnu et M. Jean-Charles Falardeau écrivait en 1952: « La société canadienne-française a été, depuis les débuts même de son établissement, à tel point circonscrite, contenue et dominée tout entière par le clergé et les chefs ecclésiastiques, que son histoire se confond en tout point avec celle de l'Église canadienne. [...] L'histoire du Canada français, c'est l'histoire de l'Église au Canada, et réciproquement.» Il ne faut pas se surprendre que la production historique québécoise donne une place privilégiée aux hommes et aux œuvres d'Église. Ne remontons pas au déluge ni au régime français; regardons plutôt le XIXe siècle. Les premiers historiens, même laïcs, font une large part à l'action des missionnaires et du clergé; ils le font ordinairement avec sympathie car, s'ils se permettent la moindre critique du passé clérical, ils s'attirent, comme F.-X. Garneau et Benjamin Suite, les foudres vengeresses des historiens ecclésiastiques. Ceux-ci en effet — Les Ferland, les Casgrain, j'ose dire les Chapais (il ne lui manque que l'habit !) — n'ont pas assez de mots et d'images dithyrambiques pour chanter l'œuvre providentielle en terre d'Amérique. Il y a une exception, l'abbé Brasseur de Bourbourg, qui publie en 1852 son Histoire du Canada, de son Église et de ses missions... où il fait preuve d'un non-conformisme scandaleux: le clergé et surtout les évêques de Québec y passent un mauvais quart d'heure. L'abbé soutient que le choix des évêques par les autorités britanniques eut « pour objet les membres de ce clergé les moins capables de soutenir le poids de l'épiscopat » ; il s'apitoie sur Mgr Hubert tout en racontant méchamment que « dans les derniers temps de son épiscopat, son caractère habituellement faible et indécis, ébranlé encore par les oppositions de toute espèce qu'il avait rencontrées autour de lui, se trouvait réduit à une espèce d'enfance morale, accrue surtout par l'habitude abrutissante des boissons spiritueuses, que le malheureux évêque avait contractée insensiblement pour échapper à la conscience de ses fautes et de son chagrin ». Ces aménités (et d'autres de même farine) avaient fait bondir les « bons bourgeois » de Québec et les Messieurs du Séminaire; et l'abbé Ferland avait répliqué vertement dans ses Observations sur un ouvrage intitulé Histoire du Canada. Avec lui, l'histoire apologétique reprenait le dessus pour longtemps. Plus nuancée peut-être devait être l'œuvre de l'abbé Auguste Gosselin qui esquissa, sans la terminer, une des premières synthèses d'histoire de l'Église catholique au Canada ; elle annonçait les études plus scientifiques du XXe siècle. Pendant toute la première partie du XXe siècle, l'abbé Lionel Groulx domine l'historiographie canadienne-française. Il aborde tous les sujets, de Nos luttes constitutionnelles au Canada français missionnaire, une autre grande aventure ; mais il revient assidûment à l'étude du rôle de l'Église, car pour lui l'enseignement de l'histoire est une forme d'apostolat. Il le dira dans son testament: «... je n'avais choisi, ni ma carrière, ni mon devoir. J'ai accepté le choix qu'en ont fait pour moi mes supérieurs ecclésiastiques. Une autre de mes consolations, ce fut la conscience de travailler pour la survivance du Canada français : petit pays et petit peuple qui parce que catholiques, m'ont toujours paru la grande entité spirituelle en Amérique du Nord.» '' L'abbé Groulx n'est évidemment pas seul, mais il n'est pas question de rappeler, même brièvement, ce qui a pu s'écrire d'intéressant jusqu'en 1950. Je me permets cependant de noter deux événements qui préparent les changements futurs. En 1933 est fondée la Société canadienne d'histoire de l'Église catholique qui chaque année invite ses membres à une session d'étude et publie en un rapport les communications des conférenciers (section française et section anglaise). En quarante ans ont été ainsi publiées des études d'inégale valeur qui forment cependant un ensemble respectable et utile. Si au début la Société sert de tribune à des historiens reconnus, à majorité ecclésiastiques — l'abbé Groulx, Mgr Olivier Maurault, le père Charland, les abbés Maheux et Honorius Provost —, de plus en plus, pendant les dix dernières années, elle attire la collaboration de laïcs et déjeunes historiens. Le deuxième événement que je veux signaler est la fondation, en 1947, de l'Institut d'histoire de l'Amérique française et de la Revue d'histoire de l'Amérique française. Celle-ci veut fournir aux chercheurs « un centre, un foyer où exposer, échanger le fruit de leurs travaux et de leurs recherches ». L'histoire religieuse, comme les autres domaines, en profite beaucoup. Pendant les vingt-cinq premières années, 16.5% des articles sont consacrés à l'histoire religieuse, mais ce pourcentage monte à 22.9% de 1955 à 1963. Il ne faut donc pas se surprendre de trouver dans cette revue un bon nombre des meilleures études sur l'histoire de l'Église canadienne. Elles reflètent aussi l'élan nouveau donné à l'histoire par la fondation des Instituts de Montréal et de Québec. C'est en songeant à ces événements que j'ai choisi de faire un bilan de l'histoire de l'Église à partir de 1950. C'est une tâche immense que rend difficile la multiplication des études et des publications, et aussi l'extrême diversité des thèmes abordés par les historiens. Pour simplifier la présentation, j'aborderai les œuvres en les groupant selon la période qu'elles concernent : le régime français, le XIXe siècle, le XXe siècle.
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Dissertations / Theses on the topic "Église vieille-catholique"

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Willien, David. "La réception du Concile Vatican I par les vieux catholiques." Thesis, Université de Lorraine, 2017. http://www.theses.fr/2017LORR0187.

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Abstract:
Largement méconnue en France et trop souvent réduite à un simple mouvement conservateur d’un autre âge, l’Église vieille-catholique possède une histoire remarquable et fertile en événements. Ayant toute sa place parmi les autres Églises chrétiennes, elle méritait donc que l’on établisse une synthèse de sa genèse et de son développement, d’autant que l’émergence de ce mouvement a entraîné une scission dans l’Église romaine après le concile Vatican I. Quelles en étaient les causes profondes et qui étaient les précurseurs ? Quelles discordes théologiques a précipité cette rupture ? Quelles conséquences celle-ci a-t-elle entraînées ? Comment l’Église vieille-catholique s’est-elle organisée ? Et quelles furent, durant plus d’un siècle, les relations avec les Églises sœurs et avec l’Église de Rome ? Autant de questions qui s’inscrivent dans l’histoire religieuse, politique, sociale et culturelle d’une partie de l’Europe de la seconde moitié du XIXe siècle et du XXe siècle. En reposant sur des sources issues de milieux multiples, tant intérieures qu’extérieures au vieux-catholicisme, ce sujet de recherche s’ancre sur une problématique à la fois historique et théologique, et analyse ainsi comment se sont incarnées un certain nombre d’idées réformatrices, paradoxalement très anciennes, dans de nouvelles pratiques institutionnelles et théologiques
Non disponible
En gran parte ignorada en Francia y muy a menudo reducida a un mero movimiento conservador de otra época, la Antigua Iglesia Católica tiene una historia notable y azarosa. Tener su lugar entre las otras iglesias cristianas, por lo que se merecía que establecemos una síntesis de su génesis y desarrollo, sobre todo desde la aparición de este movimiento dio lugar a una división en la Iglesia romana después del Consejo Vaticano I. ¿Cuáles fueron las causas y quiénes fueron los precursores? ¿Qué discordancias teológicas precipitaron esta ruptura? ¿Qué consecuencias ha tenido esto? ¿Cómo se organizó la Vieja Iglesia Católica? ¿Y qué fueron, durante más de un siglo, las relaciones con las Iglesias hermanas y con la Iglesia de Roma? Estas preguntas son parte de la historia religiosa, política, social y cultural de parte de Europa en la segunda mitad del siglo XIX y el siglo XX. Basado en fuentes de múltiples antecedentes, tanto internas como externas al Antiguo Catolicismo, este tema de investigación se basa en una problemática tanto histórica como teológica, y analiza cómo se encarna una serie de ideas reformadores, paradójicamente muy viejos, en nuevas prácticas institucionales y teológicas
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Van, Kempen Muriel. "Les réfugiés de l'Unigenitus et l'Eglise de Hollande (1725-1745 )." Thesis, Paris 10, 2012. http://www.theses.fr/2012PA100005.

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Abstract:
En 1724, le chapitre d’Utrecht rompait définitivement avec Rome en se dotant d’une hiérarchie propre. Or précisément au même moment, les persécutions anti-jansénistes augmentaient en France, particulièrement contre les religieux. Depuis longtemps cette Église entretenait des liens avec les milieux port-royalistes et elle devint rapidement et logiquement le lieu où l’on pouvait envoyer ces religieux à couvert des persécutions. La naissance et les premières péripéties de ce refuge, créé dans l’urgence, sont l’objet particulier de notre étude. Les jansénistes français mirent rapidement tous leurs espoirs dans l’Église d’Utrecht, celle ci devant servir de modèle à une Église universelle obscurcie. Mais très vite les rêves et les espoirs se sont heurtés à une réalité bien moins reluisante. Les difficultés rencontrées furent multiples et les divisions croisées à divers niveaux, dans l’Église de Hollande ou dans les communautés, en France ou aux Provinces-Unies, individuellement ou en groupe, jusqu’à rendre la situation inextricable. Ces difficultés compromirent l’avenir de ce refuge mais aussi de l’Église d’Utrecht jusqu’à ce que l’interaction France-Hollande diminue sous l’épiscopat de Meindaerts (1739-1767), amenant l’apaisement
In 1724, the chapter of Utrecht consecrated its own bishop, thus breaking up for good with Rome. And strikingly enough, at the same time in France, jansenists were increasingly persecuted, especially in congregations. The Dutch clergy of Utrecht has for long maintained close links with French jansenism circles so that it became naturally and quickly the best place to shelter these oppressed monks. The various episodes, including the genesis of this makeshift church, shall retain our attention and be the main topic of our study. French jansenists soon relied upon this new independent church which was expected to provide a good example for Rome to follow. Yet, pretty soon, all their dreams and hopes vanished and melted away as they faced reality. Division, added to several difficulties arose on different levels, be it in the Dutch Church, in communities, in France or in the United Provinces, and consequently aggravated the situation. Those latter hindrances threatened not only the existence and the future of the refuge but also compromised the Utrecht Church. However, the episcopate of Meindaerts (1739-1767) brought about relief and comfort
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Berthereau, Estelle. "Enjeux et paradoxes de la vieille France à travers l'itinéraire du journaliste Pierre-Sébastien Laurentie : royalistes et catholiques à l'épreuve de la modernité (1814-1835)." Thesis, Paris 8, 2015. http://www.theses.fr/2015PA080091.

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Abstract:
L’itinéraire de Pierre-Sébastien Laurentie, publiciste d’origine modeste qui connaît une ascension grâce aux réseaux de la Congrégation, éclaire un milieu bourgeois royaliste et catholique œuvrant pour le renouveau de leur mouvement. Appartenant à la « génération de 1820 » comme son éternel rival Eugène de Genoude, Laurentie accède à une fonction de journaliste national, en restant soumis aux exigences d’un mouvement royaliste qui le pousse à devenir ultra. N’ayant pas fait l’expérience de la Révolution française, il prend des chemins de traverse qui témoignent de la complexité du mouvement royaliste aux multiples sensibilités. Laurentie souhaite catholiciser le mouvement royaliste et compte, pour cela, sur le soutien de Lamennais et de ses disciples. Il veut que la restauration monarchique s’accompagne d’une restauration complète du catholicisme, alors que l’Église est en pleine mutation. Du côté de la tradition avant 1830, Lamennais influence Laurentie vers le traditionalisme absolu. Laurentie est alors écartelé entre les mennaisiens, les ultras dissidents et les partisans du renforcement de l’Église de France. Il lutte contre la monarchie modérée, car elle est, d’après lui, la porte ouverte aux Carbonari. Plus enclin à la modernité après 1830, il est un des chefs de file avec Berryer du légitimisme légaliste qui peine à s’imposer face aux partisans de l’action, aux absolutistes émigrés, à ceux qui souhaitent se rallier à Louis-Philippe et aux légitimistes ouverts à la démocratie. La rupture avec Lamennais en 1834 marque l’échec de sa politique d’unité : un fossé se creuse entre légitimistes et catholiques que seule la défense de la liberté d’enseignement rapproche
The itinerary of Pierre-Sébastien Laurentie, publicist of humble extraction who managed to climb the social ladders thanks to his connections with the Congregation, informs on a royalist, catholic and bourgeois environment manoeuvring for the revival of their movement. Laurentie is, like his rival Genoude, part of the so-called "1820 generation". His writing abilities contributed to his becoming an influential journalist nationwide, while the royalist movement retained a strong influence on him that contributed to his becoming an ultra. Having not experienced the French Revolution, his itinerary reflects the complexity and multiple nuances of the royalist movement. Laurentie is willing to “catholicize” the royalist movement and is counting on the support of Lamennais. His objective is that the restoration of the monarchy be accompanied by a restoration of catholicism, in a period when the Church is going through significant changes. Before 1830, Lamennais influences Laurentie towards absolute traditionalism. Laurentie is torn between Mennaisians, dissidents in the ultra movement and supporters of the strengthening the French Church. He stands against moderate monarchy which, he believes, would benefit the Carbonaris. More open to modernity after 1830, Laurentie is, with Berryer, one of the main promoters of legalistic legitimism, which encounters a fierce opposition from the supporters of action, absolutists who emigrated, conservatives behind Louis-Philippe and legitimists more open to democracy. The breakdown with Lamennais’ ideas in 1834 marks the failure of Laurentie’s efforts towards unity: it increases the gap between Catholics and legitimists, reduced only during the fight for the freedom of choice between education systems
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Books on the topic "Église vieille-catholique"

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A history of the Old Catholic Church. San Bernardino, Calif: Borgo Press, 1985.

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