Academic literature on the topic 'Empereur d'Orient'

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Journal articles on the topic "Empereur d'Orient"

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Stankovic, Vlada. "Novelisim Konstantin, Mihailo V i rod Paflagonaca." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 40 (2003): 27–48. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0340027s.

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Abstract:
La lign?e des Paphlagoniens, leur conqu?te de la couronne imp?riale, mais aussi leur destruction rapide et totale, repr?sentaient un ph?nom?ne unique dans l'histoire de Byzance du Xle si?cle. Depuis leur premi?re apparition dans les sources byzantines, jusqu'au d?clin final de la famille en 1042, ce n'est qu'une dizaine d'ann?es plus tard, pendant lesquelles les membres de la branche des Paphlagoniens avaient r?ussi ? se soumettre toute une administration de l'Empire, et gr?ce ? la solidarit? familiale, ? parvenir ? une ?norme richesse. Ils ?taient aussi sp?cifiques par le fait qu'ils repr?sentaient un genos clos, une ?lite autosuffisante, les Paphlagoniens par leur politique ont indiqu? l'importance des relations familiales dans l'Empire qui apr?s la mort de Basile II et Constantin VIII ?tait rentr? dans une longue lutte pour la conqu?te de la couronne imp?riale, mais aussi pour la l?gitimit? souveraine qui avait ?t? requise dans la relation avec les membres f?minines de la dynastie mac?donienne, Zo? et Theodora. Le r?gne des Paphlagoniens a ?t? interrompu pendant les r?bellions ? Constantinople en avril 1042, lorsque Michel V a ?t? chass? du tr?ne et aveugl? avec son oncle - le fr?re de sa m?re - le nob?lissime Constantin. La relation de Michel V le Calfat avec le nob?lissime Constantin, leur coop?ration et discordes mutuelles avec l'autre partie de la famille des Paphlagoniens ? la t?te de laquelle se trouvait Jean Orphanotrophe, repr?sentaient le point de d?part du pr?sent ouvrage. Plus pr?cis?ment, la circonstance que Michel V se soit vivement confront? aux membres de la famille des Paphlagoniens, ? laquelle lui-m?me appartenait par la ligne f?minine, imposait une relecture et une nouvelle interpr?tation des sources, afin de tenter de d?passer leurs donn?es contradictoires. Parmi les sources qui d?crivent les ?v?nements depuis le r?gne de Romain III Argyros (1028-1034) lorsque les Paphlagoniens apparaissent pour la premi?re fois dans les sources et lorsque d?bute leur apog?e, jusqu'au d?clin de toute la famille en 1042, l'une des plus importantes est aussi celle de Jean Skylitz?s. Cependant, c'est aussi la plus probl?matique, c'est-?-dire sa d?claration et ses donn?es divergent au premier abord m?me assez visiblement - des donn?es de Michel Psellos Jean Zonaras ou Michel Attaliate. Une lecture plus d?taill?e de Skylitz?s apporte sa d?claration en harmonie, avant tout avec certains d?tails uniques que nous transmet Michel Psellos, mais aussi avec l'image compl?te de l'expansion, du r?gne et du d?clin de la famille de Paphlagoniens. En premier lieu, Skylitz?s souligne l'importance des eunuques influents de Constantin VIII, qui avaient eu un grand r?le ?galement dans la venue au pouvoir de Michel IV, en 1034, de Michel V, en d?cembre 1041, mais aussi dans sa destitution seulement quatre mois plus tard. Le cercle de personnes influents dans la cour de Constantin VIII, a ?t? partiellement repouss? d?j? par la politique familiale de Romain Argyros, ? moins qu'ils ne soient pass?s dans le clan de ce basileus aristocrate, comme cela a ?t? le cas avec l'eunuque Sym?on (pendant le r?gne de Romain, il ?tait le domestique des scholes d'Orient et le pr?tovestiaire qui avait aid? l'ancien ?parque de Constantinople ? acc?der au tr?ne imp?rial). Insatisfait par le r?gne de Romain Argyros, les courtisans influents de la cour de Constantin VIII avaient tent? de voir en la famille des Paphlagoniens une mani?re de reprendre leurs anciennes positions et de reconqu?rir leur ancienne influence. Dirig?s par ces id?es, et jouissant des faveurs et de la confiance de l'imp?ratrice Zo?, sur laquelle ils exer?aient une grande influence, avec son aide ? elle, avec l'Orphanotrophe, ils ont ramen? Michel IV au pouvoir. Jean Skylitz?s et encore plus explicitement Jean Zonaras soulignent leur retour dans le palais imp?rial apr?s la mort de Romain Argyros, c'est-?-dire leur complicit? dans la venueau tr?ne de Michel. D?s la conqu?te du pouvoir, les Paphlagoniens se sont charg? ? placer les membres de leur genos aux plus importantes positions, afin de repousser l'influence des assistants de Romain Argyros, mais aussi les puissants du cercle de Zo?. C'est ainsi que la suite de la cour de l'imp?ratrice Zo? a ?t? remplac?, suite que maintenant ? la place de ses fid?les servantes repr?sentaient les membres f?minines de la famille des Paphlagoniens, les cousines de Michel IV et de l'Orphanotrophe. Pour le duc d'Antioche ? la place de Th?ophylacte Dalass?ne a ?t? plac? le troisi?me fr?re par a?nesse Nik?tas, et lorsque ce dernier est mort, cette m?me ann?e 1034, il a ?t? remplac? par le fr?re suivant Constantin, alors que le plus jeune Georges ?tait devenu pr?tovestiaire ? la place de l'eunuque Sym?on. La commande militaire ? l'ouest avait ?t? confi?e par les Paphlagoniens ? leurs cousins par ligne f?minine: leur beau-fr?re le patrice Etienne Calfat, ?tait le commandant de la flotte, et en 1040, le commandant de Th?ssalonique ?tait le patrice Constantin - vraisemblablement le fils d'Etienne Calfat et le fr?re germain de Michel V. D'une fa?on similaire, les Paphlagoniens propageaient ?galement leur influence dans l'?glise. Comme Romain III Argyros, eux aussi faisaient venir sur les chaires de mitropolites leurs cousins (Antoine Pahys ? Nicom?die), s'attiraient les faveurs des anciens membres du clan de Romain Argyros dans la tentative de faire venir l'Orphanotrophe sur le tr?ne patriarcal (D?m?trios de Kyzikos), ou pla?aient des personnes proches ? eux le plus souvent originaires de Paphlagonie (L?on, l'archev?que de Bulgarie voir aussi l'eunuque Constantin Fagitz?s, Paphlagonien de naissance et membre de leur clan). D?s 1034, probablement pendant la premi?re ann?e de leur r?gne, les fr?res Paphlagoniens ont fait de leur mieux afin d'assurer l'h?ritage de la couronne dans le cadre de leur famille. Le fils d'Etienne Calfat et de leur soeur Maria, Michel, a ?t? proclam? c?sar, comme celui qui h?riterait Michel IV, puisque le seul fr?re qui n'avait pas ?t? eunuque Nik?tas, ?tait mort d?j? en cette ann?e 1034. Pourtant, ce qui manque chez Skylitz?s, Zonaras et Attaliate, est compl?t? par les donn?es de Michel Psellos - de la Chronographie, mais aussi d'un discours du d?but du r?gne de Constantin Monomaque o? Psellos avait donn? un court histoire de l'Empire et des empereurs depuis Basile II jusqu'? Monomaque. Dans les deux lieux Psellos mentionne que Jean l'Orphanotrophe, rapidement avoir s'?tre brouill? avec son neveu Michel Calfat, avait tent? dans le cadre de sa famille ? retrouver nouvel h?ritier de la couronne. Les donn?es des autres ?crivains confirment la querelle de Michel IV et de l'Orphanotrophe avec leur neveu mais aucun d'eux ne l'explique de plus pr?s et ce ne sont que les allusions de Psellos dans ce cas-l?, plut?t claires, qui contribuent ? une meilleure consid?ration des relations dans la famille des Paphlagoniens mais aussi dans le sommet-m?me de l'?tat. Ce n'est qu'apr?s comparaison de leurs donn?es que nous pouvons avoir une id?e plus claire sur les ?v?nements qui se sont d?roul?s de 1034 jusqu'? 1042: d?s la prise du pouvoir, Michel IV et l'Orphanotrophe proclament leur neveu Michel c?sar; un peu plus tard, ils renoncent ? ce dessein, en interdisant ? Michel Calfat m?me d'acc?der au palais; en cherchant un nouvel h?ritier appartenant ? leur lign?e, ils se retournent vers le fr?re de Michel Calfat, Constantin, commandant de Th?ssalonique en 1040, qui avec succ?s avait fait la guerre avec les Bulgares et a re?u le haut titre de magistros; Michel Calfat retrouve le soutien pour la lutte contre l'Orphanotrophe dans le cadre de sa lign?e - ? son c?t? se trouvent les deux plus jeunes fr?res des Paphlagoniens Constantin et Georges apr?s la mort de Michel IV, ils r?ussissent ? repousser l'Orphanotrophe et ? obtenir un accord avec l'imp?ratrice Zo? et son entourage -apr?s quoi Zo? adopte Michel et il devient basileus; Michel V r?gle tout d'abord les comptes avec les adversaires au sein de sa lign?e tandis qu'? son oncle il attribue le haut titre de nob?lissime. Apr?s cela ils se l?vent ouvertement contre l'imp?ratrice Zo?; apr?s avoir chass? Zo? une r?volte ?clate ? Constantinople, ? la t?te de cette r?volte se trouvent les puissants de l'?poque de Constantin VIII, repouss?s par les politiques familiales de Romain Argyros et des Paphlagoniens. Ils tirent de son couvent la princesse Theodora, la proclament imp?ratrice et, m?fiants envers Zo? ils cr?vent les yeux ? Michel V et au nob?lissime Constantin. Craignant de confier le pouvoir ? l'imp?ratrice Zo? - dont les accords politiques leur ont caus? la perte de leurs positions - ils r?ussissent ? r?aliser leur influence ? travers le r?gne commun des deux s?urs; apr?s avoir renvers? les Paphlagoniens, les organisateurs du soul?vement gagnent de nouveau les plus hauts rangs dans l'arm?e: Nicolas, l'eunuque le plus puissant de Constantin VIII devient de nouveau le domestique des scholes d'Orient, Constantin Kabasilas, substitu? au tout d?but du r?gne des Paphlagoniens, devient le domestique des scholes d'Occident. Le nob?lissime Constantin, que Michel Attaliate surnomme ? tort le patradelps?z de Michel V, a ?t? renvoy? ? Constantinople uniquement dans le but de d?couvrir l'abri du tr?sor pr?s de son oikos pr?s des Saints Ap?tres o? ont ?t? dissimul?s, selon Skylitz?s presque 1700 kilogrammes d'or.
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Dissertations / Theses on the topic "Empereur d'Orient"

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Delobette, Laurence, and Théodore. "Théodore II Lascaris, Éloge de Nicée, Éloge de Jean Vatatzès : édition, traduction annotée, introduction et commentaire historique." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040189.

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Abstract:
Edition, traduction annotée et commentaire de deux discours composés en grec dans l'empire byzantin de Nice, au XIIIe siècle. L'auteur est Theodore II Lascaris, empereur de 1254 à 1258. Ils ont été rédigés dès avant l'avènement de ce dernier, entre 1252 et 1254. Le premier de ces discours est un éloge en l'honneur de Nicée, la capitale officielle de l'empire, depuis la prise de Constantinople par les vénitiens et les soldats de la quatrième croisade, en 1204. Le second célèbre le père de l'auteur, Jean Vatatzès, lui-même empereur de 1222 à 1254. Dans ces discours, conformément à la tradition, Theodore II Lascaris revendique la primauté impériale qui fut celle des empereurs byzantins avant 1204, et notamment celle de Manuel Comnene. Il affirme ainsi que tous les peuples installés dans les territoires jadis sous contrôle de Byzance, en Asie comme en Europe, sont désormais soumis à l'autorité impériale. Il écrit également que l'empereur l'a emporté sur des envoyés de l'Église latine et a tranché les questions du dogme responsables du schisme des deux églises, latine et orthodoxe. En revanche, d'une façon nouvelle par rapport à ses prédécesseurs, Theodore II Lascaris ne considère pas la reconquête de Constantinople comme une priorité. C'est Nicée qui constitue désormais la capitale de l'empire. Il nous semble que l'auteur, d'une façon originale, expose sa propre conception du pouvoir impérial, plus qu'il ne célèbre le règne de son père. Contrairement à ce dernier, il considère que la restauration de l'empire ne passe pas par la reconquête de la capitale, mais par le rétablissement de la prééminence impériale; à cela s'ajoute la prise de conscience d'appartenir à une nation "grecque"
This is an edition, a translation and a commentary of two encomia written in medieval Greek (XIIIth century). The author is Theodore II Laskaris, emperor of the byzantine empire of Nicaea (1254- 1258). Both of these encomia have been written at the very end of the reign of John Vatatzes (1222-1254). First of them is a text in honor of Nicaea, the official capital of the empire, after the conquest of Constantinople by the venetians and the soldiers of the fourth crusade in April 1204. The second one is celebrating John Vatatzes, the author's father. Preserving the political tradition, the emperor, according to Theodore II Laskaris, is laying claim to all the prerogatives that the byzantine emperors, especially Manuel Comnene, had enjoyed before 1204. So, the emperor is leading every nation, in Asia as well as in Europe, in the lands that had formerly constituted the byzantine empire, under his authority. He is also winning over members of the Latin Church, and he is deciding the points and the questions of dogma that separated the Latin and orthodox churches. But in opposition with the tradition, Theodore II laskaris doesn't see, at the same time, the reconquest of Constantinople as the main duty of the emperor. According to him, the only one capital is now Nicaea, in the center of Greek Asia minor. These points are not analogous to John Vatatzes' political thought and action. So, it seems that these two speeches are illustrating the author's political claims rather than they are celebrating John Vatatzes' reign. The most important point is his lofty concept of the imperial office. Thus these encomia show how imperial and ecumenical claims preserved in the Nicaean empire, were given a new concept, with the awareness that Nicaea stands in the center of Hellenic lands
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Zapater, Jean-Louis. "Chronique des règnes de Jean et Manuel Comnène, empereurs byzantins du XIIe siècle, par Ionnis Kinnamos, historien byzantin du XIIe siècle." Montpellier 3, 2008. http://www.theses.fr/2008MON30101.

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Abstract:
Cette thèse est une étude littéraire du livre de Jean Kinnamos, historien byzantin du XIIe siècle. L’œuvre s’intitule « Chronique des règnes de Jean et Manuel Comnène, empereurs byzantins du XIIe siècle. » Elle contient : une présentation du contexte historique et littéraire de la période, une présentation de la vie de l’auteur et de ses sources et modèles, le texte grec et une nouvelle traduction en français
This thesis is a literary study of John Kinnamos’s book, a Byzantine historian of the XIIth century. The book is entitled « Chronicle of the reigns of John and Manuel Comnenus, Byzantine emperors of XIIth century. » It presents : a presentation of historical and literary context of period, a presentation of the author’s life and of his sources and models, the greek text and a new translation into French
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Buchs, Numa. "Le règne de Constantin IX Monomaque (1042-1055)." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL101.

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Abstract:
Ma thèse constitue une étude du règne de Constantin IX Monomaque, un souverain qui a régné au milieu du XIe siècle, une période charnière de l’histoire byzantine. Les spécificités du règne sont multiples. Ancien exilé devenu empereur grâce à son mariage avec l’impératrice Zoé, Constantin Monomaque n’a eu de cesse de se créer une légitimité pour asseoir sa domination et conforter son trône. L’empereur a réussi avec brio à se constituer un réseau de fidèles avant son avènement et a su, par la suite, l’étoffer en ralliant de nombreuses familles aristocratiques et un grand nombre de fonctionnaires du palais. Pourtant, le pouvoir de l’empereur bien que consolidé a subi de nombreuses épreuves : les deux plus grandes révoltes militaires depuis près d’un demi-siècle, le peuple de Constantinople de plus en plus remuant, les complots palatiaux, … En dépit de ces difficultés, Constantin IX a réussi un exploit au cours de ce siècle si périlleux pour les détenteurs de la pourpre, mourir au pouvoir et de causes naturelles. Monomaque fut un empereur bâtisseur, lançant de grands chantiers aussi bien au sein de l’Empire qu’à l’étranger. La vie culturelle de cette période fut particulièrement riche, puisque plusieurs des grands intellectuels de l’histoire byzantine ont servi l’empereur et ont bénéficié de ses faveurs. Longtemps perçu comme un empereur hostile à l’armée, Constantin Monomaque fut bien au contraire un empereur militaire de premier plan, assurant son devoir en défendant l’Empire. Il fut aussi un des plus grands empereurs diplomates que l’Empire a connu, une politique visant à favoriser la paix aux frontières en désarmant les ennemis ou pour éviter d’en susciter
My Ph. D. is a study of the reign of Constantine IX Monomachos, a ruler who ruled in the middle of the 11th century, a pivotal period in Byzantine history. The specificities of the reign are multiple. A former exile who became emperor thanks to his marriage to empress Zoe, Constantine Monomachos has never ceased to create a legitimacy to establish his domination and consolidate his throne. The emperor brilliantly succeeded in building up a network of faithful before his advent and subsequently succeeded in strengthening it by rallying many aristocratic families and a large number of officials of the palace. Yet, the power of the emperor, although consolidated, suffered many hardships: the two greatest military revolts in nearly half a century, the people of Constantinople increasingly restless, palatial plots, … Despite these difficulties, Constantine IX achieved a feat during this century so dangerous for the holders of imperial purple, die in power and from natural causes. Monomachos was a builder emperor, launching major projects both within the Empire and abroad. The cultural life of this period was particularly rich, since many of the great intellectuals of Byzantine history served and benefited from the emperor's favours. Long perceived as an emperor hostile to the army, Constantine Monomachos was on the contrary a first-rate military emperor, performing his duty by defending the Empire. He was also one of the greatest diplomatic emperors the Empire has ever known, a policy aimed at promoting peace at the borders by disarming enemies or avoiding creating them
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Mourtoux, Jean-François. "L’avènement de Jean II : querelles de succession et principes de légitimité (Xe-XIIe siècles)." Thesis, Paris 4, 2012. http://www.theses.fr/2012PA040230.

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Abstract:
Ce mémoire traite de l’histoire politique et dynastique de l’empire byzantin du Xe au début du XIIe siècle, et propose de réinterpréter certaines querelles de succession et la stratégie, matrimoniale et politique, des grandes familles aristocratiques. Partant de la querelle de 1118 qui opposa Jean II à sa soeur Anne pour la succession d’Alexis Ier, l’analyse montre que ce conflit recouvrait l’opposition entre deux sources de légitimité, les Comnènes et les Doukai, et de deux principes, primogéniture masculine et primogéniture « absolue ». Cette hypothèse est confirmée par une analyse des relations avant et après le couronnement d’Alexis Ier : la campagne d’Alexis contre Roussel de Bailleul, le contexte des fiançailles d’Alexis Comnène et d’Irène Doukaina, ou la prise de Constantinople sont particulièrement revisités. Ayant dû accorder des garanties à sa belle-famille Doukas, Alexis Ier va utiliser les interdictions de mariage et les circonstances diplomatiques pour annuler les fiançailles de sa fille et de Constantin Doukas, le fils de Michel VII. L’analyse se poursuit par une étude de la révolte de 1057 et met en évidence que Constantin (X) Doukas et Isaac (Ier) Comnène étaient alors les défenseurs des héritières de Constantin Dalassènos, qui était, avec Romain (III) Argyros, le chef d’une des deux familles apparentées par mariage avec les Lécapènes et les Macédoniens. Après avoir vu la stratégie matrimoniale de Romain Ier Lécapène, l’étude montre que Constantin VIII maria sa fille Zôè tardivement afin de réserver le pouvoir à ses lointains cousins et ainsi établir par la pratique un règle de succession à Byzance
This study deals with the political and dynastic history of the Byzantine empire from the 10th to the early 12th centuries. It offers a reinterpretation of some succession crises and of the matrimonial and political strategy of great aristocratic families. About the conflict which opposed John II and his sister Anna on the succession of Alexius I in 1118, the analysis shows that this conflict was also the opposition of two sources of legitimacy: the Doukas and Comnenus families, and of two principles: masculine and absolute primogeniture. This hypothesis is confirmed by an analysis of the relations between both families before and after Alexis I’s accession: Alexius’ campaign against Roussel, the context of his betrothal with Irene Doukaina, of the taking of Constantinople are particularly revisited. Having reluctantly given warrants to his step-family, Alexius I uses marriage prohibitions to cancel his sister’s betrothal with Constantine Doukas, Michael VII’s son. The study then deals with the revolt of 1057, and shows that Constantine (X) Doukas and Isaac (I) Comnenus were the defenders of the female heirs of Constantine Dalassenos, who was, along with Romanos (III) Argyros, the head of one of the two families related to the Lecapenus and Macedonian dynasties. After an analysis of Romanus I’s matrimonial strategy, the study shows that Constantine VIII married his daughter Zoe so late because he wanted to reserve the power to his distant relatives and thus to establish, through practice, a succession rule in Byzantium
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Dayantis, Jean. "Doukas, histoire turco-byzantine : introduction, traduction et commentaire." Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30068.

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Abstract:
Doukas, historien du XVe siècle, nous présente une chronique allant de la deuxième guerre civile entre Byzantins, qui débute en 1341, jusqu'à la prise de l'île de Lesbos par les Turcs en 1462. Sa chronique devient précise et détaillée à partir du règne du sultan ottoman Bayazid Yildirim (Bajaret), 1389-1402. La chronique se poursuit en mettant en parallèle les règnes des empereurs byzantins Manuel II, Jean VIII et Constantin XI, et des sultans ottomans Mehmed (Mahomet) I, Mourad II et Mehmed II. Elle décrit le concile de Florence pour l'union des Eglises (1437-1438) et la prise de Constantinople par Mehmed II en 1453, qui met fin à l'empire byzantin. La chronique de Doukas nous est parvenue par un seul manuscrit, conservé à la Bibliothèque Nationale de Paris. Le titre d'Histoire Turco-byzantine lui a été donné par son premier éditeur, Bullialdus, en 1649. La présente traduction du grec au français suit le texte établi par la savant roumain Vasile Grecu
Doukas, who lived in the fifteenth century, is one of the last Byzantine historians. His “Turco-byzantine History” covers the period from 1341 to 1462. However, his chronicle becomes detailled and accurate with the reign of the Ottoman sultan Bayazid Yildirim, 1389-1402. The chronicle continues by putting in parallel the reigns of the Byzantine emperors Manuel II, John VIII and Constantine XI, and of the Ottoman sultans Mehmed I, Mourad II and Mehmed II. The chronicle goes through the Council of Florence (1437-1438), aimed at the union of the Churches, and the conquest of Constantinople by Mehmed II in 1453. . The Doukas chronicle was saved for posterity in a single manuscript, bearing no title and preserved at the Paris National Library. The French title “Histoire turco-byzantine” was devised by its first editor, Bullialdus, in 1649. The present French translation follows the Greek text established by the Roumanian scholar Vasile Grecu
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Le, Coz Audren. "Résistance et mutations de la fonction impériale entre Antiquité tardive et Moyen Age : le règne de Zénon (474-491)." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040143.

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Abstract:
La déposition du dernier empereur d’Occident en 476 a longtemps marqué le tournant entre Antiquité et Moyen Age. Depuis quelques décennies, les études sur l’Antiquité tardive ont relativisé la portée de cet épisode. La continuité aurait largement prévalu, d’où la promotion d’une large Antiquité tardive, du IIIe au VIIIe siècle : une période d’évolution lente, non de rupture brutale. L’Empire romain a pourtant bien traversé une crise profonde dans la seconde moitié du Ve siècle, en Orient comme en Occident. Cette étude se propose d’examiner en particulier la façon dont l’empereur Zénon (474-491) a fait face à cette crise générale de l’autorité impériale et à la déposition des derniers empereurs d’Occident. Avec pragmatisme et opportunisme, Zénon a engagé la fonction impériale dans un nouveau monde, sans renoncer à la prétention des empereurs à incarner une autorité universelle. Une méthode de gouvernement originale se dessine, notamment après l’usurpation de Basiliskos (475-476), qui l’oblige à revoir en profondeur sa politique dans les domaines intérieur, extérieur et religieux. Les choix de Zénon dans son second règne ont engagé ses successeurs, quelle qu’ait été leur volonté de revenir aux traditionnelles ambitions impériales. Sans renier les avancées des études tardo-antiques sur le temps long, cette étude se propose donc de mettre en lumière l’accélération politique des années 475-476, notamment du point de vue oriental. Tout en défendant la fonction impériale pluriséculaire dont il venait d’hériter, le rôle historique de l’empereur Zénon a été d’accepter un nouveau monde, et d’accompagner l’entrée de l’Empire romain dans le Moyen Age
For a long time, scholars identified the deposing of the last Western Emperor in 476 CE as the transition point between Antiquity and the Middle Ages. Over the past few decades, Late Antiquity scholars have reconsidered the importance of this event: continuity would have definitely prevailed, which opened up the path to the promotion of an extended Late Antiquity, from third Century to eighth Century AD. A period of slow evolution, without brutal rupture. However, this argument fails to account for the profound crisis the Roman Empire experienced during the second half of the 5th century CE, in both the East and West. Accordingly, this study examines Emperor Zeno’s (474-491 CE) approach to this widespread crisis of imperial authority, and the dethroning of the last Western emperors. With pragmatism and opportunism, Zeno refashioned the role of emperors for a new world, without renouncing the emperor’s claim to universal authority. A new method of governance appeared, particularly after Basiliskos’ usurpation of the throne (475-476 CE), which forced Zeno to radically revise his internal, external and ecclesiastical policies. Zeno’s moves during his second reign restricted the options of his successors, no matter how strong was their willingness to return to traditional imperial ambitions. Without denying the advances of Late Antiquity studies over the long term, this study illuminates the rapid political events of the years 475-6 CE, particularly in the Eastern half of the Empire. While defending the long historical tradition of imperial power he inherited, Zeno’s historical role was to accept a new world and help usher the Roman Empire into the Middle Ages
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Books on the topic "Empereur d'Orient"

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Heraclius, empereur d'Orient. Ottawa: eBooksLib, 2009.

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Pierre, Corneille. Héraclius Empereur d'orient. Tragédie. Cicero, 1995.

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Marcel, Curtiade, and Maison d'Europe et d'Orient, eds. Journée de recherche sur Harṣavardhana, 590-647: Souverain de Kannauj (U.P.), dernier empereur bouddhiste d'Inde : à l'occasion du 1400ème anniversaire de son accession au trône, 6 juin 2006, à la Maison d'Europe et d'Orient, Paris. Paris: Harmattan, 2008.

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