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Dissertations / Theses on the topic 'Empereurs – Empire byzantin'

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Loaëc, Arnaud. "L’empereur dans l’épigraphie byzantine 641-1204." Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040041.

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Abstract:
L’épigraphie byzantine est en science en construction dans le domaine de l’épigraphie médiévale. Ce travail repose sur la présentation d’un corpus de 229 inscriptions historiques comportant le nom de l’empereur byzantin, annotées et commentées, présenté par une étude globale du dossier. L’étude de la nature ainsi que de la répartition géographique et chronologique des inscriptions permet de souligner une nette domination de la capitale. En effet, la moitié du corpus est constitué des inscriptions de Constantinople, en particulier lors des périodes difficiles (VIIe-IXe siècles). La répartition chronologique est assez régulière mais avec une part assez importante des inscriptions d’époque macédonienne (867-1055). Les titulatures impériales sont à la fois stéréotypées et variées. Autour de la formule incontournable de pistos en Christos basileus autokrator, les épithètes correspondent souvent à l’idéologie impériale du moment ou du contexte, ce qui produit une assez grande variété des titres. Enfin, l’inscription est souvent incompréhensible pour des populations en majorité analphabètes. Du coup, en tant qu’objet elle est aussi un instrument idéologique qui permet de marquer le territoire de l’empreinte impériale, en particulier lors de la mise en défense d’une région, ou de la construction d’églises. En tant qu’objet présenté à la vue de tous, le texte inspire la crainte aux ennemis de l’Empire et le respect des populations locales envers leur empereur<br>The Byzantine epigraphy is a science under construction in the sphere of medieval epigraphy. This work is based on the presentation of a corpus of 229 historical inscriptions with the name of the Byzantine Emperor, annotated with commentary, presented by a comprehensive study of the file. The study of nature together with the geographical and chronological distribution of inscriptions allows to underline a clear domination of the capital. In fact, half of the corpus consists of Constantinople inscriptions, especially during difficult times (7th-9th centuries). The chronological distribution is fairly regular but with a sizeable part of the Macedonian inscriptions (867-1055). Imperial titulatures are both stereotypical and varied. Around the essential title pistos en Christos basileus autokrator, epithets often correspond to the imperial ideology of the moment or context, which produces a considerable variety of titles. Finally, inscription is often incomprehensible to the majority of the population, for the greater part illiterate. So, as an object, it is also an ideological instrument to mark out the territory of the imperial inprint, especially in the defense of a region, or when he building up of churches. As an object presented in plain sight, the text inflicts fear on the enemies of the Empire and generates respect of local people to their emperor
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Zapater, Jean-Louis. "Chronique des règnes de Jean et Manuel Comnène, empereurs byzantins du XIIe siècle, par Ionnis Kinnamos, historien byzantin du XIIe siècle." Montpellier 3, 2008. http://www.theses.fr/2008MON30101.

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Abstract:
Cette thèse est une étude littéraire du livre de Jean Kinnamos, historien byzantin du XIIe siècle. L’œuvre s’intitule « Chronique des règnes de Jean et Manuel Comnène, empereurs byzantins du XIIe siècle. » Elle contient : une présentation du contexte historique et littéraire de la période, une présentation de la vie de l’auteur et de ses sources et modèles, le texte grec et une nouvelle traduction en français<br>This thesis is a literary study of John Kinnamos’s book, a Byzantine historian of the XIIth century. The book is entitled « Chronicle of the reigns of John and Manuel Comnenus, Byzantine emperors of XIIth century. » It presents : a presentation of historical and literary context of period, a presentation of the author’s life and of his sources and models, the greek text and a new translation into French
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Guran, Petre. "Sainteté royale et pouvoir universel en terre d'Orthodoxie (fin du Moyen-Age et début de l'époque moderne)." Paris, EHESS, 2003. http://www.theses.fr/2003EHES0020.

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Abstract:
Cette recherche se propose d'analyser le phénomène de la sainteté royale aux derniers siècles de l'empire byzantin et dans la sphère d'influence culturelle, religieuse et politique de Byzance, définie par la liaison avec le patriarcat de Constantinople. Cette grande unité ecclésiastique, issue de la séparation graduelle de l'Occident et de l'Orient chrétiens, a permis la configuration d'un univers propre à l'intérieur duquel l'empereur byzantin gardait l'image d'un empereur universel. Néanmoins, la coïncidence entre une unité politique et une unité ecclésiastique a permis peu à peu la constitution d'une autorité religieuse appelée à jouer également un rôle universel. Le patriarche de Constantinople, qui porte depuis longtemps déjà le titre d'oecuménique, devint une institution nécessaire à la direction de la société chrétienne au même titre que l'empereur, vocation proclamée déjà par un patriarche de Constantinople au IXe siècle (Photius). Ce processus historique rencontre au XIVe siècle le développement d'une pensée théologique (Grégoire Palamas), qui participe à un changement de conception sur le rôle religieux du pouvoir politique. Ainsi l'empire chrétien est dépourvu de l'assise théologico-politique, qui a présidé à son apparition mille ans auparavant. La société chrétienne a néanmoins besoin d'un guide dans son acheminement vers la fin des temps. Le dernier siècle de Byzance et les premiers siècles des sociétés post-byzantines enregistrent la tentative des grands prêtres d'assumer ce rôle. Byzance laisse derrière elle une société culturellement et religieusement homogène, sur un vaste territoire (allant de la Russie au Proche-Orient), mais qui fait l'économie de l'institution impériale. Les monarchies post-byzantines ne furent pas capables de reproduire la théologie politique de l'empire. Pour définir ce monde, la notion géopolitique "orthodoxie" marquant le début d'une modernité propre, évoque la fidélité à une formule théologique forgée au XIVe siècle.
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Lerou, Sandrine. "Les dévotions impériales (XIe et XIIe siècles) : le cas grec." Paris 10, 2003. http://www.theses.fr/2003PA100113.

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Abstract:
La confrontation de l'ensemble des sources (textes et objets), des plus publiques aux plus privées, permet d'établir combien la cohorte des saints vénérés par l'empereur est réduite. A Sainte-Sophie, l'empereur agit moins comme un roi-prêtre que comme un roi-mage qui s'acquitte de sa dette envers Dieu. Maître des reliques et des serments, l'empereur n'est pas celui des icones, mais de leur prototype. Il est également considéré comme un empereur contesté, vaincu, fragile et mourant. Un lecture synchronique avec l'Occident rend compte de cultes envers les mêmes saints, d'un souci comparable pour les fondations monastiques (les empereurs ne sont plus enterrés aux Saints Apôtres, mais dans des palais-monastères) ; enfin, d'un attrait commun pour la Jérusalem terrestre, pour l'Incarnation et le Christ dans sa mort<br>In comparing the whole of the sources (texts and artefacts), from the most official to the most private ones, one is able to list the saints worshipped by the emperor, although limited their number is. At Haghia Sophia, the emperor behaves more as a king-mage repaying his debt to God than as a king-priest. Considered as the Master of relics and oaths, he is not, however, the Master of the icons themselves but of their prototype. At the same time, he is believed to be controversial, defeated, weak and even dying. A synchronic reading of the Western situation allows us to point out several common features between the two regions : worship of the same saints, same concern for monastic foundations (the emperors are no more buried at the Holy Apostles church but into palaces-monasteries), same interest in the on earth Jerusalem, the Incarnation and in Christ seen in his death
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Benoit-Meggenis, Rosa. "L’empereur et le moine : recherches sur les relations entre le pouvoir impérial et les monastères à Byzance, du IXe siècle à 1204." Thesis, Lyon 2, 2010. http://www.theses.fr/2010LYO20097/document.

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Abstract:
Le pouvoir impérial joua à Byzance, à partir du IXe siècle, un rôle déterminant dans l’apparition et l’enrichissement des monastères en accordant de nombreux privilèges fiscaux et sa protection constante face aux empiètements de l’administration fiscale et épiscopale. La lecture des sources suggère que l’empereur obéissait à des intérêts supérieurs à ceux des bureaux du fisc et que la fondation ou la protection des monastères répondaient à des préoccupations spirituelles, idéologiques et politiques. Les monastères impériaux, en particulier, étaient soumis à des obligations contraignantes qui relevaient à la fois des droits privés de l’empereur, tels que l’obligation d’accueillir les membres de la famille impériale, et de ses droits régaliens ; ces monastères servaient de prisons politiques aux opposants de l’empereur, parfois aux empereurs déchus et à leurs proches, et étaient à la disposition du souverain qui pouvait les donner à ses partisans.L’insistance mise par les chroniqueurs à souligner l’amitié des empereurs pour les moines procède de leur volonté d’affirmer la légitimité du pouvoir de ces souverains, malgré leurs fautes ou leur déchéance, afin de maintenir la continuité de l’autorité impériale. Si la légitimité du souverain pouvait suivre à Byzance plusieurs voies et s’accommoder de la violence, elle ne pouvait se passer de l’assentiment divin. Les moines, proches de Dieu grâce à leurs vertus et intercesseurs privilégiés des hommes, étaient assurément les meilleurs garants de cette légitimité. L’idée de la supériorité de la dignité monastique, développée par les écrits monastiques et les Vies de saints, semble avoir trouvé un écho dans les sources narratives dont les récits ont contribué à l’élaboration d’un nouveau modèle idéologique, celui d’une basileia renforcée par des valeurs monastiques<br>Starting from the IXth century, the imperial power played in Byzantium a significant role in the emergence and enrichment of monasteries, by providing several fiscal privileges and by giving constant protection against the encroachments of the fiscal and the episcopal administration. According to the literature, the emperor obeyed to interests superior to those of the fiscal administration, and the foundation or the protection of monasteries was due to spiritual, ideological and political concerns. The imperial monasteries, in particular, were subject to restrictive obligations which were sometimes the private rights of the emperor, such as the obligation to welcome the members of the imperial family, and other times his kingly rights ; these monasteries served as political prisons for the ones against the emperor, sometimes for the dethroned emperors and their closed ones, and they were available to the sovereign who could give them to his followers.The emphasis made by historians to underline the friendship of the emperors towards the monks proceed from their will to confirm the legitimacy of the power of these sovereigns, despite their mistakes or their decline, in order to maintain the continuation of the imperial authority. If the legitimacy of the sovereign could follow several routes in Byzantium and get used to the violence, it could not do without the divine consent. The monks, close to God thanks to their virtues and intercessors privileged of men, were definitely the best ones to guarantee this legitimacy. The idea of the superiority of the monastic dignity, developed by the monastic literature and the Lives of the saints, seems to have found an echo in the narrative sources whose recites have contributed to the elaboration of a new ideological model, that of a basileia reinforced by monastic values
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Jankowiak, Marek. "Essai d'histoire politique du monothélisme à partir de la correspondance entre les empereurs byzantins, les patriarches de Constantinople et les papes de Rome." Paris, EPHE, 2009. http://www.theses.fr/2009EPHE4012.

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Abstract:
La crise monthélite - une discussion théologique portant sur le nombre des volontés du Christ - demeure la seule des contreverses ayant déchiré l'Eglise chalcédonienne à la fin de l'antiquité, à n'avoir jamais fait l'objet d'une monographie. Pourtan, elle eut des répercussions politiques, idéologiques et intellectuelles profondes sur l'empire byzantin lors de cette période charnière de son histoire que le VIIe siècle. Mon travail se propose d'étudier, à partir d'un dossier de sources récemment renouvelé, les implications et le context politiques de cette contreverse qui naquit d'un rejet, par un groupe restreint de moines palestiniens, du projet d'union entre l'Eglise chalcédonienne et les Eglises monophysites mis en oeuvre par l'empereur Héraclius à partir d'environ 630, et qui prit fin un demi-siècle plus tard par un concile oeucuménique qui entérina la doctrine de deux volontés. Loin d'être une résurgence de la rivalité entre Rome et Constantinople, la contreverse monothélite se laisse interpréter comme la sédition de moines-intellectuels, groupés autour de Maxime le Confesseur, qui eurent recours à des moyens politiques extrêmes pour imposer leur orthodoxie à l'Eglise de l'Empire. Ils y parvinrent grâce à l'alliance avec la papauté. La discussion sur les volontés du Christ présente donc un cas intéressant de "papocésarisme" byzantin; parallèlement, elle est le dernier maillon des contreverses christologiques qui ébranlèrent l'Empire pendant la période tardo antique: l'invasion arabe et la perte des provinces orientales allaient désormais tourner à l'attention des Byzantins vers la rectitude rituelle<br>The monothelete crisis - a theological controversy around the number of wills in the Christ - remains the only debate within the chalcedonian church to lack a monographical study, despite the manifold impact it had on the byzantin empire of the 7th century, a pivotal period of its history. My dissertation, based on a recently renewed dossier of sources, attempts a study of the political implications and of the context of this dispute, which began as a reaction of a limited group of palestinian monks against the unions between the chalcedonian church and its monophysite counterparts enforced by the emperor Heraclius since ca AD 630, and which ended half a century later at an ecumenical council which accepted the doctrine of two wills. Far from being still another outbreak of the supposed eternal conflict between Rome and Constantinople, the monothelete crisis can be construed as a revolt of monk-intellectuals, grouped around Maximus the Confessor, who resorted to political means in order to impose their orthodoxy on the church of the Empire. They owed their success to their alliance with the papacy; thus, the controversy around the wills of the Christ presents an interesting case of byzantine "papocesarism" and encourages to reconsider the traditional vision of the imperial omnipotence in the religious domain. At the same time, the monotheletism is the last of the christological controversies which troubled the Empire during the late antiquity: the arabic invasions and the loss of the oriental provinces will henceforth turn the attention of the byzantines to the ritual righteousness
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Agati, Xavier. "Repentance et résurrection d'un Empire : Césaire Dapontès et son "Livre des Règnes" (1770 - 1774)." Electronic Thesis or Diss., Paris, EHESS, 2024. http://www.theses.fr/2024EHES0030.

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Abstract:
En 1770-1774, Césaire Dapontès conçoit le Livre des Règnes, un exposé des quatre-vingt-treize règnes des Empereurs romano-byzantins du IVe au XVe siècle enrichi de très nombreuses considérations plus indirectes à leur sujet. Cette œuvre constitue le 10ème tome d’une immense œuvre cyclique de dix-huit tomes disposés en résonance littéraire en l’honneur de la Mère de Dieu, dont les autres tomes les plus connus sont le Jardin des Grâces, le Médaillon de Raison, le Miroir des dames et les Fleurs de l’Entendement. Le contexte de la rédaction du Livre des Règnes est le déclenchement, le déroulement puis la résolution de la Sixième guerre russo-turque (1768-1774) : l’exposé sur les règnes romano-byzantins doit être mis en relation avec la forte probabilité, à l’issue de cette guerre, que l’Empire russe conquière la capitale ottomane, qu’un monarque chrétien y soit placé mettant ainsi fin à l’Empire ottoman. A travers l’exposé sur les règnes romano-byzantins, le Livre des Règnes s’avère une réflexion sur l’Histoire et sur le lien que celle-ci entretient avec la psyché humaine, théâtre dans lequel se déroule le confit entre le bien et le mal. Puisque l’Empire ottoman est perçu comme une longue période de pénitence imposée par Dieu pour contraindre les chrétiens orthodoxes de l’Empire (anciens sujets romano-byzantins) à se repentir de leurs fautes passées, le Livre des Règnes invite son lecteur à se repentir devant les fautes morales des quatre-vingt-treize empereurs romano-byzantins, et à travers eux à se repentir devant ses propres péchés, nécessité absolue pour atteindre la renaissance spirituelle individuelle. Pour mener cette réflexion, Dapontès procède à la façon des dix-sept autres tomes de son immense œuvre cyclique, en conduisant le lecteur sur le chemin de sa propre repentance monastique, chemin qu’il a lui-même emprunté pour expier la gravité des péchés personnellement commis durant sa vie passée de dignitaire et de courtisan, et qui, par le truchement de son procédé d’écriture, lui vaut la rédemption<br>In 1770-1774, Cæsarius Dapontes conceived the Book of Reigns, an account of the ninety-three reigns of the Romano-Byzantine Emperors from the fourth to the fifteenth centuries, enriched by many more indirect considerations about them.This work is the 10th volume of an immense cyclical work of 18 volumes arranged in literary resonance in honor of the Mother of God, of which the other best-known volumes are the Garden of Graces, the Medallion of Reason, the Ladies' Mirror and the Flowers of Understanding.The context of the writing of the Book of Reigns is the beginning, the unfolding and the resolution of the 6th Russo-Turkish War (1768-1774): the account of the Romano-Byzantine reigns must be related to the high probability at the end of this war that the Russian Empire would conquer the Ottoman capital, that a Christian monarch would be placed there, thus putting an end to the Ottoman Empire.Through the presentation of the Romano-Byzantine reigns, the Book of Reigns is a reflection on History and the link it maintains with the human psyche, a theatre in which the conflict between good and evil takes place.Since the Ottoman Empire is perceived as a long period of penance imposed by God to compel the Orthodox Christians of the Empire (former Romano-Byzantine subjects) to repent of their past sins, the Book of Reigns invites its reader to repent of the moral faults of the ninety-three Romano-Byzantine emperors, and through them to repent of his own sins, absolute necessity to attain individual spiritual rebirth.To carry out this reflection, Dapontes proceeds in the manner of the other seventeen volumes of his immense cyclical work, leading the reader on the path of his own monastic repentance, a path which he himself took to atone for the gravity of the sins he personally committed during his past life as a dignitary and courtier, and which, through his writing process, brings him redemption
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Wingler, Clément. "Un passeport pour le prince de Byzance : territoire, nom et appartenance ethnique du dignitaire grec dans la littérature de croisade française et allemande (fin du XIe - fin du XIIIe siècle)." Paris, EHESS, 2013. http://www.theses.fr/2013EHES0026.

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Abstract:
La période comprise entre 1095 et 1204 peut être considérée comme charnière pour la cristallisation des images de l’Autre, qu’il soit chrétien de la loi de Rome, musulman, ou chrétien oriental autant que du sud-est de l’Europe. Le présent travail se propose d’observer sous quelles formes ladite image de l’Autre, ramenée ici à la figure emblématique du prince de Byzance, du souverain des Grecs, s’est développée à ladite époque, et s’est répandue dans un des milieux de réception français et allemands de la littérature des croisades : celui de l’aristocratie princière et féodale. La démarche choisie se veut transversale : elle s’affranchit de la catégorisation des « genres » littéraires qui distinguent les œuvres de l’historiographie et les œuvres du divertissement assumé que sont les chansons de geste, les épopées, les romans… En effet, ces œuvres participent collectivement d’une prise de conscience de l’Autre qui est aussi et surtout une prise de conscience de soi-même et de ses attentes, traduites certes par des « faits d’histoire », mais aussi par un imaginaire tout autant significatif pour comprendre l’époque. L’image du dignitaire grec est ainsi examinée à travers les composantes essentielles de son « passeport » : nom, recensement de ses origines par la géographie – ce qui renvoie aux notions de territoire et de communauté —, et caractérisation ethnique. Les quatre parties constituant la thèse traitent tour à tour de la notion de Romanie dans les sources allemandes et françaises, des territoires et peuples d’Alexis 1er Comnène au temps de la Première Croisade, puis au XIIe siècle, et enfin du nom et de la personnification du prince grec aux XIIe et début du XIIIe siècles<br>The period between 1095 and 1204 can be considered a pivotal point in time for understanding clearly the image of « Others », whether Christian (in accordance with the laws of Rome), Muslim, or Christian (in accordance with Oriental or South-East European traditions). The present work sets out to observe in what form this image of « Others », focused here around the emblematic figure of the Prince of Byzantium, ruler of the Greeks, came in to existence at the time, and spread throughout one of the areas reknowned for French and German literature on the Crusades: that of the aristocracy of princes and feudal chiefs. A transversal approach has been adopted, which is freed from the classification of literary « genres » which mark works of historiography and works of supposed entertainment such as “chansons de geste”, “epopees” and novels. In fact, these works participate collectively in an awareness of the « Other » that is also (and more particularly) an awareness of Onesself and one’s expectations, translated of course by «historical events», but also by an imaginary thread that is just as significant for understanding the period. The image of the Greek dignitary is thus examined by way of key « passport » details: his name, his origin(s) as determined by geographical clues – including ideas on territory and communities — and his ethnic roots. The four main sections of the thesis address in turn the notion of Romania found in German and French texts, the lands and people of Alexios Komnenós 1st at the time of the First Crusade, then in the 12th century, and finally the name and personification of the Greek prince in the 12th and beginning of the 13th centuries
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Vlavianos, Stéphanie. "La figure magique à Byzance de Jean Damascène à Michel Psellos (VIIIe-XIe siècle)." Paris, EHESS, 2008. http://www.theses.fr/2008EHES0113.

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Abstract:
Qui évoque la magie, c'est-à-dire l'ensemble des pratiques qui visent à perturber l'ordre naturel des choses à bien ou à mal, ne peut manquer de faire référence au praticien. Les sources byzantines issues des rangs chrétiens, normatifs, s'opposent par principe au mage, être démoniaque. Elles ne lui donnent pas la parole et elles ont mis en place ce que l'on pourrait appeler « la figure magique », c'est-à-dire une représentation du praticien. Les incarnations de cette figure sont diverses, bien que les traits en soient constants. De même, l'utilisation des figures varie aussi bien d'une source à l'autre que d'un contexte à un autre. La période qui s'étend du VIIIe à la fin du XIe siècle recèle beaucoup de ces figures, surtout pendant l'iconoclasme. Les activités du mage sont variées, issues de la vision des origines angéliques de la magie elle-même. Ses savoirs sont un don, transmissible voire contaminant. Les figures magiques sont aussi celles du pouvoir compromis et souillé. La remise en ordre du monde bouleversé par le mage passe par l'intervention d'une autre figure atypique, le saint. Se convertir ou mourir, telles sont les deux issues possibles pour la figure magique, forcément vaincue<br>Magic, that is practices whose aim is to disturb the natural order and the balance of the world in a good or evil purpose, refers unquestionably to the magician himself. Born into a Christian environment, the-Byzantine sources from the VIIIth till the end of the XIth century clash, on the principle, with the practitioner, seen as a diabolical being. The sources have set up what can be called a "magical figure", a representation of who practices magic. The incarnations of this figure are different, even if the general features are constantly the same. The way they are used is various from one source to another and from one context to another as weil. The Iconoclasm is particularly riddled with magical figures. The large range of activities attributed to the magician cornes from the vision of the angelical origins of magic. The magical knowledge is a gift the magician receives and passes on to others, contaminating them. The figures of that time are also those of an imperial compromised, polluted power. The saint is another particular figure putting in order aIl the magical and diabolical disorders. Converting or death are the exits for the magician, inevitably defeated
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Le, Coz Audren. "Résistance et mutations de la fonction impériale entre Antiquité tardive et Moyen Age : le règne de Zénon (474-491)." Thesis, Paris 4, 2017. http://www.theses.fr/2017PA040143.

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Abstract:
La déposition du dernier empereur d’Occident en 476 a longtemps marqué le tournant entre Antiquité et Moyen Age. Depuis quelques décennies, les études sur l’Antiquité tardive ont relativisé la portée de cet épisode. La continuité aurait largement prévalu, d’où la promotion d’une large Antiquité tardive, du IIIe au VIIIe siècle : une période d’évolution lente, non de rupture brutale. L’Empire romain a pourtant bien traversé une crise profonde dans la seconde moitié du Ve siècle, en Orient comme en Occident. Cette étude se propose d’examiner en particulier la façon dont l’empereur Zénon (474-491) a fait face à cette crise générale de l’autorité impériale et à la déposition des derniers empereurs d’Occident. Avec pragmatisme et opportunisme, Zénon a engagé la fonction impériale dans un nouveau monde, sans renoncer à la prétention des empereurs à incarner une autorité universelle. Une méthode de gouvernement originale se dessine, notamment après l’usurpation de Basiliskos (475-476), qui l’oblige à revoir en profondeur sa politique dans les domaines intérieur, extérieur et religieux. Les choix de Zénon dans son second règne ont engagé ses successeurs, quelle qu’ait été leur volonté de revenir aux traditionnelles ambitions impériales. Sans renier les avancées des études tardo-antiques sur le temps long, cette étude se propose donc de mettre en lumière l’accélération politique des années 475-476, notamment du point de vue oriental. Tout en défendant la fonction impériale pluriséculaire dont il venait d’hériter, le rôle historique de l’empereur Zénon a été d’accepter un nouveau monde, et d’accompagner l’entrée de l’Empire romain dans le Moyen Age<br>For a long time, scholars identified the deposing of the last Western Emperor in 476 CE as the transition point between Antiquity and the Middle Ages. Over the past few decades, Late Antiquity scholars have reconsidered the importance of this event: continuity would have definitely prevailed, which opened up the path to the promotion of an extended Late Antiquity, from third Century to eighth Century AD. A period of slow evolution, without brutal rupture. However, this argument fails to account for the profound crisis the Roman Empire experienced during the second half of the 5th century CE, in both the East and West. Accordingly, this study examines Emperor Zeno’s (474-491 CE) approach to this widespread crisis of imperial authority, and the dethroning of the last Western emperors. With pragmatism and opportunism, Zeno refashioned the role of emperors for a new world, without renouncing the emperor’s claim to universal authority. A new method of governance appeared, particularly after Basiliskos’ usurpation of the throne (475-476 CE), which forced Zeno to radically revise his internal, external and ecclesiastical policies. Zeno’s moves during his second reign restricted the options of his successors, no matter how strong was their willingness to return to traditional imperial ambitions. Without denying the advances of Late Antiquity studies over the long term, this study illuminates the rapid political events of the years 475-6 CE, particularly in the Eastern half of the Empire. While defending the long historical tradition of imperial power he inherited, Zeno’s historical role was to accept a new world and help usher the Roman Empire into the Middle Ages
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Buchs, Numa. "Le règne de Constantin IX Monomaque (1042-1055)." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL101.

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Abstract:
Ma thèse constitue une étude du règne de Constantin IX Monomaque, un souverain qui a régné au milieu du XIe siècle, une période charnière de l’histoire byzantine. Les spécificités du règne sont multiples. Ancien exilé devenu empereur grâce à son mariage avec l’impératrice Zoé, Constantin Monomaque n’a eu de cesse de se créer une légitimité pour asseoir sa domination et conforter son trône. L’empereur a réussi avec brio à se constituer un réseau de fidèles avant son avènement et a su, par la suite, l’étoffer en ralliant de nombreuses familles aristocratiques et un grand nombre de fonctionnaires du palais. Pourtant, le pouvoir de l’empereur bien que consolidé a subi de nombreuses épreuves : les deux plus grandes révoltes militaires depuis près d’un demi-siècle, le peuple de Constantinople de plus en plus remuant, les complots palatiaux, … En dépit de ces difficultés, Constantin IX a réussi un exploit au cours de ce siècle si périlleux pour les détenteurs de la pourpre, mourir au pouvoir et de causes naturelles. Monomaque fut un empereur bâtisseur, lançant de grands chantiers aussi bien au sein de l’Empire qu’à l’étranger. La vie culturelle de cette période fut particulièrement riche, puisque plusieurs des grands intellectuels de l’histoire byzantine ont servi l’empereur et ont bénéficié de ses faveurs. Longtemps perçu comme un empereur hostile à l’armée, Constantin Monomaque fut bien au contraire un empereur militaire de premier plan, assurant son devoir en défendant l’Empire. Il fut aussi un des plus grands empereurs diplomates que l’Empire a connu, une politique visant à favoriser la paix aux frontières en désarmant les ennemis ou pour éviter d’en susciter<br>My Ph. D. is a study of the reign of Constantine IX Monomachos, a ruler who ruled in the middle of the 11th century, a pivotal period in Byzantine history. The specificities of the reign are multiple. A former exile who became emperor thanks to his marriage to empress Zoe, Constantine Monomachos has never ceased to create a legitimacy to establish his domination and consolidate his throne. The emperor brilliantly succeeded in building up a network of faithful before his advent and subsequently succeeded in strengthening it by rallying many aristocratic families and a large number of officials of the palace. Yet, the power of the emperor, although consolidated, suffered many hardships: the two greatest military revolts in nearly half a century, the people of Constantinople increasingly restless, palatial plots, … Despite these difficulties, Constantine IX achieved a feat during this century so dangerous for the holders of imperial purple, die in power and from natural causes. Monomachos was a builder emperor, launching major projects both within the Empire and abroad. The cultural life of this period was particularly rich, since many of the great intellectuals of Byzantine history served and benefited from the emperor's favours. Long perceived as an emperor hostile to the army, Constantine Monomachos was on the contrary a first-rate military emperor, performing his duty by defending the Empire. He was also one of the greatest diplomatic emperors the Empire has ever known, a policy aimed at promoting peace at the borders by disarming enemies or avoiding creating them
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Dayantis, Jean. "Doukas, histoire turco-byzantine : introduction, traduction et commentaire." Montpellier 3, 2004. http://www.theses.fr/2004MON30068.

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Abstract:
Doukas, historien du XVe siècle, nous présente une chronique allant de la deuxième guerre civile entre Byzantins, qui débute en 1341, jusqu'à la prise de l'île de Lesbos par les Turcs en 1462. Sa chronique devient précise et détaillée à partir du règne du sultan ottoman Bayazid Yildirim (Bajaret), 1389-1402. La chronique se poursuit en mettant en parallèle les règnes des empereurs byzantins Manuel II, Jean VIII et Constantin XI, et des sultans ottomans Mehmed (Mahomet) I, Mourad II et Mehmed II. Elle décrit le concile de Florence pour l'union des Eglises (1437-1438) et la prise de Constantinople par Mehmed II en 1453, qui met fin à l'empire byzantin. La chronique de Doukas nous est parvenue par un seul manuscrit, conservé à la Bibliothèque Nationale de Paris. Le titre d'Histoire Turco-byzantine lui a été donné par son premier éditeur, Bullialdus, en 1649. La présente traduction du grec au français suit le texte établi par la savant roumain Vasile Grecu<br>Doukas, who lived in the fifteenth century, is one of the last Byzantine historians. His “Turco-byzantine History” covers the period from 1341 to 1462. However, his chronicle becomes detailled and accurate with the reign of the Ottoman sultan Bayazid Yildirim, 1389-1402. The chronicle continues by putting in parallel the reigns of the Byzantine emperors Manuel II, John VIII and Constantine XI, and of the Ottoman sultans Mehmed I, Mourad II and Mehmed II. The chronicle goes through the Council of Florence (1437-1438), aimed at the union of the Churches, and the conquest of Constantinople by Mehmed II in 1453. . The Doukas chronicle was saved for posterity in a single manuscript, bearing no title and preserved at the Paris National Library. The French title “Histoire turco-byzantine” was devised by its first editor, Bullialdus, in 1649. The present French translation follows the Greek text established by the Roumanian scholar Vasile Grecu
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Pournaras, georges. "Procope de Césarée : auteur des Anekdota et historien de la période justinienne." Montpellier 3, 1994. http://www.theses.fr/1994MON30005.

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Delobette, Laurence, and Théodore. "Théodore II Lascaris, Éloge de Nicée, Éloge de Jean Vatatzès : édition, traduction annotée, introduction et commentaire historique." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040189.

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Abstract:
Edition, traduction annotée et commentaire de deux discours composés en grec dans l'empire byzantin de Nice, au XIIIe siècle. L'auteur est Theodore II Lascaris, empereur de 1254 à 1258. Ils ont été rédigés dès avant l'avènement de ce dernier, entre 1252 et 1254. Le premier de ces discours est un éloge en l'honneur de Nicée, la capitale officielle de l'empire, depuis la prise de Constantinople par les vénitiens et les soldats de la quatrième croisade, en 1204. Le second célèbre le père de l'auteur, Jean Vatatzès, lui-même empereur de 1222 à 1254. Dans ces discours, conformément à la tradition, Theodore II Lascaris revendique la primauté impériale qui fut celle des empereurs byzantins avant 1204, et notamment celle de Manuel Comnene. Il affirme ainsi que tous les peuples installés dans les territoires jadis sous contrôle de Byzance, en Asie comme en Europe, sont désormais soumis à l'autorité impériale. Il écrit également que l'empereur l'a emporté sur des envoyés de l'Église latine et a tranché les questions du dogme responsables du schisme des deux églises, latine et orthodoxe. En revanche, d'une façon nouvelle par rapport à ses prédécesseurs, Theodore II Lascaris ne considère pas la reconquête de Constantinople comme une priorité. C'est Nicée qui constitue désormais la capitale de l'empire. Il nous semble que l'auteur, d'une façon originale, expose sa propre conception du pouvoir impérial, plus qu'il ne célèbre le règne de son père. Contrairement à ce dernier, il considère que la restauration de l'empire ne passe pas par la reconquête de la capitale, mais par le rétablissement de la prééminence impériale; à cela s'ajoute la prise de conscience d'appartenir à une nation "grecque"<br>This is an edition, a translation and a commentary of two encomia written in medieval Greek (XIIIth century). The author is Theodore II Laskaris, emperor of the byzantine empire of Nicaea (1254- 1258). Both of these encomia have been written at the very end of the reign of John Vatatzes (1222-1254). First of them is a text in honor of Nicaea, the official capital of the empire, after the conquest of Constantinople by the venetians and the soldiers of the fourth crusade in April 1204. The second one is celebrating John Vatatzes, the author's father. Preserving the political tradition, the emperor, according to Theodore II Laskaris, is laying claim to all the prerogatives that the byzantine emperors, especially Manuel Comnene, had enjoyed before 1204. So, the emperor is leading every nation, in Asia as well as in Europe, in the lands that had formerly constituted the byzantine empire, under his authority. He is also winning over members of the Latin Church, and he is deciding the points and the questions of dogma that separated the Latin and orthodox churches. But in opposition with the tradition, Theodore II laskaris doesn't see, at the same time, the reconquest of Constantinople as the main duty of the emperor. According to him, the only one capital is now Nicaea, in the center of Greek Asia minor. These points are not analogous to John Vatatzes' political thought and action. So, it seems that these two speeches are illustrating the author's political claims rather than they are celebrating John Vatatzes' reign. The most important point is his lofty concept of the imperial office. Thus these encomia show how imperial and ecumenical claims preserved in the Nicaean empire, were given a new concept, with the awareness that Nicaea stands in the center of Hellenic lands
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Baraton, Édouard. "La Romanie orientale : l'empire de Constantinople et ses avatars au Levant à l'époque des Croisades." Thesis, Normandie, 2018. http://www.theses.fr/2018NORMR046/document.

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Abstract:
L’empire de Constantinople, après un siècle (969-1085) de domination sur de vastes portions de l’Orient (Cilicie, Chypre, Syrie du Nord et Djézireh), et de rayonnement au-delà jusqu’à Jérusalem, dut reconstituer sa présence dans cet espace à partir de la fin du XIe siècle. L’arrivée de nouveaux acteurs chrétiens autonomes, Francs et Arméniens, compliqua l’équation politique de l’Empire, qui ne devait plus uniquement reconstruire sa domination sur ses anciens sujets, mais aussi compter avec ces forces. L’empire de Romanie vécut en Orient, parallèlement aux Croisades, une intense phase de redéfinition de sa réalité régionale, de ses modalités de fonctionnement et de son rôle politique. Cependant, cette expérience, qui se prolongea sur près de deux siècles, ne saurait se limiter à une simple projection de puissance de Constantinople sur cette périphérie. Malgré les bouleversements qui frappèrent le cœur de l’Empire de 1081 à 1289, la référence impériale se maintint en Orient sous les Comnènes, les empereurs latins et nicéens, puis sous les premiers Paléologues. Le processus ne fut durable que grâce à la redéfinition progressive de l’identité impériale locale. Ses contours varièrent par l’adjonction d’éléments hétérogènes, contribuant à complexifier l’empreinte de l’empire de Romanie en Orient. La Romanie orientale fut une solution à l’équation politique des pouvoirs locaux (la principauté d’Antioche, le comté de Tripoli et les royaumes de Chypre et d’Arménie principalement) pour réussir leur intégration régionale en la conjuguant avec un héritage impérial constantinopolitain, incluant l’Orient helléno-arabe<br>The empire of Constantinople, after a century (969-1085) of domination over large part of oriental territories (Cilicia, Cyprus, North Syria and Djezireh) during which it exerted its influence over Jerusalem, had to restore its influence in this space from the end of the eleventh century. The arrival of new autonomous Christian players, Francs and Armenians, complicated the empire’s political equation, which had not just to rebuild his domination over its old subjects, but also had to allow for these forces.The empire of Romanie lived in the East, at the same time of the Crusades, an intense period of redefinition of its regional reality, of its modes of running and of its political role. However, this experience, which lasted for two centuries, can’t be confined to a simple projection of Constantinople’s powerful onto this periphery.Despite the disruptions which hit the heart of the empire, from 1081 to 1289, the imperial reference persisted in the East under the Comneni, the Latin and Nicene emperors, and under the firsts Paleologues.The process was lasting because of the gradual redefinition of regional imperial identity. Its contours were varied by the addition of heterogenic elements, which contributed to complicate the imperial mark in the East.Oriental Romania was a solution to the political equation of local authorities (Principality of Antioch, the County of Tripoli and the kingdoms of Cyprus and Armenia mainly) to succeed in their regional integration, combined with an imperial Constantinopolitan heir, including the Hellenic and Arabic East
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