Academic literature on the topic 'Énigme de l'aversion pour le risque'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Énigme de l'aversion pour le risque.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Journal articles on the topic "Énigme de l'aversion pour le risque"

1

Gayant, Jean-Pascal. "Impact d'un accroissement de l'aversion pour le risque sur la combinaison d'actifs risqués." Revue économique 56, no. 4 (2005): 889. http://dx.doi.org/10.3917/reco.564.0889.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Marcelli, Daniel. "La trace anti-mnésique. Hypothèses sur le traumatisme psychique chez l’enfant." Perspectives Psy 58, no. 4 (October 2019): 279–86. http://dx.doi.org/10.1051/ppsy/201958279.

Full text
Abstract:
Exception faite du bébé et du très jeune enfant, le traumatisme psychique chez un enfant, si on veut bien prendre en considération ses modes particuliers d’expression tels que le jeu ou le dessin ne diffère pas fondamentalement dans son expression sémiologique de celui de l’adulte. Dans l’un et l’autre cas, on retrouve les mêmes termes pour décrire ce que la victime a subi au point qu’on peut en proposer un glossaire ! De même chez l’enfant comme chez l’adulte, la répétition, parfois compulsive, fait de cet événement unique quelque chose qui tend à se répéter, ce qui pose au psychiatre une énigme majeure laquelle conduisit S. Freud le premier à remanier sa théorie des pulsions. Car si parfois la trace de ce traumatisme peut, après coup, subir l’effet d’un refoulement et se transformer en symptôme, dans d’autres cas elle semble persister intangible chez l’individu quand ce n’est pas dans sa descendance ! Comment comprendre l’effet de cette trace laissée dans le fonctionnement neurocognitif sans pour autant qu’elle puisse faire l’objet d’une transformation psychique ? C’est ce qu’on observe tout particulièrement dans les traumatismes qui affectent les très jeunes enfants, à un âge où, encore dépourvus de langage, ils semblent prisonniers de cette incapacité d’élaboration. L’auteur propose de nommer celle-ci « trace anti-mnésique » car précisément le travail de la mémoire ne peut s’effectuer. Ces distinctions ne sont pas seulement académiques car elles ont un intérêt majeur dans l’orientation des soins, l’auteur opposant la lacune énigmatique sur laquelle un travail associatif peut s’effectuer, à la « trace anti-mnésique » où ce travail risque fort d’être voué à l’échec s’il n’est pas relayé par un accompagnement au plus près des perceptions sensorielles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Candau, Joel. "Coopération." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.074.

Full text
Abstract:
Définie comme le fait d'oeuvrer ensemble dans un but commun (Mead 1937), la coopération intervient à tous les étages de la vie, depuis les gènes et les cellules jusqu’aux organismes multicellulaires interagissant dans une société. Implicite dans le vocabulaire courant des sciences sociales (alliance, don, échange, partage, réciprocité, etc.), elle est le fait social par excellence car elle est au cœur de la plupart des activités humaines. Au sein de notre espèce, il est difficile de trouver un mode de vie qui ne suppose pas cette compétence. « Comprendre l’évolution de la coopération est un des principaux défis scientifiques de ce siècle », lit-on dans un article publié par Mesterton-Gibbons en 2010 dans Nature. Ce défi tient non seulement à l’ubiquité des comportements coopératifs, mais aussi à leur caractère énigmatique. La coopération constitue en effet une énigme. Coopérer a un coût pour l’individu, évident dans la coopération altruiste. Lorsqu’elle est intéressée, ce coût est pondéré par les bénéfices attendus. C’est le cas de la coopération fondée sur la réciprocité directe ou indirecte, l’échange équilibré de services jouant un rôle primordial dans le processus de stabilisation des comportements coopératifs, aussi bien entre personnes physiques qu’entre personnes morales (Frank et al. 2018). Cependant, le risque pour un individu ou pour un groupe d’être perdant en coopérant n’est jamais nul car le partenaire peut toujours faire défection (freeriding), même si la prise en compte de sa réputation (Milinski 2016) et le recours à des sanctions (Henrich and Boyd 2001) humaines ou surnaturelles (Kasper and Borgerhoff Mulder 2015) peuvent limiter ce risque. Par conséquent, la coopération semble contredire la théorie orthodoxe de l’évolution, arc-boutée à la notion de compétition entre individus uniquement préoccupés par leur propre reproduction (fitness), et la théorie économique classique fondée sur l’existence d’acteurs rationnels voués à la maximisation de leurs seuls intérêts. Suivant ces principes, un individu appartenant à un groupe de chasseurs-cueilleurs dont tous les membres sont des coopérateurs inconditionnels devrait faire défection lorsque le groupe se met en quête de nourriture, certain d’avoir sa part sans dépense énergétique ni prise de risque. Pourtant, la plupart du temps les êtres humains ne se comportent pas ainsi : ils coopèrent.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles

Dissertations / Theses on the topic "Énigme de l'aversion pour le risque"

1

Lévesque-Lessard, Gabriel. "Est-ce que l'aversion au risque cyclique et la richesse immobilière peuvent aider à expliquer les rendements boursiers?" Master's thesis, Université Laval, 2016. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27271.

Full text
Abstract:
Dans les modèles d'évaluation d'actifs financiers, la stratégie de placement d'un individu est liée à la distribution des rendements des actifs inclus dans son portefeuille. Le modèle intertemporel d'évaluation des actifs financiers basé sur la consommation (C-CAPM) permet d'intégrer la dimension temporelle dans le cadre d'analyse et de comprendre l'arbitrage entre les décisions de consommation et d'épargne d'un individu. La prédiction fondamentale de ce modèle est l'existence d'un lien entre les rendements des actifs financiers et leur covariance avec le taux marginal de substitution intertemporel (TMSI). Dans un cadre théorique, l'énigme de la prime de risque est mise en évidence lorsqu'une fonction d'utilité de type CRRA est utilisée afin de représenter les préférences du consommateur. La rigidité de cette modélisation impose cependant un coefficient d'aversion au risque fixe réconciliant difficilement le modèle avec les données réelles. Ce mémoire a pour objectif de résoudre cette problématique en modifiant les formulations classiques du TMSI. Dans un contexte canadien, nous modifions la forme CRRA afin de déterminer, entre autres, si les variations du produit intérieur brut ont un effet sur le niveau d'aversion au risque d'un agent. Par la suite, nous insérons la richesse immobilière dans une forme d'utilité non-séparable comme proxy du rendement de la richesse. Nos résultats suggèrent qu'il est pertinent, sur une longue période, de tenir compte de la richesse immobilière dans le programme de consommation de l'agent.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Chabi-Yo, Fousseni. "Asymmetry risk, state variables and stochastic discount factor specification in asset pricing models." Thèse, 2004. http://hdl.handle.net/1866/179.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography