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Dissertations / Theses on the topic 'Ennemis des cultures – Lutte biologique contre'

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Sawadogo, Abdoussalam. "Contribution à l'étude de la nématofaune et de la mycoflore antagoniste dans les cultures maraîchères du Burkina Faso." Montpellier 2, 1990. http://www.theses.fr/1990MON20125.

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Abstract:
Le present travail comporte trois parties: la premiere partie situe les conditions de production maraichere au burkina faso et inventorie les grandes zones de production. Dans la seconde partie est abordee l'etude des structures des peuplements nematologiques. L'ecosysteme des bas-fonds submerges se revele pauvre en genres en comparaison avec celui des terres hautes. Dans la troisieme partie sont exposes les resultats prometteurs en lutte biologique avec certaines souches de champignons nematophages dont une nouvelle espece isolee au burkina faso agissant a la fois comme parasite des ufs et comme predateur de larves
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Fruit, Laetitia. "Etude des facteurs d'efficacité d'un agent de lutte biologique (Ulocladium atrum) pour la protection des plaies d'effeuillage sur tomate contre Botrytis cinerea." Lyon 1, 2001. http://www.theses.fr/2001LYO10030.

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Abstract:
La pourriture grise causée par l'agent pathogène Botrytis cinerea est l'un des problèmes majeurs rencontrés sur cultures de tomates sous abris. Les symptômes sur tiges, souvent liés aux pratiques culturales, sont difficiles à maîtriser. La protection des cultures repose essentiellement sur l'utilisation de produits chimiques dont l'efficacité est restreinte. De nouvelles stratégies de lutte sont nécessaires. L'alternative la plus prometteuse est basée sur le développement de méthodes de lutte biologique. Dans ce contexte, l'objectif du travail de thèse a été d'évaluer le potentiel d'un champignon saprophyte du sol Ulocladium atrum pour la protection des plaies d'effeuillage sur tomate contre B. Cinerea. Les principaux facteurs régissant l'efficacité de cet antagoniste ont été étudiés. Les paramètres micro-climatiques tels que l'humidité relative et la température de l'air jouent un rôle important dans le développement de B. Cinerea. L'efficacité de U. Atrum a donc été quantifiée pour 18 régimes température - humidité relative correspondants aux conditions prépondérantes dans les cultures sous serre. Les phases clés du processus épidémiologique ont été considérées:Installation de B. Cinerea sur les plaies d'effeuillage, Expansion des lésions sur tige et Sporulation sur tissus infectés. U. Atrum a limité efficacement l'infection des plaies et s'est révélé capable d'inhiber ou de limiter le développement de chancres sur tiges et la production de spores indépendamment des conditions d'incubation. Cette efficacité a été confirmée en conditions de production sous serres. Parmi les autres facteurs d'efficacité étudiés, la dose d'application de l'antagoniste était le facteur le plus significatif. Une concentration d'antagoniste 10 fois supérieure à la dose de B. Cinerea inoculée permet une protection très efficace des tiges. L'intervalle de temps après effeuillage séparant l'application de l'antagoniste et l'inoculation avec B. Cinerea était aussi un facteur clé de l'efficacité de la protection biologique. La protection des tiges a été totale lorsque l'antagoniste était appliqué jusqu'à 3 heures après B. Cinerea. L'ensemble des résultats obtenus au cours de cette étude permettent de considérer U. Atrum comme un micro-organisme prometteur pour la protection biologique de la tomate contre B. Cinerea.
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Desgranges, Catherine. "Contribution à la lutte contre la pyrale du maïs : optimisation d'un procédé de production par fermentation en milieu solide, d'un champignon entomopathogène, Beauveria bassiana." Compiègne, 1991. http://www.theses.fr/1991COMPD428.

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Abstract:
Cette étude a pour but la mise au point et l'optimisation d'un procédé de production d'un biopesticide à base de Beauveria bassiana dirigé contre la pyrale du maïs. Des traitements à base de formulations liquides ou micro-granulées de propagules isolées ou de mycélium pur s'étant avérées peu efficaces, un biopesticide produit par fermentation en milieu solide, et n'ayant subi aucune étape de formulation particulière, pourrait davantage convenir. Le micro-organisme est cultivé sur un micro-granulé d'argile (Super Clean LVM, Laporte) d'une granulométrie moyenne de 500 m, humidifié à une teneur de 40%, avec une solution nutritive composée de saccharose (34 g/L) et de Non Sucre Résiduel (NSR) (111 g/L). Les cultures sont effectuées, sur une hauteur de couche de 50 cm, en réacteur de 1600 L avec le même succès qu'en réacteur de 50 L. Après 48 h d'incubation et 5 jours de séchage, un gramme de granulé est colonisé par environ 50 g de mycélium, capable de générer environ 10 9 conidies par gramme de matière sèche. 25 kg de biopesticide suffisent alors à traiter efficacement 1 ha.
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Crépin, Alexandre. "Développement d'une stratégie de lutte globale ciblant la communication impliquée dans la virulence des bactéries macergènes de la pomme de terre." Rouen, 2012. http://www.theses.fr/2012ROUES004.

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Abstract:
La pomme de terre, Solanum tuberosum L. , fait l’objet de nombreuses attaques microbiennes coûteuses, parmi lesquelles celles dues aux bactéries macergènes des genres Dickeya et Pectobacterium. Aujourd’hui, il n’existe aucun moyen de lutte efficace contre ces agents pathogènes dont la diversité est importante. Une nouvelle approche de lutte globale a donc été proposée dans ce mémoire. Cette stratégie de lutte microbiologique vise la communication bactérienne du type quorum sensing utilisée par ces bactéries. Elle repose sur 3 étapes : (i) la caractérisation de l’ensemble des signaux connus comme étant impliqués dans les processus de communication de l’agent pathogène, (ii) la démonstration de l’implication dans la virulence des signaux identifiés, et enfin (iii) l’identification et l’utilisation de la microflore rhizosphérique capable de dégrader ces signaux et donc de nuire à la virulence. Nous avons expérimentalement appliqué les deux premières étapes de ce programme. Nous avons ainsi montré que toutes les bactéries Dickeya et Pectobacterium testées, y compris les isolats récents ou émergents trouvés dans les sols européens, avaient en commun la capacité de produire des autoinducteurs-1 (AI-1), caractérisés comme 3-oxo-hexanoyl- ou 3-oxo-octanoyl-L-homosérine lactones, et une furanone de type autoinducteur-2 (AI-2). Par ailleurs, les souches de Dickeya étudiées produisent toutes de l’acide 3-indole acétique seulement en présence de tryptophane, mais au détriment de la production de l’AI-2. Aucune des bactéries macergènes ne produit de quinolones ni d’acide-!-amino butyrique, des composés souvent synthétisés par les autres g-Protéobactéries. L’implication de l’AI-1 et l’AI-2 dans la virulence a été étudiée par l’introduction dans les bactéries d’une lactonase dégradant les AI-1 et par la construction de mutants ciblant la synthase pour l’étude de l’AI-2, respectivement. Nos résultats nous ont permis de montrer que le signal AI-1 joue un rôle majeur dans la régulation de la virulence pour la grande majorité des bactéries macergènes, alors que le signal AI-2 ne semble pas ou peu impliqué. La communication basée sur la production d’AI-1 semble donc être la meilleure cible pour le développement de la 3e phase de la stratégie de lutte et la sélection/stimulation de microorganismes dégradant ces signaux.
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Fould, Sabine. "Détection dans le sol de Pasteuria penetrans, parasite obligatoire des nématodes phytoparasites du genre Meloidogyne et influence des facteurs telluriques abiotiques sur la distribution du complexe parasitaire." Lyon 1, 1999. http://www.theses.fr/1999LYO10333.

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Abstract:
Pasteuria penetrans est une bacterie non cultivable in vitro, parasite obligatoire des nematodes phytoparasites du genre meloidogyne. Elle controle ces ravageurs de cultures en limitant leur reproduction. L'objectif de l'etude ecologique in situ du complexe parasitaire meloidogyne javanica-p. Penetrans est d'optimiser l'efficacite, souvent heterogene, de ce parasitoide indigene. Le suivi de cette bacterie dans le sol a necessite sa caracterisation prealable. L'analyse moleculaire demontre l'appartenance du genre pasteuria a la famille des bacillacees et rapproche p. Penetrans des bacteries de type bacillus thuringiensis, parasites d'insectes. Elle a egalement permis le developpement d'une methode de detection immunologique de p. Penetrans au seuil de 5000 sp/g de sol. L'evolution spatio-temporelle des populations de m. Javanica parasitees ou non et des spores de p. Penetrans fut suivie dans une parcelle naturellement infestee. Cette etude revela une diminution des populations totales de m. Javanica, correlee a celle des populations parasitees, phenomene caracteristique d'une regulation des populations de type densite-dependance retardee. La distribution spatiale de la population de nematodes parasites ne se recouvrant pas avec celle de la bacterie, des facteurs responsables furent recherches dans le sol. Une analyse multivariee relie le parasitisme aux ions de la solution de sol et a la structure et la texture du sol. La fraction ionique du sol agit directement sur le parasitisme en participant au mecanisme d'attachement des spores de p. Penetrans sur la cuticule des nematodes, la teneur en cations divalents reduisant la charge negative de surface des spores. En revanche, la structure et la texture agiraient indirectement sur l'attachement en controlant la rencontre des deux organismes. Ainsi, peut etre envisagee une meilleure maitrise des agents de lutte biologique comme p. Penetrans a travers la gestion des facteurs telluriques abiotiques.
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Coly, Emile Victor. "Biologie et écologie de la Mineuse Nord-Américaine des feuilles, Liriomyza trifolii Burgess, Diptera, Agromyzidae, ravageur des cultures maraîchères au Sénégal : étude des possibilités de lutte." Aix-Marseille 3, 1992. http://www.theses.fr/1992AIX30068.

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Omarjee, Jeh-han. "Effets des peuplements de Burkholderia et de nématodes sur la croissance de la canne à sucre." Lyon 1, 2006. http://www.theses.fr/2006LYO10295.

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Abstract:
En culture de canne à sucre, une alternative biologique aux nématicides (chers et toxiques) a été envisagée, utilisant le genre Burkholderia. Les communautés de cette bactérie très commune ont été caractérisées par des méthodes moléculaires dans différents sites du KwaZulu-Natal à la nématofaune connue. Une corrélation est apparue entre B. Tropica et/ou B. Unamae et les nématodes bénins (Helicotylenchus dihystera, Pratylenchus zeae). En serre, la souche fixatrice d’azote LM1-376. 8 (B. Tropica) a réduit les attaques de Meloidogyne et stimulé la croissance de la canne, un effet non confirmé au champ, en raison d’une forte sécheresse. Néanmoins la découverte de souches de B. Tropica endophytes, fixatrices d’azote et antagonistes de pathogènes fongiques et bactériens de la canne laisse espérer un inoculum plus performant combinant toutes les propriétés favorables<br>Sugarcane root parasitic nematodes cause severe yield loss in KwaZulu Natal and an alternative for toxic nematicides is urgently required. We investigated the possible use of Burkholderia, a common inhabitant of sugarcane roots. Burkholderia communities were characterised using molecular methods in different sites of known nematode fauna. A positive correlation was observed between B. Tropica and/or B. Unamae and a mild pathogenic nematode, Helicotylenchus dihystera. The diazotroph B. Tropica LM1-376. 8 not only reduced Meloidogyne galling but also improved plant growth under greenhouse conditions; nevertheless a field evaluation failed due to several biotic and abiotic factors. Stalk endophytic N2-fixing B. Tropica were also discovered, with a further ability to inhibit fungal and bacterial pathogens. A combination of these traits into one inoculum would provide a potential strategy to control sugarcane pests and promote plant growth
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La, Broise Denis de. "Croissance et sporulation de Fusarium oxysporum en milieux liquides et solides : étude des facteurs limitants et application à la production industrielle de spores pour la protection des cultures." Compiègne, 1988. http://www.theses.fr/1988COMPD131.

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Abstract:
Dans cette étude de la croissance et de la sporulation de Fusarium oxysporum, on tente de définir certains des facteurs limitants impliqués dans le déroulement des cultures en milieu liquide et solide, et on présente le développement de deux procédés de production de spores à l'échelle pilote, l'un en liquide et l'autre en solide. Dans une première partie, grâce à un système original de réacteur continu régulé par la concentration en oxygène dissous, il est montré que les pressions osomotiques inférieures à -24 bars et les concentrations en oxygène dissous inférieures à 5 %, ainsi que l'augmentation de la concentration en biomasse, réduisent le taux de croissance spécifique. La limitation des transferts de gaz réduit également la production des spores, provoquant des baisses de rendement importantes. Ces phénomènes interviennent en particulier dans les cultures non agitées où l'on observe des transferts insuffisants dans un film liquide ou une particule de pulpe végétale d'épaisseur inférieur à 3 mm. Dans la deuxième partie de ce travail, un procédé de culture en milieu liquide permet d'obtenir, en réacteur de 10 m3, un rendement de conversion atteignant 0. 39 g de spores par g de substrat initial. Le conditionnement permet d'obtenir dans certaines conditions un taux de germination proche de 100 %. La production sur milieu solide est réalisée en réacteur de 1,8 m3, le milieu étant constitué d'un substrat à base de pulpe de betteraves broyée enrobant un support inerte. A l'étape de développement présentée, l'approche économique semble donner l'avantage au procédé en milieu liquide.
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Dib, Hazem. "Rôle des ennemis naturels dans la lutte biologique contre le puceron cendré, Dysaphis plantaginea Passerini (Hemiptera aphididae) en vergers de pommiers." Phd thesis, Université d'Avignon, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00665080.

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Abstract:
Dans le contexte politique (réduction 50% de l'utilisation des pesticides à échéance de 2018 -Plan Ecophyto) et social actuel (mise en place de modes de production plus respectueux pour l'environnement), la sévérité des dommages causés par le puceron cendré du pommier, Dysaphis plantaginea Passerini (Hemiptera : Aphididae), surtout en agriculture biologique, rend nécessaire la mise au point de solutions alternatives s'appuyant sur le rôle des ennemis naturels. Nous avons donc essayé d'apporter des éléments nouveaux sur la connaissance des relations entre le puceron cendré et ses ennemis naturels et sur les conditions à même de favoriser leur action. Des suivis hebdomadaires des arthropodes présents sur les rameaux infestés par D. plantaginea, ont mis en évidence l'effet négatif des auxiliaires sur les populations de D. plantaginea, sans pour autant atteindre une véritable régulation à même d'éviter les dégâts économiques. Nous avons également montré l'action favorisante des fourmis sur la dynamique du puceron cendré et négative sur celle des auxiliaires. Nous avons pu identifier trois groupes d'auxiliaires dominants avec une arrivée séquentielle marquée : les syrphes, dont l'installation coïncide avec le début de l'infestation de D. plantaginea, puis les coccinelles et les forficules qui arrivent plus tardivement. Pour que les auxiliaires jouent un rôle plus important contre D. plantaginea, il faut d'autres pratiques permettant d'abaisser significativement le nombre de traitements pesticides. Une innovation très récente permet la réduction drastique des traitements insecticides : les filets Alt'Carpo. Malgré son influence négative sur l'abondance et la richesse du cortège des auxiliaires présents dans les colonies de D. plantaginea, surtout les coccinelles, cette technique freine le développement des populations de D. plantaginea à l'échelle du rameau ou de l'arbre lorsque les filets sont fermés après la floraison (en conformité avec les préconisations contre le carpocapse). Cependant, la réduction des populations de D. plantaginea sous les filets requiert la présence d'au moins un stade actif d'auxiliaire par rameau, ce qui interroge sur la réalité de la régulation de ce ravageur par le simple usage des filets. Sur la base de leur précocité, pour Episyrphus balteatus De Geer (Diptera : Syrphidae) et de leur abondance dans les colonies de D. plantaginea, pour Forficula auricularia Linnaeus (Dermaptera : Forficulidae) et E. balteatus, ces deux espèces apparaissent comme de bons candidats pour la régulation de D. plantaginea. Nos études en conditions contrôlées ont démontré leur potentiel régulateur sur D. plantaginea, en particulier aux stades les plus âgés. L'efficacité optimale intervient à 20°C pour les deux prédateurs, pour lesquels nous n'observons par ailleurs pas d'interaction négative lorsqu'ils sont associés en présence de fortes densités de D. plantaginea. Sur la base de ces résultats de laboratoire nous avons analysé les possibilités de lâchers printaniers de ces deux prédateurs sur de jeunes colonies de D. plantaginea. Dans nos conditions expérimentales en vergers de pommiers, des lâchers précoces de larves du 3ème stade de F. auricularia n'ont pas permis de limiter les populations de D. plantaginea, confirmant la difficulté des lâchers de prédateurs en cultures de plein champ. De la même manière, des lâchers précoces d'E. balteatus pourtant réalisés sous filets Alt'Carpo restent sans effet sur l'infestation par D. plantaginea. Cette thèse, en s'appuyant sur des essais en conditions contrôlées, semi contrôlées et de plein champ, constitue une étape dans un processus d'élaboration d'un modèle dynamique du développement de D. plantaginea à l'échelle du rameau, prenant en compte le rôle des fourmis et des auxiliaires et l'influence des pratiques de protection (par exemple, les filets Alt'Carpo et les lâchers d'auxiliaires). Elle confirme, si besoin en était, la complexité des phénomènes de régulation, des pucerons en particulier, et la nécessité d'études complémentaires pour définir les conditions d'application de la lutte biologique contre D. plantaginea
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Grandgirard, Julie. "Localisation et exploitation des patches d'hôtes chez le parasitoi͏̈de trybliographa rapae W. (Hymenoptera : figittidae) : approche théorique et application à la lutte biologique contre la mouche du chou delia radicum L. (diptera : anthomyiidae)." Rennes 1, 2003. http://www.theses.fr/2003REN10042.

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Abstract:
Chez les parasitoi͏̈des, l'efficacité des comportements menant au parasitisme (i. E. Localisation et d'exploitation des patches) est déterminante pour le succès reproducteur. Ces comportements ont été étudié dans un système où les hôtes ont un mode de vie cryptique qui les rend particulièrement difficiles à détecter et à parasiter. Le parasitoi͏̈de étudié est Trybliographa rapae, un endoparasitoi͏̈de koinobionte des larves de la mouche du chou Delia radicum qui consomment les racines des Brassicacées (le navet Brassica campestris dans notre étude). Les signaux utilisés par T. Rapae pour localiser les patches d'hôtes et décider du temps à allouer à un patch ont été étudiés et l'efficacité parasitaire en fonction de la densité et de la distribution des hôtes entre les patches a été déterminée. Les résultats obtenus sont discutés d'un point de vue théorique et appliqué (lutte biologique).
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Fourche, Rémi. "Contribution à l'histoire de la protection phytosanitaire dans l'agriculture française (1880-1970)." Lyon 2, 2004. http://theses.univ-lyon2.fr/documents/lyon2/2004/fourche_r.

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Abstract:
Ce travail présente différents aspects de l'évolution de la protection des végétaux entre la crise phylloxérique et l'interdiction du DDT. L'analyse des causes, comme le commerce de végétaux et l'intensification agricole, de la multiplication des déprédateurs permet de comprendre la nécessité de traiter. Les traitements chimiques ou biologiques apparaissent à la fin du dix-neuvième siècle. Seul le triomphe de la chimie de synthèse après 1945 éclipse un temps les méthodes biologiques. Mais les effets secondaires des pesticides chimiques, surtout lorsqu'ils condamnent certaines productions agricoles (ruchers, multiplication des acariens phytophages, inversions de flores), permettent un nouvel essor des méthodes biologiques. Une troisième voie, nommée lutte intégrée fait alors appel aux possibilités offertes par la chimie et la biologie. Elle est mise en place dans les vergers de la vallée du Rhône. Le comportement phytosanitaire des agriculteurs étant l'une des préoccupations de cette étude, la Ligue nationale de défense des cultures, devenue par la suite FNGPC, constitue l'une des structures dont l'analyse est très précise. Fondée en 1926 par des ingénieurs agronomes, cette organisation se charge de coordonner l'action des fédérations départementales et des groupements locaux de défense. Elle est à l'origine de multiples initiatives scientifiques, techniques ou légales. Les fédérations, bien qu'investies de missions nombreuses par le législateur, ne bénéficient pas d'un soutien financier exceptionnel. Elles se doivent, durant la période étudiée, de diffuser les avertissements agricoles, véritables conseils de traitements préventifs.
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Jouy, Nicolas. "Etude de la résistance naturelle de deux Lycopersicon à des ravageurs de cultures maraîchères : identification des substances responsables, les (2,3,4-tri-O-acyl)-}a-D-glucopyranosyl)-(3-O-acyl)-b-D-fructofuranoside." Montpellier 2, 1990. http://www.theses.fr/1990MON20278.

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Abstract:
L'etude de l'origine de la resistance de deux lycopersicon a des ravageurs a ete realisee grace a l'execution en parallele de deux protocoles experimentaux complementaires. Le premier rassemble des techniques physico-chimiques comprenant l'extraction par solvants, le fractionnement des extraits (chromatographie sur colonne ou sur couche mince) puis l'analyse et l'identification (c. P. G. , h. P. L. C. , r. M. N. Et spectrometrie de masse) des substances actives isolees. Le second consiste en la mise au point de tests standardises permettant de quantifier l'activite des differents extraits obtenus, sur plusieurs ravageurs de cultures maraicheres. Nous avons ainsi mis en evidence l'origine purement mecanique de la resistance de lycopersicon hirsutum humb. Et bonpl. A un puceron, aphis gossypii (glober). Par contre, l'etude de l'antibiose chez l. Cheesmanii riley a conduit a isoler et a identifier une famille de substances chimiques - les esters de saccharose- responsables de la resistance de cette plante a lyriomiza trifolii (burgess). Ce point merite d'etre souligne car ces composes n'avaient jamais ete signales dans cette plante auparavant. Les determinations chimiques permettent d'identifier ces esters de saccharose comme etant les (2, 3, 4-tri-o-acyl)-alpha-d-glucopyranosyl)-(3-o-acyl-beta-d-fructofuranoside. Le mode d'action de ces substances est du type anti-appetant. Des tests sur plutella xylostella (l. ) (la teigne des cruciferes) et henosepilachna reticulata (olivier) (coccinelle defoliatrice des cucurbitacees) ont demontre l'efficacite, en pulverisations foliaires, de ces esters de saccharose extraits de l. Cheesmanii
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Martin-Chave, Ambroise. "Facteurs de régulation naturelle des bio-agresseurs par les cortèges de prédateurs généralistes : effets microclimatiques dans un système maraîcher agroforestier biologique." Thesis, Avignon, 2018. http://www.theses.fr/2018AVIG0697/document.

Full text
Abstract:
L’agroforesterie, et plus particulièrement les systèmes sylvo-arables, sont des systèmes peu étudiés qui présentent des intérêts agronomiques et environnementaux en systèmes tempérés. Les systèmes agroforestiers pourraient notamment fournir un microclimat favorable aux cultures maraîchères conduites en agriculture biologique en contexte pédoclimatique méditerranéen. Cependant, il existe encore peu de références scientifiques sur le sujet, et l’issue des interactions entre arbres et cultures sont encore me connues. En particulier, le microclimat généré par des arbres âgés est susceptible de modifier les relations entre cultures, bio agresseurs et pré dateurs généralistes, qui peuvent conditionner la performance d’une association agroforestière. Cette thèse avait donc comme objectifs :➢ D’évaluer l’impact de l’ouverture de la canopée sur la biodiversité et l’activité densite des coléoptères carabiques.➢ D’identifier comment le microclimat peut influencer les processus de régulation naturelle.Les systèmes agroforestiers se développent sur des temps longs (pluriannuels): l’étude s’est focalisée sur un système ayant déjà des arbres âgés de 20 ans pour en étudier l’impact sur le microclimat et la faune du sol. Pour faire varier ce microclimat, un gradient d’ouverture de la canopée a été réalisé. La température de l’air ambiant, l’hygrométrie et le pourcentage d’ouverture du milieu ont ensuite été mesurés.En premier lieu, la faune du sol a été échantillonnée durant 2 ans (non révolus), et les structures des communautés de Carabidae ont été analysées d’un point de vue taxonomique et fonctionnelle, au moyen de 5 traits écologiques. Les résultats montrent que la structure taxonomique est peu affectée, mais qu’à la fois l’activité-densité spécifique des espèces et les traits fonctionnels sont modifiés par le gradient d’ouverture du milieu. En particulier, la fermeture de la canopée du système agroforestier favorise les espèces ayant une affinité pour des milieux fermés et humides.L’activité journalière de deux prédateurs abondants a été caractérisée dans une période estivale chaude (juillet), et plus douce (septembre). Les résultats montrent qu’à la fois la saison mais également l’ouverture de la canopée peuvent modifier les rythmes journaliers de l’Arachnidae et du Carabidae les plus abondants à cette période (Pardosa hortensis, Pseudoophonus rufipes).Dans un troisième temps, le travail s’est focalisé sur le potentiel de prédation des prédateurs de la faune du sol, au moyen de cartes sentinelles de prédation à deux périodes estivales, juin et aout. Les résultats montrent que sur au moins une période, le potentiel de prédation sur larves de lépidoptères (Cydia pomonella) est différent entre les traitements. Ces différences sont probablement corrélées aux différences d’activité-densité et aux différences microclimatiques induites par les différences de couverts arborés.Dans un dernier temps, l’étude s’est focalisée sur une culture, la salade, et les dégâts causés par les limaces dans les différents traitements, sur les feuilles visibles. Plus de dégâts sous les arbres ont été constatés, malgré une activité-densité d’Arion lusitanicus et de Deroceras reticulatum non supérieures au témoin au mois de juin où les dégâts ont fortement augmenté. Les méthodes utilisées (planches, pots pièges neutres et attractifs) ont présenté des efficacités différentes, dont l’intérêt respectif est discuté<br>Agroforestry, and more specifically sylvo-arable systems, are poorly studied systems with agronomic and environmental interests in temperate systems. They could provide a favorable microclimate for vegetable crops grown in organic agriculture in Mediterranean pedoclimatic context. However, there are still few scientific references on the subject, and the outcome of the interactions between trees and cultures are still unknown. The microclimate generated by old trees is likely to alter the relations between crops, pests and generalist predators, which can condition the performance of an agroforestry system.This thesis had two main objectives:• To evaluate the impact of canopy openness on ground beetle diversity and activity-density• Identify how the microclimate can influence natural regulation processes.Agroforestry systems develop over long periods (pluriannual): the study focused on a system already having 20-year-old trees to study the impact on microclimate and soil fauna. To modulate this microclimate, a canopy opening gradient has been realized. The ambient air temperature, the hygrometry and the percentage of canopy aperture were then measured.First, the soil fauna was sampled for 2 years and the structure of the Carabidae communities was analyzed from a taxonomic and functional point of view, using 5 ecological traits. The results show that the taxonomic structure is poorly affected, but that both species specific activity-density and functional traits are modified by the canopy openness, which favored species with affinity for closed and moist environments.The diel activity of two abundant predators was characterized in a hot summer period (July), and cooler (September). The results show that both the season and the opening of the canopy can modify the daily rhythms of the most abundant Arachnidae and Carabidae (Pardosa hortensis, Pseudoophonus rufipes).Thirdly, the work focused on the predation potential of predators of soil fauna, using sentinel preys method at two periods, (June and August). The results show that for at least one period, the predation potential on Lepidoptera larvae (Cydia pomonella) was different between treatments. These differences are probably correlated with differences in activity-density and microclimatic differences induced by the differences in canopy treatmentLastly, the study focused on lettuce crops and the damage caused by slugs in the different treatments, on the visible leaves. More damage under the trees was observed, despite a similar activity- density of Arion lusitanicus and Deroceras reticulatum compared to control in June, where the damage increased significantly. The methods used (boards, neutral traps and attractive traps) presented different efficiencies, whose respective interest is discussed
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Pasquier, Antoine. "De la preuve de concept à l’optimisation - l’utilisation d’une espèce d’acarien prédateur pour contrôler la population de la Chrysomèle des racines du Maïs (Diabrotica virgifera virgifera) (LeConte, 1868)." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2021. http://www.theses.fr/2021COAZ6028.

Full text
Abstract:
Le maïs est la première céréale cultivée dans le monde (162 millions d'hectares). Il joue un rôle capital dans l’alimentation humaine et animale et sa culture occupe environ 9% de la surface agricole utile en Europe. Depuis son arrivée en Europe en 1992, la chrysomèle des racines du maïs appartenant à l’ordre des Coléoptères menace cette culture d’intérêt. Le stade larvaire de cet organisme est particulièrement nuisible pour les plantes car il s’attaque aux parties souterraines de cette céréale causant des pertes de rendement pouvant atteindre 80 % du potentiel de la culture dans les cas les plus critiques. Les pesticides chimiques, l’utilisation d’OGM Bt et la rotation des cultures alternant le soja et le maïs sont les principales méthodes de lutte pour contrôler les populations de ce ravageur actuellement. Cependant, des études ont démontré que certaines populations étaient résistantes à ces insecticides et étaient capables (i) de persister dans le sol plus longtemps et (ii) d’étendre leur gamme d’hôtes en s’attaquant aux racines du soja. Dans ce contexte, il est nécessaire d’explorer de nouvelles méthodes de protection des cultures qui permettront une lutte plus intégrée de ce ravageur. Une étude a récemment démontré le rôle potentiel des acariens prédateurs du sol en tant qu’agents de lutte biologique. Ces organismes sont au sommet des chaînes trophiques dans les systèmes agricoles et ont d’ores et déjà montré de fortes capacités de contrôle de populations de ravageurs souterrains. L’objectif principal de ma thèse est de développer une stratégie de lutte biologique viable d’un point de vue agronomique et économique pour lutter contre la chrysomèle des racines du maïs. Dans un premier temps, j’ai évalué la capacité de prédation des trois acariens du sol (Stratiolaelaps scimitus, Gaeolaelaps aculeifer et Macrocheles robustulus) sur les premiers stades de développement de la chrysomèle en laboratoire. Ces résultats ont été concluants et un des trois candidats a particulièrement attiré notre attention : G. aculeifer. Cet acarien prédateur a montré une capacité de prédation plus importante sur le premier stade larvaire du ravageur. Dans un second temps, j’ai étudié l’effet de la présence et de la densité (100, 500 et 1000 acariens par plants de Maïs infestés par le ravageur) de cette espèce d’acarien prédateur sur la population de chrysomèle en condition semi-contrôlée. Cette expérience a permis de montrer que les densités d’acariens testées permettent toutes de protéger efficacement le plant de Maïs. Enfin, et dans le but de faciliter l’utilisation de ces acariens prédateurs en tant qu’agent de biocontrôle, j’ai introduit une faible densité d’acariens prédateurs en présence de nourriture alternative au moment du semis de Maïs (méthode ‘Predator-in-first’) dans un champs naturellement infesté par les chrysomèles. Les paramètres physiologiques des plants de Maïs et populationnel de la chrysomèle ont tous deux montré que cette méthode permet de revenir à des valeurs comparables à celles des pesticides utilisés classiquement contre ce ravageur. Ces expériences ont permis de confirmer le potentiel des acariens prédateurs et de mettre en valeur le potentiel de l’approche dite de “Predator-in-first”. Ces travaux devront être confirmés par une campagne plus large d’essais en conditions réelles mais ils apportent d’ores et déjà des informations primordiales dans la compréhension du potentiel de lutte biologique de ces organismes du sol peu étudiés jusqu’ici<br>Maize is the most important cereal crop in the world (162 million hectares). It plays a major role in human and animal nutrition and its cultivation occupies about 9% of the useful agricultural area in Europe. Since its arrival in Europe in 1992, the corn rootworm, belonging to the order Coleoptera, has threatened this important crop. The larval stage of this organism is particularly harmful to plants because it attacks the underground parts of this cereal causing yield losses that can reach 80% of the crop's potential in the most critical cases. Chemical pesticides, the use of Bt GMOs and crop rotation alternating soybeans and corn are the main control methods for this pest currently. However, studies have shown that some populations are resistant to these insecticides and are able to (i) persist in the soil longer and (ii) expand their host range by attacking soybean roots. In this context, there is a need to explore new crop protection methods that will allow a more integrated control of this pest. A study recently demonstrated the potential role of soil predatory mites as biological control agents. These organisms are at the top of trophic chains in agricultural systems and have already shown strong abilities to control populations of subterranean pests. The main objective of my thesis is to develop a biological control strategy agronomically and economically viable to control corn rootworm. First, I evaluated the predation capacity of three soil mites (Stratiolaelaps scimitus, Gaeolaelaps aculeifer and Macrocheles robustulus) on the early developmental stages of western corn rootworm in the laboratory. These results were conclusive and one of the three candidates particularly attracted our attention: G. aculeifer. This predatory mite showed a higher predation capacity on the first larval stage of the pest. In a second step, I studied the effect of the presence and the density (100, 500 and 1000 mites per corn plant infested by the pest) of these predatory mites on the western corn rootworm population under semi-controlled conditions.This experiment showed that the mite densities tested were all effective in protecting the maize plant. Finally, and in order to optimize the effectiveness of these predatory mites as a biocontrol agent, I studied the population dynamics of these predators when a low density of predatory mites has been introduced at the time of seeding (Predator-in-first method) and in the presence of alternative food, in a field naturally infested by corn rootworm. These experiments allowed me to identify an application method that would facilitate the introduction of the biological control solution and reduce its cost. My work will provide essential information in understanding the biological control potential of these previously understudied soil organisms
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Muru, David. "Solution miracle ou coup dans l’eau ? Potentiel et limites de l’utilisation des programmes de lutte biologique en écologie expérimentale." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2021. http://www.theses.fr/2021COAZ6008.

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Abstract:
La lutte biologique (ou biocontrôle) est l’utilisation d’organismes vivants pour lutter contre les populations de ravageurs des cultures en réduisant leur densité et les dommages qu’ils causent. L’auxiliaire de lutte biologique peut interagir, directement ou indirectement avec d’autres organismes en plus du ravageur ciblé et inversement. Le suivi de ses populations, en plus du suivi d’autres variables écologiques, pourrait donc permettre de confirmer ou réfuter des théories écologiques ou découvrir de nouvelles interactions avec les facettes biotiques et abiotiques de l’écosystème. De plus, les aspects méthodologiques de la phase de suivi postlâcher et ceux de l’expérimentation en écologie partagent de fortes ressemblances. Dans ce travail, j’explore comment ces deux disciplines peuvent être conciliées et comment les données qui découlent de la lutte biologique peuvent être optimisées pour leur utilisation en écologie. J’utilise des données issues de programmes de lutte biologique pour traiter des questions en relation avec les dynamiques d’invasion, l’écologie des communautés et l’écologie du paysage. Dans le premier chapitre, je détaille les cas d’études utilisés : (i) l’introduction du parasitoïde Torymus sinensis contre la guêpe galligène Dryocosmus kuriphilus ; (ii) l’introduction de l’ectoparasitoïde Mastrus ridens contre le carpocapse de la pomme Cydia pomonella ; (iii) un inventaire des Trichogramma de France ayant pour objectif de caractériser les zones écologiques de chaque espèce ; (iv) la description des parasitoïdes oophages associés à Iphiclides podalirius à fine échelle temporelle. Le chapitre 2 est centré sur l’étude de la dispersion de T. sinensis à l’échelle de plusieurs zones productrices de châtaignes. Dans ce chapitre, j’utilise des données de suivi sur les sites de lâcher pour en faire un modèle de croissance des populations de T. sinensis et ainsi inférer les dates de colonisations de sites naturellement colonisés. Dans le chapitre 3, je recherche les impacts du succès du contrôle biologique de D. kuriphilus par T. sinensis sur la structure de la communauté de parasitoïdes natifs, récemment associée au ravageur. Le chapitre 4 est dédié aux cas d’études où la valorisation scientifique varie d’un échec complet (primo-introductions de M. ridens), la diffusion de connaissances naturalistes (suivi d’I. podalirius et des parasitoïdes oophages associés) en passant par l’identification de motifs écologiques à l’aide d’outils statistiques spécifiques (suivi des espèces de Trichogrammes à échelle nationale).Enfin, en compilant les connaissances disponibles dans la littérature et mon expérience sur le terrain, je discute ensuite du potentiel et des limites de l’utilisation de la lutte biologique en tant qu’expérimentation en écologie. Je conclue que bien que la lutte biologique fournisse un contexte écologique à l’expérimentation en permettant la manipulation de plusieurs facteurs, le contexte et les organismes impliqués ne peuvent pas être adaptés à n’importe quelle problématique écologique. Par exemple, le parallèle évident entre la biologie de l’invasion et la lutte biologique fait de ce dernier un fort atout pour étudier les procédés qui régissent lesuccès des invasions. Cependant, les facteurs comme les faibles seuils de détectabilité d’un auxiliaire de lutte biologique à faible densité (couplé à la sensibilité des méthodes de suivis) peuvent faire de l’étude des dynamiques et interactions lors des stades précoces de l’invasion, une entreprise périlleuse<br>Biological control (or biocontrol) is the use of living organisms to suppress the population density or impact of a specific pest organism, making it less abundant or less damaging than it would otherwise be. The biological control agent may directly or indirectly interact with more than just the target pest and vice versa. Therefore, monitoring its populations, in conjunction toother ecological factors, may allow to confirm or discard ecology theories or unveil brand new interactions with both abiotic and biotic facets of the recipient ecosystem. Moreover, the methodological aspects of the post release monitoring phase and those of ecological experimentations sometimes do share similarities. In this work I explore how both disciplines are reconciled and how the resulting data from biocontrol could be optimized for its use in ecology.I use data from biological control programs to address questions related to invasion dynamics, community ecology and landscape ecology.In chapter 1, I detail the case studies: (i) the introduction of the parasitoid Torymus sinensis (Hymenoptera: Torymidae) against the Asian chestnut gall wasp Dryocosmus kuriphilus (Hymenoptera: Cynipidae) ; (ii) the introduction of the ectoparasitoid Mastrus ridens (Hymenoptera: Ichneumonidae) against the codling moth Cydia pomonella (Lepidoptera: Tortricidae) ; (iii) a nation-wide survey of Trichogramma species in France in order to characterize the ecological ranges of each species; (iv) the description of egg parasitoid species associated with Iphiclides podalirius (Lepidoptera: Papilionidae) at a fine temporal scale.Chapter 2 is focused on understanding the dispersal of T. sinensis at the scale of several chestnut producing areas. In this chapter, I use monitoring data from release sites to fit a growth model for populations of T. sinensis in order to infer the time since colonization in naturally colonized sites. In chapter 3 I investigate the impacts of the successful control of D. kuriphilus by T.sinensis on the structure of native parasitoid community that recently became associated with the pest. Chapter 4 is focused on cases where scientific valorization ranges from a complete failure (primo-introduction of M. ridens), the diffusion of naturalist knowledge (survey of I. podalirius and related oophagous parasitoids) and/or the identification of some patterns using specific statistics (national survey of Trichogramma species).Finally, by compiling knowledge from the extensive literature on biological control and field experience I then discuss on the potentials and limits of biological control programs for experimental ecology. I conclude that although biological control gives an ecological context to experimentation by allowing to manipulate a wide variety of factors, the context and the organisms at play may not be compatible with any ecological issue. For example, the obvious parallel between classical biological control and invasion biology makes the former extremely useful to study ecological processes that drive the success of invasions. This in turn could yield knowledge that may have implication in other disciplines such as the preservation of endangered species. However, factors like the low detectability of a biological control agent at low densities (coupled with varying sensibility of monitoring methods) may render the study of early stages dynamics and interactions too much of a daunting endeavor
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Thomine, Eva. "Effet de la diversification spatiale et temporelle des cultures à l’échelle du paysage agricole sur le biocontrôle et les ravageurs de culture." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019AZUR6032.

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Abstract:
L’uniformisation du schéma agricole a eu pour conséquence une perte significative de la biodiversité des insectes utiles en agriculture. La diversification des plantes a de nombreux avantages agronomiques, notamment celui d’augmenter la présence d’ennemis naturels au champ en leur fournissant des sources diversifiées de nourriture. A l’échelle du paysage, la préservation des zones naturelles est un levier très efficace dans le maintien des ennemis naturels et le biocontrôle. Cette efficacité étant parfois contestée et difficilement gérable par les agriculteurs, lors de cette thèse j’ai étudié les effets de la diversification des cultures, dans l’espace et dans le temps, sur l’abondance des ennemis naturels, leur mouvement, et le service de biocontrôle. Dans une première partie, je pose la question de la faisabilité économique et sociale de systèmes agricoles basés sur une diversité culturale accrue. Il s’ensuit une seconde partie constituée de 4 chapitres mettant en application la question à 4 échelles de complexité croissante. Le premier chapitre pose la question de l’effet de la diversification des cultures, dans l’espace et le temps, à l’échelle de l’individu (Harmonia axyridis) sur le biocontrôle de plusieurs espèces pucerons, le spill-over et l’abondance du prédateur. Le chapitre 2 étudie l’effet de la diversification des cultures dans l’espace et le temps, à l’échelle d’une population du prédateur omnivore, Nesidiocoris tenuis, sur sa dynamique de population, son spill-over, et sur son service de biocontrôle d’œufs de lépidoptères (en condition contrôlée sous serre). Le chapitre 3 décrit des expérimentations mises en place à l’échelle du champ permettant de comprendre les effets de la diversité spatiale et temporelle des plantes cultivées sur des populations et les mouvements d’ennemis naturels et ravageurs spontanément présents en environnement agricole. Enfin, le chapitre 4 s’intéresse aux effets de la diversité des plantes cultivées à l’échelle d’une région, en Chine, sur l’abondance d’ennemis naturels et de pucerons en champs de coton et de blé. Les résultats à l’échelle du laboratoire et de la serre montrent que les individus et les populations d’ennemis naturels sont fortement impactés par la nature de la plante à laquelle ils sont exposés. En effet, la croissance des populations résultait de l’effet combiné des plantes testées en monoculture. Cependant le spill-over et le biocontrôle ont été plus fortement stimulés en polyculture. En champ, le spill-over des coccinelles et des chrysopes était plus important en polyculture. De surcroit, les populations de ravageurs et d’ennemis naturels étaient plus fortement corrélées en polyculture qu’en monoculture ; dans certains cas le biocontrôle s’est avéré plus important en polyculture. Enfin, à l’échelle du paysage, la diversité des cultures avait un effet positif sur les coccinelles et négatif pour les pucerons. De plus, les champs cultivés de petite taille étaient positifs pour le maintien des chrysopes dans les champs cultivés. L’ensemble de ces résultats montrent donc que l’augmentation de la diversité des plantes cultivées, ainsi que la réduction de la taille des champs cultivés, peuvent permettre une augmentation des mouvements des ennemis naturels entre les champs, ainsi qu’un accroissement des services de biocontrôle<br>Landscape simplification have drastically reduced arthropods biodiversity in agricultural landscapes. Plant diversification has already been proved to be very positive for natural enemies notably through the provision of alternative food sources. At the landscape scale, natural habitats have been proved to be very positive for natural enemies and biocontrol. However, the efficacy of natural areas in enhancing biocontrol is more and more controversial. Additionally, farmers willingness to preserve or increase natural habitats in and around their fields is not systematic. Therefore, I decided during my PhD to assess the effect of increasing landscape plant diversity, by manipulating crops only in space and time, on the presence and the performance of natural enemies. In a first part, I assess the economical and social feasibility of increasing crop richness at a landscape scale. Then, in a second part, four different chapters assess the question of crop diversification in space and time on biocontrol at different scales of study. The first chapter shows a study maid at the laboratory scale, which aim is to assess the effect of crop diversification on the predator Harmonia axyridis, on its development and its predation capacity on four different types of aphids. The movement of the predator, hereafter called spillover, regarding the different food sources available is also assessed. The second chapter shows a similar study but laid at a bigger scale (greenhouse) and assesses the population dynamics, the predation capacity and the spillover of a population of Nesidiocoris tenuis regarding differential crop availability in space and time. The third chapter describes two experiments laid at the field scale which aim is to assess the effect of crop diversity, differing in space and time, on the abundance of naturally occurring pests and natural enemies. Abundances of pests and natural enemies was evaluated as a proxy of biocontrol and spillover between patches of crops was assessed in the polycultural treatment. Finally, the last chapter assessed the effect of crop diversity and crop configuration at the landscape scale on the abundance of aphids and aphidophagous predators (coccinellids, lacewings and spiders). The data were collected in the Hebei Province of China. Results at the laboratory and greenhouse scale show that individuals and populations of natural enemies are highly impacted by the functionality of the plant they are exposed to. Indeed, the natural enemies growth in polyculture was the result of the combined effect of the crops tested separately in monoculture. However, the spillover and the biocontrol were highly stimulated in polyculture, sometimes more than in monoculture. At the field scale, ladybirds spillover was higher in polyculture and populations of pests and natural enemies were strongly correlated in polyculture compare to monoculture. Finally, at the field scale, crop diversity had a positive effect on ladybirds abundance and a negative one on aphids abundance. Additionally, fields of small size increased the presence of lacewings. These results show that increasing crop diversity, and decreasing field size, might help to enhance the presence of natural enemies and increase the biocontrol through promoting the spillover of natural enemies between the different cultivated fields
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Hamdi, Faten. "'Identification morphologique et moléculaire et caractérisation bio-écologique d'un agent de lutte biologique zoophytophage méditerranéen : Macrolophus pygmaeus'." Electronic Thesis or Diss., Montpellier 2, 2012. http://www.theses.fr/2012MON20053.

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Abstract:
La réussite d'un programme de lutte biologique ou intégrée est fortement liée à l'agent de lutte impliqué, à ses caractéristiques intrinsèques et à ses différentes interactions avec le milieu cible d'introduction. Une juste identification de l'ennemi naturel, une connaissance approfondie de sa biologie, son écologie, son potentiel de gestion des populations de nuisibles et même, de sa génétique sont indispensables avant son implication dans un tel programme. Ce travail de thèse s'insère dans le cadre de la problématique de limitation des risques sanitaires et environnementaux liés aux productions de fruits et légumes au niveau du bassin méditerranéen. Plus spécifiquement, il s'agit de limiter les impacts phytosanitaires et économiques de certains ravageurs s'attaquant à la tomate (Solanum lycopersicum L.), culture méditerranéenne par excellence. Depuis une vingtaine d'années, la protection biologique et intégrée a considérablement évoluée en mettant en jeu une large gamme d'agents de lutte pour une gestion satisfaisante des principales invasions parasitaires (les deux aleurodes Bemisia tabaci (Gennadius, 1889) et Trialeurodes vaporariorum (Westwood, 1856), et plus récemment le lépidoptère Tuta absoluta (Meyrick, 1917) ). Parmi les auxiliaires utilisés en région méditerranéenne, une punaise zoophytophage appartenant au genre Macrolophus (Hemiptera: Miridae) s'est imposée comme la pierre angulaire du contrôle biologique des ravageurs de la tomate. Bien que commercialisé depuis les années 90 sous le nom de Macrolophgus caliginosus, son identité spécifique porte encore à confusion. Ceci est du à la présence dans la zone d'origine (bassin méditerranéen) de deux espèces morphologiquement très proches : Macrolophus caliginosus/melanotoma et Macrolophus pygmaeus. La première partie de la thèse a permis de clarifier ce problème d'identification par une double approche morphologique et moléculaire, et de proposer une nouvelle clé d'identification de toutes les espèces paléarctiques du genre Macrolophus. La deuxième partie s'est focalisée sur des aspects de la bio-écologie de l'espèce commercialisée identifiée dans cette thèse comme M. pygmaeus. L'influence des ressources trophiques sur sa capacité de survie a été d'abord étudiée puis le caractère cannibale de cet agent de lutte a été mis en évidence. L'étroite relation entre sa phytophagie et sa zoophagie a été démontrée et enfin l'impact de la température sur sa réponse fonctionnelle a été caractérisé. Les résultats montrent l'importance de tous ces paramètres sur le potentiel de prédation de M. pygmaeus et soulignent leur contribution à la réussite ou à l'échec de son rôle dans la protection biologique intégrée de la tomate<br>The success of a biological or integrated pest management control program is deeply dependant of the involved biological control agent as well as its intrinsic characteristics and its various interactions with the target introduction area. Before any implication in such a program an accurate/correct identification, a detailed knowledge of its biology, ecology, potential in pest control are necessary. This work was developed in a context of the sanitary and environmental fruits and vegetables production limitation risk problems. It consists, more specifically, in the phytosanitary and environmental impact limitations of some tomato (Solanum lycopersicum L.) pests. In the last twenty years, the biological and integrated pest management has considerably changed by involving a large scale of biological control agents for a successful control of the main parasitic invasions (the two whiteflies, Bemisia tabaci [Gennadius, 1889) and Trialeurodes vaporariorum (Westwood, 1856), more recently the moth Tuta absoluta (Meyrick, 1917)]. Among the natural enemies used on the Mediterranean region, one finds a zoophytophagous bug belonging to the Macrolophus genus (Hemiptera: Miridae. In spite of its marketing since the 1990s under the name Macrolophgus caliginosus, its specific identity still remains unclear. This is due to the presence in the origin zone (Mediterranean area) of two morphologically closed species: Macrolophus caliginosus/melanotoma and Macrolophus pygmaeus. The first part of this thesis shed light on the identification problem through a double morphological and molecular approach. It also provided a new identification key of all the Palaearctic species belonging to the genus Macrolophus. The second part focused on some bio-ecological traits of the commercialised species, identified in this work as M. pygmaeus. The influence of trophic/feeding resources on the survival capacity has been studied and a cannibalistic behaviour has been demonstrated. The close relationship between phytophagy and zoophagy was characterized; finally the impact of temperature on its functional response was described. The results showed the importance of all these parameters on M. pygmaeus predation potential and emphasized their contribution on the success or failure in tomato pest management
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Aboubakar, Souna Djibril. "Stratégies de réussite parasitaire du parasitoïde larvaire Therophilus javanus et de ses potentialités d’utilisation en lutte biologique contre Maruca vitrata le lépidoptère foreur de gousse de niébé Vigna unguiculata en Afrique de l’Ouest." Thesis, Montpellier, 2018. http://www.theses.fr/2018MONTG057/document.

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Abstract:
Maruca vitrata Fabricius (Lepidoptera: Crambidae) est un des ravageurs majeurs du niébé (Vigna unguiculata L. Walp. (Fabales: Fabaceae)). Au stade larvaire, ce ravageur peut détruire les boutons floraux, les fleurs et les gousses en développement, et causer, à lui seul, des pertes de rendement allant jusqu’à 80% dans un champ de niébé. Pour lutter contre cet insecte, une collaboration entre WorldVeg et l’IITA a permis d’identifier un agent potentiel de lutte biologique contre M. vitrata en Afrique de l’Ouest, le parasitoïde Therophilus javanus (Bhat &amp; Gupta, 1977) (Hymenoptera: Braconidae). Mais aucune information n’était jusqu’alors disponible sur la biologie de ce parasitoïde.Mes travaux de thèse visaient donc à étudier certains des paramètres biologiques de T. javanus afin d’optimiser aussi bien sa production au laboratoire que son utilisation comme agent de lutte biologique au champ. Nous avons d’abord analysé le développement et le potentiel reproductif de T. javanus, mais aussi son comportement de localisation de l’hôte. En parallèle, nous avons étudié l’organisation de la glande à venin et recherché les gènes transcrits dans cette glande, car le venin peut jouer un rôle dans la réussite du parasitisme.Nous avons décrit le développement de T. javanus, qui comprend trois stades larvaires : les deux premiers stades se développent à l’intérieur de la chenille, mais seule une partie du troisième stade est endoparasite. Nous avons montré que l’âge de la chenille de M. vitrata lors du parasitisme influence significativement la durée de développement de T. javanus (de l’œuf à l’adulte) ainsi que le potentiel reproductif de l’adulte femelle. T. javanus est une espèce synovigénique chez qui la maturation des œufs s’effectue graduellement après l’émergence. Toutefois, ni le sex ratio de la progéniture ni la longévité des adultes ne sont influencés par l’âge de l’hôte au moment du parasitisme.Nos résultats concernant le comportement de localisation de l’hôte ont montré que la femelle de T. javanus visite les bourgeons foliaires, les boutons floraux et la gousse sur la plante de niébé. La localisation de l’hôte est influencée par l’espèce de la plante infestée par la chenille de M. vitrata.Nos travaux ont permis de décrire la glande à venin de T. javanus qui est filiforme et en forme de Y. Au niveau ultrastructural, les cellules de la glande contiennent plusieurs canaux collecteurs ainsi que de nombreuses vésicules. L’étude du transcriptome a révélé que la moitié des séquences identifiées dans la glande à venin de T. javanus présentent de similarités avec certaines enzymes et protéines observées chez d’autres hyménoptères, parmi lesquels le plus fréquemment représenté est l’endoparasitoïde Microplitis demolitor Wilkinson (Hymenoptera: Braconidae). Nous avons également identifié une famille de protéines fortement exprimées dans la glande à venin de T. javanus qui sont similaires à des protéines du venin identifiées chez un hyménoptère ectoparasitoïde, Ampulex compressa (Fabr.) (Hymenoptera: Ampulicidae). Ces séquences ont été utilisées pour dessiner des amorces de PCR (polymerase chain reaction) permettant de détecter T. javanus de façon spécifique et reproductible à partir d’ADN génomique d’adulte de T. javanus et de la chenille de M. vitrata parasitée par la femelle de T. javanus.Ces résultats ont été discutés dans la perspective d’optimiser la production en masse de T. javanus au laboratoire et la méthode de lâcher, et de mettre en place un outil moléculaire pouvant permettre la détection du parasitoïde à partir de chenilles parasitées. La présente thèse représente une première documentation consacrée à la physiologie et la bioécologie de T. javanus. Cependant de nombreuses questions restent encore à aborder afin de pouvoir optimiser l’utilisation de T. javanus comme agent de lutte biologique en Afrique<br>Maruca vitrata Fabricius (Lepidoptera: Crambidae) is one of the most important insect pests in West Africa causing severe damage to cowpea (Vigna unguiculata L. Walp. (Fabales: Fabaceae)). The pest alone can cause up to 80 % yield losses. Damage is done by caterpillars on flower buds, flowers and developing pods. To develop the biological control of M. vitrata in West Africa, a collaboration has been established between WorldVeg and IITA that resulted in the identification of one promising parasitoid species namely Therophilus javanus (Bhat &amp; Gupta, 1977) (Hymenoptera: Braconidae). Because of a dearth of data concerning T. javanus biology, the present work was initiated to assess the suitability of T. javanus as a classical biological control agent against M. vitrata in West Africa.In order to help for decision making regarding the use of T. javanus as a biological control agent against the pod borer, my thesis focused on some biological parameters as egg production capacity in females, immature development, the impact of host stage on the adult life cycle and the ability of adult female to localize M. vitrata on infested host plant organs based on olfactory stimuli. I’ve also investigated the morphology, ultrastructural organization and the transcriptome of the venom gland in females, and designed a PCR method for detection of M. vitrata caterpillars parasitized by T. javanus.Our study has demonstrated that T. javanus is a synovigenic species that mature eggs gradually after emergence and that egg production in progeny is influenced by the size or instar of the caterpillar host at parasitism. T. javanus is a koinobiont endoparasitoid that has three larval instars: the first and the second instars are completed inside the host whereas the third instar is achieved outside the host. Development time and fecundity were influenced by the size or instar of the caterpillar at the moment of parasitism whereas mother longevity and progeny sex ratio were not influenced. The females explored different parts of the cowpea plant but invested more time for searching on the buds. Female attraction by M. vitrata-damaged host plants odors was impacted by the plants species. Odors released from M. vitrata-infested host plant parts were discriminated from non-infested parts in selected plants, cowpea and Tephrosia platycarpa Guill &amp; Perr (Fabales: Fabaceae), respectively. Finally we have shown that the venom gland produces proteins with similarities with venom proteins from other hymenoptera, in particular with the endoparasitoid Microplitis demolitor Wilkinson (Hymenoptera: Braconidae). However, the highly transcribed sequences were related to venom proteins in the ectoparasitoid Ampulex compressa (Fabr.) (Hymenoptera: Ampulicidae). Primers designed based on the sequence of the most expressed venom protein in T. javanus allowed to discriminate adult T. javanus from other adult hymenoptera parasitoids. Similarly, parasitized M. vitrata caterpillar could be distinguished from non parasitized M. vitrata caterpillar.These findings are discussed in the frame of improving mass rearing of the parasitoid in laboratory, and optimizing release strategies, but also of developing an approach for investigation of the parasitoid establishment. This thesis represents the first documentation devoted to the physiology and bioecology of T. javanus. However, some questions still remain to be addressed in order to decide on the possibility of using T. javanus as biological control agent against M. vitrata in West Africa
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Pruvost, Olivier. "La maladie des taches noires de la mangue (Xanthomonas campestris pv. Mangiferaeindicae) : étude bactériologique, biologique, épidémiologique et mise au point des bases d'un système de lutte intégrée dans les confitions de l' Île de la Réunion." Paris 11, 1989. http://www.theses.fr/1989PA112020.

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Une étude approfondie de l'agent causal de la maladie des tâches noires de la mangue (Xanthononas campestris pv. Mangiferaeindicae) a permis de mettre en évidence une assez large variabilité des caractères métaboliques, sérologiques, de la sensibilité à une gamme de bactériophages, d'antibiotiques ou de sels de métaux lourds et du contenu plasmidique des 94 isolats étudiés. Une variabilité existe également en ce qui concerne le pouvoir pathogène sur différentes plantes hôte. L'étude des caractéristiques biologiques et épidémiologiques de l'agent pathogène dans les conditions de l'ile de la réunion a permis de mettre en évidence les périodes de sensibilité et réceptivité des tissus de l'hôte et l'influence des paramètres climatologiques sur leur développement. Une survie épiphyte de l'agent pathogène a été démontrer sur feuilles, bourgeons et jeunes fruits. Les modalités de sa dissémination ont été précisées. L'efficacité de différentes formulations chimiques a été étudiée. Des résultats encourageants concernant les possibilités de lutte biologique par utilisation de souches de Bacillus subtilis ou B. Amyloliquefaciens antagonistes ont été obtenus<br>An extensive study was undertaken to characterize 94 isolates of Xanthomonas campestris pv. Mangiferaeindicae responsible for bacterial black spot of mangoes. Studies on carbohydrates assimilation, susceptibility to antibiotics and to heavy metal salts, serotyping and phage-typing, plasmid patterns as well as to pathogenicity to several hosts have revealed a large variability within the isolates. Biological and epidemiological studies of the pathogen under Reunion Island conditions have allowed us to establish susceptibility and receptivity periods of host tissues and their relations to climatic conditions. The pathogen is able to survive as an epiphyte on leaves, buds and immature fruit. Its mode of spread has been studied. Chemical and biological disease control were evaluated and resuls show that disease control may be achieved by using an antagonistic strain of Bacillus subtilis or B. Amyloliquefaciens
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Juhel, Amandine. "Dynamique des populations de méligèthes, Brassicogethes aeneus Fabr. (Coleoptera, Nitidulidae) et de son principal parasitoïde, Tersilochus heterocerus Thomson (Hymenoptera, Ichneumonidae) en fonction de l’hétérogénéité des paysages agricoles." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2017. http://www.theses.fr/2017SACLA035/document.

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Abstract:
Une régulation biologique plus efficace des ravageurs des grandes cultures par leurs ennemis naturels nécessite une meilleure compréhension de la biologie de ces espèces et de leurs patrons de dispersion dans les paysages agricoles. L’objectif de ce travail est d’améliorer les connaissances sur la dynamique des populations de méligèthes et de leur parasitoïde principal. A l’aide de microsatellites, nous avons montré que la structuration génétique des populations de méligèthes était faible en Europe, celle de T. heterocerus est sensiblement plus forte. Avec des modèles statistiques appliqués aux abondances de méligèthes, nous avons montré qu’ils parcourent en moyenne 1,2 km après l’hivernation. Cette distance moyenne de dispersion est comparable à celle estimée à partir de résultats d’assignation de parentés génétique entre paires d’individus. Avec des relevés de terrain, nous avons quantifié et identifié les déterminants de la présence de méligèthes dans d’autres habitats que le colza. Au printemps, ils peuvent être observés dans des prairies, des friches et des bords de champs, où se trouvent des fleurs jaunes. En été, les méligèthes sont présents dans ces habitats, partout où il y a des fleurs, sans distinction de couleurs, surtout sur les adventices des cultures. Enfin, la présence de parasitoïdes semble plus fortement déterminée par la présence de méligèthes que par des éléments paysagers. Le paysage joue un rôle déterminant sur ce couple d’espèces. De plus, les estimations des paramètres démographiques réalisées pourront aider par la modélisation à dimensionner les actions à mener pour limiter les dégâts causés par les méligèthes<br>More effective biological regulation of field crop pests by their natural enemies requires a better understanding of the biology of these species and their patterns of dispersal in agricultural landscapes. The objective of this work is to increase knowledge on the dynamics of pollen beetles populations and their main parasitoid. Using an approach based on the analysis of microsatellites, we have shown that the genetic structuring of pollen beetle populations in Europe is weak. Populations of T. heterocerus are more structured. With statistical models applied to the abundance of pollen beetles, we have shown that they travel an average of 1.2 km, after overwintering. This average distance is comparable to that estimated from results of sibship analysis between pairs of individualsWith fieldwork, we quantified and identified the determinants of pollen beetles presence in habitats other than rapeseed. In spring, pollen beetles can be seen in grasslands, fallows and field edges with yellow flowers. In summer, pollen beetles are present in these habitats, wherever there are flowers, without distinction of colour, especially on the weeds of crops. Finally, the presence of parasitoids seems to be more strongly determined by the presence of pollen beetles than by landscape elements. The landscape plays a decisive role on this pair of species. Moreover, throught modelling, estimates of the demographic parameters carried out would help to shape the actions to be taken to limit the damage caused by pollen beetles
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Han, Peng. "Effets bottom-up et top-down des variations de fertilisation et d'irrigation sur des réseaux tri-trophiques en agroécosystèmes." Electronic Thesis or Diss., Nice, 2014. http://theses.unice.fr/2014NICE4057.

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Abstract:
Le système « plante-ravageur-ennemi naturel » fournit un modèle de base idéal pour comprendre comment les communautés d'arthropodes sont structurées et comment les interactions (directes et indirectes) entre les différents acteurs contribuent à façonner la structure des communautés. Dans les agroécosystèmes, les forces "top-down" correspondent aux effets de contrôle que les organismes arthropodes des niveaux trophiques supérieurs (par exemple, les prédateurs) ont sur les espèces des niveaux inférieurs (par exemple, leurs proies). Les communautés d'arthropodes peuvent également être influencées par des forces "bottom-up" induites par des variations dans les régimes de fertilisation ou d'irrigation ou par des variations de certains traits des plantes (résistance aux herbivores ou adaptations aux stress environnementaux). De plus, les forces "bottom-up" peuvent affecter l'impact "top-down" des ennemis naturels sur les herbivores soit directement (par exemple, les effets sur prédateur omnivore) ou médiées par les insectes herbivores intermédiaires. Dans ce contexte, les objectifs de cette thèse ont été de comprendre comment les variations de l'apport des ressources dans les agroecoécosytsèmes (disponibilité en azote et en eau) peuvent influencer les interactions entre les plantes, les herbivores et les ennemis naturels. Cette question a été étudiée aussi bien à l'échelle individuelle (traits d'histoire de vie des insectes) que populationnelle (dynamique des populations). Les études ont été réalisées sur deux agroécosystèmes basés sur les cultures de la tomate et du coton<br>The “Plant-herbivorous insect-natural enemy” system provides an ideal basic model to understand how the plant-inhabiting arthropod communities are structured and how various mechanisms (i.e. direct and indirect interactions) contribute to shape the community structure. In agro-ecosystems, top-down forces encompass the controlling effects that arthropod organisms of the higher trophic level (e.g., predators) have on species at the next lower level (e.g., prey). Arthropod communities may also be influenced by bottom-up forces induced by environmental variations (e.g. fertilization or irrigation regimes) or plant traits (plant insect-resistance or plant-adaptive traits). Furthermore, bottom-up forces may affect top-down forces on herbivores either directly (e.g., effects on omnivorous predator) or mediated by the intermediate herbivorous insects. In this context, the aims of the PhD study were to disentangle how variations in resource inputs (i.e. nitrogen and water availability) affect interactions among plant, herbivores and their natural enemies at both the individual (life-history traits) and population (population dynamic) levels. The studies were carried out on two agrosystems based on tomato and cotton. On tomato, the system 'Solanum lycopersicum L - leafminer Tuta absoluta - omnivorous predator Macrolphis pygmaeus' was used under laboratory and greenhouse conditions in France. We found strong evidence of bottom-up effects of nitrogen and/or water inputs on the herbivore and the omnivorous predator. Feeding ecology of the predator was also strongly influenced by water availability
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Bertrand, Colette. "L'hétérogénéité spatiale et temporelle des paysages agricoles influence les auxiliaires généralistes des cultures et le potentiel de contrôle biologique des ravageurs." Thesis, Rennes 1, 2015. http://www.theses.fr/2015REN1S161/document.

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Abstract:
Les carabes et les araignées sont des auxiliaires généralistes susceptibles d'exercer un contrôle efficace des ravageurs des cultures. La structure et composition de leurs communautés, ainsi que l'efficacité du contrôle biologique, dépendent de l'hétérogénéité des paysages, et en particulier de la présence d'habitats semi-naturels. Mais le rôle de la mosaïque agricole, susceptible de présenter une forte hétérogénéité dans l'espace et dans le temps, reste aujourd'hui peu connu. L'objectif de ce travail a été d'évaluer les effets de l'hétérogénéité spatiale et temporelle des paysages agricoles sur des auxiliaires généralistes et sur le potentiel de contrôle biologique. Nous avons échantillonné les communautés de carabes et d'araignées dans des parcelles de céréales, et estimé le potentiel de prédation par des pucerons sentinelles collés sur des cartes de prédation. Nous avons caractérisé l'hétérogénéité spatiale des paysages autour des parcelles de céréales par le pourcentage d'éléments boisés et la longueur du réseau de haies, la taille moyenne des parcelles agricoles, et la diversité des cultures. Nous avons également mis au point quatre nouvelles métriques qui synthétisent différents aspects de l'hétérogénéité temporelle interannuelle des surfaces cultivées. Nos résultats montrent qu'au printemps les araignées sont plus abondantes dans les parcelles de céréales situées dans des paysages composés de petites parcelles. Au début de l'été, ces paysages favorisent également les taux de prédation de pucerons mesurés par les cartes de prédation, et l'abondance des carabes qui se reproduisent au printemps et qui hivernent en tant qu'adultes dans des habitats semi-naturels. Les carabes qui hivernent dans le sol des parcelles au stade larvaire et se reproduisent à l'automne sont quant à eux favorisés par la diversité des cultures dans le paysage. Nos résultats montrent enfin que l'hétérogénéité temporelle de la mosaïque agricole - caractérisée par les changements de la diversité de cultures au cours des cinq dernières années - favorise elle aussi certaines espèces de carabes communément rencontrées dans les parcelles agricoles (Poecilus cupreus ou Pterostichus melanarius) et susceptibles de jouer un rôle important en tant qu'auxiliaires. Ces résultats mettent en avant le rôle complémentaire des bordures de champs non cultivées et de la mosaïque des cultures pour différents groupes d'auxiliaires, et soulignent l'importance de prendre en compte l'hétérogénéité spatiale et temporelle des surfaces cultivées dans l'étude de la biodiversité des paysages agricoles. Dans le contexte de réduction des produits phytosanitaires, nos résultats suggèrent que des paysages présentant une diversité de cultures importante variable dans le temps, et des petites parcelles qui favorisent l'intrication entre les habitats semi-naturels et les cultures, sont susceptibles de favoriser les auxiliaires généralistes ainsi que le potentiel de contrôle biologique des ravageurs<br>In the context of reducing pesticide use, the potential role of some arthropod groups as pest natural enemies provides them an ecological and economic interest. In particular, ground beetles and spiders are generalist predators likely to be effective biocontrol agents. Previous studies have shown that the structure and composition of their communities, as well as the effectiveness of biological control, are influenced by landscape heterogeneity, and in particular by the presence of semi-natural habitats. However, the role of the crop mosaic, which can be highly heterogeneous in space and time, have been little considered. The main objective of our study was to determine the influences of spatial and temporal heterogeneity of agricultural landscapes on generalist natural enemies and the potential for biological pest control. We sampled carabid and spider communities in winter cereal fields, and estimated biological control potential using sentinel aphids glued on predation cards. We characterized the spatial heterogeneity of the landscapes around each cereal field by 1) the amount of wooded habitats and the length of the hedgerow network, 2) the average size of the agricultural fields, and 3) crop diversity. We also proposed four new metrics that synthesize different aspects of the multi-year temporal heterogeneity of cropped areas. Our results show that in spring, landscapes characterized by small fields, and therefore by a high density of non-cropped field margins, promote spiders abundance in cereal fields. In early summer, landscapes with small fields also promote aphid predation rates and the abundance of carabid spring breeders, which overwinter as adults in semi-natural habitats. Crop diversity promotes the abundance of carabids overwintering in soils of arable fields and breeding in autumn. Our results also show that the temporal heterogeneity of the crop mosaic - characterized among other things by the changes in crop diversity over a five year period - benefits some carabid species commonly found in agricultural landscapes (such as Poecilus cupreus and Pterostichus melanarius) which are likely to play an important role as pest natural enemies. These results highlight the complementary role of the crop mosaic and the non-cropped field borders for generalist natural enemies, and show the importance of taking into account the spatial and temporal heterogeneity of the cultivated area in further ecological studies on biodiversity in agricultural landscapes. In the context of reducing pesticide use, our results suggest that landscapes with 1) a high crop diversity that change over time, and 2) small fields that promote the interspersion between crops and semi-natural habitats, are likely to promote generalist natural enemies and biological pest control
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Marliac, Gaëlle. "Intensification de l'agriculture biologique : conséquences sur la régulation des phytophages en vergers de pommiers." Thesis, Avignon, 2014. http://www.theses.fr/2014AVIG0661/document.

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Abstract:
L’agriculture biologique (AB) est classiquement comparée à l’agriculture conventionnelle. Elle est alors souvent considérée comme plus favorable à la biodiversité que l’agriculture conventionnelle, même si certaines études montrent un effet négatif ou une absence d’effet de l’AB par rapport à l’agriculture conventionnelle pour certains taxons(Bengtsson et al. 2005; Garratt et al. 2011; Hole et al. 2005; Winqvist et al. 2011). Cela peut s’expliquer par le fait que l’AB ne se différencie pas seulement par le remplacement des produits phytosanitaires de synthèse par des produits autorisés en agriculture biologique mais aussi par la mise en œuvre d’autres pratiques comme l’implantation d’un couvert végétal.L’AB dispose d’une large gamme de pratiques visant à limiter les ravageurs et/ou à favoriser leur contrôle biologique via leurs ennemis naturels. Les objectifs de cette thèse sont :(i) d’établir un état des lieux de la diversité des stratégies de protection mises en place parles producteurs en AB pour lutter contre les deux ravageurs majeurs en vergers de pommiers,le carpocapse des pommes et le puceron cendré et d’identifier les pratiques permettant une diminution de l’usage des pesticides ;(ii) d’évaluer si ces pratiques ont un effet sur les communautés des prédateurs généralistes présentes dans la couronne ;(iii) d’estimer le rôle fonctionnel des prédateurs généralistes en mesurant la fonction de prédation en vergers de pommiers. En prenant comme cas d’étude les vergers de pommiers du Sud-Est de la France, nous avons dans un premier temps réalisé un état des lieux de la diversité des pratiques de protection mises en place en agriculture biologique à l’échelle de l’exploitation. Suite à une série d’enquêtes chez les producteurs, quatre stratégies de protection avec différentes combinaisons de pratiques ont été définies. Un suivi des ennemis naturels dans des parcelles types a permis de mettre en évidence des communautés d’ennemis naturels différentes selon les stratégies de protection.Dans un deuxième temps, nous avons étudié le lien entre la diversité des prédateurs généralistes et la régulation biologique (ici, la prédation des œufs de carpocapse). Cette étude a été réalisée sur 20 parcelles en AB caractérisées par différents usages de pesticides biologiques. Cette étude a permis de mettre en évidence des taux de prédation différents et une variabilité des communautés d’ennemis naturels selon les parcelles et d’identifier les ennemis naturels corrélés à la prédation des œufs. Dans un troisième temps, notre étude s'est portée sur une modification particulière de l'habitat, l’enherbement de l’inter-rang, une pratique mise en place par les producteurs et facile à gérer, notamment via l'intensité de fauche. Nous avons voulu déterminer, à l’aide d’une approche expérimentale en verger, si cette modification était un levier efficace pour augmenter l'abondance et la diversité des ennemis naturels et donc la régulation, soit au niveau de la canopée (prédation des œufs de carpocapse) soit au niveau du sol (prédation des larves de carpocapse). La communauté d’ennemis naturels dans l’arbre est apparue peu impactée par la hauteur d’enherbement ; seul Forficula pubescens est plus abondant lorsque le couvert végétal est haut (1m20). La prédation des œufs est quant à elle plus forte, aux mois de juillet et août, lorsque le couvert végétal est ras (5cm). La prédation des larves n’est pas différente selon la hauteur du couvert végétal.Cette thèse a permis de mettre en évidence une diversité des stratégies de protection en vergers de pommiers en AB. Elle a montré une variabilité des communautés d’ennemis naturels au sein de l’AB. Elle illustre la complexité du lien entre pratiques agricoles, ennemis naturels et prédation des bioagresseurs<br>Organic agriculture is assumed to achieve more sustainable practices by reducing the negativeenvironmental impacts of intensive agriculture, such as biodiversity decline. While positivelinks between organic agriculture and natural enemy abundance and/or diversity have oftenbeen reported, this was not always the case (little or no difference between the systems, orsometimes in favor of the conventional system) and it appears to be variable depending on thespecies considered (Bengtsson et al. 2005; Garratt et al. 2011; Hole et al. 2005; Winqvist et al.2011). The benefits to biodiversity from organic agriculture are likely to stem primarily fromprohibition of synthetic chemicals but also from the adoption of various other managementpractices (cultural practices, ground cover management, presence of hedgerows). Indeed,organic management strategies are thus defined by a combination of different practices(Zehnder et al. 2007) that can have a different effect on the natural enemy community (Hole etal. 2005; Simon et al. 2007).The objectifs of this thesis are :(i) caracterized the diversity of crop protection strategies on organic agriculture andidentifed the practices led to reduced pesticide usage;(ii) investigated whether these practices have an impact on the natural enemy abundanceand diversity in the canopy;(iii) assess the natural enemy predation activity in apple orchard.First, we identified four crop protection strategies, which were characterized by aspecific combination of different types of practices. We showed that natural enemycommunities and their efficacy were influenced by these strategies.Second, we examined the relationships between the abundance of generalist predatorsand the level of pest control under natural conditions (predation of codling moth eggs). Weused a set of organically farmed commercial orchards with various protection strategies andshowed that the predation rate and the natural enemy communities were different but variableamong the organic apple orchard. We identified the natural enemy correlated with thepredation rate.!Finally, we managed the ground cover and compared the effect of three heights, tall(no cutting), medium (mean height of 20 cm) and short (mean height of 5 cm), of aspontaneous grass cover in an experimental orchard on natural enemy abundance andpredation rates on the canopy (predation of codling moth egg) and on the ground (predation ofcodling moth larvae). The natural enemy community on the canopy was little impact by theheight of the ground cover ; only Forficula pubescens was more abundant in the no cuttingthan in the short ground cover. The egg predation was higher in the short ground cover than inthe two other modalities. The larvae predation was not impacted by the ground cover height.We caracterized a diversity of crop protection strategy on organic agriculture in appleorchard. We identified a variability of the natural enemy communyties on organic appleorchard. This thesis illustrated the complexity of the relationship between agriculturalpractices, natural enemies and predation of pests
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Thiec, Marie Alliot Anne. "La lutte biologique et les biopesticides." [S.l.] : [s.n.], 2007. http://castore.univ-nantes.fr/castore/GetOAIRef?idDoc=22986.

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Zeddam, Jean-Louis. "Etude d'un ribovirus pathogène du Lépidoptère Latoia viridissima (Holland 1893), ravageur de Palmacées en Côte-d'Ivoire : caractérisation du virus, diagnostic sérologique et clonage moléculaire." Montpellier 2, 1989. http://www.theses.fr/1989MON20076.

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Abstract:
Les populations naturelles du lepidoptere latoia viridissima dont la chenille defoliatrice ravage les plantations de palmacees en cote d'ivoire sont periodiquement decimees par une virose. Une caracterisation physico-chimique du virus responsable des epizooties en a precise plusieurs proprietes essentielles dont certaines le rapprochent des picornaviridae. Un test immunoenzymatique (technique elisa) a ete mis au point afin de detecter ce ribovirus, appele lvv, dans des echantillons biologiques. A l'aide de cet outil de diagnostic serologique l'aspect epidemiologique de la maladie se developpant en plantation a ete aborde. Parallelement, le clonage moleculaire du genome virql a ete entrepris donnant les premieres indications sur l'organisation de lvv. A partir de l'adnc ainsi obtenu, differents types de sondes nucleiques ont ete construites faisant intervenir des marquages radioactifs ou par nucleotides biotinyles. La capacite de ces diverses sondes, a adn bicatenaire ou a arn monocatenaire, a detecter le virus a ete testee
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Hamdi, Faten. "'Identification morphologique et moléculaire et caractérisation bio-écologique d'un agent de lutte biologique zoophytophage méditerranéen : Macrolophus pygmaeus'." Thesis, Montpellier 2, 2012. http://www.theses.fr/2012MON20053/document.

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Abstract:
La réussite d'un programme de lutte biologique ou intégrée est fortement liée à l'agent de lutte impliqué, à ses caractéristiques intrinsèques et à ses différentes interactions avec le milieu cible d'introduction. Une juste identification de l'ennemi naturel, une connaissance approfondie de sa biologie, son écologie, son potentiel de gestion des populations de nuisibles et même, de sa génétique sont indispensables avant son implication dans un tel programme. Ce travail de thèse s'insère dans le cadre de la problématique de limitation des risques sanitaires et environnementaux liés aux productions de fruits et légumes au niveau du bassin méditerranéen. Plus spécifiquement, il s'agit de limiter les impacts phytosanitaires et économiques de certains ravageurs s'attaquant à la tomate (Solanum lycopersicum L.), culture méditerranéenne par excellence. Depuis une vingtaine d'années, la protection biologique et intégrée a considérablement évoluée en mettant en jeu une large gamme d'agents de lutte pour une gestion satisfaisante des principales invasions parasitaires (les deux aleurodes Bemisia tabaci (Gennadius, 1889) et Trialeurodes vaporariorum (Westwood, 1856), et plus récemment le lépidoptère Tuta absoluta (Meyrick, 1917) ). Parmi les auxiliaires utilisés en région méditerranéenne, une punaise zoophytophage appartenant au genre Macrolophus (Hemiptera: Miridae) s'est imposée comme la pierre angulaire du contrôle biologique des ravageurs de la tomate. Bien que commercialisé depuis les années 90 sous le nom de Macrolophgus caliginosus, son identité spécifique porte encore à confusion. Ceci est du à la présence dans la zone d'origine (bassin méditerranéen) de deux espèces morphologiquement très proches : Macrolophus caliginosus/melanotoma et Macrolophus pygmaeus. La première partie de la thèse a permis de clarifier ce problème d'identification par une double approche morphologique et moléculaire, et de proposer une nouvelle clé d'identification de toutes les espèces paléarctiques du genre Macrolophus. La deuxième partie s'est focalisée sur des aspects de la bio-écologie de l'espèce commercialisée identifiée dans cette thèse comme M. pygmaeus. L'influence des ressources trophiques sur sa capacité de survie a été d'abord étudiée puis le caractère cannibale de cet agent de lutte a été mis en évidence. L'étroite relation entre sa phytophagie et sa zoophagie a été démontrée et enfin l'impact de la température sur sa réponse fonctionnelle a été caractérisé. Les résultats montrent l'importance de tous ces paramètres sur le potentiel de prédation de M. pygmaeus et soulignent leur contribution à la réussite ou à l'échec de son rôle dans la protection biologique intégrée de la tomate<br>The success of a biological or integrated pest management control program is deeply dependant of the involved biological control agent as well as its intrinsic characteristics and its various interactions with the target introduction area. Before any implication in such a program an accurate/correct identification, a detailed knowledge of its biology, ecology, potential in pest control are necessary. This work was developed in a context of the sanitary and environmental fruits and vegetables production limitation risk problems. It consists, more specifically, in the phytosanitary and environmental impact limitations of some tomato (Solanum lycopersicum L.) pests. In the last twenty years, the biological and integrated pest management has considerably changed by involving a large scale of biological control agents for a successful control of the main parasitic invasions (the two whiteflies, Bemisia tabaci [Gennadius, 1889) and Trialeurodes vaporariorum (Westwood, 1856), more recently the moth Tuta absoluta (Meyrick, 1917)]. Among the natural enemies used on the Mediterranean region, one finds a zoophytophagous bug belonging to the Macrolophus genus (Hemiptera: Miridae. In spite of its marketing since the 1990s under the name Macrolophgus caliginosus, its specific identity still remains unclear. This is due to the presence in the origin zone (Mediterranean area) of two morphologically closed species: Macrolophus caliginosus/melanotoma and Macrolophus pygmaeus. The first part of this thesis shed light on the identification problem through a double morphological and molecular approach. It also provided a new identification key of all the Palaearctic species belonging to the genus Macrolophus. The second part focused on some bio-ecological traits of the commercialised species, identified in this work as M. pygmaeus. The influence of trophic/feeding resources on the survival capacity has been studied and a cannibalistic behaviour has been demonstrated. The close relationship between phytophagy and zoophagy was characterized; finally the impact of temperature on its functional response was described. The results showed the importance of all these parameters on M. pygmaeus predation potential and emphasized their contribution on the success or failure in tomato pest management
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Kergunteuil, Alan. "Des odeurs pour protéger les cultures : utilisation de composés volatils pour modifier le comportement de la mouche du chou, Delia radicum et de ses ennemis naturels." Phd thesis, Université Rennes 1, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00983404.

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Abstract:
Les recherches menées au cours des dernières années ont permis de mettre en évidence les nombreuses fonctions écologiques des composés organiques volatils (COVs) émis par les plantes. Cette thèse a eu pour objectif d'utiliser ces connaissances dans un cadre de protection des cultures. Nous avons essayé de poser les bases d'une stratégie de type " Push-Pull " contre la mouche du chou (Delia radicum) en utilisant des sources d'odeurs synthétiques (diffuseurs de COVs) ou des sources d'odeurs naturelles (plantes compagnes). A partir d'observations menées en plein champ nous avons sélectionné plusieurs brassicacées présentant des taux d'infestations contrastés vis-à-vis de la mouche du chou. Des expérimentations de laboratoires combinant des études comportementales et des analyses chromatographiques ont permis (i) d'établir un lien entre l'infestation et l'attractivité de certaines plantes (ii) d'identifier de nouveaux COVs potentiellement impliqués dans les prises de décisions comportementales de D. radicum. En parallèle, des études de terrain ont permis de tester l'efficacité de diffuseurs de COVs synthétiques au sein de parcelles expérimentales, que ce soit (i) pour favoriser le recrutement d'ennemis naturels (ii) attirer (composante " Pull ") ou repousser (composante " Push ") la mouche du chou. Enfin, l'utilisation de plantes pièges concentrant le ravageur semble être intéressante pour modifier la répartition de la mouche du chou à l'échelle de la parcelle en vue de protéger des cultures d'intérêt telles que le brocoli.
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Muneret, Lucile. "Déploiement de l’agriculture biologique à l’échelle du paysage : impacts sur les communautés d’ennemis naturels et les services de régulation des bioagresseurs." Thesis, Bordeaux, 2018. http://www.theses.fr/2018BORD0031/document.

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Abstract:
Identifier les leviers permettant de stimuler la régulation naturelle des bioagresseurs tout en préservant la biodiversité est indispensable pour concevoir des paysages agricoles fonctionnels. A partir d’une méta-analyse et d’une étude empirique reposant sur 42 parcelles viticoles localisées dans Nouvelle Aquitaine (France), nous avons cherché à évaluer l’impact du déploiement de l’agriculture biologique à de large échelles spatiales sur 1) les communautés d’ennemis naturels, 2) les services de régulation naturelle, 3) les taux d’infestation par les bioagresseurs. Dans ce travail, nous avons montré que la proportion d’agriculture biologique est un facteur structurant plus les communautés d’ennemis naturels que la proportion d’habitats semi-naturels dans le paysage. De plus, nous avons montré que les communautés de bioagresseurs rencontrées dans les vignes ne sont pas influencées par la proportion d’agriculture biologique alors qu’elles répondent plutôt négativement à la proportion d’habitats semi-naturels. Par ailleurs, nous avons montré que l’agriculture biologique, à l’échelle globale et indépendamment du type de culture considérée est un système de culture stimulant la régulation naturelle des bioagresseurs. En viticulture, elle permet de réduire l’utilisation des produits phytosanitaires, comparé à l’agriculture conventionnelle. Enfin, nos analyses ont révélé qu’au-delà de la différence de systèmes de culture, un certain nombre de facteurs locaux (e.g., âge des parcelles, fréquence de traitements, productivité) permettent d’expliquer la structure des communautés d’ennemis naturels et des services de régulation naturelle des bioagresseurs. Tout en produisant des connaissances sur les processus permettant d’expliquer les assemblages des communautés d’ennemis naturels et les niveaux de services de régulation rendus, notre travail suggère des pistes pour l’aménagement des paysages viticoles permettant de concilier préservation de la biodiversité et maximisation des régulations naturelles<br>Identifying landscape context and farming systems that enhance natural pest control while maintaining biodiversity is crucial to design functional agricultural landscapes. Using a meta-analysis and an empiric study based on 42 vineyards in Nouvelle Aquitaine (France), we investigated the effect of the deployment of organic farming at a landscape scale on 1) natural enemy communities, 2) natural pest control and 3) pest infestation levels. Here, we showed that the proportion of organic farming structured more natural enemy communities than the proportion of semi-natural habitats. On the opposite, pest and pathogen infestations were never influenced by the proportion of organic farming while they were negatively influenced by the proportion of semi-natural habitats. Furthermore, at a global scale and for every crop types, organic farming, per se, enhances natural pest control. In viticulture, it is less dependent of synthetic agrochemicals than conventional farming. Moreover, local factors such as the treatment frequency index, the field age and the crop productivity had important effects on natural enemy communities and natural pest control. Finally, we yielded knowledge on processes that impact natural enemy assembly and natural pest control in agrosystems. For vineyards-dominated landscapes, our work suggests some tracks for landscape planning that support biodiversity conservation and natural pest control
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Boreau, de Roincé Catherine. "Biodiversité et aménagements fonctionnels en verger de pommiers : Implication des prédateurs généralistes vertébrés et invertébrés dans le contrôle des ravageurs." Phd thesis, AgroParisTech, 2012. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00952799.

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Abstract:
L'intérêt des prédateurs généralistes dans la lutte biologique par conservation est peu étudié en verger de pommiers. Cette thèse visait à déterminer le rôle de prédateurs généralistes invertébrés (principalement carabes et araignées) et vertébrés (mésanges et chauves souris) dans le contrôle de trois ravageurs clés du pommier et de définir les éléments paysagers qui leur sont favorables. Pour cela, nous avons effectué des suivis de populations dans des vergers en agriculture biologique et nous les avons associés à des mesures de prédation des ravageurs par analyse moléculaire des contenus stomacaux et faeces des prédateurs à l'aide d'amorces spécifiques développées à cet effet. Nous montrons que les ravageurs sont consommés dès leur apparition dans les vergers, notamment les pucerons par les araignées de la frondaison, ce qui suggère que ces prédateurs ont un potentiel de régulation important. De plus une complémentarité temporelle semble exister entre araignées et carabes dans le contrôle des tordeuses. L'influence des éléments paysagers intra et extra verger diffère selon les taxa de prédateurs considérés. Ce dernier résultat suggère des compromis dans les aménagements à réaliser pour favoriser leur action et la nécessité d'une meilleure compréhension de leur écologie.
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Han, Peng. "Effets bottom-up et top-down des variations de fertilisation et d'irrigation sur des réseaux tri-trophiques en agroécosystèmes." Thesis, Nice, 2014. http://www.theses.fr/2014NICE4057/document.

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Abstract:
Le système « plante-ravageur-ennemi naturel » fournit un modèle de base idéal pour comprendre comment les communautés d'arthropodes sont structurées et comment les interactions (directes et indirectes) entre les différents acteurs contribuent à façonner la structure des communautés. Dans les agroécosystèmes, les forces "top-down" correspondent aux effets de contrôle que les organismes arthropodes des niveaux trophiques supérieurs (par exemple, les prédateurs) ont sur les espèces des niveaux inférieurs (par exemple, leurs proies). Les communautés d'arthropodes peuvent également être influencées par des forces "bottom-up" induites par des variations dans les régimes de fertilisation ou d'irrigation ou par des variations de certains traits des plantes (résistance aux herbivores ou adaptations aux stress environnementaux). De plus, les forces "bottom-up" peuvent affecter l'impact "top-down" des ennemis naturels sur les herbivores soit directement (par exemple, les effets sur prédateur omnivore) ou médiées par les insectes herbivores intermédiaires. Dans ce contexte, les objectifs de cette thèse ont été de comprendre comment les variations de l'apport des ressources dans les agroecoécosytsèmes (disponibilité en azote et en eau) peuvent influencer les interactions entre les plantes, les herbivores et les ennemis naturels. Cette question a été étudiée aussi bien à l'échelle individuelle (traits d'histoire de vie des insectes) que populationnelle (dynamique des populations). Les études ont été réalisées sur deux agroécosystèmes basés sur les cultures de la tomate et du coton<br>The “Plant-herbivorous insect-natural enemy” system provides an ideal basic model to understand how the plant-inhabiting arthropod communities are structured and how various mechanisms (i.e. direct and indirect interactions) contribute to shape the community structure. In agro-ecosystems, top-down forces encompass the controlling effects that arthropod organisms of the higher trophic level (e.g., predators) have on species at the next lower level (e.g., prey). Arthropod communities may also be influenced by bottom-up forces induced by environmental variations (e.g. fertilization or irrigation regimes) or plant traits (plant insect-resistance or plant-adaptive traits). Furthermore, bottom-up forces may affect top-down forces on herbivores either directly (e.g., effects on omnivorous predator) or mediated by the intermediate herbivorous insects. In this context, the aims of the PhD study were to disentangle how variations in resource inputs (i.e. nitrogen and water availability) affect interactions among plant, herbivores and their natural enemies at both the individual (life-history traits) and population (population dynamic) levels. The studies were carried out on two agrosystems based on tomato and cotton. On tomato, the system 'Solanum lycopersicum L - leafminer Tuta absoluta - omnivorous predator Macrolphis pygmaeus' was used under laboratory and greenhouse conditions in France. We found strong evidence of bottom-up effects of nitrogen and/or water inputs on the herbivore and the omnivorous predator. Feeding ecology of the predator was also strongly influenced by water availability
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Malagnoux, Laure. "Evaluation des impacts environnementaux liés aux pratiques phytosanitaires en vergers de pommiers : approches écotoxicologique et écologique utilisant un auxiliaire des cultures, le forficule." Thesis, Avignon, 2014. http://www.theses.fr/2014AVIG0331/document.

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Abstract:
Dans le contexte européen actuel visant la réduction des risques et de l‘utilisation des pesticides, le développement d‘outils permettant d‘évaluer les impacts environnementaux est un objectif majeur. Cette thèse recouvre approche écotoxicologique et approche écologique sous forme d‘études de l‘échelle tissulaire à l‘échelle des populations. L‘espèce modèle est un prédateur généraliste, le forficule, et le site d‘étude les vergers de pommiers du Sud-est de la France. Les effets des pesticides ont été testés aussi bien en condition de laboratoire qu‘en conditions réelles (en vergers). Les études en laboratoire nous ont permis de caractériser et d‘étudier la localisation tissulaire des B-estérases (AChE et CbE) et d‘évaluer la capacité prédatrice chez Forficula auricularia après exposition, sur le puceron Dysaphis plantaginea. Les CbE sont plus sensibles que l‘AChE chez F. auricularia et les B-estérases des mâles sont toujours plus sensibles aux insecticides organophosphorés que celles des femelles. Ces résultats nous permettent de valider l‘utilisation des B-estérases comme biomarqueurs biochimiques chez F. auricularia. La capacité prédatrice de F. auricularia est diminuée par certains insecticides avec les mâles plus impactés que les femelles. Les mesures d‘activité des B-estérases ont corroboré les résultats validant le comportement de prédation comme un nouveau biomarqueur. A l‘échelle de l‘organisme, la reproduction et le développement des premiers stades larvaires ont été suivis grâce à un élevage mis en place à partir d‘insectes prélevés dans des vergers soumis à différentes pratiques phytosanitaires (agriculture biologique, raisonnée et conventionnelle). Le nombre d‘oeufs par ponte est réduit et la date de ponte retardée pour les forficules provenant des vergers à agriculture « conventionnelle ». Pour évaluer l‘effet des pesticides à l‘échelle des populations, l‘abondance et la diversité du forficule (F. auricularia et F. pubescens) ont été suivies en vergers en prenant également en compte des caractéristiques paysagères. L‘impact des pratiques phytosanitaires est plus important que celui des caractéristiques paysagères. L‘espèce F. pubescens est plus sensible que F. auricularia, avec la même différence de sensibilité entre sexes chez les deux espèces (mâles plus sensibles). Le forficule devient alors une espèce bioindicatrice pertinente de l‘utilisation des pesticides en verger de pommiers. Cette étude soulève le besoin de biomarqueurs complémentaires capables de mettre en évidence les modifications physiologiques et comportementales qui influencent les populations d‘auxiliaires et la régulation naturelle des ravageurs<br>In the European context which aims at reducing risk and uses of pesticides, the development of tools to evaluate environmental impacts is a major focus. This thesis uses ecotoxicological and ecological approaches, from tissue level to population level. The model species is a generalist predator, the earwig, and the study site is apple orchards in Southeastern France. Pesticides expositions were tested both in laboratory or real conditions (in orchards). Lab studies allowed us to characterize and investigate the tissular distribution of B-esterases (AChE and CbE) of Forficula auricularia and to study its predatory behavior on the aphid Dysaphis plantaginea after exposure. CbE were more sensitive than AChE and males B-esterases were more sensitive than females ones to organophosphorus pesticides. The overall results allowed us to validate the use of B-esterases as biochemical biomarkers on F. auricularia. The predation behavior of F. auricularia was impacted by some insecticides with males more sensitive than females. The behavior results were supported by inhibition of biochemical biomarkers (B-esterases) validating predation behavior as a new biomarker. Taking into account the individual level, the reproduction and development of first larval stages were carried out thanks to a breeding set up with earwigs trapped in orchards conducted under different pest management (organic, integrated and conventional management). Eggs number by clutch was reduced and clutch date was delayed for earwigs trapped in orchards conducted under conventional agriculture. To assess the impact of pesticides on population level, the abundance and diversity of earwig (F. auricularia and F. pubescens) were carried out in different orchard management considering small-scale landscape parameters. Pesticide use had clearly much higher effects on earwig abundances and diversity than landscape characteristics. F. pubescens was more sensitive than F. auricularia, with the same sensitivity difference between sex on both species (males more sensitive) making earwigs a relevant bioindicator species of pesticides use in apple orchards. This study enhances the need of complementary biomarkers able to highlight physiological and behavioral modifications which influence natural enemy populations and the natural regulation of pests
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Vaquié, Agathe. "Diversité intra- et interspécifique dans les systèmes céréaliers et ses effets sur la régulation des ravageurs." Thesis, Paris, Institut agronomique, vétérinaire et forestier de France, 2019. http://www.theses.fr/2019IAVF0008/document.

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Abstract:
Augmenter la diversité végétale au sein même du champ permet de réguler les populations de ravageurs dans de nombreux agroécosystèmes. Les mélanges variétaux (diversité intraspécifique) ou les associations de cultures avec une plante compagne (diversité interspécifique) sont considérées comme des pratiques agroécologiques prometteuses pour les systèmes de culture à bas intrants ou l'agriculture biologique. En effet, ces pratiques favorisent de nombreux services écosystémiques tels que la régulation des ravageurs, des maladies ou des adventices, ainsi que la fertilisation azotée. Cependant, le potentiel de régulation des ravageurs du blé par la combinaison de ces deux pratiques de diversification n'a pas encore été étudié.Nous avons combiné ces deux pratiques dans le cadre d'expérimentations menées en plein champ et sur deux saisons de culture, afin d'examiner leurs impacts sur les populations de pucerons et d'ennemis naturels. Nous avons également évalué le potentiel de régulation des ravageurs en mesurant les taux de prédation de proies sentinelles.La combinaison des diversités intra- et interspécifique n'est pas plus performante pour réduire les populations de pucerons que les pratiques prises séparément. L'association de culture blé-trèfle tend à être moins infestée par les pucerons, tandis que le mélange variétal est plus infesté que la variété la moins sensible. Les variations annuelles des conditions climatiques impactent fortement le développement du blé et du trèfle, ainsi que la date d'apparition du pic de puceron. Le rendement du blé, ainsi que le taux d'azote du grain sont réduits par l'association de culture par 7 à 10%, mais pas par le mélange variétal. La présence d'un couvert de trèfle dans les champs de blé, semble avoir favorisé la biodiversité fonctionnelle, particulièrement les ennemis naturels tels que les carabes, mais pas le mélange variétal. Les résultats sont variables selon la famille d'arthropodes concernée et leur position au sein du couvert végétal (au sol ou dans le feuillage). Le couvert de trèfle et le champ ont influencé la composition de la communauté de carabes prédateurs. Les taux de prédation des proies sentinelles n'ont pas été impactés par les pratiques de diversifications.En laboratoire, nous avons évalué comment l'association du blé avec des légumineuses (trèfle ou pois) pouvait modifier le comportement du puceron du blé Sitobion avenae en terme de location de sa plante hôte et du développement de la population. Les pucerons ont résidé moins de temps sur le blé quand il était associé à du trèfle. Les populations de pucerons se sont moins développées dans les associations du blé avec une légumineuse par rapport à du blé seul, mais si l'on prend en compte la biomasse du blé, seulement l'association blé-trèfle a considérablement réduit les densités de pucerons sur le blé. Ainsi l'espèce associée et sa densité sont des paramètres importants qui devraient être pris en compte dans les études sur la diversité interspécifique, car ils pourraient expliquer la grande variation dans les résultats rapportés par les analyses bibliographiques.Nos résultats suggèrent qu'augmenter la diversité cultivée au sein du champ peut aider à réguler les pucerons dans une certaine mesure, mais la combinaison des deux pratiques de diversification ne résultent pas en un trade-off entre la régulation des ravageurs et les performances agronomiques particulièrement attractifs pour les agriculteurs<br>Increasing intrafield plant diversity has been shown to regulate pest populations in various agroecosystems. Polyvarietal mixtures of a crop species (intraspecific diversity) or associations of a crop and a companion plant (interspecific diversity) are both considered as promising agroecological practices for low-input or organic agriculture systems by providing several ecosystem services such as pest, disease and weed control, and nitrogen fertilization. However, combining both diversification practices has not been studied yet in perspective of winter wheat pest control.In organic field experiments over two growing seasons, we combined both practices and examined the direct impact on aphid and natural enemy populations and on wheat production. We also investigated the potential pest regulation service through the assessment of the rate of predation by using sentinel preys.Results show that combining intra- and interspecific diversity did not outperform each practice individually in reducing aphid populations, thus not clearly showing synergetic effects. Taken separately, intercropping tended to have lower aphid infestation, while it the cultivar mixtures was more infested by aphids than the least susceptible cultivar. Yearly variation in climatic conditions strongly impacted wheat and clover development, as well as the appearance of aphid peaks. Wheat yields and grain nitrogen content were reduced in intercropping by 7 to 10%, but not in cultivar mixtures. Functional biodiversity, especially natural enemies such as ground beetles, tended to be positively correlated to the presence of a clover cover in the wheat fields (interspecific diversification), but did not respond to the wheat cultivar mixture (intraspecific diversification). Results varied according to the family of arthropods concerned and their position within the vegetation layer (ground dwelling or foliage dwelling arthropods). The cover of white clover and the field context influenced the community composition of predatory ground dwelling beetles. Rates of predation on sentinel preys were not influenced by any of the diversification practices.Under laboratory conditions, we evaluated how combining wheat and legumes (clover or pea) modifies the behaviour of the cereal aphid Sitobion avenae in terms of host-plant location, and population growth. We observed that aphids’ residence time on wheat was decreased when this host-plant was intercropped with clover. At the population level, wheat-legume intercrops reduced the number of aphids on wheat plants compared to wheat sole crops but if we take into account plant biomass, only intercropping clover with wheat significantly reduced aphid densities on wheat. The species used as non-host plants and their density are important parameters that should be taken into account in studies on intercropping systems and that may explain the large variability in the results observed in the literature.Our findings suggest that intrafield diversification may regulate wheat aphids to some extent, but combining the two diversification practices did not result in an interesting trade-off between pest regulation and wheat production in real farming conditions
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Furtado, Imeuda Peixoto. "Sélection d\'ennemis naturarels pour la lutte biologique contre Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae), en Afrique." Universidade de São Paulo, 2006. http://www.teses.usp.br/teses/disponiveis/11/11146/tde-04092007-100824/.

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Abstract:
L&#39;acarien rouge de la tomate Tetranychus evansi Baker & Pritchard est un ravageur important des Solanaceae dans divers pays. Il a été introduit accidentellement en Afrique sans ses ennemis naturels. Actuellement, on le trouve dans beaucoup de pays africains et il est considéré comme un ravageur clef dans quelques-uns d&#39;entre eux. L&#39;origine supposée de cet acarien est l&#39;Amérique du Sud. Quelques espèces de prédateurs ont été rapportées en association avec T. evansi. Cependant, différents tests réalisés en laboratoire ont pu démontrer l&#39;inefficacité de ces espèces contre ce ravageur. L&#39;objectif de la présente étude est de continuer la recherche d&#39;agents de contrôle efficaces pour lutter contre T. evansi en Afrique. Pour ceci, la présence de ce ravageur et de ses prédateurs a été étudiée au Brésil et en Argentine, principalement sur les solanacées, d&#39;octobre 2002 à décembre 2004. Dans l&#39;ensemble des prospections, ils ont été trouvé environ 28 000 spécimens de T. evansi au Brésil et 35 000 en Argentine. Dans ces deux pays, un total de 15 espèces de prédateurs de la famille des Phytoseiidae ont été trouvés en association avec ce ravageur. Parmi ces derniers, Phytoseiulus longipes Evans a été l&#39;espèce la plus prometteuse comme agent de contrôle de T. evansi. Ce prédateur a été trouvé à Uruguaiana-RS, Brésil et ceci constitue la première observation de cette espèce dans ce pays. L&#39;acceptation de T. evansi comme proie pour cette population de P. longipes a été évaluée au laboratoire par deux essais. Dans le premier test, le taux moyen journalier d&#39;oviposition du prédateur a été evalué sur T. evansi et sur 3 autres sources de nourriture: Tetranychus urticae Koch, pollen de Ricinus communis L. ou pollen de Typha sp. Dans le deuxième test, la préférence du prédateur pour T. evansi ou T. urticae a été étudiée. Le taux moyen journalier d&#39;oviposition de P. longipes a été approximativement identique pour une alimentation vis-à-vis de T. evansi et T. urticae (respectivement 3,4 et 3,5 oeufs). Le prédateur n&#39;a pas pondu lorsqu&#39;il était alimenté avec les deux types de pollen. Les études suivantes concernant les tests de choix au laboratoire ont toujours démontré des proportions significativement plus grandes de P. longipes sur les folioles avec T. evansi que sur les folioles avec T. urticae. Ensuite, la biologie détaillée de P. longipes a été étudiée, en utilisant les nourritures précédemment citées. La survie des différents stades immatures de P. longipes a été approximativement de 94 % et de 80 % quand ils étaient alimentés avec T. evansi et T. urticae, respectivement. Cette survie a été nulle sur les deux types de pollen. La durée des stades immatures du prédateur alimenté avec ces proies ont été identiques (4,7 et 4,8 jours). Les augmentations des effectifs de P. longipes ont été élevées tant sur T. evansi que sur T. urticae. Le prédateur a présenté un taux intrinsèque d&#39;accroissément naturel ( rm) de 0,363 et un taux fini d&#39;accoissement ( &#947; ) de 1, 44 avec T. evansi. Il a présenté un rm de 0, 320 et un &#947; de 1, 38 avec T. urticae. Les résultats obtenus dans ce travail indiquent que P. longipes est un prédateur prometteur pour la lutte biologique contre T. evansi. Ils suggèrent également l&#39;utilité de l&#39;introduction de ce prédateur dans le continent africain pour être utilisé dans un programme de lutte biologique classique.<br>O ácaro vermelho do tomateiro, Tetranychus evansi Baker & Pritchard, é uma praga importante de Solanaceae em diversos países. Introduzido acidentalmente na África, livre de seus inimigos naturais, atualmente encontra-se em muitos países do continente africano, sendo em alguns deles considerado uma praga-chave. Suspeita-se que este ácaro seja originário da América do Sul. Algumas espécies de predadores têm sido reportadas em associação com T. evansi. Testes conduzidos em laboratório por diferentes pesquisadores não têm podido demonstrar a eficiência daquelas como agente de controle daquela praga. O objetivo do presente estudo foi dar continuidade à busca de agentes de controle eficientes, para o controle de T. evansi na África. Para tanto, investigou-se no Brasil e na Argentina a ocorrência desta praga e de seus predadores, principalmente em solanáceas, de outubro de 2002 a dezembro 2004. No total, foram encontrados cerca de 28 000 espécimes de T. evansi no Brasil e 35 000 na Argentina. Naqueles dois países, encontrou-se um total de 15 espécies de predadores da família Phytoseiidae associados a esta praga. Dentre estas, Phytoseiulus longipes Evans foi a que se mostrou mais promissora como agente de controle de T. evansi. Este predador foi encontrado em Uruguaiana-RS, Brasil, sendo esta a primeira constatação desta espécie naquele país. A aceitação de T. evansi como presa para aquela população de P. longipes foi avaliada em laboratório através de dois testes. No primeiro, comparou-se a oviposição média diária do predador quando alimentado com T. evansi e com 3 outras fontes de alimento: Tetranychus urticae Koch, pólen de Ricinus communis L. ou de Typha sp. No segundo, avaliou-se a preferência do predador por T. evansi ou T. urticae. A oviposição média diária de P. longipes foi aproximadamente a mesma (3,4 e 3,5 ovos) quando alimentado com T. evansi ou T. urticae. Não houve oviposição quando o predador foi alimentado com os dois tipos de pólen. Avaliações sucessivas em testes de livre escolha conduzidos no laboratório demonstraram proporções sempre significativamente maiores de P. longipes em folíolos com T. evansi que em folíolos com T. urticae. Posteriormente, a biologia detalhada de P. longipes foi estudada, utilizando-se os alimentos anteriormente citados. A sobrevivência dos diferentes estágios imaturos de P. longipes foi de aproximadamente 94 % e 80 % quando alimentado com T. evansi e T. urticae, respectivamente, e nula quando em presença de ambos os tipos de pólen. A duração da fase imatura do predador alimentado com aquelas presas foi praticamente a mesma (4,7 e 4,8 dias). Phytoseiulus longipes demonstrou alta capacidade de aumento populacional quando alimentado com T. evansi ou com T. urticae. Apresentou uma capacidade inata de aumento em número (rm) de 0,363 e razão finita de aumento em número (&#947;) de 1,44 quando alimentado com T. evansi; apresentou rm de 0,320 e &#947; de 1,38 quando alimentado com T. urticae. Os resultados obtidos neste trabalho indicam que P. longipes é um predador promissor para ser utilizado no controle biológico de T. evansi. Sugerem também a conveniência de introduzi-lo no continente africano para o uso em um programa de controle biológico clássico.
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Hounhouigan, Nounanwa Rock Eric, and Nounanwa Rock Eric Hounhouigan. "Déterminants de l'adoption de la lutte intégrée en horticulture au Québec." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26008.

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Abstract:
En raison des préoccupations grandissantes du public pour la sécurité sanitaire des aliments et la protection de l’environnement, le gouvernement a considérablement accru la promotion de techniques de production durables comme la lutte intégrée. En 2014, un sondage a été administré auprès de 1 973 producteurs de fruits et légumes au Québec. Nous avons construit un modèle de régression logistique ordonné dont la variable dépendante est basée sur le potentiel de rationalisation des pesticides relatif à l’adoption des pratiques de lutte intégrée. Les résultats montrent que la méconnaissance (p&lt; 0,0001), le faible niveau de souci environnemental (p=0.03), la vente directe au consommateur uniquement (p=0,01) et la production de légumes versus fruits sont négativement associés à l’adoption. Aussi, l’information reçue (p&lt; 0,0001) et l’incitation à adopter d’un conseiller indépendant (p=0,001) sont positivement reliées à l’adoption. Les bases et principes qui régissent la lutte intégrée demeurent encore incompris et constituent un frein à l’adoption.<br>En raison des préoccupations grandissantes du public pour la sécurité sanitaire des aliments et la protection de l’environnement, le gouvernement a considérablement accru la promotion de techniques de production durables comme la lutte intégrée. En 2014, un sondage a été administré auprès de 1 973 producteurs de fruits et légumes au Québec. Nous avons construit un modèle de régression logistique ordonné dont la variable dépendante est basée sur le potentiel de rationalisation des pesticides relatif à l’adoption des pratiques de lutte intégrée. Les résultats montrent que la méconnaissance (p&lt; 0,0001), le faible niveau de souci environnemental (p=0.03), la vente directe au consommateur uniquement (p=0,01) et la production de légumes versus fruits sont négativement associés à l’adoption. Aussi, l’information reçue (p&lt; 0,0001) et l’incitation à adopter d’un conseiller indépendant (p=0,001) sont positivement reliées à l’adoption. Les bases et principes qui régissent la lutte intégrée demeurent encore incompris et constituent un frein à l’adoption.<br>Because of growing public concerns about food safety and environmental protection, governments have increased the promotion of efficient and sustainable agriculture production techniques, such as Integrated Pest Management (IPM). In 2014, a mailed questionnaire about IPM adoption was distributed to a sample of 1,973 Quebec fruit and vegetable growers. We constructed an ordered logistic regression model whose dependent variable was the overall potential reduction in pesticide use calculated based on the number of IPM practices adopted. Results show that lack of IPM knowledge (p &lt; 0.0001), low environmental concern (p = 0.03), selling produce directly to consumers (p = 0.01) and vegetable production, as opposed to fruit production, each significantly reduced IPM adoption. However, quantity of information (p &lt; 0.0001) and encouragement by an independent crop advisor (p = 0.001) were positively associated with IPM adoption. Many producers are still poorly informed about IPM practices and principles, which is a barrier to adoption.<br>Because of growing public concerns about food safety and environmental protection, governments have increased the promotion of efficient and sustainable agriculture production techniques, such as Integrated Pest Management (IPM). In 2014, a mailed questionnaire about IPM adoption was distributed to a sample of 1,973 Quebec fruit and vegetable growers. We constructed an ordered logistic regression model whose dependent variable was the overall potential reduction in pesticide use calculated based on the number of IPM practices adopted. Results show that lack of IPM knowledge (p &lt; 0.0001), low environmental concern (p = 0.03), selling produce directly to consumers (p = 0.01) and vegetable production, as opposed to fruit production, each significantly reduced IPM adoption. However, quantity of information (p &lt; 0.0001) and encouragement by an independent crop advisor (p = 0.001) were positively associated with IPM adoption. Many producers are still poorly informed about IPM practices and principles, which is a barrier to adoption.
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Dorla, Emmanuelle. "Étude phytochimique et propriétés bioactives de Peperomia borbonensis (Miq.) Piperaceae." Thesis, La Réunion, 2016. http://www.theses.fr/2016LARE0027.

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Abstract:
Les maladies impliquant des micro-organismes représentent un problème majeur de santé publique en raison du fort taux de mortalité provoqué par l'accroissement et l'émergence de souches résistantes. De même, les régions tropicales du Monde et La Réunion doivent faire face depuis plusieurs années à la pression accrue d'arthropodes ravageurs de cultures et vecteurs de maladies. Pour lutter contre ces arthropodes, les pesticides synthétiques aux conséquences désastreuses sur l'Homme et l'environnement sont principalement utilisés. Depuis quelques années, on observe un phénomène grandissant de résistance aux molécules conventionnelles à la fois chez les micro-organismes et les arthropodes. Face à ce constat, il est primordial de proposer de nouvelles molécules bioactives capables de lutter efficacement contre les ravageurs et les micro-organismes. Dans ce cadre, un criblage préliminaire réalisé sur vingt plantes endémiques et indigènes de La Réunion a permis de mettre en évidence l'activité antibactérienne et acaricide des extraits acétate d'éthyle de plusieurs espèces végétales. En raison de son large spectre d'activités biologiques, Peperomia borbonensis Miq. (Piperaceae), a été sélectionnée pour une investigation chimique et biologique approfondie. La suite de nos travaux a été consacrée à l'isolement et la caractérisation des métabolites secondaires de l'extrait apolaire de cette espèce. Les fractionnements bio-guidés réalisés ont conduit à l'isolement de quatorze molécules dont un amide à la structure nouvelle. Par ailleurs, l'étude de la fraction volatile de cette espèce a montré le potentiel insecticide de l'huile essentielle des feuilles pour lutter contre la mouche du melon B. cucurbitae<br>The emergence of resistant strains in infectious diseases is a major public health issue. Similarly, arthropods which caused important economic damages in tropical and subtropical areas are continuously developing resistance to chemicals. To counteract this situation, it is essential to find new bioactive molecules able to fight pests and micro-organisms. In this context a preliminary screening was performed on twenty endemic plants and native of Reunion. Twenty-six ethyl acetate extracts were tested for their antibacterial and acaricidal activities. Considering its broad spectrum of activity, Peperomia borbonensis Miq. (Piperaceae), was selected for further chemical and biological investigations. Two bio-guided fractionations were performed on its apolar extract and let to the isolation of fourteen molecules. Moreover, the study of the volatile fraction has shown the insecticidal potential of the leaf essential oil of P. borbonensis against the melon fly B. cucurbitae
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Damien, Maxime. "Favoriser les ennemis naturels de ravageurs par la diversité végétale dans un contexte hivernal." Thesis, Rennes 1, 2018. http://www.theses.fr/2018REN1B027/document.

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Abstract:
L’agriculture intensive et les changements climatiques ont profondément modifié la biodiversité et les systèmes d’interactions trophiques dans les paysages agricoles, entrainant la perte de services écosystémiques tel que le contrôle biologique de ravageurs. La lutte biologique par conservation vise à restaurer la complexité des réseaux trophiques au sein des terres cultivées par l’utilisation de la diversité végétale et la mise en place d’aménagements fonctionnels. Ces travaux de thèse ont cherché à identifier, par des expériences en laboratoire et trois hivers de suivi des populations, comment la diversité végétale et son aménagement pendant la saison hivernale pouvait favoriser les ennemis naturels des pucerons dans les grandes cultures céréalières de l’ouest de la France. Les études en laboratoire ont montré que la diversité floristique cultivée dans les couverts hivernaux devait faire l’objet d’une sélection fonctionnelle. En particulier il est nécessaire de combiner plusieurs espèces, alliant attractivité et profitabilité pour les insectes parasitoïdes de pucerons présents dans la mosaïque agricole durant l’hiver. A l’échelle des parcelles cultivées, il a pu être démontré que l’augmentation des températures hivernales favorisait l’activité et la diversité des insectes parasitoïdes, mais aussi des prédateurs généralistes des communautés d’insectes de la faune du sol. La mise en place d’habitats fonctionnels par la sélection d’une diversité végétale adaptée à ces nouvelles conditions et aux besoins spécifiques de ces agents de bio-contrôle permet alors de promouvoir leur activité. En favorisant ces différentes guildes d’arthropodes pendant cette période de l’année, il pourrait être possible d’augmenter la pression précoce qu’ils exercent sur les populations de pucerons et de limiter le développement de ces dernières au printemps. L’ensemble des résultats obtenus suggère que la saison hivernale représente une période favorable au développement de méthodes durables pour la lutte biologique par conservation dans les régions au climat tempéré<br>Intensive agriculture and global warming induced deep modifications in the agricultural landscapes’ biodiversity and trophic system structures, resulting in the loss of several ecosystem services such as pest biological control. Conservation biological control aims to restore trophic systems’ stability within arable lands by using plant diversity and creating functional habitats for natural enemies. This thesis aimed at identifying how vegetal diversity and its management during the winter season could favor aphids’ natural enemies in cereal intensive agricultural landscapes from the west part of France. Laboratory research and a follow-up of populations over three consecutive winters led to significant results, further developed in this thesis. The experimental laboratory research showed that the selection of the flower diversity used in sown winter cover crops should take into account their functional traits. It is indeed necessary to use a variety of species, thus combining attractiveness and profitability for the aphid’s parasites present in the agricultural mosaic during wintertime. At the field scale, studies demonstrated that warmer winter conditions are also favoring the activity of generalist ground dwelling predators, as well as that of parasitoids. The implementation of functional habitats, through the selection of an adequate plant diversity better adapted to the changing climates and to the aphids’ natural enemies’ needs, allowed to support the ground predators’ activities. Consequently, their increased activity should contribute to the early regulation of aphid populations, allowing to decrease the intensity of their population dynamics during the growing seasons. The results obtained in this thesis suggest that winter constitutes a favorable period/season for the development of new methods within the conservation biological control framework/biological control framework for conservation in temperate climatic areas
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Josso, Céline. "Écologie des interactions entre la mouche du chou Delia radicum et ses ennemis naturels : de la parcelle au paysage." Rennes 1, 2012. http://www.theses.fr/2012REN1S157.

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Abstract:
L'objectif de ce travail de thèse était de comprendre les interactions entre la mouche du chou, Delia radicum, et ses principaux ennemis naturels dans un paysage agricole. Pour cela, nous avons mené une étude pluridisciplinaire, en utilisant des approches paysagères et de génétique des populations et en travaillant à plusieurs échelles spatiales, depuis celle de la plante jusqu'à celle du paysage. Nous avons mis en évidence des éléments du paysage et des pratiques de travail du sol limitant la colonisation des parcelles et les dégâts occasionnés par D. Radicum, et favorisant la régulation naturelle par ses prédateurs et parasitoïdes. Nous avons observé une faible structuration des populations du ravageur pouvant être attribuée à des capacités de dispersion ou des densités de population élevées. Les deux espèces de parasitoïdes ont montré une structuration des populations plus marquée, suggérant des déplacements d'individus plus restreints que leur hôte. Chez ces espèces, la distance géographique ne semble pas constituer un facteur essentiel dans la structuration des populations. Enfin, à une échelle plus fine, nous avons déterminé le comportement d'exploitation des ressources par la mouche du chou et son parasitoïde A. Bipustulata. L'agrégation des pontes de D. Radicum résulte d'une exploitation de certaines plantes par plusieurs femelles, chacune déposant un nombre limité d'œufs. Entre chaque évènement de ponte, les femelles semblent réaliser des déplacements très limités. De leur côté, les femelles du parasitoïde généraliste A. Bipustulata utilisent vraisemblablement de manière successive des indices olfactifs liés à la plante hôte puis à son hôte D. Radicum dans la séquence comportementale précédant la ponte<br>The aim of the present thesis was to understand the interactions between D. Radicum and its main natural enemies in an agricultural landscape. To do so, we have carried out a multidisciplinary study, using landscape and population genetics approaches and working at different special scales ranging from the plant to the landscape. We found that some landscape elements and agricultural practices limiting field colonization and crop damages by D. Radicum and favoring its regulation by predators and parasitoids. After developing microsatellite markers, we characterized the genetic structure of their populations. We observed a weak genetic structure in pest populations, possibly due to high dispersal capability or high population densities. The two parasitoid species had a stronger population structure, suggesting a more limited dispersion than their host. The specialist parasitoid Aleochara bilineata shows the strongest genetic structure. In those species, geographic distance does not seem to be essential to population genetic structure. Finally, at a fine scale, we have determined the resource exploitation behavior of D. Radicum and its parasitoid A. Bipustulata. The clustering of D. Radicum eggs results from some plants being exploited by several females laying a few eggs each. Between each laying bout, females seem to move very little. Females of the generalist parasitoid A. Bipustulata apparently use successively odoriferous cues linked to the host plant then cues linked to their host D. Radicum during the behavioral sequence preceding egg-laying
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Sarrafzadeh, Mohammad Hossein. "Contraintes physiologiques et technologiques liées à la production en conditions industrielles d'un microorganisme entomopathogène." Montpellier 2, 2005. http://www.theses.fr/2005MON20124.

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Picard, Karine. "Lutte biologique par Pythium oligandrum en culture hors-sol : dynamique des populations, antagonisme et rôle d’une protéine dans l’induction de résistance chez la tomate." Brest, 2000. http://www.theses.fr/2000BRES0001.

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Abstract:
Depuis quelques années, le monde agricole s’oriente vers une agriculture durable et raisonnée afin de préserver l’environnement et améliorer la sécurité alimentaire en développant le concept de protection biologique intégrée (prophylaxie/lutte biologique). Dans ce contexte, nous avons initié une étude sur le potentiel de P. Oligandrum comme agent de lutte biologique en cultures hors-sol de tomates. Notre objectif était de vérifier la capacité de P. Oligandrum à coloniser le système racinaire des plants de tomates et de préciser les relations établies entre cet antagoniste, la plante et certains micro-organismes de la rhizosphère. Les résultats de cette étude mettent en évidence que P. Oligandrum est capable de coloniser le rhizoplan des plants de tomates et démontre que la dynamique des populations de cet antagoniste varie en fonction du nombre d’apport de l’inoculum et du système de culture mais ne semble pas influencée par la variété de tomates. L’apport de P. Oligandrum diminue la réceptivité des plantes aux agents pathogènes tels que Pythiuni spp. Et F. O. R. L. Et est susceptible de se traduire en fin de saison par une augmentation du rendement. Cet antagoniste semble agir principalement en induisant des réactions de défense chez la plante. Effectivement, il est observé chez des plants traités avec P. Oligandrum et infectés avec F. O. R. L. , la formation de barrières chimiques au niveau des vaisseaux du xylème qui limitent la pénétration de F. O. R. L. Afin de préciser la séquence des événements impliqués dans l’interaction entre P. Oligandrum et certains champignons du sol dont P. Parasitica, une étude ultrastructurale et cytochimique a été réalisée. Elle démontre la vulnérabilité des Oomycètes à P. Oligandrum qui se traduit, chez le champignon hôte, par des altérations cytoplasmiques associées à la mise en place de barrières structurales (phénomène rarement observé chez les champignons). Lors de cette interaction, plusieurs mécanismes d’action sont mis en oeuvre par P oligandrum mycoparasitisme, antibiose et induction de réaction de défense. Ces résultats démontrent la complexité des interactions entre les champignons et mettent en évidence que P. Oligandrum comme chez les plantes est capable d’induire des réactions de défense chez les champignons. Une molécule élicitrice, appelée oligandrine, a été isolée du filtrat de culture de P. Oligandrum. Cette protéine possède des propriétés biochimiques et moléculaires à la fois semblables aux élicitines et aux pythines mais également différentes. L’oligandrine par ses propriétés particulières au niveau biochimique et moléculaire constitue une nouvelle famille d’élicitines. Appliquée au sommet d'une tige décapitée, l’oligandrine est capable de migrer dans la plante par les vaisseaux du xylème et d’induire une protection contre P. Parasitica. La stratégie de défense élaborée par les plants de tomate traités à l’oligandrine en réponse à une infection de P. Parasitica se fait en 2 étapes; (i) activation des réponses ayant un effet direct sur le champignon ; (ii) induction des barrières structurales au niveau du site de pénétration du champignon. Cependant, les réactions de défense induite chez la tomate par l’oligandrine sont différentes que lorsque la plante est inoculée avec P. Oligandrum. Ceci révèle que l’oligandrine n’est pas la seule molécule impliquée dans l’induction de résistance observée chez la tomate lors d’un traitement par P. Oligandrum. Néanmoins, l’innocuité de l’oligandrine sur plante en fait donc un candidat de choix pour comprendre la mise en place de la résistance naturelle des plantes à leurs agresseurs. L’utilisation de cette protéine comme inducteur de réactions de défenses peut être envisagée à l’avenir.
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Leomagno-Piernas, Valérie. "Définition d'un procédé de production de pousses de riz : aspects nutritionnels et sanitaires." Montpellier 2, 1997. http://www.theses.fr/1997MON20044.

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Abstract:
Des pousses alimentaires peuvent etre obtenues a partir de grains de riz complet places en ambiance humide (pulverisations intermittentes d'eau) a une temperature voisine de 30c (gamme optimale). Les besoins en oxygene restreints des grains germants permettent une disposition en couche sur une epaisseur de 25 centimetres, sans aucun systeme de ventilation forcee. La germination (24 a 72 heures) conduit alors a une augmentation significative de la teneur en vitamine b6. Ces conditions entrainent aussi un developpement important des micro-organismes epiphytes ; bien qu'aucune souche pathogene n'ait ete decelee dans les echantillons analyses, des experiences d'inoculation artificielle demontrent que listeria innocua et bacillus cereus pourraient se multiplier jusqu'a la dose infectieuse. La desinfection des grains en prealable a la germination (5 minutes dans une solution chloree a 100 ppm, a 60c) est par consequent recommandee. La germination s'accompagne toutefois d'un phenomene de reprise de croissance, non limite par la pulverisation in-process d'eau chloree (a 100 ppm). Un echaudage (5 minutes a 60c) des pousses a la recolte assure donc une securite supplementaire.
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Arrignon, Florent. "Hover-winter : un modèle multi-agent pour simuler la dynamique hivernale d'un insecte auxiliaire des cultures (Episyrphus balteatus, Diptera: Syrphidea) dans un paysage hétérogène." Phd thesis, Toulouse, INPT, 2006. https://hal.science/tel-04574792.

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Abstract:
Dans le contexte de la lutte biologique par conservation et gestion des habitats, la répartition spatiale des ressources est un facteur clé dans la dynamique des espèces auxiliaires des cultures. Nous avons développé une approche modélisatrice appliquée à une telle espèce : Episyrphus balteatus. Les objectifs de la thèse étaient : i) déterminer quels facteurs influencent sa dynamique de population; ii) montrer comment ces facteurs influent sur sa survie hivernale et iii) proposer des aménagements visant à améliorer la survie. Une première approche empirique a identifié les points clés de la dynamique de population. Le développement du modèle multi-agent HOVER-WINTER a ensuite explicité l’utilisation par les individus, en hiver, des prairies et des lisières sud présentes dans le paysage. L’ étude de scénarios à l’aide du modèle a montré que la configuration du paysage avait un rôle sur la dynamique hivernale. Dans tous les cas, les aménagements proposés améliorent la survie hivernale.
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Minville, Audrey-Kim. "Comparaison de cultures intercalaires pour la répression des adventices et la stabilité des agrégats du sol dans la vigne semi-rustique en implantation au Québec." Master's thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/70315.

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Abstract:
Au Québec, la température hivernale atteint -35 °C et les cépages non-rustiques (Vitis vinifera L.) doivent être protégés du gel par l'installation de géotextiles ou par buttage qui consiste en un travail du sol intensif et bisannuel pour recouvrir et découvrir les vignes. Ces conditions restreignent l'implantation de cultures intercalaires : (1) leur établissement et leur croissance sont limités à la saison de production, (2) le buttage détruit la végétation intercalaire à l'automne et (3) l'installation de géotextiles permet la culture d'espèces pérennes, mais elle est plus coûteuse. Au Québec, l'adoption de cultures intercalaires demeure donc marginale, malgré les bienfaits reconnus de ces cultures, dont le contrôle des adventices et l'atténuation de l'érosion hydrique. Leur impact sur la croissance et la production de la vigne sont également méconnus sous le climat continental du Québec. Une expérience en blocs aléatoires complets a été établie (2018-2020) dont l'objectif était de comparer l'effet du désherbage mécanique à deux mélanges de graminées intercalaires (annuelles vs pérennes) sur le contrôle des adventices et leur diversité, la stabilité des agrégats du sol ainsi que la croissance et la productivité de la vigne durant la période d'implantation. L'expérience incluait aussi un témoin enherbé (adventices). Le désherbage mécanique a mieux contrôlé les adventices, et a diminué la richesse et la diversité de la flore comparativement aux couverts végétaux. La densité des adventices annuelles et vivaces n'a pas diminué sous cultures intercalaires et le recouvrement des adventices au sol surpassait les 50 % en fin de saison. Néanmoins, la biomasse aérienne des adventices est demeurée en-dessous de celle du traitement enherbé durant les deux premières années. En fin de saison, la stabilité des agrégats du sol était plus élevée sous couvert végétal comparativement au désherbage mécanique. Ni le rendement, ni la qualité des raisins n'ont été affectés par la régie de culture dans l'entre-rang.<br>Non-hardy grapevine varieties require winter protection in southern Quebec because temperature can drop to –35 °C and cause irreversible frost damage. Winter protection is provided either by geotextiles or hilling, the latter generating intensive soil disturbance twice a year. These constraints limit the adoption of intercrops because 1) their establishment and growth are concurrent with the crop, 2) hilling destroys intercrops every fall, and 3) the use of geotextiles allows the adoption of perennial intercrops but is more expensive. Although it can control weeds and mitigate soil erosion, intercropping in Quebec vineyards is limited. Moreover, grapevine response to intercropping is poorly documented under Quebec's continental climate. A randomized complete block design experiment was conducted (2018-2020) to compare mechanical weeding to two grass mixture intercrops (annual vs perennial), during vineyard establishment. Variables tested included weed control and diversity, soil aggregate stability, vine growth, and grape yield. A weedy control was also included. Cultivation was more efficient at controlling weeds than both intercrops but decreased plant species richness and diversity in comparison to other treatments. Weed density did not decrease over time and weed cover was relatively high (> 50% at the end of the growing season) under intercrops. Nevertheless, weed shoot biomass was lower under intercrops than in the weedy control during the first two years. Cultivation was also detrimental to soil structure, it showed lower aggregate stability compared to vegetated treatments by the end of the season. None of the interrow management methods had an impact on vine yield fruit quality.
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Mirleau, Pascal. "Rôle de la pyoverdine et de la nitrate réductase dans la compétence rhizosphérique et tellurique de la souche de Pseudomonas fluorescens C7R12." Dijon, 2000. http://www.theses.fr/2000DIJOS034.

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Abstract:
Les Pseudomonas spp. Fluorescents sont impliqués dans la résistance naturelle de certains sols à des maladies d'origine tellurique. Ils sont considérés comme des agents potentiels de lutte biologique. L'efficacité de cette lutte fait défaut pour les plantes cultivées en sol. Le manque de fiabilité de la protection des cultures de plein champ a en particulier été attribué à la mauvaise survie des Pseudomonas spp. Fluorescents dans la rhizosphère des plantes inoculées. Des études visant à identifier les caractères microbiens impliqués dans l'adaptation à la rhizosphère des Pseudomonas spp. Fluorescents ont donc été entreprises. Les études de diversité conduites précédemment au laboratoire suggèrent que l'aptitude à mobiliser le fer ferrique et à dissimiler les oxydes d'azote sont impliquées dans la compétence rhizosphérique des Pseudomonas spp. Fluorescents. L'objectif de ce mémoire concerne la dernière etape de l'approche populationnelle entreprise, à savoir : le développement et l'utilisation des outils nécessaires pour vérifier l'implication de ces caractères dans l'adaptation à la rhizosphère. La souche Pseudomonas fluorescens C7R12 a été choisie comme modèle bactérien en raison de (i) son efficacité en lutte biologique, (ii) sa bonne survie dans la rhizosphère, (iii) sa forte aptitude à mobiliser le fer et (iv) sa capacité a dissimiler les oxydes d'azote. La stratégie adoptée a consisté à (i) définir des méthodes de mutagenèse en fonction des connaissances disponibles sur les deux caractères bactériens à altérer, (ii) a caractériser les fonctions affectées par la mutagenèse et (iii) à évaluer, par des études de compétitivité, l'implication des fonctions altérées dans l'adaptation à la rhizosphère de C7R12. Dans ce mémoire, nous décrivons successivement (i) l'obtention et la caractérisation génétique de mutants de C7R12 affectés dans l'aptitude à mobiliser le fer ferrique et/ou a dissimiler les nitrates (chapitre i), (ii) la caractérisation physiologique des mutants obtenus (chapitre ii) et (iii) la compétitivité comparée des mutants et de la souche sauvage dans le sol nu et la rhizosphère (chapitre iii). Les méthodes de mutagenèse appliquées ont permis l'obtention de mutants affectés dans la synthèse et l'incorporation de pyoverdine et/ou dans la synthèse de nitrate réductase. Les principaux résultats acquis confirment du rôle de la pyoverdine et de la nitrate réductase dans la compétence rhizosphérique mais également tellurique de C7R12. L'avantage compétitif conféré par la nitrate réductase s'exprime principalement en conditions peu aérées. Globalement, ces résultats suggèrent que la compétence saprophyte de C7R12 est en partie associée à son aptitude à utiliser alternativement comme accepteurs finaux d'électrons l'oxygène et les nitrates. Par ailleurs, ce travail a permis de séquencer une partie du gène codant une peptide synthétase impliquée dans la synthèse de pyoverdine.
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Mephane, Eléonore. "Conception de cocktails issus de co-cultures de bactéries et champignons pour de nouveaux bio-fongicides." Electronic Thesis or Diss., Université de Lille (2022-....), 2022. https://pepite-depot.univ-lille.fr/ToutIDP/EDSMRE/2022/2022ULILR074.pdf.

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Abstract:
Le genre Fusarium est à l'origine de pathologies végétales concernant une grande variété de cibles avec des conséquences sur les rendements et la santé des consommateurs. Parmi elles, F. graminearum et F. oxysporum ont le plus d'impact économique et les moyens de lutte durables contre ces pathogènes sont actuellement limités. Le biocontrôle est une solution alternative aux pesticides de synthèse. Cependant, il est difficile d'exploiter pleinement le potentiel existant dans la nature. Un moyen de découvrir de nouvelles molécules d'intérêt est la co-culture. Impliquant deux ou plusieurs populations de cellules, elle recrée des interactions non existantes en monocultures. Ce projet de thèse, a ainsi eu pour but de mettre en présence des bactéries et des champignons possédant des activités connues, et ainsi de découvrir des associations produisant des cocktails de molécules antifongiques afin de lutter contre des phytopathogènes.Le projet a débuté par la sélection rationnelle de microorganismes ayant une activité antifongique rapportée dans la littérature : cinq bactéries (Bacillus subtilis, Pseudomonas syringae, Dietzia sp., Streptomyces coelicolor, Streptomyces sp.) et cinq champignons (Pseudozyma aphidis, Trichoderma harzianum, Aspergillus oryzae, Cladosporium cladosporioides et F. oxysporum) ont été retenus. Par la suite, des conditions de culture (milieu, température) adéquates pour réaliser des co-cultures et permettre la croissance des deux partenaires impliqués ont été définies et trois milieux ont été choisis : deux milieux riches (LB, NB) et un milieu minimum (GMM).Après cette sélection, des essais dans un microbioréacteur (BioLector) ont été réalisés : ces derniers impliquaient les dix microorganismes sélectionnés en monocultures et vingt-cinq co-cultures dans les trois conditions de milieu. Un criblage de l'activité antifongique des surnageants de culture générés a été réalisé contre une souche de F. oxysporum issue de l'environnement et S. cerevisiae. Treize co-cultures sur vingt-cinq ont montré une activité contre au moins l'une des deux cibles. Après ces tests, la sélection de couples d'intérêt a été réduite de vingt-cinq à dix. Ces couples ont été cultivés dans des volumes de 50 mL dans les milieux LB et NB qui ont montré la meilleure activité dans les conditions choisies, et leurs surnageants testés pour leur activité antifongique. Ces tests ont permis d'affiner le choix et de se focaliser sur six couples : P. syringae + A. oryzae, Streptomyces sp. + A. oryzae, P. syringae + F. oxysporum, P. syringae + P. aphidis, Dietzia sp. + T. harzianum, Streptomyces sp. + C. cladosporioides. Ces six couples ont fait l'objet d'une série de cultures et de tests de surnageants sur boîte et en liquide (contre F. oxysporum). Trois couples ont présenté une activité plus prononcée, en particulier contre F. oxysporum et se sont démarqués des monocultures : Streptomyces sp. + A. oryzae, Streptomyces sp. + C. cladosporioides et P. syringae + A. oryzae. La co-culture Streptomyces sp. + C. cladosporioides a présenté une activité synergique propre à inhiber ou ralentir la croissance de F. oxysporum par rapport aux monocultures seules, tandis que P. syringae + A. oryzae et Streptomyces sp. + A. oryzae ont présenté une activité additive contre F. oxysporum.Pour les trois couples retenus, les molécules produites et sécrétées ont été étudiées par protéomique et métabolomique. Quelle que soit la co-culture considérée, celle-ci induit l'activation de gènes restés silencieux en monoculture. On peut ainsi observer l'expression d'une très grande proportion de protéines ou de métabolites secondaires (38 à 50%) exclusivement présentes dans les surnageants de co-cultures. En outre, parmi les molécules sécrétées de novo dans les co-cultures, certaines connues pour leurs activités antimicrobiennes voire antifongiques ont pu être identifiées et ceci pour les trois couples étudiés<br>The genus Fusarium causes plant pathologies affecting a wide variety of targets with consequences on yields and consumer health. Among them, F. graminearum and F. oxysporum have the most important economic impacts and sustainable control methods against these pathogens are currently limited. Biocontrol is an alternative to synthetic pesticides. However, it is difficult to fully exploit the potential that exists in nature. One way to discover new molecules of interest is co-culture. Involving two or more populations of cells, it recreates interactions that do not exist in monocultures. The aim of this thesis project was to bring together bacteria and fungi with known activities, and thus to discover associations producing cocktails of antifungal molecules to fight against phytopathogens.The project started with the rational selection of microorganisms with antifungal activity reported in the literature: five bacteria (Bacillus subtilis, Pseudomonas syringae, Dietzia sp., Streptomyces coelicolor, Streptomyces sp.) and five fungi (Pseudozyma aphidis, Trichoderma harzianum, Aspergillus oryzae, Cladosporium cladosporioides, and F. oxysporum) were chosen. Subsequently, culture conditions (medium, temperature) adequate to perform co-cultures and allow the growth of both partners involved were defined and three media were chosen: two rich media (LB, NB) and one minimal medium (GMM).After this selection, tests in a microbioreactor (BioLector) were carried out: these involved the ten selected microorganisms in monocultures and twenty-five co-cultures in the three media conditions. A screening of the antifungal activity of the generated culture supernatants was performed against an environmental strain of F. oxysporum and S. cerevisiae. Thirteen out of twenty-five co-cultures showed activity against at least one of the two targets. After these tests, the selection of co-cultures of interest was reduced from twenty-five to ten. These co-cultures were grown in 50 mL volumes in LB and NB media that showed the best activity under the chosen conditions, and their supernatants tested for antifungal activity. These tests allowed to refine the choice and to focus on six couples: P. syringae + A. oryzae, Streptomyces sp. + A. oryzae, P. syringae + F. oxysporum, P. syringae + P. aphidis, Dietzia sp. + T. harzianum, Streptomyces sp. + C. cladosporioides. These six couples were subjected to a series of cultures and their supernatants tested on agar plates and in liquid media (against F. oxysporum). Three co-cultures showed a more pronounced activity, especially against F. oxysporum and stood out from the monocultures: Streptomyces sp. + A. oryzae, Streptomyces sp. + C. cladosporioides and P. syringae + A. oryzae. The Streptomyces sp. + C. cladosporioides co-culture showed synergistic activity in inhibiting or slowing the growth of F. oxysporum compared to monocultures alone, while P. syringae + A. oryzae and Streptomyces sp. + A. oryzae showed additive activity against F. oxysporum.For the three selected couples, the molecules produced and secreted were studied by proteomics and metabolomics. Whatever the co-culture considered, it induces the activation of genes that remained silent in monoculture. Thus, we can observe the expression of a very high proportion of proteins or secondary metabolites (38 to 50%) exclusively present in the supernatants of co-cultures. Moreover, among the molecules secreted de novo in the co-cultures, some known for their antimicrobial or even antifungal activities could be identified for the three couples that were studied
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Meiss, Helmut. "Diversifying crop rotations with temporary grasslands : potentials for weed mangement and farmland biodiversity." Phd thesis, Université de Bourgogne, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00575607.

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Abstract:
Crop rotation may be used to prevent the continuous selection of particular weed species adapted to one crop type. This might be useful for weed management, economy in herbicide applications and promoting biodiversity. Common simple crop sequences might be diversified by introducing perennial forage crops. Impacts of such perennial crops on weeds were studied with four approaches : 1) Large-scale weed surveys in 632 fields in western France showed that weed species composition differed most strongly between perennial alfalfa crops and annual crops. Comparisons of fields before, during and after perennial alfalfa suggested that community composition varies in a cyclic way during such crop rotations. Several weed species problematic in annual crops were suppressed during and after perennial crops, but the appearance of other species led to equal or even higher plant diversities. 2) A 3-year field experiment with contrasting crop management options allowed an investigation of the underlying mechanisms for this: The absence of soil tillage reduced weed emergence but increased the survival of established plants. The permanent vegetation cover and frequent hay cuttings reduced weed growth, plant survival and seed production. 3) Greenhouse experiments testing the regrowth ability of individual plants after cutting showed strong differences between species and functional groups. An two-factorial experiment suggested that the negative impacts of cutting and competition on weed growth were mainly additive. 4) Special measurements of weed seed predation in the field experiment showed positive correlations with vegetation cover, indicating that this ecosystem service may be particularly fostered by perennial crops. Consistent preferences of seed predators for certain weed species indicates that seed predation may be another cause of the observed weed community shifts.
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Kazic, Dusan. "Plantes animées. De la production aux relations avec les plantes." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019SACLA027.

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Abstract:
Cette thèse porte sur des rapports animés entre les paysan.ne.s et leurs plantes dans les champs français. Pour certains, les plantes sont des êtres sensibles et intelligentes, pour d’autres, elles sont des êtres de travail, des êtres d’accompagnement, des êtres de jeu, des êtres de souffrance. Certain.e.s paysan.ne.s parlent à leurs plantes, d’autres tissent des relations d’amour, et se laissent instruire par leurs plantes sur les manières de les cultiver dans les champs. En décrivant ces rapports, la thèse montre que grâce aux relations sensibles que tissent ces paysan.ne.s avec leurs plantes, ils/elles les animent en laissant de côté les épistémologies naturalistes. En prenant ces propos au sérieux, littéralement, la thèse défend l’hypothèse selon laquelle, pour éviter que le monde agricole ne se transforme en véritable ruine, il ne faut plus chercher à « produire autrement », mais il faut rompre avec le paradigme de production pour ancrer les paysan.ne.s et leurs plantes dans des rapports co-évolutifs. En plongeant dans l’histoire de la modernité, c’est-à-dire en revisitant le conflit qui opposait le monde paysan d’un côté et le monde moderne de l’autre, avec l’arrivée des physiocrates parmi les instances intellectuelles et politiques françaises, cette thèse montre que le concept de production relève d’une approche universaliste et naturalisée qui s’est imposée sans aucun fondement empirique dans le monde agricole et dans le monde moderne plus largement<br>This thesis deals with animated relationships between peasants and their plants in French fields. For some, plants are sentient and intelligent beings, for others they are working beings, accompanying beings, game beings, suffering beings. Some peasants speak to their plants, others weave loving relationships, and let their plants teach them how to cultivate them in the fields. In describing these relationships, the thesis shows that, thanks to the sensitive relations that these peasants weave with their plants, they animate them by leaving naturalist epistemologies aside. By taking these words seriously, literally, the thesis defends the hypothesis that, in order to prevent the agricultural world from becoming ruins, we must no longer seek to "produce differently", but we must break with the paradigm of production to anchor peasants and their plants in co-evolutionary relationships. By plunging into the history of modernity, that is to say by revisiting the conflict between the peasant world on one side and the modern world on the other, with the arrival of the physiocrats among the French intellectual and policy-making bodies, this thesis shows that the concept of production is based on a universalist and naturalized approach that has been imposed without any empirical basis in the agricultural world and in the modern world more widely
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Prawirosukarto, Sudharto. "Etude d'un virus pathogène de "Setothosea asigna" Van Eecke (Lepidoptera : limacodidae), ravageur du palmier à huile en Indonésie : caractérisation, diagnostic et épidémiologie en plantation." Montpellier 2, 1996. http://www.theses.fr/1996MON20261.

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Abstract:
Un virus fortement pathogene pour les larves de setothosea asigna van eecke qui causent d'importants degats aux palmiers a huile en indonesie a ete isole et caracterise. Avec une capside de symetrie cubique de 35 nm de diametre, un seul polypeptide capsidaire de 55 kda et un genome constitue d'une molecule d'arn monocatenaire lineaire de 6,2 kb, ce virus presente les proprietes essentielles des virus -nudaurelia de la famille des tetraviridae. Par transcription reverse de l'arn viral des fragments d'adnc ont ete obtenus et clones. L'un d'eux de 945 paires de bases a ete sequence. Deux methodes de diagnostic, l'un immunologique: test elisa, l'autre reposant sur l'hybridation du genome viral avec un adnc clone: sonde nucleique non radioactive, ont ete mis au point. Le pouvoir pathogene du virus etudie en laboratoire sur des larves de differents stades s'est avere tres fort quelque soit le stade, les jeunes larves etant les plus sensibles. Les prelevements effectues en plantation et lors d'epizooties naturelles ont montre une incidence importante de la virose sur la dynamique des populations naturelles du ravageur. Le traitement d'une parcelle a base de broyats de chenilles infectees et le suivi pendant deux generations des larves ont montre l'efficacite du virus pour juguler une pullulation du ravageur et les potentialites du virus comme biopesticide
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Rusch, Adrien. "Analyse des déterminants des attaques de Meligethes aeneus (Coleoptera, Nitidulidae) et de sa régulation biologique à l'échelle d'un paysage agricole : contribution à l'amélioration de la protection intégrée du colza." Phd thesis, AgroParisTech, 2010. https://pastel.hal.science/docs/00/58/98/02/PDF/These_ARusch.pdf.

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Abstract:
L'étude de l'influence des pratiques agricoles et du contexte paysager sur les populations de bioagresseurs et de leurs ennemis naturels est une étape essentielle à la conception de systèmes de culture minimisant l'usage des produits phytosanitaires et optimisant les régulations biologiques. L'objectif principal de ce travail était d'analyser et de comprendre l'influence des pratiques agricoles et des habitats semi-naturels sur les attaques de méligèthes (Meligethes aeneus Fabr. ), l'un des principaux insectes ravageurs du colza en Europe, et sa régulation naturelle via ses parasitoïdes univoltins Tersilochus heterocerus, Phradis morionellus et P. Interstitialis. Dans notre approche exploratoire multi-échelle nous avons d'abord mis en évidence que la densité et les dégâts de méligèthes étaient positivement corrélés à la complexité du paysage, calculée dans un rayon allant de 1500 m à 2000 m autour de la parcelle. Nous avons également mis en évidence l'importance de l'état de nutrition azotée de la culture sur les dégâts de méligèthes à travers les capacités de compensation de la plante. L'effet positif important de la complexité du paysage observé sur notre site d'étude provient du rôle majeur joué par les habitats semi-naturels, et particulièrement des forêts, sur l'hivernation des méligèthes. A différentes échelles spatiales, la complexité du paysage, la proximité aux colzas de l'année précédente et la proportion de colza de l'année précédente avec un travail du sol simplifié ont influencé positivement le taux de parasitisme des larves de méligèthes. Ensuite, en comparant les teneurs en sucres des parasitoïdes à l'émergence et au champ, nous avons pu montrer que les parasitoïdes adultes émergeaient avec des teneurs en sucres relativement faibles et que ces dernières augmentaient avec le temps passé au champ depuis le début de la floraison du colza. Enfin, nous avons montré que certains indicateurs paysagers comme la proportion de forêt ou la proportion d'habitats semi-naturels permettaient d'identifier des situations paysagères à risque de fortes infestations ou favorables à une régulation biologique efficace. Notre étude met en évidence l'importance de considérer conjointement les pratiques agricoles et la structure du paysage pour comprendre les dynamiques de populations et les interactions trophiques dans les agroécosystèmes. L'ensemble des résultats et des connaissances produites dans ce travail permet de formuler de nouvelles pistes de gestion des populations de méligèthes utilisant la régulation naturelle<br>Studying the effects of crop management and landscape context on pest populations and natural pest control at multiple spatial scales is a pre-requisite for developing innovative crop protection strategies and increasing the sustainability of agroecosystems. The aim of this study was to explore the relative importance of oilseed rape crop management and landscape context on pollen beetle (Meligethes aeneus Fabr. ) density, damage and parasitism rates by its main parasitoids Tersilochus heterocerus, Phradis morionellus and P. Interstitialis. In our multi-scale analysis we found that pest abundance and crop damage were mainly determined by and positively correlated with landscape complexity at scales ranging from 1500 m to 2000 m. The positive effect of landscape complexity on pollen beetle density and crop damage in our study region was due to the role of seminatural habitats for overwintering. Pollen beetle damage was also affected by local management as it was negatively correlated with the nitrogen nutrition status of the plants. We found that various variables at different spatial scales influenced parasitism rates. Parasitism rates were positively influenced by landscape complexity, proximity to previous year oilseed rape fields and the proportion of these latter with reduced tillage. By comparing the nutritional state of parasitoids at the time of emergence and foraging in the field, we found that parasitoids emerge with relatively small amounts of sugars and that the total amount of sugars at the end of flowering was always significantly higher than the total amount of sugars at the beginning of flowering. Finally, by studying the accuracy of simple landscape indicators to predict pollen beetle infestations and successful biological control, we found that some indicators were informative and had good discriminatory ability. Using indicators values, optimal thresholds and posterior probabilities, we were able to compute maps of areas at risk for pest infestation and/or allowing successful biological control of pollen beetle. Our study demonstrated the importance of taking into account both farming practices and semi-natural habitats scattered in the landscape to understand population dynamics and biological control in agroecosystems. Our findings open new perspectives in terms of integrated pest management strategies maximizing biological control at the landscape scale
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Rusch, Adrien. "Analyse des déterminants des attaques de Meligethes aeneus (Coleoptera, Nitidulidae) et de sa régulation biologique à l'échelle d'un paysage agricole : contribution à l'amélioration de la protection intégrée du colza." Phd thesis, AgroParisTech, 2010. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00589802.

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L'étude de l'influence des pratiques agricoles et du contexte paysager sur les populations de bioagresseurs et de leurs ennemis naturels est une étape essentielle à la conception de systèmes de culture minimisant l'usage des produits phytosanitaires et optimisant les régulations biologiques. L'objectif principal de ce travail était d'analyser et de comprendre l'influence des pratiques agricoles et des habitats semi-naturels sur les attaques de méligèthes (Meligethes aeneus Fabr.), l'un des principaux insectes ravageurs du colza en Europe, et sa régulation naturelle via ses parasitoïdes univoltins Tersilochus heterocerus, Phradis morionellus et P. interstitialis. Dans notre approche exploratoire multi-échelle nous avons d'abord mis en évidence que la densité et les dégâts de méligèthes étaient positivement corrélés à la complexité du paysage, calculée dans un rayon allant de 1500 m à 2000 m autour de la parcelle. Nous avons également mis en évidence l'importance de l'état de nutrition azotée de la culture sur les dégâts de méligèthes à travers les capacités de compensation de la plante. L'effet positif important de la complexité du paysage observé sur notre site d'étude provient du rôle majeur joué par les habitats semi-naturels, et particulièrement des forêts, sur l'hivernation des méligèthes. A différentes échelles spatiales, la complexité du paysage, la proximité aux colzas de l'année précédente et la proportion de colza de l'année précédente avec un travail du sol simplifié ont influencé positivement le taux de parasitisme des larves de méligèthes. Ensuite, en comparant les teneurs en sucres des parasitoïdes à l'émergence et au champ, nous avons pu montrer que les parasitoïdes adultes émergeaient avec des teneurs en sucres relativement faibles et que ces dernières augmentaient avec le temps passé au champ depuis le début de la floraison du colza. Enfin, nous avons montré que certains indicateurs paysagers comme la proportion de forêt ou la proportion d'habitats semi-naturels permettaient d'identifier des situations paysagères à risque de fortes infestations ou favorables à une régulation biologique efficace. Notre étude met en évidence l'importance de considérer conjointement les pratiques agricoles et la structure du paysage pour comprendre les dynamiques de populations et les interactions trophiques dans les agroécosystèmes. L'ensemble des résultats et des connaissances produites dans ce travail permet de formuler de nouvelles pistes de gestion des populations de méligèthes utilisant la régulation naturelle.
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Rouabah, Abdelhak. "Effets de la gestion des bandes enherbées sur le contrôle biologique des ravageurs de cultures : rôle de la diversité fonctionnelle des carabes (Coleoptera - Carabidae) et de la structure végétale." Thesis, Université de Lorraine, 2015. http://www.theses.fr/2015LORR0048/document.

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Abstract:
Dans les paysages agricoles, les habitats non cultivés constituent une source importante pour l’entomofaune auxiliaire de cultures. Il est donc important d’adapter la gestion de ces habitats afin de bénéficier au mieux des services fournis par la diversité de ces auxiliaires. L’objectif de cette thèse est de comprendre comment la gestion des bandes enherbées permet d’améliorer le service du contrôle biologique délivré par les carabes. Nous avons d’abord examiné par quels mécanismes, les changements dans la diversité fonctionnelle des carabes augmentent leur capacité de suppression de ravageurs. Ainsi, a été comparée au laboratoire, l’efficience de prédation sur une population de proie, par des assemblages de carabes qui ont différents niveaux de diversité de taille. Par ailleurs, à travers une expérimentation mise en place dans des champs de céréales, nous avons étudié les effets de cinq modes de gestion des bandes enherbées sur la structure végétale de ces habitats non cultivés, et par conséquent sur la structure des communautés carabiques. Nos résultats révèlent l’absence d’une partition de ressources entre les carabes de tailles différentes. La quantité et de la taille de proies consommées augmente avec la taille des carabes. La suppression des proies a ainsi été fortement augmentée par la présence des carabes de grande taille dans les assemblages. Ces résultats suggèrent que l’augmentation de la diversité de taille chez les carabes augmente leur efficience de prédation par l’effet d’échantillonnage. Nous avons mis en évidence une redondance fonctionnelle entre les espèces de carabes. Cette redondance permet de réduire la variabilité spatio-temporelle dans la fonction de régulation exercée sur les populations de ravageurs. L’importance des bandes enherbées en tant qu’habitat pour plusieurs espèces de carabes importantes pour le contrôle biologique, a été mise en évidence. La gestion influence les carabes seulement dans les bandes enherbées. La diversité fonctionnelle des plantes au sein de ces bandes enherbées a été identifiée comme le principal facteur favorisant la richesse spécifique des carabes. L’activité-densité des carabes a, par ailleurs, été favorisée par une végétation peu hétérogène et un pourcentage élevé de sol nu. Les carabes de tailles différentes divergent dans leur réponse à la structure de la végétation. Cette divergence semble être liée aussi à la variation d'autres traits d'histoire de vie des espèces (i.e. régime alimentaire). Les connaissances et les résultats produits dans le cadre de ce travail de thèse, serviront au développement d’indicateurs mesurant l’impact des pratiques de gestion sur le contrôle biologique exercé par les carabes<br>In the agricultural landscapes, non cropped habitats are an important source for the beneficial entomofauna of crops. It is therefore important to adapt the management of these habitats to best benefit of the services provided by the diversity of this beneficial entomfauna. The objective of this thesis is to understand how field margin management could improve the biological control service delivered by ground beetles. First, we examined by which mechanisms, changes in the functional diversity of ground beetles increases their capacity of pest suppression. Thus, efficiency of predation by ground beetle assemblages, which have different levels of body size diversity, on a prey population was compared in the laboratory. Also, through an experiment installed in cereal fields, we studied the effects of five field margin management on the vegetation structure of these non cropped habitats, and therefore on the structure of ground beetle communities. Our results revealed the absence of resource partitioning among the different-sized ground beetles. The amount and size of prey consumed increased with increasing ground beetle body size. Prey suppression was, therefore, strongly strengthened by the presence of large ground beetles in the assemblages. These results suggest that increasing ground beetles size diversity increases their predation efficiency through the sampling effect. We have showed a functional redundancy among species of ground beetles. This redundancy could reduce the spatial and temporal variability in pest suppression by ground beetles. Our study showed the importance of the field margins as a habitat for many ground beetle species that are important for biological control. Management influenced ground beetles only in the field margin. Plants functional diversity within these field margins has been identified as the main factor promoting the species richness of ground beetles. However, activity-density of ground beetles was promoted by less heterogeneous vegetation and high percentage of bare ground. The responses to the vegetation structure vary between ground beetles with different body sizes. This diversity in ground beetles responses to the vegetation structure appears to be also related to variation in other life history traits (i.e. diet). The knowledge and results produced as part of this thesis will be used in the development of indicators measuring the impact of management on biological control delivered by ground beetles
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