Academic literature on the topic 'Épidémiologie d’intervention'

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Journal articles on the topic "Épidémiologie d’intervention"

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Delpierre, Cyrille, Raphaële Castagné, Thierry Lang, and Michelle Kelly-Irving. "Environnement social, incorporation biologique et inégalités sociales de santé." médecine/sciences 34, no. 8-9 (August 2018): 740–44. http://dx.doi.org/10.1051/medsci/20183408023.

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Abstract:
Le gradient social de santé renvoie au fait que plus on s’élève dans la hiérarchie sociale meilleur est l’état de santé. La compréhension de la construction du gradient constitue un enjeu majeur en épidémiologie sociale. Une approche originale consiste à s’intéresser à la façon dont les différentes expositions associées à l’environnement social (chimiques, physiques, comportementales, psychosociales, etc.) s’expriment in fine biologiquement pour influencer positivement ou négativement la santé, renvoyant au concept d’incorporation biologique. Des données issues des modèles animaux et de l’épidémiologie dite « life course » permettent d’éclairer sous un jour nouveau les mécanismes biologiques potentiellement en jeu. Les découvertes récentes issues du champ de l’épigénétique permettent de mieux comprendre comment l’environnement social, notamment précoce, peut influencer le fonctionnement biologique sur le long terme, voire sur plusieurs générations. Les travaux sur l’incorporation biologique du social en lien avec l’épigénétique sont encore très largement à consolider, mais ils pourraient constituer un changement de perspective en biologie humaine notamment en reconsidérant l’influence de l’environnement sur le fonctionnement biologique, ce qui n’est pas sans conséquence en termes d’interventions en santé publique.
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Lagacé-Wiens, Philippe, Claire Sevenhuysen, Liza Lee, Andrea Nwosu, and Tiffany Smith. "Incidence des interventions non pharmaceutiques sur la détection de l’influenza A et B en laboratoire au Canada." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 3 (March 31, 2021): 155–61. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i03a04f.

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Abstract:
Contexte : Le premier cas de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) a été signalé au Canada le 25 janvier 2020. En réponse à l’imminence d’une éclosion, de nombreuses autorités sanitaires provinciales et territoriales ont mis en œuvre des mesures de santé publique non pharmaceutiques pour freiner la propagation de la maladie. Les mesures de « distanciation sociale » comprenaient des restrictions sur les rassemblements de groupes, l’annulation d’événements et de rassemblements sportifs, culturels et religieux, la recommandation du maintien d’une distance physique entre les personnes, la fermeture d’écoles et de garderies, la réduction des services non essentiels et la fermeture d’entreprises. Objectifs : Évaluer l’incidence des interventions non pharmaceutiques combinées imposées en mars 2020 sur l’épidémiologie de l’influenza (grippe) A et B en comparant les données de surveillance des laboratoires nationaux de la période d’intervention avec les données historiques de contrôle de la saison grippale sur 9 ans. Méthodes : Nous avons obtenu des données épidémiologiques sur les détections de l’influenza A et B en laboratoire et les volumes de tests du système national canadien de surveillance de l’influenza pour la période épidémiologique allant du 29 décembre 2019 (semaine épidémiologique 1) au 2 mai 2020 (semaine épidémiologique 18). Des mesures de distanciation sociale liées à la COVID-19 ont été mises en œuvre au Canada à partir de la semaine épidémiologique 10 de cette période. Nous avons comparé les seuils de détection de l’influenza A et B en laboratoire et les volumes de tests et les tendances en matière de détection pendant la saison grippale 2019–2020 avec ceux des neuf saisons grippales précédentes afin de mettre en évidence les changements de tendances épidémiologiques. Résultats : Les détections de l’influenza la semaine précédant la mise en œuvre des mesures de distanciation sociale ne diffèrent pas statistiquement des neuf saisons précédentes; toutefois, une forte baisse de la positivité s’est produite entre les semaines épidémiologiques 10 et 14 (du 8 mars au 4 avril 2020). Le pourcentage de cas positif à la semaine 14 (p ≤ 0,001) et le taux de diminution entre les semaines 10 et 14 (p = 0,003) étaient tous deux significativement différents des données historiques moyennes. Conclusion : Les données montrent une diminution spectaculaire des détections de l’influenza A et B en laboratoire, parallèlement aux mesures de distanciation sociale et aux interventions non pharmaceutiques au Canada. L’incidence de ces mesures sur la transmission de l’influenza peut être généralisable à d’autres maladies virales respiratoires pendant la période d’étude, y compris la COVID-19.
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Perreault, Michel, Djemaâ-Samia Mechakra-Tahiri, Marie-Josée Fleury, El Hadj Touré, Emma Mitchell, and Jean Caron. "Facteurs associés à l’exposition élevée aux médicaments psychotropes identifiés lors d’une étude épidémiologique montréalaise." Dossier : Mosaïques 38, no. 1 (October 30, 2013): 259–78. http://dx.doi.org/10.7202/1019196ar.

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Abstract:
L’article examine les associations entre l’exposition élevée aux médicaments psychotropes, la présence d’un diagnostic de trouble mental et les caractéristiques sociodémographiques chez la population adulte. Un questionnaire a été passé par entrevue auprès de 2433 personnes de 15 ans et plus dans le cadre de l’enquête ZEPSOM (zone épidémiologique du sud-ouest de Montréal). Les déterminants de leur consommation de psychotropes ont fait l’objet d’analyses bivariées et de régression logistique multivariée. Une association bivariée significative a été observée entre la consommation de somnifères, d’anxiolytiques et d’antidépresseurs et être plus âgé, être une femme, vivre seul, avoir un niveau d’instruction et de revenu faible, de ne pas avoir occupé un emploi au cours des 12 mois précédant l’enquête et présenter un trouble mental. Une exposition élevée aux différents médicaments psychotropes (trois ou plus) a été rapportée chez 3,1 % des répondants. Toutes choses étant égales, elle augmente avec l’âge, le fait de vivre seul, ne pas avoir occupé d’emploi au cours de la dernière année et de présenter un trouble mental. Les résultats suggèrent la nécessité de considérer l’isolement social et la prévalence des troubles mentaux pour contextualiser l’exposition élevée aux médicaments psychotropes puisque la polypharmacie peut présenter des risques importants si elle ne s’inscrit pas dans la logique d’un protocole d’intervention clinique cohérent.
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"XIXes Actualités du Pharo : Symposium « Résistance aux anti-infectieux » organisé par le Groupe d’intervention en santé publique et épidémiologie (GISPE) en partenariat avec la Société de médecine des voyages (SMV) et l’Institut de médecine et d’épidémiologie appliquée (IMEA)." Bulletin de la Société de pathologie exotique 107, no. 1 (December 20, 2013): 64–66. http://dx.doi.org/10.1007/s13149-014-0328-3.

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Roy, Bernard. "Santé." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.079.

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Abstract:
De nombreux anthropologues appréhendent la santé comme une « construction sociale » qui varie considérablement d’une société à une autre, d’une époque à une autre. Dans toutes les sociétés, les anthropologues constatent que le concept santé s’exprime en des termes et des mots variés généralement associés à la notion de « bien-être ». Chez les Tzeltal et Tzotzil Maya des hautes terres du Chiapas, le concept de santé s’exprime par les mots « vital warmth » (chaleur vitale) (Groark 2005). Chez les vieux Innus (Montagnais), la santé réfère à la qualité de vie tandis que chez les Inuits, la santé serait conçue comme un ordre harmonieux dans lequel la personne est intégrée dans un environnement social, temporel, spirituel et non empirique (Therrien et Laugrand 2001). Et si cette notion de qualité de vie/santé varie d’un peuple à l’autre, elle fluctue également d’une classe ou d’un groupe social à un autre. Les anthropologues du début du XXe siècle ne parlaient pas d’ethnomédecine et encore moins d’anthropologie médicale, d’anthropologie de la santé ou d’anthropologie de la maladie, mais plutôt, de médecine primitive, archaïque ou traditionnelle. Presque toutes les monographies ethnologiques anciennes proposent des sections portant sur la maladie, les médecines indigènes ou les pratiques et croyances médicales. Dès le XVIIIe siècle, le missionnaire jésuite, Joseph-François Lafitau, qualifié par William N. Fenton et Elizabeth L. Moore de « premier éclat de lumière sur la route de l'anthropologie scientifique » (Fenton et Moore 1969) documenta, dans son œuvre Mœurs des sauvages américains comparées aux mœurs des premiers temps (Lafitau 1983), les pratiques médicales, les maladies ainsi que la santé des Iroquois. Au début du XXe siècle, les anthropologues décrivirent et analysèrent les us et coutumes de peuples vivants à l’écart de la modernité (Massé 1995). Les nombreuses monographies publiées à la suite de longs terrains contribuèrent aux développements de connaissances concernant les représentations sociales de la santé et de la maladie chez les praticiens et les peuples éloignés et isolés d’une modernité qui s’imposait tout autour de la planète. Constatant l’accroissement du nombre d’anthropologues travaillant au sein des structures médicales et sur des questions de santé et de maladie, Normand Scotch crée, au début des années 1960, le terme Medical anthropology (Scotch 1963 cité par Walter 1981). Peu à peu, cette nouvelle discipline se distingue à la fois aux niveaux théoriques et de l’application. Cherchant à comprendre les phénomènes de la santé/maladie dans différents contextes culturels, l’anthropologie médicale prend comme objet d’analyse les façons dont les acteurs sociaux reconnaissent et définissent leur santé, nomment les maladies, traitent leurs malades (Massé 1995). Les premiers travaux des anthropologues médicaux répondent surtout aux demandes d’une médecine qui cherche à comprendre comment la culture intervient dans l’avènement des maladies et comment contrer les résistances des populations aux entreprises déployées pour améliorer la santé depuis une perspective biomédicale. « Quand on fait appel à l’anthropologue dans une étude épidémiologique, c’est souvent afin qu’il trouve les bonnes formulations pour cerner les “facteurs culturels” qui influencent les pratiques sanitaires... » (Fassin 2001 :183). Rapidement, ce nouveau champ de l’anthropologie fait l’objet de critiques. Qualifiée de discipline bioculturelle, l’anthropologie médicale est critiquée en raison de ses thèmes de recherche dictés par la santé publique et de la domination des professionnels de la santé dans le dialogue avec les anthropologues impliqués dans les milieux de la santé. Byron Good (1994) estimait pour sa part que les travaux des anthropologues médicaux, dans les années 1950-1960, contribuèrent au développement d’une critique de la naïveté culturelle soutenant le regard porté par les instances de santé publique internationales sur le complexe santé/maladie. Toutefois, quelques chercheurs s’intéressent spécifiquement à la notion de santé en dehors de l’axe santé/maladie et proposent celui de santé/vie. Au début des années 1970, Alexander Alland formule une théorie anthropologique médico-écologique qui se base sur le principe de l’adaptation culturelle à l’environnement. Cette théorie postule que la santé résulte de l’adaptation biologique et culturelle d’un groupe d’individus dans un environnement donné. Un peu moins de dix années plus tard, McElroy et Towsend (1979) élaborent un cadre écologique qui affine cette première proposition. Pour McElroy et Towsend, la santé des individus et des collectivités résulte de l’équilibre établi entre les éléments biotiques, abiotiques et culturels d’un écosystème. Cette conception de la santé proposée par le courant écologique fera l’objet de nombreuses critiques du fait, entre autres, du nivèlement de la culture sur la nature qu’elle soutenait. Parallèlement aux courants écologique et bioculturaliste se développe une tendance phénoménologique (Laplante 2004). Délaissant les catégories objectives de la médecine, Kleinman (1980) et Good (1994) proposent d’appréhender la santé et la maladie sur les bases de l’expérience humaine. Tandis que Kleinman s’intéresse à la manière dont les gens expriment leur notion de la maladie à partir de leur expérience (Illness) qu’il articule autour de modèles explicatifs indissociables des systèmes culturels, Good s’intéresse aux réseaux sémantiques qui permettent à la personne de réorganiser en permanence son expérience en fonction du contexte et des circonstances. La maladie, et par extension la santé, ne correspondent plus à une chose en soi ou à sa représentation. L’une et l’autre résulteraient, plutôt, d’interactions qui permettent de synthétiser des significations multiples. D’autres anthropologues estimeront que la santé et la maladie sont des résultantes de l’histoire propre aux communautés humaines. Ces anthropologues proposent un recadrage radical de toute démarche visant à identifier les problèmes de santé et leurs dynamiques d’émergence dans une communauté humaine. Cette anthropologie considère d’emblée la communauté comme unité centrale d’analyse et s’intéresse « à la manière dont un contexte social et culturel informe les perceptions, valeurs et comportements des personnes » dans les dynamiques productrices de santé et de maladies. (Corin, Bibeau, Martin,et Laplante 1990 : 43). Dans ces contextes il reviendra aux anthropologues de participer à l’élaboration de politiques de santé adaptées aux diversités culturelles. Dès les années 1960, des anthropologues développent une critique de la médecine et de la santé internationale. Ils proposent de porter davantage attention aux conditions macrosociétales de production de la santé et de la maladie. En 1983, lors de la réunion annuelle de l’American Anthroplogical Association des anthropologues soulèvent l’importance pour l’anthropologie médicale de porter son attention sur les conditions sociales, économiques et politiques de production de la santé et de la maladie (Baer, Singer et Johnsen 1986). Pour ces anthropologues, la santé constitue un produit social et politique qui révèle l’incorporation de l’ordre social et des inégalités dans les corps (Fainzang 2005). Leurs recherches s’orienteront, du coup, autour de l’idée selon laquelle les inégalités sociales, les rouages du pouvoir et de l’exploitation, constituent les tout premiers facteurs de détermination de la santé et, par conséquent, de la maladie. La santé n’est plus ici considérée comme une réalité dérivée de définitions biologiques, médicales. Elle apparait comme une notion et un espace définis par les rapports entre le corps physique et le corps social. La santé ne correspond plus à la reconnaissance d’une norme physiologique, moyenne ou idéale. Elle est une construction culturelle qui ne peut être appréhendée que de manière relationnelle, comme un produit du monde social (Fassin 1996). Si les travaux des anthropologues ont davantage porté sur les phénomènes entourant la maladie et non sur ceux concernant la santé, ils ont toutefois largement contribué à la distinction analytique de la maladie dans ses dimensions médicales (disease), personnelles/expérientielles (illness), sociale(sickness) et, plus tard, en évoquant le concept de la souffrance sociale. Mais un constat s’impose. Les réflexions et recherches menées à l’endroit du concept de la santé par les sciences de la santé et les sciences sociales sont généralement moins développées que celles portant sur la notion de maladie. La perspective anthropologique impose d’appréhender le concept de santé comme un objet socialement et culturellement construit dans un espace-temps indissociable du global. Loin de se référer à une simple absence de pathologie, la santé se développe, se révèle dans le rapport entretenu par le sujet à lui-même et aux autres. Pour l’anthropologie, il y a d’abord l’intérêt à situer la santé dans l’expérience vécue d’un sujet en lien avec les autres. Acteur et créateur, il est également assujetti aux forces du contexte socioéconomique, politique et historique (Fainzang 2005). La santé se révèle ainsi comme une notion polysémique et un objet complexe qui se situe dans une trame d’interactions collectivement partagée du vivant avec son milieu s’incarnant dans les expériences singulières de l’être-au-monde (Massé 2010). Toutefois les propos de l’anthropologue Gilles Bibeau demeurent pertinents. « La santé continue d’être sous-conceptualisée et appréhendée de manière encore trop souvent inadéquate. […] Se pourrait-il que le surplus d’interventions de santé nous expédie hors du champ de la santé? » (Bibeau 2006 : 82, 84).
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Dissertations / Theses on the topic "Épidémiologie d’intervention"

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Dominguez, Morgane. "Optimisation de la performance de l’épidémiologie d’intervention en santé animale." Thesis, Paris Est, 2016. http://www.theses.fr/2016PESC1194/document.

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Abstract:
L’épidémiologie d’intervention a pour objectif la détection précoce des situations d’alerte sanitaire afin d’apporter une aide à la décision pour le déclenchement d’une réponse visant à en limiter l’impact. Dans le domaine de la santé animale, l’épidémiologie d’intervention se développe sous l’influence d’enjeux sanitaires, économiques et de santé publique. La structuration des activités est nécessaire au développement performant de cette discipline.Dans ce contexte, un modèle pour la structuration opérationnelle de l’épidémiologie d’intervention a été développé selon les principes d’une méthode d’optimisation de la performance reconnue : l’approche processus. L’établissement de ce modèle a reposé sur l’identification des chaînes d’activités (processus) d’une épidémiologie d’intervention performante, adaptée à la santé animale, tout en capitalisant les acquis et les avancées de cette discipline dans le domaine de la santé publique. Ces chaînes d’activités ont été identifiées grâce à l’analyse qualitative rétrospective d’expériences en épidémiologie d’intervention dans différents domaines (santé publique, santé publique vétérinaire, santé animale), en réponse à des contextes variés.Ces analyses rétrospectives ont permis d’identifier des chaînes d’activités vectrices de performance en épidémiologie d’intervention. Ces activités ont été intégrées au modèle proposé pour la structuration opérationnelle de cette discipline.L’objectif serait désormais d’assurer la mise en œuvre des chaînes d’activités identifiées via un système intégré global, à même de détecter et de documenter toute maladie animale, ou menace liée aux animaux, et d’informer la prise de mesures adéquates pour son controle
Emerging disease surveillance and investigation aim at the early detection of any health threat in order to perform a comprehensive analysis of the disease situation to help target an appropriate response. Its expansion in the field of animal health is led by major health, economic, and public health drivers. In support of this ongoing development, a standard structure for improved emerging animal disease surveillance and investigation capacities was established. This structure was based on a Business Process Management (BPM) approach.The primary goal of this work was to identify chains of activities (processes) that can support the most successful implementation of emerging animal disease surveillance and investigation, while buidling on the achievements made in the public health area. These chains of activities were identified through a qualitative retrospective analysis of various experiences of emerging disease surveillance and investigation, in the domains of public health, veterinary public health and animal heath, in distinct contexts ranging from a routine investigation to a major sanitary crisis.These analysis resulted in the identification of standard chains of activities that can support a successful implementation of emerging disease surveillance and investigation. These chains of activities were integrated in a standard structure for enhanced emerging animal disease surveillance and investigation capacities.The goal should now be to set up an integrated global system that would routinely implement these chains of activities and allow for the detection and description of any animal disease or threat to help inform prevention and control strategies
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Chivorakoun, Phetvongsinh. "Les déterminants de santé publique dans la prise en charge des personnes vivant avec une épilepsie en RDP Lao." Thesis, Limoges, 2015. http://www.theses.fr/2015LIMO0120/document.

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Abstract:
L’épilepsie est une des maladies neurologiques la plus fréquentes dans le monde. Cette maladie constitue un problème de santé publique dans les pays en développement où les ressources médicales et économiques sont faibles pour la prise en charge de cette pathologie. Ce travail de doctorat a été raisonné comme une recherche en santé publique qui vise à analyser la mise en place progressive de la prise en charge des personnes vivant avec une épilepsie (PVE) en République Démocratique Populaire Lao (RDP Lao). Nos travaux de recherche ont été conduits dans un premier temps par des recherches observationnelles,sanctionnées par 5 publications scientifiques concernant le personnel de santé, les médicaments antiépileptiques, l’adhérence au traitement antiépileptique et la prise en charge des enfants épileptiques. Dans un deuxième temps, des recherches interventionnelles ont expérimenté le dépistage actif des PVEs et un suivi à fréquence régulière par des visiteurs (personnels de santé) à domicile. Ce travail a identifié les enjeux de la prise en charge de l’épilepsie en RDP Lao : les croyances socioculturelles, la faible qualification des personnels de santé, le faible approvisionnement en médicaments antiépileptiques et leurs prix élevés. Nos interventions ont été efficaces et ont augmenté le nombre de PVEs traitées dans le système de soin. L’extension spatiale de la prise en charge efficace de l’épilepsie à l’échelle nationale nécessite le renforcement de la capacité des soins au niveau communautaire, d’une gouvernance dédiée, de la contribution de l’Association pour les Personnes avec une Epilepsie (APE) et des acteurs de recherches
Epilepsy is one of the most common neurological diseases worldwide. It is a public health issuein developing countries, where the medical and economic resources are poor for the case management. This doctoral work was set-up as a public health research, assessing the progressive implementation of the management of people living with epilepsy (PWE) in Lao People’s Democratic Republic (Lao PDR). Our research was conducted first through observational research and produces five scientific publications on the health staff,antiepileptic drugs, management of pediatric cases and treatment adherence. Secondly, interventional research focused on a one-year PWE’s follow-up using active screening and domestic health visitors. This work has identified the challenges of the management of epilepsy in Lao PDR: the socio-cultural beliefs, the low qualification of health staff for epilepsy management, the low antiepileptic drug supply and the high price of the drugs. Our interventions were successful, increasing the number of PWEs treated in the healthcare system. The extension of effective management for epilepsy at a national level requires the strengthening of capacity of healthcare at community level, the governance, the contributions of civil society and research actors
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Blaizot, Stéphanie. "Prédire et estimer l’impact d’un programme d’intervention sur l’incidence du VIH, district de Ndhiwa, Kenya." Thesis, Lyon 1, 2015. http://www.theses.fr/2015LYO10269/document.

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Abstract:
Bien que le nombre annuel de nouvelles infections au VIH diminue régulièrement depuis le milieu des années 1990, celui-ci reste élevé, en particulier en Afrique sub-Saharienne. L’organisme médical international Médecins Sans Frontières (MSF) a sélectionné quatre sites à hautes incidence et prévalence, dont un situé dans le district de Ndhiwa, au Kenya. La prévalence chez l’adulte a été estimée à 24% (d’après l’enquête en population NHIPS menée en 2012 par MSF-Epicentre). MSF espère, après une combinaison d’interventions sur le terrain, observer en temps réel une baisse de l’incidence de l’infection par le VIH. Dans la première partie, différents aspects de l’infection par le VIH et les questions actuelles sont présentés. Dans la seconde partie, notre objectif était d’estimer l’incidence de l’infection par le VIH à Ndhiwa à l’aide de différentes approches sélectionnées et appliquées aux données de NHIPS. Cet indicateur est essentiel pour déterminer la dynamique de l’épidémie, identifier les groupes de la population les plus à risque, et pour planifier des interventions de santé. Dans la dernière partie, notre objectif portait sur la modélisation à court terme de l’épidémie de VIH/SIDA dans le district de Ndhiwa. Dans un premier temps, nous avons proposé une méthodologie pour la modélisation de l’épidémie de VIH/SIDA associant l’estimation des paramètres d’un modèle et la prédiction de l’évolution de l’épidémie selon celui-ci, utilisant des données locales. Cette méthodologie a ensuite été appliquée aux interventions de santé envisageables par MSF-Epicentre, à l’aide de simulations déterministes et stochastiques
Although the annual number of new HIV infections has been decreasing since the middle of the 1990s’, it remains high, and particularly in sub-Saharan Africa. Epicentre, in collaboration with “Médecins Sans Frontières”, is planning a strategy to reduce HIV incidence in several areas of high prevalence and incidence rates, such as Ndhiwa sub-county (Nyanza Province, Kenya). In this sub-county, the adult HIV prevalence was estimated at 24% in 2012 (Ndhiwa HIV Impact in Population Survey, NHIPS, 2012). In the first part of this thesis, various aspects of HIV infection as well as current issues are given. In the second part, our objective is to estimate HIV incidence in Ndhiwa sub-county using several distinct approaches. In the last part, we focus on the mathematical modeling of the spread of the HIV infection to the short term. Firstly, we develop a framework for using the same data for estimation and prediction. Secondly, the potential impacts of multiple interventions on HIV incidence in Ndhiwa sub-county are studied using our framework and performing deterministic and stochastic simulations
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Sallah, Kankoe. "Diffusion spatio-temporelle des épidémies : approche comparée des modélisations mathématiques et biostatistiques, cibles d'intervention et mobilité humaine." Thesis, Aix-Marseille, 2017. http://www.theses.fr/2017AIXM0607.

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Abstract:
Dans la première partie de cette thèse, nous avons mis en place un métamodèle de transmission du paludisme basé sur la modélisation compartimentale susceptible-infecté-résistant (SIR) et prenant en compte les flux de mobilité humaine entre différents villages du Centre Sénégal. Les stratégies d’intervention géographiquement ciblées, s’étaient avérées efficaces pour réduire l’incidence du paludisme aussi bien dans les zones d’intervention qu’à l’extérieur de ces zones. Cependant, des actions combinées ciblant à la fois le vecteur et l’hôte, coordonnées à large échelle sont nécessaires dans les régions et pays visant l’élimination du paludisme à court/moyen terme.Dans la deuxième partie nous avons évalué différentes méthodes d’estimation de la mobilité humaine en l’absence de données individuelles. Ces méthodes incluaient la traçabilité spatio-temporelle des téléphones mobiles ainsi que les modèles mathématiques de gravité et de radiation. Le transport de l’agent pathogène dans l’espace géographique, par la mobilité d’un sujet infecté est un déterminant majeur de la vitesse de propagation d’une épidémie. Nous avons introduit le modèle d’impédance qui minimise l’erreur quadratique moyen sur les estimations de mobilité, en particulier dans les contextes où les ensembles de population sont caractérisés par leurs tailles hétérogènes.Nous avons enfin élargi le cadre des hypothèses sous-jacentes à la calibration des modèles de gravité de la mobilité humaine. L’hypothèse d’une distribution avec excès de zéros a fourni un meilleur ajustement et une meilleure prédictibilité, comparée aux hypothèses classiques n’assumant pas un excès de zéros : Poisson, Quasipoisson
In the first part of this thesis, we have developed a malaria transmission metamodel based on the susceptible-infected-resistant compartmental modeling framework (SIR) and taking into consideration human mobility flows between different villages in the Center of Senegal. Geographically targeted intervention strategies had been shown to be effective in reducing the incidence of malaria both within and outside of intervention areas. However, combined interventions targeting both vector and host, coordinated on a large scale are needed in regions and countries aiming to achieve malaria elimination in the short/medium term.In the second part we have evaluated different methods of estimating human mobility in the absence of real data. These methods included spatio-temporal traceability of mobile phones, mathematical models of gravity and radiation. The transport of the pathogen through the geographical space via the mobility of an infected subject is a major determinant of the spread of an epidemic. We introduced the impedance model that minimized the mean square error on mobility estimates, especially in contexts where population sets are characterized by their heterogeneous sizes.Finally, we have expanded the framework of assumptions underlying the calibration of the gravity models of human mobility. The hypothesis of a zero inflated distribution provided a better fit and a better predictability, compared to the classical approach not assuming an excess of zeros: Poisson, Quasipoisson
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