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1

Billet, Philippe. "La place des espaces naturels sensibles dans le droit de la protection des espaces naturels." Revue Juridique de l'Environnement 31, no. 2 (2006): 153–61. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2006.4529.

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2

Jolivet, Simon. "Espaces naturels : les nouvelles frontières de la protection." Revue Juridique de l'Environnement 41, no. 4 (2016): 629–45. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2016.6919.

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3

Prieur, Michel. "Les mesures complémentaires de protection des espaces naturels sensibles." Revue Juridique de l'Environnement 22, no. 2 (1997): 183–87. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1997.3389.

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4

Van Lang, Agathe. "La loi Littoral et la protection des espaces naturels." Revue Juridique de l'Environnement 37, no. 1 (2012): 105–16. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2012.5764.

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5

Gidrol-Mistral, Gaële. "L’environnement à l’épreuve du droit des biens." McGill Law Journal 62, no. 3 (January 5, 2018): 687–737. http://dx.doi.org/10.7202/1042772ar.

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Abstract:
La propriété privée peut-elle être mise au service de la protection de l’environnement? Le droit des biens et le droit des obligations mettent-ils en place des techniques permettant de construire un droit de l’environnement plus efficace? L’État québécois, depuis quelques années, n’a plus le monopole de la protection et de la conservation des espaces naturels. Au contraire, il appelle de ses voeux les initiatives citoyennes, notamment par le biais de campagnes de sensibilisation et d’incitatifs fiscaux. L’intendance privée est ainsi apparue nécessaire dans les schémas contemporains de protection environnementale. Mais les impératifs environnementaux ne coïncident pas toujours avec ceux du droit des biens. Trois instruments sont principalement utilisés au Québec en raison de leur capacité à protéger de manière durable les espaces naturels québécois : la fiducie d’utilité sociale, la servitude de conservation et la copropriété indivise. Ces trois techniques juridiques, développées par le législateur, la pratique ou la doctrine, méritent d’être examinés sous la loupe du droit des biens afin de vérifier la compatibilité des exigences environnementales et juridiques.
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6

Milian, Johan. "Politiques publiques de protection de la nature l'exemple des espaces naturels protéges." Ecologie & politique N°27, no. 1 (2003): 179. http://dx.doi.org/10.3917/ecopo.027.0179.

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7

Prieur, Michel. "Pour une véritable politique départementale de protection et de gestion des espaces naturels." Revue Juridique de l'Environnement 22, no. 2 (1997): 171–72. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1997.3387.

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8

Dissart, Jean-Christophe. "Protection des espaces agricoles et naturels : une analyse des outils américains et français." Économie rurale, no. 291 (March 1, 2006): 06–25. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.578.

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9

Ferri, Mireille. "Le Schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif) et la protection des espaces agricoles et des espaces naturels." Pour 205-206, no. 2 (2010): 63. http://dx.doi.org/10.3917/pour.205.0063.

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10

Meur-Férec, Catherine. "La protection et la gestion des espaces naturels littoraux en Angleterre et au Pays de Galles." Norois 160, no. 1 (1993): 573–87. http://dx.doi.org/10.3406/noroi.1993.6513.

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11

Salmon, Camille, and Virginie K. E. Duvat. "Enjeux de l'intégration des espaces naturels littoraux dans la gestion des risques liés à la mer." La Houille Blanche, no. 2 (April 2018): 5–12. http://dx.doi.org/10.1051/lhb/2018015.

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Abstract:
En se basant sur deux études de cas situées dans l'outre-mer français, cet article traite de l'intégration des espaces naturels littoraux dans la gestion des risques liés à la mer. L'étude des impacts de et de la résilience aux cyclones Oli (février 2010) à Tubuai (Polynésie française) et Bejisa (janvier 2014) à la Réunion, a mis en évidence le rôle majeur de la dégradation de la zone tampon (systèmes plages-dunes dans notre étude) dans l'augmentation de la vulnérabilité. Cinq processus de dégradation sont analysés : la contraction (diminution de la surface), la fragmentation des cellules hydro-sédimentaires par des aménagements côtiers, la fixation du trait de côte par des ouvrages de défense, le défrichement et la modification de la végétation et enfin l'extraction de matériaux coralliens sur les plages. Ces phénomènes ont pour conséquence la perturbation de la fonction d'amortissement des vagues et du vent, ce qui au final augmente l'endommagement des enjeux humains lors de la survenue d'un événement météo-marin extrême. Ces résultats ont des implications concrètes pour favoriser la résilience des territoires face aux risques liés à la mer : (1) mener une politique de protection et/ou de restauration des espaces naturels littoraux, (2) considérer la cellule hydro-sédimentaire comme l'échelle d'intervention pertinente, (3) mettre en œuvre des mesures différenciées qui prennent en compte le long terme, afin d'engager dès maintenant une politique d'adaptation au changement climatique.
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LEMAUVIEL-LAVENANT, S., and R. SABATIER. "Quand l’élevage est garant de la conservation de milieux patrimoniaux." INRA Productions Animales 30, no. 4 (June 25, 2018): 351–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2265.

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Abstract:
La conservation de nombreux écosystèmes patrimoniaux est conditionnée par le maintien d’une activité d’élevage extensive. Les prairies humides et les systèmes transhumants de Méditerranée constituent deux exemples contrastés de territoires à forts enjeux naturels où excès d’eau dans le premier cas et sècheresses annuelles dans l’autre conditionnent à la fois la végétation et les conditions d’élevage. Les marais portent des services environnementaux majeurs comme l’accueil de la biodiversité, notamment de l’avifaune ou la régulation des crues. Ce sont des territoires complexes où de nombreux acteurs interagissent autour de la gestion des niveaux d’eau. Parmi eux, les éleveurs jouent un rôle clé en gérant des prairies contraignantes à exploiter. Les prairies de marais sont fragilisées par un double mouvement d’intensification et de déprise agricole. L’élevage craven, exemple de système ovin transhumant de la plaine de Crau en zone méditerranéenne, permet de lutter contre la fermeture des milieux et joue un rôle de protection contre certains risques naturels comme les incendies dans les collines en Provence ou contre les risques d’avalanche dans les Alpes. Dans la plaine de la Crau, les éleveurs sont au coeur des enjeux de biodiversité dans la conservation du « Coussoul », dernière steppe européenne. Crise de la filière ovine, retour du loup et pression foncière grandissante sur les espaces de Crau menacent ce système d’élevage. Le maintien de l’élevage représente un véritable enjeu pour la conservation des espaces à forte valeur patrimoniale. Il dépend de la viabilité économique de formes d'élevage soumises à de fortes contraintes naturelles et nécessite donc une politique agroenvironnementale adaptée. La dynamique des territoires, à travers une valorisation de produits de qualité, apparaît également comme un levier pour préserver les activités d’élevage et conserver les habitats naturels.
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Boquet, Roxane, and Claude Rioux. "Estimation de la valeur non marchande des services rendus par les écosystèmes du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent." Conservation et gestion 142, no. 2 (June 5, 2018): 157–66. http://dx.doi.org/10.7202/1047156ar.

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Abstract:
Les espaces naturels ainsi que l’ensemble des usages qu’ils permettent représentent une valeur certaine pour les sociétés. Cette dernière peut être traduite par les retombées économiques de plusieurs activités comme le tourisme, par des valeurs implicites sur le marché immobilier, ou encore par le désir de protection environnementale. Or, les décisions des parties prenantes se fondent essentiellement sur la comparaison de ces valeurs avec des projets de développement économique. Ainsi, de nombreuses approches ont été testées afin d’attribuer une valeur monétaire à l’environnement. La méthode utilisée se fonde principalement sur le transfert de bénéfices appliqué par la présentation d’une méta-analyse. Au sein de ce transfert de bénéfices est inclus le transfert d’expertise réalisé par la méthode Delphi proposant la consultation d’experts. La première étape consiste à déterminer les services écosystémiques que procure l’environnement étudié; la seconde repose sur un système de pondération de ces services; et la troisième attribue une valeur en dollars/hectare/année à chaque service. Unique au Québec, possédant une riche biodiversité, le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent (PMSSL) est le site d’application de la méthode. L’ étude estime la valeur non marchande du PMSSL dans un intervalle de 27,8 à 32,9 millions de dollars canadiens par an.
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Bernard, Jean-Claude, and Véronique Brisset. "Acquisition de terrains par le Conservatoire du littoral dans l'île Tristan à Douarnenez. Bilan coût-avantage. Cumul des protections existantes au titre de la protection de sites, du Code de l'urbanisme, des espaces naturels sensibles, des constructions sur le littoral. Buts recherchés par le Conservatoire déjà atteints. Acquisition ne présentant pas d'utilité publique compte tenu de l'atteinte grave à la propriété privée. Tribunal Administratif de Rennes, 5 mars 1992 M. Richepin (n° 902338). Avec conclusions et note." Revue Juridique de l'Environnement 17, no. 2 (1992): 257–67. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1992.2813.

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Calderaro, Norbert. "Création d'un port de plaisance à Golfe-Juan-Vallauris. Compétence du préfet. Absence de SMVM. Régularité de la procédure. Régularité de l'enquête publique. Etude d'impact. Caractère suffisant. Légalité au regard des dispositions d'urbanisme. Préservation des espaces naturels littoraux. Article 146-6 du Code de l'urbanisme. Destruction des herbiers de posidonies. Violation de la loi du 10 juillet 1976 (non). Méconnaissance des articles 20 et 25 de la loi du littoral. Protection des sites et du paysage du littoral. Erreur manifeste (non). Tribunal administratif de Nice, 7 avril 1988 Association pour la défense de l'environnement et de la qualité de la vie de Golfe-Juan-Vallauris, Association GADSECA, Union régionale du Sud-Est pour la sauvegarde de la vie, de la nature et de l'environnement (U.R.V.N.). Avec conclusions." Revue Juridique de l'Environnement 13, no. 4 (1988): 485–515. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.1988.2405.

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Ojeda, Francisco José Díaz, and Juan Francisco Ojeda Rivera. "Politiques de protection des espaces naturels." Strates, no. 8 (June 30, 1995). http://dx.doi.org/10.4000/strates.978.

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Mallard, Fanny, and Denis François. "Effectivité juridique des instruments de protection des espaces naturels appliquée aux projets routiers en France." VertigO, Volume 12 Numéro 1 (June 25, 2012). http://dx.doi.org/10.4000/vertigo.11924.

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Aschan-Leygonie, Christina, Agnès Bonnaud, and Camille Girault. "Quand la situation urbaine favorise la protection des espaces naturels : le cas de Göteborg (Suède)." Cybergeo, October 20, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/cybergeo.27258.

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"La communauté européenne et la protection des espaces naturels. Des financements européens au service de l'action locale Gil Desmoulin Les cahiers du Crideau, 2001, 268 p., 110 F/16,80 euros. [Manuel]." Nature Sciences Sociétés 9, no. 4 (December 2001): 81. http://dx.doi.org/10.1016/s1240-1307(01)80136-9.

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Sander, Agnès, Daniela Festa, Pascale Philifert, Adriana Goni Mazzitelli, Claire Carriou, and Frédéric Dufaux. "Préserver la nature en ville: une Coproduction inscrite dans la longue durée." Geografares, February 28, 2012, 55–98. http://dx.doi.org/10.7147/geo10.2159.

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Abstract:
Preservar a natureza na cidade : uma coprodução inscrita na longa duraçãoO estudo do parque da Caffarella à Roma permite compreender as maneiras pelas quais as interações entre atores contribuem, à longo prazo, para a preservação dos espaços naturais na cidade e em sua transformação em um patrimônio natural coletivo. Esse parque de 200 hectares constitui o prolongamento, em meio urbano, de um grande parque natural regional de 3.400 hectares. A genealogia das representações desse espaço e das lutas em que ele foi objeto demonstra que as razões da preservação desse espaço da natureza na cidade são múltiplas: as ameaças que pesam sobre o sítio evoluem com o tempo, da mesma forma que os argumentos em favor de sua preservação, bem como a natureza das mobilizações. As escalas geográficas e institucionais em jogo evoluíram muito no tempo: o parque concentra hoje fortes valores simbólicos e em termos de quadro de vida, bem como importantes valores fundiários. Ele está, por outro lado, ao mesmo tempo, no coração das políticas de meio-ambiente à escala regional. RésuméL’étude du parc de la Caffarella, à Rome, permet d’étudier de quelles manières les interactions entre acteurs contribuent, sur la longue durée, à la préservation des espaces naturels en ville et à leur transformation en un patrimoine environnemental collectif. Ce parc d’une surface de 200 hectares constitue le prolongement, en milieu urbain, d’un plus grand parc naturel régional de 3400 ha. La généalogie des représentations de cet espace et des luttes dont il a été l’objet montre que les raisons de la préservation de cet espace de nature en ville sont multiples : les menaces pesant sur le site évoluent au fil du temps, de même que les arguments en faveur de sa préservation ainsi que la nature des mobilisations. Les échelles géographiques et institutionnelles en jeu ont beaucoup évolué dans la durée : le parc concentre aujourd’hui de fortes valeurs symboliques et en termes de cadre de vie, ainsi que de fortes valeurs foncières, tout en étant au cœur des politiques environnementales à l’échelle régionale. Preserving nature in the city: a coproduction enrolled in long-termAbstractThe Caffarella case highlights the broad continuity in approaches to this 200 hectares urban abutmentof a much larger 3,400 hectare regional natural park called Parco Regionale dell’Appia Antica(park of the Appian Way). Environmental arguments go back a long way in time and the built environmentand natural vegetation have always been seen as going hand in hand. But there have alsobeen notable changes. The culturalist approach to the countryside that has tended to predominatein Italy has gradually incorporated environmental aspects even though conflicts remain between aheritage-based or environmental management strategy and collective appropriation of the site. Consequently,the areas seen as deserving of protection are constantly increasing and now range fromgardens to the overall site and, more recently, a complex arrangement to incorporate the countryinto the city. This case shows that actions and interactions at the micro level and the landholdingstructures are just as important as the socio-economic and political context for the preservation ofspaces of nature intowns, and the two can sometimes interact in unexpected ways. Preservación de la naturaleza en la ciudad: una coproducción inscrita en el largo plazoResumenEl estudio del Parque Caffarella en Roma nos permite comprender las formas en que las interaccionesentre los actores contribuyen, a largo plazo, para la preservación de los espacios naturales de laciudad y su transformación en un patrimonio natural colectivo.Este parque de 200 hectáreas es unaextensión, en la zona urbana, de un gran parque regional natural de 3.400 hectáreas. La genealogíade las representaciones del espacio y las luchas que ha sido el tema muestra que las razones para lapreservación de ese espacio de la naturaleza en la ciudad son numerosos: las amenazas al sitio evolucionacon el tiempo, así como los argumentos a favor de su preservación, bien como la naturalezade las manifestaciones. Las escalas geográficas e institucionales en juego evolucionaron mucho con eltiempo: El parque concentra actualmente fuertes valores simbólicos y en términos de condiciones devida, así como los valores importantes fundiários. Él está, además, a la vez, en el corazón de la políticaambiental a escala regional.DOI: 10.7147/GEO10.2159
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Doyon, Sabrina. "Environnement." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.007.

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Abstract:
Le mot environnement est polysémique. Selon les contextes et les disciplines, on peut référer à l’environnement physique, naturel ou social. Il est parfois associé, à tort, aux notions d’écosystème et de ressources naturelles. Ces ambiguïtés sont intéressantes du point de vue de l’anthropologie, car elles révèlent la multitude de réalités auxquels le terme réfère ainsi que les divers usages et pratiques auxquels il est lié et, surtout, aux différentes façons dont il peut être pensé, imaginé, transformé, projeté et vécu selon les groupes sociaux et culturels. Depuis les années 1960, les préoccupations liées à l’environnement sont très présentes. Cette situation est à mettre en lien avec trois phénomènes : l’émergence des inquiétudes à l’égard de la contamination causée par l’industrialisation et envers la surexploitation de la nature qui sont sans cesse croissantes, l’avènement des mouvements écologistes et environnementalistes qui ont publicisé ces enjeux dans la société et l’institutionnalisation de l’environnement, notamment par la mise en place un peu partout dans le monde de ministères de l’Environnement, de politiques environnementales et de législations concernant l’usage de la nature. Tout en interrogeant les concepts de nature et de culture, plusieurs approches au sein de l’anthropologie questionnent l’environnement par l’étude des différents types de rapports qu’entretiennent les êtres humains avec ce qui les entoure, ce qui les supporte et les constitue. L’écologie culturelle de Steward (Steward 1955), l’approche écosystémique de Rappaport (1967), l’ethnoscience et l’ethnoécologie (Haudricourt 1956), l’œuvre d’anthropologie structurale de Lévi-Strauss, les travaux relatifs aux rapports à la nature, des vivants et des non-vivants (Ellen et Katsuyochi 1996; Descola 2005; Viveiros de Castro 2009), et ceux propres à la perception et à « l’habiter » (Ingold 2000) sont parmi les approches anthropologiques ayant fait de l’environnement et de la nature le centre de leur réflexion. Elles s’inscrivent à la fois dans les courants matérialistes et symboliques de l’anthropologie et dans les écoles anglo-saxonnes et françaises de l’étude des relations socio-environnementales. Ces catégorisations ne sont toutefois pas absolues : des chevauchements et des emprunts enrichissent aujourd’hui les réflexions de chacun. Depuis les années 1990, les recherches anthropologiques concernant les relations entre l’environnement et les êtres humains sont nombreuses, variées et croissantes; elles intègrent souvent des approches propres à d’autres disciplines, telles que la géographie, la sociologie, les sciences politiques et la philosophie, et combinent des recherches fondamentales et appliquées. L’écologie politique (political ecology : approche critique des changements environnementaux qui analyse les liens entre des enjeux écologiques et d’économie politique) est un exemple de courant théorique phare qui intègre ces disciplines et qui rallie de nombreux chercheurs en anthropologie (Bryant et Bailey 1997; Escobar 1996; Gauthier et Benjaminsen 2012; Biersack et Greensberg 2006; Peet, Robbins et Watts 2011). Les efforts de compréhension de la pluralité des modes d’interprétation, de représentation et d’incorporation de l’environnement se nourrissent aussi d’études en histoire environnementale et questionnent les perceptions et les constructions sociales de la nature. Les concepts de natures humanisées (issues d’aménagements ou de perturbations anthropiques) y sont mis en rapport avec ceux de natures « sauvages et primaires »; des remises en question des idéaux de la wilderness, évoqués dans la tradition anglo-saxonne (Cronon 1995; Balée 2006), en émergent, démontrant qu’une supposée nature originelle n’aurait jamais existé et que l’environnement est, au contraire, travaillé, médié, construit par des actions humaines depuis la présence des premières communautés humaines. Ces clarifications amenées par l’anthropologie s’ancrent dans des compréhensions de la nature organisées par des savoirs environnementaux locaux et autochtones (Menzies 2006) qui sont souvent discrédités par la science positiviste occidentale (Fairhead et Leach 2003). Ces recherches sont également alimentées par des réflexions récentes en sciences de l’environnement où le modèle homéostatique de la nature (dans lequel les écosystèmes, en tant que systèmes, tendraient vers un équilibre via des mécanismes de rétroaction régulateurs) est contesté, préférant des approches qui intègrent le chaos et l’incertitude (Scoones 1999). Dans tous les cas, ces recherches s’attachent à montrer que les divisions conceptuelles entre la nature et la culture, la société et l’environnement ne sont pas universelles et s’ancrent plutôt dans des constructions modernes (Latour 1991). Ces réflexions foisonnantes ne sont pas étrangères aux analyses anthropologiques des discours environnementaux qui s’intéressent notamment à la cristallisation de certaines formules, telles que : les forêts cathédrales, le développement durable, la désertification et les changements climatiques (Crate et Nuttall 2009; Redclift 1987; Sachs 1993) et à leurs portées sociale et culturelle. Plusieurs auteurs exposent ainsi les conséquences sociales et politico-économiques variées, tant locales qu’internationales, des discours globalisés sur l’environnement dont les enjeux, connotés de conceptions « occidentales » anthropocentristes du rapport à la nature, sont énoncés et répétés par un petit groupe d’experts lors de récurrentes « grandes messes » internationales que sont les Conventions cadre des Nations unies sur les changements climatiques, les Conventions sur la diversité biologique et les Sommets de la Terre. Ces nouveaux processus politiques par lesquels l’environnement est gouverné et contrôlé, nommé environnementalité (Agrawal 2005), constituent des phénomènes où la nature est conçue comme un espace propre à l’intervention du gouvernement. Les anthropologues s’intéressent à ces processus, ainsi qu’aux enjeux qui y sont discutés, comme la justice environnementale, les réfugiés climatiques et le racisme environnemental, des termes qui témoignent de l’intrication sociale, politique, économique et culturelle inhérente à la situation écologique mondiale actuelle. Des recherches examinent également les mécanismes de négociation des enjeux élaborés lors de ces évènements et les structures qui codifient les échanges permettant à certaines voix d’être entendues tandis que d’autres sont tues. Les discours environnementaux globalisés sont au cœur des mouvements de protection de la nature, engendrés tant par des organismes privés qu’étatiques, qui s’incarnent notamment dans la création, exponentielle depuis les années 1980, de parcs naturels, de réserves ou d’aires protégées (Adams et Hutton 2007; West, Igoe et Brockington 2006). La constitution de ces territoires n’est pas nouvelle : elle a ses racines dans la colonisation de l’Amérique du Nord, de l’Afrique et de l’Inde. Elles furent d’abord créées à l’initiative des colonisateurs qui voulurent protéger une nature « sauvage » idéalisée comme étant vierge et qu’ils « découvraient »; une nature dont le caractère inaltéré avait, selon eux, disparu en Europe. L’instauration de ces parcs se fit cependant au prix de l’expulsion des populations autochtones qui les occupaient (Igoe et Brockington 2007). Les études des rapports qu’entretiennent spécifiquement les populations autochtones avec l’environnement sont d’ailleurs très riches et nombreuses et constituent tout un champ de recherche (Colchester 2003[1994]). Les anthropologues étudient comment la création de ces aires protégées, en transformant des paysages en lieux de contemplation et de protection de la nature, contribue à transformer l’espace et les rapports sociaux. L’espace est d’ailleurs un concept de plus en plus utilisé en anthropologie dans l’examen des relations socio-environnementales. Ces espaces protégés sont aussi le lieu d’initiatives de patrimonialisation de la nature (Roigé et Frigolé 2010) qui ne sont pas sans soulever des questionnements critiques. Le développement du tourisme et de l’écotourisme dans ces espaces protégés (Duffy 2008, Stronza 2001) amènent, entre autres conséquences, une valorisation de certaines espèces « charismatiques » au détriment d’autres entités constituant les écosystèmes. L’exploitation de la nature par le truchement de systèmes de production mécanisés et industriels en agriculture, dans les pêches, la foresterie, l’exploitation minière et l’extraction des carburants fossiles est au cœur des préoccupations de l’anthropologie de l’environnement. Cette dernière questionne les modes d’appropriation de ces « ressources naturelles » en s’intéressant notamment aux préoccupations de l’éthique environnementale, des mouvements écologistes et environnementalistes (Peluso 1992; Latour 2004) ainsi que des autres mouvements sociaux, notamment anarchistes et féministes, qui s’insurgent contre des modèles de développement de l’environnement délétères, sexistes et iniques (Rocheleau, Thomas-Slayter et Wangari 1996). Ces préoccupations s’arriment à celles exprimées à l’égard des effets de la privatisation, de la marchandisation et de la re-régulation des dimensions fonctionnelles, symboliques, esthétiques et contemplatives de la nature et du vivant, ce que se propose d’étudier un nouveau courant anthropologique se penchant sur les processus de la « néolibéralisation » de l’environnement (Castree 2008; Igoe et Brockington 2007).
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