Academic literature on the topic 'Espèces forestières'

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Journal articles on the topic "Espèces forestières"

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Donkpegan, Segbedji Armel Loïc. "Histoire évolutive du complexe Afzelia Smith (Leguminosae - Caesalpinioideae) dans les écosystèmes forestiers et savanicoles d’Afrique tropicale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 77. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31494.

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Abstract:
Le genre Afzelia Smith est connu pour comporter sept espèces africaines d’arbres dont deux se retrouvent dans la région zambézienne, une en région soudanienne et les quatre autres en région guinéo-congolaise. Ces taxons, à haute valeur commerciale, sont difficiles à distinguer les uns des autres. Ils sont donc commercialisés sous un même nom : « doussié » ou « afzelia ». Ces difficultés de distinction peuvent s’avérer préjudiciables à la gestion durable des populations.Le but de cette thèse de doctorat est de caractériser l’histoire évolutive du genre Afzelia. Plus spécifiquement, cette étude vise à : (i) évaluer le niveau des divergences morphologiques au sein du genre et décrire les relations phylogénétiques, afin de quantifier l’isolement reproductif entre les taxons d’Afzelia en mettant en évidence le rôle des changements climatiques passés et/ou des gradients écologiques dans la spéciation ; (ii) procéder à une analyse approfondie de la diversité et de la structuration génétique spatiale d’Afzelia spp. ; (iii) identifier et décrire les facteurs écologiques, biotiques et abiotiques susceptibles d’influencer les flux géniques à l’échelle des populations d’une espèce d’Afzelia (A. bipindensis).Une analyse morphogénétique des espèces a été effectuée et a confirmé la forte ressemblance botanique entre les taxons. Les espèces de savane se sont avérées être diploïdes et présentent la moitié de la taille du génome des espèces forestières qui sont donc tétraploïdes. Les phylogénies de gènes, nucléaires et chloroplastiques, diffèrent entre elles. De telles différences peuvent être générées à la suite d’épisodes d’hybridation ancestrale entre espèces. Ces hybridations seraient probablement anciennes et seraient survenues entre les lignées des espèces forestières et celles d’A. quanzensis (une espèce des savanes zambéziennes). La polyploïdie serait survenue entre 7 et 9,4 millions d’années au cours de l’histoire évolutive du genre. De plus, une assignation bayésienne et des analyses d’isolement reproductif ont suggéré l’existence de croisements interspécifiques, mais uniquement chez les espèces forestières distribuées en sympatrie. À une échelle spatiale plus limitée, deux groupes génétiques bien différenciés ont été observés en sympatrie chez A. bipindensis. Ceux-ci présentent une différenciation morphologique et un décalage phénologique de la floraison qui peut contribuer à leur isolement reproductif.Cette étude a permis de mettre en évidence quelques points importants que sont : la découverte d’un complexe polyploïde au sein du genre Afzelia ; la confirmation de la délimitation des espèces diploïdes de savane ; et la nécessité de réviser la taxonomie des espèces tétraploïdes forestières.
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César, Jean, Jérémy Bouyer, Laurent Granjon, Massouroudini Akoudjin, Laure Guerrini, and Dominique Louppe. "Les relictes forestières de la falaise de Banfora : un peuplement original au voisinage de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 305, no. 305 (September 1, 2010): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.305.a20437.

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Abstract:
La falaise de Banfora est d'une grande richesse floristique et faunique. Ses forêts renferment des espèces endémiques mais aussi des espèces remarquables telles que Albiziadinklagei, Acridocarpus chevalieri ou Warneckea fascicularis qui ne se retrouvent nulle part ailleurs au Burkina Faso. C'est aussi le cas de certaines espèces d'insectes telles que Dicronorhina kouensis ou Stephanorhina guttata. Toutefois, ces forêts sont menacées, particulièrement autour de Bobo-Dioulasso où la faune d'origine a déjà partiellement disparu. Les sites de la falaise sont comparés entre eux ainsi qu'avec d'autres forêts de la région de Bobo-Dioulasso. Une très grande diversité biologique s'observe d'une forêt à l'autre. La dispersion des espèces suggère que ces forêts résulteraient de masses forestières plus vastes dont elles seraient les relictes. La végétation forestière des falaises aurait trois origines : la forêt dense sèche, caractérisée par Guibourtia copallifera, qui pourrait représenter le fond forestier originel avant l'invasion de la flore des savanes ; la forêt dense humide, représentée par la majorité des espèces ripicoles, qui serait issue de la masse forestière humide en suivant le réseau hydrographique ; un fond de flore montagnarde inféodé aux falaises gréseuses, dont l'unique représentant serait Warneckea fascicularis, auquel il serait possible de rattacher les espèces de rochers. La communauté de rongeurs des sites forestiers de la falaise de Banfora est un mélange d'espèces typiquement forestières (en particulier Praomys rostratus) dans les zones les moins perturbées et d'espèces très anthropophiles (comme Rattus rattus) sur les sites les plus dégradés par l'action humaine. La plupart des espèces d'insectes ont probablement pour origine la forêt humide de Côte d'Ivoire, avec des influences maliennes, comme Coeliades aeschylus, ou togolaises, comme Dicronorhina kouensis, espèces qui se rencontrent surtout en zone de savane guinéenne, à proximité des forêts galeries. Ces espèces n'étant pas observées au Sud, ni respectivement à l'Est et à l'Ouest du Burkina Faso, la falaise de Banfora pourrait constituer un point de rencontre entre différentes faunes, ce qui en fait toute la richesse. (Résumé d'auteur)
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Morel, Hélène, Éric Nicolini, Julie Bossu, Lilian Blanc, and Jacques Beauchêne. "Qualité et usages du bois de cinq espèces forestières adaptées à la plantation à vocation de bois d’œuvre et testées en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31492.

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Abstract:
Des essais de plantations forestières ont été menés en Guyane française depuis le début des années 1960 sur plus de 138 espèces (70 espèces natives et 68 espèces exotiques). Une étude récente sur la productivité de ces espèces en plantation (projet ForesTreeCulture, 2013-2015) a mis en avant le fort potentieldeproductiondetroisespècesnatives (Simarouba amara Aubl., Vochysia tomentosa (G. Mey.) DC., Bagassa guianensis (Aubl.)) et d’une espèce d’Afrique de l’Ouest (Tarrietia utilis Sprague) avec des volumes de bois produits supérieurs à 20 m3/ha/an. Cependant, les propriétés du bois de ces espèces commerciales ne sont connues qu’au travers d’arbres issus de forêt naturelle. Nous présentons les propriétés du bois de ces espèces en conditions de plantation – densité, retrait, élasticité, angle du fil, durabilité – et discutons de leurs potentiels et de leurs usages respectifs futurs. Une autre espèce, Cordia alliodora ((Ruiz et Pavon) Oken), a également été retenue bien qu’elle n’ait pas encore été plantée en Guyane française. Cette espèce, native de Guyane, est bien connue en Amérique latine pour son BOIS & son fort potentiel de croissance en milieu anthropisé.
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VALETTE, J. C. "Inflammabilités des espèces forestières méditerranéennes. Conséquences sur la combustibilité des formations forestières." Revue Forestière Française, S (1990): 76. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26171.

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Bouka Dipelet, Ulrich Gaël, Charles Doumenge, Jean Joël Loumeto, Jacques Florence, Christelle Gonmadje, and Doyle Mckey. "Des confusions entre espèces préjudiciables à la gestion durable des essences forestières : l’exemple des acajous d’Afrique (Khaya, Meliaceae)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 339 (April 17, 2019): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.339.a31714.

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Abstract:
Les espèces du genre Khaya procurent l’un des bois les plus prisés du continent africain. Elles sont commercialisées sous l’appellation « acajou d’Afrique » depuis environ deux siècles. En Afrique continentale, on reconnaît actuellement quatre espèces morphologiquement proches : Khaya anthotheca, K. grandifoliola, K. ivorensis et K. senegalensis. Le nombre de taxons du genre Khaya a varié au cours du temps et la délimitation de ces taxons n’est pas sans avoir des implications sur les stratégies de conservation et de gestion durable des espèces. L’objectif du travail présenté ici est de s’assurer de la délimitation de ces espèces sur la base d’un bilan des connaissances actuelles en taxonomie, génétique, écologie et chimiotaxonomie. Les données disponibles ne permettent pas toujours de séparer sans ambiguïté les quatre acajous d’Afrique continentale. Elles permettent toutefois d’avancer que K. ivorensis, K. grandifoliola et K. senegalensis seraient des espèces à part entière mais dont les limites taxonomiques doivent encore être précisées. Khaya nyasica serait également une espèce qui devrait être séparée de K. anthotheca. Au sein de cette dernière, plusieurs chémotypes ont été identifiés, ce qui suggère que ce taxon pourrait recouvrir un ensemble plus complexe d’au moins deux autres taxons dont le rang spécifique ou sous-spécifique reste à préciser. Des recherches morphométriques, génétiques et écologiques doivent être développées afin de clarifier le statut systématique et l’histoire évolutive de ces divers taxons, en vue de formuler des recommandations appropriées pour la gestion durable des acajous d’Afrique.
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Tassin, Jacques, Ronald Bellefontaine, Edmond Roger, and Christian A. Kull. "Evaluation préliminaire des risques d'invasion par les essences forestières introduites à Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20420.

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Abstract:
Il est désormais admis que l'introduction d'une espèce exotique en milieu insulaire s'accompagne toujours d'un risque environnemental, représenté par l'éventuel déclenchement d'une invasion biologique. À Madagascar, ce risque est d'autant plus élevé que les introductions de matériel végétal s'accroissent à un degré très supérieur à celui des actions de lutte préventive, que la fréquence et l'intensité des perturbations humaines facilitent les invasions, et que la biodiversité à protéger est remarquable. Un examen préliminaire des 406 introductions d'arbres et arbustes effectuées sur cette île à des fins forestières ou agroforestières révèle que 12,8% de ces espèces se sont avérées nuisibles dans d'autres pays, et que 39,2% présentent un risque potentiel pour Madagascar dans la mesure où elles sont au moins susceptibles de s'y naturaliser. Une liste de 19 espèces présentant un risque élevé d'invasion est présentée. Sept d'entre elles sont connues pour avoir, à la fois, une reproduction sexuée et une multiplication végétative par drageonnage importantes. Face à une telle menace, un plan de gestion s'impose sur le plan national de manière à hiérarchiser, puis mettre en oeuvre les actions de communication, de recherche, de lutte préventive et de détection précoce qui s'imposent. (Résumé d'auteur)
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Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

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Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
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Blant, M., M. Moretti, and W. Tinner. "Fréquence de quelques chiroptères durant l'Holocène." Geographica Helvetica 63, no. 3 (September 30, 2008): 188–92. http://dx.doi.org/10.5194/gh-63-188-2008.

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Abstract:
Abstract. Des datations au 14C de crânes de chauves- souris ont été effectuées sur des collectes provenant de grottes du sud et du nord des Alpes suisses. Le but de ce projet était de cerner les époques dapparition de quelques espèces forestières considérées comme traceurs de périodes chaudes ou froides, puis de mettre en relation leur insertion chronologique avec les successions végétales de l'Holocène. Les données montrent une présence de longue durée pour Myotis bechsteinii et Myotis brandtii, un traceur mésothermophile et un traceur psychrophile. Une espèce thermophile méditerranéenne, Myotis blythii, apparaît dans un intervalle de temps plus restreint. La fréquence des espèces peut être expliquée au moins en partie par les successions végétales et les déboisements. En outre, les résultats suggèrent une corrélation entre la présence despèces rares thermophiles comme Myotis bechsteinii et des phases à climat chaud pendant lHolocène.
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DUCREY, M. "Réactions à la sécheresse de quelques espèces forestières méditerranéennes." Revue Forestière Française, no. 5 (1988): 359. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25903.

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Tassin, Jacques. "LA QUESTION DE L'IMPACT DES PISTES D'EXPLOITATION FORESTIÈRE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31305.

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Abstract:
Dans le langage commun, les pistes forestières sont syno- nymes de fragmentation, de couloirs d’accès aux popula- tions humaines ou aux espèces invasives, voire plus sim- plement d’atteintes à l’intégrité de zones restées jusque-là à peu près intactes. Est-ce si simple cependant ? De quoi sont directement responsables les pistes forestières en milieu tropical ? Et leurs impacts demeurent-ils réellement irréversibles ? Dans ce numéro 328 de Bois et Forêts des Tro- piques, nous proposons deux articles de synthèse qui, sans prétendre faire le tour de telles questions, apportent toute- fois de très intéressants éléments de réponse...
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Dissertations / Theses on the topic "Espèces forestières"

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Coudun, Christophe. "Approche quantitative de la réponse écologique des espèces végétales forestières à l'échelle de la France." Phd thesis, ENGREF (AgroParisTech), 2005. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00011330.

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Abstract:
L'objectif de ce travail est de déterminer l'intérêt des bases de données présentant un nombre important de relevés floristiques et écologiques complets pour étudier de façon quantitative le comportement écologique des espèces végétales forestières sur de vastes territoires.
Les données utilisées sont celles d'EcoPlant, développée à l'Ecole Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts (ENGREF, Nancy) pour stocker des milliers de relevés phytoécologiques complets (relevés floristiques et caractéristiques climatiques et édaphiques précises), réalisés dans les forêts de France. La définition de 54 courbes de réponse théoriques d'espèces végétales vis-à-vis du pH, et la création de jeux artificiels de données binaires de taille variable pour essayer de re-créer les courbes de réponse théoriques, ont permis de montrer qu'il est difficile de modéliser de manière fiable le comportement des espèces peu fréquentes avec la régression logistique. En effet, nous montrons que 50 à 100 occurrences d'une espèce représentent un seuil minimal pour déterminer précisément l'optimum, l'amplitude et la probabilité maximale de la courbe de réponse écologique des espèces avec la régression logistique, ce qui justifie la nécessité de travailler avec de larges bases de données.
Pour tester la stabilité du comportement écologique des espèces sur de vastes territoires, nous avons comparé la réponse au pH du sol de 46 herbacées forestières entre le nord-est et le nord-ouest de la France, et de 21 herbacées forestières entre les Vosges et le Jura. En contexte de plaine ou de montagne, la majorité des espèces étudiées n'ont pas révélé de différences régionales marquées en terme d'optimum ou d'amplitude écologiques vis-à-vis du pH de l'horizon A du sol. Les quelques différences régionales observées ont été expliquées dans les deux cas par des conditions de compétition différentes dans chaque région. Nous concluons que l'étude de la réponse écologique peut s'effectuer sur de vastes territoires tels que la France, à condition que les conditions de compétition ne soient pas trop différentes selon les régions.
Une caractéristique majeure de la base EcoPlant est de stocker des informations édaphiques et climatiques, couplée à des relevés floristiques effectués sur les mêmes sites. L'étude conjointe de la réponse écologique des espèces végétales vis-à-vis de facteurs climatiques et édaphiques a rarement été menée, puisque la majorité des études étudient la réponse climatique des espèces végétales. Nous illustrons l'importance de prendre en compte des variables édaphiques de nutrition dans les modèles de niche écologique et de distribution géographique des plantes terrestres, par la modélisation de l'écologie et de la distribution de l'Erable champêtre (Acer campestre L.) dans les forêts françaises.
L'ensemble des résultats met en évidence l'intérêt des bases de données importantes et écologiquement complètes telles qu'EcoPlant pour approfondir la connaissance des différentes dimensions de la niche écologique des espèces à l'échelle de vastes territoires.
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Lehnebach, Romain. "Etude de la variabilité ontogénique du profil ligneux chez quelques espèces forestières tropicales de Guyane Française." Thesis, Montpellier, 2015. http://www.theses.fr/2015MONTS021/document.

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Abstract:
Le bois est un tissu plurifonctionnel permettant la conduction de la sève brute, le stockage de l’eau et des sucres ainsi que le soutien mécanique de la plante. L’arbre au cours de son développement expérimente différentes contraintes liées à son environnement et à sa taille croissante. En réponse à ces contraintes, les performances fonctionnelles du bois sont ajustées par des variations de valeurs de propriétés, elles-mêmes dépendantes du produit de la xylogénèse. Cependant les extrais chimiques déposés lors du processus de duraminisation, entraine la modification des propriétés du bois. Les propriétés du duramen sont le fruit de la xylognénése et de la duraminisation ainsi que de leurs interactions. Ce travail de thèse a donné naissance au terme ‘profil ligneux’, désignant l’ensemble des variations des propriétés du bois à différentes échelles et dans une dimension ontogénique résultant des deux processus cités précédemment. La diversité de tempéraments vis-à-vis de la lumière (héliophilie à sciaphilie) des essences tropicales suggère une diversité d’expressions du profil ligneux. La description de ces différentes expressions serait gage d’une meilleure compréhension du tempérament. Comprendre et caractériser le profil ligneux et la variation de la quantité de bois de cœur dans l’arbre, représentent également un enjeu économique puisque l’industrie du bois Guyanaise a été identifiée comme une filière d’avenir. L’analyse de la diversité du profil ligneux—par une approche ascendante, de l’échelle individuelle à l’échelle interspécifique—a prouvé son efficacité dans la discrimination du degré d’affinité à la lumière. La variation de densité est particuliérment pertinente. Néanmoins, sa pertinence réside dans (1) la combinaison du gradient radial et vertical et (2) la prise en compte du duramen qui modifie parfois, l’amplitude et la direction du gradient ainsi que la forme du profil.L’effet de la duraminisation sur la variation de densité devient alors évocateur du tempérament de l’espèce au même titre que la qualité et/ou la quantité d’extraits chimique mis en jeu. La pertinence du profil ligneux dans la caractérisation du tempérament écologique est due à son aspect intégrateur de divers processus et propriétés. En regard du changement l’allocation de croissance (i.e. du tronc vers la couronne) observée chez Dicorynia guianensis et de travaux précédents sur la croissance des arbres, un lien potentiel entre la diversité du profil ligneux et la stratégie d’allocation de la croissance pourrait exister
Wood is a multifunctional tissue involved in sap conduction, storage of water and reserves as well as mechanical support. Tree during its development experiments various constraints due to its environment and its growing size. In response to these constraints, wood functional performances are adjusted by variations of property values, which are dependent on the xylogenesis product. However, wood properties may be modified by the deposition of chemical extractives during heartwood formation. Thus heartwood properties are the result of xylogenesis, heartwood formation and their interactions. This work gave rise to the term 'wood profile', designating all variations of wood properties at different scales and in an ontogenetic dimension, resulting from both processes described above. The diversity of shade tolerance (heliophilic to sciaphilic) strategies species suggests a diversity of wood profile expressions. The description of these different expressions could be a way to better understand plant strategies. Understanding and characterizing wood profile and variations in heartwood quantity in tree, is an economical issue since the Guyanese timber industry has been identified as a promising sector. The analysis of the diversity of wood profile—using a bottom-up approach, from the individual level to the interspecific level—proves to discriminate shade tolerance strategies efficiently. Wood specific gravity variation is especially relevant. However, its relevance is based on (1) combinations of both radial and vertical variations and (2) integration of heartwood that may impact range and direction of the gradient and shape of the profile as well. Effect of heartwood formation on wood specific gravity variations is suggestive of shade tolerance strategy as well as quality and/or quantity of chemical extractives. Relevant characterization of shade tolerance strategies by wood profile is the result of the integration of diverse processes and properties. To the view of growth allocation shift (from trunk to crown) observed in Dicorynia guianensis and of previous studies on tree growth, a potential link between wood profile diversity and growth allocation strategies may exist
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Drouin, Mélanie. "L'impact des vers de terre exotiques sur le recrutement des espèces végétales forestières du sud du Québec." Mémoire, Université de Sherbrooke, 2014. http://savoirs.usherbrooke.ca/handle/11143/68.

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Abstract:
Depuis leur introduction par des Européens il y a quelques siècles, les vers de terre se sont propagés dans les sols de l'Amérique du Nord. Depuis les années 2000, plusieurs fronts d'invasion dans les milieux naturels ont soulevé des inquiétudes dans la communauté scientifique. Nous avons analysé les impacts des vers de terre sur la germination des graines et la survie des semis de 14 espèces d'arbres indigènes au Québec, et nous avons investigué les façons dont ils influencent la composition végétale du sous-bois, les variables physico-chimiques du sol et les communautés microbiennes en Estrie. Nos résultats suggèrent que les vers de terre diminuent la germination des graines et les taux de survie des plantules, en plus de provoquer des effets importants chez quelques variables physico-chimiques et groupes microbiens. Nous concluons que les vers de terre exotiques ont le potentiel d'altérer la composition des espèces et le fonctionnement des érablières du sud du Québec.
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Van, Couwenberghe Rosalinde. "Effets des facteurs environnementaux sur la distribution et l'abondance des espèces végétales forestières aux échelles locales et régionales." Phd thesis, AgroParisTech, 2011. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00604628.

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Abstract:
Cette thèse a pour objectif d'analyser et de prédire la présence et l'abondance des espèces de sous-bois localement aux facteurs liés à la structure du peuplement (ouverture de la canopée) et selon différents contextes de milieu (pH du sol). Ainsi, cette thèse vise à évaluer si l'impact du pH du sol, de l'ouverture de la canopée et du climat a un effet similaire sur la distribution de présence et d'abondance. A cet effet, nous avons utilisé des relevés floristiques et dendrométriques effectués cinq ans après l'ouverture de la canopée (293 trouées - Nord-est de la France) et sous peuplements fermés (10 996 sites - France). Nous avons modélisé les distributions de présence et d'abondance des espèces (i) premièrement, au niveau régional, en relation avec un facteur local d'ouverture de la canopée et un facteur régional de pH du sol et (ii) deuxièmement, au niveau national, en relation avec un facteur de pH du sol et le climat. Au niveau régional, les résultats indiquent que la prise en compte simultanée d'un facteur local d'ouverture de la canopée et d'un facteur régional de pH du sol permet de déterminer les distributions des espèces cinq ans après son ouverture. Nous avons pu quantifier les conditions optimales des principales essences feuillues au stade juvénile et des espèces herbacées associées à l'ouverture de la canopée et le pH du sol. Au niveau national, nos résultats montrent que les modèles de distribution d'espèces issus de données présence-absence indiquent l'optimum écologique de l'abondance selon les gradients climatiques et le pH du sol, mais désignent des habitats géographique trop importants à cause d'une surestimation de l'amplitude écologique.
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Girod, Christophe. "Conséquences génétiques des variations climatiques du Quaternaire et distribution des espèces forestières Néotropicales : L'exemple du palmier Astrocaryum sciophilum." Phd thesis, Université Pierre et Marie Curie - Paris VI, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00576928.

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Abstract:
Les variations climatiques du Dernier Maximum Glaciaire ont fortement affecté la distribution des espèces dans les régions tempérées. Dans les régions tropicales, Haffer (1969) a émis l'hypothèse que la forte diversité spécifique des Néotropiques était liée aux variations climatiques du Quaternaire qui auraient fragmenté le couvert forestier en quelques zones "refuges" provoquant une diversification des espèces par spéciation allopatrique. Un tel effet du climat en Amérique du Sud reste cependant aujourd'hui toujours âprement débattu. Cette thèse a pour objectif de tester par des méthodes génétiques les attendus de la théorie des refuges en Guyane en retraçant l'histoire démographique d'Astrocaryum sciophilum, palmier inféodé aux forêts tropicales humides. L'utilisation de marqueurs microsatellites nucléaires et de séquences chloroplastiques nous a permis d'infirmer l'existence des zones refuges proposées par de Granville (1982) et par Tardy (1998). Bien que mettant en évidence une fragmentation de la forêt tropicale humide, la distribution de la diversité génétique ne laisse pas supposer l'existence de zones refuges en Guyane. Nous avons également montré l'absence de forêt tropicale humide sur la bande littorale antérieurement à 129 000 ans BP, ainsi qu'une recolonisation de proche en proche du littoral depuis le Nord-Ouest jusqu'à Kaw, antérieure au Dernier Maximum Glaciaire. Enfin, pour reconstruire l'histoire démographique d'A. sciophilum à une échelle spatiale très fine, nous avons utilisé la méthode d'inférence bayésienne MSVAR basée sur la théorie de la coalescence, qui permet de détecter et dater des changements de taille de population. Nous avons d'abord testé par simulation la performance de la méthode. L'application de MSVAR à notre jeu de données microsatellites a ensuite permis de mettre en évidence l'existence d'une diminution de taille des populations d'A. sciophilum quasi-généralisée en Guyane, à l'exception des populations de la région littorale située entre Sinnamary et Cayenne, également probablement liés à des évènements antérieurs au Quaternaire récent. Ce travail a ainsi permis de proposer de nouvelles hypothèses quant à l'impact des variations climatiques du Quaternaire ancien (antérieur à la dernière période glaciaire) qui semblent avoir eu des répercussions plus importantes sur la végétation que les variations « récentes » du dernier maximum glaciaire. Des études complémentaires seront nécessaires pour déterminer l'importance relative des différents évènements du Quaternaire dans la répartition des espèces forestières du Bouclier Guyanais et du Bassin Amazonien.
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Lenoir, Jonathan. "Impacts d'un réchauffement rapide du climat sur la distribution des espèces végétales forestières le long du gradient d'altitude." Phd thesis, AgroParisTech, 2009. http://pastel.archives-ouvertes.fr/pastel-00005231.

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Abstract:
L'objectif de ce travail a consisté en l'évaluation des changements récents de distribution de la flore des milieux tempérés, jusqu'ici peu étudiée, afin de déterminer dans quelle mesure les espèces végétales sont capables de réagir face à un épisode rapide de réchauffement. Pour cela nous avons travaillé en zone de montagne et sous la limite altitudinale forestière, où l'étude de l'impact du réchauffement sur la distribution des espèces de la flore tempérée est facilitée par des conditions thermiques qui varient rapidement et de manière unidirectionnelle avec l'altitude. A partir de deux échelles spatiales (globale et régionale) et en utilisant trois référentiels d'études (espèce, population et communauté), nous avons analysé les changements de distribution vis-à-vis du réchauffement sous trois points de vue différents dans le but d'écarter les différents facteurs de confusion. A l'échelle globale, l'optimum altitudinal de 171 espèces est remonté en moyenne de 65 m entre 1971 et 1993 avec un déplacement plus important chez les herbacées à durée de vie courte. Chez les arbres à durée de vie longue, nous avons montré que l'altitude moyenne des présences, pour 13 essences sur les 17 étudiées, est plus élevée dans les populations au stade juvénile que dans les populations au stade adulte sur la période récente de réchauffement (1986-2006). A l'échelle régionale, la composition des communautés végétales est devenue plus thermophile et xérophile entre 1989 et 2007. Une analyse croisée de ces trois points de vue vis-à-vis des caractéristiques biologiques, écologiques et biogéographiques des espèces a confirmé l'importance du trait biologique lié au cycle de vie des espèces pour expliquer nos résultats. Dans l'ensemble ces résultats apportent de nouveaux éléments qui confirment une remontée significative des plantes en altitude, cohérente avec l'épisode de réchauffement récent et qui complètent, pour les milieux tempérés, les observations jusqu'ici emblématiques faites dans les écosystèmes alpins, subalpins, arctiques et boréaux.
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Pangou, Serge Valentin. "Régénération naturelle sur 8 hectares de la forêt dense humide du Mayombe congolais. Exemple de 5 espèces ligneuses pionnières, post-pionnières et forestières." Nancy 1, 1989. http://www.theses.fr/1989NAN10500.

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Abstract:
La forêt du Mayombe se trouve confrontée à deux principales menaces : la disparition des espèces ligneuses d'importance économique et la déforestation par les défrichements agricoles. On espère enrayer ces phénomènes par la mise en place des dispositifs sylvicoles permettant à la fois l'exploitation rationnelle de cette forêt et l'installation d'une régénération naturelle dynamique et très diversifiée. Si les dispositifs les plus récents ont permis des résultats prometteurs dans certaines forêts tropicales (Malaisie, Surinam, Côte-d'Ivoire. . . ), il n'existe encore rien sur la forêt du Mayombe. C'est dans ce contexte précis que cette étude simultanément menée en forêt primaire et en forêt secondaire à : 1) Étudie la végétation et la flore dans deux milieux et, à partir de 5 espèces ligneuses pionnières, post-pionnières et forestières, caractérise la biologie des graines et le développement des plantules ; 2) propose une méthode de gestion rationnelle de la forêt du Mayombe en vue de favoriser la régénération naturelle et de prévenir la dégradation de cette luxuriante forêt. Les résultats les plus marquants sont : la complémentarité manifeste des deux types de forêt du point de vue de leur structure et leur composition floristique, la difficile conservation des graines des espèces étudiées, la mise en évidence du statut mycorhizien de cette forêt et de sa capacité d'assurer par elle-même sa survie
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Piedallu, Christian. "Spatialisation du bilan hydrique des sols pour caractériser la distribution et la croissance des espèces forestières dans un contexte de changement climatique." Phd thesis, AgroParisTech, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00833247.

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Abstract:
De nombreuses recherches se focalisent sur l'étude des aires de distribution des espèces qui se décalent vers des conditions plus adaptées à leurs besoins physiologiques sous l'effet du changement climatique. Le choix des indices utilisés pour caractériser l'écologie des espèces et définir leur vulnérabilité au réchauffement en cours est souvent conditionné par leur disponibilité, alors qu'il devrait être basé sur les connaissances en écophysiologie qui les concernent. D'autre part, la résolution spatiale parfois grossière utilisée n'est pas toujours pertinente au regard de l'échelle à laquelle les processus biologiques se déroulent. Dans ce cadre, l'objectif de ce travail est de cartographier à fine résolution spatiale les bilans en eau des sols et leurs différentes composantes à l'échelle des forêts de France, et d'évaluer leur intérêt pour modéliser la distribution ou la productivité des espèces au regard des indices traditionnellement utilisés. Dans un premier temps, nous avons modélisé et cartographié les différentes composantes du bilan en eau des sols, et tout particulièrement le rayonnement solaire et la réserve utile maximale en eau (RUM) des sols forestiers à partir des relevés de l'Inventaire Forestier National (IFN). Ces données ont été combinées avec des températures et des précipitations pour spatialiser le bilan en eau des sols forestiers de France. Les principaux résultats montrent l'importance de la nébulosité dans la prise en compte du calcul du rayonnement solaire, et l'inefficacité des indices dérivés de l'exposition pour en simuler les valeurs à l'échelle de la France. Nous avons également déterminé qu'il est possible de réaliser avec des informations simples à collecter une carte des RUM des sols forestiers de France. Elle permet de prédire la croissance des essences avec une efficacité comparable aux valeurs relevées sur des placettes et d'améliorer la modélisation de la distribution de certaines essences. Enfin, nous démontrons que les calculs de bilans en eau qui prennent en compte la réserve en eau des sols sont plus efficaces que les bilans hydriques climatiques ou les pluies, particulièrement pour ce qui concerne les espèces hygrophiles ou xérophiles. Ces résultats laissent penser que l'importance de l'eau a été sous-estimée dans l'analyse de la distribution des espèces et l'étude des conséquences du changement climatique sur les plantes. Les données produites permettent de progresser dans la connaissance de l'écologie des espèces et de mieux caractériser la vulnérabilité des espèces, ouvrant la porte à la création d'outils plus fonctionnels pour aider les gestionnaires à évaluer les impacts du changement de climat et à s'y adapter.
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Trontin, Jean-François. "Caractérisation et variation d'une famille multigénique, l'ADN ribosomique 5S nucléaire, chez quatre espèces forestières des genres larix M. (Pinaceae) et Quercus L. (Fagaceae)." Nancy 1, 2000. http://docnum.univ-lorraine.fr/public/SCD_T_2000_0186_TRONTIN.pdf.

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Abstract:
La structure, l'organisation et les variations de la famille de l'adn ribosomique 5s nucleaire (adnr 5s) chez deux arbres forestiers sympatriques (chenes pedoncule et sessile) et chez deux arbres forestiers allopatriques (melezes d'europe et du japon). Comme chez la plupart des plantes superieures, cette famille multigenique est organisee en longues series d'unites repetees en tandem qui sont chacune constituee d'un gene 5s tres conserve entre les especes (120 pb) et d'un espaceur intergenique de taille variable. Une seule classe d'unites ( 350 pb) representee par 1000-2000 copies par genome a ete detectee chez les chenes. En revanche, deux classes d'unites tres divergentes, les unes courtes ( 650 pb) et les autres longues ( 870 pb), comportant chacune 1500-3000 copies par genome, ont ete observees chez les melezes. Ces unites courtes et longues alternent majoritairement au sein de series composites dont l'etablissement est sans doute ancien car le meme type d'organisation a ete retrouve chez 4 autres especes de melezes. L'analyse d'un croisement de chenes pedoncules et d'un croisement de melezes d'europe et du japon a montre que les marqueurs fournis par l'adnr 5s presentent generalement un mode d'heredite mendelien gouverne par un unique locus. Dans le cas du chene pedoncule, le locus a pu etre cartographie sur le groupe de liaison g5 correspondant a la paire de chromosomes n o2. Les unites d'adnr 5s evoluent en longueur par duplication en tandem, insertions et deletions surtout localisees dans la zone centrale des espaceurs. Les estimations de diversite nucleotidique intraspecifique des genes 5s (0,005-0,066), des espaceurs de chenes pedoncule et sessile (0,047-0,057), des espaceurs courts (0,098-0,067) ou longs (0,015-0,037) des melezes d'europe et du japon sont comparables a celles obtenues pour les especes herbacees a cycle court. Chez ces dernieres, le niveau de divergence interspecifique des espaceurs est bien correle au polymorphisme intraspecifique.
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Pinard, Véronique. "Cartographie des espèces forestières dans les milieux mixtes: Étude comparative entre un modèle de déconvolution spectrale et les modèles de la classification supervisée." Thesis, University of Ottawa (Canada), 2004. http://hdl.handle.net/10393/26745.

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Abstract:
Remote sensing offers an economical tool to perform forest mapping and to meet forest manager needs. The main objective of this thesis is to compare the results of both supervised classification and linear spectral analysis methods of forest cover mapping from the same sector of Anticosti Island. Supervised classification is a binary method of mapping where the pixel can be associated with only one thematic class whereas linear spectral mixture analysis is based on the principle of continuity, meaning that a single pixel can belong to more that one information class. To meet our objectives, the image used in this thesis was acquired on August 24 2001 by Landsat-7's ETM+ sensor. Radiometric calibration, atmospheric corrections and geometric corrections were applied to the image. Spectroradiometric data acquired by ASD (Analytical Spectral Devices) between 350 nm and 2500 nm were also used. The results show that the supervised classification performed with parallelepiped algorithm combined with the maximum likelihood algorithm produced good results for forest mapping in a mixed environment. The results from this method can be used to perform multitemporal studies regarding forest cover observation on Anticosti Island i.e., disease infestation, forest fire, heavy browsing by deer and regeneration. However, the linear spectral mixture analysis method results were not as conclusive as expected because of the limited number of spectral bands that can be used, the spectral regions covered by those spectral bands, and the similarity between the spectral signature of the different forest species.
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More sources

Books on the topic "Espèces forestières"

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Jobidon, Robert. Autoécologie de quelques espèces de compétition d'importance pour la régénération forestière au Québec: Revue de littérature. [Québec]: Gouvernement du Québec, Ministère des ressources naturelles, 1995.

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Krcmar, Emina. An examination of the threats and risks to forests arising from invasive alien species. Victoria, B.C: Pacific Forestry Centre, 2008.

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L'arganier: Une espèce fruitière-forestière à usages multiples. Mardaga, 1998.

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