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Journal articles on the topic 'Espèces forestières'

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1

Donkpegan, Segbedji Armel Loïc. "Histoire évolutive du complexe Afzelia Smith (Leguminosae - Caesalpinioideae) dans les écosystèmes forestiers et savanicoles d’Afrique tropicale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 77. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31494.

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Abstract:
Le genre Afzelia Smith est connu pour comporter sept espèces africaines d’arbres dont deux se retrouvent dans la région zambézienne, une en région soudanienne et les quatre autres en région guinéo-congolaise. Ces taxons, à haute valeur commerciale, sont difficiles à distinguer les uns des autres. Ils sont donc commercialisés sous un même nom : « doussié » ou « afzelia ». Ces difficultés de distinction peuvent s’avérer préjudiciables à la gestion durable des populations.Le but de cette thèse de doctorat est de caractériser l’histoire évolutive du genre Afzelia. Plus spécifiquement, cette étude vise à : (i) évaluer le niveau des divergences morphologiques au sein du genre et décrire les relations phylogénétiques, afin de quantifier l’isolement reproductif entre les taxons d’Afzelia en mettant en évidence le rôle des changements climatiques passés et/ou des gradients écologiques dans la spéciation ; (ii) procéder à une analyse approfondie de la diversité et de la structuration génétique spatiale d’Afzelia spp. ; (iii) identifier et décrire les facteurs écologiques, biotiques et abiotiques susceptibles d’influencer les flux géniques à l’échelle des populations d’une espèce d’Afzelia (A. bipindensis).Une analyse morphogénétique des espèces a été effectuée et a confirmé la forte ressemblance botanique entre les taxons. Les espèces de savane se sont avérées être diploïdes et présentent la moitié de la taille du génome des espèces forestières qui sont donc tétraploïdes. Les phylogénies de gènes, nucléaires et chloroplastiques, diffèrent entre elles. De telles différences peuvent être générées à la suite d’épisodes d’hybridation ancestrale entre espèces. Ces hybridations seraient probablement anciennes et seraient survenues entre les lignées des espèces forestières et celles d’A. quanzensis (une espèce des savanes zambéziennes). La polyploïdie serait survenue entre 7 et 9,4 millions d’années au cours de l’histoire évolutive du genre. De plus, une assignation bayésienne et des analyses d’isolement reproductif ont suggéré l’existence de croisements interspécifiques, mais uniquement chez les espèces forestières distribuées en sympatrie. À une échelle spatiale plus limitée, deux groupes génétiques bien différenciés ont été observés en sympatrie chez A. bipindensis. Ceux-ci présentent une différenciation morphologique et un décalage phénologique de la floraison qui peut contribuer à leur isolement reproductif.Cette étude a permis de mettre en évidence quelques points importants que sont : la découverte d’un complexe polyploïde au sein du genre Afzelia ; la confirmation de la délimitation des espèces diploïdes de savane ; et la nécessité de réviser la taxonomie des espèces tétraploïdes forestières.
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César, Jean, Jérémy Bouyer, Laurent Granjon, Massouroudini Akoudjin, Laure Guerrini, and Dominique Louppe. "Les relictes forestières de la falaise de Banfora : un peuplement original au voisinage de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 305, no. 305 (September 1, 2010): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.305.a20437.

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Abstract:
La falaise de Banfora est d'une grande richesse floristique et faunique. Ses forêts renferment des espèces endémiques mais aussi des espèces remarquables telles que Albiziadinklagei, Acridocarpus chevalieri ou Warneckea fascicularis qui ne se retrouvent nulle part ailleurs au Burkina Faso. C'est aussi le cas de certaines espèces d'insectes telles que Dicronorhina kouensis ou Stephanorhina guttata. Toutefois, ces forêts sont menacées, particulièrement autour de Bobo-Dioulasso où la faune d'origine a déjà partiellement disparu. Les sites de la falaise sont comparés entre eux ainsi qu'avec d'autres forêts de la région de Bobo-Dioulasso. Une très grande diversité biologique s'observe d'une forêt à l'autre. La dispersion des espèces suggère que ces forêts résulteraient de masses forestières plus vastes dont elles seraient les relictes. La végétation forestière des falaises aurait trois origines : la forêt dense sèche, caractérisée par Guibourtia copallifera, qui pourrait représenter le fond forestier originel avant l'invasion de la flore des savanes ; la forêt dense humide, représentée par la majorité des espèces ripicoles, qui serait issue de la masse forestière humide en suivant le réseau hydrographique ; un fond de flore montagnarde inféodé aux falaises gréseuses, dont l'unique représentant serait Warneckea fascicularis, auquel il serait possible de rattacher les espèces de rochers. La communauté de rongeurs des sites forestiers de la falaise de Banfora est un mélange d'espèces typiquement forestières (en particulier Praomys rostratus) dans les zones les moins perturbées et d'espèces très anthropophiles (comme Rattus rattus) sur les sites les plus dégradés par l'action humaine. La plupart des espèces d'insectes ont probablement pour origine la forêt humide de Côte d'Ivoire, avec des influences maliennes, comme Coeliades aeschylus, ou togolaises, comme Dicronorhina kouensis, espèces qui se rencontrent surtout en zone de savane guinéenne, à proximité des forêts galeries. Ces espèces n'étant pas observées au Sud, ni respectivement à l'Est et à l'Ouest du Burkina Faso, la falaise de Banfora pourrait constituer un point de rencontre entre différentes faunes, ce qui en fait toute la richesse. (Résumé d'auteur)
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3

Morel, Hélène, Éric Nicolini, Julie Bossu, Lilian Blanc, and Jacques Beauchêne. "Qualité et usages du bois de cinq espèces forestières adaptées à la plantation à vocation de bois d’œuvre et testées en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31492.

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Abstract:
Des essais de plantations forestières ont été menés en Guyane française depuis le début des années 1960 sur plus de 138 espèces (70 espèces natives et 68 espèces exotiques). Une étude récente sur la productivité de ces espèces en plantation (projet ForesTreeCulture, 2013-2015) a mis en avant le fort potentieldeproductiondetroisespècesnatives (Simarouba amara Aubl., Vochysia tomentosa (G. Mey.) DC., Bagassa guianensis (Aubl.)) et d’une espèce d’Afrique de l’Ouest (Tarrietia utilis Sprague) avec des volumes de bois produits supérieurs à 20 m3/ha/an. Cependant, les propriétés du bois de ces espèces commerciales ne sont connues qu’au travers d’arbres issus de forêt naturelle. Nous présentons les propriétés du bois de ces espèces en conditions de plantation – densité, retrait, élasticité, angle du fil, durabilité – et discutons de leurs potentiels et de leurs usages respectifs futurs. Une autre espèce, Cordia alliodora ((Ruiz et Pavon) Oken), a également été retenue bien qu’elle n’ait pas encore été plantée en Guyane française. Cette espèce, native de Guyane, est bien connue en Amérique latine pour son BOIS & son fort potentiel de croissance en milieu anthropisé.
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VALETTE, J. C. "Inflammabilités des espèces forestières méditerranéennes. Conséquences sur la combustibilité des formations forestières." Revue Forestière Française, S (1990): 76. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26171.

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Bouka Dipelet, Ulrich Gaël, Charles Doumenge, Jean Joël Loumeto, Jacques Florence, Christelle Gonmadje, and Doyle Mckey. "Des confusions entre espèces préjudiciables à la gestion durable des essences forestières : l’exemple des acajous d’Afrique (Khaya, Meliaceae)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 339 (April 17, 2019): 17. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.339.a31714.

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Abstract:
Les espèces du genre Khaya procurent l’un des bois les plus prisés du continent africain. Elles sont commercialisées sous l’appellation « acajou d’Afrique » depuis environ deux siècles. En Afrique continentale, on reconnaît actuellement quatre espèces morphologiquement proches : Khaya anthotheca, K. grandifoliola, K. ivorensis et K. senegalensis. Le nombre de taxons du genre Khaya a varié au cours du temps et la délimitation de ces taxons n’est pas sans avoir des implications sur les stratégies de conservation et de gestion durable des espèces. L’objectif du travail présenté ici est de s’assurer de la délimitation de ces espèces sur la base d’un bilan des connaissances actuelles en taxonomie, génétique, écologie et chimiotaxonomie. Les données disponibles ne permettent pas toujours de séparer sans ambiguïté les quatre acajous d’Afrique continentale. Elles permettent toutefois d’avancer que K. ivorensis, K. grandifoliola et K. senegalensis seraient des espèces à part entière mais dont les limites taxonomiques doivent encore être précisées. Khaya nyasica serait également une espèce qui devrait être séparée de K. anthotheca. Au sein de cette dernière, plusieurs chémotypes ont été identifiés, ce qui suggère que ce taxon pourrait recouvrir un ensemble plus complexe d’au moins deux autres taxons dont le rang spécifique ou sous-spécifique reste à préciser. Des recherches morphométriques, génétiques et écologiques doivent être développées afin de clarifier le statut systématique et l’histoire évolutive de ces divers taxons, en vue de formuler des recommandations appropriées pour la gestion durable des acajous d’Afrique.
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Tassin, Jacques, Ronald Bellefontaine, Edmond Roger, and Christian A. Kull. "Evaluation préliminaire des risques d'invasion par les essences forestières introduites à Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20420.

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Abstract:
Il est désormais admis que l'introduction d'une espèce exotique en milieu insulaire s'accompagne toujours d'un risque environnemental, représenté par l'éventuel déclenchement d'une invasion biologique. À Madagascar, ce risque est d'autant plus élevé que les introductions de matériel végétal s'accroissent à un degré très supérieur à celui des actions de lutte préventive, que la fréquence et l'intensité des perturbations humaines facilitent les invasions, et que la biodiversité à protéger est remarquable. Un examen préliminaire des 406 introductions d'arbres et arbustes effectuées sur cette île à des fins forestières ou agroforestières révèle que 12,8% de ces espèces se sont avérées nuisibles dans d'autres pays, et que 39,2% présentent un risque potentiel pour Madagascar dans la mesure où elles sont au moins susceptibles de s'y naturaliser. Une liste de 19 espèces présentant un risque élevé d'invasion est présentée. Sept d'entre elles sont connues pour avoir, à la fois, une reproduction sexuée et une multiplication végétative par drageonnage importantes. Face à une telle menace, un plan de gestion s'impose sur le plan national de manière à hiérarchiser, puis mettre en oeuvre les actions de communication, de recherche, de lutte préventive et de détection précoce qui s'imposent. (Résumé d'auteur)
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Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

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Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
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Blant, M., M. Moretti, and W. Tinner. "Fréquence de quelques chiroptères durant l'Holocène." Geographica Helvetica 63, no. 3 (September 30, 2008): 188–92. http://dx.doi.org/10.5194/gh-63-188-2008.

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Abstract:
Abstract. Des datations au 14C de crânes de chauves- souris ont été effectuées sur des collectes provenant de grottes du sud et du nord des Alpes suisses. Le but de ce projet était de cerner les époques dapparition de quelques espèces forestières considérées comme traceurs de périodes chaudes ou froides, puis de mettre en relation leur insertion chronologique avec les successions végétales de l'Holocène. Les données montrent une présence de longue durée pour Myotis bechsteinii et Myotis brandtii, un traceur mésothermophile et un traceur psychrophile. Une espèce thermophile méditerranéenne, Myotis blythii, apparaît dans un intervalle de temps plus restreint. La fréquence des espèces peut être expliquée au moins en partie par les successions végétales et les déboisements. En outre, les résultats suggèrent une corrélation entre la présence despèces rares thermophiles comme Myotis bechsteinii et des phases à climat chaud pendant lHolocène.
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DUCREY, M. "Réactions à la sécheresse de quelques espèces forestières méditerranéennes." Revue Forestière Française, no. 5 (1988): 359. http://dx.doi.org/10.4267/2042/25903.

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Tassin, Jacques. "LA QUESTION DE L'IMPACT DES PISTES D'EXPLOITATION FORESTIÈRE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31305.

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Abstract:
Dans le langage commun, les pistes forestières sont syno- nymes de fragmentation, de couloirs d’accès aux popula- tions humaines ou aux espèces invasives, voire plus sim- plement d’atteintes à l’intégrité de zones restées jusque-là à peu près intactes. Est-ce si simple cependant ? De quoi sont directement responsables les pistes forestières en milieu tropical ? Et leurs impacts demeurent-ils réellement irréversibles ? Dans ce numéro 328 de Bois et Forêts des Tro- piques, nous proposons deux articles de synthèse qui, sans prétendre faire le tour de telles questions, apportent toute- fois de très intéressants éléments de réponse...
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Desrochers, André, and Bruno Drolet. "Le Programme de surveillance des oiseaux nicheurs de la Forêt Montmorency : une nouvelle source de tendances des populations d’oiseaux nicheurs pour la forêt boréale au Québec." Le Naturaliste canadien 141, no. 2 (May 4, 2017): 61–74. http://dx.doi.org/10.7202/1039737ar.

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Abstract:
La surveillance des populations d’oiseaux nicheurs de la forêt boréale est une mission tout aussi importante que difficile à réaliser. Malgré la diversité des programmes de surveillance d’oiseaux, les tendances des populations des oiseaux de la forêt boréale québécoise demeurent imprécises. Nous présentons une nouvelle série d’estimations de tendances, provenant de la Forêt Montmorency, située en forêt boréale, dans le domaine de la sapinière à bouleau blanc au nord de la ville de Québec. L’abondance de la plupart des espèces recensées, peu importe le stade de succession forestière, est stable ou en hausse depuis 1995. Ces tendances semblent découler de changements locaux dans les habitats, tels que l’historique des coupes forestières. Par ailleurs, les tendances obtenues à la Forêt Montmorency concordent faiblement, mais généralement de manière positive, avec celles obtenues pour des périodes similaires, par le Relevé des oiseaux nicheurs (BBS) et les observatoires d’oiseaux de Tadoussac et de McGill. Les tendances de populations de ce nouveau programme de surveillance suggèrent une forte variation régionale de la situation des espèces ou une possible méconnaissance de l’état réel des populations d’oiseaux en raison d’un suivi insuffisant dans l’ensemble de la forêt boréale.
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Amat, Jean-Paul, B. P. T. Bôi Phùng Tùu, Amélie Robert, and N. T. H. Nghi Tran Hùu. "Espèces à croissance rapide au Viet Nam : des forêts de qualité exemples dans la province de Thua Thiên-Hué?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 305, no. 305 (September 1, 2010): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.305.a20440.

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Abstract:
Les plantations forestières sont sujettes à controverses. Pourtant, en les plaçant au coeur de sa politique forestière, le gouvernement vietnamien semble avoir jeté les bases d'une politique forestière de qualité, ou durable. Les politiques de protection forestière dénuées de préoccupations économico- financières et qui ne proposent aucune solution de rechange aux habitants sont vouées à l'échec, puisque l'application des programmes forestiers requiert des moyens et que les forêts offrent des ressources souvent vitales pour les populations. Or, l'étude, multiscalaire et multisource, menée dans la province de Th?a Thiên- Hu?, au centre du Vi?t Nam, montre que les forêts plantées d'Acacia spp. (A. mangium, A. auriculiformis et leur hybride) peuvent être des forêts de qualité. Les habitants prennent une part active aux programmes de plantations qui, leur offrant des ressources à court terme, améliorent leur qualité de vie. Parallèlement, ces plantations présentent des valeurs ajoutées environnementales : rétablissement rapide d'un couvert forestier sur les mamelons savanicoles, amélioration de la qualité des sols et augmentation de la superficie forestière, directement ou indirectement, en concourant au recul de l'exploitation des forêts spontanées. La surveillance et l'encadrement peuvent permettre de repousser les limites, désormais bien connues, des plantations : vulnérabilité accrue aux fléaux, risque d'érosion dans les coupes rases et frein à la reconquête spontanée. Le succès de la politique engagée par le gouvernement vietnamien, notamment la pérennité de la qualité des forêts plantées, dépendra de son engagement futur. (Résumé d'auteur)
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Zida, AW, BA Bationo, AN Some, and R. Bellefontaine. "Architecture racinaire et aptitude au drageonnage de trois espèces forestières." International Journal of Biological and Chemical Sciences 8, no. 3 (October 22, 2014): 903. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v8i3.7.

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Maréchal, Corinne, Robert Nasi, and Didier Bastin. "Gestion de la faune dans les concessions forestières d'Afrique centrale : vers une approche pragmatique des recensements." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 311, no. 311 (March 1, 2012): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.311.a20513.

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Abstract:
Depuis la Convention de Rio (1992), la gestion durable des forêts est devenue un enjeu majeur dans le bassin du Congo. Cette thématique s’est traduite notamment par une révision des législations forestières de la plupart des pays de la sous-région dans le sens d’une meilleure prise en compte de la biodiversité. Les espèces animales sont particulièrement concernées puisque, désormais, les plans d’aménagement des concessions forestières doivent obligatoirement inclure un volet ayant trait à la faune sauvage. Par ailleurs, la certification forestière qui s’impose progressivement dans la sous-région constitue un autre outil de promotion de l’aménagement forestier durable, y compris pour la faune. En vue de cet objectif, tous les systèmes actuellement appliqués dans les forêts en voie de certification soumettent les exploitants à des exigences de gestion particulières en matière de faune. Or la connaissance de l’état des populations animales en présence est un prérequis indispensable à la planification de la gestion de cette ressource. C’est pourquoi, depuis quelques années, les recensements des grands et moyens mammifères se multiplient dans les forêts de production en cours d’aménagement. L’article fait le bilan critique des méthodes de comptage appliquées jusqu’à présent dans le contexte de l’aménagement forestier. Il soulève les nombreux inconvénients auxquels se heurtent les pratiques actuelles et s’interroge sur leur pertinence dans une perspective de suivi et de gestion du potentiel faunique des forêts exploitées.
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Rakotonandrasana, Stéphan, Andriamalala Rakotondrafara, Roland Rakotondrajaona, Vincent Rasamison, and Michel Ratsimbason. "PLANTES MÉDICINALES DES FORMATIONS VÉGÉTALES DE LA BAIE DE RIGNY-ANTSIRANANA À MADAGASCAR." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 331 (July 21, 2017): 55–65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.331.a31326.

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Abstract:
Des enquêtes ethnobotaniques ont été menées dans les formations forestières de la baie de Rigny-Antsiranana à Madagas- car. Ces formations forestières sont des zones clés de la biodiversité malgache et constituent la principale source d’appro- visionnement des populations locales en plantes utiles. Trente-huit informateurs d’âge compris entre 15 et 80 ans, tradipra- ticiens, mères et pères de famille et connaissant bien les plantes médicinales, ont été enquêtés en les amenant en forêt ou bien en leur montrant des spécimens d’herbier. La méthode d’enquête indivi- duelle retenue était l’entretien semi-struc- turé. Cinquante-trois espèces de plantes médicinales réparties dans 50 genres et 28 familles ont été recensées. Trente-huit espèces (68,6 %) sont endémiques de Madagascar. Les dix premières espèces les plus utilisées ont des indices de fidéli- té élevés pour les maladies indiquées. Dix-neuf espèces ont des indices de fidéli- té élevés (> 60 %) pour diverses maladies. Les maladies auxquelles les informateurs rattachent le plus grand nombre de plantes médicinales sont les affections du système digestif (maux de ventre et diarrhée), les maladies générales (les plaies et la fatigue), les infections et infestations (le paludisme), tout comme la grossesse, la naissance et la puerpéralité. Les indices de fidélité de Adansonia madagascariensis et Senna alata destinées respectivement à la lutte contre la perte de poids et l’hyperten- sion artérielle sont également élevés. Toutes ces maladies sont fréquentes à Madagascar. Les formations végétales de la baie de Rigny-Antsiranana constituent un réservoir de plantes médicinales pour la région Nord de Madagascar. Les connais- sances locales relatives à ces plantes n’ont pas été transcrites mais restent orales et risquent d’être perdues. La végétation naturelle y est menacée par la pression anthropique et l’absence de plan de conservation. Des recherches chimiques et pharmacologiques sur les espèces endémiques, et des mesures de conser- vation de la végétation, sont nécessaires pour leur valorisation et leur protection.
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Zahira, Souidi, and Benbakar Hadj. "L’Algerie: une region mediterraneene tres sensible aux incendies de foret." Territorium, no. 24 (March 30, 2017): 177–86. http://dx.doi.org/10.14195/1647-7723_24_13.

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Abstract:
Comme dans de nombreux pays de la Méditerranée, les zones boisées en Algérie sont soumises à un risque récurrent des incendies de forêt qui est favorisée par l'extrême inflammabilité des espèces forestières méditerranéennes durant l'été. Ce travail tente de clarifier l'évolution et les causes des feux de forêt en Algérie et de donner un aperçu des efforts déployés au niveau national pour réduire le risque d'incendie de forêt. https://doi.org/10.14195/1647-7723_24_13
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Tassin, Jacques. "André Aubréville (1897-1982), a pioneering forester and a visionary mind." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31240.

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Abstract:
André Aubréville fut un forestier d’exception. Formé à l’École forestière française de Nancy, il rejoignit dans les années 1920 les services forestiers coloniaux. Ses livres quifontencore référence témoignent d’un esprit encyclopé- dique, d’une grande lucidité et d’un talent de visionnaire. Comprenant combien l’avenir de la forêt tropicale était menacé par les activi- tés humaines, il mit en place des structures forestières susceptibles d’assurer ce qu’on nommerait aujourd’hui une production sou- tenue. Il devint en 1939 Inspecteur général des Eaux et Forêts de l’Afrique occidentale française mais était aussi déjà réputé comme botaniste spécialiste des Sapotacées et bio- géographe. À l’âge de 60 ans, il fut nommé Professeur au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, et entra à l’Académie des Sciences de l’Institut de France. Travailleur in- fatigable, il considérait la botanique comme un outil permettant de mieux comprendre la complexité des forêts tropicales. S’insur- geant contre les généralisations abusives, il montra pourquoi la climatologie actuelle ou passée déterminait localement la compo- sition floristique et les contours de la forêt africaine, forêt malmenée par les feux dont il mesurait l’effet dévastateur et durable. Il fut le premier à entreprendre une véritable tropicalisation de la foresterie, à démontrer la faiblesse du concept de forêt primaire et à suggérer la valorisation des forêts secon- daires. Il ne doutait pas que le matériau bois tiendrait, cinquante ans plus tard, face aux matériaux concurrents, et que les espèces les plus demandées le demeureraient encore pour leurs qualités technologiques supé- rieures. L’ensemble de son œuvre appelait à une forme d’interventionnisme susceptible de préserver les ressources forestières tropi- cales de toute forme d’exploitation abusive. D’aucuns ont pu y voir l’expression d’un tem- pérament jugé trop colonial. Mais on peut tout autant aujourd’hui y déceler, par l’am- pleur des propositions formulées en faveur de la protection de la végétation forestière, l’œuvre d’un forestier résolument précurseur et visionnaire.
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Duponnois, Robin, Ezékiel Baudoin, Hervé Sanguin, Jean Thioulouse, Christine Le Roux, Estelle Tournier, Antoine Galiana, Yves Prin, and Bernard Dreyfus. "L'introduction d'acacias australiens pour réhabiliter des écosystèmes dégradés est-elle dépourvue de risques environnementaux ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 318, no. 318 (December 1, 2013): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.318.a20519.

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Abstract:
L'utilisation d'essences forestières exotiques et plus particulièrement des arbres à croissance rapide (acacias, pins ou eucalyptus) a été fréquemment recommandée pour réhabiliter et restaurer à brève échéance des milieux dégradés suite à des événements naturels ou à des activités anthropiques. L'incidence sur l'environnement de l'introduction de ces espèces, parfois envahissantes, est surtout évaluée pour leur impact sur la biodiversité végétale et les caractéristiques physico-chimiques des sols, mais rarement en ce qui concerne la composition de la microflore. Les micro-organismes, et plus particulièrement les champignons mycorhiziens, jouent un rôle clé vis-à-vis des mécanismes biologiques régissant la fertilité chimique des sols et leur productivité, facteurs de stabilité des écosystèmes terrestres. L'approche retenue a été de décrire l'incidence de l'introduction d'essences exotiques sur les caractéristiques biologiques des sols, ainsi que les conséquences sur la reconstruction d'un couvert végétal composé par des espèces natives du milieu d'origine. Après avoir rappelé l'importance de l'utilisation des acacias à travers le monde, deux études réalisées au Sénégal et en Algérie ont permis de montrer que deux acacias australiens, Acacia holosericea et Acacia mearnsii, induisent de profondes modifications de la diversité fonctionnelle de la microflore du sol et aussi de la structure des microorganismes symbiotiques (champignons mycorhiziens et rhizobia). Ces acacias entraînent une inhibition de la croissance de deux espèces forestières natives, Faidherbia albida et Quercus suber. Les résultats confirment le besoin de cerner les processus biologiques liés aux actions d'introduction d'essences exotiques afin de moduler leur utilisation. Ainsi, cette connaissance préviendra les risques et assurera les performances des opérations de reboisement, notamment pour la réhabilitation des terrains dégradés.
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LHOEST, Simon. "Biodiversité et services écosystémiques en forêts tropicales : le rôle des affectations des terres forestières dans la région du Dja, Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 345 (November 2, 2020): 105–6. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.345.a31949.

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Abstract:
Des dizaines de millions de personnes dépendent des forêts tropicales pour leur subsistance en Afrique centrale. Ces écosystèmes abritent une biodiversité unique et fournissent d'importants services écosystémiques (SE), qui peuvent varier en fonction des stratégies de gestion. Dans cette thèse de doctorat, nous avons évalué la biodiversité et les services écosystémiques dans le paysage du Dja au Cameroun, dans trois affectations des terres forestières : une aire protégée, une concession forestière certifiée FSC et trois forêts communautaires. Tout d'abord, nous avons évalué la valeur de conservation des forêts sur la base de la richesse et de la composition en espèces de deux groupes taxonomiques : les mammifères et les bousiers. Les espèces les plus grandes et les plus menacées ont été détectées dans l’aire protégée et les zones les plus éloignées de la concession forestière, mieux préservées de l'influence humaine. En revanche, les forêts communautaires sont particulièrement défaunées et dégradées en raison de leur proximité avec les routes et les villages, mais elles couvrent des superficies beaucoup plus limitées et conservent une canopée fermée. Deuxièmement, des entretiens identifiant les perceptions de l'offre en SE ont montré que, contrairement aux services de régulation qui ont été rarement mentionnés, les services d’approvisionnement et culturels sont les plus importants pour les populations locales. Parmi ceux-ci, la viande de brousse est le seul service pour lequel l’offre de la forêt n’est pas suffisante pour les populations locales. Troisièmement, en combinant des entretiens et enquêtes de terrain, nous avons quantifié l'utilisation de huit SE d'approvisionnement et culturels par les populations locales. Nous avons constaté que le bois de feu et le bois d'œuvre sont utilisés de manière durable par les populations locales, tandis que la chasse et la consommation de viande de brousse dépassent les seuils de durabilité. Concilier la conservation de la faune sauvage, la sécurité alimentaire et les pratiques de chasse durable est un défi majeur en Afrique centrale. Pour ce faire, il est essentiel d’intégrer toutes les parties prenantes dans les stratégies de gestion forestière durable, permettant d’identifier les leviers sociaux qui sous-tendent les changements de comportement des utilisateurs des forêts.
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Diop, Mamadou, Bienvenu Sambou, Assane Goudiaby, Idrissa Guiro, and Fatimata Niang-Diop. "Ressources végétales et préférences sociales en milieu rural sénégalais." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 310, no. 310 (December 1, 2011): 57. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.310.a20459.

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Abstract:
La connaissance des préférences des populations rurales en ressources végétales forestières est une donnée importante pour la définition des politiques de gestion et de conservation des ressources naturelles et pour la mise en oeuvre des plans d'aménagement forestier. Cette étude ethnobotanique, essentiellement qualitative, a permis, grâce à l'utilisation de la matrice de classification préférentielle par paire, d'identifier les espèces végétales préférées des populations riveraines de la forêt classée de Patako (région administrative de Fatick, Sénégal). Les résultats de l'étude montrent que, sur 73 espèces ligneuses répertoriées, les préférences des populations locales portent sur 34 espèces. Chez les hommes, la possibilité d'en tirer du bois de service est le critère le plus déterminant dans le choix des espèces, suivie des possibilités d'utilisation en phytothérapie, dans l'alimentation du bétail et dans l'alimentation humaine. Chez les femmes, les préférences sont plutôt motivées par les possibilités d'approvisionnement en fruits et en bois d'énergie. La possibilité d'en tirer des remèdes contre les inconvénients de la maternité, les maladies infantiles, le paludisme et l'hypertension artérielle a été de même déterminante dans le choix des espèces chez les femmes. Cordyla pinnata et Parkia biglobosa, malgré leur régression quantitative significative, sont les deux espèces davantage préférées dans cette partie méridionale du Saloum. Même si, au plan méthodologique, le choix des participants peut constituer une limite, les résultats de l'étude pourront aider à améliorer les politiques de restauration du couvert végétal, surtout en zone de terroir. (Résumé d'auteur)
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Yabi, Francis Biaou, Toussaint Olou Lougbegnon, and Jean Timothée Claude Codjia. "Sélection des espèces indicatrices d’oiseaux des galeries forestières au Bénin (Afrique de l’Ouest)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 2 (July 19, 2017): 651. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i2.10.

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GALLAND, J. P. "Les espèces forestières protégées et les arrêtés de protection de biotopes en forêt." Revue Forestière Française, S (1991): 133. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26255.

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Courchesne, Milène, Stéphanie Pellerin, Marianne Bachand, Steeve D. Côté, and Monique Poulin. "La flore des tourbières de l’île d’Anticosti lorsque soustraite au broutement par le cerf de Virginie." Botanique 141, no. 2 (May 4, 2017): 6–15. http://dx.doi.org/10.7202/1039731ar.

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Abstract:
Depuis son introduction, il y a plus d’une centaine d’années, le cerf de Virginie (Odocoileus virginianus Zimm.) a fortement perturbé la flore de l’île d’Anticosti. Les communautés forestières sont sans contredit celles qui ont été les plus affectées. Toutefois, le cerf exploite et perturbe aussi d’autres écosystèmes, comme les tourbières. Dans ce contexte, nous voulions savoir quelle serait la diversité végétale des tourbières à la suite du retrait du cerf. Pour ce faire, 53 exclos ont été mis en place en 2007 et suivis pendant 8 ans. Au total, 125 espèces végétales ont été identifiées dans l’ensemble des exclos en 2007 et 151 espèces après 8 ans d’exclusion du cerf, ce qui représente une hausse de 21 %. Le nombre d’espèces indicatrices, c’est-à-dire celles caractéristiques d’un habitat donné, a également augmenté, passant de 33 à 48, la hausse étant particulièrement importante dans les laggs (écotones entre la forêt et la tourbière). Le recouvrement des espèces préférées par le cerf a grandement augmenté, notamment celui du bouleau nain (Betula pumila L.) et de la sanguisorbe du Canada (Sanguisorba canadensis L.) (respectivement 2 et 8 fois). Au final, les tourbières de l’île d’Anticosti possèdent un potentiel de diversité végétale plus élevé qui peut s’exprimer avec l’arrêt du broutement par le cerf de Virginie.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Wild Forests or Silviculture." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31243.

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Abstract:
Dans les pays forestiers du Golfe de Gui- née, l’enrichissement des forêts denses, naturellement très pauvres en essences commercialisables, a vu le jour dans les années 1920. Il apparaît en effet indispen- sable de compenser les pertes de l’exploi- tation par des opérations sylvicoles qui assureront la reconstitution de la compo- sition primitive en bonnes espèces. Une telle activité, parfois vivement détractée, mais qui convertirait pourtant favorable- ment des forêts sauvages en forêts valo- risables, ne peut être conçue que dans la durée. Cela n’est possible que si les moyens mis à disposition des forestiers sont garantis durablement. L’enrichis- sement se justifie par le faible nombre d’essences forestières commercialisées, lesquelles demeureront les mêmes dans cinquante ans parce qu’elles disposent des meilleures propriétés technolo- giques. Une forêt enrichie en okoumés, limbos et niangons, avec une production de 50 à 60 arbres exploitables par hec- tare, aura donc toujours plus de valeur qu’une forêt sauvage. Cet enrichissement est justifié par la raréfaction progressive des espèces les plus exploitées, inaptes à se renouveler sous un couvert dense. On sait par exemple que les zones riches en okoumés ne le sont que parce qu’elles ont été précédées par l’occupation an- cienne de populations humaines qui ont depuis disparu. L’enrichissement se justi- fie aussi pour éviter que l’exploitation ne se diffuse à l’ensemble des massifs fores- tiers et entraîne progressivement leur dis- parition. Les scieries font en effet souvent le vide autour d’elles, et les pistes fores- tières concourent au mitage des forêts, jusqu’à leur mise en valeur agricole. Sans classement de forêts et sans sylviculture, il n’y aura plus, dans quelques dizaines d’années, ni forêts économiquement ex- ploitable, ni industries forestières en vue du commerce d’exportation.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Prasad Sapkota, Indra, Mulualem Tigabu, and Per Christer Oden. "Diversité des essences et régénération de forêts communautaires à Sal (Shorea robusta) dans la région centrale du Népal." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 300, no. 300 (June 1, 2009): 57. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.300.a20415.

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Abstract:
Cette étude a porté sur la diversité et la régénération d¿essences forestières dans deux forêts communautaires à Sal (Shorea robusta) au centre du Népal, la forêt de plaine de Bhabar (LEF) et une forêt d¿altitude (HEF). Les essences de plus de 30 cm de hauteur ont été dénombrées sur 16 quadrats systématiquement délimités. La densité, la dominance et la fréquence ainsi que l¿indice des valeurs d¿importance (IVI) des essences ont été calculés afin de caractériser la composition floristique. La densité des peuplements, la surface terrière et des mesures de diversité ont été calculées afin d¿analyser la structure et l¿hétérogénéité des peuplements de chaque communauté forestière. Au total, 17 familles, 19 genres et 21 espèces étaient représentées dans la LEF. Pour la HEF, le total recensé est de 13, 18 et 21, respectivement. Les résultats de l¿étude indiquent que Shorea robusta est l¿essence la plus abondante aussi bien pour la LEF (IVI = 174,4%) que la HEF (IVI = 206,9%). Il ressort nettement de l¿étude une association de Shorea robusta, Schima wallichi et Syzygium operculatum dans la forêt LEF et de Shorea robusta, Pinus roxburghii et Eugenia jambolana dans la HEF. La densité des peuplements et la surface terrière de la LEF (13 231 tiges/ha, 34,30 m2/ha) est plus élevée que pour la HEF (7 787 tiges/ha, 20,69 m2/ha). Les indices de Shannon-Weiner et Simpson ont tout deux fait ressortir une densité plus importante pour la HEF (H¿= 2,42, 1 D = 0,64) que pour la LEF (H¿= 1,38, 1 D = 0,35). L¿état de régénération des deux forêts à Sal semble globalement satisfaisant, avec 38% et 33% de l¿ensemble des espèces de la LEF et la HEF, respectivement, représentées aux stades du plant et de la régénération avancée. L¿étude conclut que les variations en termes de composition spécifique, de diversité et de régénération s¿expliquent en partie par l¿altitude. (Résumé d'auteur)
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Oumar, Abakar, Fridolin Choula, Oscar Wamba Fotsop, Richard Jules Priso, and Victor Désiré Taffouo. "Paramètres de structure, état phénologique de Triplochiton scleroxylon K. Schum. et diversité spécifique des essences accompagnatrices dans la forêt du Sud-Est Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 2 (June 23, 2021): 707–27. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i2.25.

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Abstract:
Dans le but de gérer durablement les essences forestières du Bassin du Congo où il est noté une insuffisance des connaissances biologiques et écologiques sur la plupart des essences, une étude sur les paramètres de structure et l’état phénologique de Triplochiton scleroxylon K. Schum. (Ayous) et la diversité spécifique des essences accompagnatrices a été entreprise dans le Sud-Est Cameroun. Un inventaire floristique a permis de compter tous les individus de T. scleroxylon et des essences accompagnatrices ayant un diamètre à hauteur de poitrine (DHP) supérieur ou égale à 10 cm. Les paramètres de structure ainsi que l’état phénologique ont été observés ou mesurés. La richesse spécifique des essences accompagnatrices dans la parcelle permanente et sur le parcours phénologique se compose de 46 espèces réparties dans 20 familles et 39 genres. L’indice de diversité de Shannon-Weaver (4,61) et celui de l’Equitabilité de Piélou (0,83) sont élevés dans la parcelle étudiée comme dans l’ensemble des forêts tropicales. Les DHP des individus de T. scleroxylon varient de 80 à 130 cm avec une moyenne de 110±29,33 cm. La hauteur moyenne du fût est de 14,09 ± 2,55 m. La densité de T. scleroxylon observée dans la parcelle est 11 individus/ha. Ces résultats servent comme des données scientifiques sur la dynamique des individus de T. scleroxylon et des essences forestières accompagnatrices du bassin du Congo.Mots clés : Inventaire floristique, paramètres de structure, état phénologique, diversité spécifique, Triplochiton scleroxylon, bassin du congo.
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Ngaba, Mbezele Junior Yannick, and Martin Tchamba. "Etude de faisabilité de la mise en place d’un site écotouristique dans le parc national de Boumba-Bek: cas des clairières forestières de Pondo." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 12, 2020): 3177–92. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.17.

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Abstract:
Correction: The previously published version of the article had additional authors, including J.P. BELINGA, G. ETOGA, Expedit Bernard FOUDA and René MEIGARI. These names have been removed, for they did not really contribute to this work. L’écotourisme, alternative d’impulsion du développement et de financement durable, est une solution viable pour faire face à l’insuffisance de moyens financiers rencontrés par les gestionnaires de parcs nationaux. C’est ainsi que la présente étude s’est donnée pour objectif de savoir si les clairières forestières de Pondo situées dans la partie Sud du Parc National de Boumba-Bek possèdent un potentiel faunique susceptible d’être valorisé. Les méthodes du « scan sampling » et les « recces » ont été utilisées. Il ressort de l’analyse des données qu’un total de 16 espèces, représentées par plusieurs espèces emblématiques, entre autres, Loxodonta africana cyclotis, Gorilla gorilla, Panthera pardus. Les sites sont fréquemment visités en matinée (20,1%). Loxodonta africana cyclotis a l’abondance relative la plus élevée avec 0,699 indice au kilomètre. Un total de 68 signes d’activités anthropiques a été recensé pour un taux d’IKA moyen de 0,15 indice au km avec un coefficient de détermination R2 = 0,7674. Le coefficient de corrélation de Spearman r = -0,8760 a été obtenu à travers l’équation y = -44,144 x + 316,72. Il ressort de cette étude que les clairières forestières de Pondo sont régulièrement fréquentées et peuvent faire l’objet d’une valorisation écotouristique. Mots clés: Grands et moyens mammifères, clairières forestières, suivi écologique, parc national. English Title: Feasibility study of the implementation eco-tourist site in Boumba-Bek national park: case of Pondo forest clearings Ecotourism, an alternative to development stimulus and sustainable financing is a viable solution to address the financial constraints by national park managers. The objective of this study is to determine whether Pondo forest clearings in the southern part of Boumba-Bek national park have wildlife potential that can be harnessed for eco-tourism purposes. The “scan sampling” and “recces” methods were used. Analysis of the data shows that a total of 16 species represented by several emblematic species including Loxodonta africana cyclotis, Gorilla gorilla, Panthera pardus. Sites were frequently visited in the morning (20, 1%) and Loxodonta africana cyclotis has the highest relative abundance with 0,699 index per kilometer. A total of 68 signs of anthropogenic activity were identified for an average IKA rate of 0, 15 index per kilometer with a coefficient of determination R2 = 0, 7674. The correlation coefficient of Spearman r = -0, 8760 was obtained from equation y = -44,144 x + 316, 72. This study shows that Pondo forest clearings are regularly used and can be used for ecotourism purposes.Keywords: Large and medium mammals, forest clearings, ecological monitoring, national park.
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Tassin, Jacques. "Les plantations forestières industrielles à l'épreuve des représentations de la nature." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 9. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20469.

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Abstract:
Les plantations industrielles, qui couvrent de l'ordre de 100 millions d'hectares, ne bénéficient pas d'un regard universel et consensuel. Leur représentation dépend de la notion culturelle de la nature. Les modèles occidentaux privilégient le concept d'une nature non modifiée par l'homme. De tels modèles ne s'ajustent pas aux représentations paysannes en milieu tropical, qui s'accommodent plus aisément d'une nature domestiquée et susceptible d'assurer les besoins vitaux. En outre, la vitesse de croissance, telle celle des eucalyptus, peut constituer un attrait auprès des populations rurales. En sylviculture, une ambiguïté tient également à la démarche consistant à " imiter la nature ", qui s'exprime de manières contrastées selon qu'il s'agit de forçage anthropique ou de simple pilotage. Les populations urbaines et les organisations non gouvernementales environnementalistes ont une image négative des plantations industrielles, dont elles estiment généralement qu'elles sont peu porteuses de leur propre idée de nature. En outre, le regard occidental exacerbe le dualisme entre espèces indigènes et exotiques, dont on sait pourtant qu'il repose sur l'adoption consensuelle de seuils arbitraires. Les exemples malheureux d'espèces végétales qualifiées de " plantes miracles " renforcent ce clivage. Mais les plantations industrielles sont aussi l'expression d'une monoculture souvent mal perçue car porteuse d'homogénéisation biologique, voire culturelle, et ces peuplements artificiels se heurtent de fait à la norme positive de la diversité. Il importerait de considérer de telles plantations comme des objets hybrides, dotés d'une double dimension biophysique et socioculturelle, qu'il s'agit de situer dans leur contexte. Il convient d'accepter que le regard porté sur les plantations d'essences exotiques puisse relever de représentations divergentes. (Résumé d'auteur)
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Weaver, Peter L. "Changements à long terme de structure et de composition d'une forêt primaire humide de basse montagne suite au passage d'ouragans a Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, no. 317 (September 1, 2013): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20525.

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Abstract:
Dacryodes excelsa, espèce arborée connue sous les noms de tabonuco à Puerto Rico et de gommier aux Petites Antilles, domine les sommets de la forêt tropicale humide de basse montagne (selon Beard) de l'archipel des Caraïbes ; où périodiquement les ouragans passent à travers les îles modifiant la structure des massifs forestiers, leur composition en essences et leur dynamique. Au nord-est de Puerto Rico, l'étude chronologique post-ouragans menée entre 1946 et 2010 a permis de suivre les modifications de la végétation sur une parcelle de 0,40 hectare à 380 metres d'altitude dans la forêt expérimentale de Luquillo. Celle-ci a montré : (1) la défoliation, la casse et les chablis provoqués par le vent induisant une mortalité immédiate entraînent une déstructuration de forêt en perte du nombre de tiges, de hauteur des arbres et de biomasse ; (2) la mortalité différée de d'autres arbres blessés s'accompagne d'un rapide et abondant recrutement de Cecropia schreberiana et d'espèces cicatricielles, augmentant le nombre de tiges dans la forêt ; (3) une accélération de la croissance en diamètre et l'accumulation de la biomasse pendant une vingtaine d'années après l'ouragan, suivie du déclin de leur ratio ; (4) un très fort taux de survie après l'ouragan et une augmentation de la vitesse de croissance en diamètre de Dacryodes excelsa ; (5) toujours suite à l'ouragan, une augmentation de la richesse en espèces pendant une période de 20 ans au cours de laquelle les espèces primaires et secondaires grandissent ensemble, suivie dune chute d'abondance liée la concurrence ; (6) enfin, des conditions d'évolution asymptotiques aussi bien pour les tiges et la biomasse que pour le nombre d'espèces, après plus de 40 ans. En outre, d'autres études connexes menées dans des types de forêts semblables ont montré que les ouragans et les coupes intensives induisent des réactions de croissance comparables. Cette étude s'avère être d'intérêt régional puisque la forêt humide de basse montagne de Puerto Rico partage des conditions environnementales semblables ainsi que les mêmes essences forestières avec les montagnes des Antilles.
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Peltier, Régis, Émilien Dubiez, Simon Diowo, Morgan Gigaud, Jean-Noël Marien, Baptiste Marquant, Adrien Peroches, Pierre Proces, and Cédric Vermeulen. "Assisted Natural Regeneration in slash-and-burn agriculture: Results in the Democratic Republic of the Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (July 17, 2014): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31220.

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Abstract:
La majorité des impacts anthropiques sur les forêts tropicales naturelles en Afrique centrale est liée à l’agriculture itinérante et à l’extraction du bois de feu en zone périur- baine. Cela est en particulier le cas autour de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC). C’estpourquoi, en 2010, la Régénération naturelle assistée (RNA) a été adaptée et testée par le Projet Makala dans le bassin d’approvisionnement en bois de feudecetteville, pouraméliorerlessystèmes de culture sur abattis-brûlis et contribuer à l’enrichissement des jachères forestières. Avant la défriche, des arbres utiles sont sé- lectionnéspourêtre protégés. Puis, pendant la période de culture, la germination et la multiplication par rejets de souche et dra- geons des espèces forestières locales pré- existantessontfavoriséespar despratiques de sarclages sélectifs, d’éclaircies et d’éla- gages. Lesuividecestestsmontreunefaible survie des vieux arbres conservés lors du défrichementpour lescultures, enraisonde la difficulté de contrôle des feux lors du brû- lis, ce qui limite l’applicabilité de cette tech- nique à la périphérie des parcelles, sous forme d’enrichissement progressif de haies bocagères. Par contre, à l’intérieur des par- celles, les rejets de souche exploités et les drageonsdesespècesforestièresnaturelles, protégéspar RNA aumomentdessarclages, ont montré une croissance rapide qui per- met, àfaiblecoût, d’installer rapidementune jachère ligneuse. En 2014, trois ans et demi après le brûlis, ces jachères ont une biodi- versité etune biomasse supérieuresà celles des jachères non gérées par RNA. Une meil- leure productivité en charbon et en produit agricole ainsi qu’une réduction de la sava- nisation des espaces forestiers sont espé- rées. Cependant, l’acceptation sociale, qui estunfacteurcritiquepourladiffusiond’une telle innovationàgrandeéchelle, resteàétu- dier, en relation avec l’évolution possible desdroitsfoncierstraditionnelsetmodernes.
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Tèwogbade Akpona, Jean Didier, Achille Ephrem Assogbadjo, Adandé Belarmain Fandohan, and Romain Glèlè Kakaï. "Inventory and multicriteria approach to identify priority commercial timber species for conservation in Benin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 333 (November 28, 2017): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.333.a31461.

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Abstract:
Diverses essences forestières, dont certaines sont menacées, sont exploitées pour leur bois, légalement ou non. Les essences prioritaires pour la conservation à long terme doivent donc être définies. La présente étude a permis de réaliser un inventaire des essences exploitées au Bénin et d’identifier les essences prioritaires pour lesquelles des actions urgentes de conservation et de restauration sont nécessaires. Des recherches bibliographiques complétées par des entretiens avec différentes parties prenantes ont été menées afin de recueillir les données requises pour dresser une liste exhaustive des essences prioritaires. Dix critères et quatre méthodes de priorisation ont été utilisés. Au final, l’approche a retenu 10 essences parmi les 15 essences prioritaires définies par chacune des méthodes. Au total, 24 espèces végétales ont été identifiées, appartenant à 9 familles : Fabacées (25 %), Malvacées (20,83 %), Méliacées (16,67 %), Combrétacées (8,33 %), Moracées (8,33 %), Verbénacées (8,33 %), Ébénacées (4,17 %), Rutacées (4,17 %) et Myrtacées (4,17 %). Des mesures de conservation et de restauration sont préconisées d’urgence pour les 10 essences prioritaires ainsi retenues.
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Akrimi, Noureddine, Eliel Steen, Ahmed M'charek, and Abdeljelil Jellali. "Étude des biomasses souterraines et aériennes développées par certaines espèces forestières, fruitières et fourragères cultivées en Tunisie centrale." Ecologia mediterranea 15, no. 3 (1989): 1–14. http://dx.doi.org/10.3406/ecmed.1989.1637.

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Penot, Eric, and Isabelle Ollivier. "L'hévéa en association avec les cultures pérennes, fruitières ou forestières : quelques exemples en Asie, Afrique et Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 301, no. 301 (September 1, 2009): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.301.a20407.

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Initialement développée par le secteur des grandes plantations au début du siècle, l'hévéaculture est aujourd'hui principalement le fait de petites exploitations paysannes. Le modèle de diffusion initial fut la monoculture stricte. Cependant, les cultures vivrières intercalaires pendant la période immature de l'hévéa, Hevea brasiliensis, sont relativement bien développées, y compris dans les anciens projets de développement sectoriels. En revanche, les associations incluant des cultures pérennes ou forestières sont peu recensées et souvent peu acceptées par les institutions de développement, comme ce fut le cas en Indonésie durant années 1990. Elles existent localement, parfois sur des superficies importantes : le " jungle rubber ", par exemple. Ces pratiques assurent pourtant une meilleure valorisation de la terre et de la main-d'oeuvre et les associations permanentes avec des cultures pérennes constituent un facteur de stabilisation économique des plantations et de diversification des revenus. Les systèmes agroforestiers complexes constituent aussi un avantage écologique puisqu'ils sont garants du maintien d'une grande partie de la biodiversité rencontrée en forêt naturelle. Le peu d'intérêt officiellement reconnu pour ces associations malgré des avantages économiques et environnementaux peut être imputé au fait qu'elles ne correspondent pas au type d'hévéaculture dominant au sein des grandes sociétés de plantations et des institutions de développement. Nombre de paysans ont innové et mis au point des systèmes astucieux et pratiques leur permettant de diminuer les risques et de diversifier leur production. Le présent article tend à faire le point sur les associations existantes : hévéa associé au café, au thé, au cacao, au rotin ainsi qu'aux espèces fruitières ou forestières. Il ne prétend pas analyser les systèmes en détail mais a pour objectif d'en présenter la diversité. (Résumé d'auteur)
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César, Jean, Jérémy Bouyer, Laurent Granjon, Massouroudini Akoudjin, and Dominique Louppe. "Les relictes forestières de la falaise de Banfora : les dégradations au voisinage de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20474.

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Abstract:
Le suivi de la végétation et l'inventaire de bioindicateurs animaux, micromammifères et insectes, a permis de dresser un bilan des dégradations environnementales dans trois villages situés à proximité de Bobo-Dioulasso. Les dégâts apparemment les plus graves résultent de la coupe des arbres pour le bois de feu et de l'extraction minière du sable et du gravier pour les constructions. Ces activités sont la conséquence du développement urbain. Les dégradations environnementales dues à l'agriculture et à l'élevage paraissent moins importantes. L'ensemble de ces activités humaines fait que les terres maraîchères de Koro sont en train de disparaître, tout comme la forêt classée de Koua. Les suivis et inventaires, réalisés pour mieux cerner cette évolution anthropique de l'environnement, montrent que les espèces animales réagissent à cette forte perturbation du milieu amplifiée par les phénomènes fréquents d'érosion. En conclusion de cette étude, des mesures de protection et de reboisement sont proposées pour limiter l'érosion dans les champs et sur les berges de la rivière. L'extraction minière des matériaux de construction pourrait aussi être organisée pour moins impacter l'environnement ; mais cela risque d'être difficile à mettre en oeuvre car les intérêts individuels priment face aux besoins collectifs. (Résumé d'auteur)
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Forni, Eric, Vivien Rossi, Jean-François Gillet, Fabrice Bénédet, Guillaume Cornu, Vincent Freycon, Isaac Zombo, et al. "Dispositifs permanents de nouvelle génération pour le suivi de la dynamique forestière en Afrique centrale : bilan en République du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31760.

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Abstract:
Gérer durablement les forêts tropicales de production nécessite de connaître leur diversité, leur dynamique et l’impact de l’exploitation sur ces caractéristiques. Cette connaissance peut s’obtenir avec de grands dispositifs de suivi permanents dont les arbres sont régulièrement mesurés. Un seul dispositif de ce type existe en Afrique centrale, M’Baïki, installé en 1982 en République centrafricaine. Il a fait référence pour établir les règles d’aménagement d’un grand nombre de concessions forestières de la région. Plusieurs projets ont permis l’installation de nouveaux dispositifs, en privilégiant des zones situées sur des substrats géologiques différents. Deux dispositifs ont ainsi été installés dans des concessions forestières aménagées au nord de la République du Congo, sur alluvions de l’ère cénozoïque (Loundoungou) et sur grès de Carnot de l’ère mésozoïque (Mokabi). Chaque dispositif est constitué de deux blocs de 400 ha, contenant chacun un sentier d’environ 4 000 arbres d’une vingtaine d’espèces commerciales et deux parcelles de 9 ha suivies en plein. Tous les arbres supérieurs à 10 cm de diamètre sont mesurés. Un bloc sera exploité après quelques années de suivi, l’autre restera en témoin. L’installation et le premier inventaire d’un dispositif ont nécessité en moyenne 34 mois de travail avec une équipe de huit personnes pour un coût total moyen de 94500 €. Les peuplements des deux dispositifs, Loundoungou et Mokabi respectivement, ont les caractéristiques suivantes : 240 et 230 espèces d’arbres, densité de 346,8 (± 5,8) et 426,8 (± 3,6) arbres par hectare, biomasse de 432,6 (± 13,8) et 457,3 (± 9,3) Mg/ha. Les difficultés rencontrées lors de l’installation des dispositifs (emplacement, localisation des parcelles, constitution des sentiers, application du protocole d’inventaire, logistique...) sont analysées. Plusieurs recommandations sont émises pour améliorer l’installation de tels dispositifs et leur protocole d’inventaire.
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Lourenço, Wilson R., Patrick O. Waeber, and Lucienne Wilmé. "Additions to the geographical distribution of the Malagasy family Microcharmidae Lourenço 1 996 (Scorpiones: Buthoidea) and description of three new species of Microcharmus Lourenço 1 995." Madagascar Conservation & Development 14, no. 1 (April 28, 2020): 26–36. http://dx.doi.org/10.4314/mcd.v14i1.5.

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Abstract:
A more up to date biogeographic analysis of the patterns of distribution presented by the scorpions of the family Microcharmidae Lourenço 1 996 are presented. This family is revalidated here based on numerous morphological characters. This Malagasy group of scorpions is represented by two genera, Microcharmus Lourenço 1 995 and Neoprotobuthus Lourenço 2000 both endemic to the Island. The family Microcharmidae seems to be restricted to dry and wet forests formations in the northern and northwestern portions of the island. Here we describe three species new to science:Microcharmus andrei sp. n., Microcharmus antongil sp. n. and Microcharmus djangoa sp. n. The distribution of these new species seems to be restricted to the northern range of Madagascar, in habitats ranging from dry to wet forests, confirming therefore the patterns previously observed. Une analyse biogéographique à jour portant sur les schémas de distribution des scorpions de la famille des Microcharmidae Lourenço 1 996 est présentée. La famille est ici revalidée sur la base de nombreux caractères morphologiques. Ce groupe de scorpions de Madagascar est représenté par deux genres, Microcharmus Lourenço 1 995 et Neoprotobuthus Lourenço 2000 tous deux endémiques de l’île. La famille des Microcharmidaesemble avoir une distribution limitée aux formations forestières sèches et humides des parties nord et nord-ouest de l’île. Ici, nous décrivons trois espèces nouvelles pour la scienced : Microcharmus andrei sp. n., Microcharmus antongil sp. n. et Microcharmus djangoa sp. n. La distribution de ces trois nouvelles espèces semble limitée à la partie septentrionale de Madagascar, dans des habitats allant des forêts sèches à humides, ce qui confirme ainsi les schémas préalablement observés.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (January 7, 2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Abstract:
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Onguene Awana, Nérée, Armelle Nadine Tchudjo Tchuente, and Thomas W. Kuyper. "Biodiversité des macrochampignons sauvages comestibles de la forêt humide du Sud-Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 338 (February 11, 2019): 87. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.338.a31679.

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Pour les communautés de forêts humides du Cameroun – Bantu, pygmées Baka et Bagyeli –, les champignons sauvages comestibles (CSC) ont toujours été considérés comme de substantielles sources alimentaires et médicinales. Cependant, peu d’informations sont disponibles sur la diversité et l’écologie des CSC du Cameroun. Aussi une étude a-t-elle été entreprise pour connaître la diversité et acquérir les connaissances endogènes des principaux champignons sauvages comestibles et médicinaux de la forêt humide de ce pays. À partir d’excursions mycologiques, d’enquêtes structurées et semi-structurées conduites dans une vingtaine de sites de cinq régions du Grand-Sud-Cameroun, les espèces de CSC ont été collectées et décrites. Quatre-vingt-quatorze taxons de CSC ont été identifiés, appartenant à 32 familles et 41 genres, dont environ 61,7 % de saprotrophes, 21,3 % de taxons ectomycorhiziens (ECM) et 17 % d’espèces du genre Termitomyces, les plus fréquemment collectées et consommées. Cette forte diversité fongique s’est traduite par un éventail varié d’habitats et de niches écologiques. Les CSC les plus appréciés sont les saprotrophes Armillaria camerounensis et Volvariella volvacea, ainsi que toutes les espèces de Termitomyces et de chanterelles. La plupart de CSC sont collectés pour la consommation. La vingtaine d’espèces de CSC ectomycorhiziens sont symbiotiquement associées aux racines de 13 genres d’essences forestières appartenant aux familles des Cesalpiniaceae et Phyllantaceae. In fine, deux principaux services écosystémiques de production sont fournis par les CSC du Cameroun : l’approvisionnement alimentaire et médicinal, et l’octroi de revenus. Des besoins de recherche s’imposent en faveur de l’étude de la biodiversité et des médicinaux des CSC de la forêt humide du Cameroun, et de la valorisation des déchets agricoles pour la culture du champignon de paille V. volvacea.
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Montagnini, Florencia, Muhammad Ibrahim, and Enrique Murgueitio Restrepo. "Systèmes silvopastoraux et atténuation du changement climatique en Amérique latine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20528.

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Abstract:
La production de bétail fait partie de la culture des peuples et est importante pour la nutrition et le bien-être humain. Cependant, le bétail d'élevage conventionnel est une source de gaz à effet de serre (Ges). La séquestration du carbone dans la végétation et les sols peut être améliorée tandis que les émissions de Ges peuvent diminuer avec le pâturage contrôlé, des espèces fourragères appropriées, et l'utilisation de systèmes sylvopastoraux (Sps) combinant arbres, arbustes et pâturages. En outre, les Sps favorisent l'adaptation au changement climatique avec les effets améliorateurs des arbres sur les températures de l'air qui limitent le dessèchement des pâturages et améliorent le bien-être et la productivité des animaux. Plusieurs types de Sps sont très répandus dans les paysages agricoles de l'Amérique latine. Dans les Sps intensifs (Isps), comprenant des banques de fourrage avec des espèces ligneuses plantées à haute densité, les rendements sont supérieurs à l'élevage conventionnel, en raison d'une plus grande densité de bétail et du gain de poids plus élevé des animaux. Les recherches en Colombie, au Nicaragua et au Costa Rica montrent que les Sps ont plus de carbone dans la biomasse aérienne et dans les sols que dans les pâturages dégradés. Dans les Sps, le bois des arbres fruitiers, plantés ou de régénération naturelle, augmente les stocks de carbone et les taux de séquestration. Les espèces arborées locales peuvent être utilisées dans les Sps avec de bons résultats en termes de productivité, de restauration des sols, de séquestration du carbone et de conservation de la biodiversité. L'utilisation de Sps contribue à la séquestration du carbone dans les arbres et dans les sols, tandis que l'établissement des plantations forestières et la conservation des forêts secondaires augmentent la séquestration et le stockage du carbone à l'échelle du paysage. Les Sps et surtout les Isps peuvent contribuer à atténuer le changement climatique car ils peuvent avoir un bilan Ges positif. En Amérique latine, les Isps aux résultats positifs ont été adaptés à des niveaux régionaux. Des mesures incitatives telles que le paiement des services environnementaux ainsi que l'assistance technique peuvent stimuler l'adoption des Sps contribuant ainsi à l'atténuation du changement climatique tout en préservant les moyens de subsistance en milieu rural.
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Djiteye, A., S. K. Moloo, K. Foua Bi, M. Touré, S. Boiré, S. Bengaly, E. Coulibaly, et al. "Réactualisation des données sur la répartition des glossines au Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 2 (February 1, 1997): 126–32. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9583.

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Abstract:
L'aire de répartition des glossines au Mali couvre environ 200 000 km2 au sud du parallèle 14 30' N et à l'ouest du méridien 4 30' O. Quatre espèces ont été signalées : deux riveraines (Glossina palpalis gambiensis et G. tachinoides) et deux de savane (G. morsitans submorsitans et G. longipalpis). G. morsitans submorsitans était répartie de manière plus ou moins continue le long des frontières avec la Côte d'Ivoire, la Guinée et le Sénégal jusqu'à la limite nord du parc national de la Boucle du Baoulé. A l'est de Bamako, la densité des populations était faible, apparemment discontinue dans les zones forestières. G. palpalis gambiensis était localisée le long de la rivière Bani, du fleuve Niger et de ses affluents, et des affluents du fleuve Sénégal (Baoulé, Bafing et Bagoé). G. tachinoides était répandue le long de la plupart des rivières et des grands cours d'eau de la partie sud-est du pays. Les prospections récentes n'ont pas revélé la présence de G. longipalpis au Mali. Après plusieurs années de sécheresse et/ou un défrichement intensif, une diminution relativement importante de l'aire de répartition des glossines dans le pays a été constatée.
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Rakotovololonalimanana, Herizo, Hery Rakotondraoelina, Gilles Chaix, Lolona Ramamonjisoa, Marie-France Thévenon, Honoré Randrianjafy, and Tahiana Ramananantoandro. "Adaptation et variabilité génétique de la croissance de Liquidambar styraciflua L. de l'essai de provenances à Mandraka, Madagascar." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 320, no. 320 (March 17, 2014): 31. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.320.a20542.

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Abstract:
Liquidambar styraciflua ou copalme d'Amérique est une espèce feuillue originaire du Sud-Est des États Unis d'Amérique et de l'Amérique Centrale. L'espèce possède un comportement remarquable en plantation et les propriétés de son bois en font un matériau à usage multiples. En 1986, dans le cadre d'un essai international de provenances de Liquidambar styraciflua, le Commonwealth Forestry Institute (CFI) d'Oxford a diffusé dans plusieurs pays (Brésil, Mexique, Madagascar) des graines de treize provenances récoltées essentiellement dans l'aire de distribution naturelle de l'espèce dans l'Est des États-Unis d'Amérique, du Mexique et de l'Amérique centrale. À Madagascar, le Département des Recherches Forestières et Piscicoles (DRFP-FOFIFA) les a plantées à Mandraka (Madagascar). Des données annuelles de la croissance ont été collectées durant 25 ans ; cependant les résultats n'ont pas encore été publiés contrairement à ceux du Brésil et du Mexique. Il s'agit ici d'évaluer l'adaptation de l'essence à Mandraka et d'étudier la variabilité intraspécifique de sa croissance. Jusqu'à 25 ans, la croissance de l'espèce est régulière pour atteindre en moyenne 26 m en hauteur, 38 cm en diamètre et 0,12 m²/arbre en surface terrière. Les valeurs moyennes des provenances pour ces mêmes caractéristiques et la surface terrière sont significativement différentes. L'héritabilité au sens large à 25 ans est de 0,76, 0,60 et 0,63 respectivement pour la hauteur, le diamètre et la surface terrière, montrant un contrôle génétique de la croissance. Dans des conditions écologiques similaires et à âges équivalents, la croissance de L. styraciflua est équivalente à celle des espèces du genre Eucalyptus et supérieure à celle des Pinus. Par rapport aux essais internationaux du CFI, l'essai de provenances de L. styraciflua dans le site de la Mandraka montre une meilleure adaptation et une bonne croissance de l'espèce. (Résumé d'auteur)
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Bouka Dipelet, Ulrich Gaël. "Structuration de la biodiversité des forêts africaines et changements climatiques : une étude à travers le genre Khaya (Meliaceae)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 339 (April 17, 2019): 95. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.339.a31718.

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Abstract:
Des études paléoécologiques suggèrent que la composition floristique, la structure et la répartition actuelle des forêts denses africaines ont été fortement influencées par la mise en place de gradients écologiques, favorisant la spéciation parapatrique. De plus, lors des changements climatiques passés, certains « refuges forestiers » auraient été peu ou pas affectés par les variations climatiques, favorisant une spéciation allopatrique des espèces forestières. En Afrique, les rôles respectifs de ces deux mécanismes sont encore peu étudiés.Nous abordons cette problématique à travers le genre Khaya (Meliaceae, acajous d’Afrique), un genre modèle dont les espèces présentent des affinités écologiques variables, depuis les savanes arborées jusqu’aux forêts denses humides sempervirentes. La combinaison d’analyses génétiques et morphométriques a permis de mettre en évidence l’existence de plusieurs groupes distincts dans le complexe K. anthotheca, suggérant l’existence de cinq taxons différents. Trois de ces taxons présentent des distributions allopatriques ou parapatriques, et deux d'entre eux se retrouvent localement en sympatrie, dont un taxon nouveau pour la science. Ces taxons présentent des spécificités que l’on peut expliquer tant par des mécanismes de spéciation parapatrique qu’allopatrique, en lien avec les gradients écologiques et les changements climatiques passés. À l’opposé, la présence de deux clusters génétiques de K. ivorensis, dus à un isolement par la distance, ne permet pas de séparer deux taxons mais suggère l’ébauche d’une spéciation qui n’est pas encore aboutie. En effet, les populations des deux clusters partagent certains haplotypes chloroplastiques et mitochondriaux retraçant des histoires évolutives différentes pour chaque marqueur.L’existence de plusieurs taxons au sein de K. anthotheca et la confirmation de K. ivorensis en tant que taxon unique et bien séparé ont conduit à la révision taxonomique du genre. La description des taxons a été totalement refondue et une nouvelle clef de détermination est présentée. Ces nouvelles connaissances permettent d’éclairer l’histoire évolutive des acajous du genre Khaya et la structuration de la biodiversité des forêts africaines afin de poser les bases d'une stratégie de conservation et de gestion durable de ces essences très recherchées tant pour leur bois que pour des usages médicinaux.
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Traore, El Hadji, Cheikh Alassane Fall, Djby Dia, Dingamgoto Jesse Barde, Séga Ndao, and Cheikh Sall. "Ressources fourragères, affourragement et pâturage dans le Sud et à l’Est du Sénégal." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 19, 2020): 940–48. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.23.

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Abstract:
Les sécheresses successives, aggravées par les activités anthropiques et les effets du changement climatique, entrainent la disparition effrénée de plusieurs espèces végétales locales, adaptées selon les zones avec une importance sociale et économique avérée pour nos campagnes. Si le rythme de disparition noté n’est pas stoppé ou freiné, il s’en suivra la perte de l’essentiel de nos ressources végétales céréalières, fourragères et forestières locales. Certes, la recherche agricole s’évertue à trouver des solutions pour disposer de nouvelles variétés végétales adaptées. Mais, ce n’est pas toujours le cas pour les espèces fourragères. Ainsi, dans le cadre des activités de recensement et de collecte multi-spécifiques de ressources phytogénétiques pour l’alimentaire et l’agriculture, une synthèse spécifique a été consacrée au ressources fourragères des zones visitées. L’objectif visé est de recensé les ressources fourragères (naturelles ou cultivées) disponibles et leur méthode de gestion. Il ressort que les méthodes et le niveau d’exploitation des ressources fourragères naturelles et des résidus de récolte diffèrent d’une zone à l’autre. Le parcours naturel plus ou moins bien fourni dans les régions sud et est, constitue la principale ressource alimentaire des animaux au niveau de toute la zone d’étude. Les résidus de récolte bien qu’abondants et variés, ont peu d’intérêt chez les éleveurs du sud du Sénégal où la diversité qui est l’indice de qualité et le volume des pâturages sur le parcours naturel sont abondants. Certes, l’inventaire des espèces fourragères ne peut se faire selon la même méthodologie que celle des espèces agricoles et maraîchères. Mais, la photographie obtenue devrait servir de guide à un recensement des espèces fourragères herbacées et ligneuses les plus consommées sur le parcours naturel, tout en étudiant les méthodes de conservation et de production des espèces recensées afin, de dégager les meilleures méthodes de gestion et d’utilisation durable.Mots clés : Ressources fourragères, régions sud et est du Sénégal, ligneux et herbacés, résidus de culture. English Title: Forage resources, feeding and grazing in the South, and East of SenegalSuccessive droughts, aggravated by anthropogenic activities and the effects of climate change, lead to frantic disappearance of several local plant species, adapted according to the areas, and with proven social and economic importance for our countryside. If the rate of disappearance noted, is not stopped or slowed, it will follow the loss of most of our local grain, fodder and forest plant resources. Certainly, agricultural research is struggling to find solutions to have new adapted plant varieties; this is not always the case for forage species. Thus, within the framework of multi-specific census and collection activities of plant genetic resources for food and agriculture, a specific summary was devoted to the fodder resources of the areas visited. The objective is to identify the fodder resources (natural or cultivated) available and their management method. It appears that the methods and level of exploitation of natural fodder resources and crop residues differ from one area to another. The more or less well supplied natural route in the south and east regions constitutes the main food resource for animals throughout the study area. Crop residues, although abundant and varied, are of little interest to breeders in the south of Senegal where the diversity which is the quality index and the volume of pastures on the natural range are abundant. Of course, the inventory of fodder species cannot be done according to the same methodology as that of agricultural and market garden species. However, the photograph obtained should serve as a guide for a census of herbaceous and ligneous fodder species most consumed by animals on natural route, while studying the methods of conservation and production of the listed species; in order to identify the best methods of management and sustainable use.Keywords: Fodder resources, southern and eastern regions of Senegal, ligneous and herbaceous plants, crop residues.
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Ferradous, Abderrahim, and Mohamed Hafidi. "Production de plants d’arganier (Argania spinosa) au Maroc : choix du conteneur et du substrat." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 334 (January 2, 2018): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2017.334.a31490.

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Abstract:
Dans le but d’obtenir des plants d’arganier (Argania spinosa L. Skeels) de bonne qualité en pépinière, huit types de conteneurs et trois substrats hors-sol (compost de branches broyées d’Acacia cyanophylla, compost de déchets d’extraction de graines de Tetraclinis articulata, tourbe commerciale) mélangés avec du terreau forestier dans des proportions différentes ont été testés. L’analyse physico-chimique des substrats a montré que les deux composts produits localement sont les mieux indiqués pour la production de plants d’arganier de bonne qualité. Ces substrats peuvent représenter une alternative aux substrats à base de tourbe, importés et coûteux. Le compost de branches d’Acacia cyanophylla peut être produit de manière satisfaisante pour répondre aux besoins des pépinières forestières locales. L’évolution des paramètres morphologiques et l’analyse effectuée sur les plants après un séjour de sept mois en pépinière ont montré que le conteneur de 400 ml est satisfaisant pour produire des plants d’arganier d’une qualité proche de celle obtenue avec les sachets en polyéthylène de 800 ml. Ces résultats constituent une première étape pour maîtriser les techniques de production de plants dans des conteneurs hors sol, pour l’arganier ou d’autres espèces autochtones marocaines. Il conviendrait d’étudier d’autres aspects de la production de plants dans les pépinières marocaines, telles l’irrigation, la fertilisation ou la mycorhization. Des essais de plantation sont envisagés pour confirmer les résultats de cette étude.
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Kabore, SA, K. Schumann, M. Hien, AM Lykke, K. Hahn, and HB Nacro. "Stratégies d’adaptation à la réduction des services écosystémiques : cas des potentialités de substitution de trois espèces forestières dans le Sud-Ouest du Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 3 (September 9, 2015): 1194. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i3.5.

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Medjahdi, Boumediene, Assia Ltreuch-Belarouci, and Rémy Prelli. "Actualisation du catalogue des pteridophytes du Nord Ouest Algerien (region de Tlemcen). An update of the cheklist of pteridophytes from Nordwest Algeria (Tlemcen region)." Acta Botanica Malacitana 38 (December 1, 2013): 33–39. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v38i0.2638.

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Abstract:
Français. Un inventaire des ptéridophytes a été entrepris dans les forêts de la région de Tlemcen. L’inventaire de ces populations constitue une étape importante pour le développement des stratégies de conservation des ressources génétiques et de la diversité de ces populations sur l’ensemble de leur aire de distribution naturelle. Nous avons ainsi effectué le recensement et l’identification des fougères existantes dans la région de Tlemcen. Au total, plusieurs stations dont les caractéristiques écologiques diffèrent d’un site à un autre ont été prospectées, cela a permis l’identification de 26 taxons (dont 5 exceptionnellement rare). La création de réserves naturelles forestières renforcée par une protection réglementaire des espèces les plus menacées est nécessaire pour le maintien de ces communautés si particulières. English. An inventory of Pteridophyta was begun in the forests of the Tlemcen region. The inventory of these populations constitutes an important stage for the developement of the strategies of preservation of the genetic resources and the diversity of these populations on their whole area of natural distribution. We so made the inventory and the identification of the existing ferns in the region of Tlemcen. On the whole, several stations the ecological characteristics differ from a site in the other one were canvassed; they allowed the identification of 26 taxes (among which 5 exceptionally rare). The creation of forest nature reserves strengthened by a statutory protection of the most threatened species is necessary for the preservation of these particular communities.
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Havyarimana, François, Jan Bogaert, Joël Ndayishimiye, Yao Sadaiou Sabas Barima, Marie José Bigendako, Jean Lejoly, and Charles De Cannière. "Impact de la structure spatiale de Strombosia scheffleri Engl. et Xymalos monospora (Harv.) Baill. sur la régénération naturelle et la coexistence des espèces arborescentes dans la réserve naturelle forestière de Bururi, Burundi." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20530.

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Abstract:
Dans le but d'analyser l'influence de la structure spatiale sur le fonctionnement écologique des écosystèmes forestiers, une étude sur la distribution spatiale, la régénération naturelle et la coexistence des principales espèces arborescentes a été menée dans la réserve naturelle forestière de Bururi au Burundi. Cette aire protégée constitue la partie la plus méridionale du système de forêts de la crête Congo-Nil. La présente étude cherche à tester l'hypothèse selon laquelle la structure spatiale agrégée d'une espèce arborescente aurait un impact sur la régénération naturelle et la coexistence avec des espèces arborescentes du même habitat. Deux méthodes, l'une basée sur la distance au plus proche voisin et l'autre sur la variation du nombre d'individus de l'espèce dans les placettes échantillonnées, ont été appliquées pour déterminer le type de distribution spatiale des espèces arborescentes. Leur régénération naturelle a été évaluée sur la base de la distribution de leurs diamètres. L'analyse de la distribution spatiale a montré que Strombosia scheffleri et Xymalos monospora sont caractérisées par une distribution spatiale agrégée. La présente étude a ensuite mis en évidence l'impact négatif de la distribution agrégée de S. scheffleri et X. monospora sur la régénération naturelle de Entandrophragma excelsum et Prunus africana, deux espèces menacées de disparition au Burundi. Ainsi, la dominance locale d'une espèce arborescente peut réduire la diversité comme le stipule l'hypothèse d'échappement.
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Mekideche, Siham, Lila Brakchi-Ouakour, and Leila Kadik. "Impact des perturbations anthropiques sur la diversité végétale de la subéraie de Chréa, au nord de l’Algérie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 337 (November 26, 2018): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.337.a31633.

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Abstract:
La subéraie de la réserve de biosphèrede Chréa, au nord de l’Algérie, révèle une action anthropique ayant profondément modifié le paysage végétal. Les feux récurrents et le surpâturage sont les principales perturbations des formations forestières présentes, s’agissant de perte de surface et de biomasse végétale. Notre objectif était de savoir comment, au sein de cette réserve, réagit la végétation de l’écosystème à Quercus suber L. aux conditions de milieu et aux perturbations liées à l’activité humaine. Pour y répondre, nous avons adopté une approche synchronique en réalisant 124 relevés phytoécologiques dans les différents stades dynamiques, en tenant compte de la présence ou de l’absence de la perturbation liée au pâturage. Une première analyse canonique des correspondances a porté sur les données floristiques et les variables environnementales ; une seconde concernait les attributs vitaux des espèces, en utilisant les traits de vie facilement mesurables (type biologique, stratégie adaptative de Grime, mode de dissémination). Les résultats montrent que la végétation de la subéraie s’organise le long d’un gradient de dégradation lié à l’action anthropique (incendies et pâturage), masquant l’effet des facteurs mésologiques dominants (altitude et exposition). L’approche fonctionnelle confirme cette dynamique régressive avec l’individualisation de deux groupes fonctionnels. Le premier recouvre les traits de vie « phanérophyte, compétition-stress, zoochore », caractéristiques des formations végétales les plus matures. Le second groupe englobe les traits « thérophyte, stress-rudéral, anémochore », liés aux formations ouvertes des pelouses surpâturées. Cette étude, conduite selon une approche fonctionnelle de la biodiversité, est une première évaluation de la réponse des subéraies algériennes aux perturbations anthropiques représentées par les incendies et le pâturage.
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GUERRINI, Xavier, Vincent FREYCON, Alexandre De HALDAT du LYS, and Éric, André NICOLINI. "Dynamique contrastée de la compaction d’un ferralsol après une défriche mécanisée alternative en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 348 (July 6, 2021): 65–78. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.348.a36751.

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Abstract:
Le changement d’usage des terres et l’impact de l’anthropisation sur les milieux forestiers tropicaux sont en progression constante sous les tropiques et en Guyane française. Ces changements sont souvent accompagnés de défriches mécanisées qui favorisent la compaction du sol. Notre objectif était de suivre l’évolution de la compaction du sol d’une parcelle de forêt naturelle exploitée (7 ha) soumise à une défriche mécanisée alternative (itinéraire « chop and mulch », couvert herbacé de Stylosanthes guianensis), puis replantée de quatre espèces forestières commerciales. Sur cet espace présentant finalement diverses couvertures de sol (sol nu, mulch, couvert herbacé), nous avons mesuré la densité apparente jusqu’à 30 cm de profondeur et effectué le test d’infiltration simplifié de Beerkan lors de trois campagnes : avant, juste après et neuf mois après la défriche. Avant la défriche, les sols avaient une très bonne capacité d’infiltration (111 cm/h), étaient peu denses à 0-5 cm de profondeur (0,88) et denses à 5-30 cm (1,19 à 1,40). Juste après la défriche, les sols avaient une capacité d’infiltration très réduite (2 cm/h) et leur couche de surface avait été fortement compactée (1,28) contrairement aux couches plus profondes (1,41 à 1,49). Neuf mois après la défriche, les sols avaient retrouvé une très bonne capacité d’infiltration (149 cm/h), particulièrement sous le couvert herbacé de S. guianensis, et leur couche de surface avait retrouvé une densité proche de l’état initial (1,01), contrairement aux couches plus profondes (1,46 à 1,58). De futures recherches sont nécessaires pour expliquer le retour rapide à l’état initial de la couche de surface et estimer la contribution relative de la macrofaune du sol, des racines et de la fissuration.
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Pinel-Alloul, B., D. Planas, R. Carignan, and P. Magnan. "Synthèse des impacts écologiques des feux et des coupes forestières sur les lacs de l'écozone boréale au Québec." Revue des sciences de l'eau 15, no. 1 (April 12, 2005): 371–95. http://dx.doi.org/10.7202/705460ar.

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Abstract:
Cet article présente une première synthèse comparative des impacts des feux et des coupes forestières sur la qualité des eaux et les communautés aquatiques des lacs de l'écozone boréale de l'est du Canada. La recherche a été réalisée de 1996 à 1998 dans le cadre d'un projet du Réseau de centre d'excellence sur la gestion durable des forêts (RCE-GDF) et porte sur 38 lacs du Bouclier Canadien du Québec. Les changements dans la qualité de l'eau ainsi que dans la diversité, la biomasse et la structure des communautés de plancton et de poissons ont été suivis pendant trois ans dans 20 lacs dont les bassins versants étaient non perturbés, dans 9 lacs qui avaient subit des coupes forestières et dans 9 lacs qui avaient subit des feux de forêt. Notre étude montre que les feux et les coupes ont des impacts significatifs qui diffèrent selon le type de perturbation. En général, les lacs affectés par les coupes et les feux ont des concentrations de phosphore 2 à 3 fois plus élevées que les lacs de référence. Toutefois, les lacs affectés par les feux montrent des concentrations en nitrates beaucoup plus élevées tandis que les lacs affectés par les coupes sont moins transparents et ont des eaux plus colorées, très riches en carbone organique dissous. Les feux et les coupes affectent aussi de façon différente la minéralisation des eaux et les concentrations des ions majeurs. Les feux et les coupes n'ont pas d'effet sur la biodiversité des communautés planctoniques, sauf dans les lacs ayant un grand bassin versant et plus de 40 % de perturbation. Aucune différence n'a été observée entre les lacs de référence et les lacs perturbés au niveau de l'occurrence, l'abondance et la croissance des espèces de poissons. En revanche, les feux et les coupes affectent la production et la structure des communautés aquatiques. Dans les lacs affectés par les feux, l'enrichissement en azote et phosphore provoque une hausse de la concentration en chlorophylle a, et de la biomasse du phytoplancton et du limnoplancton (seston > 53 µm), en particulier des diatomées, des rotifères et des gros crustacés, pendant deux à trois années après les feux. En revanche, dans les lacs affectés par les coupes, l'enrichissement en phosphore n'entraîne qu'une augmentation très faible et limitée à un an de la biomasse des algues et pas de changement dans les biomasses du limnoplancton, en raison de la forte couleur et de la transparence réduite des eaux, qui limite la production biologique. Les coupes ont un impact négatif sur les copépodes calanoïdes, un groupe de zooplancton caractéristique des lacs oligotrophes et transparents. Une diminution significative de la proportion des individus de petite taille a été observée chez les populations de perchaude et de meunier noir des lacs perturbés (lacs de coupe et de feux formant un seul groupe). Les impacts observés dans la qualité des eaux et la production du plancton augmentent avec l'importance relative des perturbations au niveau du bassin versant. Cependant, la variabilité dans les caractéristiques des bassins versants et des lacs, en particulier le rapport de drainage et le temps de résidence des eaux, a des effets confondants sur les réponses des écosystèmes lacustres aux perturbations par les feux et les coupes.
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