To see the other types of publications on this topic, follow the link: Et Derrida.

Dissertations / Theses on the topic 'Et Derrida'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 dissertations / theses for your research on the topic 'Et Derrida.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse dissertations / theses on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Donvez, Brigitte. "Traduction et traductibilité chez Jacques Derrida." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0005/MQ36684.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Rezende, de Souza Pinto Gabriel. "Droit et Normativité chez Jacques Derrida." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2018. http://www.theses.fr/2018PA080114.

Full text
Abstract:
Depuis la fin des années 1980, un débat s’est installé, parmi les commentateurs de Jacques Derrida, sur l’existence ou non d’un « tournant éthique » dans l’œuvre de cet auteur. Les partisans de l’un et l’autre bord ne sont d’accord ni sur la signification du terme « tournant » ni sur la signification du terme « éthique » ; ils partagent pourtant un même présupposé : Derrida ne peut pas être un normativiste. Le présent travail vise à contester ce consensus de fond qui oppose la déconstruction aux normes. Tout en refusant les lectures qui privilégient des périodisations abstraites (un jeune Derrida et un Derrida tardif, par exemple), nous montrons que le problème de la normativité est, dès le départ, contigu à la déconstruction du logocentrisme. Le fait que la métaphysique occidentale ait toujours refoulé l’écriture et la logique de la trace détermine une configuration particulière du champ pratique. À l’intérieur de celui-ci, la vérité des normes fut pensée comme l’intimité d’une voix de commandement : voilà qui est le logonomocentrisme. Tout comme Derrida défend qu’une certaine archi-écriture est la condition de possibilité de la parole — et de l’apparaître en général —, nous soutenons qu’un archi-droit est la condition de possibilité de la normativité. « Écriture » et « droit » se forgent un destin commun. Les éléments traditionnellement employés pour décrire, en termes métaphysiques, leur condition secondaire et soumise seront repris, ici, pour penser un excès qui met le champ pratique en mouvement : « distance », « supplément », « représentation », mais aussi « institution », « arbitraire », « violence » et « technique »<br>Since the late 1980s, there has been a disagreement among Derrida scholars as to whether or not there is an « ethical turn » in his philosophy. Although the meanings of the terms « ethical » and « turn » still divide commentators, partisans of both camps presuppose one thing: Derrida cannot be a normativist.This dissertation challenges the tacit consensus among these commentators, namely, that Derrida’s philosophy is opposed to « norms ». Rejecting the distinction between a « young » and a « late » Derrida, we show that the problem of normativity has been correlated with the deconstruction of logocentrism since his earliest works. The fact that Western metaphysics has always repressed writing and the logic of the trace determines a particular configuration of the field of practical philosophy. Within this framework, normative truth is conceived as the intimacy of a commanding voice: we call this logonomocentrism. Just as Derrida argues that « archi-writing » is the condition of possibility of all speech — and appearance in general — we argue that « archi-law » is the condition of possibility of normativity. Hence, « writing » and « law » share a common destiny. The traditional elements used to describe, in metaphysical terms, the secondarity (and submission) of law and writing allow us to think an excess that puts into motion the field of practical philosophy : « distance », « supplement », « representation », but also « institution », « arbitrary », « violence » and « technique »
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Hong, Qiaoyun. "Déconstruction et démocratie chez Jacques Derrida." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H203.

Full text
Abstract:
Notre étude vise à montrer comment Derrida pense la démocratie à travers la démarche qui lui est propre et singulière de la déconstruction. Notre philosophe présente ses idées sur la démocratie à partir du concept de l’amitié qui, selon lui, donne le modèle de la relation juste entre les humains. On peut dire qu’il cherche à repenser le fondement du politique par ce concept de l’amitié à travers un travail d’héritage, de critique, de rejet parfois, et enfin de déconstruction. Derrida commence à déconstruire le concept de l’amitié par une citation : « O mes amis, il n’y nul ami. », et à partir de là, il met en évidence et questionne une série d’apories sur l’idée de l’amitié dans l’histoire philosophique. Ensuite, on voit que l’idée de l’amitié repensée par le travail de déconstruction chez Derrida s’attache à la survivance qui dépasse la mort devant le deuil. L’amitié s’ouvre alors vers l’avenir à travers la théorie derridienne de la trace et de la différence qui est liée au déplacement de l’espacement et de la durée. En même temps, Derrida évoque la possibilité de penser l’amitié à partir de son contraire, y compris de convertir l’ami en ennemi, il scrute ainsi sur le plan éthique le rapport politique ami / ennemi pour le repenser selon l’exigence de la justice. Pour cela, il introduit l’idée de l’autre et de l’hospitalité. La thèse se termine sur l’importance du concept de l’autre chez Derrida qui est lié dans sa philosophie avec le thème de l’hospitalité, afin de développer sa théorie politique autour de la « démocratie à venir »<br>Our study aims to show how Derrida thinks of democracy through deconstruction which is his own and unique approach. Our philosopher presents his thinking on democracy from a concept of friendship which, according to him, gives the model of the just relationship between human. We can say that he seeks to rethink the base of politics with this concept of friendship through a work of inheritance, criticism, sometimes rejection, and finally deconstruction. Derrida begins to deconstruct the notion of friendship through a quote: “O my friends, there is no friend.”, and from there, he emphasizes and queries a series of contradictions on the idea of friendship in philosophical history. The concept of friendship rethought by the work of deconstruction in Derrida connects to the idea of surviving which goes beyond death in relation with mourning. Friendship then opens a door to the future, through the Derridian theory of the trace and the différance which is linked to the movement of spacing and duration. At the same time, Derrida evokes the possibility of thinking friendship from its opposite, including converting the friend into enemy, he thus scrutinizes the political relation friend / enemy on the ethical plan to rethink it according to the requirement of justice. For this, he introduces the idea of the other and of hospitality. The thesis ends on the importance of the concept of the other in Derrida which is linked with the theme of hospitality in his philosophy, in order to develop his political theory around the “democracy to come”
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Alnabwani, Khaldoun. "Habermas et Derrida : divergence théorique et convergence pratique ?" Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010621.

Full text
Abstract:
Cette thèse examine le rapport complexe entre Habermas et Derrida en s'interrogeant sur l'évolution, durant les années 1980, d'une relation conflictuelle en un lien amical et collaboratif. Elle analyse leurs œuvres afin d'évaluer la convergence et la divergence entre leurs pensées. Nous avons essayé en premier lieu de dessiner les contours de la scène culturelle en Allemagne et en France à partir de l'année 1945. Cette approche nous a permis de mieux comprendre la philosophie de chacun d'eux et d'étudier la continuité et la discontinuité, la tension et l'échange philosophique, entre les philosophies allemandes et françaises. Même si notre thèse se divise en huit parties, elle s'étend sur deux champs d'investigation: l'un théorique et l'autre pratique. Concernant le champ théorique, cette thèse se penche sur la querelle franco-allemande relative au débat modernité/post-modernité, dans laquelle ils s'engagèrent et développèrent des critiques sévères l'un à l'égard à l'autre. La question de la modernité nous invite à mettre en question certaines idées générales, notamment celle selon laquelle Habermas serait un défenseur du projet de la modernité, tandis que Derrida serait un post-moderne hostile à la modernité et aux Lumières. Au sujet de leurs philosophies pratiques nous avons effectué une approche comparative de leurs idées sur la morale, l'éthique, la théorie du droit et la philosophie politique. Cette comparaison nous a permis de comprendre les raisons pour lesquelles ils se sont réconciliés et se sont intervenus ensemble pour atteindre certains objectifs politiques, mais aussi juridiques: la réforme du droit international<br>This work examines the complex relationship between Habermas and Derrida by shedding light on the shift from a less pleasant interaction in the 1980s to a rather friendly and collaborative affiliation later in an attempt to highlight comparable areas of interest as well as evaluate areas of convergence and divergence among the two great minds. Intuitively, a philosophical eye looks deep to examine to womb where thoughts are born. We lay out the scene in post WWII Germany and France, both fertile lands for such phenomena. This allows us to garner a sharper image of how the two philosophers evolved within their backgrounds and influenced one another. Two focal points, theory and practice, are covered in eight sections. We will address the Franco German quarrel of Modernity vs. Post Modernity revealing the critique so-called Modernist Habermas and supposed Post Modernist Derrida bathed one another with, and, there, we tackle the question of ideology. The later point, practice, reveals a deep assessment of the two philosophers' stances on morality, ethics, philosophy of law, and politics. We conclude with an analysis of the two's collaboration, as they share comparable fundamentals, and inspect the fruit of that effort, which achieved not only political reform but legal in the shape of a Reform of International Law
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Sato, Yoshiyuki. "Pouvoir et résistance : Foucault, Deleuze, Derrida, Althusser /." Paris : l'Harmattan, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41044229p.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Ruff, Pierre-Yves. "Derrida, l'ecriture et la place de l'autre." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1996. http://www.theses.fr/1996STR20053.

Full text
Abstract:
Cette these est, d'emblee, un parcours de lecture ou une traversee. Le propos n'est pas de degager des "contenus" de pensee, places sous la signature de derrida. Il s'agit bien plutot - dans la mesure ou ce serait possible - d'oeuvrer a l'interieur du texte de derrida, a la facon dont lui-meme aborde les ecrits qu'il lit, cela implique une attention minutieuse a l'ecriture et, en ce cas precis, la revendication d'une proximite mimetique parfois vertigineuse. Deux chapitres, eux-memes divises en paragraphes, faconnent a eux seuls l'architecture singuliere de la these. Le premier conduit de la "fin du livre" a l'estompement s'annoncant sous la rature; le second tente un nouveau depart, et conduit jusqu'a l'imminence de la venue de l'autre. Ces deux chapitres sont ainsi les deux versants incurves d'un parcours singulier, lequel est avant tout la marque d'une reconnaissance, le signe sans signature d'une marche reglee sur le pas de l'autre: derrida<br>This thesis is, first of all, a journey through or across derrida's work. Its purpose is not to untangle the "content" of the thought signed derrida. It aims rather - in so much as it is possible - to work within derrida's text in the same way he himself approaches the works that he reads. This implies a close attention to writing and in this particular case demands an approximate if at times vertiginous textual mimesis. Two chapters themselves divided into paragraphs alone form the uncommun architecture of the thesis. The first one leads from the "end of the book" to the blurring which becomes apparent under the erasure; the second one attempts a new departure under the title of the call and leads to the imminent arrival of the other. Thus, these two chapters are the two curved slopes of a single journey, which is above all the mark of a recognition, the unsigned sign of a trajectory accomplished in the pas of the other derrida
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Chehayed, Nibras. "Le corps et son écriture entre Nietzsche et Derrida." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018PSLEE009.

Full text
Abstract:
Jacques Derrida a ouvert un nouvel horizon pour concevoir l’écriture, en insistant notamment sur la dynamique de la différence qu’elle met en œuvre. Pour penser cette différence et pour libérer le texte d’un sens présupposé univoque, il sollicite Friedrich Nietzsche, mais sans étudier, pour autant, le lien qui rattache l’écriture de ce dernier à la question du corps. Quant à sa propre conception de l’écriture, il est frappant qu’elle ait été abondamment étudiée, sans que le lien qui l’unit à la question du corps reçoive toute l’attention méritée. Ce présent travail vise donc à penser l’écriture du corps chez Nietzsche et chez Derrida, ou plus exactement entre eux, en étudiant la « corporalisation » de l’écriture et la « textualisation » du corps. Nous montrons que, chacun à sa façon, Nietzsche et Derrida puisent dans l’ambiguïté corporelle pour élaborer de nouvelles dynamiques d’écriture, tout en donnant à penser le corps lui-même en termes d’écriture. Pour étudier ce double geste, nous lisons différents textes de Derrida, à partir desquels nous proposons une réflexion sur l’écriture du corps chez Nietzsche, sans que ce dernier y soit nécessairement mentionné. En effet, c’est l’hospitalité de l’écriture de Derrida elle-même qui invite à une telle démarche, que nous abordons en termes d’intrusion<br>Jacques Derrida has opened a new horizon to conceive writing by insisting on the dynamic of “difference” that it implements. To address the question of difference, as well as to liberate the text from a presupposed unambiguous meaning, he solicits Friedrich Nietzsche without examining, however, the link which connects the writing of the latter with the question of the body. As for Derrida’s own conception of writing, what is striking is that while it has been widely studied, its link to the question of the body has not received the attention it deserves. Therefore this present work aims to consider the writing of the body in Nietzsche’s and Derrida’s philosophies, and more precisely between them, by studying the “corporization” of the writing and the “textualization” of the corporeity. We demonstrate that both Nietzsche and Derrida, each in his own way, draw from the body’s ambiguity to develop new dynamics of writing, and think about embodiment, at the same time, in terms of writing. To discuss these two aspects, we read various texts of Derrida, through which we also suggest a reflection on Nietzsche’s writing of the body, without the latter being necessarily mentioned. It is actually the hospitality of Derrida’s writing that allows such a gesture, which could be perceived more in terms of intrusion
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Ducharme, Olivier. "Derrida ou la rayure de l'origine." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25140/25140.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Arakané, Naoto. "Dialectique et déconstruction : Derrida face à Hegel : thèse." Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE2002.

Full text
Abstract:
Cette thèse analyse le rapport de Jacques Derrida à Hegel, ce que Derrida a écrit face à Hegel, ce qui s'est passé entre la déconstruction derridienne et la dialectique hégélienne. Elle suit l'évolution de ce rapport en s'appuyant sur un recensement presque exhaustif des références faites à Hegel dans l'oeuvre de Derrida, et sur la lecture de tous les textes de Derrida dominés par la présence de Hegel. Les points principaux abordés dans ce travail sont : 1) La filiation conceptuelle qui va, chez Derrida de la dialectique à la différence. 2) Le rapport de Hegel à la métaphysique et le rapport de Georges Bataille à Hegel, selon Derrida. 3) La lecture de l'article de Derrida consacré à la sémiologie hégélienne : Le puits et la pyramide. 4) la stratégie générale de la déconstruction, élaborée dans trois textes : Positions, Hors livre et Tympan. 5) La lecture de Glas, le livre majeur de Derrida sur Hegel. 6) Le rapport ou le non-rapport de Derrida à Hegel après Glas<br>This thesis analyzes Jacques Derrida's relation to Hegel, what Derrida wrote when facing Hegel, what is the relation between Derrida's deconstruction and Hegel's dialectics. It follows the evolution of this relation, based on an almost exhaustive inquiry of the references to Hegel in Derrida's work, and on the reading of all the texts of Derrida dominated by Hegel's presence. Here are the main subjects : 1) The conceptual filiation which goes, in Derrida, from dialectics to differance. 2) Hegel's relation to the metaphysics and Georges Bataille's relation to Hegel, according to Derrida. 3) The reading of Derrida's article about Hegel's semiology : Le puits et la pyramide. 4) The general strategy of deconstruction, elaborated in three texts : Positions, Hors livre and Tympan. 5) The reading of Glas, Derrida's major book on Hegel. 6) The relation or the non-relation of Derrida to Hegel after Glas
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

De, Nooy Juliana. "Entre autres : Derrida, Kristeva et la limite entre." Paris 7, 1990. http://www.theses.fr/1990PA070070.

Full text
Abstract:
Cette these est la recherche d'un espace entre deux oeuvres qui traitent toutes les deux de l'"espace entre". Malgre certains enjeux en commun (notamment la recherche de figures doubles, ambigues ou indecidables, au depens de l'opposition binaire et de la synthese), les theories de jacques derrida et de julia kristeva ne coincident point en ce qui concerne la production de differences, derrida optant pour un mouvement de detour, evitant la confrontation, evitant aussi la position thetique, kristeva soutenant un mouvement dialectique engendrant des conflits entre la position et le rejet. Mais en decrivant l'ecartement des deux, toute la problematique des structures de difference se reproduit. La description de la difference entre les deux theories comme confrontation ou decalage, comme contradiction ou non-coincidence, s'engage elle-meme dans les preoccupations principales de derrida et de kristeva. Les grandes differences qui se degagent de ce travail concernent la facon de concevoir les limites qui, chez kristeva, se revelent des frontieres resistantes, sites de lutte entre deux mouvements inseparables. . .<br>The thesis seeks to describe the space between two theories which each discuss "the space between". Despite several common objectives (notably the pursuit of double, ambiguous or undecidable figures to supplant the binary opposition and the synthesis), the work of jacques derrida and that of julia kristeva in no way coincide where the production of differences is concerned, derrida opting for "detours", avoiding confrontation, equally avoiding the thetic position, kristeva arguing for a dialectical movement engendering conflict between the thetic position and its rejection. However, in describing their divergence, the whole problematic of structures of difference is reproduced. The representation of the distinction between the two theories as confrontation or as hiatus cannot be separated from the preoccupations of derrida and kristeva. The major differences which emerge from this study concern ways of conceiving limits, which in kristeva's work are resistant frontiers, sites of struggle between two inseparable movements. . .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Contreras, Guala Carlos. "Éthique et politique dans l'œuvre de Jacques Derrida." Paris 8, 2008. http://octaviana.fr/document/145514641#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

Full text
Abstract:
Nombreux sont les auteurs qui s'accordent à penser que la seconde moitié du siècle qui vient de s'écouler apparaît stigmatisée par la tendance à un certain désintérêt pour les domaines éthique et politique. C’est ainsi que la déconstruction a été taxée d'immoralité et d'irresponsabilité. Cependant, quelques lecteurs ont abordé directement les relations entre politique, éthique et déconstruction dans le but d'apporter la lumière sur ces relations. En général, ces derniers postulent qu'il y aurait un tournant, un ethical and political turn dans l'œuvre derridienne. Face à ces problèmes, il s'agit de montrer, d'une part, que la dimension politique et éthique est présente dans l'œuvre de Jacques Derrida et, d'autre part, que s'il y a certes des implications éthico-politiques dans les écrits derridiens, celles-ci ne configurent pas un turn ; il s'agirait plutôt de l'évolution dans le développement d'une pensée engagée dans les apories de l'éthico-politique. La Première partie traite des difficultés que présente l'écriture de Derrida pour tout lecteur qui s'aventure dans ses textes. La Deuxième partie est consacrée au développement des notions de responsabilité, décision, justice et de ce que nous appellerons structure aporétique de la déconstruction. La Troisième partie s'intéresse à la relation entre littérature et démocratie. Dans la Quatrième partie, nous ferons un examen de la notion d'engagement moyennant une plongée dans les concepts de responsabilité, de décision et dans les opinions de Derrida sur les media. Enfin nous tenterons de proposer une approche des concepts d'éthique et de politique, et de la nécessité de la déconstruction pour pouvoir penser les conditions de la possibilité – et de l'impossibilité -, de ces concepts<br>Many authors agree that the second half of the 20th century seemed to be marked by a certain disinterest in the ethical and political arenas. That is why Deconstruction has been accused of immorality and irresponsibility. However, when reading Derrida's Deconstruction texts, some specialists have attempted to discover and reveal the relationships he established between politics, ethics, and Deconstruction. These specialists claim that there is an ethical and political turn in Derrida's work. In this thesis, we propose, firstly, that both politics and ethics are present in Derrida's work. Secondly, that if there are any ethical and political implications in Derrida's writings, they would not constitute a turn but an evolution of a way of thinking actively involved in ethical and political aporias. In the first part, we present the difficulties any reader might encounter when reading Derrida. The second part is devoted to the development of concepts such as responsibility, decision, justice and what we call Deconstruction's aporetic structure. The third part deals with the relationship between literature and democracy. In the fourth part, we examine the notion of involvement through the concepts of responsibility, decision, and Derrida's opinions about the mass media. Finally, we explore the concepts of ethics and politics and also the necessity for Deconstruction when thinking about the conditions of possibility and impossibility of those concepts<br>Muchos autores coinciden al afirmar que la segunda mitad del siglo recién pasado aparece marcada por la percepción de cierta despreocupación por el ámbito ético y político. Es así que la desconstrucción ha sido acusada de inmoralismo e irresponsabilidad. Sin embargo, también ha habido ciertos lectores que abordan directamente las relaciones entre política, ética y desconstrucción con el propósito de revelar y exponer dichas relaciones. En general, estos últimos lectores postulan que habría un ethical and political turn en la obra derrideana. Frente a estos problemas se pretende plantear, por una parte, que el problema de lo político y lo ético en la obra de Jacques Derrida está presente y, por otra parte, que, en efecto, si hay implicancias ético-políticas en los escritos derrideanos, éstas no se configurarían como un turn, sino que se trataría más bien de la evolución de un pensamiento comprometido en las aporías de lo ético-político. La Primera Parte se presentan las dificultades que plantea la escritura de Jacques Derrida ante cualquier lector que se aventure en sus textos. La Segunda Parte está consagrada al desarrollo de las nociones de responsabilidad, decisión, justicia y de lo que llamaremos estructura aporética de la desconstrucción. La Tercera Parte se ocupa de la relación entre la literatura y la democracia. La Cuarta Parte hará un examen de la noción de compromiso a través de una revisión de los conceptos de responsabilidad, decisión, y de las opiniones de Derrida a propósito de los media. Por último, intentamos una aproximación a los conceptos de ética y política, y a la necesidad de la desconstrucción para poder pensar las condiciones de posibilidad – y de imposibilidad –, de dichos conceptos
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Ertuğrul, Tacettin. "Jacques Derrida et le problème de la technique." Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAC023.

Full text
Abstract:
La tâche de notre travail est de penser la question de la technique dans sa relation profonde et complexe avec celle de l’écriture chez Derrida. Les quasi-concepts du pharmakon et du supplément nous permettent de dire que la technique est pharmaco-supplémentaire. Mais il faut avancer et dire que l’archi-technicité est déjà la techno-graphie pharmaco-supplémentaire. L’œuvre de Derrida nous permet aussi de penser les télétechnologies à partir de l’écriture qui est déjà télé-technique. Les télétechnologies vont bien au delà d’une certaine conception courante de « média » ou de « télécommunication», car le concept de télé-technique atteint le coeur du mouvement de la différance. Il faut penser la télé-technique avec l’extériorisation, l’ex-appropriation, la trace, l’archive etc. Et dans le coeur de la différance, l’itération comme répétition en différence nous pousse à penser d’une nouvelle manière le même ou l’autos. Le même n’est pas stable, toujours en distance à soi-même et ouvert à l’autre. Il faudrait chercher l’archi-technicité dans cette ouverture à l’autre qui est liée à l’itérabilité différancielle. Une technicité comme ouverture à l’incalculable<br>The task of our work is to think the question of technique in its profound and complex relation with the question of writing in Derrida’s work. The quasi-conceptsof pharmakon and of supplement allow us to say that the technique is pharmaco-supplementary. But we must move forward and say that thearchi-technicity is pharmaco-supplementary techno-graphy. Derrida’s workalso allows us to think the teletechnologies from writing that is already teletechnical.The teletechnologies go well beyond a certain current conception of« media » or « tele-communication », because the concept of teletechnology reach the heart of the movement of différance. We try to think the teletechnique with exteriorisation, ex-appropriation, trace, archive, etc. And in the heart of différance, the iteration as repetition in difference leads us to think newly the same (le même). The same is not stable, is in distance with it self and open to the other. We should search the archi-technicity in this opening to the other that is related to differential iterability. It has to be noted that the archi-technicity is a technicity which remains open to the incalculable, to the event (l’événement)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Mansur, Mehmet. "Autour de Jacques Derrida : l'écriture entre vol et circoncision." Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAC049.

Full text
Abstract:
Au commencement il y a la circoncision « du » commencement (La dissémination). La cicatrice vient en place de ce qui est volé (Marges) — le prépuce (Circonfession), le corps (La Parole Soufflée), la langue (Monolinguisme de l’autre, Béliers, Schibboleth) —, se donne comme le lieu même où bat l’opération de la coupure et comme celui du voleur (dieu, la mère, le théologiciel) qui effectue une telle opération. Les effets d’un passé qui a eu lieu sans avoir eu lieu, qui ne passe pas et qui est « instantanément » appellé par l’imminence de la mort de l’autre (celle de la mère dans Circonfession), reviennent sur la marque que le « moi « sans » moi » (Parages) porte depuis avant qu’il ne sache qu’il la porte. Notre thèse se concentre sur ces effets qui coupent le moi — à la lettre de son corps — de toute destination, de tout avenir prévisible, et ainsi constituent le moi comme l’éthique, à travers les questions de la culpabilité, du pardon, de la conversion « et » de l’écriture<br>In the beginning there is circumcision of the beginning (Dissemination). The scar comes in the place of that which is stolen (Marges) — the foreskin (Circumfession), body (La Parole Soufflée), language (Monolingualism of the other, Rams, Shibboleth) —, gives itself as the very place where the operation of the cut lives and as the place of the thief (god, mother, theologic program) who carries out such an operation. The effects of a past which has taken place without taking place, which does not pass et which is « instantaneously » called by the imminence of the death of the other (that of the mother in Circumfession), come back to the mark that the « I « without » I » (Parages) carries since before he knows that he carries it. Our thesis concentrates on these effects which cut the I — at the letter of its body — off from all destination, all predictable future, and that way constitute the I as ethics, through the questions of guilt, of forgiveness, of conversion« and » of writing
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

OLIVEIRA, ANA CRISTINA DE ABREU. "JUSTICE ET ÉTIQUE DANS LA PENSÉE DE JACQUES DERRIDA." PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO, 2007. http://www.maxwell.vrac.puc-rio.br/Busca_etds.php?strSecao=resultado&nrSeq=11438@1.

Full text
Abstract:
CONSELHO NACIONAL DE DESENVOLVIMENTO CIENTÍFICO E TECNOLÓGICO<br>Le but de cette thèse est d`établir une réflexion sur la justice et l`éthique en Jacques Derrida, un auteur qui élit le thème de la justice pour parler d`altérité et pour démontrer ce qu`elle apporte d´ouverture pour penser le problème de l`exclusion en face de la pensée sur l`homme et sur l`être comme présence. Pour en rendre compte de cet objectif, j`ai examiné la relation entre l`éthique et l`humanisme en articulation avec le questionnement posé par Derrida sur la délimitation de l`homme proposée par Heidegger. À partir de cela je suis rentrée à la problématique qu`informe cette discussion, celle de la violence que s`actualise au jeu du language et sa relation avec l`altérité et, postérieurement à travers du language du Droit. Cette discussion est suivie par l`expectative de l`arrivée de l´autre (de la justice), ce qu`implique à assumer, devant les infinis problèmes y compris, une responsabilité sans limite, ou encore, ce qu`implique à l`assomption d`un compromis éthique avec la justice.<br>O objetivo desta tese é estabelecer uma reflexão sobre justiça e ética em Jacques Derrida, um autor que elege o tema da justiça para falar da alteridade, e para demonstrar o que ela traz de abertura para pensar o problema da exclusão, face ao pensamento do homem e do ser como presença. Para dar conta deste objetivo, examinei a relação entre ética e humanismo em articulação com o questionamento de Derrida sobre a delimitação do homem proposta por Heidegger. A partir daí entrei na problemática que informa esta discussão, a da violência que se atualiza no jogo da linguagem em sua relação com a alteridade e, posteriormente, através da linguagem do direito. Esta discussão é acompanhada da expectativa da vinda do outro (da justiça), o que implica assumir, face aos infinitos problemas aí envolvidos, uma responsabilidade sem limite, ou ainda, implica assumir um compromisso ético com a justiça.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Bovo, Elena. "La pensée d'autrui chez Emmanuel Levinas et Jacques Derrida." Paris 12, 2002. http://www.theses.fr/2002PA120039.

Full text
Abstract:
C'est à partir d'un dialogue avec la phénoménologie husserlienne et heideggerienne que Lévinas et Derrida élaborent leurs conceptions de l'identité du moi. C'est une identité précaire qui est à la fois rendue possible et menacée par autrui. La première partie de ce travail met en lumière les points problématiques et féconds impliqués dans la réflexion husserlienne de l'altérité ainsi que l'enracinement de certains concepts lévinassiens dans une telle réflexion. Dans la deuxième partie une attention particulière est prêtée au développement et au changement de la conception lévinassienne du moi et d'autrui dans les textes postérieurs à Totalité et Infini. Dans ces textes un nouveau concept de mort est aussi à l'œuvre. Dans la troisième partie un tel concept, qui s'oppose explicitement à la conception heideggerienne de la mort, est mis en relation avec la réflexion derridienne du deuil impossible, réflexion qui analyse les conséquences de la perte d'autrui dans la constitution du moi<br>It is from a dialogue with the husserlien and the heiddegerien phenomenology that Lévinas and Derrida elaborate their concept of the identity of the self. It is a precarious identity, which is at the same time made possible and threatened by the other. The first part of the thesis throws light on the problematic and fertile points implicated in the husserlien reflection of otherness, as well as on the roots of some levinasien concepts in this reflection. In the second part, a special attention is given to the development and the change of levinasien conception of the self and the other, in the texts posterior to Totalité et Infini. In these texts, a new concept of death is introduced as well. In the third part, this concept of death, which explicitly opposes the heideggerien concept of death, is compared with derridien reflection of impossible mourning, a reflection that examines the consequences of the loss of the other for the constitution of the self
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Potestà, Andrea. "L'enchantement de l'éthique : Heidegger et Derrida face à l'abîme." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2007. http://www.theses.fr/2007STR20075.

Full text
Abstract:
Y a-t-il une dimension éthique du questionnement de Heidegger ? Quelle lutte avec l'indéfinissable entraîne-t-il par le recours à l'impensé ? Comment demeurer devant l'abîme, dans l'enchantement ou la syncope du sens ? Par ces questions on cherche à interroger l'errance idéologique heideggérienne des années 30 en référence à la notion d'être-avec. On entreprend ensuite un chemin dans l'injonction interdisante de la différ"a"nce derridienne en l'entendant comme une piste résolutive vis-à-vis de l'idéologie. Mais devant l'aporie qu'elle laisse affleurer au sein de la pensée, on se demande s'il est possible de proposer une éthique comme pratique questionnante capable de demeurer devant l'absence du sens sans cependant abandonner l'impatience d'une "force d'action" c'est-à-dire tout en étant capable de faire de l'abîme, non tant un objet plus ou moins sensé à contempler ou à repousser à l'infini, mais ce seulement à partir de quoi une incessance d'irradiations de sens peut avoir lieu<br>Is there an ethical dimension in Heidegger's questioning ? What struggle with the indefinable does he engage in by turning to the unthought ? How is it possible to stand in front of the abyss in an enchantment or in syncope of meaning ? Through the questions we propose to interrogate Heidegger's ideological wanderings in the Thirties, related to the notion of being-with. We then undetake a journey through the forbidding injunction of Derrida's differance, by interpreting it as a way to face ideology. But in the face of the aporia that comes to the thought, we ask if it is at all possible to propose a questioning ethic that is capable of standing in front of the lack of meaning, without loosing the impatience of an "impulse to act", that is to say the capacity to turn the absyss not into an object meant to be contemplated or postponed indefinitely, but into the only possible source of a never-ending irradiation of meaning
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Masó, Illamola Joana. "Dessiller la langue : écriture et vision chez Hélène Cixous et Jacques Derrida." Paris 8, 2009. http://octaviana.fr/document/14551546X#?c=0&m=0&s=0&cv=0.

Full text
Abstract:
Dans le discours philosophique, dans la critique littéraire et l'histoire de l'art, voir et parler, regarder et dire ont fait l'objet de multiples parallélismes et partages qui demeurent l'arrière-plan de notre étude. L'articulation du texte et de l'image, ainsi que leurs rapports étroits où le visible et le lisible sont tantôt incompatibles tantôt complémentaires restent l'objet de la présente thèse. Toutefois, entre ces deux modèles, ni la correspondance ni l'adéquation parviennent à nommer l'étrange complicité de l'œil et de la voix, du regard et du mot dans l'aventure de la connaissance, la révélation, la représentation et l'accès au sens - les grandes lignes de force qui traversent la problématique du visible et du lisible. L'écriture d'Hélène Cixous et la pensée de Jacques Derrida reprennent et déplacent l'héritage de la vision, qu'ils transforment dans le cadre d'une expérience déconstructrice de la langue. Cette déconstruction, nous le verrons tout au long de notre étude, met en place une forte critique de la notion indoeuropéenne de savoir et de vérité, profondément liée au mode de production de sens du visible. Nous aborderons également les nouveaux modèles perceptifs qui s'esquissent dans les corpus cixousien et derridien. L'étude de ces deux écritures et pensées nous permettra d'analyser et de bien comprendre la puissante critique de la vision qui s'installe en France avec la pensée dite post-structuraliste, chez des auteurs tels que Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy ou Luce Irigaray, entre autres<br>In the fields of philosophy, literary criticism and art history, the linguistic and the visual paradigms - seeing and talking, watching or saying - have been studied as different parallelisms. These oppositions constitute the context of our essay. The purpose of this essay is to analyse the articulation of text and image and the relationships between the visual and the writing models, which are sometimes exclusive and sometimes complementary. Hence, the correspondence between these two models is always inadequate to describe the strange complicity between the eye and the voice, the gaze and the word in the main points of our investigation: knowledge, revelation, representation, and meaning. Hélène Cixous' writing and Jacques Derrida's philosophical thought both echo and displace the heritage of vision. Cixous and Derrida transform this heritage in the context of a deconstructive experience of language and writing. As we will discuss throughout this essay, the deconstruction of the visible paradigm supposes a strong criticism of the Indo-European concept of knowledge and truth, which is deeply intertwined with the visual model. Moreover, we intend to analyze new perceptive models developed in Cixous' and Derrida's texts. The analysis of these two authors and their thoughts will allow us to understand and interpret the strong criticisms of vision operating in France in the context of post-structuralist thought, especially in the work of Michel Foucault, Jean-François Lyotard, Gilles Deleuze, Jean-Luc Nancy and Luce Irigaray, etc
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Garcia-Hubard, Gabriela. "Beckett et Derrida (d')après les apories de la signification." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070034.

Full text
Abstract:
Dans le contexte dit poststructuraliste ou même postmoderniste, on arrive trop souvent à la conclusion qu'un concept, une hypothèse, un texte et même une action est aporétique, sans pour autant s'arrêter un instant et rechercher leurs traces et leurs histoires, ainsi que la richesse lexicale qui les constituent, l'infinité sémantique qui les déclenche, sans considérer la pratique syntaxique et contextuelle qui les compose et les décompose. C'est pour cela que nous proposons une exploration, non exhaustive, des différentes figures aporétiques qui simultanément animent et menacent l'œuvre beckettienne et derridienne, telles que la mort, l'ignorance, l'aphasie, la suspension, le bruit, le chaos, la destinerrance, l'hymen, entre autres<br>In the so-called postmodernist or even poststructuralist context, we come too often to the conclusion that a concept, an hypothesis, a text or even an action is aporetic, without pausing to inquire into its traces and its histories, the lexical richness that constitutes it, the endless semantics that provoke it, without considering the syntactic and contextual practice that composes and decomposes it. That is why we propose an exploration (although not an exhaustive one) of different aporetic figures that simultaneously animate and threaten Beckett's and Derrida's work, such as death, ignorance, aphasia, suspension, noise, chaos, destinerrance, and the hymen, among others
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Bovo, Elena. "Absence, souvenir, la relation à autrui chez Emmanuel Lévinas et Jacques Derrida /." Turnhout : Brepols, 2005. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39970219k.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Barroso, Henrique. "Glas et la question de l'écriture fragmentaire chez Jacques Derrida." Thesis, McGill University, 1991. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=60606.

Full text
Abstract:
This thesis attempts to analyse both the characteristics and the presuppositions that constitute the writing of the philosopher and literary critic, Jacques Derrida.<br>More concretely, this analysis proposes to bring out the principal factors that illustrate the form of writing and thought in Glas. Glas is a real laboratory where Derrida plays with the "text" and the broken form of thought.<br>Derrida proves that the broken form of writing can neither achieve the status of oeuvre nor protect its own literary nature.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Morar, Mihaela Cristina. "Le corps de l'hospitalité : Éthique et matérialité, d'Emmanuel Levinas à Jacques Derrida." Thesis, Université d'Ottawa / University of Ottawa, 2014. http://hdl.handle.net/10393/31819.

Full text
Abstract:
L’objectif poursuivi dans cette thèse est de rendre compte de l’émergence, dans la réflexion philosophique de l’après-guerre, d’une préoccupation pour les questions de l’affect et de la corporéité. Nous abordons cette orientation affective et sensible de la pensée avec les œuvres des philosophes français Emmanuel Levinas et Jacques Derrida, qui l’ont infléchie dans le sens d’une prise en compte de la fragilité et de la précarité de l’existence. Cela donne lieu à deux pensées incarnées. Le corps est chez Levinas à la fois ce qui pose dans l’être et permet de se vouer à autrui. Chez Derrida, c’est l’écriture qui fait sortir hors de soi, venant espacer et différer l’identité. Le défi sera de montrer que l’écriture relève, elle aussi, du registre de la corporéité. Les deux pensées reconnaissent ainsi au corps une place importante dans l’élaboration d’une nouvelle conceptualité qui se produit aux interstices de la vie et de l’œuvre. On a affaire dans les deux cas à des écritures vivantes, poétiques, métaphoriques, qui affectent le lecteur et ouvrent ainsi des avenues nouvelles pour penser les questions éthiques et politiques. Les deux philosophes engagent de la sorte la métaphysique et l’ontologie dans un mouvement, allant du même vers l’autre, et faisant du sentir et du pâtir le lieu même d’une nouvelle expérience philosophique. Nous en rendons compte en termes d’une orientation matérialiste de la pensée ainsi que d’une notion de subjectivité conçue, à travers le prisme de l’hospitalité, comme ouverture à l’autre.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Ouellette, Régis. "La lecture derridienne de Heidegger." Doctoral thesis, Université Laval, 2001. http://hdl.handle.net/20.500.11794/52527.

Full text
Abstract:
Notre question est la suivante : à partir du programme philosophique inauguré et élaboré par Derrida autour de la question du signe dans De la garammatoloqie (1967), est-il possible de déceler et de juger de la cohérence de sa démarche et par là de comprendre son «interprétation» innovatrice de la pensée de Heidegger dont l'un des aboutissements théoriques se trouve, selon nous, dans son livre intitulé Heidegger et la question (1987)? Le programme philosophique inaugural de De la grammatologie démontre que le concept derridien d'écriture excède le phonocentrisme de la tradition métaphysique occidentale et qu'il est le fondement sans cesse différé de l'expérience de la vérité. Tout cela se reproduit-il dans les lectures derridiennes de Heidegger ?
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Biset, Emmanuel. "Violencia, justicia y política : una lectura de Jacques Derrida." Paris 8, 2009. http://www.theses.fr/2009PA083079.

Full text
Abstract:
Ce que la thèse essaie de montrer est qu'il existe une "tension" dans les textes de Derrida entre violence et justice. Que, bien que dans l'une ou l'autre étape on mette l'accent sur des choses différentes, la dite tension n'est jamais résolue. Il est possible d'établir des liens avec d'autres tensions de la pensée politique, même avec quelques-unes travaillées par l'auteur lui-même comme celle qui a lieu entre Lévinas et Kant. Il n'est pas le cas d'établir ici ces multiples rapports, mais d'indiquer que quand l'accent est mis sur la violence ou sur la justice, des sens différents de la coappartenance sont configurés. Si l'implication réciproque de philosophie et politique acquiert une nouvelle signification, la philosophie, la politique et le lien qui les unit sont redéfinis. Le déplacement d'accent montre, en fin de compte, une tension entre les façons de penser la coappartenance. Cette tension a été l'hypothèse de lecture proposée. Hypothèse qui est très importante quand on la replie sur les présupposés d'où part la thèse. En dernier ressort, la tension développée dans la thèse montre que face à l'absence de fondements on étend le politique jusqu'à ce qu'il occupe un lieu structural, mais pour cette même raison le problème du comment de cette politique surgit. Le retour du politique est concomitant de la réapparition du problème de la justice. Et si la thèse commençait avec une incommodité, non réductible au problème, c'est parce que la difficulté d'articuler une pensée sur le politique - sur le vivre-ensemble - qui aborde le comment de l'excédent y apparaissait. La tension entre violence et justice, celle qui a été parcourue dans et par la thèse, est une façon d'habiter cette incommodité qui initiait la thèse<br>The object of this writing presents an hypothesis of lecture of Jacques Derrida philosophy. Because of this, the text presents the general result of a major investigation about Derrida's reading. This has two objectives: first, to point out the different shades that Derrida'philosophy acquires throughout time; second, to show that this shades suggest a tension between an irreductible violence and a irreductible hospitality; third, insert this tension inside specific discourse tradition: the political philosophy
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Rocha, Alvarez Delmiro. "Mort du dynaste : la contamination itérable du propre chez Jacques Derrida." Lille 3, 2010. http://www.theses.fr/2010LIL30046.

Full text
Abstract:
Cette thèse doctorale propose la division de la souveraineté. Dès son commencement et dès son principe divisés, cette thèse constitue d'elle-même une division de la souveraineté. Première division : l'idée de souveraineté en tant qu'une et indivisible, qui remonte au moins à la conception de l'Etat moderne, perd cette frontière, cette division historique, dès lors que l'on va voir que la souveraineté a toujours été une et indivisible en raison justement de ses assises théologico-politiques. Car jamais celle-ci n'a constitué une souveraineté mais, plus précisément, la souveraineté qui est une. L'on va présenter la division de la souveraineté comme la prépondérance de cet article indéfini, "une", qui divise et partage. Deuxième division : auto-immunité de la souveraineté. C'est à travers la division des dynasties que se divise la souveraineté. L'appropriation de ce qui est propre va produire la mort du dynaste. Malgré tout, l'exappropriation va demeurer en tant que souveraineté en division. Troisième division : c'est à travers le lexique de la souveraineté que l'on va développer, de façon parallèle, cette autre fable qui prétend qu'il y a une division du corps derridien "proprement" dit. Quatrième division : une fois que l'on aura démasqué, voire démystifié, une certaine façon de concevoir la souveraineté, laquelle affirmait l'unité et l'indivisibilité de celle-ci, l'on va proposer une division effective de la souveraineté que l'on va donc, très précisément, exposer à partir de l'université ainsi que proposer pour l'université. Une souveraineté dans condition pour l'université s'opposant et faisant obstacle à l'inconditionnalité de la souveraineté<br>This doctoral dissertation proposes the division of sovereignty. From its divided beginning and principal, this dissertation constitutes by itself a division of sovereignty. First division : the idea of sovereignty insofar as one and indivisible, that hearkens back at least to the conception of the modern State, loses this border, this historical division, as soon as one sees that sovereignty, the sovereignty, has always been one and indivisible because precisely of its theologico-political bases. For the sovereignty has never constituted one sovereignty, but, more precisely, the sovereignty that is one. We will present the division of sovereignty as the preponderance of the indefinite article, a, that divides and is shared, is shorn. Second division : auto-immunity of sovereignty. It is through the division of dynasties that sovereignty is divided. The appropriation of what is proper will produce the death of the dynast. In spite of all, the ex-appropriation will remain as a sovereignty of division. Third division : it is through the lexicon of sovereignty that we will develop, in parallel fashion, this other fable that pretends that there is a division of the "Derridian" corpus "properly" speaking. Fourth division : once we will have unmasked, verily demystified, a certain fashion of conceiving sovereignty, that itself affirmed the unity and the indivisibility of itself, we will propose an effective, a real, division of sovereignty that we will, therefore, very precisely, expose starting with the university, as well as propose for the university. A sovereignty without condition for the university opposes and constitutes an obstacle for the unconditionality of sovereignty
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

GRENHA, TATIANA. "HÉRITAGE ET ÉCRITURE EN SCÈNE: UNE ÉTUDE SUR FREUD CHEZ DERRIDA." PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO, 2004. http://www.maxwell.vrac.puc-rio.br/Busca_etds.php?strSecao=resultado&nrSeq=6156@1.

Full text
Abstract:
COORDENAÇÃO DE APERFEIÇOAMENTO DO PESSOAL DE ENSINO SUPERIOR<br>Héritage et Écriture en Scène: une étude sur Freud chez Derrida est un texte qui veut étudier la pensée de Jacques Derrida, philosophe dont l’oeuvre est reconnue comme une des plus importantes de la scène philosophique française. Ce penseur a dédié, comme on sait, une grande part de son travail à la discussion des questions relatives à l oeuvre de Freud et à son importance comme rupture par rapport à la tradition philosophique métaphysique. Dans la trajectoire de cet ami de la psychanalyse comme il se nome lui même, on voit la tentative de souligner dans l oeuvre de Freud, une source qui, dans sa compréhension, n avait pas encore était lue comme on le devrait : une puissante réflexion sur la trace et l écriture. L objectif de cette étude est de réaliser une lecture des principaux centres d intérêt manifestés par Derrida sur le thème de l écriture chez Freud comprenant les notions de trace psychique, d impression, d archivage, visant à circonscrire, à travers eux, l héritage freudien de la Déconstruction. Dans ce chemin, un défi : l ami de la psychanalyse, comme dit Derrida, garde la réserve ou le retrait nécessaire à la critique, dénonçant les complicités métaphysiques de la psychanalyse, y comprit l interprétation psychanalytique de l héritage et de la paternité tel quel comprise dans le contexte freudien. Serait-il, donc, impossible de penser une relation de filiation qui traverserait l amitié entre Derrida et Freud. C est une question épineuse puisque l on a apprit avec la Déconstruction que l archivage d un discours, dans son désir d origine, ne s institue qu en se répétant et ne revient pour se rétablir que dans le parricide. L écriture dérridienne répète inlassablement le meurtre du père. Sans la prétention d effectuer, pourtant, un règlement de compte entre les deux penseurs, l objectif de cette étude se rend à la nécessité d aborder les concepts derridiens d héritage et de circoncision. Si Freud a répété, tant dans sa vie que dans son oeuvre, une logique patriarcale qui a une intime proximité avec le désir d’origine de la métaphysique, il y a, de l autre coté, chez Freud, quelque chose qui résiste à ce mouvement : Sa spéculation, dans les mots de Freud, son geste d écriture’ dans les mots de Derrida. C est dans l affirmation du geste que guide l étique de la psychanalyse freudienne que l on va rencontrer Freud chez Derrida et la prise de position dans l opération de la Déconstruction.<br>Herança e Escritura em Cena: um estudo sobre Freud em Derrida é um trabalho que pretende abordar o pensamento de Jacques Derrida, filósofo cuja obra é reconhecida atualmente como uma das mais importantes no cenário filosófico francês. Tal filósofo dedicou, como se sabe, grande parte de seu trabalho à discussão de questões relativas à obra de Freud e à sua importância como momento de ruptura com relação à tradição filosófica metafísica. Na trajetória deste amigo da psicanálise, como o próprio filósofo se denomina, vemos a tentativa de destacar na obra de Freud, uma fonte que, no seu entender, não tinha, até então, sido lida como se deveria : uma poderosa reflexão sobre o traço e a escritura. O objetivo deste estudo é o de realizar uma leitura dos principais pontos de interesse manifestado por Derrida em relação ao tema da escritura em Freud abrangendo as noções de traço psíquico, impressão, arquivamento, visando circunscrever, através deles, a herança freudiana da Desconstrução. Neste caminho, um desafio : o amigo da psicanálise, como diz Derrida, guarda a reserva ou a distância necessárias à crítica, denunciando as cumplicidades metafísicas da psicanalise, inclusive quanto à interpretação psicanalítica de herança e de paternidade tal como entendidas no contexto freudiano. Seria, portanto, impossível pensar uma relação de filiação que atravessasse a amizade entre Derrida e Freud ? Pergunta espinhosa já que aprendemos com a Desconstrução que o arquivamento de um discurso, no seu desejo de origem, não se institui senão se repetindo e não retorna para se recolocar senão no parricídio. A escritura derridiana repete incansavelmente a morte do pai. Sem a pretensão de efetuar, no entanto, um ajuste de contas entre os dois pensadores, o objetivo do nosso estudo rende-se à necessidade de abarcar os conceitos derridianos de herança e de circuncisão. Se Freud repetiu, tanto na vida quanto na obra, uma lógica patriarcal na sua íntima proximidade com o desejo de origem da metafísica, há, por outro lado, algo no discurso freudiano que resite a este movimento : sua especulação, nas palavras de Freud, seu gesto de escritura nas palavras de Derrida. É na afirmação deste gesto que guia a ética da psicanálise freudiana que vamos encontrar Freud em Derrida e a tomada de posição da operação da Desconstrução.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Perrier, Jean-François. "Subjectivité et animalité :l'animal en question dans l'oeuvre de Jacques Derrida." Master's thesis, Université Laval, 2016. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27339.

Full text
Abstract:
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2016-2017<br>Ce mémoire se donne pour objectif d'expliciter et d'interroger les dimensions phénoménologique et éthique de la question animale à partir des écrits de Jacques Derrida. Pour ce faire, en prenant pour fil directeur les intrications entre la subjectivité et l'animalité, nous tenterons d'exhumer les moments dogmatiques au sein de la phénoménologie de Husserl et de Heidegger quant à leur conception des animaux. Dans un premier temps, nous expliciterons la position de Derrida à l'égard de la thèse heideggérienne qui oppose le Dasein et ce qui ne serait que « seulement vivant ». Dans un second temps, nous nous intéresserons aux écrits de Derrida sur la phénoménologie de Husserl afin de comprendre pour quelles raisons Derrida n'adhère pas non plus à un continuisme entre les hommes et les animaux. Enfin, ne souscrivant ni à la thèse discontinuiste de Heidegger, ni celle continuiste de Husserl, nous aborderons les conséquences éthiques que Derrida dégage à partir de l'impossibilité de penser autant le propre de l'homme que le tout autre qu'est l'animal, nous engageant par là dans sa pensée de l'hospitalité et de la responsabilité au-delà de toute subjectivité.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Kauffmann, Catherine. "Derrida, lecteur de Freud et de Lacan : héritages de la psychanalyse." Thesis, Strasbourg, 2020. http://www.theses.fr/2020STRAC012.

Full text
Abstract:
Derrida est l’ami de la psychanalyse. Il reconnaît à Freud d’avoir contrarié, par un coup d’envoi révolutionnaire, l’idée d’une présence claire à soi-même et déjoué les tranquilles assurances d’un sujet supposé souverain dans ses décisions. Mais Derrida est aussi un lecteur éveillé, infatigable. Il veille dans les grands textes, à déconstruire les tentations hégémoniques des pensées logocentriques. Il reste ainsi vigilant face à la psychanalyse pour traquer en elle les héritages de la métaphysique. Si Freud reste tributaire d’un concept traditionnel de temps, Lacan en envisageant la destination de la lettre qui fait sans cesse retour à sa place, rate l’événement d’un sujet à jamais divisible, consistant à ne pas pouvoir consister, voué à la destinerrance. C’est alors à des renvois de l’autre que Derrida nous engage, au plus d’un sujet appelé à hériter autrement, à entendre l’inouï d’une folie du don, notamment par la promesse folle de plus d’une langue<br>Derrida is a friend of psychoanalysis. He acknowledges that Freud counteracted, in arevolutionnary coup, the idea of one’s clear presence to oneself and defied the quietcertitudes of the subject who is supposed to be sovereign in his decisions. But Derrida isalso a wakeful, tireless reader. In the major texts, he carefully deconstructs the hegemonictemptations of logo-centered thoughts. Thus he remains attentive psychoanalysis in orderto hunt down metaphysical legacies. While Freud remains attached to a traditional conceptof time, Lacan misses the event of a forever dividible subject, that consists in neverconsisting and bound to destinerrance, as he considers the destination of a letter thatalways comes back to its primary place. Therefore Derrida commits us to going back tootherness, to « more than one subject » deemed to a different inheritance, he commits usto hear the incredible madness of giving, especially through the crazy promise of « morethan a language »
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Barrau, Aurélien. "Anomies : une déconstruction de la dialectique de l’un et de l’ordre, entre Jacques Derrida et Nelson Goodman." Thesis, Paris 4, 2016. http://www.theses.fr/2016PA040002.

Full text
Abstract:
Notre hypothèse est la suivante : pour des raisons différentes et avec des méthodes différentes, Derrida et Goodman ont, chacun, ébranlé l’un des deux piliers qui sous-tendent l’essentiel de la tradition philosophique. Derrida, par le jeu subtil de la différance, a fait vaciller la vaste entreprise de mise en ordre. Goodman, par la profusion de mondes construits et irréductibles les uns aux autres, remet en cause l’aspiration à l’unité. Nous avons tenté d’établir que la métaphysique s’est développée dans une dialectique de l’un et de l’ordre, se rétablissant sur l’un de ses pilastres quand l’autre faiblissait. Si donc les soubassements de l’histoire philosophique devaient être revisités – peut-être révisés – il serait fructueux d’user simultanément des propositions derridiennes et goodmaniennes. C’est l’originalité de ce projet. Il s’agit, pour neutraliser la récupération dialectique par l’autre pilier (par l’unité quand l’ordre faillit ou par la mise en ordre dans la multitude s’immisce) d’interroger la tradition suivant le double impératif de la déconstruction et du nominalisme, suivant le double prisme du dés-ordre de Derrida et du multiple de Goodman. Nous avons tenté d’établir que l’efficace d’une remise en cause du « mythe de l’un » ne peut se faire sans ébranler le « mythe de l’ordre ». Considérer conjointement les systèmes (ou des dé-systématisations) de Derrida et Goodman serait donc, suivant ce dessein, non seulement utile mais presque indispensable. Chacun d’eux permet d’éviter la récupération dialectique du schème de l’autre. L’étude est menée à partir d’un inconfort partagé face au concept de vérité<br>Our hypothesis is the following : for different reasons and with different methods, Derrida and Goodman have both deconstructed one of the pillars of the Western philosophical tradition. Derrida, using the subtleties of the differance concept, has shaken the general entreprise of « organisation ». On the other hand, Goodman, by considering numerous constructed worlds that cannot be reduced one to the other, questions the desire of unity. We have tried to establish that metaphysics has developed in a dialectic articulation of order and unity, using one when the other fails. If the groundings of the history of philosophy were then to be revisited, it would be useful — if not necessary — to use simultaneously the derridean and goodmanian views. This the originality of this project. To break the dialectic mechanics using order to cure multiplicity, or the other way round, we have reconsidered the tradition using both deconstruction and nominalism, Derrida’s disorder and Goodman’s diversity. We have tried to show that the efficiency of the questioning of the « unity myth » depends on how far the « order myth » has been revised. Considering simultaneously both Derrida’s and Goodman’s systems allows to avoid the dialectic neutralisation of the proposal. The study is performed through the question of truth
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Jankovic, Zoran. "Au-delà du signe, Gadamer et Derrida : le dépassement herméneutique et déconstructiviste du Dasein." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/nq65372.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Bodart, Céline. "Architecture et déconstruction, remises en jeu d'une rencontre : raconter, traduire, hériter." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2018. http://www.theses.fr/2018PA080112.

Full text
Abstract:
Cette thèse s'adresse à un domaine de recherche nommé "architecture et philosophie". La spécificité de ce domaine s'inscrit dans la question d'une coordination possible entre ces deux disciplines. Afin de mieux comprendre ce à quoi tient ce "et", nous proposons de revenir sur un épisode singulier de son histoire: la rencontre entre la déconstruction derridienne et la culture architecturale anglo-américaine de la seconde moitié du 20e siècle. Trois parties composent la restitution de cette recherche. Premièrement, il s'agit d'étudier comment se raconte cette rencontre depuis différentes situations d'énonciation (anglo-américaine et francophone), afin de mettre en avant comment des réceptions et appropriations culturelles variées conditionnent des poursuites théoriques spécifiques. D'un milieu à l'autre, entre les versions d'une même histoire, il y a de l'écart. L'objet principal de la thèse est alors d'investir l'écart entre ces versions par la mise en traduction de certaines traces de son histoire (Wigley 1993; Kipnis 1997). La seconde partie propose d'expérimenter comment traduire aujourd'hui en français ce qu'ont produit les Derridean years de l'architecture. Enfin, il s'agit de reconsidérer l'héritage de cette rencontre comme un problème à construire, en vue de remettre en jeu l'histoire longue et oscillante de l'hospitalité des discours de l'architecture. Cette thèse est une focale construite sur un épisode de l'histoire récente. En proposant d'en expérimenter de nouveaux modes d'énonciation, nous soutenons l'hypothèse que ces modes spécifiques permettent de transformer et ré-engager notre attention sur les conditions de rencontre entre architecture et philosophie<br>This thesis addresses a field of research named "architecture and philosophy". The specificity of this field is related to the question of a possible coordination between these two disciplines. In order to better understand what this "and" holds, we propose to return to a singular episode in its history: the encounter between the Derridean deconstruction and the Anglo-American architectural culture of the second half of the 20th century. The restitution of this research is composed of three parts. First, we study how this encounter is recounted trough different institutional and intellectual contexts (Anglo-American and French speaking contexts), in order to highlight how various cultural receptions and appropriations condition specific theoretical pursuits. From one context to another, between versions of a same story, there is a gap. The main purpose of the thesis is to invest such a gap between these versions by putting in translation some traces of its history (Wigley 1993, Kipnis 1997). The second part proposes to experiment how to translate today into French what the Derridean years of architecture produced. Finally, it is a question of reconsidering the inheritance of this encounter as a problem to build, in order to put into play the long and oscillating history of the hospitality of architectural discourses. This thesis is a focal point built on an episode of recent history. By proposing to experiment with new modes of recounting, we support the hypothesis that these specific modes make it possible to transform
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Jerade, Dana Miriam. "Violence du langage et exigence de justice dans la pensée de Jacques Derrida." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040213.

Full text
Abstract:
Cette thèse vise à questionner la place de la violence dans la déconstruction de Derrida. Nous avons suivi deux axes depuis lesquels nous avons fait une lecture de son œuvre dès les années soixante jusqu'à son dernier séminaire sur la souveraineté : la violence du langage et la violence à l'origine du droit. En montrant la violence intrinsèque à la loi et à toute légitimation du pouvoir, la déconstruction porte un soupçon à toute théorie de la justice basée sur un accord institutionnel. Mais auparavant, si la légitimation est un acte de langage, pour faire une critique de la violence, il faut donc comprendre la force performative dans la fondation des institutions et analyser la deconstructibilité du droit et l'indéconstructible de la justice. Ces réflexions, autour de la langue et de la loi, obligent à postuler la différance entre, d'une part l'institution du droit et la langue de la loi et, d'autre part, la promesse d'un temps de justice à partir de l'hospitalité inconditionnelle et de l'idiome. Nous voulons montrer comment la philosophie de Derrida répond tout au long de l'histoire de la déconstruction, à une exigence de justice qui demande d'analyser la violence du langage dans la structure juridico-politique. Ceci nous permettra d'aborder la dimension politique de la déconstruction et une injonction faite à la philosophie : ne pas « justifier » les violences par des explications<br>Abstract: This thesis seeks to question the place of violence in Derrida's deconstruction. Two lines of thought were pursued which informed a reading of his work from the 1960s up until his final seminar on sovereignty: the violence of language and the violence at the origin of right. By displaying the intrinsic violence of the law and of all legitimation of power, deconstruction raises suspicion about any theory of justice based on institutional agreement. Beforehand, however, if this legitimation is an act of language, in order to be able to carry out a critique of violence, the performative force underlying institutions must be understood, and the deconstructibility of right and what cannot be deconstructed in justice must be analyzed. These reflections on language and the law lead us to postulate the différance between, on the one hand, the institution of right and the language of the law, and on the other, the promise of a time of justice on the basis of unconditional hospitality and the idiom. We aim to show how the philosophy of Derrida responds throughout the history of deconstruction to a demand for justice that insists on analyzing the violence in the juridico-political structure. This will allow us to address the political dimension of deconstruction as well as to examine an injunction laid on philosophy: not to "justify" violence by way of explanation
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

Lewallen, Walter E. "The signature poetics of Sharon Olds and John Cage." [Tampa, Fla] : University of South Florida, 2006. http://purl.fcla.edu/usf/dc/et/SFE0001495.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

Kiritani, Kei. "La genèse de la déconstruction : Derrida et le temps de la phénoménologie." Thesis, Strasbourg, 2020. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2020/Kiritani_Kei_2020_ED520.pdf.

Full text
Abstract:
Notre thèse se donne pour objectif d’éclaircir le développement de la pensée de Jacques Derrida dans ses écrits des années 1950 et 1960, c’est-à-dire la « genèse de la déconstruction ». Comme il commence sa carrière philosophique en tant que phénoménologue, nous traitons principalement de ses trois textes portant sur la phénoménologie d’Edmund Husserl. Le problème du temps constitue le fil conducteur de cette thèse. Il est possible de dire que Derrida élabore sa propre pensée en s’expliquant avec la notion phénoménologique du temps. Nous tentons de conceptualiser son idée singulière du temps, tout en prenant en compte l’impossibilité d’une telle conceptualisation. Or, ce travail ne se limite pas à confirmer rétroactivement sa philosophie de jeunesse. En saisissant la déconstruction à l’état naissant, nous cherchons aussi à remettre en question la « déconstruction de la métaphysique » telle qu’on la comprend d’ordinaire. Il ne s’agit pas du dépassement une fois pour toutes de la métaphysique de la présence, mais de la complicité fatale entre le désir métaphysique et la décision, malgré tout, de le déconstruire<br>The aim of our thesis is to shed light on the development of Jacques Derrida’s thought in his writings of the 1950s and 1960s, that is the “genesis of deconstruction”. As he began his philosophical career as a phenomenologist, we will deal mainly with his three works on the phenomenology of Edmund Husserl. The problem of time is the guiding theme of this thesis. It is possible to say that Derrida elaborates his own thought by having it out with the phenomenological notion of time. We attempt to conceptualize his singular idea of time, while taking into account the impossibility of such a conceptualization. However, this work is not limited to the retroactive analysis of his youthful philosophy. We also seek to reexamine the well-known “deconstruction of the metaphysics” by clarifying the nascent deconstruction. It is not a question of overcoming once and for all the metaphysics of presence, but of the fatal complicity between the metaphysical desire and the decision, nevertheless, to deconstruct it
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Nault, François. "Écriture et métaphysique : dire Dieu après la déconstruction." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0025/NQ31502.pdf.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

De, Camargo Milone Jerônimo. "L'infini, le sexe et la mort." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019PSLEE060.

Full text
Abstract:
Cette thèse consiste dans l’interrogation de trois différences principales chez Derrida, lesquelles nous définissons comme étant les disjonctions ontologiques premières. L’hypothèse est que ces trois différences sont au fondement de toute idée claire et distincte, dès l’épistémologie, avec la notion d’infini, jusqu’à la biologie, avec l’idée de la différence sexuelle. Dans ce sens la thèse se propose de mesurer la portée mathématique du travail de Derrida et de son concept d’écriture, afin de penser comment, une fois que la différence est une idée rigoureusement première et fondamentale, pourrait s’articuler, ou non, la différance<br>This thesis undertakes the interrogation of three principle differences in Derrida, which we define as being the primary ontological disjunctions. The main hypothesis advanced is that these three differences are at the foundation of every clear and distinct idea, spanning the domains of epistemology – with the notion of infinity – to biology – with the idea of sexual difference. In this way, the thesis proposes to measure the mathematical scope of Derrida’s work and of his concept of écriture, so as to think the question of how, given that difference is a rigorously primary and fundamental idea, différance would be able, or not, to articulate itself
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Marin, Laura. "La manière et les effets du neutre : lire Blanchot dans les traces de Levinas et Derrida." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070080.

Full text
Abstract:
Cette thèse cherche à interroger une notion-clé des écrits de Maurice Blanchot, aussi bien difficile que délicate, et très peu mise en question par la théorie et la critique littéraires contemporaines : le neutre. Blanchot y reconnaît la condition essentielle de la littérature, mais cette notion semble se soustraire à toute approche théorique de type dialectique. Échappant à toute forme d'affirmation ou de négation, de présence ou d'absence, d'objectivité ou de subjectivité, comment peut-on alors s'y rapporter, comment s'en approcher, quel type de discours en permettrait une juste entente, philosophique et littéraire? Si une telle série de questions réclame une entente du neutre pour ainsi dire « frontale » et pas moins vouée à l'échec, j'ai tenté de l'aborder par le détour de ses effets en procédant, par des analyses ponctuelles, à une sorte de po(i)étique de la manière dont le neutre se présente chez Blanchot, de nature à rendre possible une double distanciation : d'abord, en deçà des effets de lecture et de pensée suscités par le neutre, comment se présente la lettre de Blanchot, de quel type de rhétorique se soutient-elle, dans les récits, les fragments et l'écriture «critique»? Je me suis ensuite intéressée à l'accueil que les œuvres de Levinas et Derrida réservent à la question du neutre : manière d'observer chez deux auteurs qui entretiennent avec l'œuvre de Blanchot un rapport difficile, le pli que font dans la pensée, l'entente, la distance et l'écriture, le long d'une lecture appelée ici dans les traces<br>The Ph. D. Thesis The manners and the effects of the Neutral. Reading Blanchot in the traces of Levinas and Derrida aims at exploring the meaning and uses of a key concept in Maurice Blanchot's theoretical writings: the neutral, a notion difficult to seize and seldom discussed in recent literary theory. In Blanchot's view, the neutral is the fundamental ontological condition of literature, but to analyze his way of understanding it is a challenging task, since the neutral is impossible to tackle by means of a dialectic approach. In these circumstances, a direct conceptual analysis cannot but fail, and that is why I opted for a methodological reduction which enabled me to consider the neutral from an "oblique" perspective. The primary question my thesis tries to answer is therefore not "What is the neutral?", but "What does the neutral do?" (i. E. What are the effects it produces), and how (in what manner it acts). From my point of view, this strategy creates a double critical distance: on the one hand, the diverse consequences the neutral had in the field of post-war French literature and philosophy notwithstanding, it allows me to deal with Blanchot's writing, that is with the rhetoric it is based upon in both his fiction and his essays; on the other hand, my analysis of the place and reception of such a notion in Levinas' and Derrida's works allows me to understand and stress out the fold that critical insight, conceptual detachment and writing create in their thought, given their complex relationship with Blanchot's oeuvre
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Zangeneh, Hakhamanesh. "La structuration de la phénoménalité : temporalité, trace, événement (Heidegger, Derrida, Nancy)." Thesis, Paris Est, 2009. http://www.theses.fr/2009PEST0008.

Full text
Abstract:
En lisant la deuxième partie (peu commentée) d’Etre et Temps de Heidegger comme une nouvelle philosophie transcendantale au sens étroit, nous y décelons une multiplicité de temporalités comportant plusieurs instances de la présence. L’instance la plus originaire contient pourtant, selon nous, un noyau relationnel et a-phénoménal, ce qui implique l’affirmation d’une structuration à même le phénomène. Nous poursuivons ce thème comme fil conducteur établissant un chemin de continuité entre Heidegger et Derrida, notamment dans les textes de Derrida dédiés à la phénoménologie où il est question de la métaphysique de la présence. Loin d’y voir une critique de Heidegger nous lisons ces textes comme une extension de notre problématique : le vocabulaire derridien de la trace et de la différance nous permet d’approfondir la description de ladite structuration archaïque. En insistant sur la référence analogique au domaine langagier, nous nous servirons de l’analyse grammatologique afin de répondre aux questions laissées ouvertes dans Etre et Temps, et notamment afin de caractériser la temporalisation immanente. En même temps, nous suggérons de voir une distinction dans la trace, une distinction qui traverse l’oeuvre ultérieure de Derrida. Le versant grammatologique de la déconstruction est une réponse à la question de la temporalité. Enfin, la question, récemment très discutée, de l’événementialité, se laisse rattacher à notre problématique à travers des travaux de Jean-Luc Nancy. La notion d’événement distensif, lorsque enrichi par une série de gloses historiques, est une pensée de la singularité qui ne sacrifie pas les acquis grammatologiques de la détermination d’une structuration de la phénoménalité<br>This thesis begins with Heidegger’s theory of temporality in part II of Sein und Zeit. While reading it as a novel form of transcendental philosophy in the strict sense, we show, contrary to commentators, that it describes multiple temporalisations and thus multiple notions of presence. The most original notion of presence, however, contains an a-phenomenal and relational core, and this amounts to describing a structuration of phenomenality. In a next step, we examine early texts of Jacques Derrida where, in analyzing Husserl and Heidegger, the author first sets out the idea of a metaphysics of presence. Rather than reading these texts as a critique of Heidegger we show how they can be understood as an extension of our Heideggerian problematic: the notion of différance and of the written trace supply us with a particularly linguistic and writerly description of the archaic structuration. This also allows us both to respond in a novel fashion to open questions immanent to Sein und Zeit, and to suggest a previously unseen distinction running through Derridean deconstruction. The grammatological moment in deconstruction is a response to the question of temporality. Finally, we show how the recently popular discussion of the event can also be read as a thematisation of phenomenality, and specifically in the theory of Jean-Luc Nancy, how such a theory can avoid the facile metaphysical concepts of presence. By supplementing Nancy’s distensive event with a series of explicit historical glosses we show how it sketches out an original event-conception quite compatible with our interest in the structuring of phenomenality
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Alombert, Anne. "Simondon et Derrida face aux questions de l'homme et de la technique : ontogenèse et grammatologie dans le moment philosophique des années 1960." Thesis, Paris 10, 2020. http://faraway.parisnanterre.fr/login?url=http://bdr.parisnanterre.fr/theses/intranet/2020/2020PA100085/2020PA100085.pdf.

Full text
Abstract:
La thèse poursuit deux objectifs principaux. D’abord, confronter les projets d'ontogenèse et de grammatologie respectivement proposés par G. Simondon en 1958 et J. Derrida en 1967 en les resituant dans leur contexte historico-théorique et en explicitant leurs enjeux épistémologiques (il s’agit dans les deux cas d'"excéder" les présupposés métaphysiques de la tradition philosophique occidentale et d’inventer une nouvelle relation entre discours philosophique et savoirs positifs). Puis, évaluer les conséquences théoriques de ces deux gestes concernant les questions philosophiques de l’homme et de la technique (il s'agit dans les deux cas de rompre avec une conception « humaniste » de l'homme et « instrumentale » de la technique, et de repenser la relation entre vie, technique et esprit). Il s’agit enfin de confronter ces pensées au contexte technique actuel et d’ouvrir de nouvelles perspectives pour penser les enjeux anthropologiques et sociaux des transformations technologiques contemporaines<br>The aim of this work is twofold. First, we focus on the projects of ontogenesis and grammatology, formulated by G. Simondon in 1958 and by J. Derrida in 1967, we situate them in their theoretical context and we evaluate their metaphysical and epistemological stakes (we try to show that a new way of thinking is appearing, after the end of Western metaphysics) ;Secondly, we focus on the theoretical consequences of Simondon’s and Derrida’s thought, particularly on the questions of human and technics (we try to show that they both open a way beyond humanism and reductionism by rethinking the links between life, technics and mind or spirit). We finally try to revive Simondon’s and Derrida’s reflections in the contemporary technical context, in order to open new perspectives on the anthropological and social consequences of the current digital transformations
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Bankovsky, Miriam Ann. "La Justice sociale après Kant : entre constructivisme et déconstruction (Rawls, Habermas, Lévinas, Derrida)." Paris 10, 2008. http://www.theses.fr/2008PA100117.

Full text
Abstract:
Le but de cette thèse est d’examiner le rapport entre deux approches de la justice : d’une part, le projet constructiviste et reconstructiviste de Rawls et Habermas et d’autre part, le projet déconstructionniste de Lévinas et Derrida. Nous cherchons d’abord à identifier la différence centrale entre les approches, reconstruisant chaque théorie de la justice telle qu’elle se construit en rapport avec la philosophie pratique de Kant. Nous montrons ensuite que ces deux projets sont complémentaires. Rawls et Habermas défendent la possibilité de déterminer le contenu de l’impartialité kantienne au moyen de « la position originelle » ou du « principe de discussion ». Au contraire, Lévinas et Derrida soutiennent l’impossibilité de cerner le contenu de la justice. A partir d’une lecture non-kantienne du principe moral, Lévinas défend un concept non-formel de responsabilité pour autrui. Certes, Derrida affirme la possibilité de la justice, mais il soutient aussi que sa forme déterminée ne saurait réconcilier la responsabilité devant autrui avec l’idée d’impartialité. Nous défendons ensuite la complémentarité de ces deux projets. « La foi raisonnable » dans la possibilité de la justice doit être complétée par l’affirmation de son impossibilité. En revanche, la défense de l’impossibilité est insatisfaisante sans affirmer la possibilité de construire une société équitable. En nous éloignant de la critique libérale selon laquelle la déconstruction se retire de la politique (Fraser, McCarthy, Benhabib), nous apportons notre appui à des voix dissidentes (Cornell, Mouffe, Honig, Young, Honneth, Patton, Thomassen) qui font valoir que la déconstruction est utile à la tradition constructiviste<br>This thesis examines the relation between two contrasting approaches to justice: the constructive and reconstructive projects of Rawls and Habermas on the one hand, and the deconstructive projects of Levinas and Derrida on the other. First, I identify the central difference between the two projects, reconstructing each account of justice as it develops in relation to Kant’s practical philosophy. I then argue that the two projects are complementary. Whilst Rawls and Habermas defend the possibility of objectively realising Kant’s impartial standpoint by means of the “original position” or the “procedures of discourse ethics”, Levinas and Derrida affirm the impossibility of determining the content of justice. In Kant’s moral law, Levinas discovers a non-Kantian principle of responsibility for the particular other which conflicts with impartiality. Distinguishing himself still further, Derrida defends the “undecidability” of justice’s function. Justice must be pursued but no local determination can reconcile responsibility for the other with impartiality among all. I then defend the complementarity of the two projects. “Reasonable faith” in the possibility of justice must be supplemented by the acknowledgment of its impossibility. Conversely, attesting to justice’s failure is unsatisfactory without commitment to the possibility of constructing just social forms. Distancing myself from the liberal critique whereby deconstruction withdraws from the political (Fraser, McCarthy, Benhabib), I instead add my voice to a dissenting group (Young, Cornell, Mouffe, Honig, Honneth, Patton, Thomassen) which affirms that deconstruction can productively engage with the constructive tradition
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Leidi, Fabio. "Le signe de Jonas : étude phénoménologique sur le signe sacramentel /." Fribourg : Suisse : Éd. universitaires, 2000. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39145258p.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Mary, Paul. "La question du premier principe : entre Plotin et Derrida : volume I : apophase, principe et matière dans les Ennéades : volume II : déconstruction, archéologie et apophase." Thesis, Montpellier 3, 2011. http://www.theses.fr/2011MON30003/document.

Full text
Abstract:
Il semblerait que la recherche d’un premier principe ne puisse ni aboutir une fois pour toutes ni être abandonnée. L’objectif est de montrer, d’une part, que cette tension travaille l’apophatisme de Plotin et la déconstruction de Derrida en y induisant des difficultés symétriques, et, d’autre part, que l’exploration de ces difficultés suggère une doctrine « intermédiaire » du premier principe intégrant la tension en question. Leurs philosophies reposent toutes deux sur une instance que son excès radical conduit à déborder l’être et l’originarité, mais le néoplatonicien et le déconstructeur interprètent ce débordement de façons diamétralement opposées. Le premier la comprend comme un aboutissement de la quête d’origine, tandis que le second y voit une invitation à dépasser cette quête. D’un côté, Plotin pense une arkhè que sa transcendance radicale rend difficile à déconstruire, mais qui devrait aussi interdire d’en garantir l’existence et la fonction. Sa volonté de maintenir cette garantie induit une série de perturbations, notamment autour du thème de la matière. D’un autre côté, la déconstruction du principe repose sur l’usage d’un schème principiel dénié. Pour le montrer, il faut élaborer une présentation générale de la pensée derridienne, qui révèle une tension culminant avec l’occultation de cet usage par un positionnement anti-principiel. Il s’agit de montrer que l’auto-dépassement de l’arkhè ne représente ni une garantie ni une abolition, qu’il peut être intégré dans une conception originale fondée sur certains éléments propres à chacun de nos auteurs, et qui articule un premier principe métaphysique à une ontologie et à une éthique<br>It would seem that the search for a first metaphysical principle cannot either succeed once for all or be abandoned. The objective is to show, on one hand, that this tension works Plotinus’ apophatism and Derrida’s deconstruction by causing in it symmetric difficulties, and, on the other hand, that the exploration of these difficulties suggests an "intermediate" doctrine of the first principle, integrating the tension. Their philosophies rest both on something that its radical excess drives beyond being and origin, but they give diametrically opposite interpretations of this situation.The Neoplatonist understands it as a success of the quest for the first principle, whereas the deconstructionist sees it as an invitation to give up this quest. On one side, Plotinus tries to think an arkhè which its radical transcendence makes difficult to deconstruct, but that should also forbid guaranteeing its existence and its function. His will to maintain this guarantee causes disturbances, in particular in his theory of matter. On the other hand, the deconstruction of the first principle requires the use of a transcendental schema, which is yet partially denied by Derrida. To show this, it is necessary to elaborate a general presentation of derridean thought, which reveals a tension, peaking with the attempt to conceal the use of foundational methods.Our aim is to show that the auto-exceeding of the arkhè is neither a guarantee nor an abolition, and that it can be integrated into an original conception based on certain elements from each of our authors, which associates a first metaphysical principle with an ontology and an ethics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Wocke, Brendon John. "De la jouissance au "jouis-sens" : le jeu de mots dans l'oeuvre de Jacques Derrida." Perpignan, 2013. http://www.theses.fr/2013PERP1138.

Full text
Abstract:
La portée centrale de cette thèse repose sur une étude des jeux de mots au sein de l’œuvre de Jacques Derrida à travers l’optique de la jouissance textuelle. Le point de départ est le constat qu’il est possible de mieux considérer le texte derridien en termes littéraires qu’en termes philosophiques. De ce fait, la thèse s’ouvre avec une étude de l’écriture derridienne en tant que, d’après Barthes, ce que nous pouvons nommer un texte de jouissance – un texte qui met en avant une forme d’écriture inouïe, brisant les limites des formes traditionnelles. Elle soutient une analyse de la façon dont les jeux de mots derridiens dévoilent une esthétique de la joie et de la jouissance. Ceci fait référence et, au jouis‐sens tel que Lacan le conçoit, à travers lequel nous pouvons comprendre (avec Kristeva) la multiplication de sens au cœur de l’expression derridienne, et au sens jouissant de la « philosophie poétique » de Derrida qui renvoie au « gai savoir » de Nietzsche. La question ultime est celle d’une philosophie sous‐jacente de joie et du plaisir de l’expression « poétique » qui s’exprime implicitement par les jeux de mots derridiens. Loin d’être une philosophie purement idéaliste, la thèse donne une vision de l’œuvre de Derrida en tant qu’une philosophie matérialiste de la production textuelle, le style derridien se trouve ainsi caractérisé comme l’expression d'une chora sémiotique<br>The central thrust of this thesis lies in a study of wordplay in the work of Derrida, seen through the optic of textual “jouissance”. The starting point of the thesis is the realisation that it is perhaps better to consider Derrida’s writing in literary as opposed to in philosophical terms. In so doing this thesis opens with a study of Derrida’s writing in terms of, following Barthes, we can consider to be a “texte de jouissance,” a text which foregrounds an unexpected form of writing, breaking with tradition. The thesis undertakes an analysis of the manner in which Derrida’s wordplay evokes an esthetic of joy and of “jouissance”. This refers to both the notion of “jouis-sens” as understood by Lacan, though which we can understand (with Kristeva) the multiplication of meaning at the heart of Derrida’s expressive style, as well as to Derrida’s “poetic philosophy” which recalls Nietzsche’s “gay science. ” The ultimate question is that of an underlying philosophy of joy and of the pleasure of “poetic” expression which is implicitly articulated through Derrida’s wordplay. Far from being a purely idealistic philosophy, this thesis offers a vision of Derrida’s work as a philosophy concerned with the material aspects of textual production, Derrida’s style can thus be characterised as the expression a semiotic chora
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Manzari, Francesca. "Ecriture derridienne entre langage des rêves et critique littéraire." Aix-Marseille 1, 2007. http://www.theses.fr/2007AIX10024.

Full text
Abstract:
L'objet de notre étude est l'écriture derridienne que nous considérons dans une perspective philosophique et littéraire à la fois. L'analyse des procédés de l'écriture derridienne nous permet de vérifier deux hypothèses : premièrement nous nous proposons de vérifier le caractère antilogocentrique de cette écriture. Ainsi, il nous a semblé nécessaire d'établir une comparaison entre celle-ci et un langage non-logique : le langage des rêves tel que l'analyse freudienne le décrit. Deuxièmement nous avons essayé de démontrer que l'écriture derridienne est philosophique et poétique à la fois. La deuxième étape du travail repose sur la démonstration de la première hypothèse : l'analyse du langage du rêve nous vient en aide en tant que "tertium comparationis" possèdant des traits communs avec l'écriture derridienne et le langage poétique et pouvant ainsi jouer le rôle de point de méthode de la déconstruction : l'idée que le style ne saurait être défini autrement que comme le travail du philosophe doit être mise en relation avec l'idée que le travail de Jacques Derrida est à l'origine d'une véritable école de pensée. Il nous a donc semblé légitime de poser la question de savoir s'il est possible de définir une véritable méthode de la déconstruction.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Szeto, Man chun. "Pour penser un dialogue entre l'herméneutique gadamérienne et la déconstruction derridienne." Thesis, Bourgogne Franche-Comté, 2019. http://www.theses.fr/2019UBFCH034.

Full text
Abstract:
Bien que l'herméneutique gadamérienne et la déconstruction derridienne soient deux écoles de pensée importantes sur la théorie de l'interprétation, il existe en effet peu de rapports entre eux. Particulièrement après la rencontre infructueuse entre Derrida et Gadamer à Paris en 1981, les deux camps n'ont pratiquement pas de collaborations. De ce fait, les littératures existantes comparant ces deux théories de l'interprétation sont insuffisantes en deux façons. D'abord, la plupart ne traite que de la rencontre de 1981. Deuxièmement, même des études qui prennent une démarche plus synoptique restent souvent unilatérales en simplifiant trop le côté opposé du débat.Ce présent projet est par conséquent conçu à l'égard de ces défauts. En déchiffrant les langages philosophiques très différents de ces deux penseurs, nous pouvons plus clairement identifier les points d'accords et de désaccord entre eux. Une telle démarche nous conduit à un point de comparaison significative qui se situe autour un point commun entre eux : les critiques chez Derrida et chez Gadamer de la philosophie de la réflexion hégélienne<br>Although Gadamer's philosophical hermeneutics and Derrida's deconstruction are two important school of thoughts on the theory of interpretation, there are little connections between them. Especially after the unsuccessful meeting between Derrida and Gadamer at Paris in 1981, there were practically no collaborations between the two camps. As a result, the existing literatures comparing these two school of thoughts suffer two general problems. First, most focus only on their 1981 debate at Paris. Secondly, even for the commentators who take a wider approach, the investigation is often one-sided, simplifying too much the opposing side of the debate.The present project takes into consideration these difficulties and tries to more comprehensively compare these two theories of interpretation that employ terminologies very different one from the other. Such an approach would allow us to position our comparison with regard to a common point shared between Derrida and Gadamer: their critics of Hegelian Philosophy of Reflection
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Badleh, Jalal. "Le temps de l'autre : de Derrida à Levinas : la dette et l'envoi : la déconstruction et l'invention du futur." Bordeaux 3, 2008. https://extranet.u-bordeaux-montaigne.fr/memoires/diffusion.php?nnt=2008BOR30036.

Full text
Abstract:
Cette thèse analyse le rapport de Derrida à Levinas. Elle analyse ce que la déconstruction doit à la doctrine levinassienne de l’éthique comme philosophie première : la critique de l’ontologie à travers la notion de trace, la déconstruction de la métaphysique de la présence et la primauté du thème de l’altérité événementielle. Cette thèse rejette en revanche l’idée selon laquelle la destinée de la Déconstruction pourrait s’expliquer par les principes de l’éthique levinassienne. Elle montre ainsi la spécificité de la pensée de Derrida par rapport à la philosophie de Levinas. Spécificité que nous préparerons à lire le texte de Derrida en 1980 « En ce moment même de cet ouvrage me voici », où Derrida propose une lecture déconstructive de l’œuvre de Levinas. Pour accéder à ce texte, nous proposerons ce que nous pensons être la théorie de la Déconstruction, en y privilégiant la priorité du politique sur l’éthique. Selon ce privilège, nous proposerons une lecture de l’œuvre de Derrida en essayant de montrer la continuité de cette œuvre et, donc, de prouver l’invalidité de l’hypothèse de tournant dans la déconstruction, par laquelle on a coutume d’expliquer l’apparition tardive des thèmes politiques dans la pensée de Derrida. Tournant que les commentateurs expliquent par un repositionnement de la part de Derrida vis-à-vis de Levinas après ses critiques en 1964 dans « Violence et métaphysique »<br>We confront here Derrida and Levinas, by analyzing what deconstruction owes to the doctrine levinassienne of ethics as first philosophy : criticism of ontology through the concept of trace, the deconstruction of the metaphysics of presence and primacy of the theme of event’s otherness. However, this thesis rejects the idea that the destiny of the Deconstruction could be explained by the principles of Levinas’ ethics. It shows the specificity of Derrida's thinking in relation to Levinas’ philosophy. We give an interpretation of Derrida’s paper “At This Very Moment in This Work Here I Am″ (1980), in which he offers a deconstructive reading of Levinas’ work. We explain what we believe to be the theory of Deconstruction, by emphasizing the priority of the politics on the ethics. We will therefore try to demonstrate the continuity of Derrida’s work, and to prove the invalidity of the assumption of an “ethical or political turn” in the deconstruction, which was used to explain the late emergence of political themes in Derrida’s thinking, as if Derrida had changed his mind towards Levinas after his famous paper on "Violence and metaphysics » (1964)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Irudayadason, Nishant Alphonse. "Penser un monde par-delà les frontières : Derrida et Tirumular, essai de philosophie comparative." Phd thesis, Université Paris-Est, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00462179.

Full text
Abstract:
Dans la philosophie de Derrida, " déconstruction " signifie, entre autres, découverte de l'autre, négligé, oublié ou poussé à la périphérie. Derrida tient que la justice et le " messianique ", en tant que clés d'une transcendance vers tout autre, ne peuvent pas être déconstruits. Cette approche lui permet de traiter d'une manière radicalement nouvelle des thèmes conventionnels comme le pardon, le don, l'hospitalité, etc., souhaitables et impératifs dans un monde déchiré par des divisions de toutes sortes, soutenues par des oppositions binaires où le premier élément de chaque binôme exerce sa domination sur le second. Il est étonnant de découvrir que la tradition sivaïte tamoule que l'on croit remonter au IIe siècle avant J.-C., et qui commença à se formuler philosophiquement au VIe siècle, a un même objectif : un monde ouvert dépassant les frontières. Déjà à l'époque classique de la littérature philosophique tamoule (l'époque du sangam, du IIe siècle), Kanniyan Poonkonranar exprima ce désir sous forme poétique: " Yadhum ouré; yavarum kélir ", " nous sommes tous du même village et de la même famille ". Cette vision radicale qui veut briser l'horizon est bien développée par Tirumular, saint shivaïte tamoul (saiva siddha) du VIe siècle, dans son Tirumantiram (prières sacrées) composé de 3000 poésies. Cependant, en soulignant qu'il est important de dépasser les frontières, Tirumular ne cesse d'affirmer le rôle central d'une expérience mystique de l'immanence dans la conscience par les chemins du yoga. Une telle vision " au-delà des frontières " est notamment un point de convergence entre la pensée philosophique de Derrida et celle de la tradition philosophique du sivaïsme tamoul, et particulièrement celle de Tirumular. Cette idée d'un monde ouvert est-elle une utopie ou une invitation à la sagesse ? L'issue serait-elle la " déconstruction " ? Quel pourrait être, en la matière, le rapport entre la tradition indienne et la philosophie occidentale dans sa version contemporaine ? Notre tâche consiste à pénétrer la réflexion philosophique occidentale, en interrogeant la pensée de Derrida touchant cette ouverture. Cela nous permet d'entrer dans les traditions qui l'ont formé et celles qui ont été initiées par sa pensée. Cette recherche est aussi un approfondissement de la philosophie de Tirumular. C'est une étude comparative entre deux pensées, l'une occidentale et l'autre indienne
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

Siscar, Marcos. "La métaphore révolutée : la question des genres dans les textes de Jacques Derrida." Paris 8, 1995. http://www.theses.fr/1995PA081039.

Full text
Abstract:
L'approche esthetique et politique de l'oeuvre de jacques derrida est souvent determinee par l'inscription prealable de ses textes dans le champ de l'opposition generique entre litterature et philosophie. Le rapport de derrida a la theorie du genre (qui s'elabore a partir du traitement donne a la "rhetorique", a la "forme", au "style") montre que ce dont il est question chez lui c'est deja la possibilite d'une telle theorie. L'analyse de glas, de la carte postale et de circonfession nous permet de dire que cette possibilite est soumise a la tension d'un rapport a l'autre, tension traitee chez derrida plutot comme "ton" que comme style, plutot comme resonance que comme simple adequation mimetique. Il n'y a pas simplement une "appartenance" mais la dramatisation d'une "participation" a la generalite du genre, soumise a des lois toujours singulieres. Derrida dramatise ainsi l'experience de la responsabilite comme consideration aporetique d'une ecoute a l'appel de l'autre, selon une logique ou une rhetorique qui reste neanmoins abyssale. On peut dire que l'auteur relit la tradition a travers la problematique de la tension tonale, mais il prend aussi sa part dans la metamorphose de cette tradition en donnant a entendre l'importance d'un changement de ton<br>A prior consideration of jacques derrida's work in keeping with the opposition of genres (litterature or philosophy) determines on many occasions the aesthetic and political meaning of his texts. Il would be more appropriate to affirm that the dramatization of such theory's possibility is the element that could distinguish his writing and his thinking. Analyses of rhetoric and style in glas, la carte postale and circonfession show us that tension is better described as "tone" than style, better as resonance than mimetic correspondence. There is an instable "participation" and not a neutral "belonging" to generality of genre. It is the manner in which derrida reads tradition and the manner in which he participes in tradition, in order to experiment another inflexion of the usual tone of metaphysics
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Gnada, Boukari Aristide. "Le principe don en éthique sociale et théologie morale : une implication de la philosophie du don chez Derrida, Marion et Bruaire /." Paris : l'Harmattan, 2009. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41468129g.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

Huang, Ya-Hsien. "Le rôle de la métaphore dans les philosophie de Martin Heidegger et de Jacques Derrida." Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100145.

Full text
Abstract:
Cette recherche analyse la métaphore en tant que méthode de déconstruction de la métaphysique et pratique discursive de deux penseurs : Martin Heidegger et Jacques Derrida. Nous nous y efforçons d’étudier la métaphore en tant qu’élément du discours philosophique, afin de clarifier son rôle dans le privilège de la métaphysique associée à la sémantique, et nous visons également à étudier le rôle positif de la métaphore dans le discours de la pensée, après l’effacement de la frontière entre la philosophie et la littérature. Après avoir examiné la place laissée à la métaphore dans le discours philosophique classique, à partir notamment de La Poétique et de La Rhétorique aristotéliciennes, nous tentons de déterminer l’origine du privilège de la métaphysique liée à la sémantique, à travers l’exemple de l’allégorie platonicienne de la caverne, métaphore décisive dans l’avènement du discours philosophique et des normes de la vérité. Puis, nous poursuivons notre analyse à travers la question emblématique de l’analogie, plus précisément à travers les débats autour du rôle des catégories aristotéliciennes dans le rapport entre le langage et l’être, qui aboutissent pour Heidegger à l’affirmation du langage comme « maison de l’être », et pour Derrida à la « possibilité de l’intégration de l’hétérogénéité ». Nous examinons pour finir les pratiques effectives de la métaphore chez les deux penseurs : l’interprétation heideggérienne de la poésie, d’un coté ; et les glissements sémantiques opérés au moyen de la mobilité syntaxique chez Derrida, de l’autre<br>This research analyze the metaphor as the method of the deconstruction of the metaphysics and as the practice of the discursive of these two thinkers of the deconstruction : Martin Heidegger and Jacques Derrida. We try to study the metaphor as the element of the philosophy’s discursive in order to clarify his role in the privilege of the metaphysics combined with the semantics; moreover, this research aim at also discussing the positive role of the metaphor in the discursive of the thinking, after the erasing frontier between the philosophy and the literature. After having examined the left place for the metaphor in the discursive of the classic philosophy, in particular from the Poetic and the Rhetoric of Aristotle, we try to determine the origin of the privilege of the metaphysics associate with the semantics, by the allegory of the cavern in Plato, the decisive metaphor in the philosophical discursive and in the norms of truth. And then, we follow our analysis by the emblematic question of the analogy, more precisely, by the debates around the role of the categories in the relationship between the language and the Being in Aristotle’s philosophy, which for Heidegger lead to the affirmation of the language as “house of Being”, and which for Derrida lead to the affirmation of analogy as “the possibility of the integration of the heterogeneity”. Finally, we examine the effectiveness of practice in the two thinkers: Heidegger’s interpretation of the poetry, in one hand; the shift in meaning operated by the mobility of syntactic, in other hand
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Jabre, Elias. "La pulsion de pouvoir : traduire la psychanalyse dans le champ politique entre Deleuze et Derrida." Electronic Thesis or Diss., Paris 8, 2019. http://www.theses.fr/2019PA080009.

Full text
Abstract:
Cette thèse développe une analyse comparative de la pensée de Derrida et de celle de Deleuze-Guattari du point de vue de leur rapport à la psychanalyse. Nous nous attachons à confronter ces deux stratégies pour ré-impliquer la psychanalyse dans un champ de questionnements philosophico-politiques, stratégies qui passent l’une et l'autre par une réinterprétation de la « spéculation freudienne » d'Au-delà du principe de plaisir sur la pulsion de pouvoir. A suivre Freud, tout ensemble se lie à lui-même à partir d’une force sans origine. Or, cette pulsion de pouvoir révèle que tout socius, toute communauté, et toute institution ne s’appuient sur aucun fondement, bien qu’ils se fondent sur une écriture. Nous soulignons alors la nécessité de traduire dans l’ordre juridico-politique cette logique du détour qui excède le jeu de la souveraineté, et ouvre à d’autres partages de pouvoir. Or, nous avons voulu évaluer s’il n’y avait pas une manière plus juste de le faire. Si Derrida engage des formalisations à partir d’une raison hyperbolique qui tient compte d’un calcul, où il faut calculer avec l’événement incalculable qui réécrit tout ensemble – cet autre qui se présente et qu’il faut laisser venir dans l'épreuve de la rencontre –, Deleuze-Guattari, d’après nous, ont fait l’économie de la déconstruction. Ils auront alors récusé la représentation au nom d’une justice immanente, ce qui compromet en partie leur geste, bien qu'il converge dans une certaine mesure avec celui de Derrida<br>This thesis dissertation develops a comparative analysis of Derrida’s and Deleuze-Guattari’s thought from the point of view of their relation to psychoanalysis. We confront two strategies used to re-involve psychoanalysis in the field of philosophical-political questions. Both strategies involve a reinterpretation of the "Freudian speculation" on the power-drive as developed in Beyond The Pleasure Principle. According to Freud, any body is bound to itself by a force without origin. However, this power-drive reveals that any socius, community, or institution is groundless, in spite of being grounded in a kind of writing. We then stress the necessity to translate into the legal and political fields this detour logic which exceeds the logic of sovereignty and allows us to rethink power distribution. We also explore whether there is a more just way of doing this. While Derrida undertakes formalizations with a kind of hyperbolic reason using a calculation that finds it necessary to calculate with the incalculable event that rewrites any social body – the other which presents itself and that we have to allow into our experience –, we argue that Deleuze-Guattari have bypassed deconstruction and rejected representation for the sake of an immanent justice. This partially jeopardizes their gesture, although it converges to a certain extent with that of Derrida
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography