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Dissertations / Theses on the topic 'Et Jean-Jacques Rousseau'

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1

Yamazaki-Jamin, Harumi. "Jean-Jacques Rousseau et Paris." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040207.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau fait à Paris trois séjours : le premier en 1731, le deuxième de 1742 à 1756 et enfin le troisième de 1770 à 1778. Le premier séjour n'est que de courte durée. Nous étudions dans la première partie l'aspect général de Paris. Le deuxième séjour est le plus long et le plus important. C'est dans cette capitale que l'homme totalement inconnu devient homme célèbre dans le monde des lettres. Suivant chronologiquement l'itinéraire de Rousseau à Paris, nous nous promenons, comme l'aurait fait Rousseau autrefois, dans les quartiers parisiens : le quartier latin, le quartier du Faubourg Saint-Germain, le quartier du Louvre, le quartier du Palais Royal et le quartier de Saint-Eustache. Nous découvrons le paysage de chaque quartier avec ses habitants. Le troisième séjour est le plus pathétique de la vie de Rousseau. Le célèbre proscrit mène un combat solitaire dans le plus grand secret. La grandeur de Paris lui permet de se dissimuler dans la foule, où Rousseau n'est qu'un homme âgé de milieu artisanal. Nous découvrons enfin la rue Plâtrière, telle que Rousseau a dû la connaitre dans les années 1770. Nous trouvons la maison des Dupin et les maisons qu'habita Rousseau.
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2

Marie, Dominique. "Jean-Jacques Rousseau : autobiographie et politique." Besançon, 1991. http://www.theses.fr/1991BESA1018.

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Abstract:
Comparaison entre la genèse "réelle" de l'idée de complot telle qu'elle apparait dans la correspondance des années 1757-1770 et la reconstitution "imaginaire" des persécutions à laquelle se livre l'autobiographe des confessions et des dialogues. Le sens profond que rousseau donne au complot: l'opposition conjointe des philosophes et des autorités aux théories professées par l'écrivain et illustrées par l'homme. Les différents récits de "l'illumination de Vincennes", pièce maitresse de la polémique sur la validité et la sincérité de l'œuvre doctrinale. Genèse d'une personnalité à travers la restitution des expériences sociales et affectives de Jean-Jacques (première partie des confessions). L'autobiographie explore les origines du moi, en même temps elle interprète les faits et élabore un mythe. L'histoire intellectuelle et morale de Jean-Jacques, dans les confessions, est présentée comme le fondement de l'œuvre; elle en est aussi le produit. Les rêveries du promeneur solitaire, aboutissement de l'autobiographie. Les divers visages de la solitude : retraite et protection contre le complot; solitude et création; nostalgie de la vie sociale. La rêverie, mode complexe de l'activité de l'esprit : les différentes formes de la rêverie et leurs rapports. Les thèmes explicitement politiques des rêveries : poursuite de la polémique avec les philosophes réflexion et refus de la réflexion, rêve d'une société idéale chez le citoyen solitaire.
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3

Lepan, Géraldine. "Jean-Jacques Rousseau et le patriotisme /." Paris : H. Champion, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41194346r.

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4

Ambririki, Hamidani-Attoumani. "Ordre et justice chez Jean-Jacques Rousseau." Phd thesis, Université Charles de Gaulle - Lille III, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00982990.

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Abstract:
Il s'agit d'examiner les rapports solidaires mais paradoxaux entre ordre et justice, chez Rousseau, en tenant compte de la variété des contextes dans lesquels les deux concepts entrent en rapport, notamment dans les domaines de la nature et de la société. D'une manière générale, l'ordre semble prééminent dans l'œuvre rousseauiste. Mais sans la justice, la valeur positive de l'ordre se retourne en valeur négative. L'ordre est alors injuste, ou encore, l'ordre apparent masque un désordre réel. Les rapports entre les deux concepts dépendent donc du point de vue adopté : ontologique et métaphysique, ou bien critique et évaluatif. L'interdépendance de ces concepts est encore compliquée par leur polysémie. L'ordre se présente sous forme naturelle, sociale et individuelle, et la justice obéit à un double paradigme : un paradigme naturel et un paradigme rationnel. Cependant, ces deux modèles ont leurs limites. Pour résoudre le problème posé par l'existence d'un ordre injuste, Rousseau combine égalité et inégalité, et propose une théorie de l'éducation de l'individu à la justice.
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5

Rotureau, Christian. "Jean-Jacques Rousseau, l'ordre et la volupté." Lille 3 : ANRT, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37619441f.

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6

Huberlant, Gérard. "Éducation et bonheur chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA083666.

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Abstract:
La recherche porte sur les mêmes thèmes : le bonheur, l'éducation, la recherche de l'authenticité dans un monde social et culturel factice. La thèse que je propose peut s'énoncer ainsi : toute philosophie de l'éducation est en dernière analyse une philosophie du bonheur. Cette proposition à laquelle je donne expressément un caractère d'universalité sera appliquée à la philosophie rousseauiste dont je vais questionner plus particulièrement l' « Émile ». Il s'agit de déterminer l'être de l'homme auquel peut s'appliquer une telle conception et démarche éducatives. Le monde social, la cité politique étant un risque pour l'aboutissement heureux de l'éducation, Jean-Jacques Rousseau va développer une sotériologie et une doctrine de l'art d'agir, une éthique toute pratique qui fera d'Émile un homme rare. Pour Rousseau, il s'agit de réinventer une nature sociale pour se construire un bonheur qui ne soit sur les traces de personne, un bonheur authentique. En ce sens, l'éducation rousseauiste est une hodologie : le pédagogue doit faire découvrir à son élève « la route du vrai bonheur ». À partir de là, on pourra s'interroger sur la problématique du bonheur et sur une conception rousseauiste d'un type d'homme fort défini dans une dialectique du vouloir et de l'agir, de la puissance et de la volonté. En organisant la réflexion de Rousseau autour du concept d'authenticité et en faisant appel à des auteurs aussi divers que Platon, Kant, Locke et même à des théoriciens contemporains de l'éducation, je veux encore faire parler une œuvre qui a déjà fait couler beaucoup d'encre.
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7

Rotureau, Christian. "Jean-jacques rousseau, l'ordre et la volupte." Nantes, 1988. http://www.theses.fr/1988NANT3006.

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Abstract:
Jean-jacques rousseau masochiste: evidence souvent negligee, parfois niee. Et pourtant, le masochisme est une des bases fondamentales du psychisme de rousseau, et jean-jacques lui-meme, au livre i des confessions a avoue on ne peut plus clairement son gout pour la soumission. Nous avons d'abord etudie cet aveu, ses etapes, son contenu, ses intentions. Ensuite, nous avons tente d'etablir la genese du masochisme de rousseau, en mettant en relief ce qui nous a semble, hors des sentiers battus de la psychanalyse, constituer la cle de cette perversion: a savoir un conflit avec la loi, suite a une insertion ratee dans l'ordre symbolique, d'ou ce besoin d'une loi, d'un ordre, en surimpression a la volupte. Nous avons fait appel a sacher-masoch et a d'autres "cas" de masochisme pour etayer notre demonstration. La question se posait alors: est-ce que le masochisme n'a pas marque l'oeuvre de rousseau? on s'apercoit vite que la philosophie volontiers regressive de jean-jacques n'est pas etrangere a sa perversion, et que son oeuvre temoigne d'un conflit constant avec la loi (sociale entre autres), avec l'ordre symbolique. D'ou ce desir d'un monde vierge de tout ordre, de toute trace symbolique, et dont la primitivite des premiers ages ou de l'etat "naturel" sont les seuls garants. . .
Jean-jacques rousseau masochist: this obviousness is often neglected, sometimes denied. However, masochism is one of the foundamental bases of rousseau's psychism, and jean-jacques himself, in the first book of the confessions has recognized, the most clearly possible, his love for submission. We have, at first, studied this confession, its stages, its content, its intentions. Next, we have tried to build up the genesis of rousseau's masochism, underlining what seemed, out of truisms of psychonalysis, to be the key of this perversion: a conflict with the law, as a natural consequence of a missed insertion in the symbolical order; then, this need of a law, of an order, over the pleasure. We have used sacher-masoch and other instances of masochism as to bolster our demonstration. We had then to answer thid question: is not rousseau's work marked by masochism? it is easy to see that jean-jacques's regressive philosophy is not stranger to his perversion, and that all his work expresses a conflict with the law (social law. . . ), with the symbolical order. Here is the reason of the quest of a virgin world, without any order traces, of the quest of primitivity of the original age. . .
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8

Adamy, Paule. "Les corps de Jean-Jacques Rousseau." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010551.

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Abstract:
Si tant de livres ont été écrits sur Jean-Jacques Rousseau, c'est que cet auteur est divers : Rousseau commença par écrire des vers, des comédies, des contes ; son ton peut être celui de la confidence intime, mais également celui du pamphlet; Rousseau est à la fois auteur politique et romancier, et parfois dans le même livre. D'autre part, Rousseau fut en butte à la persécution des encyclopédistes, qui l'ont présenté comme un homme faux : si Rousseau écrit les confessions, puis les dialogues, c'est pour se disculper au regard de la postérité. Les psychanalystes se sont emparés de son cas, pour en faire un exemple d'un homme en proie au délire de la persécution. Rousseau semble être révolutionnaire avant la lettre, dans le discours sur l'inégalité, et dans le contrat social : mais dans la nouvelle Héloïse, l'utopie de Clarens est d'inspiration conservatrice et paternaliste. Où trouver l'unité de cette diversité ? La réponse donnée dans notre travail est : si l'œuvre de Rousseau est divisée, c'est que Rousseau lui-même fut une personne divisée; et cette division vient de l'absence d'unité, En Rousseau, de la représentation de son propre corps. Selon nous, Rousseau a non pas un corps unique, mais quatre corps : un corps féminin (alors qu'il est un être masculin), un enfantin qu'il veut garder toute sa vie, un corps persécuté par la maladie mais également par des persécuteurs qui finissent par être le genre humain tout entier, et un corps naturel, dont rousseau exprime à demi, mais à demi seulement, les penchants : ces penchants se ramèneraient à une homosexualité indécise. Et cette homosexualité est dite indécise parce qu'elle se fonde moins sur une pratique homosexuelle (d'ailleurs niée énergiquement par Rousseau) que sur le refus d'admettre la coupure du genre humain en deux genres, le masculin et le féminin
The reason why so many books were written on Jean-Jacques Rousseau is that this author has many facets : he commenced by writing poetry, comedies and tales. His tone can be that of intimate confidences or that of satirical tracts. Rousseau is both a political writer and a novelist, sometimes in a single book. But he was criticized by the encyclopaedists who presented him as a false man : he wrote les confessions and les dialogues in order to exculpalte himself in the eyes of posterity. Indeed psychoanalysts consider his case as an example of persecution mania. His political thinking is paradoxical : in discours sur l'inegalite or in le contrat social, he was revolutionary before the term existed, but in la nouvelle heloise, clarens utopia is rather conservative and paternalistic. Is there an unity lying hidden in this variety ? An answer to this question is given in the present work : the reason why Rousseau's works are diverse is that rousseau himself was a diverse, split person, and this splitting results from a lack of unity in the representation of his own body. According to the present analysis, Rousseau has indeed not a single body, but rather four bodies : a female body (while he is a male person), a childish body (that he wants to keep for life), a body plagued by illness but also persecuted by mankind as a whole, and finally a natural body, whose inclinations are only half expressed by Rousseau : these inclinations would lead to an indecisive homosexuality. We call this homosexuality indecisive because it is not borne out by a pract
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9

St-Pierre, Thomas O. "L'idéal et le réel chez Jean-Jacques Rousseau." Master's thesis, Université Laval, 2010. http://hdl.handle.net/20.500.11794/22169.

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Abstract:
Cette recherche a pour but d'interpréter la pensée de Jean-Jacques Rousseau en la voyant avant tout comme un mouvement dialectique entre l'idéal et le réel, le premier étant ce que Rousseau désire, le second ce qu'il constate au sujet du monde qui l'entoure. Nous présenterons cette dialectique en trois temps. Tout d'abord, Rousseau critique la société. Secondement, il propose des idéaux - nous en aborderons quatre - pour la réformer et, ce faisant, soulevant lui-même les obstacles qui s'opposent à ces idéaux, il pose des artifices pour les surmonter. Finalement, devant l'inadéquation définitive et nécessaire entre idéal et réel, Rousseau se rétracte dans des constats aussi ternes que conservateurs et, ultimement, fuit la réalité dans une solitude paranoïaque dont témoignent éloquemment ses écrits autobiographiques. Notre conclusion tentera de montrer comment ce parcours sinueux jonché d'artifices et de rétractations est d'une richesse et d'une rareté fort précieuses pour la philosophie.
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10

Farrugia, Guilhem. "Le bonheur chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040187.

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Abstract:
Cette recherche se positionne dans la lignée d’une enquête sur le bonheur chez Rousseau, qui va de Robert Mauzi à Michel Delon. Intégrant ces acquis, elle se propose d’en prolonger les analyses, et de prendre en compte l’œuvre autobiographique, morale, éthique et politique de Jean-Jacques Rousseau. Cette thèse sonde la cohérence de ce thème récurrent, et en confronte les multiples facettes disséminées dans l’œuvre. Il existe dans l’œuvre une dynamique du bonheur assujettie à des mouvements oscillatoires. Le premier concerne la théorie de l’extase et fait émerger l’opposition entre un bonheur comme rétraction en soi-même et un autre comme expansion hors de soi. Ce mouvement affecte ensuite les formes de la sociabilité, allant du bonheur de la solitude au bonheur de la relation sociale restreinte, s’élargissant enfin en balancement entre sa dimension morale et sa dimension politique, entre le bonheur de l’homme et celui du citoyen. Cette dynamique rythmée et cadencée, engageant une dualité, est pourtant dépassée au profit d’un bonheur comme unité, révélant une « dialectique » de la félicité. Cette dynamique permet de comprendre, in fine, la fiction comme matrice de la félicité
This research takes its position in the line of research on happiness in Rousseau, which goes from Robert Mauzi to Michel Delon. Encompassing this acquired knowledge, it sets out to prolong the analysis of it and to take into account the autobiographical, moral, ethical, and political work of Jean-Jacques Rousseau. This thesis probes the coherence of this recurring theme and confronts the multiple facets of it disseminated in the work. There exists in the work a dynamic of happiness subject to oscillatory movements. The first concerns the theory of ecstasy and gives rise to the opposition between a happiness as the withdrawal into oneself and another happiness as the expansion beyond oneself. This movement then affects the forms of sociability, going from the happiness of solitude to the happiness of the limited social relationship, eventually broadening out by moving between its moral dimension and its political dimension, between the happiness of the man and that of the citizen. This regular and rhythmical dynamic, involving a duality, is however exceeded to the benefit of a happiness as a unity, revealing a dialectic of bliss. This dynamic, in short, allows an understanding of the fiction as the matrix of bliss
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Ouellet-St-Pierre, Thomas. "L'idéal et le réel chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27625/27625.pdf.

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Tindy-Poaty, Juste Joris. "Jean-Jacques Rousseau et l'exigence d'une éducation spirituelle." Poitiers, 1998. http://www.theses.fr/1998POIT5002.

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Abstract:
L'interprétation spiritualiste que nous proposons de la pensée de Rousseau sur l'éducation a pour fondement principal son analyse anthropologique. Cette dernière repose notamment sur la distinction entre "l'homme de la nature" et l'homme de l'homme" ou l'homme de la civilisation. Comparativement à l'homme de l'homme, l'homme de la nature est l'archétype de l'humanité authentique. Il s'ensuit que l'éducation doit avoir pour modèle cet homme de la nature. Eduquer, c'est alors ramener les individus à la nature, à l'humanité originelle. Cette entreprise n'est point illusoire dans la mesure où la distance qui nous sépare de cette humanité originelle n'est pas historique, mais intérieure. Le retour à la nature est un appel à la conversion spirituelle. En encourageant l'individu à se reconcilier avec lui-même, l'éducation l'incite également à une reconciliation avec Dieu. Cette relation de l'individu avec Dieu s'inscrit non pas sous le mode de la transcendance, mais sous celui de l'immanence qui souligne mieux la question de l'unité de l'être. Cette question de l'unité de l'être conduit à reconnaître l'importance de l'éducation à la liberté. Eduquer véritablement, c'est aprendre aux individus à être leur propre recours dans une parfaite unité de soi. Cette éducation à la liberté est, cependant, aussi une éducation à la vertu. Car être vertueux, c'est savoir coi͏̈ncider avec soi. Cet encouragement à l'intimité spirituelle, qui n'exclut pas une éducation à la citoyenneté, est un éloge de la philosophie. L'unité de l'être, mise en mal par les revers de la civilisation, ne peut être reconstruite que par la philosophie, entendue comme enseignement riche de sens et dépositaire d'une vérité absolue.
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Larochelle, Élaine. "L'imagination dans l'oeuvre de Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040013.

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Abstract:
La thèse présente une étude systématique du rôle de l'imagination dans l'œuvre de Jean-Jacques Rousseau. Dans la première partie, par l'examen des textes où se déploie le système de Rousseau, nous montrons que toutes les notions cruciales de ce système sont dépendantes de l'imagination. C'est le cas de la perfectibilité, de l'amour-propre, de l'opinion, de l'amour, des mœurs de la vertu. Apres avoir établi que l'homme est pour Rousseau, d'abord et avant tout, un animal imaginant, nous jetons une nouvelle lumière sur tous les grands thèmes rousseauistes : la politique, la religion, l'éducation à la vertu, le langage, l'influence et la fonction de la femme dans la société, les effets du théâtre et des arts. Dans la seconde partie, l'étude du rôle que Rousseau attribue à l'imagination dans la direction de sa propre vie, selon les écrits autobiographiques, permet d'établir la concordance entre le système et la vie, et de dégager la conception de la vérité qui se trouve à la base du système de Rousseau, conception qui tranche avec celles qui l'ont précédée, en renversant la compréhension traditionnelle des fonctions de la raison et de l'imagination. Cette nouvelle conception de la vérité permet de comprendre la pertinence du style littéraire propre à Rousseau, qui se situe à mi-chemin entre la littérature et la philosophie, et qui s'adresse d'abord à l'imagination. Elle aide à voir l'unité profonde de l'œuvre de Rousseau, puisqu'elle permet d'affirmer que les écrits autobiographiques constituent l'aboutissement logique du système de Rousseau.
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Masuda, Makoto. "Lois et langage - linguistique et politique chez jean-jacques rousseau." Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1990PA040085.

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Abstract:
Cette these se propre d'etudier la place des idees de rousseau sur le langage dans sa pensee politique. Ce lien entre le langage et la politique reside notamment dans la conception du devoir moral ou politique : rousseau aspire a un langage susceptible de trans former l'injonction morale en un acte ou en un comportement sans toutefois nuire a la liberte. La premier partie, consacree a l'essai sur l'origine des langues, montre que le langage primitif selon rous seau constitue un etat d'union entre le sentiment moral et son expression. La seconde partie porte sur la morale, et c'est surtout dans l7education que le langage est lie a la conception du devoir: le precepteur doit obtenir l'assujettissement volantaire de l'enfant. En politique, les "langages de la cite" doivent assurer l'efficfacite du langage de la loi, lequel prend appui sur la particularite nationale et l'universite du sentiment moral. Vues sous cette perspective, les idees de rousseau sur le langage convergent vers une "rhetorique de l'assentiment interieur", un langage comblant l'ecart entre la liberte et l'accomplissement du devoir moral
This thesis intends to define the place of rousseau's ideas about language in his political thought. This connection between language and politics lies in the conception of moral or political duty: seau aspires to a language likely to turn a moral injunction into an act or into a behavior, without being prejudicial to freedom. The first part, which deals with the essai sur l'origine des langues, shows that the primitive language according to rousseau represents a state of union between the moral sentiment and its expression. The second part deals with morals, and its is especially in the education that language is linked to the conception of duty: the tutor must lead the child to a voluntary subjection. In politics, the "languages of the city" have to consolidate the efficiency of the language of the law, which lies on national particularity and the universality of the moral sentiment. From this point of view, rousseau's ideas on language converge to a "rhetoric of inner assent", a language which can fill the gap between freedom and the achievement of moral duty
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Corbett, Nicole Stephanie-Anne 1983. "Vérité et duplicité dans l'œuvre de Jean-Jacques Rousseau." Thesis, McGill University, 2008. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=116046.

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Abstract:
Were it necessary to choose two words that could capture the philosophy of Jean-Jacques Rousseau, these two words would have to be truth and nature for, in his works, this philosopher does more than assert that he, and he alone, possesses truth in its entirety. He equally maintains that his sole desire lies in sharing this truth with human kind, that we might rediscover our true nature, one that we have long ago forgotten. In fact, these very words adorn his tomb in the Pantheon where he was finally brought to rest: "Ici repose l'homme de la nature et de la verite." However, upon closer examination of two of his major works, Emile or on Education and The Social Contract, both published in 1762, a surprising contradiction is brought to light. In these treatises, he makes the child and the people believe that they are free when he is merely using rhetoric to manipulate them. For example, in Emile he gives the following advice to tutors: "Take the opposite course with your pupil; let him always think he is master while you are really master. There is no subjection so complete as that which preserves the forms of freedom; it is thus that the will itself is taken captive." While in The Social Contract he recommends using divine intervention to assure that the people "obey freely, and bear with docility the yoke of public happiness." Is Rousseau simply a gifted sophist who, by hiding the rhetoric he uses, can present himself as a man of truth in order to better form the child and the people to do his bidding? Or, is there a justification for his duplicity? Could it be possible that in some instances duplicity must be used if truth is ever to be attained by all human beings? By examining the rhetoric Rousseau uses in Emile and The Social Contract, this thesis attempts to shed some light on this somewhat troubling contradiction.
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Adjobi, Raphaël. "L'Idéal pédagogique de Jean-Jacques Rousseau et ses sources." Lille 3 : ANRT, 1988. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb376021186.

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Champseix, Alain. "Progrès et humanité dans l'oeuvre de Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040221.

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Abstract:
L'homme tend à se perdre dans son progrès et, pourtant, il est inconcevable sans lui. Il ne peut donc ni y renoncer ni y adhérer pleinement. Quelle est sa situation par rapport à lui et comment l'expliquer ? Pour le savoir il convient de se référer à la nature. Elle indique, en effet, qu'il est destiné au bonheur et à la liberté. Il s'agit, par conséquent, de se demander comment ces derniers peuvent s'accorder avec le progrès. La thèse établit que celui-ci est conforme à la nature, est même demandé par elle, mais qu'il n'est positif pour l'être humain qu'à la condition que les individus et les sociétés se soucient d'elle et sachent la découvrir. Au bout du compte, sans l'humanité, la nature, qui ne peut être dissociée d'une certaine dimension métaphysique, n'a pas de réalité. C'est à l'homme de la prolonger et de la promouvoir.
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Adjobi, Raphaël. "L'idéal pédagogique de Jean-Jacques Rousseau et ses sources." Dijon, 1987. http://www.theses.fr/1987DIJOL015.

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Abstract:
Les sources des leçons élémentaires de l'éducation naturelle de Rousseau ch. 1 - l'éducation de l'enfance ch. 2 - l'éducation physique ch. 3 - la formation de l'homme (technique, intellectuelle) ch. 4 - l'éducation morale et religieuse ch. 5 - l'éducation des filles II - les fondements de la pédagogie de Jean-Jacques Rousseau et leurs sources ch. I - la bonté naturelle de l'homme : a) les conditions de la naissance d'une nouvelle science de l'homme. B) recherche d'une méthode d'approche de l'homme naturel. . C) la quête de la nature de l'être d) les sources livresques du portrait de l'homme naturel de Rousseau. E) la nature de Rousseau ou son expérience personnelle de la bonté naturelle. Ch. 2 - l'éducation négative : a) méthode. B) l'éducation morale négative ch. 3 - l'éducation progressive : a) Comenius. B) Rousseau III - conclusion : l'originalité de Rousseau.
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Et-Taousy, Mohammed. "L'Education féminine chez Jean-Jacques Rousseau et Mary Wollstonecraft." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040044.

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Le, Menthéour Rudy. "L'homme dénaturé : l'anthropologie polémique de Jean-Jacques Rousseau." Grenoble 3, 2007. http://www.theses.fr/2007GRE39054.

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Abstract:
Il s'agit de montrer l'interdépendance entre la théorie de la dénaturation élaborée par Rousseau et sa stratégie polémique. La première partie s'attache à la distinction entre l'amour de soi et l'amour-propre, qui constitue un exemple de la bataille sémantique que Rousseau livre contre ses adversaires philosophiques. La recherche des sources cède la place à l'approche de cette lutte pour l'assignation du sens. La deuxième partie analyse la façon dont Rousseau détourne le discours médical, en s'opposant à la nouvelle anthropologie médicale. Bien qu'il réfute le diagnostic de mélancolie destiné à dévaloriser sa théorie de l'homme, il s'inspire du modèle de l'ennemi pour élaborer sa propre hygiène des passions et concevoir le projet d'une "morale sensitive". La troisième partie aborde un nouvel enjeu de la polémique : l'éthos, dont Rousseau use à merveille et qu'il parachève en faisant "profession de véracité", selon une perspective spirituelle. Cet éthos non classique le conduit à une innovation majeure, qui consiste à confondre posture rhétorique et figuration de soi. Cette étude a pour ambition de replacer la stratégie polémique au cœur de la pensée des Lumières, et notamment du système politique et moral de Rousseau
This thesis will attempt to illustrate the strong link between Rousseau's theory of denatured man and his polemical strategy. The first part deals with the distinction between self-love ("amour de soi") and self-liking ("amour-propre"), which is an example of the semantic battle between Rousseau and the "Philosophes". The research on the sources gives precedence to a close approach to this fight for significance. The second part analyses the way Rousseau paradoxically assimilates the medical discourse in order to oppose the new medical anthropology. Even though he denies the diagnosis of melancholy which undermines his theory of man, he draws upon the enemy's concepts and methods to work on his own hygiene of the passions and plan his new "sensory morals". The third part broaches another object of the controversy, namely the ethos. Rousseau masters this rhetorical device and conveys it an utmost efficiency thanks to his "profession of truth", in tune with his spiritual quest. This unconventional ethos leads him to a major innovation : the deliberate merging of rhetorics and self-representation. This study aims at putting polemical strategy back into the core of the thought of Enlightenment, and notably Rousseau's political and moral system
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Kuwase, Shojiro. "Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau en France (1770-1794) les aménagements et les censures, les usages, les appropriations de l'ouvrage /." Paris : H. Champion, 2003. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb390250634.

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Maiga, Sigame. "Les institutions politiques de Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Aix-Marseille, 2016. http://www.theses.fr/2016AIXM3081/document.

Full text
Abstract:
C’est en 1758 que Rousseau constate qu’il ne peut achever rapidement les Institutions Politiques, et décide d’en séparer le Contrat social et Lettre à d’Alembert sur les spectacles. En 1761, Il finit de travailler sur une partie des textes de l’Abbé de Saint-Pierre qui lui permis d’avoir une approche claire avec les relations internationales. Ce texte dit extrait du projet de paix perpétuelle de l’abbé de Saint-Pierre se veut une solution de sortie de crise politique dans laquelle les États européens s’étaient engouffrés. Les premières notions telles l’idée d’une citoyenneté européenne ou d’une confédération voyaient le jour
It is in 1758 that Rousseau finds that he can quickly complete the Political Institutions, and decided to separate the Social Contract and Letter to d'Alembert on the shows. In 1761 he finished work on a part of the texts of the Abbot of St. Peter which allowed him to have a clear approach to international relations. This text says excerpt of perpetual peace project of the Abbot of Saint-Pierre wants a political crisis solution in which European states were engulfed. The first such concepts the ideas of European citizenship or a confederation were emerging
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Guénard, Florent. "Rousseau et le travail de la convenance /." Paris : H. Champion, 2004. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39909167w.

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Chery, Prelat Cleane. "Genèse et institution de l'humanité politique chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Paris 8, 2017. http://www.theses.fr/2017PA080058/document.

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Abstract:
Rousseau conteste la théorie aristotélicienne de la sociabilité naturelle à laquelle il supplée sa doctrine de l’asociabilité naturelle. Il rejette du même coup la conception hobbesienne de l’homme naturellement insociable et s’oppose également au dogme du péché originel auquel il oppose sa théorie de la bonté originelle qui n’est, en réalité, qu’une apologie de la justice et de la toute-puissance divine ce qui nous a conduit à la question de la théodicée inspirée par Saint-Augustin, théorisée par Leibniz, contestée par Voltaire et par lui défendue. En rejetant le péché originel et en proclamant la bonté naturelle de l’homme, il disculpe Dieu mais aussi l’homme avant son intégration à la vie sociale. C’est donc pour lui, les liens sociaux qui corrompent l’homme et le rendent mauvais. Il fait découler cette corruption de l’inégalité créée par la propriété car à l’état de nature où il n’y avait pas de propriété, où tout était commun à tous, l’homme n’était pas méchant et c’est pour tenter de revenir à l’état d’égalité naturelle qu’il a institué la loi. Mais il a remarqué qu’une fois entré dans la vie sociale, la propriété est devenu un droit sacré, indispensable. Un revirement s’est donc opéré chez lui. De pourfendeur du droit à la propriété, il en est devenu le défenseur. Aussi, certains commentateurs l’ont-ils classé dans la catégorie des individualistes. D’autres le rangent parmi les communistes et d’autres le rattachent à la doctrine socialiste. Afin de mieux pouvoir le situer, nous avons choisi de confronter ses idées et prises de position avec les tenants de ces différents courants idéologiques : Proudhon pour l’individualisme, Baboeuf pour le communisme et Marx pour le socialisme
Rousseau disputes the Aristotelian theory of natural sociability to which he supplements his doctrine of natural asociability. At the same time, he rejects the Hobbesian conception of man, which is naturally unsociable, and is also opposed to the dogma of original sin to which he contrasts his theory of original goodness which is, in reality, only an apology for justice and The divine omnipotence which led us to the question of the theodicy inspired by St. Augustine, theorized by Leibniz, contested by Voltaire and forbidden. By rejecting original sin and proclaiming the natural goodness of man, he exculpates God but also man before his integration into social life. It is therefore for him that social bonds corrupt man and make him bad. He causes this corruption to flow from the inequality created by property, for in the state of nature, where there was no property, where everything was common to all, man was not wicked and it was for Attempt to return to the state of natural equality that he instituted the law. But he noticed that once he entered social life, property became a sacred right, indispensable. A reversal has thus taken place in him. As a defender of the right to property, he became its defender. Also, some commentators have classified it in the category of individualists. Others rank him among the Communists and others connect him with the socialist doctrine. In order to better situate him, we chose to confront his ideas and positions with the supporters of these different ideological currents: Proudhon for individualism, Baboeuf for communism and Marx for socialism
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Crogiez, Labarthe Michèle. "Rousseau et le paradoxe." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040275.

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Abstract:
Contre l'accusation inlassablement formulée contre lui d'être un auteur "à paradoxe" et en dépit de la mauvaise réputation de ce procédé rhétorique, Rousseau y trouve le moyen le meilleur pour exposer la nouveauté de ses idées. L'étude littéraire et rhétorique de l'histoire du paradoxe, l'étude de la réception de l'œuvre de Rousseau, l'étude de son imaginaire de l'activité littéraire et celle de ses méthodes argumentatives montrent qu'il n'utilise pas seules les vertus rhétoriques - affectives et ludiques - du paradoxe : il les confirme par ses vertus herméneutiques et philosophiques, dans le cadre d'une conception de la littérature ou la recherche du sens est un impératif moral. L'étude de l'utilisation que Rousseau a faite du paradoxe permet de réexaminer sa conception de la littérature et de montrer qu'elle est le lieu pour l'auteur autant que pour le lecteur - d'une parole responsable et donc morale
In spite of the charge constantly alleged to Rousseau of being a paradoxical writer and the poor reputation of this rhetorical figure, Rousseau finds it the most convenient way to express his ideas. Studying the literary and rhetorical history of paradox, the reception of Rousseau’s works, his imaginary vision of what literature is and his discourse-making methods leads to show that the does not rely exclusively upon the affective and playful qualities of paradox, but confirms them by applying to the hermeneutic and philosophical abilities of paradox, within such an ideal of literature that search for accurate meaning is a moral demand. Through considering what Rousseau’s use of paradox is, we get a reexamination of his conception of literature and can establish that, according to him, literature is - both for writers and readers - a place of responsible speech and thus of moral action
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Caudoux, Benoit. "Écriture et éthique chez Jean-Jacques Rousseau : le sentiment de l'extériorité." Amiens, 2012. http://www.theses.fr/2012AMIE0029.

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Abstract:
Rousseau se dit étranger à son temps ; les "les heureux du siècle" sont étrangers à leur savoir et à eux-mêmes. La critique de la modernité s'appuie sur le sentiment de la lettre morte. Elle dénonce les savoirs vains, la réification instrumentale des représentations, le discours qui échoue à saisir les principes - la vérité du vrai, la bonté du bien, et l'ancrage dans l'ordre naturel de toute la sphère humaine, la sensibilité. Le philosophe peut-il alors régénérer les signes, afin que la vie sociale et la communication ne soient plus vues hors de soi sans lien à l'odre naturel ? Le défi est d'inscrire la continuité d'un horizon sensible, et la reconnaissance du semblable qui en fait partie, dans les signes discrets. La lettre vive est toujours celle qui intègre en elle son origine ; elle est dialogique. La réaction de Rousseau prend forme d'écriture, au sens de la construction d'un horizon de signes autour des âmes qui réalise l'idéal philosophique d'un matérialisme du sage
Rousseau claims to be a stranger to his times. But the lucky ones of these times are strangers to their knowledge and to themselves. Rousseau's critique of modernity stems from the feeling of a learned discourse that doesn't ring true. He criticizes the philosophers' dead words, vain knowledge, and the instrumental reification of representations in a discourse that looses track of all principes - the truth of the true, the goodness of the good, and the anchorage of all human sphere in the natural order : sensibility. Can the philosopher, then, regenerate signs, so that social life and communication no longer mean life out of oneself, far from the natural order ? The challenge is to chart the continuity of a sensible horizon, and the accompanying recognition of our fellows, into discrete signs. The living word is the one that carries its origin. It's dialogical. Rousseau's reaction, then, lies in a form of writing which builds a horizon of signs around souls
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L'Aminot, Tanguy. "Images de Jean-Jacques Rousseau de 1912 à 1978." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040348.

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Abstract:
Les trois commémorations rousseauistes de 1912 (bicentenaire de la naissance de Rousseau), 1962 (250 anniversaire de sa naissance, bicentenaire de Du contrat social), 1978 (bicentenaire de sa mort) permettent de montrer l'évolution de l'image du philosophe et de son œuvre au XXe siècle. Objet d'un enjeu politique entre la gauche et la droite au début du siècle, Rousseau est vraiment lu et commente après la Seconde Guerre mondiale, mais son image subira le regard soupçonneux et la mise à distance de la génération de l'apres-68
The three rousseauistic commemorations of 1912 (Rousseau’s bicentennial), 1962 (250th anniversary, Contrat social bicentennial), 1978 (bicentennial of his death), bring to light the evolution of the philosopher's image and work in the 20th century, in as much as said anniversaries prompted a blossoming of publications. Subjected to a political debate between left-wing and right-wing at the beginning of the century - Rousseau was to be really read and commented after World War II. Yet his image suffered the suspicious glances and putting off from the post-68 generation
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Bienfait, Joël. "Jean-Jacques Rousseau et la croyance ou le coût de dieu." Thesis, Montpellier 3, 2016. http://www.theses.fr/2016MON30013.

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Abstract:
Cette étude se propose de cerner le statut particulier du roman de Rousseau dans l'ensemble de son œuvre, et pas seulement du point de vue du genre littéraire. Rousseau envisage deux sortes de croyances : d'une part celle qui relève spécifiquement de la religion ; d'autre part celles qui ressortissent aux valeurs purement mondaines (avoir, pouvoir et gloire). Dans son œuvre philosophique, validant la première, Rousseau condamne radicalement les secondes. La présente étude vise à montrer que le roman, en accord avec l'œuvre philosophique sur la religion, se trouve dans une position infiniment plus ambiguë quant aux valeurs mondaines (en particulier le pouvoir et la gloire)
Rousseau aims at defining the particular status of Rousseau's novel in his whole work, as regards his literary genre but also others perspectives. Rousseau considers two sorts of beliefs : one pertaining to religion specifically and the other having to do with purely mundane values (possession, power and glory). In his philosophical work, he approves the former and absolutely condemns the latter. This study aims to show that the novel, which matches the philosophical works regarding religion, has a much more amiguous position as far as mundane values are concerned (particularly power and glory)
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Guénard, Florent. "L'idée de convenance dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100002.

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Abstract:
L'idée de convenance désigne une relation immanente entre les parties, qui émerge des termes en rapport et qui n'est pas imposée par un ordre extérieur. Une telle relation peut être qualifiée de naturelle. L'idée de convenance est au coeur de la pensée de Jean-Jacques Rousseau, dont elle ressaisit la systématicité : elle permet d'articuler la politique et la morale, elle permet d'examiner les fondements d'une communauté, elle permet de déterminer les conditions de la législation. Elle qualifie quatre types de support : la convenance des parties du monde,dont témoigne des rapports naturels et qui nourrit la croyance en un Grand Artisan ; la convenance entre l'action et les disposition naturelles, qui suppose que la vertu ait un fondement passionnel ; la convenance des individus liés par leurs seules affinités, sur lesquelles doivent reposer les unions domestiques ; enfin, en politique, la convenance entre les lois et les moeurs, nécessaire à la convenance des citoyens au sein d'une patrie à laquelle ils se sentent appartenir. Un ordre naturel est ainsi donné à perscevoir dans les choses. Mais il faut être en mesure de le percevoir : est requise une intelligence des relations, qui suppose une observation des singularités, une mise en rapport des réalités et un jugement sur leur convenance. Elle ne met pas en application une aptitude au raisonnement déductif, mais fait appel à l'expérience. La pensée de Rousseau révèle ainsi toute sa spécificité. Elle s'oppose à la fois au jusnaturalisme moderne, qui néglige les déterminations locales, et au scepticisme, qui s'en tient à une diversité phénoménale ; au positivisme qui exalte la volonté, considérée comme source unique d'ordre, et au naturalisme qui juge l'ordre naturel comme essentiel. L'erreur menace la philosophie qui confond le fait et le droit, la nature des choses et l'histoire, et qui finit par justifier l'ordre établi et l'inégalité, économique et politique, qu'il recouvre.
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Inoue, Sakurako. "La valeur philosophique de la rêverie chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040251.

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Abstract:
Cette étude se propose de réexaminer la conception de la rêverie chez Jean-Jacques Rousseau, en la replaçant dans l'évolution de la poésie descriptive. La première partie tente de mettre en évidence tant les sources de la rêverie rousseauiste que les caractéristiques de la création littéraire des années 1760-1770, à partir de l'étude génétique des Saisons de Saint-Lambert : une œuvre ne provient pas des méditations solitaires d'un seul auteur, mais des concurrences et des échanges d'idées entre divers philosophes et écrivains ; et le thème du sentiment de l'existence, qui était popluaire parmi les philosophes vers 1750, s'insinue dans le milieu poétique grâce à Saint-Lambert qui avait des relations amicales avec les penseurs sensualistes. S'attachant aux débats philosophiques entre les Encyclopédistes et Rousseau concernant la jouissance et la moralité, la seconde partie examine l'influence de ces débats sur leur création littéraire. Cette démarche nous permet de déterminer le sens philosophique qu'accorde Rousseau à la rêverie. En se penchant sur les passages sur la rêverie dans Les Mois de Roucher la troisième partie essaie de définir l'apport de la rêverie rousseauiste à l'évolution du lyrisme au tournant des Lumières. Cette étude tente ainsi de souligner que l'esprit philosophique qui caractérise le siècle des Lumières n'est pas en opposition avec l'esprit poétique, mais qu'il a apporté une contribution importante à la renaissance du lyrisme à la fin du XVIIIe siècle
This work reexamines Jean-Jacques Rousseau's conception of the reverie, by placing it in the evolution of the descriptive poesy. The first part tries to reveal the sources of Rousseau's reverie and the characteristics of the literary creation in the 1760s and 1770s, by the genetic study of The Seasons of Saint-Lambert : a work doesn't come from the solitary meditations of only one author, but from the rivalries and the exchanges of ideas between diverse philosophers and writers ; and the theme of the sentiment of existence, that was popular among the philosophers around 1750, insinuates into the poetical milieu thanks to Saint-Lambert who had amicable relations with the sensualists. Paying attention to the philosophical quarrels between the Encyclopedists and Rousseau concerning to the delight and the morality, the second part examines the influence of these quarrels on their literary creation. This approach enables us to determine the philosophical sense that Rousseau gives to the reverie. Examining the passages on the reverie in The Months of Roucher, the third part tries to define the contribution of the reverie of Rousseau to the evolution of the lyricism in the end of 18th century. In this way, this work attempts to demonstrate that the philosophical mind, which characterizes the Age of the Enlightenment, isn't opposed to the poetical mind, but it brought an important contribution to the renaissance of the lyricism in the end of the 18th century
@This work reexamines Jean-Jacques Rousseau's conception of the reverie, by placing it in the evolution of the descriptive poesy. The first part tries to reveal the sources of Rousseau's reverie and the characteristics of the literary creation in the 1760s and 1770s, by the genetic study of The Seasons of Saint-Lambert : a work doesn't come from the solitary meditations of only one author, but from the rivalries and the exchanges of ideas between diverse philosophers and writers ; and the theme of the sentiment of existence, that was popular among the philosophers around 1750, insinuates into the poetical milieu thanks to Saint-Lambert who had amicable relations with the sensualists. Paying attention to the philosophical quarrels between the Encyclopedists and Rousseau concerning to the delight and the morality, the second part examines the influence of these quarrels on their literary creation. This approach enables us to determine the philosophical sense that Rousseau gives to the reverie. Examining the passages on the reverie in The Months of Roucher, the third part tries to define the contribution of the reverie of Rousseau to the evolution of the lyricism in the end of 18th century. In this way, this work attempts to demonstrate that the philosophical mind, which characterizes the Age of the Enlightenment, isn't opposed to the poetical mind, but it brought an important contribution to the renaissance of the lyricism in the end of the 18th century
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Kana, Aster. "La religion civile chez Jean Jacques Rousseau et la mentalité laïciste /." Roma : Pontificia universitas urbaniana, 1992. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37469311x.

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Casassus, Philippe. "Jean-Jacques Rousseau : le malade et le penseur de la médecine." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCD026/document.

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Abstract:
Dans l'œuvre de Jacques Rousseau, à côté de sa philosophie originale, on trouve des idées très précises sur la médecine. Il s'y montre très critique sur l'inefficacité des médecins, qu'il eut bien des occasions de connaître et de juger. Il a en effet souffert d'une pathologie urologique chronique, se manifestant par des crises douloureuses de rétention d'urine, dont il parle régulièrement dans ses courriers. Ce travail trouve sa source principale dans les 7175 lettres (écrites ou reçues) de sa correspondance regroupée par Leigh, complétée par certaines réflexions des Confessions. Son objectif a été d'analyser les symptômes dont il s'est plaint, d'argumenter les propositions de diagnostic faites par les historiographes, mais aussi de suivre l'évolution de ses idées sur les médecins (dont certains ont eu une importance dans sa vie qu'il a été jugé utile de développer), et de ses idées sur une médecine qu'il voulait fondée sur le respect de la nature. Celles-ci, notamment développées dans L'Emile, rejoignaient celles du docteur Tissot et des Hygiénistes. Mais Rousseau était aussi connu pour son caractère susceptible et son goût de la solitude, au point d'être pris en exemple de délire paranoïaque par les psychiatres français du début du XXe siècle. Ce diagnostic est évalué à partir des épisodes de sa vie et des réactions qu'elles suscitent dans cette correspondance, à la lumière des dernières recommandations internationales
Accurate ideas are found in the writings of Rousseau about médicine. He has shown a very critical judgment about the inefficiency of his médical doctors. It is obvious that he contacted them frequently, before ignoring them definitively. lndeed, he suffered in many decades from a painful urologie disease, which could not be cured by physicians, a chronical and congenital urine rétention. Our work draws his source mainly from the 7175 letters (written or received by Rousseau) grouped by Leigh, completed with some data found in the Confessions. Our aim was to analyze his symptoms, evaluate the diagnosis suggested by the numerous doctors and biographs pf Rousseau's life, but also to discuss the évolution of his sévère judgment about the doctors (among which some were so important in his life to justify a development) and his ideas about the medicine, dominated by the respect of Action of nature, particularly approved by doctor Tissot and the « Hygienists » thought group. On the other hand, Rousseau was well known as having shady and solitary character, andt french psychiatrists in the beginning of XXe century took him even as a current example of paranoid délusion. We assess this hypothesis, analyzing his reactions along his eventful life, with reference to international recommendations (DSM)·
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Assouly, Olivier. "Les nourritures politiques de Jean-Jacques Rousseau : cuisine, goût et appétit." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010612.

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Abstract:
Au vu de l’histoire de la philosophie et du traitement marginal que celle-ci n’a cessé de réserver tant au sens du goût qu’à la cuisine, Rousseau occupe une place à part et novatrice : tout en condamnant l’hybris de la cuisine et les vanités de la grande table, il considère que le goût, source de volupté, constitue un objet digne d’être pris en compte tant par l’éducation qu’au plan politique. Outre que se nourrir, au-delà des simples besoins vitaux, constitue un moteur des échanges et un facteur potentiel d’inégalités et d’injustices, c’est aussi un moyen, en préservant un lien étroit avec l’amour de soi, de juguler les faux désirs et l’amour-propre.Toutefois, l’Émile amorce un tournant décisif : Rousseau intronise la notion d’appétit, qui prime alors sur le goût, et s’impose aux dépens de la sensibilité aux saveurs et à la cuisine. A défaut d’instinct et face à la prolifération de besoins secondaires, l’appétit est cet instrument – à la fois pédagogique et politique – utile à reconditionner la faim et ainsi à récréer, par le travail, la mesure nécessaire pour se nourrir et jouir légitimement. En même temps que Rousseau abolit l’idée d’une configuration naturelle des besoins et des désirs dès lors qu’il appartient à l’homme de les composer en fonction des circonstances, il achoppe sur le dessein politique du pacte social, lequel exige des citoyens, et non plus des hommes, de renoncer au jeu des préférences et certainement aux dispositions subjectivantes de l’appétit
Given the history of philosophy and the marginal treatment that has traditionally been reserved for both the sense of taste and cooking, Rousseau’s position is separate and innovative: while criticising the hubris of cuisine and the vanity of the “grande table”, he considered that taste, a source of sensual pleasure, constitutes an object that merits attention on both an educational and political level. In addition to mere food, and going beyond basic needs, it constitutes a means for exchange and is a otential factor for inequality and injustice, it is also a way of curbing one’s false desires and self-esteem, through its close connection to self-love. Nevertheless, Emile marks a turning point: Rousseau inaugurates the notion of an appetite that takes precedence over taste and takes over to the detriment of flavour and cooking. In the absence of instinct and faced with the proliferation of secondary needs, the appetite is an educational and political instrument, used to recondition hunger and thus recreate, through work, the measure necessary to feed oneself and enjoy it legitimately.While Rousseau was abolishing the idea of a natural configuration of needs and desires when it is man’s responsibility to compose them according to circumstances, he stumbled onto the political design of the social pact that required that citizens, and no longer man, give up the game of preferences and certainly the subjectivising tendencies of the appetite
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Yoshino, Michiko. "Anthropologie de Jean-Jacques Rousseau : l'homme, la morale et la modernité." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010611.

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Abstract:
La présente thèse a pour but de tracer les contours de l'anthropologie de Jean-Jacques Rousseau dans sa dimension sociale et morale. Dans son étude de l'homme et de la nature humaine, Rousseau part de la connaissance de soi. Il se donne pour tâche de mettre en lumière le processus d'anthropogenèse ou l'homme de la nature passe du stade de sa nature donnée au stade de l'humanité. L'être humain est appréhendé comme étant dynamique, en devenir. Or, l'homme en tant qu'individu ne peut devenir soi que dans la société qui pourtant le dénature inéluctablement. Dans la mesure où le principe de la nature humaine consiste dans la conservation de soi ou l'amour de soi, la socialisation de l'homme apparait sous cet angle comme processus de transformation de l'amour de soi. La pensée anthropologique de rousseau se trouve ainsi marquée par l'antagonisme de l'amour de soi et de l'amour de l'humanité, de la passion et de la raison, du soi et d'autrui. La doctrine de la conscience, impulsion morale, apparait comme une issue au rapport de conflits qu'entretient le moi moderne avec autrui et la société. L'homme civil qui se livre à la poursuite de son intérêt propre, à l'individualisme egocentrique, ne peut pas être libre et heureux sans se faire vertueux par la volonté d'être maitre de soi, de ses passions. Etant motivée par l'idée d'une bonté naturelle et d'une humanité universelle, la pensée anthropologique de Rousseau se déploie comme un dialogue permanent entre vertu et bonheur, raison morale et nature humaine. La conception rationaliste de la morale, fondée sur la seule raison, est rejetée. Il est question chez lui non pas d'un système moral, cohérent en lui-même, mais d'une morale d'humanité qui se pratique par l'appui de la sensibilité du cœur
The purpose of this thesis is to understand Rousseau's thought of man in its social et moral dimension. In his study of man and human nature, he begins with the knowledge of self. He attempts to shed light on the genesis of human being and humanity by which each man passes from the stage of the given nature to the stage of humanity. Man as individual, however, cannot become himself without his relationship with others in society. Insofar as the principle of human nature lies in the self-preservation or love of oneself, the question is to explain the man's socialization as a process of transformation of the self-love. The human being is described as an existence in a incessant becoming. Rousseau's anthropological thought is moved by a antagonism between love of oneself and love of humanity, passion and reason, self and another. His doctrine of the consciousness as inner voice of moral sentiment presents a solution for the conflicts of individual with others in society where each man abandons himself to a pursuit of his own interest and therefore to individualism. The socialized man cannot be free and happy unless he has virtue. Rousseau's thought appears here as a fundamental criticism of modern society and selfish individualism, and as a perpetual seeking for morality. His ideas about morality are constituted by a dialogue between virtue, ideal of self-mastery, and desire of happiness, on the basis of the concepts of man's natural goodness and universal humanity. The rationalistic conception of morality based on a mere reason is rejected
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Rueff, Martin. "Anthropologie et poétique : la notion de modèle chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040209.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau propose une théorie de l'homme. Pour la mettre à jour dans la rigueur de sa construction, on a essayé de dégager une anthropologie du point de vue narratif. Celle-ci passe par la construction d'un modèle. La poétique du modèle est la réponse au programme de l'anthropologie. On a donc dégagé dans une première partie la nécessité de ce modèle en s'interrogeant sur certaines de ses figurations (Glaucus, Pygmalion, Émile). A cette occasion l'anthropologie du point de vue narratif est apparue comme la critique de l'empirisme. On a ensuite mis en évidence les règles de construction de ce modèle : elles sont tout à la fois des règles d'énonciation, des règles structurelles, des régles logiques et des règles méthodologiques. On pouvait alors tenter de voir fonctionner ces règles à travers les deux grands modèles de l'anthropologie du point de vue narratif : Émile et Julie. La troisième partie est consacrée à la justification du modèle dans les grands textes de l'egologie. Ainsi c'est bien la construction d'un modèle de l'homme qui offre sa cohérence à ce triste et grand système
Jean-Jacques Rousseau's first aim is a theory of man. Like Kant's or Rawls'ones, Rousseau's theory of man is constructivist but his way to build it is quite different. It is an anthropology from a narrative point of view. The essential concept of this anthropology is the model. The poetics of the model is the answer to the program of the anthropology. In the first part, we try to explain the way the model is necessary. We have to study carefully three figures of the model : Glaucus, Pygmalion, Émile. The anthropology appears to be a criticism of empiricism. In the second part we first underline the rules of construction ot the model which are rules of statement, structural rules, logical and methodological rules. Then, we can see the rules at work by studying the two main models of Rousseau's anthropology from a narrative point of view : Émile and Julie. The third part is focused on the justification of the model through the texts of the egology. It is the construction of the model of man which gives its coherence to this big and sad system
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Touchefeu, Yves. "L'Antiquité et le christianisme dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau." Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0333.

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Abstract:
Jean-jacques rousseau defendit passionnement les valeurs de la communaute republicaine. Il fut lui-meme citoyen de la petite republique de geneve : conforte par cette identite specifique, il recueillit avec ferveur l'enseignement des hommes illustres de plutarque et les lecons de l'antiquite republicaine. Parallement, en soulignant de facon eclatante son irreductible singularite, il donna une intensite exceptionnelle aux valeurs du moi et a la figure nouvelle de l'individu. Cette exigence de radicale auto-determination se trouvait liee, dans sa conscience, a une conviction religieuse, qui n'etait pas sans rapport avec ce christianisme reforme qui prevalait a geneve. Mais rousseau, qui accueillait ainsi la double tradition de l'antiquite republicaine et du christianisme protestant ne crut pas possible de faire converger ces deux ideaux. Nous le voyons reconnaitre, au fil de ses ecrits, une configuration bipolaire, qui finit par se durcir en une radicale antinomie. En opposant avec une douloureuse obstination les valeurs de l'homme et celles du citoyen, jean-jacques creusait, au plus profond de lui-meme, une tragique dechirure. Mais il posait aussi des question essentielles, qui prennent tout leur relief quand on les situe dans l'univers intellectuel des lumieres : comment penser le lien entre l'individu et la communaute ? comment definir le politique, dans son rapport avec l'economique, le social, le religieux ? comment choisir entre le patriotisme et le cosmopolitisme, entre la paix et la liberte, entre le calme de la meditation contemplative et l'urgence de l'action ? ces questions n'ont pas fini de nous concerner
Jean-jacques rousseau stood up with passion for the values of the republican community. He was himself a citizen of the small republic of geneva : upheld by that specific identity, he fervently took in plutarch's teaching and the lessons of the republican antiquity. At the same time, he strongly emphasized his indomitable singularity and gave a particular intensity to the new values of the individual. He consciously connected such an exacting demand for self-determination to religious belief, itself not without links with the protestant christianity which ruled in geneva. Yet rousseau, receiving so the double tradition of republican antiquity and protestant christianity, did not believe it possible to bring together the two ideals. As he writes, we see him acknowledging a bipolar configuration, which eventually hardens into a fearsome antinomy. Setting the values of man against those of the citizen with painful obstination, jeanjacques was tragically tearing himself apart. But he was also asking essential questions, which take on particular significance when placed in the intellectual world of the enlightenment: how can one conceive the link between the individual and the community ? how to define politics, in relation to economic, social and religious concepts ? how to choose between patriotism and cosmopolitanism, between peace and freedom, between the quietness of meditative contemplation and the urgency of action ? we will always be concerned with such questions
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Achour, Mondher. "Nature et societe dans les oeuvres autobiographiques de jean-jacques rousseau." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1993PA040247.

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Abstract:
Cette these cherche a mettre le discours de rousseau sur l'homme et la societe en relation avec les grandes logiques et les intentions profondes qui regissent celui-ci dans les oeuvres autobiographiques (les lettres a malesherbes, les confessions, les dialogues et les reveries). Rousseau raconte sa vie selon des exigences ideologiques. Mais l'ideologie est chez rousseau inseparable de l'apologie et de la polemique. Ces tendances coexistent souvent suivant un jeu complexe d'interference et des effets de convergences. Le conflit entre la nature et la societe tel qu'il est expose dans les deux discours ordonne et structure le plaidoyer polemique de jeanjacques. C'est le modele de l'homme vrai et naturel qu'il propose et oppose en defi a l'homme social. L'autobiographie rousseauiste procede, a sa source, de la contradiction fondamentale de la nature et de la societe. Elle va ensuite, dans sa substance, s'ecrire en s'organisant selon les implications nombreuses de cet antagonisme.
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Flavigné, Corinne. "L'Etre et son espace dans l'oeuvre autobiographique de Jean-Jacques Rousseau." Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30011.

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Kërtusha-Tartari, Eriona. "Lire et traduire "Émile ou de l'éducation" de Jean-Jacques Rousseau." Montpellier 3, 2008. http://www.theses.fr/2008MON30090.

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Abstract:
Pour réaliser cette traduction de l’Émile ou de l’éducation il a été nécessaire auparavant d’étudier les apports des précédentes traductions et leur acception dans la littérature albanaise, de réfléchir aux problèmes épistémologiques que souligne l’accueil de l’oeuvre selon les sociétés dans leur temps et leur culture. Toute traduction (à condition de répondre à un minimum de contraintes scientifiques et de compétences) a sa valeur. Notre traduction complète de l’ouvrage s’attache à rendre fidèlement non seulement la pensée de Jean Jacques Rousseau mais aussi son style c’est-à-dire les images et le rythme de son écriture, prenant soin d’expliquer au lecteur français les choix méthodiques de ce travail. Enfin un appareil critique de la traduction ici proposée permettra une étude systématique destinée à comprendre l’oeuvre de Jean Jacques Rousseau et les modalités de sa réception dans l’Albanie du XXIe siècle
Preliminary research on preceding flow of translations, reception and their use in Albanian Literature served as a starting phase for accomplishing the translation of ‘Emile, or on Education’. It included reflection on epistemological problems which emphasize the reaction of societies to certain writing works depending on time and culture. Every translation has its own value as long as it fulfills the minimum scientific convention and competence. Our complete translation of the writing work strives not to simply represent the thoughts of Jean Jacques Rousseau but also the writing style which involve images and rhythm, his attention to explain to the French readers the methodological selections of this work. In conclusion, a critic instrument of the proposed translation will allow a systematic approach destined to comprehend the work of Jean Jacques Rousseau and modalities of its reception in 21st Century Albania
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Wang, Yao. "Jean-Jacques Rousseau et le monde intellectuel en Chine (1882-1911)." Thesis, Cachan, Ecole normale supérieure, 2014. http://www.theses.fr/2014DENS0046/document.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau est l'un des philosophes les plus importants pour les intellectuels chinois dans le XXe siècle. Cette étude se concentre d'abord sur les différents groupes de la société, pas seulement les intellectuels, mais aussi la moyenne des gens et comment ils ont été inspirés par Rousseau. Deuxièmement, les documents historiques employés ne sont pas limités à des commentaires politiques, des articles académiques, mais sont également inclus un certain nombre de romans, de pièces de théâtre ou d'autres œuvres littéraires. Afin de donner une interprétation complète de ce sujet, l'auteur emploie surtout les copies d'examen impérial à la in des Qing, qui est une percée des sources historiques sur le thème similaire. En résumé cette thèse est une exploration de ce thème mais il ya encore quelques problèmes qui devraient être modifiés pour les études plus approfondies comme la complexité de la pensée de Rousseau en Chine. La première partie de la thèse rassemble plus de deux cents documents historiques mentionnant Rousseau. En analysant les sources historiques selon le temps, les auteurs et les types, la thèse révèle un parcours historique : comment se propagent les idées de Rousseau à al fin des Qing? La deuxième partie de l'article se concentre sur l'élite intellectuelle et la façon dont elle accepte et comprend les pensées de Rousseau. Selon la base de données historiques de cette thèse, à la fin des Qing, Liang Qi-Chao est l'intellectuel qui a le plus promu les idées de Rousseau. Son attitude envers Rousseau se détourne de la louange et soupçonne et critique. Du point de vue de l'historie de la civilisation humaine, Liang détient toujours une position "stable" sur Rousseau. Les élites révolutionnaires ont eu un mode de propagation spécial de la pensée de Rousseau. Leur système de propagande a couvert tous les secteurs de la société. Yan Fu, malgré qu'il ait critiqué la philosophie politique de Rousseau, a également reconnu la contribution de Rousseau en tant qu'éducateur. La troisième partie traite de la littérature populaire, des œuvres littéraires, qui révèlent comment les valeurs des Lumières de Rousseau ont inspiré les Chinois à la fin de Qing. En analysant les feuilles d'examen impérial, en particulier dans le cadre de "stratégie-question", la thèse montre un phénomène de "conflit" au sein de la gentry à propos de Rousseau et dévoile les défis et les réponses de la gentry, en tant que défenseur de l'ordre social traditionnel à la fin de la dynastie Qing
Jean-Jacques Rousseau is one of the most important philosophers for the Chinese intellectuals in the 20e century. This study focuses firstly on different groups of society, not only the intellectuals, but also average people and they were inspired by Rousseau. Secondly, the historical materials the author employed are not limited to political commentaries, academic articles, but also included a number of novels, plays or other literary works. In order to provide a complete interpretation of this subject, the author employed especially the imperial exam papers in the late Qing, which is breakthrough of the early studies in the similar subject. Over all speaking, this thesis is an excellent exploration of the themes which author sets but there are still some problems which should be modified for further study, such as content about the complexity of the thinking of Rousseau. The first part of this thesis collects more than two hundred historical documents mentioned Rousseau. By analyzing the historical source according to the time, the authors and the species, the thesis reveals an overall historical course how the Rousseau's ideas spread in the late Qing Dynasty. The second part of the article focuses on the intellectual elite and how they accept and understand Rousseau's thoughts. According to the historical database of this thesis, at late Qing, Liang Qichao is the intellectual who advocated the most the ideas of Rousseau. His attitude towards Rousseau turns from the praise to suspect and finally to criticize, but from the perspective of the history of the human civilization, Liang always holds a "stable" position towards Rousseau. The revolutionary intellectuals elites have an special mode in propagation of Rousseau's thoughts. Their propaganda system is from shallow to deep, covering all sectors of society crowd. Yan fu, although he criticized the political philosophy of Rousseau, also recognized the contribution of Rousseau as educator. The third part deals with the popular literature, literary works, which reveals an overview how the enlightenment values of Rousseau thought inspiring the Chines at late Qing. By analyzing the imperial exam papers, especially in the part of "policy question", the thesis discovers a split phenomenon in the class of the gentry, which shows the challenges and their answers of the gentry as defenders of the traditional social order at the late Qing Dynasty
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Lenoir, Norbert. "Domination et légitimité : deux stratégies d'interrogation du politique chez Jean-Jacques Rousseau." Aix-Marseille 1, 1998. http://www.theses.fr/1999AIX10023.

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La pensee politique de rousseau possede deux versants. Dans le premier versant, rousseau developpe une reflexion genealogique de la domination politique. Cette genealogie ne fait pas simplement intervenir la categorie psychologique de "la soif du pouvoir". Il s'agit de comprendre que la domination politique s'ordonne a un double processus. Dominer, c'est creer un ordre politique inegalitaire en etant maitre de la puissance d'exclure le peuple des decisions politiques et disposer du pouvoir de produire une opinion publique rendant possible le recouvrement de l'inegalite et favorisant le consentement des individus a cet ordre politique. Le deuxieme versant correspond a une reflexion sur la legitimite politique a laquelle nous conferons deux degres. La legitimite de premier degre met en place les institutions legitimes necessaires du politique qui sont au nombre de trois : le souverain, lieu du pouvoir legislatif, le legislateur, lieu symbolique du savoir politique, le gouvernement, siege du pouvoir executif. Le gouvernement produit, au sein du politique, une dynamique illegitime : de pouvoir subordonne, il devient un pouvoir autonome et usurpe la souverainete. Le probleme du politique, chez rousseau, se pose en ces termes : a partir du moment ou, avec le gouvernement, nous avons d'une part une institution legitime et necessaire et d'autre part l'operateur du renversement du souverain, existe-t-il un moyen politique faisant obstacle a cette dynamique de renversement ? rousseau repond a cette question dans la legitimite de second degre. Dans cette legitimite, rousseau definit trois moyens politiques assumant les fonctions d'obstacle a la dynamique gouvernementale : le tribunal, la manifestation du souverain, la circulation du pouvoir.
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Silva, Aline de Fatima Sales. "A formação do homem virtuoso no Emílio de Jean-Jacques Rousseau." Universidade Federal de Goiás, 2017. http://repositorio.bc.ufg.br/tede/handle/tede/6984.

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This paper approaches the fundamentals of virtuous man in Jean-Jacques Rousseau’s Émile in light of the concept of perfectibility, while discussing human formation from a universal perspective. In its totality, the human being is one of reason and emotion, and therefore oscillates between the natural and the civilian dimensions in a trajectory that goes from the moral awakening process to the degeneration of self-love (amour de soi) into a love of self (amour-propre), and natural pity, weakened and vilified by the misfortunes of social life. In the root of this constituted society, I distinguish between Rousseau’s political virtue and moral virtue in the attempt to demonstrate that, in Émile, virtue comprises, too, the whole of man’s reason and sensibility as the mainstay of the formative process, through which new meanings for human existence are constructed. As an advocate for negative education as opposed to the positive model carried on throughout the history of progress, Rousseau sustains it is no good to develop power to reason by flooding the ignorant child with social duties and matters. Instead, the preeminent and harmonic use of senses is a primary role of education and a valuable tool for instilling the ability to reason. Self-knowledge and self-awareness are then particular yet indispensable within a universal order capable of adjusting reason and emotions, duty and will, as well as conforming them to human potentialities by keeping the man in harmony with nature and themself, especially during the development of the moral being.
Esta tese busca, no Emílio de Jean-Jacques Rousseau, os fundamentos da formação do homem virtuoso. À luz do conceito de perfectibilidade discuto a possibilidade da formação humana na perspectiva universal, considerando o homem em sua totalidade como ser de sentimento e razão. Mostro, nesse percurso, os primeiros embates do homem no estado de natureza e o despertar da moralidade no processo civilizatório, trajetória pela qual o amor de si se transformou em amor-próprio, bem como a piedade natural, enfraquecida e vilipendiada pela vida social, é sufocada em meio ao artifício que sucedeu a vida simples e equilibrada do homem natural. Distingo, no seio dessa sociedade constituída, a virtude política da virtude moral em Rousseau e demonstro que a concepção de virtude no Emílio tem um caráter universal, abrange a totalidade do humano como ser de consciência e razão, daí a centralidade do processo formativo como possibilidade de ascensão da vida a outros patamares de existência. Seguindo o curso da natureza, que tudo faz de maneira correta, Rousseau elabora, na contramão da educação construída pela história do progresso, a educação negativa, formação que se diferencia da que ele chama de positiva, aquela que pretende formar o intelecto antes dos sentidos, enchendo as crianças de conhecimentos sobre os quais ela ainda não tem condições de raciocinar. Rousseau demonstra a preeminência do sentimento no homem como necessidade primeira da educação que deve começar por aperfeiçoar na criança os órgãos dos sentidos, desenvolvendo nela a sensibilidade para que possa exercer a razão pelo exercício bem-ordenado dos sentimentos. Conhecer si mesmo, suas necessidades e possibilidades é essencial à compreensão da ordem universal que, no plano do humano, garante o equilíbrio entre a razão e a sentimento, o dever e a vontade, mediando os desejos de acordo com as potencialidades do homem, mantendo-o em sintonia com a natureza e consigo mesmo, consciente dos embates que certamente enfrentará na vida social, especialmente na formação do ser moral.
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Séité, Yannick. "La Nouvelle Héloïse et son paratexte : Rousseau, le livre et la lecture." Paris 7, 1994. http://www.theses.fr/1994PA070059.

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Abstract:
Cette these evalue, a travers l'etude de la premier edition du roman de jean-jacques rousseau julie ou la nouvelle heloise (1761). Les effets, sur l'interpretation que nous pouvons produire d'un texte, de tous les elements materiels (format, typographie. . . ) ou textuels (titre, prefaces, notes. . . ) qui l'accompagnent ou servent a le vehiculer et dont gerard genette a federe certains aspects sous le vocable de <>. Apres une introduction qui jette une passerel le entre etude du paratexte. << histoire des pratiques culturelles >> (roger chartier), histoire du livre et << sociolog ie des textes >> (d. F. Mckenzie), la premiere partie restitue les circonstances de la publication dejulie et analyse les textes publicitaires qui l'ont annoncee. La deuxieme s'attache a des objets paratextuels compris dans l'espace meme du livre et a leur retentissement sur la lecture du texte. On voit, au teme de ces deux premieres etapes, comment rousseau s'implique non seulement dans l'ecriture de son texte mais aussi dans l'elaboration du livre qui va porter ce dernier. De meme. Sa pratique des prefaces et des notes - c'est l'objet de la troisieme partie - est originale et aboutit a faire du lecteur un exegete constamment contraint au travail par un paratexte pense pour destabiliser. La quatrieme partie dessine la conception et les usages du livre et de la lecture qui sont ceux de rousseau puis verifie la validite des donnees theoriques ainsi mises au jour en les appliquant au reste des elements paratextuels presents dans l'edition : illustrations, table des matieres. . . La conclusion pose les bases d'une << histoire litteraire du livre au xviiie siecle >>. Si rousseau et le plus pur exemple d'un siecle durant lequel les auteurs chassent sur le terrain des formes et effets de sens du livre-objet, d'ordinaire devolu a l'editeur, voltaire, retif de la bretonne, beaumarchais. Bernadin. . . Ses contemporains ont, du lvire, une pensee et une pratique originale qu'il importe d'etudier
This thesis deals with the first of jean-jacques rousseau's novel julie ou la nouvlle heloise (1761) and studies the way our interpretation of a text can be influenced by the many differents types of textual (title, prefaces, footnotes. . . ) or material (format, paper, typography. . . ) elements that accompany or <> it. The introduction demosntrates the ne cessity of a pluri-subjects - book history, << paratextual >> studies. . . - approach to texts. The first two parts show how rousseau wanted to control not only the writing of his text but also the making of the book which carried it and which was conceived according to a litterary project. The third part proves that rousseau devised the prefaces and footnotes to his novel in order to disturb the reader and to constrain him to think by himself. The fourth and last part first of all brings to light rousseau's conception of book and reading, then tests the validity of the theorical elemen ts thus obtained by applying them to the rest of the paratextual objects present in the first editions of julie : plates , table of contents. . . The conclusion insists on the necessity to elaborate a <> : if rousseau is probably, with his novel, the most meaningful exemple of a writer implication into what is nowadays usually considered as a pure publisher concern, many of his contemporaries - voltaire, retif de la bretonne, beaumarchais, bernardin de saint pierre. . . - did expres the interest they took in the material dimension of a book conceived as capable to influence the meaning of the text it carries; that is to say as a litterary object
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Champy, Flora. "Exemples et modèles politiques : fonction critique de l'Antiquité chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSEN028/document.

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Abstract:
Si la forte présence des personnages illustres et des cités antiques dans les œuvres politiques de Jean-Jacques Rousseau a été remarquée dès leur parution, leur fonction a trop longtemps été interprétée comme celle d'exemples à imiter. L'étude des multiples sources de Rousseau nous permet de mettre en lumière la complexité de ses références à l'Antiquité. Loin de présenter les grandes figures et les cités antiques comme des exemples monolithiques que le lecteur serait invité à faire revivre ou à regretter, Rousseau construit des modèles dynamiques, afin d'établir et d'explorer les « principes du droit politique», selon les termes du sous-titre du Contrat social. A partir de l'admiration pour les grands héros de Plutarque découverts dans son enfance, cette représentation se déplace dès le Discours sur les sciences et les arts vers l'étude des cités antiques, dont la réussite politique tient à ce qu'elles ont pleinement compris et exploité l'articulation fondamentale entre anthropologie et politique. C'est donc uniquement en observant comment les institutions politiques antiques prennent en charge la formation morale de l'homme que l'on peut pleinement établir les critères de fondation d'un corps politique légitime. La pensée politique antique joue ainsi un rôle considérable dans l'établissement de la distinction fondamentale entre souveraineté (pouvoir législatif) et gouvernement (pouvoir exécutif). L'étude de ces deux parties essentielles du corps politique met en évidence que la prégnance du modèle romain, plus fort que le modèle spartiate, permet à Rousseau de penser non seulement la fondation, mais encore la durée et le devenir du cor ps politique
This dissertation conducts a systematic examination of Jean-Jacques Rousseau 's representation of Antiquity and provides a new interpretation of its meaning. Rousseau's lifelong interest in ancient Greece and Rome has so far been interpreted mainly as a personal myth, rooted in his emotional identification with examples of civic virtue. Challenging this interpretation, I analyze Rousseau's vision of Antiquity as a carefully constructed representatio n that seeks to answer key questions of early modern political thought. As he constructs his political system, Rousseau considers ancient material through a complex web of mediations, which alter his representation of Antiquity . The admiration for great men inherited from his childhood reading of Plutarch quickly turns into the construction of dynamic political models. Rousseau draws on ancient historical examples, as weil as on Plato's and Aristotle's political philosophy, to articulate his own definition of key modern political concepts such as sovereignty and body politic. In Rousseau's view ancient cities were politically successful because they fully understood the fundamental connection between anthropology and politics, placing the moral education of the citizens at the core of political action. Studying examples of ancient cities thus becomes indispensable not only to define a truly legitimate political structure, but also to design methods and practices to make it last over ti me. In this respect, the Roman Republic, whose institutions more successfully faced the challenge of history, serves as a more significant political model than Sparta. Reassessing Rousseau's representation of Antiquity thus allows usto reevaluate the place of government in his political system
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Doroszczuk, Catherine. "Une obscure exigence : Jean-Jacques Rousseau et les métamorphoses de l'espace littéraire." Paris 7, 1993. http://www.theses.fr/1992PA070106.

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Abstract:
Notre these s'efforce de cerner le role de rousseau dans l'evolution de ce que m. Blanchot a appele "espace litteraire", et qui comprend pour nous l'ecriture, la creation litteraire, et le personnage de l'ecrivain. Rousseau est a l'origine d'une conception mythique de l'ecriture. En musicien, il la pense sur la perte de la parole, et s'efforce de renouer avec le lyrisme de cette voix originelle. Suscitant autour de son ecriture des commentaires passionnes, il est surtout celui qui denonce l'alienation qu'implique l'acte d'ecrire. Son oeuvre se heurte aux legendes de la creation litteraire, en particulier celle de l'inspiration. Construisant, et montrant les contradictions des notions de genie et d'oeuvre, la reflexion de rousseau est profondement ambigue. Elle met a jour le danger d'alination a l'oauvre dans le processus creatif, et invente des lieux de sauvegarde de soi. Elle instaure surtout un rapport inedit au lecteur, et a l'editeur sommes de devenir des intimes, ou des ennemis. Enfin rousseau cree le personnage moderne, et conflictuel, de l'ecrivain. Longtemps refuse et hai, celui-ci trouve dans l'oeuvre reousseauiste l'absence de statut et le masque de solitude qu'il gardera pour nous : figure constamment en proces, il est l'embleme d'un espace qui ne cessera plus d'interroger le bien-fonde de son existence
Our paper's objective is trying to picture rousseau's influence on the evolution of what m. Blanchot described as "literary space". This so called "literary space" consists in writing, literature creation, and rousseau as a writer. Rousseau is the source of a writing mythical concept. As a musician, he thinks writing in terms of loss of speach, and endeavours to give hints of the original voice. Creating passionate comments on the topic of his writing, he is first and above all denouncing the alienating feeling he senses when writing. Building up and puting forward the concept of genius and work, rousseau's track of thoughts reasoning especially ambiguous. This reasing uncovers the danger of alienation at work in creative process, and invents safe spots for self protection. Above all it creates a new relationship between writer, reader and editor, summoned to become friends or foe. Moreover rousseau creates the modern and self conflicting figure of the writer. For a long time rejected, hated, this figure finds in rousseau's work the lack of standing and the mask of loneliness which he will maintain for us : constantly litigating, he is the emblem of a space who will never stop to question himself on the meaning of life
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Labrusse, Sébastien. "Sentiment de la nature et esthétique du lieu chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 12, 2002. http://www.theses.fr/2002PA120040.

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Abstract:
Cette thèse montre comment Rousseau a transformé le sens du mot de nature. Il a d'abord élaboré l'idée de nature afin de penser les problèmes de philosophie politique. La nature lui est apparue comme le lieu où la violence ne se voit pas, étant hors de l'Histoire. Mais cette nature primitive est perdue d'une manière telle qu'il n'est ni possible, ni souhaitable de désirer y retourner. Pourtant, Rousseau s'est passionnément mis en quête d'un " lieu sauvage" ou " désert ", qui soit intact. Mais il n'est pas parvenu à rencontrer la nature ailleurs que dans son propre coeur. En l'identifiant à la subjectivité, il en propose une définition radicalement nouvelle elle ne peut plus être réductible à l'objectivité, puisqu'elle se confond avec le sentiment intérieur. La nature extérieure, le lieu, le paysage, n'ont donc de statut que par rapport à une subjectivité, Il apparaît ainsi qu'on ne peut penser l'esthétique de Rousseau qu'en se reportant à sa philosophie de la vie intérieure
This thesis shows how Rousseau transformed the meaning of the word Nature. He first developped the idea of Nature to reflect on politics. It occured to him that nature was a place where violence had no dominion, insofar as it was outside of history. But this primitive state of nature has been lost to such an extent that it is no longer neither possible nor desirable to return to it. Nevertheless, Rousseau passionately sought a "wilderness" or "desert " that had survived intact. But he was only able to encounter this within his own heart. By deliberately confusing it with subjective experience he proposed a radical re-definition of nature which cannot be reduced to objective fact. External nature, place and landscape exist only in relation to a subject. We hold, therefore, that Rousseau's aesthetics can only be understood with reference to his philosophy of the inner life
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Coz, Michel. "La Cène et l'autre scène : désir et profession de foi chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 7, 1993. http://www.theses.fr/1993PA070073.

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Abstract:
Le but de cette these est d'etudier les rapports entre le desir et la foi chez jean-jacques rousseau. Elle se situe donc dans une perspective psychanalytique et tente d'eclairer les representations imaginaires qui soutiennent les choix doctrinaux de rousseau. Elle avance que sa position religieuse n'est pas fondamentalement chretienne car elle recuse le dogme de l'incarnation. L'investigation psychanalytique tend, alors, a souligner les presupposes inconscients qui suscitent, chez jean-jacques,le rejet de l'imaginaire chretien et permet d'associer ses deviations theologiques sur le peche originel,la revelation ou le miracle a une problematique centree sur la question de l'origine. Rejeter le christianisme, c'est refuser un monde religieux axe sur la mediation et la filiation. L'opposition de rousseau a la symbolique trinitaire doit des lors etre referee a sa "position" dans l'ordre genealogique,position tres incertaine en raison de la perversion du discours paternel lui intimant d'occuper imaginairement une place symboliquement marquee par l'interdit. C'est donc par defaut de l'inscription d'un signifiant susceptible de limiter l'angoisse que l'appel de la jouissance produit en lui que rousseau se doit de conforter,par sa propre profession de foi,l'image d'un pere idealise,non marque par la castration. Cependant,avec la nouvelle heloise, sa foi echappe a toute tentative de reduction definitive et aussi bien la negation athee de wolmar que la solution mystique de julie signalent la singularite d'un desir que les determinations trop assurees des catechismes de tous bords ne peuvent epuiser
The purpose of this thesis is to study the relationship between faith and desire in jean-jacques rousseau. It therefore takes a psychoanalytical perspective and attempts to shed light on the imaginary representations underlying rousseau's doctrinal choices. It puts forward the idea that rousseau's religious position is fundamentally non-christian in so far as it challenges the dogma of incarnation. The psychoanalytical investigation here aims at emphasizing the unconscious assumptions which contribute to his rejection of the christian imaginary. It also associates rousseau's deviating views on original sin,the revelation, and miracles with a problematic pattern focusing on the question of the origin. His rejection of christianity is that of a religious realm based on mediation and filiation. His refusal of the symbolic order of the trinity must be seen in relation to his very uncertain genealogical "position": his father's perverted discourse summons him to take an imaginary place symbollically marked by interdict. For lack of a signifier which could limit the anxiety aroused by the call of pleasure,rousseau must,by his profession of faith,strengthen the image of an idealised father unmarked by castration. In la nouvelle heloise however, his faith escapes any attempt at categorization; wolmar's atheistic negation as well as julie's mystical solution are both signs of a singular desire which overconfident dogmas of any kind cannot reduce
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Hatzenberger, Antoine. "Rousseau et l’utopie : de l’état insulaire aux cosmotopies." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040186.

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Au croisement de l’utopologie et des études rousseauistes, cet examen des thèmes et des modèles utopiques dans l’oeuvre de J. -J. Rousseau en révèle une composante importante et permet de ressaisir un moment de transition entre l’âge classique du genre utopique et les utopies modernes. Apparaît alors ceci : revisitant les non-lieux de l’utopie, la cartographie rousseauiste dessine les linéaments d’une utopie critique ; au-delà des principes et des limites de l’État insulaire - particulièrement sensibles dans le Projet de constitution pour la Corse -, se pose le problème de l’utopique dans le cadre des relations internationales. Cette recherche a conduit à considérer (1) les contextes de la réception de l’utopie au XVIIIe siècle et des critiques de l’utopisme rousseauiste ; (2) les sources, les formes, les lieux et la méthode de l’utopie dans la philosophie politique de Rousseau ; (3) la dimension cosmopolitique des utopies de Rousseau
At the meeting-point of utopology and Rousseau studies, this enquiry into the effects of utopia on Rousseau’s political philosophy shows the importance of the latter in the transition between classical utopian patterns and modern utopias. With Rousseau, utopia is at a turning-point : utopias become projects of government, and are developed into a critical model, which goes far beyond the borders of the insular state - epitomized by the Projet de constitution pour la Corse -, and opens up a new scope for international politics. This research on the history of an idea considers (1) the different contexts of the reception of utopia and its influence on the constitution of “rousseauism” ; (2) the utopian models and methods in Rousseau’s works ; (3) Rousseau’s cosmopolitan utopias
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Tissoires, Amélie. "L'opéra mental : formes et enjeux de l'écriture du spectacle chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Grenoble, 2012. http://www.theses.fr/2012GRENL005.

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Abstract:
La réflexion de Rousseau concernant le spectacle (théâtral, musical, pictural) s'élabore au cours de nombreux textes théoriques qui interrogent le statut du spectateur et sa relation à ce qui est vu et entendu. Cette relation est source de nombreuses interrogations pour l'écrivain qui réfléchit à ce que l'on pourrait appeler une « économie de la distance », afin d'ajuster au mieux son regard face à l'objet mis en scène et de régler l'émotion induite par le dispositif « spectaculaire ». Cette réflexion sur le spectacle permet également de s'intéresser à la pensée de l'origine chez Rousseau car il semble que ce soit à partir de sa conception de la nature que la notion de spectacle et les émotions qu'elle suscite, s'élaborent. La qualité de l'émotion est particulièrement travaillée par Rousseau qui distingue le spectacle visuel du spectacle auditif. À la fascination de l'image créée par le dispositif théâtral s'oppose le sentiment musical, source d'une communication idéale entre le musicien et l'auditeur, et créateur d'un spectacle mental. L'importance du spectacle musical est telle que l'écriture de Rousseau ne se conçoit pas sans une constante référence à ses caractéristiques, l'écrivain devenant alors un auditeur de musique subjugué par les sentiments qu'il éprouve. Cette réflexion sur les spectacles trouve une chambre d'écho dans les œuvres narratives de Rousseau qui mettent en application les caractéristiques dégagées par la théorie. Influencé par l'esthétique du tableau théâtral telle qu'elle a été conceptualisée par Diderot à propos du drame bourgeois, Rousseau tempère sa suspicion à l'égard de l'image théâtrale, qui trouve, selon lui, sa meilleure voie d'expression dans La Nouvelle Héloïse. Ce roman, de fait, dépasse à certains endroits la linéarité de l'écriture pour proposer des tableaux, transformant ainsi le lecteur en spectateur d'un drame bourgeois, mais pas seulement : en effet, la mise en image de la narration puise également à des sources picturales (avec notamment la réflexion sur les Sujets d'estampes) et offre une réflexion sur le regard que la plupart des personnages prennent en charge. Mais c'est surtout en s'inspirant de ses propres conceptions musicales que Rousseau est conduit à trouver de nouvelles formes d'écriture qui renouvellent la relation au lecteur. Enfin, les œuvres autobiographiques proposent une mise en scène musicale de soi. Le compositeur devient alors un des modèles de l'écrivain parce qu'il donne à lire le « je » comme une partition instrumentale. En même temps, la structure du spectacle visuel est réinterrogée par Rousseau dont l'écriture épouse le modèle musical. C'est en dernier lieu le copiste qui, dans les œuvres autobiographiques, propose un modèle d'écriture, celui de la « chambre obscure » où le spectacle de soi se transforme en signe musical
Rousseau's reflections on the spectacle (whether theatrical, musical or pictorial) are elaborated through a number of theoretical texts that question the status of the spectator and his relationship with what is seen and heard. This relationship is a source of numerous questions for the writer who reflects on what could be termed an 'economy of distance' , so as to better adjust the way he looks on the object mis en scène and to regulate the emotions provoked by the structure of the spectacle. This approach to the spectacle also allows us to explore Rousseau's approach to origins as it seems that it is from his conception of nature that the notion of the spectacle and the emotions it provokes are developed. Emotional quality is particularly explored by Rousseau who distinguishes the visual spectacle from the auditory one: to the fascination of the image created by the theatrical setting is opposed the musical sentiment, seen both as a source of ideal communication between the musician and the listener, as well as the creator of a mental spectacle. Such is the importance of the musical spectacle that the writing of Rousseau is not conceived without a constant reference to its characteristics. The writer thus becomes a listener of music subjugated by the sentiments he feels. These reflections on spectacles find an echo in the narrative works of Rousseau that apply those characteristics identified by his theory. Influenced by the aesthetics of the theatrical tableau conceptualised by Diderot and reflecting on the bourgeois drama, Rousseau tempers his suspicion concerning different types of theatrical images that according to him find their best expression in the way of looking. The Nouvelle Héloïse goes at times beyond the linearity of writing to propose certain tableaux that borrow from the estampe and the bourgeois drama. The reader is thus transformed into a spectator of a bourgeois drama, but not exclusively so: indeed, the representation in images of the narrative draws equally on pictorial sources (with in particular the considerations on the Sujets d'estampes) and offers a reflection on the looks assumed by the majority of characters. But, above all, it is by seeking inspiration in his own musical concepts that Rousseau is led to finding new forms of writing that renew the relationship to the reader. Indeed, the autobiographical works propose a musical mise en scène of the self. The composer becomes therefore one of the writer's models because he enables the 'I' to be read as a musical partition. At the same time, the structure of the visual spectacle is re-questioned by Rousseau whose writing marries the musical model. In the last instance it is the copyist who, in the autobiographical works, offers a writing model that of the chamber obscure, where the spectacle of the self is transformed into musical signs
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Audi, Paul. "L'autorité de la pensée : essai de phénoménologie matérielle sur Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040108.

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