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Dissertations / Theses on the topic 'Et la démocratie'

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lebreuilly, romain. "Psychologie politique et démocratie : Construction d'échelles de démocratisme." Caen, 2010. http://www.theses.fr/2010CAEN1581.

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Abstract:
La démocratie sans cesse en mouvement et en changement est actuellement en crise. S’intégrant dans le champ théorique de la psychologie politique, notre recherche consiste à proposer dans ce contexte une méthode d’évaluation du taux de démocratisme par la construction d’échelles mesurant la perception et les pratiques de la démocratie. Pour ce faire, nous avons mené des entretiens semi-directifs afin de recueillir des indices permettant de construire une première échelle. Cette échelle a ensuite été testée puis validée sur un large échantillon de la population française. Elle mesure un taux d’engagement envers les valeurs de la démocratie. Nous avons ensuite complété cette première échelle de deux autres échelles construites cette fois, à partir d’une étude interdisciplinaire sur la démocratie afin de mesurer les perceptions de la démocratie idéale (échelle 2) et les perceptions de la pratique de la démocratie actuelle (échelle 3). Ces trois échelles recomposent ainsi les trois composantes de l’attitude : conative, cognitive et affective selon Rosenberg et Hovland (1960). Cette modélisation tripartite permet ainsi de mieux appréhender le concept de démocratisme mais aussi de réaliser des rétrocontrôles entre les échelles afin de ne pas perdre de vue cette notion si complexe et si volatile qu’est la démocratie
Democracy in constant motion and change is nowadays in crisis. Integrating in the theoretical field of politic psychology, our study proposes in this context a new method to assess the rate of democratism : build scales which measure perceptions and practices of democracy. In order to that, we conducted semi-structured interviews to gather evidences to build the first scale. Then, this scale has been tested and approved on a wide sample of the French population. It measures a rate of commitment to the values of democracy. Two new scales have been built in a second time from an interdisciplinary study on the democracy. They measure the perceptions of ideal democracy (scale 2) and the perceptions of present and current democracy practice (scale 3). These three scales recompose the three componants of attitude: conative, cognitive and emotional by Rosenberg and Hovland (1960). This three-parts model allows us to make feedbacks between the scales and to experiment the so complex concept of democratism
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Uzal, David. "Douceur et démocratie." Thesis, Paris Est, 2020. http://www.theses.fr/2020PESC2008.

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Abstract:
Cette recherche a pour but de définir ce que pourrait dire la douceur dans le cadre d’une réflexion politique générale puis spécifiquement autour de la démocratie comme méthode et pratique, de sa forme classique à sa configuration contemporaine. Après un travail de définition, dans un langage philosophiquement exploitable d’un terme pour lequel les philosophes n’ont démontré qu’un très mince intérêt, si ce n’est aucun pour la plupart d’entre eux, nous avons entrepris de produire les bases d’une généalogie de la douceur (en Occident) en vue de repérer les assises et le contexte particulier à l’apparition et au développement de la démocratie qui semble être liée dans sa genèse, dans son application et dans son essence à une dose substantielle de douceur. Puis, nous avons développé une théorie du processus démocratique jusque dans ses manifestations les plus récentes, en lien avec la douceur, théorie qui ne se veut pas marginale mais centrale pour la compréhension de la dynamique démocratique et des excès que cette dynamique semble engendrer et dont nous serions aujourd’hui les témoins présentiels. Cette thèse, qui est sous-tendue par quelques thèses secondaires, prétend ouvrir une voie de réflexion autour de la douceur comme notion intégrée au politique et à la démocratie en particulier, conçue comme processus irrémédiable d’accentuation de ses principes, des formes de douceur, authentiques ou fausses, accentuées et déclinées depuis une même source que nous prétendrons cerner, semblant marquer un point de maturité, voire d’absolutisation, d’une méthode politique qui devient mode de vie totalisant et idéologie, et dont nous distinguerons donc les formes modérée et absolutiste
This study is aimed to define what would be the meaning of mildness [douceur] in the framework of the political thought in general, and specifically in the one of democracy as a method and practice, from its classical form to its contemporary configuration. Following an attempt to elaborate an exploitable definition in philosophical language of a term which has sparked off very little interest, if none, within philosophers, we will set the bases of a genealogy of softness (in the West) in order to identify the background and context associated to the upraising and development of democracy which seems to be linked in its genesis, application and essence to a substantial dose of softness. Further, we develop a theory of the democratic process all the way to its most recent manifestations, in connection with mildness, theory which pretends to be central for the understanding of the democratic dynamics and the excess that these dynamics seems to generate, of which we would be today the living witnesses. This thesis which is underlined by secondary thesis, aims to open the path to a reflexion around softness as a notion integrated to politic and to democracy in particular, considered as an irremediable process of accentuation of its principles, some modalities of softness, authentical or fake, accentuated and declined from a same source which we pretend to have identified, seem to indicate a level of maturity, even absolutisation, of a political method which becomes a totalizing way of life and an ideology, of which we will therefore distinguish a moderate and an absolutist modality
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Ivanovitch, Sarah. "Décentralisation et démocratie locale." Thesis, Aix-Marseille, 2014. http://www.theses.fr/2014AIXM1075.

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Abstract:
La France est composé de deux systèmes - le premier le système national et le second le système local - qui reposent tous deux sur un fondement représentatif. Le citoyen électeur participe aux seules élections. Il ne prend pas part aux décisions publiques. La décentralisation devait permettre de gérer au plus près des citoyens les affaires locales. Or, les habitants locaux n'accordent qu'un faible intérêt à la gestion locale alors que le niveau d'instruction s'élève et que l'accès à l'information croit sensiblement. Afin de permettre une véritable décentralisation démocratisée, il convient de refondre en profondeur les institutions françaises. En effet, il est nécessaire de prohiber tout cumul de mandats et de rendre le système local plus distant du système national. Cela permettra aux entités du système local de s'administrer librement dans les conditions prévues par la loi. Il est ici proposé une méthodologie pour tendre vers la démocratie continue dans un Etat unitaire décentralisé. Le citoyen local doit devenir un véritable acteur du système local
France is composed of two distinct systems - the first is the national system and the second is the local system, - which both are settled on a representative foundation. The elector citizen takes part only in elections. He/she does not get involved in the public decisions. The decentralization of power should have allowed the citizen to be closer to local decisions and affairs. But, local citizens give little interest to the local management even though the level of education is growing and the access to information is slightly increasing. In order to allow a real democratized decentralization, it is suitable to rebuild deeply the French Institutions. Effectively, it is necessary to ban any mandate plurality and to make the local system at a distance of the national system. Thus will allow a local corporate body to operate freely in a self administrative party respecting the conditions set by law. Here, a methodology to aim toward an uninterrupted democracy in a decentralized joint State will be suggested. A local citizen has to become a bona fide representative of the local system
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Samimi, Mehrdad. "Démocratie et pays arabes." Electronic Thesis or Diss., Université Clermont Auvergne‎ (2017-2020), 2019. http://www.theses.fr/2019CLFAD018.

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Abstract:
La modernisation politique et juridique dans la région arabe a abouti à l’émergence des États modernes, des constitutions et des concepts constitutionnels modernes de liberté individuelle,souveraineté du peuple et séparation des pouvoirs. Malgré la consécration des principes démocratiques et libéraux, les constitutions arabes n’ont pas réussi à établir un équilibre entre les pouvoirs. L’incompatibilité des principes traditionnels avec les principes démocratiques modernes est la cause de l’effectivité atténuée des droits et libertés fondamentaux dans ces pays. Pourtant, il existe toujours une tentative de la part des juristes arabes pour renforcer le constitutionnalisme démocratique dans les pays arabes. La consolidation du contrôle de constitutionnalité des lois par la création de la justice constitutionnelle a permis une affirmation de l’autonomie et de l’indépendance du contrôle de constitutionnalité des lois pour protéger des principes démocratiques consacrés par les constitutions arabes
Political and legal modernization in the arab region has resulted in the emergence of modern states, constitutions and modern constitutional concepts of individual freedom, people's sovereignty and the separation of powers. Despite the dedication of democratic and liberal principles,arab constitutions have failed to strike a balance between powers. The incompatibility of traditional principles with modern democratic principles is the cause of the diminished effectiveness of fundamental rights and freedoms in these countries. Yet, there is still an attempt on the part of arab jurists to strengthen democratic constitutionalism in the arab countries. The consolidation of the constitutionality control of the laws by the creation of the constitutional justice allowed an affirmation of the autonomy and the independence of the control of constitutionality of the laws to protect democratic principles in the arab constitutions
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Roussin, Juliette. "Fonder la légitimité démocratique : conceptions majoritaires, constitutionnelles et épistémiques de la démocratie." Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01H224.

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Abstract:
La thèse examine les fondements de la légitimité des décisions démocratiques et interroge la nature de la démocratie comme régime politique. Elle prend son point de départ dans deux questions : 1° qu'est-ce qui confère à la décision démocratique sa légitimité ? 2° une décision doit-elle être démocratique pour être légitime ? Il s'agit de dégager les différentes manières de penser la légitimité des décisions politiques à l'intérieur du régime démocratique et, à partir de l'analyse de leurs limites respectives, de suggérer une conception duale de la légitimité qui vise à concilier les éléments entrant en tension dans les autres conceptions. Les conceptions procédurales sont incapables de faire droit à la possibilité que l'injustice de décisions populaires sape leur légitimité. À partir des figures de l'expert et du juge, on suggère que les approches substantielles risquent pour leur part d'imposer à la pratique démocratique des exigences extérieures à elle et qu'elle n'a pas les moyens de produire. Il s'agit alors de penser les conditions d'un constitutionnalisme démocratique, opérant une conciliation entre les exigences procédurales et substantielles de la légitimité. Envisager la démocratie dans sa durée permet de concevoir qu'elle se découvre à elle-même ses propres normes, en un exercice continu d'approximation et de perfectionnement. Cette hypothèse rattache le constitutionnalisme démocratique à une conception épistémique de la démocratie selon laquelle, sous certaines conditions contraignantes, les procédures d'autodétermination inclusive et égale tendent, plus sûrement que d'autres méthodes de gouvernement, à produire des choix collectifs substantiellement justes
This thesis aims at examining the foundations of legitimacy for democratic decisions and hence at elucidating the nature of democracy as a political regime. Two questions are at its core. First, what makes a democratic decision legitimate? Second, must a decision be democratic to claim legitimacy? This work presents different accounts of legitimate decisions within the democratic regime. In light of their respective limits, it defends a dual conception of legitimacy that aims at reconciling, under specific conditions, the components that are in tension with one another in competing conceptions. I show that procedural conceptions are unable to account for the idea that the injustice or inanity of popular decisions might undermine their legitimacy, and that they result in a logical deadlock. Focusing on experts and constitutional judges, I suggest that substantive accounts tend to impose extrnal standards on the democratic process that it cannot generate on its own. I then introduce the idea of democratic constitutionalism and argue that procedural and substantive requirements for legitimacy may be reconciled within it. Democratic constitutionalism allows one to view democracy as discovering its own norms over a long-tem process of approximation and development. As such, it can be linked to an epistemic approach to democracy, according to which, under some restrictive conditions, the participative, inclusive and egalitarian procedures that democracy distinctively relies on tend to result in collective choices that are substantively more just than in other regimes
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Banégas, Richard. "La démocratie "à pas de caméléon" : transition et consolidation démocratique au Bénin." Paris, Institut d'études politiques, 1998. http://www.theses.fr/1998IEPP0007.

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Abstract:
Cette thèse vise a rendre compte du processus de transition et de consolidation démocratique qu'a connu le Bénin entre 1989 et 1996. Elle analyse les mutations socio-culturelles corrélatives a la formation d'un espace public pluraliste, et les procédures complexes de transformation des imaginaires politiques, de l'économie morale du pouvoir. Contre les interprétations exogènes et téléologiques, la première partie "revisite" l'histoire apparemment sans histoires du processus de démocratisation béninois et examine comment l'espace public pluraliste s'est configure dans la moyenne durée post-coloniale et le temps court de la transition. Il ne s'agit pas simplement de dresser le contexte de l'étude, mais d'essayer d'expliquer la "réussite" du modèle béninois en l'inscrivant dans sa propre historicité (chapitre 1 et ii) et dans l'indétermination des luttes qui ont conditionne le résultat du changement (chapitre iii). La seconde partie approfondit cette interrogation en étudiant les mécanismes de la consolidation démocratique. Abordée d'abord sous l'angle de la contingence (chapitre iv), elle conduit ensuite a développer l'hypothèse d'une consolidation du pluralisme dans le creuset de la révolution passive post-coloniale (chapitres v et vi). La reproduction de ces mécanismes d'assimilation réciproque "by democratie design", signifie-t-elle que + tout a change pour que rien ne change ; ? Dans la troisième et dernière partie, on observe qu'en fait, les mutations de l'espace public béninois se sont accompagnées de transformations décisives dans les imaginaires politiques, se traduisant par l'inscription des électeurs dans une économie de la patience calée sur la temporalité des agendas électoraux, par leur incorporation des dispositions de la "civilité électorale" et l'insistance mise sur la notion de "responsabilité" politique. Néanmoins, a travers l'analyse des réinventions de la tradition (chapitre vii), des procédures de domestication de la modernité (chapitre viii) et des pratiques de la démocratie clientélaire (chapitre ix), nous montrons que ces réaménagements de + l'architecture intérieure de la vertu civique ; s'opèrent paradoxalement dans le creuset d'une économie morale qui n'a guère d'affinités électives avec la démocratie
The purpose of this thesis is to analyse the process of democratic transition and consolidation in Benin, from 1989 to 1996. It aims at examining the socio-cultural changes connected with the transformations of public space and scrutinizing the complex evolution of the moral economy of power. Part i is dedicated to revisiting the apparently linear process of democratization. It shows how a pluralist public space emerged in the long term of post-colonial time (chapters 1 and 2) and the short term of political transition (chapter 3). Following a "path dependency" approach, it tries to explain the "success" of the "Beninese model" by emphasizing its own historicity and the contingency of political struggles. Part ii deepens the problem of democratic consolidation which is first tackled in its contingent dimension (chapter 4). Then, i put forward the hypothesis that this consolidation process has followed the post-colonial "passive revolution" path : namely, a process of reciprocal assimilation of elites (chapters 5 and 6). But i show also that this passive revolution "by democratic design" doesn't amount to a reproduction of the same "governmentality" (Foucault). Focusing on the evolution of "structures of meaning", part iii suggests that public space's transformations have produced some important moves in the moral economy of power : in particular the incorporation of democratic temporality, the learning of "electoral civility" and the importance given to political accountability by "ordinary citizens". Nevertheless, the analysis of the "reinvention of tradition" (chapter 7), the domestication of political modernity (chapter 8) and the politics of electoral clientelism, proves that this rebuilding of the "interior architecture of civic virtue" (lonsdale) follows very paradoxical paths
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Le, Goff Alice. "Démocratie délibérative et démocratie de contestation : repenser l'engagement civique entre républicanisme et théorie critique." Paris 10, 2009. http://www.theses.fr/2009PA100038.

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Abstract:
Cette thèse part d'une réflexion sur la façon dont les théories de la démocratie participative et de la démocratie délibérative ont proposé de reconstruire les catégories de légitimité et de citoyenneté démocratiques, en rupture avec les optiques élitistes et néo-utilitaristes ainsi qu'avec le pluralisme des groupes d'intérêts. Notre travail développe une lecture critique du tournant délibératif de la théorie démocratique au prisme de la théorie de la reconnaissance,s'interrogeant en particulier sur le statut de l'idéal de la démocratie délibérative et sur la portée pratique de la figure du "citoyen délibératif". Nous montrons que les optiques délibératives développent une conception trop étroite de l'engagement civique. Nous nous penchons notamment sur les principales tensions qui caractérisent les théories de la délibération, comme la tension entre validité et inclusion et celle qui existe entre délibération et contestation. D'une part, nous montrons qu'une approche pragmatiste des processus délibératifs ouvre la piste d'un dépassement du dilemme de l'inclusion et de la validité. D'autre part, nous mettons en relief l'apport de la théorie républicaine qui dispose des ressources conceptuelles nous permettant de penser l'articulation entre délibération et contestation. La théorie de la liberté comme non-domination débouche en effet sur une déclinaison de l'idéal délibératif comme idéal contestataire. Nous dégageons les atouts et les limites des versions qui en ont été proposées et nous défendons une reproblématisation de lidéal contestataire à l'aune d'un "républicanisme critique" reposant sur un dialogue entre théorie de lanon-domination et théorie de la reconnaissance
This PhD thesis starts with a reflection on the way in which theories of participatory democracy and deliberative democracy have proposed to rethink the categories of democratic legitimacy and citizenship, at odds with the elitist and neo-utilitarist theories and the interest group pluralism. We develop a critical reading of the "deliberative turn" of démocratic theory, on the basis of recognition theory and we question the status of the ideal of deliberative democracy and the practical scope of the"deliberative citizen". We show that theories of deliberative democracy develop a conception of civic engagement which is too narrow. We particularly focus on the main tensionss that characterize the theories of deliberation, as the tension between inclusion and validity and between deliberation and contestation. First, we show that a pragmatist approach of the deliberative processes can overrun the dilemma of inclusion and validity. Secondly, we highlight the contribution of Republican theory that can help us thinking the relationship between deliberation and contestation. The theory of freedom as non-domination leads to a definition of the deliberative ideal as contestatory ideal. We identify the strengths and limits of the first versions of the idea of contestatory democracy and we propose a rereading of this notion in terms of "critical républicanism" based on a dialogue between non-domination theory and recognition theory
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Celotto, Emanuela. "Albert Camus : démocratie et totalitarisme." Thesis, Paris 3, 2014. http://www.theses.fr/2014PA030038.

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Abstract:
Cette thèse propose une lecture de la création de Camus sous l’angle démocratique et antitotalitaire pour démontrer l’aspect innovant de sa pensée qui est plus que jamais d’actualité. Cent ans après la naissance de l’écrivain prix Nobel de littérature, son œuvre ouvre de nouveaux axes de réflexion à mi-chemin entre la philosophie, la science-politique et la littérature. Après une introduction générale aux concepts de totalitarisme et de démocratie, nous passerons plus spécifiquement à l’étude de l’auteur. Nous esquisserons un portrait de Camus en tant que journaliste engagé dans les batailles de son temps et nous aborderons une analyse comparative entre Camus et les intellectuels ou penseurs qui ont influencé sa pensée démocratique et inspiré sa réflexion sur les totalitarismes. Ensuite, nous focaliserons l’analyse sur certaines œuvres : les essais journalistiques (Actuelles I, II, III) et philosophiques (L’Homme révolté) ; les œuvres de fiction, comme La Peste, ainsi que trois pièces de théâtre Caligula, Les Justes et L’État de siège. En nous basant sur ce choix d’œuvres, nous examineront la technique adoptée par Camus pour transférer dans la fiction le débat démocratique contre les totalitarismes de son époque. Enfin, nous étudierons du point de vue lexicologique les termes de totalitarisme et démocratie, ainsi que tous leurs synonymes entrant dans le champ sémantique du débat antitotalitaire
This thesis proposes a reading of Camus’ creation from the democratic and antitotalitarian perspective in order to demonstrate the innovative aspect of his thought, which is more actual than ever. One hundred years after the birth of the writer, Nobel Prize for literature, his work opens up new lines of thought halfway between philosophy, science, politics and literature. After a general introduction to the concepts of totalitarianism and democracy, we will proceed to the more specifically study of the author. We sketch a portrait of Camus as a committed journalist in the battles of his time and we will discuss a comparative analysis between Camus and intellectuals and thinkers who influenced his democratic thought and inspired his thinking on totalitarianism. Then, we will focus the analysis on certain works : journalistic (Actuelles I, II, III ) and philosophical essays (The Rebel), fictional works, such as The Plague, and three plays Caligula, The Just Assassins and The State of siege. Based on this selection of works, we will examine the technique adopted by Camus to transfer into the fictional the democratic debate against the totalitarianism of his era. Finally, we will study from a lexicological point of view the terms of totalitarianism and democracy, and all their synonyms within the semantic field of anti-totalitarian debate
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Bervoets, Sebastian. "Liberté de choix et démocratie." Aix-Marseille 2, 2005. http://www.theses.fr/2005AIX24015.

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Dessberg, Laurent. "Education, démocratie, révision et pragmatisme." Aix-Marseille 1, 2008. http://www.theses.fr/2008AIX10101.

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Abstract:
Cette thèse propose un développement de la méthode de l'enquête à l'aide de la théorie de la révision. L'examen porte sur les conditions de reconstruction des réseaux épistémiques possibles dans les régimes démocratiques, en premier lieu grâce à l'école. Le thème de l'éducation est traité par le biais de la philosophie deweyenne puis dans le pragmatisme rortyen où les conceptions en matière d'éducation sont soustraites à l'idée de méthode. Les positions de Rorty sont appréciés dans la perspective de son ralliement au libéralisme rawlsien, qui laisse pévaloir l'équilibre réfléchi comme moyen d'évaluation des principes de la justice comme équité. A l'étude de cette méthode, nous ajoutons celle du raisonnement contrefactuel présent dans l'hypothèse de la position originelle et dans les questions adressées à Trotsky par la Commission Dewey. Ce dernier point reprend la méthode de l'enquête et offre la possibilité d'une utilisation du raisonnement contrefactuel dans le domaine éducatif.
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Duc, Cindy. "Accords commerciaux régionaux et démocratie." Paris 9, 2006. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=2006PA090048.

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Abstract:
"La thèse cherche à mesurer l’influence des accords commerciaux sur les institutions des pays membres ainsi que sur les flux commerciaux bilatéraux. Dans un premier temps, nous discriminons les accords commerciaux selon l’existence de clauses d’adhésion politique. Nous analysons ensuite l’impact de ces accords commerciaux " démocratiques" sur la démocratisation effective, sur la qualité de la démocratie ainsi que sa pérennité dans les pays membres. Nous étudions par la suite l’influence spécifique de l’Union Européenne sur différents aspects des institutions des pays membres ainsi que des partenaires commerciaux méditerranéens. Plus précisément, nous évaluons son impact sur le respect des droits politiques, le respect des libertés civiles, la qualité des droits de propriété et du système judiciaire, la lutte contre la corruption et la qualité de la bureaucratie. Enfin, nous nous intéressons à l’impact des accords démocratiques sur les flux commerciaux bilatéraux. "
The purpose of this thesis is to measure the influence of trade agreements on member countries’ institutions and on bilateral trade flows. At first, we discriminate trade agreements according to the inclusion of political constraints imposed to countries’ integration. Then, we analyse the impact of democratic trade agreements on democratization, the quality of democracy as well on the permanence of democracy inside member countries. We also study the specific influence of the European Union on several aspects of institutions. More precisely, we evaluate its impact on political rights, civil liberties, property rights, the quality of the judiciary system, corruption and the quality of bureaucracy. Finally, we estimate the effect of democratic trade agreements on bilateral trade flows
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Vieira, Julien. "Éco-citoyenneté et démocratie environnementale." Thesis, Bordeaux, 2017. http://www.theses.fr/2017BORD0760/document.

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Abstract:
Suscitée par l’impact des activités humaines sur l’environnement et sans jamais être réellement une notion explicitement consacrée par le droit, l’éco-citoyenneté transparaît au travers de nombreuses normes juridiques. Ambivalente, cette notion suggère à la fois un ensemble de droits dont le public est créancier mais également une responsabilité de ce dernier à l’égard de l’environnement.Partant de cette dualité de valeurs complémentaires, le droit de l’homme à un environnement sain se concrétise par la reconnaissance d’un droit d’accès à l’information, à participation au processus décisionnel et d’accès à la justice. Ainsi le droit fait de plus en plus dépendre l’acceptation de décisions du concours actif des citoyens. Le développement de la démocratie participative dans le domaine de l’aménagement et du développement durables constitue l’indice d’une transformation paradigmatique. En effet, tout en préservant certaines modalités classiques de l’action publique, le droit développe de nouveaux concepts et schémas organisationnels accompagnant cette évolution non encore achevée.Qu’il soit influencé par des phénomènes sociaux ou qu’il se développe spontanément, le droit de l’environnement décline progressivement le rôle du citoyen sous la forme du recours au prétoire mais également par l’évolution de la procédure administrative non contentieuse. Basée centralement sur l’étude du droit français de l’environnement ainsi que sur plusieurs incursions comparatistes, cette thèse s’appuie également sur la sociologie, la philosophie ou encore les sciences politiques et administratives. Ces travaux se proposent d’aborder la manière dont le droit prend en compte l’impératif de la participation éco-citoyenne
Generated by the impact of human activities on the environment and without ever really being a notion explicitly consecrated by the law, eco-citizenship appears in many legal norms. Ambivalent, this notion suggests both a set of rights of which the public is creditor and a responsibility of the latter with respect to the environment.Starting from this duality of complementary values, the human right to a healthy environment is materialized by the recognition of a right of access to information, of participation in decision-making and access to justice. Thus, the law increasingly provides that the acceptance of decisions depends on the active support of citizens. The development of participatory democracy in the field of planning and sustainable development is indicative of a paradigmatic transformation. In effect, while preserving certain classical modes of public action, the law develops new concepts and organizational schemes that accompany this evolution which has not yet been completed.Whether it is influenced by social phenomena or spontaneously developed, environmental law gradually reveals the role of the citizen in the form of recourse to the courtroom but also by the evolution of the non-contentious administrative procedure. Centrally founded on the study of French environmental law as well as on several comparative incursions, this thesis is also based on sociology, philosophy or political and administrative sciences. This academic work intends to address the way in which the law takes into account the imperative of eco-citizen participation
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Chamsi, Mohamed Zied. "Consensus et démocratie en Tunisie." Electronic Thesis or Diss., Université Côte d'Azur, 2023. http://www.theses.fr/2023COAZ0028.

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Abstract:
Au sein du paysage dévasté de ce que l'on a rapidement qualifié de "Printemps arabe", marqué par le rétablissement de l'autoritarisme en Égypte ainsi que par les guerres civiles en Libye, au Yémen et en Syrie, qui ont ravivé les groupes djihadistes et réveillé les conflits tribaux, ethniques et confessionnels, la Tunisie demeure une exception. Cette nation a certes traversé une transition politique longue et fragile, mais elle a réussi à préserver ses institutions républicaines, à élaborer une nouvelle Constitution saluée par de nombreux observateurs comme étant la plus progressiste du monde arabe, et à surmonter avec succès les élections législatives et présidentielles de 2014 et 2019.Cette exception tunisienne est le fruit de plusieurs facteurs, le principal étant le consensus, ou "Tawâfuq" en arabe. Le concept de "consensus" est la pierre angulaire de cette transition démocratique tunisienne, souvent qualifiée de transition consensuelle. La reconnaissance du Quartet du Dialogue national en Tunisie par le prix Nobel de la paix en 2014 illustre de manière emblématique ce consensus au cours de cette période de transition.De plus, le consensus a été au cœur de la Constitution tunisienne du 27 janvier 2014, caractérisée comme une Constitution consensuelle. Les différentes versions de la Constitution ont fait l'objet de débats et un consensus a été atteint. Ce processus a été hautement consultatif, visant à surmonter les divergences sur des questions cruciales afin d'obtenir un large accord au sein de la société tunisienne concernant les dispositions de la nouvelle Constitution. La création de la "commission des consensus" au sein de l'Assemblée nationale constituante visait à modifier les règles de représentation des différentes forces politiques. Cette commission n'a pas suivi une répartition proportionnelle, mais chaque groupe y était représenté par un nombre équivalent de députés.Cependant, bien que le consensus ait contribué à établir un régime politique et constitutionnel démocratique, faisant de la Tunisie une exception dans la région, il a également présenté certains effets pervers lors de la consolidation du régime, tant sur le plan politique qu'institutionnel et constitutionnel. En effet, l'esprit de conciliation, bien que tempérant les antagonismes et les divergences, n'a pas résolu les problèmes socio-économiques sous-jacents, et ceux-ci risquent de ressurgir après une période de latence
In a landscape devastated by what has been hastily labeled the "Arab Spring," marked by the resurgence of authoritarianism in Egypt and civil wars in Libya, Yemen, and Syria - which have reinvigorated jihadist groups and stirred the specters of tribalism, ethnic strife, and religious conflicts - Tunisia stands as a remarkable exception. Despite enduring a protracted and fragile political transition, the country has managed to safeguard its republican institutions, adopt a new Constitution acclaimed by numerous observers as the most progressive in the Arab world, and successfully navigate the challenges of two legislative and presidential elections in 2014 and 2019.This Tunisian exceptionalism can be attributed to several factors, with consensus (Tawâfuq) being paramount among them. Indeed, what we refer to as "consensus" constitutes the cornerstone of Tunisia's democratic transition, often characterized as consensual. The crowning achievement of this consensus during the transitional phase was the Nobel Peace Prize awarded to the quartet that orchestrated the national dialogue in Tunisia in 2014.Similarly, consensus lent its name to the Tunisian Constitution of January 27, 2014, acclaimed as a consensual Constitution. Successive versions of the Constitution underwent extensive deliberation, culminating in a consensus. This process was highly consultative, designed to reconcile differences on pivotal issues and secure broad societal agreement on the provisions of the new Constitution. Notably, the creation of the "consensus commission" within the National Constituent Assembly aimed to overhaul the rules governing the representation of various political forces. The composition of the consensus commission did not adhere to proportional representation; rather, each group was allotted an equivalent number of members.Nevertheless, while consensus facilitated the establishment of a democratic political and constitutional regime, setting Tunisia apart as an exception in the region, it also revealed certain adverse effects during the consolidation phase of the regime, encompassing political, institutional, and constitutional aspects. The spirit of reconciliation, which temporarily quelled antagonisms and differences, did not resolve underlying socio-economic issues, and these problems may resurface after a period of dormancy
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Joignant, Alfredo. "La démocratie représentée : les dimensions symboliques de la construction démocratique au Chili." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010302.

Full text
Abstract:
Le but de cette recherche est d'analyser les symboliques politiques et les représentations du réel qui se trouvent à l'œuvre au cours des premières années de la transition à la démocratie au Chili. Ainsi délimitée, la recherche porte moins sur le récit des évènements qui ponctuent la transition démocratique, que sur les logiques sociales qui sous-tendent la construction symbolique d'un nouvel ordre politique. C'est ainsi que les représentations du réel sont systématiquement rapportées aux luttes qui opposent les acteurs politiques, aux logiques de situation dans lesquelles ils se trouvent insérés et aux ressources qu'ils investissent dans un jeu devenu compétitif
The objective of this research is the analysis of the political symbolism and the representations of reality which were set to work during the first years of the transition to democracy in Chile, in this frame, the research bears less on the history of the landmarks of the period 1987-1990, than on the underiying social logics of the symbolic building of a new political order. The representations or reality are thus systematically connected with the struggles that oppose political actors, the logics of situation in which they get involved and the resources that they invest in a game turned competitive
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Savard, Dave. "L'avenir de la démocratie : perspectives des limites de la démocratie antique." Thesis, Université Laval, 2013. http://www.theses.ulaval.ca/2013/29684/29684.pdf.

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Bonnard-Plancke, Laetitia. "Droit et démocratie sociale : contribution à l'étude des rapports entre démocratie sociale et organisations syndicales." Lille 2, 2004. http://www.theses.fr/2004LIL20020.

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Abstract:
Crise de légitimité de l'Etat providence, crise du paritarisme, crise du syndicalisme, crise de la démocratie sociale. L'emploi du mot " crise " ne doit pas faire illusion et laisser croire qu'elle serait un phénomène récent. L'hypothèse de cette recherche est que les difficultés rencontrées aujourd'hui par la démocratie sociale plongent leurs racines dans les origines du droit syndical. La loi du 21 mars 1884 a légalisé le syndicat en le qualifiant de personne morale. Elle a ainsi créé les conditions d'un décalage entre la collectivité salariée et son représentant. Ce décalage n'a cessé de s'approfondir au point de remettre en cause les fondements de la démocratie sociale et par là même le rôle dévolu aux organisations syndicales au sein de celle-ci. Il a contribué à donner de la démocratie sociale une vision réduite au seul paritarisme. La réforme en cours du dialogue social en obligeant les partenaires sociaux à réexaminer les bases de la négociation collective pourrait à terme permettre de revitaliser cette démocratie sociale toujours en quête de légitimité
Crisis of the legitimacy of the welfare state, crisis of the co-management, crisis of the trade-unionism, crisis of the social democracy. The use of the word " crisis " can't be under any illusion and can't let us think that it may be a recent phenomenon. This research supposes that the difficulties the social democracy are coming up against today took their roots in the origins of the trade-union rights. The 21 march 1884 law legalized the trade-union by calling it legal entity. It created the conditions of the gap between the salaried employees and their representatives. This gap kept on increasing so much that it questioned about the foundations of the social democracy and about the role given to the trade-union organizations too. It contributed to make us see the social democracy just as a co-management. The in-progress reform of the dialogue between employers and trade-unions forces the management and the labour to reconsider the basis of collective negotiations and my allow this social democracy wich keeps on looking for legitimacy to be revitalized in the long run
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Dobrescu, Radu Bogdan. "Démocratie arithmétique, démocratie algébrique : Rousseau, la volonté générale et les petites différences." Thesis, Université Laval, 2007. http://www.theses.ulaval.ca/2007/24387/24387.pdf.

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Razaranaina, Jean-Claude. "La démocratie politique à Madagascar." Nantes, 2004. http://www.theses.fr/2004NANT4002.

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Abstract:
La démocratie politique à Madagascar est le thème traité. La première partie conçoit la Démocratie comme méthode de gouvernement et science du pouvoir à partir du sens original et oeuvres des chercheurs en la situant au sein des principes juridiques. On y décrit les approches démocratiques dans le système de droit malagasy. La deuxième partie analyse le processus d'application de la démocratie à Madagascar et le problème y afférent nés des mouvements politiques par lesquels on veut conquérir le pouvoir en niant le droit. Toutefois, les lacunes observées découlent du vide juridique. Enfin, on constate une démocratie politique libérale évolutive à Madagascar mais qui nécessite l'amélioration du cadre juridique et du mode de participation du peuple et l'implication du Fokonolona
The subject of this research is political democracy in Madagascar. In the first part, democracy is conceived as a way to govern and a science to the power as its original meaning and as demonstrated in the works of the researchers. In this part then, democracy follows the legal principles. The second part analyses the process of democracy enforcement in Madagascar and the problems relevant frequently to political events : that's to conquer power in denying law. In this way, political phenomena lead to legal facts. Gaps from legal loophole are noticed there. At the end, we observe a political liberal democracy that wants an improvement of the scope of the law and the participation of the people throughout the "Fokonolona" in Madagascar
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Tshilombo, Send Toussaint. "Ethnicité, représentation et démocratie : fondements d'un Etat de droit démocratique en République démocratique du Congo (ex-Zaïre)." Paris 2, 2000. http://www.theses.fr/2000PA020090.

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Abstract:
La question d'une organisation democratique de l'echiquier politique en republique democratique du congo (ex-zaire) comme dans bon nombre d'anciennes colonies agite les microcosmes depuis l'aube des independances. Mais sur quoi, sur quel soubassement fonder cette societe politiquement democratique que tout le monde appelle de tous ses voeux ? voila une question qui, si elle preoccupe certains esprits, n'a jamais veritablement recu une reponse mobilisatrice, originale et vraiment ancree dans les societes concernees. Nous sommes partis du constat que le fait ethnique, element essentiel de l'organisation globale de la societe negro-africaine et donc congolaise, a ete ecarte de toutes les ideologies organisant l'echiquier politique dans cette societe. Nous avons formule l'hypothese que l'integration neutre et positive de ce fait dans l'ideologie nouvelle qui doit organiser la societe politique democratique que l'on cherche a instaurer en afrique en general et en republique democratique du congo en particulier, ne pourra impunement faire l'impasse sur une telle donnee. Nous avons ainsi examine en premier temps le concept d'ethnicite en luimeme et son implication dans l'organisation sociale et politique. Ensuite nous avons vu, si l'on peut dire. Ce concept a l'oeuvre sur le terrain politique. Enfin nous avons indique quelques pistes de creation d'une ideologie politique integrant le fait ethique comme element constitutif. Ce parcours nous a conduit, dans l'ultime tentative, a tenter un saut prospectif dans le present de la scene politique congolaise et les defis qui s'y posent aux acteurs.
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Bouchard, Éric, and Éric Bouchard. "Démocratie et grandeur humaine chez Tocqueville." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37033.

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Abstract:
En 1831, l’aristocrate français Alexis de Tocqueville (1805-1859) traverse l’Atlantique afin d’aller rencontrer l’avenir au coeur des États-Unis d’Amérique. Avant de s’embarquer pour cette aventure, il a déjà la certitude du caractère inévitable de l’égalisation des conditions. Bien que l’avènement de l’état social démocratique soit un «fait providentiel» aux yeux du jeune homme, il s’inquiète en constatant une certaine ambivalence quant à sa tournure politique. La république libérale n’est pas la conséquence politique nécessaire de l’état social démocratique; son contraire, le despotisme, doit aussi être sérieusement envisagé. L’Amérique devient donc une destination de choix afin d’y observer tout le potentiel démocratique, et livrer ensuite ses découvertes dans ce chef-d’oeuvre que constitue La Démocratie en Amérique (1835-1840). Ce «fait générateur» qu’est l’égalité des conditions, alors même qu’il ouvre un champ des possibles immense pour l’épanouissement humain, présente aussi un risque de déshumanisation. Afin de tirer le meilleur de la démocratie, l’homme doit éviter de sombrer dans l’apathie vis-à-vis la chose politique. Renoncer à ses devoirs de citoyen revient à abdiquer sa liberté, et donc tout espoir de grandeur. Tocqueville fournit dans son ouvrage un véritable éclaircissement de la démocratie dans ses tendances les plus secrètes, et il envisage certains contrepoids permettant de maintenir le fragile équilibre. Tocqueville se porte ainsi à la défense de la liberté et de la dignité humaines qu’il croit réellement menacées. L’état social démocratique constitue-t-il une terre fertile à la grandeur humaine? Quelles sont les conditions de possibilité du déploiement de cette grandeur? Et pour nous, presque deux siècles plus tard, les mots de Tocqueville ont-ils encore une certaine pertinence? À la lumière des réflexions de Tocqueville nourries par ses découvertes en sol américain, le présent mémoire essaie de montrer que démocratie et grandeur humaine ne sont pas incompatibles.
En 1831, l’aristocrate français Alexis de Tocqueville (1805-1859) traverse l’Atlantique afin d’aller rencontrer l’avenir au coeur des États-Unis d’Amérique. Avant de s’embarquer pour cette aventure, il a déjà la certitude du caractère inévitable de l’égalisation des conditions. Bien que l’avènement de l’état social démocratique soit un «fait providentiel» aux yeux du jeune homme, il s’inquiète en constatant une certaine ambivalence quant à sa tournure politique. La république libérale n’est pas la conséquence politique nécessaire de l’état social démocratique; son contraire, le despotisme, doit aussi être sérieusement envisagé. L’Amérique devient donc une destination de choix afin d’y observer tout le potentiel démocratique, et livrer ensuite ses découvertes dans ce chef-d’oeuvre que constitue La Démocratie en Amérique (1835-1840). Ce «fait générateur» qu’est l’égalité des conditions, alors même qu’il ouvre un champ des possibles immense pour l’épanouissement humain, présente aussi un risque de déshumanisation. Afin de tirer le meilleur de la démocratie, l’homme doit éviter de sombrer dans l’apathie vis-à-vis la chose politique. Renoncer à ses devoirs de citoyen revient à abdiquer sa liberté, et donc tout espoir de grandeur. Tocqueville fournit dans son ouvrage un véritable éclaircissement de la démocratie dans ses tendances les plus secrètes, et il envisage certains contrepoids permettant de maintenir le fragile équilibre. Tocqueville se porte ainsi à la défense de la liberté et de la dignité humaines qu’il croit réellement menacées. L’état social démocratique constitue-t-il une terre fertile à la grandeur humaine? Quelles sont les conditions de possibilité du déploiement de cette grandeur? Et pour nous, presque deux siècles plus tard, les mots de Tocqueville ont-ils encore une certaine pertinence? À la lumière des réflexions de Tocqueville nourries par ses découvertes en sol américain, le présent mémoire essaie de montrer que démocratie et grandeur humaine ne sont pas incompatibles.
In 1831, the French aristocrat Alexis de Tocqueville (1805-1859) sailed across the Atlantic Ocean to the heart of the United States of America in order to shed light upon the future of democracy. Before starting out on this adventure, he was already certain that social equality was inevitable. Even though, in his young eyes, the progression of the democratic social state was a “providential fact”, he became worried when he realized that there was a certain ambivalence concerning the political direction that the movement was taking. A democratic social state does not necessary lead to a liberal movement; its opposite, despotism, must seriously be taken into consideration. As such, America became his choice destination for observing all the democratic potential it had to offer, leading him to write his masterpiece Democracy in America (1835-1840), in which he shares his discoveries. Social equality opens an immense breadth of possibilities for human growth, but, at the same time, also presents a risk of dehumanization. In order to get the best out of democracy, humankind must avoid falling into apathy towards politics. Giving up one’s political responsibility is like abdicating one’s freedom and, as such, all hope for greatness. In his work, Tocqueville provides a true explanation of democracy, with all of its most secret orientations. He also provides measures that counterweight this nature, allowing for the fragile equilibrium to be maintained. In this manner, Tocqueville presents himself as the defender of human freedom and dignity, which he believes to be truly threatened. Does social equality allow for human greatness? If so, what conditions are required to deploy such greatness? Nearly two centuries later, are Tocqueville’s words still pertinent? In light of Tocqueville’s thoughts, which were fed by his discoveries on American soil, this dissertation attempts to demonstrate that democracy and human greatness are not incompatible.
In 1831, the French aristocrat Alexis de Tocqueville (1805-1859) sailed across the Atlantic Ocean to the heart of the United States of America in order to shed light upon the future of democracy. Before starting out on this adventure, he was already certain that social equality was inevitable. Even though, in his young eyes, the progression of the democratic social state was a “providential fact”, he became worried when he realized that there was a certain ambivalence concerning the political direction that the movement was taking. A democratic social state does not necessary lead to a liberal movement; its opposite, despotism, must seriously be taken into consideration. As such, America became his choice destination for observing all the democratic potential it had to offer, leading him to write his masterpiece Democracy in America (1835-1840), in which he shares his discoveries. Social equality opens an immense breadth of possibilities for human growth, but, at the same time, also presents a risk of dehumanization. In order to get the best out of democracy, humankind must avoid falling into apathy towards politics. Giving up one’s political responsibility is like abdicating one’s freedom and, as such, all hope for greatness. In his work, Tocqueville provides a true explanation of democracy, with all of its most secret orientations. He also provides measures that counterweight this nature, allowing for the fragile equilibrium to be maintained. In this manner, Tocqueville presents himself as the defender of human freedom and dignity, which he believes to be truly threatened. Does social equality allow for human greatness? If so, what conditions are required to deploy such greatness? Nearly two centuries later, are Tocqueville’s words still pertinent? In light of Tocqueville’s thoughts, which were fed by his discoveries on American soil, this dissertation attempts to demonstrate that democracy and human greatness are not incompatible.
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Chokr, Mohamad Ali. "La démocratie consensuelle : Cas du Liban." Perpignan, 2011. http://www.theses.fr/2011PERP1045.

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Abstract:
Le modèle de la démocratie consensuelle est considéré comme étant le régime approprié pour les sociétés plurales par rapport à la démocratie majoritaire. Elle assure un équilibre entre les différents secteurs de la société plurale, la stabilité politique ainsi que la participation des minorités et la non domination de la majorité. Le Liban est une société plurale du fait de son pluralisme confessionnel. Cette Nation a privilégié les principes du consensus sur ceux du système majoritaire. Cette étude a servi à mettre en évidence la nature du système politique existant au Liban, fondé sur la diversité confessionnelle, depuis la genèse de l'Etat du Grand Liban, passant par les événements les plus importants et les conciliations dont il a témoignés, jusqu'à la consécration de la démocratie consensuelle comme régime intermédiaire pour parvenir à une démocratie moderne. Après l'augmentation de la division sur le mécanisme du fonctionnement du système politique consensuel et son efficacité au Liban, au niveau de la gouvernance et l'administration ainsi que la coexistence islamo chrétienne, il était nécessaire de mettre l'accent sur le fonctionnement du régime consensuel et de montrer les principales entraves qui empêchent son évolution ou sa faisabilité de son application continue sur la vie politique au Liban. Surtout, la Constitution libanaise modifié selon l'accord de Taëf, ne prévoit pas que la démocratie consensuelle soit une fin en soi mais un moyen pour atteindre une démocratie stable. Par conséquent, il était nécessaire de proposer un régime alternatif de la démocratie consensuelle, comme une solution pour sortir des crises récurrentes, d'une manière conforme à la composition confessionnelle diversifiée de la société libanaise
The consensual democracy embodied a suitable regime for plural societies compared to the majority democracy. It provides a balance between the various vectors of the plural society, insuring political stability and the participation of minorities, non-domination the majority. Since Lebanon is deemed to be a plural society due to the presence of a multitude of confessions, it has sought to make the principles of the consensual regime prevail on those of the majority System. This study highlighted the nature of the existing political System in Lebanon, based on the sectarian diversity, since the establishment of the State of Greater Lebanon, passing through the most important events and conciliations in Lebanon, according to whish the consensual democracy was consecrated as an interim régime to achieve a modem democracy. When the division increase the mechanism of action of the political consensual system and its effectiveness in Lebanon grow at the level of governance and administration and the Islamic-Christian coexistence, it was time to highlight the operation of the consensual system, to show the main causes that hinder its evolution and the aim or feasibility of the continuity of its application on the political life in Lebanon. Especially, the Lebanese constitution amended according to the Taëf document, did not stipulate that the consensual democracy is an end but a means to attain stable democracy. Therefore, it was necessary to suggest an alternative system to the consensual democracy, as a solution to get out of the recurrent crises, in compliance with the multi confessional composition of the Lebanese society
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Kaboré, Boniface. "Démocratie entre l'universel et le particulier." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/nq28350.pdf.

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Salas, Cardona Juan Camilo. "Démocratie pluraliste et droits des minorités." Phd thesis, Université de Strasbourg, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00772744.

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Abstract:
[...]Finalisant cette recherche, l'on entrevoit un long parcours à suivre, qui peut se structurer, parmi d'autres, autour des questions suivantes qui restent ouvertes : Comment garantir juridiquement, d'une manière efficace, les droits sociaux aux minorités en accord avec les particularités culturelles de chacune d'entre elles ? ; Comment harmoniser les systèmes juridiques autochtones avec celui de l'État en vue de favoriser des relations justes parmi tous les citoyens ? Comment développer légalement les droits des minorités sans tomber dans un gigantisme immaîtrisable ? et, Comment promouvoir les droits de l'homme au-dedans des mêmes communautés minoritaires sans tomber dans le péril de porter atteinte à leur identité et autonomie ? Dans ce contexte une chose est certaine, seulement a travers une véritable démocratie pluraliste, engagée avec le respect et promotion des droits de l'homme, est possible arriver à une paix durable en Colombie.
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Rostein, Stéphanie. "Le secret d'Etat et la démocratie." Paris 2, 1997. http://www.theses.fr/1997PA020053.

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Abstract:
La mefiance de la tradition democratique francaise a l'egard du secret d'etat a, jusqu'a nos jours, empeche tout reel encadrement juridique dans ce domaine. Longtemps, secret d'etat signifiait coup d'etat. Toutefois, une telle conception du secret etatique ne peut que ternir la legitimite du recours de l'etat au secret. Malgre l'antagonisme entre un tel secret et la democratie, l'etat exige, pour exister et pour fonctionner, de recourir au secret. L'etat democratique n'echappe pas a cette regle. Le defi ici releve prolonge les travaux de quelques equipes de recherche. Il consiste a demontrer l'opportunite de reconnaitre a l'etat un droit au secret de nature juridique, reconnaissance assortie de controles. La reconnaissance d'un tel droit de l'etat au secret assortie de controles adaptes a la marge d'autonomie exigee par le domaine, permettrait d'harmoniser la pratique du recours de l'etat au secret avec la democratie. Cette harmonisation garantirait, a son tour, une legitimite renouvelee du secret de l'etat sur le plan politique et juridique.
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Dangabo, Moussa Abdou. "Démocratie et citoyenneté en République centrafricaine." Pau, 2009. http://www.theses.fr/2009PAUU1013.

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Abstract:
Cette thèse intitulée "Démocratie et citoyenneté en République Centrafricaine (1993-2003)", analyse d'une part, les expériences locales d'invention démocratique dans une société post-conflit ; d'autre part, elle appréhende concrètement les différents acteurs de terrain (partis politiques, société civile, ONG nationales et internationales) engagés dans la quête citoyenne et dans la démarche de paix , en dépit de la persistance des forces centriguges. Enfin, sont abordées les perspectives d'avenir de la démocratie et de la citoyenneté en République Centrafricaine. Pratiquement, les acteurs politiques centrafricains conçoivent la démocratie en termes de procédure ou en terme électoraliste ; ils transportent le modèle de la démocratie représentative telle qu'elle est pratiquée en Occident. Néanmoins, la greffe ne prend pas. Alors comment penser et (ré)-inventer la démocratie en République centrafricaine ? Pour réussir à construire une société plus démocratique, l'État devrait se réapproprier les instruments démocratiques qui sont entre autres : la participation à la vie civique, l'exercice de la liberté et la justice sociale
This thesis entitled "Democracy and Citizenship in Central African Republic (1993-2003)", analyzes on the one hand, the local experiments of democratic invention in a post-conflict; in addition, it concretely apprehends the various actors of ground (left political, civil company, ONG main roads and international) engaged in the search citizen and the step of peace, in spite of the persistence of the centrifugal forces. Lastly, the future prospects of the democracy and the citizenship in Central African Republic are approached. Pratically, the Central African political actors conceive the democracy in terms of procedure or vote-catching term; they transpose the model of the representative democracy such as it practised in Occident. Yet, the grafting does not take. Then, how to think and to invent the democracy in Central African Republic ? To succeed in building a more democratic society, the State should re-suite the democratic instruments which are inter alia: the participation in the civic life, the exercise of freedom and social justice
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Fall, Demba. "Société civile et démocratie au Sénégal." Perpignan, 2007. http://www.theses.fr/2007PERP0749.

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Abstract:
Cette thèse a pour but d'étudier le processus d'évolution de la participation de la société civile sénégalaise dans le développement de la démocratisation politique. Partant de l'idée que le modèle constitutionnel, adopté en 1960, n'a pas favorisé une démocratie participative, elle s'interroge aussi sur le lien entre la société civile et la démocratie au Sénégal. Dans une conceptualisation imagée, on peut constater que, réduite à des réformes idéologiques relatives à la nature du régime politique et des institutions étatiques ou par mimétisme institutionnel, la construction verticale de la démocratisation n'est pas le produit d'une volonté, ni d'une maturation du peuple. Les insuffisances structurelles et fonctionnelles ont généré une "dé-légitimation" correspondant à l'émergence d'une nouvelle dynamique volontariste de la transformation sociale et de l'action publique. Et l'ouverture du système politique sénégalais a permis d'assister à la transformation d'une société civile à la fois comme contre-pouvoir et en tant qu'acteur alternatif. Cela n'exclut pas que la société civile puisse être un partenaire des pouvoirs publics et agir ainsi pour le renforcement des acquis démocratiques. Par l'analyse du processus d'aboutissement de l'alternance démocratique en février/mars 2000, un constat s'impose ; le changement, malgré des obstacles politiques, économiques, socioculturels et institutionnels entravant la construction et la participation de la société civile au Sénégal, relève plus de l'oeuvre des organisations de cette même société civile que des partis politiques
The purpose of this thesis is to study the evolution of civil and social participation in the development of political democratization in Senegal. Considering that the constitutional model, adopted in 1960, has not favoured a participating democracy this study ponders about the relationship between the civil society and democracy in Senegal. Through a conceptualization limited to idealogical reforms concerning the political system and state institutions or simply an institutional imitation, we note that the vertical contruction of democratization is neither the result of the people's awareness nor will. The fonctional and structural inadequacy has created a "non-legitimation" linked to a new volontarist dynamic of social and public transformation. The opening up of the Senegalese political system made it possible to observe the change of the civil society both as an opposition force as an alternative element. But this does not exclude that the civil society may be a public authority partner and thus act in order to obtain a reinforcement of the democratic asset. Analysing the outcome of the democratic change in February/March 2000, a statement occurs : despite institutional, socio-cultural, economic and political barriers preventing the construction and participation of the civil society in Senegal the change depends mainly on the work of this civil society rather than on the political parties
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Byrne, Alice. "Boosting Britain : démocratie et propagande culturelle." Aix-Marseille 1, 2010. http://www.theses.fr/2010AIX10026.

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Abstract:
Cette étude porte sur une revue du British Council : Britain To-day, (1939-1954). Nous définissons Britain To-day comme un vecteur de "propagande culturelle" dont le but était de promouvoir une image positive de la Grande-Bretagne à l'étranger. Il s'agit de comprendre comment le British Council cherchait à atteindre cet objectif sur une durée relativement longue. Ce travail suppose une analyse des différents thèmes développées par British To-day, en soulignant leur rapport avec la politique extérieure britannique. La première et deuxième parties couvrent respectivement la période de l'avant-guerre et de la Seconde Guerre mondiale et celle de l'après-guerre. Le message réformateur et égalitaire de la "guerre du peuple" fut progressivement remplacé par une image plus conservatrice et élitiste de la Grande-Bretagne. L'analyse thématique dans la troisième partie permet de mieux appréhender cette mutation dans le discours de Britain To-day et révèle l'ambivalence de le revue face à la Grande-Bretagne moderne.
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Hong, Qiaoyun. "Déconstruction et démocratie chez Jacques Derrida." Thesis, Paris 1, 2020. http://www.theses.fr/2020PA01H203.

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Abstract:
Notre étude vise à montrer comment Derrida pense la démocratie à travers la démarche qui lui est propre et singulière de la déconstruction. Notre philosophe présente ses idées sur la démocratie à partir du concept de l’amitié qui, selon lui, donne le modèle de la relation juste entre les humains. On peut dire qu’il cherche à repenser le fondement du politique par ce concept de l’amitié à travers un travail d’héritage, de critique, de rejet parfois, et enfin de déconstruction. Derrida commence à déconstruire le concept de l’amitié par une citation : « O mes amis, il n’y nul ami. », et à partir de là, il met en évidence et questionne une série d’apories sur l’idée de l’amitié dans l’histoire philosophique. Ensuite, on voit que l’idée de l’amitié repensée par le travail de déconstruction chez Derrida s’attache à la survivance qui dépasse la mort devant le deuil. L’amitié s’ouvre alors vers l’avenir à travers la théorie derridienne de la trace et de la différence qui est liée au déplacement de l’espacement et de la durée. En même temps, Derrida évoque la possibilité de penser l’amitié à partir de son contraire, y compris de convertir l’ami en ennemi, il scrute ainsi sur le plan éthique le rapport politique ami / ennemi pour le repenser selon l’exigence de la justice. Pour cela, il introduit l’idée de l’autre et de l’hospitalité. La thèse se termine sur l’importance du concept de l’autre chez Derrida qui est lié dans sa philosophie avec le thème de l’hospitalité, afin de développer sa théorie politique autour de la « démocratie à venir »
Our study aims to show how Derrida thinks of democracy through deconstruction which is his own and unique approach. Our philosopher presents his thinking on democracy from a concept of friendship which, according to him, gives the model of the just relationship between human. We can say that he seeks to rethink the base of politics with this concept of friendship through a work of inheritance, criticism, sometimes rejection, and finally deconstruction. Derrida begins to deconstruct the notion of friendship through a quote: “O my friends, there is no friend.”, and from there, he emphasizes and queries a series of contradictions on the idea of friendship in philosophical history. The concept of friendship rethought by the work of deconstruction in Derrida connects to the idea of surviving which goes beyond death in relation with mourning. Friendship then opens a door to the future, through the Derridian theory of the trace and the différance which is linked to the movement of spacing and duration. At the same time, Derrida evokes the possibility of thinking friendship from its opposite, including converting the friend into enemy, he thus scrutinizes the political relation friend / enemy on the ethical plan to rethink it according to the requirement of justice. For this, he introduces the idea of the other and of hospitality. The thesis ends on the importance of the concept of the other in Derrida which is linked with the theme of hospitality in his philosophy, in order to develop his political theory around the “democracy to come”
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Younes, Myriam. "Démocratie et terrorisme au Proche-Orient." Thesis, Lyon 3, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO30081.

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Abstract:
À l'aube du troisième millénaire, la démocratie fait face à deux défis différents. D'une part, elle est secouée par le terrorisme qui bafoue les principes et les valeurs démocratiques tout en déstabilisant les institutions et en menaçant les citoyens et même la nation. D'autre part, la démocratie peut être défiée par les dérives d'une lutte contre le terrorisme, non-proportionnelle et même excessive, menée par certains régimes « démocratiques ». Sous prétexte de contrer le terrorisme, la pratique de certains États démocratiques fragilise l'État de droit et révèle des violations des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Cette étude se propose de rechercher l'infrastructure légale qui répond à la lutte contre le terrorisme sans nuire aux principes et valeurs démocratiques. Elle met en exergue la contradiction entre les deux concepts : démocratie et terrorisme. Cette étude aborde deux sujets d'actualité qui revêtent une importance particulière. Le premier porte sur la création du Tribunal Spécial pour le Liban [TSL] comme étant la première juridiction internationalisée à juger les actes relevant du terrorisme. Le second présente une étude comparatiste portant sur les « révolutions » survenues dans les pays arabes tout en mettant en évidence la nécessité de l'acheminement vers la démocratie face à la montée du terrorisme dans la région. Cette étude expose de même un panorama de la lutte des États du Proche-Orient contre le terrorisme. Elle projettera les conditions pour sortir d'une démocratie « masquée », éclatée par le terrorisme, à une démocratie « authentique », éclatante par le droit
On the dawning of the third millennium, democracy is encountering two different challenges. On the one hand, it is shaken by terrorism that flies in the face of the democratic principles and values whilst destabilizing the institutions and threatening citizens touching even the nation itself. Notwithstanding the fact that on the other hand, democracy could be challenged by non-proportional and even excessive measures taken in the context of the fight against terrorism acquitted by certain « democratic » regimes. Thus, under the pretext of countering terrorism, the behavioural pattern of some democratic states undermines the State of law and unveils violations of human rights and fundamental liberties. The current study aspires to investigate the legal infrastructure that conforms to the fight against terrorism away from compromising the principles and values of democracy. For this purpose, the following pages would highlight the dialectic contradiction between two concepts: democracy and terrorism. In fact, the current study treats two hot topics particularly significant. The first of those topics would be the establishment of the Special Tribunal for Lebanon [STL] being the first internationalized with jurisdiction over the acts of terrorism. The second of the above-mentioned topics would be a comparative study treating the current « revolutions » occurring within the Arab States, hence highlighting the need to pursue democracy versus the rise of terrorism in the region. Moreover, this study would exhibit a prospect of the fight against terrorism carried out by countries of the Near East. In addition, this study exposes some conditions by which a « disguised » democracy would be avoided, one that is struck by terrorism, towards an « authentic » democracy, striking with rights
في فجر الالفية الثالثة٬ تواجه الديمقراطية تحديين مختلفين. التحدي الاول يكمن في الارباك الذي يحدثه الارهاب بضربه المبادئ والقيم الديمقراطية معرضا المؤسسات الى الخلل٬ مهددا المواطنين والامة ايضا. التحدي الثاني يتجلى بالانحراف في مكافحة الارهاب احيانا بطرق غير متناسبة لا بل مجحفة. فتحت ستار مكافحة الارهاب يتبين بان ممارسات بعض الدول الديمقراطية يضعف دولة القانون ويظهر انتهاكات لحقوق الانسان وللحريات الاساسية. تعالج هذه الرسالة البحث حول الاسس القانونية التي تتجاوب مع مكافحة الارهاب دون التعرض للمبادئ والقيم الديمقراطية. كما تطرح التناقض الموجود ما بين مفهومي الديمقراطية والارهاب. تتناول هذه الدراسة ايضا موضوعين حاليين ذات اهمية خاصة. يتطرق الاول الى انشاء المحكمة الخاصة بلبنان كأول محكمة ذات طابع دولي تنظر في قضايا الارهاب. فيما الثاني يشمل دراسة مقارنة حول الثورات الحاصلة في الدول العربية٬ تسلط الضوء على أهمية التحول الديمقراطي في مواجهة تصاعد الارهاب في المنطقة. كما وتعرض الرسالة دراسة حول مناهضة دول الشرق الأدنى للارهاب. اخيرا تطرح معايير للخروج من الديمقراطية « المقنعة » التي يفجرها الارهاب نحو ديمقراطية « فعلية » تزخر بالقانون
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Boulanger, Philippe. "Jean-François Revel et la démocratie." Thesis, Paris 3, 2012. http://www.theses.fr/2012PA030105.

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Abstract:
Essayiste mondialement connu, éditorialiste dans de grands hebdomadaires français, agrégé de philosophie, Jean-François Revel a accompagné la vie intellectuelle française et internationale de la seconde moitié du XXe siècle. Né le 19 janvier 1924 à Marseille, décédé le 30 avril 2006, il se caractérise par un itinéraire intellectuel qui s’ancre profondément dans son temps. Il l’est comme tous les penseurs de son siècle, certes, mais sans doute encore davantage, car il est un penseur peu théoricien, avant tout soucieux des faits. Il compose son argumentaire libéral et l’emploie dans la grande presse et dans ses essais à grand succès, au service de la défense d’une démocratie qu’il juge menacée de l’intérieur et de l’extérieur.Libéral impénitent, Revel prend résolument la défense de la démocratie libérale contre le totalitarisme communiste et le socialisme marxiste. Polémiste, il critique durement la Constitution de la Ve République, le « grand dessein » du général de Gaulle, l’Union de la gauche entre socialistes et communistes et l’antiaméricanisme des Français. Sceptique popperien, il tente de dégager les ressorts intellectuels de ce qu’il appelle la « tentation totalitaire » et de la paralysie des démocraties occidentales confrontées aux ambitions géostratégiques de l’URSS.Publiciste à la manière des écrivains du XIXe siècle, témoin des grands défis politiques, économiques, sociaux et idéologiques du XXe siècle, sentinelle isolée du libéralisme au temps du marxisme triomphant, ardent défenseur de la démocratie libérale si combattue et malmenée par les fascismes et les totalitarismes nazi et communiste, Revel aura donc occupé une place à la fois centrale et marginale dans l’histoire des idées en France.En outre, Revel est resté, en vérité, et malgré une ferme empreinte anglo-saxonne, un libéral démocrate français, certain de son ancrage à gauche en dépit des controverses le visant, affronté à une gauche française profondément marxisée et une droite gaulliste et post-gaulliste très nettement hostile au libéralisme. Pour lui, l’adhésion au libéralisme intégral n’est pas une question de dogme, mais d’expérience : le libéralisme politique assure la paix civile, l’équilibre des pouvoirs et la participation des citoyens à la vie politique ; le libéralisme économique garantit mieux que l’interventionnisme étatique l’efficacité et la justice sociale.Penseur mineur par rapport à Aron ou Hayek, essayiste et polémiste, Revel a, depuis son décès, été plongé dans un relatif confinement. Son rôle de diffuseur des idées libérales dans la grande presse – plutôt que dans les cercles universitaires – n’est que rarement souligné dans les travaux sur le libéralisme au XXe siècle. L’objet de ce travail est de tenter de remédier modestement à ce confinement
Writer all over the world, columnist in top French weeklies, graduated in philosophy, Jean-François Revel went through the international and French intellectual life from the end of the war on. Born on July 19, 1924, Marseilles, passed away on April 30, 2006, his intellectual profile was deeply rooted in his time. So were his intellectual contempories in this century, but undoudtedly still more, because his thought was little theoritical, based on facts before all. His liberal reasoning was used in the largest press and in his best-selling books at the service of democracy, that he sees as threatened internally and externally.Publicist in the way of the 19th century-writers, watchman of prominent political, economic, social and ideological challenges in the last century, isolated sentinel of liberalism in the period of triumphant Marxism, fierce champion of liberal democracy that was fought by fascisms and Nazi and Communist totalitarianisms, Revel played a role both central and marginal in the history of ideas in France.Moreover, Revel remained, and in spite of a real Anglo-Saxon stance, a French liberal democrat, convinced of being left-winger even though he was the target of controversies, faced with both a deeply Marxised French Left and a clearly antiliberal Gaullist and post-Gaullist Right. Giving his support to integral liberalism was not a question of dogma but of experience. Political liberalism ensures civil peace, check and balance, the participation of citizens to political life, and economic liberalism is better than state interventionism to create social justice and to guarantee efficiency.Philosopher of minor interest if compared with Aron or Hayek, political writer and polemist, Revel has, since he died, been relatively confined. His role of vulgarizator of liberal ideas in the largest press – rather than in the academic inner circles – has rarely been underlined in the studies dealing with 20th century-liberalism. The topic of this thesis is to try to modestly make Revel’s work better known
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Tourigny, Nicole. "Femme et mère : démocratie et liberté de l'avortement." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0006/MQ32559.pdf.

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Fournier, Luc A. "Internet et démocratie : accès, contrôle et liberté d'expression." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0034/MQ38748.pdf.

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Ghardallou, Wafa. "Développement et structure des systèmes financiers : analyse du rôle de la démocratie et de la transition démocratique." Electronic Thesis or Diss., Orléans, 2015. http://www.theses.fr/2015ORLE0504.

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Abstract:
La présente thèse analyse la relation entre le régime politique et le système financier. Plus précisément, les investigations empiriques menées dans le cadre de cette thèse visent à étudier le rôle de la démocratie dans le développement et la structure des systèmes financiers. Pour cela, nous procédons en trois étapes. Dans un premier temps, nous examinons l’impact de l’événement de la transition démocratique sur le développement du secteur financier des pays qui sont passés vers un régime démocratique. Ainsi, après avoir défini ce qu’on entend par un système financier développé et mis en évidence les facteurs qui déterminent son évolution, nous montrons que la transition vers un régime démocratique accroît la taille du système financier à moyen et long terme. En revanche, cette dernière n’aura pas d’effet à court terme (chapitre 1). Puis, dans un second temps, nous nous intéressons aux facteurs qui conditionnent l’efficacité de ce régime politique. En effet, étant donné que les échanges d’arguments théoriques témoignent d’un manque de consensus autour de la relation entre la démocratie et le développement, il nous semble que cette question peut s’appréhender autrement à travers la prise en compte du rôle du cadre institutionnel dans l’analyse de cette relation (chapitre 2). Ainsi, nous montrons que la démocratie contribuerait au développement du secteur financier en présence de bonnes institutions, tandis qu’elle briderait son évolution lorsque la qualité des institutions se trouve en deçà d’un certain seuil. Enfin, nous tentons d’élargir la littérature existante en abordant la question du rôle de la démocratie dans l’explication de l’architecture des systèmes financiers (chapitre 3). Après avoir passé en revue les principaux facteurs qui influencent la forme du système financier, nous montrons que le régime politique constitue un facteur déterminant de la structure financière des économies émergentes. Plus précisément, nous trouvons que plus de démocratie réduit la part des financements intermédiés et élargit la place des marchés boursiers
This thesis analyzes the relationship between the political regime and the financial system. Specifically, the empirical research conducted throughout this thesis aims to study the role of democracy in the development and structure of financial systems. To this end, we proceed in three steps. First, we examine the impact of the event of the democratic transition in the financial development of the countries that have moved towards democracy. Thus, having defined what is meant by a developed financial system and highlighted the factors that determine its evolution, we show that the transition to a democratic regime increases the size of the financial system in the medium and long term. However, it will have no short-term effect (chapter 1). In a second step, we focus on the factors that influence the effectiveness of this political regime. Indeed, since the exchange of theoretical arguments reflect a lack of consensus on the relationship between democracy and development, it seems important to otherwise understand this issue through the consideration of the role of the institutional environment in the analysis of this relationship (chapter 2). Thus, we show that democracy contributes to the development of the financial sector in the presence of good institutions while it hinders its development where institutional quality is below a certain threshold. Finally, we try to extend the existing literature by questioning the role of democracy in the explanation of the financial system architecture (chapter 3). Having reviewed the main factors influencing the shape of the financial system, we show that the political system is a determining factor in the financial structure of emerging economies. More precisely, we find that further democracy reduces the share of intermediated financing and expands the role of stock markets
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Ghardallou, Wafa. "Développement et structure des systèmes financiers : analyse du rôle de la démocratie et de la transition démocratique." Thesis, Orléans, 2015. http://www.theses.fr/2015ORLE0504.

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Abstract:
La présente thèse analyse la relation entre le régime politique et le système financier. Plus précisément, les investigations empiriques menées dans le cadre de cette thèse visent à étudier le rôle de la démocratie dans le développement et la structure des systèmes financiers. Pour cela, nous procédons en trois étapes. Dans un premier temps, nous examinons l’impact de l’événement de la transition démocratique sur le développement du secteur financier des pays qui sont passés vers un régime démocratique. Ainsi, après avoir défini ce qu’on entend par un système financier développé et mis en évidence les facteurs qui déterminent son évolution, nous montrons que la transition vers un régime démocratique accroît la taille du système financier à moyen et long terme. En revanche, cette dernière n’aura pas d’effet à court terme (chapitre 1). Puis, dans un second temps, nous nous intéressons aux facteurs qui conditionnent l’efficacité de ce régime politique. En effet, étant donné que les échanges d’arguments théoriques témoignent d’un manque de consensus autour de la relation entre la démocratie et le développement, il nous semble que cette question peut s’appréhender autrement à travers la prise en compte du rôle du cadre institutionnel dans l’analyse de cette relation (chapitre 2). Ainsi, nous montrons que la démocratie contribuerait au développement du secteur financier en présence de bonnes institutions, tandis qu’elle briderait son évolution lorsque la qualité des institutions se trouve en deçà d’un certain seuil. Enfin, nous tentons d’élargir la littérature existante en abordant la question du rôle de la démocratie dans l’explication de l’architecture des systèmes financiers (chapitre 3). Après avoir passé en revue les principaux facteurs qui influencent la forme du système financier, nous montrons que le régime politique constitue un facteur déterminant de la structure financière des économies émergentes. Plus précisément, nous trouvons que plus de démocratie réduit la part des financements intermédiés et élargit la place des marchés boursiers
This thesis analyzes the relationship between the political regime and the financial system. Specifically, the empirical research conducted throughout this thesis aims to study the role of democracy in the development and structure of financial systems. To this end, we proceed in three steps. First, we examine the impact of the event of the democratic transition in the financial development of the countries that have moved towards democracy. Thus, having defined what is meant by a developed financial system and highlighted the factors that determine its evolution, we show that the transition to a democratic regime increases the size of the financial system in the medium and long term. However, it will have no short-term effect (chapter 1). In a second step, we focus on the factors that influence the effectiveness of this political regime. Indeed, since the exchange of theoretical arguments reflect a lack of consensus on the relationship between democracy and development, it seems important to otherwise understand this issue through the consideration of the role of the institutional environment in the analysis of this relationship (chapter 2). Thus, we show that democracy contributes to the development of the financial sector in the presence of good institutions while it hinders its development where institutional quality is below a certain threshold. Finally, we try to extend the existing literature by questioning the role of democracy in the explanation of the financial system architecture (chapter 3). Having reviewed the main factors influencing the shape of the financial system, we show that the political system is a determining factor in the financial structure of emerging economies. More precisely, we find that further democracy reduces the share of intermediated financing and expands the role of stock markets
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Gueorguieva, Petia. "La social-démocratie en Europe centrale et orientale: convergences et divergences par rapport à l'identité sociale-démocrate "occidentale"?" Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2005. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210951.

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Barbin, Adeline. "La démocratie technique." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H231.

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Abstract:
Les thèses de l'autonomie de la technique et l'identification du progrès au progrès technique ont exclu la notion de démocratie du champ de la réflexion de la philosophie politique sur les sciences et les techniques, au profit de conceptions technocratiques. Ce sont alors l'histoire et la sociologie des techniques qui ont essentiellement abordé les relations entre technique et démocratie. En examinant leurs travaux, nous montrons à la fois l'importance des facteurs socio-culturels pour expliquer le développement technique d'une société et l'existence d'une forme faible de déterminisme par lequel les techniques structurent les relations sociales. La possibilité et la pertinence qu'il y a à faire de la technique un objet du débat démocratique apparaît alors à double titre : d'une part, elle engage chaque société sur le chemin d'un mode de développement que les citoyens doivent pouvoir discuter et, d'autre part, elle est déjà un objet de politique puisqu'elle est concernée par des législations et constitue, sous la forme de l'innovation, un élément majeur des projets politiques nationaux et internationaux. Nous montrons que, confrontée à différentes critiques, la démocratie technique doit être complexifiée afin de ne pas s'en tenir à une réflexion sur l'expertise et la compétence et de pouvoir répondre aux enjeux des conditions juridiques, économiques et épistémiques de la production des savoirs et des innovations comme aux enjeux classiques de la démocratie en général dont elle constitue un approfondissement vers un nouveau champ, celui de la définition du progrès
The topic of democracy has been excluded from thinking about sciences and technologies in political philosophy by the idea of an autonomous technology and the identification of technical progress to progress itself. Instead, technocratic conceptions of power have been examined. Consequently, it is in history and sociology of technology that we can find considerations on relationship beteween technology and democracy. By analysing how they conceive this relation, we show both the importance of socio-cultural factors to explain technical development of society and existence of a weak version of determinism which implies that technologies shape social relationships. Then, we can understand that there is two reasons which explain why making technology an object of democratic debate is possible and relevant: first, technology commit society on a development path that citizens should be entitled to discuss; second, it is already a political object for it is adressed by legislations and, as innovation, is a key element of national and international political objectives. We point out technical democracy, given the critics it receveid, has to become more complex in order no to be limited to thinking about expertise and skill and to be able to adress what is at stake in the economic, juridic and epistemic conditions of knowledge and innovation production as well as what is at stake in the classic thinking about democracy. For technical democracy is a way to enlarge democracy to new topics, particularly to the question of how to define progress
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Dobrescu, Radu. "Démocratie arithmétique, démocratie algébrique : Rousseau, la volonté générale et les petites différences /cRadu Dobrescu." Doctoral thesis, Université Laval, 2007. http://hdl.handle.net/20.500.11794/19014.

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Khashan, Ali. "Le parti unique et la démocratie : exemple la Côte d'Ivoire." Montpellier 1, 1986. http://www.theses.fr/1986MON10035.

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Abstract:
La notion du parti unique a provoque chez les juristes une sorte de polemique qui tourne autour des avantages et des inconvenients. La polemique atteint son apogee lorsque l'on etablit la relation entre le systeme du parti unique et la democratie. Nous pouvons constater cet etat de chose dans certains pays du tiers-monde et en particulier les pays africains qui ont opte pour le systeme du parti unique en raison de facteurs pratiques : en ce sens, ces pays etant en voie de developpement, ont besoin de l'unite du peuple et du regime pour entamer leur developpement. C'est pour cette raison que nous avons choisi le parti unique en cote d'ivoire, surtout que le p. D. C. I. Pretend a la democratie. Nous avons subdivise notre travail en deux parties precedees d'un chapitre preliminaire. Dans ce chapitre nous avons parle de la naissance du parti unique ainsi que des justifications de ceux qui le soutiennent. Pour la naissance, nous avons essaye de voir le rapport entre le p. D. C. I. Et les autres groupes et forces qui se trouvaient a l'origine du parti comme le syndicat agricole africain (s. A. A. ), le comite d'etude franco-africain et le groupe des etudiants communistes. Nous avons ensuite montre le role du parti democratique dans la naissance du rassemblement democratique africain (r. D. A. ) ainsi que les rapports de celui-ci avec le p. C. F. Nous avons consacre la premiere partie aux structures du parti democratique de cote d'ivoire, qu'il s'agisse des elements de bases ou des organes centraux du parti, ou encore des modes de son fonctionnement. La deuxieme partie s'interesse aux differents points de vue des responsables ivoiriens qui s'accordent sur le fait que le p. D. C. I. Est un parti democratique. Nous avons essaye de discuter ces affirmations a travers la realite pratique et surtout, a partir de certains exemples, nous avons esquisse notre point de vue visa-vis de la relation entre le parti unique et la democratie. A la fin de notre recherche, nous avons demontre la necessite d'etablir le systeme du multipartisme en recourant, entre autres, a un sondage parmi 86 etudiants ivoiriens. Ceux-ci ont exprime leur position vis-a-vis de la portee du parti unique ainsi que son rapport a la democratie
The idea of a unique party provoqued for jurists a sort of polemic considering the advantages and disadvantages. The polemic reached its apogee when the relation between the system of the unique party and the democracy was established. It is possible to ascertain this condition in certain countries of the third world and in particular the african countries that had opted for the system of the unique party due to pratical facters. On this sense, three developing countries need the unity of the people and the regime to continue their development. This is the reason that we have chosen the ivory coast's unique party where the p. D. C. I. Maintains the democracy. We have subdivised our work in two parts preceded by a preliminary chapter that discusses the origin of the unique party as well as the justifications that support it. For the origin, we attempted to consider the relationship between the p. D. C. I. And the other groups and forces that helped to form the party such as the african agricultural syndi. (a. A. S. ), the committee of franco-african studies and the group of communist students. Afterwards, we demonstrated the roll of the democratic party in the creation of the african democratis assembly (a. D. A. ) as well as its relation with the french communist party (f. C. P. ). We have devoted the first part to structure of the ivory coast's democratic party concerning basic elements or central organs of the party or even its methods of functioning. The second part deals with the different points of view of responsable inhabitants of the ivory coast that agree on the fact that the p. A. C. I. Is a democratic party. We have tried to discuss these affirmations regarding the practical reality and above all, based on certain examples, we have sketched our point of view concerning the relationships between the unique party and the democracy. At the end of our research we have demonstrated the necessity to establish the system of multipartism by using, among other methods, a survey of 86 students from the ivory coast. They expressed their position toward the scope of the unique party as well their relationship with the democracy
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Lefrançois, David. "Éducation éthique et citoyenneté démocratique : de la formation morale à l'éducation du citoyen en démocratie." Thèse, Université du Québec à Trois-Rivières, 2000. http://depot-e.uqtr.ca/3082/1/000678441.pdf.

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Chopin, Olivier. "La raison d'Etat et la démocratie : concepts et pratiques." Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0085.

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Abstract:
L'expérience de la raison d'Etat bouleverse la morale démocratique en réinvestissant la relation obscure qui lie la violence et le droit, notamment à travers l'usage du secret. La raison d'Etat, considérée comme ontologiquement étrangère à la démocratie, constitue-t-elle une menace ou un remède pour la survie même des régimes démocratiques? A tout le moins renvoie-t-elle à leur double fragilité essentielle : fragilité face aux dangers qui les menacent, et fragilité face aux remèdes dont ils se dotent. La thèse analyse spécifiquement le contrôle des services de renseignement de trois pays, la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, et montre que l'opposition de principe entre la raison d'Etat et la démocratie s'atténue dans les faits en une tension pratique qui n'est pas en elle-même réductible. Enfin l'étude de la réaction américaine au 11 septembre 2001 aborde la question de savoir si les démocraties peuvent, sans se perdre, se défendre et révéler leur force en cas de nécessité
Reason of state disrupts democratic ethics by showing how violence and law are linked by dark bonds - the use of secret above all. Does reason of state, considered as ontologically stranger to democracy, constitute a threat or a remedy for the survival of democracies? At the very least, reason of state evokes the essential double frailty of democracies - fraitly towards the dangers that threaten them and fraitly towards the remedies they choose. The work analyses the control of intelligence services in three countries (France, The United States and the United Kingdom) and shows that the theoratical opposition between reason of state and democracy turns in practice into a tension which can not be suppressed. Finally, the study of the US reaction to the September 11 attacks deals with knowing wether democracies can defend themselves and reveal their strength if necessary - and still remain democracies
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Barnaud-Meyer, Sarah. "Marx et la question de la démocratie." Thesis, Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040062/document.

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Abstract:
Notre recherche déploie trois remises en question : avec sa théorie de l’histoire Marx n’évacue pas la politique mais fait de la démocratie la question de la modernité ; le communisme ne rompt pas avec la démocratie mais l’actualise ; ce n’est pas la dictature du prolétariat qui fait problème mais l’auto-constitution de la société en sujet politique. Dès sa jeunesse, Marx critique la politique au nom de l’avènement du politique car la démocratie n’est pas une forme de l’Etat moderne, mais le dépassement de la diremption de la communauté. L’Etat démocratique étant un oxymore, la démocratie vraie ou réelle est le communisme : elle est condamnée au formalisme sans la socialisation de la production et il est condamné à la dictature sur les besoins sans la socialisation de la politique. La question de la démocratie telle qu’elle est posée par Marx constitue donc un fil conducteur tant sur le plan herméneutique que politique. Demeure périlleux le procès de réalisation de la démocratie. La dictature du prolétariat constitue une expansion de la démocratie contre l’Etat, mais la dialectique de la révolution n’a pas donné lieu à un moment subjectif décisif. Reste que les sociétés démocratiques tendent à la socialisation et se heurtent aux conditions d’impossibilité d’une politique juste : un positionnement marxiste permet donc de réouvrir la démocratie comme question et d’interroger la forclusion du moment machiavelien
Our research calls forth three reassessments : Marx’s theory of history does not expel politics, rather it raises democracy as the issue of modern times; communism does not dismiss democracy but actualizes it; it is not the dictatorship of the proletariat that poses a problem but society’s constitution into a political subject. Already in his first works, Marx criticizes the differentiated sphere of politics for the sake of immanent politics since democracy is not a form of the modern state, but what surpasses the diremption of the community.The democratic state is an oxymoron; true or real democracy is communism. The democratic state is condemned to remain formal without the socialization of the means of production, and communism is condemned to a dictatorship of the needs without the socialization of politics. The issue of democracy the way Marx states it therefore provides a main thread for hermeneutics and political analysis. Remains the precarious process of realizing democracy. The dictatorship of the proletariat is an expansion of democracy against the state, but the dialectic of revolution did not lead to a decisive subjective moment. Yet democratic societies tend toward socialization and endure the conditions of impossibility for fair politics: a marxist stand thus unfolds democracy as an issue and puts into question the closure of the Machiavellian moment
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Robert, Guillaume. "La démocratie : ses évidences et son avenir." Thesis, Université Laval, 2007. http://www.theses.ulaval.ca/2007/24930/24930.pdf.

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Aslanzadeh, Mehdi. "L'Iran et le spectre de la démocratie." Thesis, Toulouse 1, 2015. http://www.theses.fr/2015TOU10035.

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Abstract:
La démocratie a besoin de citoyens dotés de raison, de culture, de vertu et d’esprit public. C’est là l’exigence qui la différencie fondamentalement du despotisme. Le choix de l’une ou de l’autre forme politique influe puissamment sur la socialisation, donc sur les mœurs, qui en retour l’influencent. L’Iran, au cours de son histoire millénaire, avait choisi son camp en liant le bonheur du peuple à sa soumission au Roi. Le despotisme s’enracine dans les institutions, les mentalités et les habitudes des Iraniens, lesquelles se modifient difficilement. Si la modernité instrumentale (technologie) et sociale (éducation, urbanisation) progresse, elle n’a jusqu’ici guère affecté le domaine de la pensée, créatrice d’un nouveau rapport social et politique. La culture iranienne reste hétéronome et dépendante de la tradition, elle-même tributaire de la religion. Voici le paradoxe iranien : on veut le progrès, mais aussi la conservation de ce qui l’arrête ou le ralentit ! Le politique, en Iran, dispose de deux sources de légitimité. Lune, divine, vient de la Charia et se réfère au monde au-delà ; l’autre, profane et humaine, procède de la Constitution. Le conflit entre elle apparaît dès lors que la première est considérée comme supérieure à la seconde, quelle contraint, rendant très difficile une possible transition du régime théocratique au régime démocratique. Pourtant, la démocratie ne manque pas d’alliés : cadres, fonctionnaires, enseignants, journalistes, écrivains, avocats ou ingénieurs, tous produits de l’émergence progressive de la société civile et d’une classe moyenne formée par la modernisation des Pahlavi, et qui s’épanouit de façon autonome sous la République Islamique. Munie d’un capital culturel élevé, cette classe aspire au pluralisme, à la méritocratie et à la participation aux prises de décisions. Au plan sociologique, société civile et classe moyenne autonomes sont le fruit d’une urbanisation rapide et de l’accès généralisé à l’enseignement supérieur. Au plan structurel, leur émergence répond à l’un des prérequis de la démocratie. Au plan culturel, les normes sociales nouvelles qu’elles mettent en place remplissent une autre condition du processus de démocratisation, et en déterminent le résultat : les valeurs démocratiques se concrétisent à l’échelle familiale dans le refus du patriarcat, et percolent jusqu’au niveau politique. Ces changements contribuent à renforcer la société civile, laquelle a beaucoup de mal à accepter l'islam politique comme référence unique et sacrée. Ses acteurs, malgré leurs progrès apparents, doivent prendre conscience de la nécessité pour eux de réduire leur dépendance à l’égard de l’État, et mettre en question les éléments constitutifs de leur culture patriarcale comme source et justification ultime d’un despotisme théocratique qui enlève à l’espace public sa force et son élément vivifiant. Une évolution démocratique dépend aussi de forces sociales capables de faire contrepoids à l’État : d’une économie libérale, de cadres technocratiques, de partis politiques et d’associations capables de refléter la diversité de la société. Or, en dépit d’éléments favorables à la démocratisation, la société civile iranienne en est encore dépourvue. Il y a malgré tout des raisons de penser que l’amélioration de la situation socioéconomique contribue à accroître l’efficacité de la société civile. Mais il ne faut pas se tromper : la libéralisation économique et sociale n’est pas la conséquence nécessaire de la croissance du secteur privé. Au contraire, si le développement économique de long terme contribue à la consolider, c’est la démocratisation qui entraînera une expansion générale du secteur privé, car la démocratie renforce les segments les moins dépendants de l’État
Democracy requires reasonable, educated, virtuous and public-spirited citizens. This requirement is what fundamentally distinguishes it from despotism. The choice of one or the other political system powerfully influences socialization; hence the mores that prevail, which in turn influence it. Now, throughout a history going back thousands of years, Iran had chosen its side by linking the happiness of the people to its submission to the king. Despotism is thus deeply rooted in Iranian institutions, minds and habits, none of which are easily altered. While modernity, both instrumental (technology) and social (education, urbanization), has taken hold and progresses, it has so far hardly affected the realm of thought – the creative source of new social and political relations. Iranian culture remains heteronomous and dependent on tradition, which itself depends on religion. Herein lies the Iranian paradox: they want progress, but also conservation of what frustrates it or slows it down! Iranian politics is premised on two sources of legitimacy. One, divine, derives from the Sharia and refers to the world beyond; the other, secular and human, flows from the Constitution. The conflict between them emerges when the former is considered superior to the latter, which it restricts, thus rendering any transition from a theocratic to a democratic system very difficult. However, democracy is not without allies: executives, civil servants, teachers, journalists, writers, lawyers or professional engineers – all products of the gradual rise of civil society, and of a middle-class which grew as a result of forced modernization under the Pahlavi monarchy, but now autonomously thrives under the Islamic Republic. Enjoying high levels of educational attainment, this class yearns for pluralism, meritocracy, and participation in decision making. Sociologically speaking, the rise of civil society and an independent middle class occurred as a result of rapid urbanization and generalized access to higher education. In structural terms, their emergence fulfills one of democracy’s pre-requisites. From a cultural standpoint, the new social norms they introduce meet another precondition of the democratization process, and determine its outcomes: democratic values first materialize at family level in the form of a rejection of patriarchy, and then percolate all the way up to the political level. Such social change serves to reinforce civil society, which has distinct difficulty accepting political Islam as a unique and sacred reference. Despite their apparent progress, its agents must become aware of the necessity for them to reduce their dependence on the State, and question the constituent elements of their patriarchal culture – the ultimate source and justification of a theocratic despotism which deprives the public sphere of its strength and vitality. A transition to democracy also depends on the existence of social forces capable of providing a counterweight to the State: a free-market economy, technocratic elites, political parties and associations able to reflect the society’s diversity. Now, despite a potentially fertile environment for democratization, Iran still lacks them. Yet there is reason to believe that improved socio-economic conditions will make for a more effective civil society. But let us make no mistake: social and economic liberalization is not a necessary consequence of private sector growth. On the contrary, while long-term economic development serves to consolidate it, democratization itself will be the driving force behind any general expansion of the private sector, because democracy reinforces the least State-dependent segments of society
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Jaccoud, Luciana de Barros. "Pauvreté, démocratie et protection sociale au Brésil." Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHES0011.

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Kugler, Florence. "Participation et démocratie dans les entreprises privées." Strasbourg 3, 1989. http://www.theses.fr/1989STR30011.

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Abstract:
Instaurer une véritable démocratie dans les entreprises est devenu, compte - tenu de l'évolution économique et sociale de notre époque, une priorité absolue. La volonté d'une nécessaire transformation du facteur social de l entreprise en une démocratie n'est pas récente. Dans la seconde moitié du 20eme siècle, on assista dans divers pays d'Europe à l'essor d une réglementation sociale de plus en plus dirigée vers une réelle démocratie. Celle-ci commença à prendre forme par l'instauration de deux notions clefs de la participation : la participation financière et la participation par l expression. Cependant la démocratie dans l'entreprise ne peut être parfaite sans la cogestion, mode absolu de participation. C'est vers celle-ci que tendent les législations des différents pays d'Europe. Tendance qui existe également au niveau de la réglementation communautaire. Toutefois l'introduction de la démocratie par le biais de la cogestion n'est pas aisée. Cela nécessite sur le plan national une modification des structures sociales existantes et sur le plan européen, une harmonisation du droit des sociétés ainsi que du mode de participation usité
Regarding to the social and economical evolution today, it become an absolute priority to set up a real democracy in enterprises. The intention of a necessary transformation of the enterprise social factor into democracy, is not a new concept. Earlier, in the second half of the 20th century and in several european countries, we saw a regulation growth, more and more oriented to a real democracy, this one started to be putting in place two key points of worker's participation: - financial participation -free individual expression. Nevertheless, a perfect democracy in enterprise without joint codetermi- nation, which is the absolute workers' participation mode, cannot be conducted. In fact, it is to joint codetermination that several european countries legislation tend to. It is, as well, a trend which exists at community regulation level. However, democracy introduction by joint codetermination method is not an easy way. It involves in national plan, a complete modification of the existing social structures, and in european plan, the company law harmonization as the used participation mode harmonisa
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Sadry, Benoit. "Bilan et perspectives de la démocratie représentative." Limoges, 2007. https://aurore.unilim.fr/theses/nxfile/default/498cc402-707c-47d8-a51f-3c95015d0d1f/blobholder:0/2007LIMO1001.pdf.

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Abstract:
Abstention croissante, défiance envers l’élite politique, faiblesse de l’engagement militant, augmentation des manifestations protestataires, apparaissent, parmi d’autres, comme les signes d’une remise en cause de la démocratie représentative. Ces difficultés, principalement liées à la participation politique et à la représentation, sont-elles pour autant la traduction d’une apathie politique des citoyens et doivent-elles être envisagées comme la fin d’un modèle classique de gouvernement ?Pour répondre à cette interrogation, l’étude présente, dans un premier temps, un bilan mais envisage également, dans un second temps, des perspectives pour la démocratie représentative. La crise de la représentation se manifeste principalement par une contestation de l’élection et des représentants, mais elle prend corps également à travers l’interférence d’éléments nouveaux qui entraîne immanquablement des conséquences sur le modèle classique. De plus, le concept de citoyenneté connaît aussi une crise ; ce concept est à la fois dépassé dans sa stricte dimension politique tout comme dans ses manifestations. Cependant, malgré ces difficultés et l’accumulation de phénomènes qui semblent pourtant tendre à un dépassement du concept classique, la démocratie représentative apparaît toujours comme un système de gouvernement efficace. Toutefois, pour être consolidée, elle doit aboutir à une plus juste représentation, à une efficacité réelle de la part des élus dans leurs politiques, mais elle doit aussi garantir aux citoyens une meilleure participation à la vie politique
Increasing abstention, mistrust to the political élite, poor militancy, increase of protesting demonstration, appear, among many, as the signs of a calling into question of the representative democracy. Principally linked to the political participation and to the representation, are these difficulties the translation of a political apathy from the citizens or must they regarded as the end of a classical model of government ?To answer this interrogation, the research shows, in a first time, a result but views also, in a second time, some perspectives for the representative democracy. The representation crisis shows principally itself by an opposition of the election and an opposition of representatives, but she appears also through new facts’ intrusion which inevitably bring about some consequences under the classical model. Moreover, the concept of citizenship knows also a crisis; this concept is both overtaken in strict political dimension but also in his expressions. Nevertheless, despite the accumulation of difficulties which seem yet to exceed the classical concept, the representative democracy still appears like an efficient system of government. However, to be guaranteed, she must lead to a better representation, to a real efficiency from the elected members in their politics, but she must also guarantee to the citizens a better participation in the politic life
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Aucante, Yohann. "L'hégémonie démocratique : institutionnalisation des partis sociaux-démocrates suédois et norvégien comme partis d'Etat." Paris, Institut d'études politiques, 2003. http://spire.sciences-po.fr/hdl:/2441/f4rshpf3v1umfa09lasrmc409.

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Goupayou, Goupayou Hervé, and Goupayou Hervé Goupayou. "La conception platonicienne de la démocratie et sa critique par Aristote : bilan et perspectives- Essai sur les fondements épistémologiques, éthiques et politiques de la démocratie à l'époque classique et dans la modernité." Doctoral thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/36894.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d’analyser la conception platonicienne de la démocratie et sa critique par Aristote, afin de dégager les fondements et les caractères principaux de ce débat à l’époque classique, puis de montrer leurs liens possibles avec la modernité démocratique. L’hypothèse avancée est que l’épistémologie idéaliste qui est au fondement du projet politique de Platon est aussi au fondement de sa critique de la démocratie. L’épistémologie naturaliste et empiriste qui est au fondement de la philosophie politique d’Aristote est aussi au fondement de sa critique de démocratie. La conception platonicienne de la démocratie est idéaliste donc relativement déconnectée de la réalité démocratique athénienne de la période classique ; celle d’Aristote est pragmatiste : elle est adaptée à la réalité démocratique athénienne de la période classique. Le coeur du désaccord entre Platon et Aristote réside dans l’articulation entre science et politique, mieux entre vérité et démocratie. En fustigeant la démocratie au nom d’une vérité transcendante et universelle, Platon s’est placé délibérément en rupture par rapport aux valeurs de la démocratie athénienne de la période classique. Pour lui, de manière générale, la démocratie ne définit pas seulement une forme de gouvernement : elle est un type de société où règne le pluralisme, l’excès de liberté et d’égalité, et où chacun peut vivre selon sa fantaisie. Bigarrée, elle renferme toutes les formes de constitutions. Nul n’y est contraint d’obéir. Chacun peut décider d’y commander s’il en a la fantaisie. Platon pointe du doigt l’ignorance et l’incompétence populaire : l’incapacité à comprendre l’homme et d’adapter chez lui une éducation appropriée. Il critique le tirage au sort des magistrature et des charges publiques qui font selon lui de la démocratie un objet d’intrigue et non de compétence. Pour le disciple de Socrate, lorsque la liberté démocratique est poussée à son extrême, il n’existe plus aucun ordre social ni humain : la démocratie se transforme en tyrannie. En général, la conception platonicienne de la démocratie n’est qu’une caricature presque grotesque de la démocratie athénienne, et une parodie de ses divers éloges par des rhéteurs politiques Grecs. La conception aristotélicienne de la démocratie est inspirée de la constitution athénienne de la période classique. En faisant l’éloge de la participation et de la délibération démocratique, au nom d’un schéma naturaliste et empiriste de la connaissance, Aristote se met délibérément en accord avec les valeurs de la démocratie athénienne de la période classique. En valorisant les savoirs individuels, son épistémologie met en évidence la pluralité et la diversité, ainsi que la liberté et l’égalité de participation des citoyens aux décisions politiques, comme fondements de la démocratie. L’épistémologie aristotélicienne implique une approche pragmatiste de la démocratie. Selon lui, tout homme a quelque chose de particulier à apporter à la vérité. La vérité démocratique est un consensus rationnel obtenu au terme d’un débat ou d’une délibération populaire. Elle est la somme des opinions individuelles. Dans son approche de la démocratie, Aristote introduit la prise en considération de la composition du groupe social dominant et en fait une analyse qui peut être qualifiée de sociologique. Le Stagirite distingue quatre espèces de démocratie à partir de la catégorie sociale qui exerce la réalité du pouvoir : la démocratie rurale, la démocratie censitaire, la démocratie populaire et la politeia. La politeia est la meilleure forme de démocratie selon lui. Elle est la meilleure alternative aux problèmes de la démocratie athénienne. La politeia s’apparente à un régime mixte et à un État de droit parce que les lois n’y privilégient ni les riches ni les pauvres. Bref, tous les citoyens y ont le droit de participer aux affaires polit iques. Nous montrons à la fin de notre recherche, en faisant le bilan du débat qui oppose Platon et Aristote, et surtout en mettant en évidence les valeurs de la politeia comme meilleure forme de gouvernement, qu’Aristote a posé les bases de la démocratie participative et délibérative de la période contemporaine. Autrement dit, la démocratie procédurale ou encore ce que les philosophes politiques contemporains appellent procéduralisme épistémique a des racines aristotéliciennes.
Le but de cette thèse est d’analyser la conception platonicienne de la démocratie et sa critique par Aristote, afin de dégager les fondements et les caractères principaux de ce débat à l’époque classique, puis de montrer leurs liens possibles avec la modernité démocratique. L’hypothèse avancée est que l’épistémologie idéaliste qui est au fondement du projet politique de Platon est aussi au fondement de sa critique de la démocratie. L’épistémologie naturaliste et empiriste qui est au fondement de la philosophie politique d’Aristote est aussi au fondement de sa critique de démocratie. La conception platonicienne de la démocratie est idéaliste donc relativement déconnectée de la réalité démocratique athénienne de la période classique ; celle d’Aristote est pragmatiste : elle est adaptée à la réalité démocratique athénienne de la période classique. Le coeur du désaccord entre Platon et Aristote réside dans l’articulation entre science et politique, mieux entre vérité et démocratie. En fustigeant la démocratie au nom d’une vérité transcendante et universelle, Platon s’est placé délibérément en rupture par rapport aux valeurs de la démocratie athénienne de la période classique. Pour lui, de manière générale, la démocratie ne définit pas seulement une forme de gouvernement : elle est un type de société où règne le pluralisme, l’excès de liberté et d’égalité, et où chacun peut vivre selon sa fantaisie. Bigarrée, elle renferme toutes les formes de constitutions. Nul n’y est contraint d’obéir. Chacun peut décider d’y commander s’il en a la fantaisie. Platon pointe du doigt l’ignorance et l’incompétence populaire : l’incapacité à comprendre l’homme et d’adapter chez lui une éducation appropriée. Il critique le tirage au sort des magistrature et des charges publiques qui font selon lui de la démocratie un objet d’intrigue et non de compétence. Pour le disciple de Socrate, lorsque la liberté démocratique est poussée à son extrême, il n’existe plus aucun ordre social ni humain : la démocratie se transforme en tyrannie. En général, la conception platonicienne de la démocratie n’est qu’une caricature presque grotesque de la démocratie athénienne, et une parodie de ses divers éloges par des rhéteurs politiques Grecs. La conception aristotélicienne de la démocratie est inspirée de la constitution athénienne de la période classique. En faisant l’éloge de la participation et de la délibération démocratique, au nom d’un schéma naturaliste et empiriste de la connaissance, Aristote se met délibérément en accord avec les valeurs de la démocratie athénienne de la période classique. En valorisant les savoirs individuels, son épistémologie met en évidence la pluralité et la diversité, ainsi que la liberté et l’égalité de participation des citoyens aux décisions politiques, comme fondements de la démocratie. L’épistémologie aristotélicienne implique une approche pragmatiste de la démocratie. Selon lui, tout homme a quelque chose de particulier à apporter à la vérité. La vérité démocratique est un consensus rationnel obtenu au terme d’un débat ou d’une délibération populaire. Elle est la somme des opinions individuelles. Dans son approche de la démocratie, Aristote introduit la prise en considération de la composition du groupe social dominant et en fait une analyse qui peut être qualifiée de sociologique. Le Stagirite distingue quatre espèces de démocratie à partir de la catégorie sociale qui exerce la réalité du pouvoir : la démocratie rurale, la démocratie censitaire, la démocratie populaire et la politeia. La politeia est la meilleure forme de démocratie selon lui. Elle est la meilleure alternative aux problèmes de la démocratie athénienne. La politeia s’apparente à un régime mixte et à un État de droit parce que les lois n’y privilégient ni les riches ni les pauvres. Bref, tous les citoyens y ont le droit de participer aux affaires polit iques. Nous montrons à la fin de notre recherche, en faisant le bilan du débat qui oppose Platon et Aristote, et surtout en mettant en évidence les valeurs de la politeia comme meilleure forme de gouvernement, qu’Aristote a posé les bases de la démocratie participative et délibérative de la période contemporaine. Autrement dit, la démocratie procédurale ou encore ce que les philosophes politiques contemporains appellent procéduralisme épistémique a des racines aristotéliciennes.
The purpose of this thesis is to analyze the Platonic conception of democracy and its criticism by Aristotle, in order to highlight the foundations and the main characters of this debate in the classical period, then to show their possible links with democratic modernity. The hypothesis put forward is that the idealist epistemology which is at the foundation of Plato’s political project is also the foundation of his criticism of democracy. The naturalist and empiricist epistemology which is at the foundation of Aristotle’s political philosophy is also the foundation of his approach of democracy. The Platonic conception of democracy is idealistic and therefore relatively disconnected from the Athenian political reality; that of Aristotle is pragmatist: it is adapted to the Athenian democratic reality. The heart of the disagreement between Plato and Aristotle lies in the articulation between science and politics, better between truth and democracy. By castigating democracy in the name of a transcendent and universal truth, Plato deliberately broke with the values of the Athenian democracy of the classical period. For him, in general, democracy does not only define a form of government: it is a type of society where pluralism, excess of freedom and equality reign, and where everyone can live according to his or her fantasy. Variegated, it contains all forms of constitutions. No one is forced to obey. Everyone can decide to order if he has the fancy. Plato points out ignorance and popular incompetence: the inability to understand man and to adapt to him an appropriate education. He criticizes the drawing of lots of magistrates and public offices which, according to him, make democracy an object of intrigue and not of competence. For the disciple of Socrates, when democratic freedom is pushed to its extreme, there is no longer any social or human order: democracy turns into tyranny. In general, the Platonic conception of democracy is only an almost grotesque caricature of Athenian democracy, and a parody of its various praises by Greek political rhetoricians. The Aristotelian conception of democracy is inspired by the Athenian constitution of the classical period. By praising democratic participation and deliberation, in the name of a naturalist and empiricist schema of knowledge, Aristotle deliberately sets out to agree with the values of Athenian democracy of the classical period. By promoting individual knowledge, his epistemology highlights the plurality and diversity, as well as the freedom and equal participation of citizens in political decisions, as foundations of democracy. Aristotelian epistemology implies a pragmatist approach to democracy. According to him, every man has something special to bring to the truth. Democratic truth is a rational consensus reached after popular debate or deliberation. It is the sum of individual opinions. In his approach of democracy, Aristotle introduces the consideration of the composition of the dominant social group and makes it an analysis that can be described as sociological. He distinguishes four kinds of democracy from the social category that exercises the reality of power: rural democracy, oligarchic democracy, popular democracy and politeia. According to him, Politeia is the best form of democracy. It is the best alternative for the Athenian democracy. Politeia is like a mixed regime and a rule of law because the laws do not favor neither the rich nor the poor. In short, in politeia all citizens have the right to participate in political affairs. We show at the end of our research, taking stock of the debate between Plato and Aristotle, and especially by highlighting the values of politeia as the best form of government, that Aristotle has laid the foundations of participatory and deliberative democracy of the contemporary period. In other words, procedural democracy or what contemporary political philosophers call epistemic proceduralism has Aristotelian roots.
The purpose of this thesis is to analyze the Platonic conception of democracy and its criticism by Aristotle, in order to highlight the foundations and the main characters of this debate in the classical period, then to show their possible links with democratic modernity. The hypothesis put forward is that the idealist epistemology which is at the foundation of Plato’s political project is also the foundation of his criticism of democracy. The naturalist and empiricist epistemology which is at the foundation of Aristotle’s political philosophy is also the foundation of his approach of democracy. The Platonic conception of democracy is idealistic and therefore relatively disconnected from the Athenian political reality; that of Aristotle is pragmatist: it is adapted to the Athenian democratic reality. The heart of the disagreement between Plato and Aristotle lies in the articulation between science and politics, better between truth and democracy. By castigating democracy in the name of a transcendent and universal truth, Plato deliberately broke with the values of the Athenian democracy of the classical period. For him, in general, democracy does not only define a form of government: it is a type of society where pluralism, excess of freedom and equality reign, and where everyone can live according to his or her fantasy. Variegated, it contains all forms of constitutions. No one is forced to obey. Everyone can decide to order if he has the fancy. Plato points out ignorance and popular incompetence: the inability to understand man and to adapt to him an appropriate education. He criticizes the drawing of lots of magistrates and public offices which, according to him, make democracy an object of intrigue and not of competence. For the disciple of Socrates, when democratic freedom is pushed to its extreme, there is no longer any social or human order: democracy turns into tyranny. In general, the Platonic conception of democracy is only an almost grotesque caricature of Athenian democracy, and a parody of its various praises by Greek political rhetoricians. The Aristotelian conception of democracy is inspired by the Athenian constitution of the classical period. By praising democratic participation and deliberation, in the name of a naturalist and empiricist schema of knowledge, Aristotle deliberately sets out to agree with the values of Athenian democracy of the classical period. By promoting individual knowledge, his epistemology highlights the plurality and diversity, as well as the freedom and equal participation of citizens in political decisions, as foundations of democracy. Aristotelian epistemology implies a pragmatist approach to democracy. According to him, every man has something special to bring to the truth. Democratic truth is a rational consensus reached after popular debate or deliberation. It is the sum of individual opinions. In his approach of democracy, Aristotle introduces the consideration of the composition of the dominant social group and makes it an analysis that can be described as sociological. He distinguishes four kinds of democracy from the social category that exercises the reality of power: rural democracy, oligarchic democracy, popular democracy and politeia. According to him, Politeia is the best form of democracy. It is the best alternative for the Athenian democracy. Politeia is like a mixed regime and a rule of law because the laws do not favor neither the rich nor the poor. In short, in politeia all citizens have the right to participate in political affairs. We show at the end of our research, taking stock of the debate between Plato and Aristotle, and especially by highlighting the values of politeia as the best form of government, that Aristotle has laid the foundations of participatory and deliberative democracy of the contemporary period. In other words, procedural democracy or what contemporary political philosophers call epistemic proceduralism has Aristotelian roots.
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Ramadan, El Sheikh Esmat Abd Alla. "Représentation et démocratie dans le système politique égyptien." Toulouse 1, 1994. http://www.theses.fr/1994TOU10028.

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Abstract:
Notre objectif est de mettre en évidence les obstacles qui empêchent l’établissement d'une représentation politique parfaitement démocratique, en examinant les textes, les faits et la pratique. Dans un premier temps, nous abordons le thème de l'élection, seul procédé acceptable, aujourd'hui, de désignation des représentants du peuple. Dans un deuxième temps, nous étudions les facteurs sociologiques qui influencent directement (paris politiques) et indirectement (facteurs socio-économiques) le choix des citoyens-électeurs. Nous traitons, enfin, les organes représentatifs dont la fonction est d'exprimer la souveraineté à la place des citoyens en effet, la représentation politique égyptienne est sur la voie de la démocratie, ou, en quelques sorte, semi-démocratique. Les institutions démocratiques existent, mais il ne leur reste qu'à fonctionner d'une manière effective afin d'exercer une véritable démocratie
Our aim is to point out the obstacles that hinder the emergence of a perfectly democratic political representation by examining the texts, the facts and the actual political life. We first examing the question the electoral system, the only staisfactory way of designation the representatives of people. We then examine the sociological factors that have either a direct influence (political parties) or an indirect one (socio-economic environment) on choice of the voters. We also examine the representative bodies whose function is to mediate for the which of the citizens, in fact, the Egyptian political representation is on the way of democracy, or is semi-democratic. If the democratic institutions exists, they have to function in the effective way, in order to reach a real democracy
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Dubslaff, Étienne. "« Oser plus de social-démocratie ». La recréation et l’établissement du Parti social-démocrate en RDA (1989-1990)." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040151.

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Abstract:
Cette thèse de doctorat se propose d’éclairer les parcours personnels et collectifs de la quarantaine de membres fondateurs du Parti social-démocrate en RDA (SDP puis SPD), au-delà de sa création le 7 octobre 1989, afin de retracer leurs efforts de structuration mais aussi d’élaboration d’un programme social-démocrate proprement est-allemand, tout ce travail partisan qui dépasse la charge révolutionnaire à l’encontre du régime socialiste quarantenaire du SED. Après la chute du Mur, ce parti résolument est-allemand doit s’ouvrir à la question allemande et se confronter au Parti social-démocrate d’Allemagne ouest-allemand qui l’aide tout autant qu’il tente de le récupérer, notamment lorsque le parti est-allemand accède au gouvernement de la RDA en mars 1990. Alors que les deux gouvernements de Berlin et de Bonn préparent l’unification selon la volonté majoritaire, les sociaux-démocrates est-allemands, patriotes, s’affairent à empêcher que leur identité et leur pays ne soient happés par la RFA au niveau national ou par le parti frère de Bonn au niveau partisan. Au-delà de la politique effectivement menée, ce travail s’intéresse donc aux aspirations véhiculées par le parti est-allemand durant son l’année d’existence autonome jusqu’à sa fusion avec le SPD de RFA, le 26 septembre 1990, quelques jours avant la Réunification nationale
This dissertation analyses the personal and collective background and development of the approximately 40 founding members of the Social democratic Party in the GDR (SDP, then SPD) from October 7th 1989 until the fusion of both German Social democratic parties on September 26th 1990, 8 days before the national Reunification. Beyond the revolutionary act against the East German regime and the SED, this thesis tries to retace the structural and programmatic development of the party and insists on the East-German basis of its ideology. After the fall of the Berlin Wall, the SDP has to position itself vis-à-vis the national question and its relations to the West German SPD. The latter helps its new partner but tries to dominate the East German party, especially after it has become part of the East German government after the free national elections on March 18th 1990. Although the majority of the East German population hopes for a prompt reunification as it is promised by the conservative parties in Bonn and Berlin, the SPD tries to avoid a complete rendition of East-German identity and succeeds in maintaining some of its aspects beyond the German Reunification. Nevertheless, the East German social democrats fight for the ratification of the three Treaties by the West German SPD part of which seems reluctant. Throughout their political actions, the East German social democrats seek to maintain their identity which they consider no less valuable than the one that is impersonated by the Federal Republic and the West German SPD. This dissertation tries not only to depict the social democratic policies but to analyze the evolution of objectives within the year of its autonomous existence
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