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Dissertations / Theses on the topic 'Et Marx'

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1

Chalfoun, Nagi. "Marx, Engels et l'Etat." Lyon 3, 1987. http://www.theses.fr/1987LYO31009.

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Abstract:
La question de l'etat n'a pas recu dans l'oeuvre de marx l'ampleur du developpement des questions economiques, mais on la trouve en permanence a travers cette oeuvre. Partant de hegel et le critiquant marx s'affirme en donnant le role essentiel a la societe civile. L'etat doit deperir et l'instrument de cette operation est la dictature du proletariat qui annonce la separation de l'etat avec la societe civile. Pour l'utopie marxienne la dictature du proletariat, le developpement de la democratie et le deperissement de l'etat, sont trois aspects d'un mouvement unique et constituent le processus dialectique de la revolution
Even though marx has not dealt with the problem of the state as extensively as with economic matters, this problem remains present thoughout his work. Starting from hegel and his own critique of hegel, marx asserts himself as an author who ascribes the prominent part to the civil society. The state must die out, and the instrument of this extinction is the dictatorship of the proletariat, which foretells the separation between state and civil society. In the marxian utopia, the dictatorship of the proletariat, the growing of democracy and the dying out of the state are three aspects of one movement, which is the dialectical process of the revolution
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2

Artous, Antoine. "Marx, l'Etat et la politique." Montpellier 1, 1996. http://www.theses.fr/1996MON10030.

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Abstract:
Le cheminement de la critique de la politique moderne - au centre des textes de jeunesse - a la critique de l'economie politique, n'est pas chez marx le signe d'un "economisme". Il est d'abord le produit d'une rupture avec l'idealisme d'etat dominant qui prend a la lettre le discours de l'etat moderne. C'est-a-dire d'un etat qui, pour la premiere fois dans l'histoire, ne se donne pas comme domination directe d'un groupe social. Marx entend montrer qu'il est la forme politique adequate de la "societe civile-bourgeoise" dont il est necessaire de percer a jour le fonctionnement. D'ou le passage de la critique de la politique des textes de jeunesse, ou il esquisse une theorie de l'etat moderne comme etat representatif, a la critique de l'economie politique qui, elle aussi, presente la production moderne comme debarassee de toute forme d'exploitation. Or, pour marx, le rapport salarial est bien un rapport d'exploitation. Meme si, comme l'etat moderne, il est inedit historiquement et que le rapport de propriete ne se manifeste pas, a la facon des formes precapitalistes, comme un "rapport de maitre a serviteur", selon un formule du capital. Au dela des nombreuses apories et difficultes presentes chez marx et dans la tradition marxiste, l'interet de cette demarche nous parait toujours d'actualite comme methode d'analyse de la politique moderne dans ses differences d'avec les formes de pouvoir des societes precapitalistes
The development from the critique of modern politics, which is at the centre of the texts of the young marx. To the critique of political economy is not a sign of marx's "economism". It is above all the product of a rupture with the idealism of the dominant state which makes a literal interpretation of the discourse of the modern state: the state which, for the first time in history, does not appear as the direct domination of one social group. Marx tries to show that this is the adequate political form for "bourgeois-civil society". , for which it is necessary to update our undestanding of its functioning. Hence the passage from the critique of politics in the texts of his youth. Where he sketches a theory of the modern state as a representative state, to the critique of political economy, which also presents modern production as free of all forms of exploitation. For marx the wage relationship is one of exploitation. Even if, like the modern sate, it appears for the time in history, and the property relationship does not present itself, as in precapitalist formations, as a "master servant relationship" as marx expresses it in capital. Despite the numerous difficulties present in the writings of marx and the marxist tradition, we believe that this approach is still relevant as a method of analysis of modern politics, and its differences with forms of power in pre-capitalist societies
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Talbot, François. "Phénoménologie, ontologie et réalité : Hegel et Marx." Thesis, Université Laval, 2014. http://www.theses.ulaval.ca/2014/30720/30720.pdf.

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Abstract:
Le mémoire présente l’analyse de l’expérience de la conscience, la dialectique de la reconnaissance et la construction du concept de raison exposées dans la Phénoménologie de l’esprit. Il les comprend comme moments de la fondation d’une « ontologie de la connaissance » qui fait de la structure logique du rapport d’objectivation, l’Idée absolue, la matrice de production de la réalité en général. Il examine avec une attention particulière la conception de la réalité sociale comme savoir de soi de l’esprit qui accompagne cette construction. Il suit encore les grandes lignes de la critique opérée par Marx de la construction spéculative de l’Idée hégélienne et isole les éléments centraux de l’ontologie de la praxis sur lesquels elle repose. Finalement, le mémoire interroge la signification et la possibilité du passage d’une ontologie de la connaissance à une ontologie de la praxis.
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4

Cailleba, Patrice. "L'individu chez Marx." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040063.

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Abstract:
Nous distinguons chez Marx trois types d'individu correspondant chacun à trois philosophies politiques distinctes. Le premier individu est libre et doué de raison. On parle alors d'un Humanisme rationaliste-libéral dans lequel l'individu typique est le citoyen grec. Le second individu est l'être générique, héritier de la philosophie de Feuerbach et de Hegel. Ce Naturalisme dialectique prive l'individu de toute liberté et laisse le Genre, i. E. La Nature être la seule volonté qui décide. Le dernier individu est la classe. L'être humain est une personne déterminée socialement et économiquement par une classe sociale donnée (le prolétariat ou la bourgeoisie). L'Histoire, et non l'Homme, règne sur le monde. Il s'agit du Matérialisme historique. L'élaboration de ces trois philosophies correspond aux années 1841-1846. A partir de 1846, quand Marx est convaincu qu'il a trouvé la bonne définition de l'individu et que sa dernière philosophie est la bonne - parce qu'il a " compris " le sens de l'Histoire -, il décide d'appliquer ce qu'il sait à son nouveau champ d'étude : l'économie politique. Ainsi le reste de l'œuvre de Marx doit-il être envisagé à l'horizon de la définition de l'individu donnée dans L'Idéologie allemande, ouvrage écrit à l'âge de 28 ans. Néanmoins, la philosophie politique de Karl Marx se solde par un échec. Son œuvre est minée par la dialectique, platonicienne et hégélienne, qui ruine son ambition politique. En outre, parce qu'il ne reconnaît pas la possibilité de l'acte libre, Marx n'inscrit pas la liberté dans le phénomène politique. Il se révèle être finalement un penseur anti-politique
Interested by the conceptions of the individual in Marx's Philosophy, we distinguished three different types belonging to three distinct political philosophies. The first individual, best represented by the Greek citizen, is defined by reason and freedom. We usually talk about "rationalist-liberal humanism". The second individual is the "generic being", heir of Feuerbach's and Hegel's philosophy. This "dialectical Naturalism" deprives the individual of his own liberty and lets the Gender, i. E. Nature, be the only will who decides. The last individual is the class. The human being is considered as a social and economical determinated person belonging to a definite social class (the working class or the bourgeoisie). History, but not Man, reigns over the world. This philosophy is named "historical Materialism". The development of those three philosophies corresponds to the 1841-1846 years. After 1846, when Marx is convinced that he found the good definition of the individual and that his last philosophy is right - because he "understood" the direction of History -, he plans to apply it to his new research field: political economy. Thus, Marx's work following 1846 must be considered through the individual definition he gave in "The German ideology", written when he was 28. Nevertheless, Marx's political philosophy ends in failure. First, his philosophies are undermined by dialectic, inspired by Plato and Hegel, which ruins all Marx's work. Then, because he does not acknowledge the possibility of a free act, Marx does not include liberty within his political philosophy. Finally the German philosopher turns out to be an anti-political thinker
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5

Pavón, Cuéllar David. "Lacan, lecteur de Marx." Rouen, 2013. http://www.theses.fr/2012ROUEL023.

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Abstract:
Sans être ni marxiste ni proche du marxisme, le psychanalyste Jacques Lacan (1901-1981) se réfère à Karl Marx (1818-1883) avec insistance et enthousiasme. En plus de le compter parmi les plus grands passionnés de la vérité, il en fait étonnamment l’inventeur du symptôme et le fondateur du structuralisme. Il lui attribue également des mérites capitaux du point de vue lacanien, tels que la subversion du savoir, la réfutation du métalangage, la décoloration du discours du maître et la dénonciation de la duperie gnoséologique. Tout cela compose une lecture de Marx qui se distingue par sa complexité, son audace et son originalité. Dans la thèse, on s’occupe de cette lecture. On explore ses précédents et ses fondements. On considère la cohérence de son ensemble et sa place dans le contexte de la théorie lacanienne. On suit son évolution dans la succession des écrits et des séminaires de Lacan. On la compare aussi à d’autres approches à Marx
Without being either a Marxist or close to Marxism, the psychoanalyst Jacques Lacan (1901-1981) refers to Karl Marx (1818-1883) with emphasis and enthusiasm. Besides counting Marx among the most passionate followers of the truth, Lacan surprisingly sees him as the inventor of the symptom and the founder of structuralism. It also assigns to him capital merits in a Lacanian perspective, such as the subversion of knowledge, the refutation of metalanguage, the discoloration of the master discourse and the denunciation of epistemological deception. All this constitutes a reading of Marx which is characterized by its complexity, boldness and originality. In this thesis, we deal with such a reading. We explore its precedents and its foundations. We consider its consistency and its place in the context of the Lacanian theory. We look at its evolution over the succession of writings and seminars of Lacan. We compare it to other approaches to Marx
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6

Dimi, Charles-Robert. "Nationalisme et internationalisme chez Karl Marx et Friedrich Engels." Rouen, 1986. http://www.theses.fr/1986ROUEL008.

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De, Lima Gomes Nogueira Maria Alice. "Education, savoir, production chez Marx et Engels." Lille 3 : ANRT, 1987. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37597068c.

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8

Khiari, Sadri. "Marx et l'Etat : la notion de bonapartisme." Paris 8, 2003. http://www.theses.fr/2003PA08A001.

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Abstract:
Dans la terminologie marxiste, la notion de bonapartisme renvoie originairement à l'expérience du Second Empire dont l'avènement a été analysé par Marx dans ses principaux écrits politiques. Le bonapartisme y apparaît comme une forme spécifique de l'Etat bourgeois caractérisé par une dictature personnelle et plébiscitaire. Le bonapartisme repose sur un fort appareil bureaucratique, policier et militaire et développe une idéologie populiste et nationaliste. Dans le bonapartisme, la bureaucratie gouverne en lieu et place de la bourgeoisie mais à son profit. C'est là, évidemment, une définition minimale que notre thèse a justement pour objet de questionner. Comment ces derniers ont-ils non pas défini mais pensé le bonapartisme ? A partir de quels schèmes théoriques ont-ils développé cette hypothèse bonapartiste ? Quelles ont été les principaux moments de cette élaboration et les difficultés auxquelles elle s'est heurté ?
According to the Marxist terminology, the notion of Bonapartism refers at first to the experience of the Second Empire whose advent was analyzed by Marx in his three main political written works. In this analysis Bonapartism emerges as a form which is specific to the bourgeois State, characterized by a personal and plebiscitary dictatorship. Bonapartism rests on a strong bureaucratic, police and military machinery and develops a Populist and national ideology. In Bonapartism, bureaucracy governs on behalf of the bourgeoisie but for the benefit of the latter. This of course is a minimal definition that our thesis seeks to question. From which theoretical schema have they developed this Bonapartist hypothesis? What were the main moments of this working out and what were the handicaps this hypothesis encountered?
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9

Kouvélakis, Efstathios. "Philosophie et révolution de Kant à Marx." Paris 8, 1998. http://www.theses.fr/1998PA08A007.

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10

De, Lima Gomes Nogueira Maria Alice. "Education, savoir, production chez Marx et Engels." Paris 5, 1986. http://www.theses.fr/1986PA05H089.

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Abstract:
L’objet de cette étude est de comprendre les conceptions éducatives de Marx et Engels, telles qu'elles ont été conçues et se sont développées dans le cadre de leur œuvre et de leur époque. La première partie étudie le contexte historique dans lequel ces conceptions se sont formées et montre combien elles sont redevables à cette période d'exploitation intensive du travail des enfants par l'industrie mécanisée. Un panorama de l'utilisation capitaliste de la main-d’œuvre enfantine au XIXe. Siècle a été brosse à partir des textes ou les deux auteurs abordent la question. La deuxième partie a été consacrée spécifiquement à l'étude de leurs formulations en matière d’enseignement. On y fait l'autopsie de la thèse centrale de Marx de l'association des études au travail productif: les facteurs qui en sont à l’ origine, le cheminement de l'idée tout au long de l'œuvre, les fondements qui la sous-tendent. Finalement, sont analysées les positions prises par Marx et Engels vis-à-vis des mots-d ‘ordre d'enseignement universel, public, gratuit, obligatoire et laïque qui étaient a l'ordre du jour a l'époque
This study aims to understand Marx’s and Engels’ views on education such as they were conceived and have developed throughout their writings and at that time. The first part studies the historical context in which these views have formed, and shows how much can be ascribed to the then intensive exploitation of children's work by mechanized industry. A survey of the way in which capitalism used to resort to children's work in the nineteenth century has been made. It is based on Marx’s and Engels’ relevant writings. The second part provides a special account of these authors' opinions as far as teaching is concerned. Marx’s main thesis on the connexion between education and production work has been given detailed analysis. We have tried to assess where it stems from, how it proceeds throughout his work, which factors are underlying. This study concludes with an analysis of Marx’s and Engels’ stance towards the topical mottoes of their time such as universal, free, public education, compulsory and undenominational school
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Barnaud-Meyer, Sarah. "Marx et la question de la démocratie." Thesis, Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040062/document.

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Abstract:
Notre recherche déploie trois remises en question : avec sa théorie de l’histoire Marx n’évacue pas la politique mais fait de la démocratie la question de la modernité ; le communisme ne rompt pas avec la démocratie mais l’actualise ; ce n’est pas la dictature du prolétariat qui fait problème mais l’auto-constitution de la société en sujet politique. Dès sa jeunesse, Marx critique la politique au nom de l’avènement du politique car la démocratie n’est pas une forme de l’Etat moderne, mais le dépassement de la diremption de la communauté. L’Etat démocratique étant un oxymore, la démocratie vraie ou réelle est le communisme : elle est condamnée au formalisme sans la socialisation de la production et il est condamné à la dictature sur les besoins sans la socialisation de la politique. La question de la démocratie telle qu’elle est posée par Marx constitue donc un fil conducteur tant sur le plan herméneutique que politique. Demeure périlleux le procès de réalisation de la démocratie. La dictature du prolétariat constitue une expansion de la démocratie contre l’Etat, mais la dialectique de la révolution n’a pas donné lieu à un moment subjectif décisif. Reste que les sociétés démocratiques tendent à la socialisation et se heurtent aux conditions d’impossibilité d’une politique juste : un positionnement marxiste permet donc de réouvrir la démocratie comme question et d’interroger la forclusion du moment machiavelien
Our research calls forth three reassessments : Marx’s theory of history does not expel politics, rather it raises democracy as the issue of modern times; communism does not dismiss democracy but actualizes it; it is not the dictatorship of the proletariat that poses a problem but society’s constitution into a political subject. Already in his first works, Marx criticizes the differentiated sphere of politics for the sake of immanent politics since democracy is not a form of the modern state, but what surpasses the diremption of the community.The democratic state is an oxymoron; true or real democracy is communism. The democratic state is condemned to remain formal without the socialization of the means of production, and communism is condemned to a dictatorship of the needs without the socialization of politics. The issue of democracy the way Marx states it therefore provides a main thread for hermeneutics and political analysis. Remains the precarious process of realizing democracy. The dictatorship of the proletariat is an expansion of democracy against the state, but the dialectic of revolution did not lead to a decisive subjective moment. Yet democratic societies tend toward socialization and endure the conditions of impossibility for fair politics: a marxist stand thus unfolds democracy as an issue and puts into question the closure of the Machiavellian moment
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Bertocchi, Jean-Louis. "Marx : une certaine approche du travail." Aix-Marseille 1, 1994. http://www.theses.fr/1994AIX10071.

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Abstract:
Le marxisme, avec ses erreurs, ses fautes, appartient a la culture theorique contemporaine. Une "lecture approchee" de l'oeuvre de marx revele que, resistant aux derives, l'un des apports decisifs de la pensee marxienne consiste dans les points d'ancrage etablis dans l'approche de la realite du travail humain. Ici, l'actualite de l'analyse demeure entiere. Non seulement dans la mesure ou elle a a se confronter avec les enjeux contemporains qui font de la question du travail l'une des interrogations centrales de notre modernite, mais aussi en ce qu'elle a su situer cette question, certes a partir de l'economie politique et de sa critique, mais fondamentalement encore a partir d'une reflexion authentiquement inscrite dans la tradition philosophique la plus exigeante. La complexite de la pensee de marx, la richesse de son approche permettent la saisie d'une dialectique de la valeur d'usage et de la valeur d'echange, du travail concret et du travail abstrait, de la poiesis et de la praxis, du concept et de l'experience, qui peut donner a lire le paradigme du travail de notre modernite
Marxism, with its errors and its faults, belongs to contemporary theoretical culture. A close reading of marx's work reveals that one of the principle contributions of marxist thought, consists in the foundations established in the approach to the reality of human work labour. The validity of this analysis is still certain today, not only in so far as it confronts the contemporary stakes which make the question of work one of the central queries of our contemporality, but also in that this analysis has been able to situate this query. Basing itself, certainly, on political economy and its criticism but also on a fundamental reflection genuinely engrained in the most demanding philosophical tradition. The complexity of marxist thought, and the richness of its approach allow the grasp of a dialectic between value of usage and value of exchange, concrete and abstract work labour, poiesis and praxis, concept and experience, which can lead us to the work labour paradigm of our contemporality
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Cissé, Gnagna. "La notion de système dans la pensée de K. Marx : systématicité et temporalité chez K. Marx." Poitiers, 1989. http://www.theses.fr/1989POIT5013.

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Abstract:
Au systeme abstrait, dogmatique, se voulant eternel, hostile a l'individu, marx semble preferer le systeme ouvert, habite par le temps, dont la perfection systematique n'est jamais acquise definitivement. Un tel systeme parait etre une totalite organique, un processus circulaire dynamique s'accomodant parfaitement de la vitalite et de la liberte de l'individu
To the abstract, dogmatic system, who seems to be eternal, who is adverse to the individual, marx conceivably prefer the open, temporal system, whose systematic perfection is never definitely establisched. Such a system seems to be an organic totality, a dynamic circular process who thoroughly makes the best of the vitality and the freedom of the individual
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Garo, Isabelle. "Reflet et représentation dans la pensée de Marx." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010582.

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Abstract:
On a longtemps débattu de la théorie du reflet en imputant à Marx la thèse que la connaissance serait une image adéquate de la réalité objective. L'analyse de ce débat, qui débute avec Engels et Lénine et se poursuit jusqu'à aujourd'hui, permet et exige qu'on revienne sur l'usage propre que fait Marx des notions de reflet et d'image dans le cadre d'une réflexion plus générale sur la représentation. Cette réflexion le conduit d'une polémique contre les conceptions hégéliennes et jeunes-hégeliennes à la construction du concept d'idéologie, désignant la formation et la fonction sociales des représentations dans le cadre de la lutte de classes en mode de production capitaliste. Soulignant le dynamisme propre de ces représentations, Marx surmontera les tensions inhérentes à sa catégorie d'idéologie en étudiant cette représentation objective qu'est la monnaie, sur le terrain inédit d'une critique de l'économie politique. Il donne alors à la notion de reflet un rôle analogique qui lui permet de prendre en charge comme telles des représentations singulières et concrètes. Cette notion d'un genre nouveau est ainsi l'occasion d'une critique continuée de la philosophie qui ne s'élabore jamais en une nouvelle théorie de la connaissance. L'étude de la conception marxienne de la représentation donne bien accès à un style propre d'investigation et de conceptualisation, qui ne rassemble pas ses conclusions en une synthèse définitive mais aborde de façon à la fois ouverte et nettement definie les représentations les plus diverses, et notamment les notions de théorie et de méthode dans leur relation à une pratique transformatrice. La question de la représentation s'y trouve, d'un même mouvement, élaborée, mise en oeuvre et réfléchie
The theory of reflex has been for long debated granting marx with the argument that knowledge might be a relevant image of the objective reality. The analysis of this proposition, that started with engels and lenin is still going on till now, allows and requires a coming back to the proper use made by marx of reflex and image notions within the scope of a more general reflexion upon representation. This reflexion leads him from a controversy against the hegelian and neo-hegelian conceits to the elaboration of the ideology concept, pointing out social creation and function of representations within the range of class war in the way of capitalist production. Emphasizing the proper dynamism of these representations, marx has overcome the inherent tensions in his type of ideology, studying this objective representation : money, upon the original ground of criticism of political economy. Hence he gives an analogical role to the reflex notion allowing it to take into account singular and concrete representations, such as. So, this notion of a new kind bears the opportunity of a proceeding criticism of philosophy wich never builds up into a new theory of knowledge. The study of the marxism conceit of representation does give way to a proper style of investigation and conceptualism, that does not gather its conclusions in an ultimate synthesis but deal - in a way both open and precisily defined - with the most varied representations and in particular with the notions of theory and method within their relationship to a transforming application. Then, in a unique move, the problem of representation arises as worked out, implemented and reflected
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ZENI, BRUNO. "Logique et histoire dans le "capital" de marx." Paris 8, 1990. http://www.theses.fr/1990PA080521.

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Abstract:
Notre but est de definir les rapports de la logique et de l'histoire dans le capital de marx. Notre hypothese principale est qu'il existe une relation entre la logique du capital et la marchandise. Sur la base de cette hypothese nous essayons de developper et de comprendre le contenu du capital
Our attempt is to define the relations marx's logic of capital and history. The main hypothese of our work is that there is a relation between the logic of capital and the structure of merchandise; on the base of this hypothese, we try to devellop and understand the whole content of the capital
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Huh, Kyung-Hoe. "Kant, Comte et Marx, critiques de l'économie politique." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100166.

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Abstract:
Distinguer dans l'histoire de la science économique moderne deux traditions : l'une est de la constitution scientiste ; l’autre de ses démystifications, et reconnaître la suprématie "scientifique" de la seconde sur la première, tel est le propos du présent essai. Celui-ci dans son premier introductif remet en cause les tenants scientistes d'orthodoxie économique et leur réduction de la science économique, d'abord sous la prétention objectiviste à une science de purs objets ou à une science de la soumission, ensuite sous la prétention positiviste à une science apologétique en faveur de l'ordre existant bourgeois, et enfin sous la tentation nihiliste à une science individualiste. Dans les chapitres suivants, il se donne à reconnaître les divers efforts philosophiques de trouver à l'économie politique son statut scientifique véritable en tant que science de l'homme, c'est-à-dire une science de l'objet où l'homme intervient, une science de la valeur, une science du sens. Le deuxième chapitre a choisi et Kant et A. Comte pour leur attribuer les premières critiques de l'économie moderne. Si E. Kant était la première source à laquelle on peut puiser des idées applicables à la critique de l'économie politique, A. Comte prête le premier à sa critique directe
There exist two distinctive traditions on the history of modern economic science: the scientist tradition and its demystification. This essay purposes to attest the "scientific" supremacy of the second over the first. In the first and introductory chapter, this thesis argues against the so-called orthodox economists and their scientist reduction of the economic science, first under the objectivistic pretence of a science of pure objects or to a science of the submission, secondly under the positive pretence to an apologetically science in favor of the existing bourgeois order, and lastly under nilistic pretence to an individualistic science. In the following chapters, the thesis attempts to recognize some diverse philosophical efforts to find the veritable scientific status of the economic science as an human science, that is, a science of the object in which the human being intervenes, a value oriented science, a science in search of the meaning of the human life. The second chapter has chosen E. Kant and A. Comte to be attributable for the premier criticisms of the modern political economy
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DE, CAVENELLE BOUTET MARIE HELENE. "Ascetisme et heroisme dans l'oeuvre de marx engels." Poitiers, 1991. http://www.theses.fr/1991POIT5002.

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Abstract:
L'ascetisme est-il abandonne definitivement par le materialisme de marx et engels? a premiere vue, oui, avec la morale ideologique. . . Mais la critique, meme etendue au domaine propice a la moralisation qu'est l'economie politique, n'est pas radicale. En effet, durant la periode de transformation du monde necessaire, selon marx et engels, a l'avenement d'un homme "complet", l'heroisme des individus demeure indispensable. Il est fait d'ascetisme et d'une certaine forme de renoncement. De meme, la societe future voit apparaitre une ascene volontaire qui est celle du travail emancipe
Is ascetism definitely left by the materialism of marx and engels? apparently, yes, with the ideologic lorals. But criticism, even extent to the political economy, is not total. Indeed, during the period of revolution, necessary, according to marx and engels'thought, for the advent of the "complete" man, the heroism of the individualities remains essential. It is an ascetism| even the future society is the scene of a volontary ascese which is the emancipated work
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Mannker, Nathan Michel. "Questions à propos de Marx : apparence et réalité." Paris 8, 1997. http://www.theses.fr/1997PA081259.

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Abstract:
" toute plus-value quelle qu'en soit la tonne particuliere - profit, interet, rente, etc. - est en substance la materialisation d'un travail non paye " dit marx dans "le capital". Tout le systeme capitaliste fonctionnant sur cette base est donc construit a partir de la spoliation de la force de travail physique ou intellectuelle, c'est-a- dire que son existence meme implique cette premiere manifestation de la lutte de classes qui se perpetue ainsi continuellement, ce que j'ai appele le sens unique de la lutte de classes. Les conditions materielles ont une repercussion certaine sur les conditions ideelles, mais il n'existe aucun rapport d'automaticite, la subjectivite intervenant pour interpreter les conditions materielles d'une facon plus ou moins rationnelle ou irrationnelle. Dans sa critique de hegel, marx a tendance a minimiser l'autonomie de l'idee. Le role du comportement humain est insuffisamment pris en compte. Qu'il y ait des processus, des tendances s'effectuant en dehors de la volonte humaine, c'est incontestable, mais ils ont affaire non seulement a leurs propres contradictions pouvant en entraver l'evolution, mais aussi a l'intervention humaine pas toujours apte a en degager ce qui a forme de necessite, puisque c'est l'interet et la passion qui l'orientent dans le hasard des situations. Ainsi, necessite, interet, passion, hasard, constituent ce que je nomme une sorte de quatuor animant le mouvement des diverses societes humaines et les rapports de tous ordres qui les regissent. L'incapacite humaine a tout connaitre, a tout comprendre, a tout realiser sans faille, nous renvoie a ce que j'ai appele les restes platoniciens du " timee ". Elle est insuffisamment prise en compte par marx et est ignoree par l'interpretation stalinienne du marxisme- leninisme, " doctrine infaillible "
" any surplus value, in whatever form - profit, interest, income, etc. - is, in substance, the materialisation of " unpaid work ", as marx declares in " das kapital ". The whole capitalist system is thus built on the plunder of the strength of physical or intellectual work. In other words, its very existence implies this primary manifestation of a self-perpetuating class struggle which i have called the one-way class struggle. Material conditions have a decisive impact on conceptual conditions but there is no automatic link between them as subjectivity intervenes in the rational or irrational interpretation of material conditions. In his critique of hegel, marx tends to minimise the autonomy of the idea. The role of human behaviour is insufficiently considered. Undeniably, some processes and trends occur outside human will but they are subject both to their own contradictions liable to hamper their evolution and to the action of humans who are more or less capable of identifying essential necessities since self-interest and passion guide us in random situations. Thus, necessity, self-interest, passion and chance constitute what i have called a sort of quartet which is the prime mover of all different human societies and the relations that govern them. The human incapacity to know everything, to understand everything, to achieve everything is a reference to what i have called the platonic vestige of " timee ". This human inability is insufficiently considered by marx and is completely ignored by the stalinian interpretation of marxism-leninism, known as the " infaillible doctrine "
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Sarr, Ousmane. "La critique de l’aliénation chez Marx." Paris 10, 2012. http://www.theses.fr/2012PA100066.

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Abstract:
Notre travail a porté sur l’évolution du concept d’aliénation dans la pensée marxienne. Le concept d’aliénation sans doute hérité de Hegel et de Feuerbach, a connu sous la plume de Marx sa véritable élévation philosophique. Des tous premiers écrits jusqu’aux œuvres dites de maturité, Marx n’a cessé de réélaborer constamment le fameux concept d’aliénation. Des œuvres philosophiques et politiques, le concept était inscrit dans une perspective critique qui ne permettait pas véritablement à Marx de se débarrasser totalement de l’influence hégéliano-feuerbachienne. Cependant comme nous l’avons montré tout au long de notre travail, au fur et à mesure que les découvertes économiques s’enrichissent, les influences hégéliano-feuerbachiennes même si elles réapparaissent souvent à certains endroits de ses analyses, Marx semble ne plus y accorder davantage d’importance et accole au concept de problèmes, de thèmes nouveaux et riches qui lui permettent non seulement d’élargir son analyse mais surtout de l’approfondir. En gros et en moyenne, contre une lecture biaisée de Althusser et récemment de Bensussan, les travaux de Marx montrent que le concept élevé pour la première fois philosophiquement à partir de 1844, Marx en fait un concept opératoire pour penser la société de façon générale, ne disparaît nullement de même que la problématique qu’il était censé porter. Ainsi dans notre travail, nous avons vivement montré qu’il y a certes reprise dans les œuvres dites de la maturité d’une certaine problématique élaborée dés 1844, mais pas reprise à l’identique. Ce qui nous a permis de voir que la thématique de l’aliénation élaborée en 1844 peut logiquement être réélaborée de nos jours ; la thématique de l’aliénation loin de disparaître à l’époque moderne, refait drastiquement surface, ce qui donne à la réflexion philosophique en particulier et à la réflexion en général, des tâches non négligeables
Our work dealt with the evolution of the alienation concept in Marxist thought. The concept of alienation, probably inherited from Hegel and Feuerbach, has known its real philosophical elevation under Marx’s writing. From his earliest writings to his works called maturity, Marx has not stopped re-elaborating the famous concept of alienation. Through Marx’s philosophical and political works, the concept was part of a critical perspective that did not truly get rid of Hegel and Feuerbach’s influence completely. However, as we have shown throughout our work, as the economic discoveries get richer, Hegel and Feuerbach’s influences even though they often reappear in some parts of his analysis, Marx no longer seems to give much more importance to the concept but he tackles new and rich issues which allow him not only to expand its analysis but also to deepen it. On the whole and somehow, against any biased reading of Althusser and recently of Bensussan, the works of Marx show that the concept, truly considered philosophical for the first time from 1844, Marx in fact used the concept to study society in general, does not disappear as well as the focus it was supposed to bear. Thus, in our work, we have strongly shown that there is certainly a rewriting of a focus found in the works called maturity developed in 1844, but the rewriting is not so identical to the former. This has allowed us to see that the theme of alienation produced in 1844 can logically be reworked today; the issue of alienation, far from disappearing in the modern era, has drastically re-appeared and has given significant tasks to philosophy in particular and to thinking in general
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Kitami, Shuji. "Fétichisme et autonomie multiple : à partir de Sartre et de Marx." Paris 10, 1996. http://www.theses.fr/1996PA100166.

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Abstract:
Cette these porte sur la theorie sartrienne de l'alienation et la theorie marxienne du fetichisme. Autrement dit, il s'agit d'elucider comment la societe devient independante de la volonte de ses membres et quelle devrait etre la societe autonome et authentiquement democratique qui pourrait depasser cette alienation. La premiere partie est consacree au travail preliminaire, a savoir la mise en relief du caractere non-anthropocentrique de la philosophie sartrienne. Ce travail semble indispensable pour demontrer que la theorie sartrienne et marxienne de l'alienation ne presuppose aucun macro-sujet. La deuxieme partie est consacree tout d'abord a commenter la theorie marxienne du fetichisme et de son depassement. Nous avons surtout mis en relief le probleme de la rationalite impliquee dans cette theorie. En effet, de quelle rationalite s'agit il quand marx dit que le communisme, en tant que democratie authentique pouvant depasser le fetichisme, se fait par le controle "rationnel" de la societe ? nous avons tente de degager une telle rationalite de la critique de la raison dialectique de sartre. La troisieme partie est consacree aux problemes laisses par sartre et marx, en particulier: 1. Celui de la formation des societes modernes: 2. Celui d'une alternative democratique: 3. Celui du rapport entre la democratie et la philosophie
This thesis concerns the sartrien theory of alienation and the marxist theory of fetishism. In other words it explains how society becomes independent of the will of its members and what a truly democratic and autonomous society, which has abolished this alienation, ought to be. The first part is a preliminary study emphasizing the non-anthropocentric character of sartrien philosophy. This seemed important in order to show that no macro-subject is pre-supposed in the sartrien and marxist theory of alienation. The second part consists first of all of a commentary on the marxist theory of fetishism and its of abolition. We have paid particular attention to the problem of the rationality implied in this theory. We ask what rationality marx employs when he describes communism as an authentic democracy capable of abolishing fetishism and operating through the "rational" control of society? we have endeavoured to extract such rationality from sartre's critique de la raison dialectique. The third part deals with the problems that sartre and marx left behind them, in particular: 1. The problem of the formation of modern societies. 2 the problem of an alternative democracy. 3; the problem of the relationship between democracy and philosophy
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Gallo, Lassere Davide. "Argent et capitalisme : de Marx aux monnaies du commun." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100130.

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Abstract:
Les analyses développées dans cette thèse de doctorat visent à mettre en évidence le rôle éminemment politique de la monnaie. À la différence de ce que soutient la doxa néoclassique, la monnaie n'est pas neutre du point de vue économico-politique. Elle matérialise des rapports de force qui traversent toute la société et qui s’avèrent riches d’implications variées.La recherche se divise en trois parties : « Argent et capitalisme », « Argent et néocapitalisme », « Argent et postcapitalisme ». Elles sont précédées par une préface, dans laquelle j’expose ma démarche épistémologique, et par une introduction ontologique, dans laquelle je me place du point de vue de la projectualité sociétale de subjectivités qui luttent pour réinventer l’argent en fonction de leurs besoins et de leurs exigences. La première partie de la thèse, à travers une analyse croisée de l’oeuvre de Marx, de Simmel et de Keynes, se focalise sur les caractéristiques principales de la monnaie capitaliste : outil de domination, facteur de mobilisation des passions et vecteur de transformation sociale. La deuxième partie explore les aspects cruciaux de la crise néocapitaliste : le redéploiement global du régime d’accumulation, la financiarisation de la vie quotidienne et l’institution de l’euro. La troisième partie, après avoir envisagé les conditions d’une transition postcapitaliste, examine deux pratiques susceptibles de déclencher des processus nouveaux de subjectivation politique : les revendications d’un revenu social garanti et les expérimentations de circuits monétaires complémentaires. Les conclusions sociopolitiques esquissent enfin quelques pistes qui visent à articuler une théorie générale des monnaies du commun
The analyses developed in my doctoral dissertation intend to stress the eminently political function played by money. Unlike neoclassic economic theory, I argue that currency is not neutral in economic and political terms. It materializes the power relationships that influence society, producing effects of different nature. The research consists of three parts: “Money and capitalism”, “Money and neocapitalism”, “Money and postcapitalism”. They are introduced by a preface in which I present my epistemological approach and by an ontological introduction, in which I focus on the social projects of the subjectivities who struggle to reinvent money adapting it to their needs. The first part of the dissertation, through a reading of the works of Marx, Simmel and Keynes, focuses on the main features of capitalist money: a tool for domination, a mobiliser of passions and a vector of social transformation. The second part explores some key elements of the crisis of neocapitalism: the global redeployment of the regime of accumulation, financialization of everyday life and the institution of euro. The third part, after an evaluation of the conditions of postcapitalistic transition, examines two practices capable to trigger original processes of political subjectivation: claims for a guaranteed social income and experimenting complementary monetary circuits. Finally, in the socio-political conclusions I delineate some paths in order to articulate a general theory of the common’s coins
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Bianchi, Barata Ribeiro Bernardo. "Le fil rouge de la transformation : Marx et Spinoza." Thesis, Paris 1, 2015. http://www.theses.fr/2015PA010507/document.

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Abstract:
Ces dernières décennies, la relation entre Spinoza et Marx a été abordée par des auteurs comme Louis Althusser, Antonio Negri et Maximilien Rubel. Néanmoins, bien que l'on puisse établir un lien entre les deux au niveau des affinités théoriques, il manque une analyse du rapport entre ces affinités et les références effectives que Marx fait à Spinoza. Nous ne savons pas davantage. jusqu'à maintenant, comment ces références s'articulent avec les objectifs du militantisme philosophique et politique que Marx s'est fixé tout au long de sa vie. La présente étude cherche donc à parcourir les premières œuvres de Marx de manière à y étudier la présence de Spinoza, et à démontrer simultanément à quels buts cette présence était subordonnée. Parallèlement, et de façon tout aussi importante, il s'agit de montrer que, bien que ces usages font apparaître la façon dont Marx s'est éloigné de Spinoza, ils n'en révèlent pas moins que, dans cet éloignement, Marx finit par retrouver, non pas tant Spinoza, mais le spinozisme
Ln recent decades, the relationship between Spinoza and Marx was discussed by authors such as Louis Althusser, Antonio Negri and Maximilien Rubel. However, although we can establish a link between the two in terms of theoretical affinities, it lacks an analysis of the relationship between these affinities and actual references From Marx to Spinoza. Until now, we do not know more about the specific way these references can articulate with the objectives inherent to Marx 's philosophical and political activism throughout his life. This study therefore seeks to browse the first writings from Marx in order to study the presence of Spinoza, and simultaneously demonstrate to which purposes this presence attended. At the same time, and just as importantly, we seek to show that, although these references explain how Marx moved away From Spinoza, they nevertheless reveal that in this distance, Marx finally find, not so much Spinoza, but Spinozism
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Doublet, Lucie. "« Sublime matérialisme » : Emmanuel Levinas et l’héritage de Karl Marx." Thesis, Paris 10, 2018. http://www.theses.fr/2018PA100049.

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Abstract:
Rares sont les références explicites à Marx ou au communisme sous la plume de Levinas, du moins dans ses œuvres principales. Étonnamment rares, si l’on considère leur contexte de rédaction. Les sciences humaines de la seconde moitié du XXème siècle sont occupées par la discussion du paradigme marxiste. Levinas subit de plein fouet les vicissitudes de l’histoire. A Kharkov, il assiste à la révolution russe de 1917. La catastrophe de la Shoah, dans laquelle disparait une grande partie de sa famille, marque à jamais sa mémoire. Toute sa démarche philosophique est orientée par la nécessité d’une nouvelle pensée de la communauté humaine assumant les leçons du XXème siècle. A rebours des lectures qui relèguent la question politique au rang de dimension subsidiaire dans l’œuvre levinassienne, nous faisons alors l’hypothèse de sa centralité. Ce sont les enjeux collectifs qui accusent l’insuffisance et imposent la reconsidération de l’approche humaniste du sujet et de l’éthique menée par Levinas. De ce point de vue, le projet de justice et d’universalisme porté par la tradition socialiste, notamment par Marx, constitue bien pour sa réflexion un objet central. A la fois sources d’inspiration, et révélatrices des limites d’une pensée strictement politique de la communauté, qui prétend faire l’économie de la transcendance, les propositions de Marx travaillent en sous-main les conceptions levinassiennes de l’individu, du pluralisme, de la justice ou encore de l’État. Nous avons voulu reconstituer ce dialogue implicite de Levinas avec Marx. Explorant la portée sociale et politique des motifs levinassiens, il s’avère que ces derniers recèlent une fécondité inattendue. La considération de l’ « anarchie du Bien », de la « patience » et de ce que Levinas nomme l’ « État libéral » permettent d’aborder de manière originale les questions de la justice, de la lutte sociale et des institutions politiques, faisant émerger des propositions ignorées tant par la tradition libérale que par celle du socialisme, dans ses versions marxienne et anarchiste
Explicit references to Marx or to communism are rare in Levinas’ writing, especially in his major works. This is astonishing, considering the context in which he was writing. In the second half of the 20th century, human sciences were particularly influenced by the debate of Marxist paradigms. Levinas was truly impacted by the context of his era. He was a witness of the Russian revolution at Kharkov in 1917. Many members of his family were victims of the Shoah. This tragedy profoundly impacted him. His philosophical approach is lead by the necessity of re-thinking the « human community », whilst bearing in mind the lessons that the 20th century has left behind. Several critics have considered Levinas’ work to be “apolitical”, or have at least argued that the political undertones of his work are to be taken in consideration as a secondary factor. This thesis has, in contrary, focused upon and sustained the centrality of Levinas’ politically motivated thought. Communal and societal dilemmas are at the heart of Levinas’ ethical approach. The traditional socialist stance towards justice and universalism, in the line of Marx, constitutes a central focus of his reflexion. The suggestions made by Marx underpin Levinas’ conceptions of the individual, of pluralism, of justice and of the State. On one hand, they are a source of inspiration for Levinas, on the other, a source of critic. The thesis has aimed to reconstitute the intellectual dialogue that Levinas carried out with Marx between the lines. Whilst exploring the social and political leitmotivs of Levinas’ thought, the interminglement with Marx has been illuminating and innovative. It has enabled an original approach to questions revolving around justice, social struggle and political institutions. Considering the levinassian “Anarchy of Good”, the “Patience” and what Levinas calls the “Liberal state”, previously ignored positions emerge, which have been left on the side by the liberal tradition and by socialist thoughts both in Marxian and anarchist terms
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Sempere, Jean-François. "Marx et le problème du langage de l'echange économique." Paris 10, 1990. http://www.theses.fr/1990PA100027.

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Timsit, Alexandre. "Les économistes et la réception de l'oeuvre de Marx." Nice, 2003. http://www.theses.fr/2003NICE0008.

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Abstract:
Outre le chapitre introductif, qui porte sur l'introduction des théories de Marx, la thèse comprend trois parties. Dans la première, on traite des lectures et critiques des théories de Marx basées sur le livre I du Capital, par les libéraux français et les marginalistes. On montre que ces lectures sont idéologiques ou réductrices. La deuxième partie porte sur la période qui va de la mort de Marx à la publication du livre III du Capital. On y présente la controverse entre Loria et Engels, et les travaux de Sombart, Labriola, Croce, Sorel et Andler. On montre que la lecture de ces auteurs est plus pertinente que celles des libéraux et des marginalistes, parce qu'elle tient compte de la spécificité de la démarche scientifique de Marx. Dans la troisième partie, on étudie des contributions basées sur l'ensemble du Capital. On présente la réaction des marxistes au contenu du livre III, puis on revient sur les libéraux et les marginalistes, pour montrer que leur position évolue très peu. Il apparaît finalement que les critiques de l'œuvre de Marx par ces économistes sont peu concluantes, parce qu'ils en font une lecture inadéquate, malgré les indications fournies à ce propos par certains auteurs
Besides the introductory chapter, which concerns the introduction of the theories of Marx, the thesis comprises three parts. First, we study the readings and critiques of the theories of Marx, based on book I of Capital, by the French liberal economists and the marginalists. We show that those readings are ideological and reductionist. The second part covers the period from the death of Marx to the publication of book III of Capital. We present the controversy between Loria and Engels, and then the contributions of Sombart, Labriola, Croce, Sorel and Andler. We show that the reading of these authors is more accurate than those of the liberals and the marginalists, because it takes the specificity of Marx's scientific approach into account. The third part deals with the readings based on the whole Capital. We present the reaction of marxists to the content of book III; then we come back to liberals and marginalists, to show that their position does not evolve much. In the final analysis, it appears that those economists erroneously interpreted Marx's writings, despite the indications given on this matter by other scholars
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Faes, Hubert. "La condition du savoir : Hegel et Marx pour nous." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010502.

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Abstract:
Par rapport à une théorie qui examine les conditions de possibilité de la connaissance, Hegel et Marx introduisent à une problématique contemporaine des conditions historiques d'existence du savoir dans le cadre d'une onto-anthropologie qu'ils renouvellent profondément. Ils récusent une métaphysique abstraite de l'histoire universelle fondée sur l'idée de nature humaine parce qu'il n'y a d'essence et donc de savoir qu'à même des conditions déterminées d'existence. Mais leur désaccord porte sur la manière de comprendre le rapport du sujet et de son savoir à leurs conditions d'existence. Sont examinées, toujours à partir d'une confrontation Hegel Marx, les principales questions suivantes : 1. Vie et histoire : la structure complexe des rapports du vivant, ses conditions d'existence est la base de l'historicité de l'homme et de son savoir. 2. La condition historique de tout être et le problème particulier de la condition du sujet. Rapport déterminant des conditions déterminées d'existence à l'essence et aux déterminations des êtres et des systèmes. 3. Histoire et développement, histoire et production, temps et logique. Les rapports du sujet et de son développement à l'histoire. 4. Conditions et fin de l'activité historique : situation du savoir par rapport à l'activité
Regarding a theory that examines the conditions of the possibility of knowledge, Hegel and Marx introduce a contemporary problematic of the historical conditions of the existence of knowledge within the framework of an onto-anthropology that they have profoundly transformed. They question an abstract metaphysics of universal history based on the idea of human nature because there can only be essence and hence knowledge within defined conditions of existence. But their disegreement centers on the manner in which to understand the relationship of the subject and his knowledge to their conditions of existence. The following principal questions are examined also through a comparison Hegel Marx: 1. Life and history. The complex structure of the relationship of living beings and their conditions of existence is at the base of the historicity of man and his knowledge. 2. History and development, history and production, time and logik. The relationship of the subject and of his development to history. 3. Conditions and end of historical activity. The relation of knowledge in relation to activity. Outline of a new conception of historical action and a new form of teleology
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Sahali, Sehi Armand. "Marx, le capitalisme et les paradoxes de l'économie contemporaine." Thesis, Poitiers, 2019. http://www.theses.fr/2019POIT5002.

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Abstract:
Les études récentes sur l'exploitation de l'individu dans le système capitaliste suggèrent une révision fondamentale de son approche. Le choix de la philosophie de Marx s'inscrit dans cette démarche. Sa théorie de l'exploitation, popularisée XIXe depuis le siècle jusqu'à nos jours, semble représenter les marges de son œuvre, plutôt que son noyau. La pertinence de sa critique s'actualise à mesure des mutations du capitalisme. Elle permet de saisir le noyau des paradoxes de l'économie contemporaine selon lequel : « la production capitaliste crée les conditions du bonheur de l'individu, pourtant ces conditions constituent une entrave à sa liberté ». Cette étude réalisée autour des théories économiques de Marx, propose une approche métastructurelle de la critique du capitalisme au XXIe siècle, tout en dégageant des pistes d'émancipation du travail. A ce titre, Marx s'engage dans une perspective réformatrice des principes de liberté et de justice sociale
Recent studies carried out on individual's exploitation in the capitalist system suggested a fondamental revision of its approach. Thus, Marx's theory of exploitation, popularized from the 19th century till today seems to represent the margins of his work rather than its core. The relevance of his criticism is updated as changes occur in capitalism. It allows us to grasp the core of paradoxes of contemporary economics according to which: “capitalist production creates the conditions for individual's happiness, yet these conditions constitute an obstacle to his freedom''. This study carried out around the economic theories of Marx suggest a metastructural approach to the critique of capitalism in the 21st century while identifying avenues for individuals' emancipation from. At this level, Marx engages in a perspective of reforming the principles of freedom and social justice
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Verrier, Philippe. "Le problème de la valeur d'usage chez Marx." Paris 10, 1985. http://www.theses.fr/1985PA100266.

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Sereni, Paul. "Individualité et communauté dans la pensée de Marx : transparence collective et créativité singulière." Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100034.

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Abstract:
A partir de la mise au centre de la transparence sociale dans les representations du communisme chez marx, l'auteur tente de definir les conceptions marxistes d'une reconciliation integrale du libre developpement des facultes individuelles et de la transparence communautaire. Cette preoccupation, qui apparait comme un fil directeur de la pensee de marx, eclaire les conceptions de l'individualite comme force productive, ainsi que l'etude des societes precapitalistes et l'etude des formes de cooperation dans la production capitaliste.
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Le, Mest Gwénolé. "Travail productif et travail improductif dans l'œuvre de Karl Marx." Paris 10, 1986. http://www.theses.fr/1986PA100085.

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Abstract:
Les notions de travail productif et improductif sont conçues comme principes d'interprétation de l'ensemble de l'œuvre de Marx dans ses multiples dimensions: théorique, sociologique, politique, historique, idéologique. La spécificité du travail productif de plus-value est analysée à partir des catégories de valeur d'usage et de valeur: cette analyse tend à montrer que les notions de travail productif et improductif sont des produits théoriques susceptibles de servir à l'analyse d'un mode de production historique donne et que la production de plus-value doit être pensée dans le cadre d'une théorie générale de la productivité du travail. Le second aspect de la dimension théorique concerne l'analyse de l'évolution du mode de production capitaliste envisagée toujours à partir de la question de l’articulation travail productif - productivité du travail. Dans quelle mesure le mode de production capitaliste remplit-il sa "mission historique", celle du développement de la productivité du travail, tout en maintenant la possibilité d'une exploitation accrue de la classe productive? Il y a contradiction entre les deux objectifs, de telle sorte que cette exploitation s'exerce sur un nombre toujours plus restreint de travailleurs ce qui est manifeste dans toutes les analyses qu'il fait du mode de production capitaliste, c'est que Marx se préoccupe du sort de la classe productive. Les conclusions politiques de la théorie ont pu sembler trop téléologiquement révolutionnaires, mais peut-être faut-il examiner la dimension politique avec un point de départ non-théorique et penser les raisons de la foi révolutionnaire en investissant la dimension historique. La théorie du socialisme scientifique doit être, selon l'auteur, envisagée à partir d'une analyse des branches d'activités considérées comme improductives du point de vue d'ensemble du mode de production capitaliste. La thèse comporte une étude du rapport de Marx à ses prédécesseurs
The notions of productive and unproductive labor are conceived as princips for an interpretation of Marx’s works in their varied dimensions: theoretic, sociological, political, historical, ideological. The specific productive labor of surplus-value is analyzed with the notions of useful value and value: this analysis proves that the notions of productive and unproductive labor are theoretical products liable to serve for the analysis of an historical mode of production and that the production of surplus-value must be thought in the framework of a general theory of productivity. The second aspect of the theoretic dimension analyses the capitalist mode of production's development always considered from the question productive labor - productivity of labor. The capitalist mode of production's historical mission consists in the development of the labor’s productivity but it must maintain an increased exploitation affecting the productive class. These two aims are contradictory and the exploitation concerns an always more limited number of workers. The destiny of the productive class preoccupies Marx. The political conclusions of his theory are sometimes considered as too teleologically revolutionary, but the political dimension must be perhaps examined from an untheoretic starting point and the reasons of the revolutionary faith thought from an exploration of the historical dimension. According to the author, an analysis of the labor’s sectors considered as unproductive from the capitalist production's mode general point of view can contribute to the scientific socialism's theory. The relation between Marx and his predecessors is studied in this thesis
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Le, Mest Gwénolé. "Travail productif et travail improductif dans l'oeuvre de Karl Marx." Lille 3 : ANRT, 1986. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb375991413.

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Foufas, Nikolaos. "Le concept d’aliénation de Rousseau à Marx : continuités et transformations." Thesis, Paris 10, 2015. http://www.theses.fr/2015PA100103/document.

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Abstract:
La présente étude s’interroge sur le concept d’aliénation, et plus spécifiquement sur sa genèse, son déploiement, son histoire particulière, ses configurations complexes, ses multiples transformations. Trois auteurs sont privilégiés : Rousseau, Hegel, Marx. La tentative d’examiner la notion d’aliénation dans sa forme rousseauiste, hégélienne et jeune-marxienne, a comme point de départ la critique d’Althusser selon laquelle ce concept relèverait d’une vision abstraite, métaphysique, de l’histoire et de l’activité des agents humains. D’après Althusser, l’aliénation est en effet l’expression humaniste d’une philosophie du retour aux origines et de la réunion avec une essence humaine qui se serait perdue. La philosophie de l'aliénation contractuelle (comme fondement de l’institution d’une communauté politique chez Rousseau), la mise en question de la positivité historique dans les écrits du jeune Hegel, et finalement la critique du travail aliéné forgée par le jeune Marx dans ses Manuscrits de 1844, ne seraient-elles toutes au fond que des variations autour d’une même conception essentialiste de l’histoire humaine ? S'écartant d'une telle disqualification indifférenciée, la thèse se propose de mettre en valeur la réflexion originale et singulière que chacun de ces trois auteurs élabore au sujet de l’aliénation, tout en essayant de mettre en lumière ce qu’ils partagent, malgré leurs différences. Car en parlant d'aliénation, il s'agit toujours d'interroger la perte mutilante d’un rapport à soi, à autrui et au monde socialement induite. Et il s'agit toujours aussi de concevoir des conditions historiques jugées dégradantes que l'on doit pouvoir dépasser. En d’autres termes, ce travail se propose de montrer non seulement que l’aliénation ne se réduit pas à une notion abstraite et naïvement humaniste, mais qu’elle forme également un repère incontournable, dès lors qu’elle prend au sérieux la tâche de penser l’impossibilité, pour certains groupes ou certaines classes sociales, de se réaliser et de s'épanouir, sur fond d'une privation durable de ce que peuvent apporter des rapports à soi, aux autres et au monde suffisamment riches et variés
This study examines the concept of alienation, and focuses more specifically on its genesis, its deployment, its particular history, its complex configurations, its multiple transformations. Three authors are highlighted: Rousseau, Hegel, Marx. The attempt to examine the concept of alienation in the forms that Rousseau, Hegel and the young Marx give it, has as its starting point the criticism of Althusser according to whom this concept rises from an abstract, metaphysical vision of history and from the activity of human agents. According to Althusser, alienation is indeed the humanistic expression of a philosophy of the return to the origins and of a reunion with a human essence that might have been lost. The philosophy of contractual alienation (as the basis for the institution of a political community in Rousseau), the questioning of the historical positivity in the writings of the young Hegel, and finally the critique of alienated labor forged by the young Marx in his Manuscripts of 1844, would they basically all be variations around the same essentialist conception of human history? Diverging from such an undifferentiated disqualification, the thesis proposes to develop the original and singular reflection that each one of these three authors is developing on the subject of alienation, while trying to highlight what they share, despite their differences. Because, speaking of alienation, is always here to question the socially induced mutilating loss of a relation to oneself, to others and to the world. And it is also always a subject to conceive historical conditions considered degrading that must be overcome. In other words, this study intends to not only show that alienation cannot be reduced to an abstract and naively humanist concept, but that it also forms a key benchmark, since it takes seriously the task of thinking of the impossibility for certain groups or certain social classes to achieve self-realization and thrive, amid a sustained deprivation of what can be provided by sufficiently rich and varied relations to oneself, to others and to the world
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Radonjic, Tatjana. "Marxisme et théorie de la connaissance le travail de Marx, Engels et Lénine /." Lille 3 : ANRT, 1987. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37609106w.

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CAMARA, M. TAULOMCET. "La notion de violence dans l'oeuvre de marx et engels. Signification et valeur." Paris 1, 1987. http://www.theses.fr/1987PA010585.

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L'oeuvre de karl marx et de friedrich engels apparait comme une critique et une denonciation des rapports antagoniques et violents de la propriete privee d'exploitation economique. A un certain degre de leur developpement, ces rapports conflictuels d'interets de classes s'expriment par la violence. C'est une violence d'interet economique, au service de la classe la plus puissante economiquement. Elle est de circonstance et, grance au developpement des forces et des rapports de production, elle doit disparaitre par l'acte revolutionnaire de sa confiscation des mains du capitalisme par le proletariat qui devra en faire un bon usage. La maitrise necessaire de la violence par le proletariat comme arme de conquete du pouvoir socialiste, au profit de tous, sera le dernier acte arbitraire de son utilisation, sans lequel la possibilite d'expression d'une societe plus juste reste un pur ideal defini par le philosophe.
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Radonjic, Tatjana. "Marxisme et théorie de la connaissance : le travail de Marx, Engels et Lénine." Paris 10, 1987. http://www.theses.fr/1987PA100047.

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Abstract:
Ce travail trace la constitution de la théorie de la connaissance marxiste à travers l'œuvre de Marx, Engels et Lénine. Un de ses thèmes principaux est la comparaison entre la théorie de la connaissance matérialiste et la gnoséologie traditionnelle (Kant, Hegel, les empiristes). Le premier chapitre ("les premiers repères : idéalisme et matérialisme") analyse les œuvres de jeunesse de Marx - sa critique de l'idéalisme objectif de Hegel et du matérialisme subjectif de Feuerbach. Dans le deuxième chapitre nous expliquons la spécificité de la méthode dialectique matérialiste de Marx par rapport à celle de Hegel (texte de l'introduction de 1857 à la contribution), la dialectique des formes dans le capital qui représente son apport à la gnoséologie, et la dialectique d’Engels. L'ensemble de ces idées éclaircit les différences fondamentales et insurmontables entre le marxisme et la pensée empiriste qui domine la philosophie de science depuis le 18e siècle, donc le titre du chapitre : "matérialisme et empirisme". Nous concluons ce travail avec une analyse de travail philosophique de Lénine ("gnoséologie du reflet") dans son contexte scientifico-politique. Par le moyen de son travail sur la théorie de la connaissance Lénine crée un étayement théorique pour le marxisme, ainsi qu'une nouvelle manière de philosopher. Cela dit, dans ce dernier chapitre nous assistons à la constitution d'une théorie de la connaissance à la fois matérialiste et marxiste. Ce travail; connu sous le nom de la théorie du reflet, nous permet de penser ensemble le matérialisme historique et le matérialisme dialectique, mais aussi de critiquer tous les concepts d'un point de vue matérialiste, et donc il permet une assimilation par le marxisme des éléments matérialistes venant de tous les domaines. Pour assumer sa fonction critique le marxisme nécessite une théorie de la connaissance
This work traces the formation of a Marxist theory of knowledge through the works of Marx, Engels and Lenin. One of its principal themes is the comparison between the materialist theory of knowledge and the traditional epistemology (Kant, Hegel, the empiriciss). The first chapter ("first signs: idealism and materialism") analyses the work of young Marx - his critique of Hegel’s objective idealism and Feuerbach’s subjective materialism. In the second chapter we explain the specificity of the materialist dialectical method of Marx through its differences with that of Hegel (the text of the introduction of 1857 to the contribution), the dialectics of form in the capital which represents its contribution to epistemology, and the dialectic of Engels. Together these ideas clarify the fundamental and unsurmountable differences between Marxism and empiricism. A theory that has dominated the philosophy of science since the 18th century. Hence the title of the chapter: "materialism and empiricism". We conclude this work with an analysis of Lenin’s philosophical works ("gnoseology of reflection"). In its scientific and political context. By means of his work on the theory of knowledge Lenin creates a theoretical support for Marxism as well as a new way of philosophizing. In that last chapter, then, we witness a constitution of a theory of knowledge that is Marxist and materialist. Known under the name of the theory of reflection it allows us to understand historical materialism and dialectical materialism as a whole, and also to criticize all concepts from a materialist point of view, hence it permits Marxism to assimilate all materialist elements originating in any domain of knowledge. In order to accomplish its critical function Marxism necessitates a theory of knowledge
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Noppen, Pierre-François Marion Jean-Luc. "Marx, Horkheimer, Adorno et le projet d'une théorie post-hégélienne de la dialectique." Paris : Université Paris Sorbonne - Paris IV, 2008. http://www.theses.paris4.sorbonne.fr/noppen/paris4/2007/noppen/html/index-frames.html.

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Touboul, Hervé. "Le problème de l'individu dans l'Idéologie allemande de Marx et Engels." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010559.

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Abstract:
C'est une vision courante de l'oeuvre de Marx, et de celle de Engels, que celle qui affirme que les individus y sont vus comme determiées par des rapports sociaux. Pourtant presque toujours, ces oeuvres disent qu'il n'existe que des individus, qu'il faut même aller vers la individus réels, que la philosophie n'a fait que transformer en généralités. Partir des individus, cela veut dire, pour Marx et Engels, dans l'idéologie allemande, retourner les généralités de cette philosophie, et plus particulièrement celles de celui en qui son histoire aboutit : Hegel. Ce dernier finit la science de la logique par un chapitre sur l'individu vivant, il faudrait bien plutôt commencer par lui. Cependant, Marx et Engels, faute de s'arrêter suffisamment à l'unité de la pensée et de l'être, présupposée et posée par Hegel, ne voient pas que ce dernier distingue commencement réel et commencement logique, et font de lui, à la suite de Feuerbach, un penseur platonicien. Ils se trompent et de là tournent dans le système hegelien, se retrouvant à une pensée de l'essence de l'homme ramenée à l'activité materielle, et qui reconduit la philosophie qu'ils pensaient quitter. En même temps, un certain nombre de textes de Marx, contenus le plus souvent dans des brouillons développent une critique pertinente de l'effectivité hegelienne, et du devenir infini du fini: ils introduisent à une dialectique de la finitude se doublant d'une pensée de la démocratie politique et économique.
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Lainé, Mathieu-Joffre. "David Ricardo, Karl Marx et l'antagonisme nécessaire des intérêts de classe." Doctoral thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27601.

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Abstract:
La théorie de la valeur-travail élaborée par l'économiste anglais David Ricardo (1772-1823) a rapidement été mise à profit par les théoriciens socialistes afin de démontrer l'iniquité du salariat et pour donner une base à un système socialiste de production et d'échange ; Karl Marx (1818-1883) l'a subséquemment développée à titre d'explication de l'ensemble du processus de la production capitaliste, il en a fait le principe de la lutte des classes. Rédigée dans une perspective contextualiste, cette thèse vise donc à démontrer minutieusement, par la théorie et par l'histoire à la fois, que Marx emploie intentionnellement la théorie économique ricardienne dans le Capital afin de convaincre son premier public, principalement composé des membres de l'école historique d'économie politique allemande (« Historische Schule der Nationalökonomie »), de l'antagonisme nécessaire des intérêts de classes. Mais cette thèse vise également à démontrer l'insuffisance fondamentale de l'interprétation hégélienne du Capital. Cette interprétation présente non seulement des difficultés exégétiques rédhibitoires, mais elle nuit malheureusement à la bonne compréhension des textes de Marx et de Hegel. Marx pense la lutte des classes en termes ricardiens et non pas en termes hégéliens. Et contrairement à ce l'on a d'abord proclamé au début du XXe siècle, la compréhension du Capital n'exige pas la compréhension de la philosophie de Hegel. En renouant dans cette thèse avec l'interprétation ricardienne du Capital, nous renouons avec la seule interprétation que Marx a lui-même publiquement et officiellement entérinée de son ouvrage — un fait historique avéré que la majorité des interprètes du Capital persiste encore aujourd'hui à ignorer. En soi, l'interprétation ricardienne du Capital n'est donc ni originale ni nouvelle. Elle ne possède pas non plus de panache philosophique. En revanche, elle a été corroborée par Marx, ce qui constitue un moyen sûr de réfuter ou d'écarter définitivement certaines interprétations que l'on a parfois données du Capital au cours du XXe siècle, a fortiori son interprétation hégélienne, et de contribuer par là à l'avancement des études marxiennes. En plus de rappeler, de revaloriser et de revendiquer l'héritage ricardien de Marx à l'aide d'un luxe inédit de précisions théoriques et historiques, cette thèse propose enfin de réinsérer la pensée économique et politique de Hegel dans la tradition caméraliste allemande (« Kameralwissenschaften »), une tradition intellectuelle à laquelle les interprètes hégéliens du Capital ont arraché Hegel afin de téléologiquement faire de lui le précurseur de Marx.
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Nkodia, Sébastien. "Conflits entre production et information dans la pensée économique de Karl Marx." Besançon, 1994. http://www.theses.fr/1994BESA1010.

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Abstract:
Refaisant le parcours du cheminement de la pensée de Karl Marx, et ce, à travers différentes perspectives successives marquant spécifiquement l'évolution de sa pensée, l'objectif est de cerner le moment ou Marx se tourne, d'une manière durable et définitive, vers le versant d'une problématique nouvelle et propre au domaine de l'information dans l'analyse du couple "production-information". Des lors, l'analyse du procès de production capitaliste fait rejaillir des catégories économiques a partir desquelles Marx déploie une analyse intra-catégorielle, inter-catégorielle et extra-catégorielle digne de l'effort en exergue, du même coup, les conflits, les tensions et le paradoxes inhérents et inscrits au cœur de cette problématique comme thesaurus de lecture possible du point de vue de l'information. Pour être les compagnons de la réalité de notre vécu de nos jours, ces conflits, ces tensions et paradoxes au cœur desquels se bat toute l'existence humaine, n'en demeurent pas moins dignes de l'intérêt, et, d'une analyse intra et inter-structurelle d'où procède cette situation de fait qui nous concerne tous encore aujourd'hui, plus que du temps de Marx
Going over the course of Karl Marx's thought through different successive points of view that specifically underline his thought, the aim is to grasp the time that Karks Marx's lasting and definite turning point towards the beginning of new problematics specific to the field of information in the analysis of the production-information couple. The analysis of the processing’s of capitalist production consequently throws light on the economic categories from which Marx realizes an intra-categorical, inter-categorical and extra-categorical analysis worthy of efforts, and depicts at the same time, the conflicts, the tensions and the paradox inherent and registered in the heart of the problematics like a thesaurus of a possible reading from the point of view of information. To be the companions of truth, of our experience in our days, these conflicts, these tensions and paradox in the heart of which the whole human existence is fighting still remains interest worthy, and, out of an intra and inter-structural analysis from which emerges this situation in the sense that it concerns us all even today, more than at the time of Marx
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Brouste, Pierre. "Contribution à l'étude du profit chez Marx." Paris 1, 1990. http://www.theses.fr/1990PA010008.

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Abstract:
La pensée de Marx est complexe, inachevée (son œuvre économique fondamentale, "Le Capital" représente moins du 1/6e de son projet total) et souvent en opposition aux théories marxistes. Cette thèse analyse certains aspects de la théorie de Marx laissés en friche en relation avec la théorie du profit et du taux de profit. C’est le cas, notamment, du Capital utilisé improductivement et des classes moyennes, de l'agriculture et du commerce extérieur. La seconde partie de la thèse traite des rapports entre le procès valorisation-dévalorisation du capital et la baisse tendancielle du taux de profit
Marx's thought is complex, unachieved (his main economic work « The Capital » performs less than 1 6 of his entire project) and often different from marxist theory. This thesis analyses some undevelopped aspects of Marx's theory and its links with the theory of profit and the rate of profit. It's the case of unproductive capital and the middle class, the agrar question and foreign trade. The second part of the thesis studies the process valorisation devalorisation andits relations with the falling rate of profit
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Cantin, Serge. "Le déni marxien du politique et sa répétition dans le "Marx" de Michel Henry." Montpellier 3, 1988. http://www.theses.fr/1988MON30016.

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Abstract:
En prenant pour point de depart la delicate question du rapport entre la pensee de marx et le marxisme totalitaire, l'auteur vise non pas tant a repondre a cette question qu'a montrer a quel point son examen se heurte, a quelques rares exceptions, a une attitude profondement ancree dans notre tradition de pensee politique. Au nombre de ces remarquables exceptions figure, au tout premier rang, le nom de hannah arendt, dont l'auteur endosse pleinement le jugement selon lequel "la majeure partie de la philosophie politique s'interpreterait aisement comme une serie d'essais en vue de decouvrir les fondements theoriques et les moyens pratiques d'une evasion definitive de la politique". Que ce diagnostic quasi psychanalytique puisse s'appliquer aussi bien a marx lui-meme qu'a son plus profond exegete vivant, telle est la these avancee dans cette recherche, dont les trois parties s'articulent autour de l'examen critique de la methode et des presupposes mis en oeuvre dans le monumental marx de michel henry (gallimard, 1976). Si discutable que soit l'approche dichotomique et manicheenne pratiquee par m. Henry (heterogeneite absolue de marx et du marxisme), et si precaire que paraisse le lien entre sa philosophie de la vie et la philosophie marxienne du travail, rien n'importera davantage dans cette these que de mettre en evidence leur commune denegation du politique et d'en rechercher le mobile dans le desir, qui obsede la conscience philosophique depuis platon, de ramener a l'unite et a l'identite du meme la dimension de pluralite et d'alterite inherente a la presence humaine dans le monde
Although the sensitive question of a connection between totalitarian marxism and marx's own thought is a starting point for this study, the author doesn't tackle it directly, but rather shows how its investigation, with just a few exceptions, has put up with an attitude which is deeply rooted in our tradition of political writing. Among those remarkable exceptions stands out hannah arendt, whose position the author fully endorses, namely when she states that "the greater part of political philosophy could easily be interpreted as a series of essays which try to discover theoretical foundations and practical means for a permanent escape from politics". The thesis propounded in this study is that this quasi psychoanalytic diagnosis of the western tradition of political thinking can be applied as well to marx himself as to his most profound living exegete. The three parts of the study hinge on a critical scrutiny of the method and postulates which go into the making of michel henry's marx (gallimard 1976). However debatable may be m. Henry's dichotomous and manicheic approach (an absolute heterogeneity between marx and marxism), however shaky may be the link between henry's own philosophy of life and the marxian philosophy of labor, the most important objective of the present thesis is to make evident their common denial of politics and to show how this denial rests on a need to reduce to unity and identity the manifold plurality and otherness of the human predicament in the world, this need being and obsession of the philoso
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Nogbou, Ebisseli Hyacinthe. "Le dépérissement de l'État dans la philosophie de Karl Marx." Paris 8, 2005. http://www.theses.fr/2005PA082551.

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Trevini, Bellini Alessandro. "Suspension du Capital-Monde par la production de la jouissance : Marx entre Aristote et la phénoménologie." Thesis, Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100157/document.

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Abstract:
La « suspension du Capital-Monde par la production de la jouissance » annonce quelque chose qui tient à l'ordre du politique, et qui concerne pleinement la pensée de Marx. Comme notre sous-titre l'indique, il s'agit de saisir le sens du capital comme « Capital-Monde » grâce à la phénoménologie, et de penser la production comme « production de la jouissance » grâce à la pensée de la praxis offerte par Aristote. Nous acceptons donc le défi d'une lecture de l'oeuvre de Marx qui soit capable de le libérer à la fois du marxisme et de l'horizon de la philosophie moderne, afin d'en déceler l'ontologie à l'oeuvre dès les écrits de jeunesse. Ainsi, nous chercherons à thématiser le problème de la domination du capital, car Marx n'a pas fini de nous apprendre à analyser l'essence du capitalisme et de nous montrer dans quelle direction nous tourner pour tenter de produire autrement, c'est-à-dire pour agir librement et jouir de nos oeuvres. À partir du débat sur le jeune Marx, nous nous livrerons à une sorte de généalogie de la constitution de son ontologie. Ce parcours, semé d'impasses, occupera presque tout le reste de notre travail. Dans cette perspective, notre problème consistera d'abord à saisir le « dispositif logique » des Manuscrits de 44, pour montrer qu'en tant que eidétique matérielle, il permet de comprendre la formalité qui fondera ensuite Das Kapital. Notre tâche consistera en même temps à saisir la notion marxienne d'activation, pour montrer qu'en tant que praxis constitutive elle rend possible la suspension de la totalité des conditions philosophiques de fonctionnement du Capital-Monde
The “suspension of the World–Capital by enjoyment production” announces something which belongs to the political order, and which fully concerns Marx’s thinking. As the subtitle indicates it aims to grasp the meaning of capital as “World Capital” thanks to the phenomenology, and to think about production as an “enjoyment production”, thanks to the praxis given by Aristotle. We therefore accept the challenge of a reading of Marx’s work, liberated both from Marxism and the modern philosophy horizon, in order to reveal the ontology at work since his early writings. In this respect, we will try to topicalise the issue of the domination of capital. Indeed, Marx did not finish to teach us how to analyse the essence of capitalism and to show us in which direction to take in order to produce differently i.e. to act freely and enjoy our works. Starting from the debate on the young Marx, we will indulge in a sort of genealogy of the constitution of his ontology. This road, full of deadlocks and blind-alleys, represents the main part of our work. In this context, our problem consists mainly in grasping the “logic device” of the 44 manuscripts in order to show that as an eidetic material it permits to understand the formality which will then found Das Kapital. Our duty will consist at the same time to seize the Marxian notion of activation in order to show that as a constitutive praxis, this notion makes possible the suspension of the totality of the functioning philosophical conditions of the World-Capital
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Amer-Meziane, Mohamed Aït. "Empire et sécularisme : les théologies politiques de l'orientalisme : des Lumières à Marx." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H213.

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Abstract:
L'Occident se serait sécularisé lorsque l'islam aurait échoué : cette frontière organise les discours de l'Occident séculier. L'islam y apparaît sous la figure d'une impossible sécularisation, comme un processus dont l'échec historique enfanterait une Loi religieuse. Faire l'histoire de cette frontière est l'objet de cette enquête. Le tracé de cette frontière a permis à la sécularisation de s'énoncer comme un mot d'ordre bien avant que ce mot ne désigne le processus d'émergence des sociétés modernes. Le concept de sécularisation est saisi comme l'effet d'une géographie des religions mondiales qui les compare et les hiérarchise. L'histoire de cette frontière commence avec l'Expédition d’Égypte et se formalise à Berlin, au croisement de l'hégélianisme et de l'orientalisme savant. Elle se déploie ensuite à travers le républicanisme français et structure son rapport à l'Afrique en même temps qu'elle infiltre les réformes culturelles qui mèneront à l'Empire allemand. A travers l'histoire de cette frontière et de ses déplacements, c'est un processus d'enchevêtrement permanent des modèles dits de « sécularisation » et de «laïcité» qui apparaît. Sécularisme est le nom de cet enchevêtrement qui semble être indissociable des circulations impériales qui s'effectuent au XIXe siècle
How did the boundary between a secular West and a theocratic Islam emerge? When did Islam appear as an impossible secularization, as a religious Law supposed to stem from its historical failures? This work is a history of this boundary of secular reason. It shows how the very concept of secularization emerged from a religious geography through a study of Nineteenth Century French and German Imperial Thought. It begins with the Enlightenment and the French Expedition in Egypt and studies Hegelianism as an early form of Secularism. It studies the mutations of this boundary through French Republicanism in its relation to Africa and through the German Imperial tradition in its relation to the Ottoman Empire
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Mercier-Josa, Solange. "De la thématique du conflit à l'exploration de l'entre Hegel et Marx." Paris 10, 1993. http://www.theses.fr/1993PA100058.

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Abstract:
Notre propos initial mis en oeuvre dans le tome I de la thèse, éléments pour penser la thématique du conflit dans la pensée occidentale, était de savoir lire au plus près la section A du chapitre IV de la Phénoménologie de l'esprit, de comprendre ce que très précisément Hegel entendait par combat pour (de) la reconnaissance, par rapport de la maîtrise et de la servitude, par conscience de soi universelle. Nous avons cherché à rendre intelligible le thème hégélien d'un conflit originel constitutif de la formation de la conscience de soi libre par une mise en connexion des sept versions hégéliennes du combat pour (de) la reconnaissance de 1802 à 1830, par une détermination en amont de l'écart entre la thématique hégélienne et le statut du conflit chez Platon et Aristote (stasis et polemos), le statut de '"l'état de guerre" inhérent à l'état de nature chez Hobbes et Rousseau, en mettant, en aval, à l'épreuve la force de résistance du texte hégélien vis-à-vis de la critique Marx-Engelsienne, de la généalogie nietzchéenne, de la métapsychologie et de la psychanalyse freudiennes. Dans nos deux livres, pour lire Hegel et Marx, retour sur le jeune Marx, et dans le tome III, nous avons déplacé notre problématique en cherchant à repenser cela même qui avait été pensé par Marx en déséquilibrant son texte par la lecture de Hegel, de ce qui l'avait été par Hegel en déséquilibrant le texte de celui-ci par la lecture de Marx. Nous avons proposé de définir le "renversement" de Hegel par Marx comme métaphore de l'acte de démétaphorisation, l'effort pour dire au propre ce qui avait été dit au figuré. Cependant, par-delà la critique marxienne de l'inconséquence ou de l'illusion du philosopher hégélien sur le rapport entre droit politique et droit abstrait, sur l'histoire en tant qu'histoire de l'esprit, nous avons montré en quoi Marx restituait un droit de cité théorique postcritique à la conceptualité hégélienne
My initial aim, when writing the first volume of my thesis, the them of conflict in Western thought, was to read as closely as possible section A of chapter IV of the Phenomenology of Spirit, to understand precisely what Hegel meant by struggle for (or of) recognition, relation of lordship and bondage, and by universal self-consciousness. I have tried to make intelligible the hegelian thesis of an original conflict, constitutive of the formation of free self-consciousness. I did this via connecting the seven hegelian versions of the struggle for (of) recognition written between 1802 and 1830, initially by a determination of the discrepancy between Hegel's thematics on the one hand, and, on the other, the status of conflict in Plato and Aristotle (stasis and polemos) and of the "state of war" inherent within the state of nature in Hobbes and Rousseau. Subsequently, I tested the degree of resistance of the Hegelian text vis-à-vis Marx and Engel's criticism, Nietzsche's genealogy and Freud's metapsychology and psychoanalysis. In my two books, Hegel and Marx, and in volume III, I have shifted the focus of my problematic, attempting ti rethink what had been thought by Marx, unbalancing his text by the reading of Hegel, and what had been thought by Hegel via the reading of Marx. I have suggested to define Marx's "inversion" of Hegelas a metaphor of the act of demetaphorisation, that is as the endeavour to say litteraly what had been said figuratively. However, beyond the marxian criticism of the incoherence or the illusion of hegelian philosophizing on the relation between political right and abstract right, on history
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Choe, Hong-Gyo. "Essai sur les théories de la crise des classiques et de Marx." Paris 10, 1995. http://www.theses.fr/1995PA100010.

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Abstract:
Dans ce travail, nous avons examiné la théorie classique. La critique de Marx sur la théorie classique et discute l'itinéraire théorique au cours de sa critique de la théorie classique. Puis nous avons discuté la théorie de la crise dans le capital. Chez les classiques se présentent déjà des concepts et des idées importants, malgré leur forme rudimentaire et des confusions. Dans ce travail, nous avons examiné l'aspect de continuité et de dépassement entre les idées classiques et celles de Marx, à savoir l'influence des classiques sur la formation de la pensée de Marx. Deuxièmement, nous avons discuté l'évolution des idées de Marx qui se trouve explicitement ou implicitement dans sa critique dans les Grundrisse, les théories de la plus-value. Puis en discutant les théories des crises dans le capital, nous avons abordé de façon critique les problèmes lies à la théorie de la crise
In this thesis, we examined classical theories, Marx’s critic on them, while discussing the theoretical itinerary which can be found in his critic. We also discussed the crisis theories in capital. In classical theories, one can find the important concepts and ideas on crisis, even if they are present in rudimentary and confused form. We examined what Marx had succeeded to and what he surpassed classical economists, that is, the influence of the latter economists on Marx. Second, we discussed the evolution of Marx’s thought on crisis which is found, explicitly or implicitly, in his critic presented in Grundrisse, theories of the surplus value. In discussing the theories on crisis in capital, we discussed the problem posited in the crisis theory of Marx
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Monferrand, Frédéric. "Marx, ontologie sociale et critique du capitalisme : une lecture des manuscrits économico-philosophiques de 1844." Thesis, Paris 10, 2016. http://www.theses.fr/2016PA100035.

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Abstract:
À quel type d’ontologie fait-on appel lorsqu’on affirme que le capitalisme est une forme d’organisation sociale spécifique et historiquement dépassable ? C’est pour répondre à cette question que nous entreprenons dans cette étude une lecture des Manuscrits économico-philosophiques de 1844. À partir de l’analyse de leur contexte jeune-hégélien d’élaboration comme des enjeux de leur réception dans le marxisme, nous soutenons la thèse selon laquelle Marx s’appuie dans ces manuscrits sur une description critique de l’expérience de l’aliénation pour développer une ontologie processuelle de la société. Cette ontologie conjugue une théorie des formes aliénantes qui structurent le monde social (argent, division du travail, propriété privée) à une théorie du contenu aliéné sous ces formes (forces et objets essentiels, nature et être générique). Le modèle critique qui se dégage ainsi – que nous proposons de qualifier de « critique ontologique du capitalisme – a produit de profonds effets sur les différentes tentatives accomplies, de Herbert Marcuse à Louis Althusser et de Georg Lukács à Antonio Negri, pour conférer au projet d’une transformation radicale de la société l’ontologie qu’il mérite. Et c’est par l’évaluation de ces effets qu’il est possible de poser à nouveaux frais la question des ruptures et des continuités entre les Manuscrits de 1844 et Le Capital
What type of ontology is mobilized when one asserts that capitalism is a form of social organization which is specific and can be historically overcome? In order to answer this question, we proceed in this study to a reading of the Economic and Philosophic Manuscripts of 1844. Starting with an analysis of their young-Hegelian context of elaboration as well as of the stakes of their reception within Marxism, I argue that Marx in these manuscripts builds upon a critical description of the experience of alienation to develop a processual ontology of society. This ontology combines a theory of the alienated forms that structure the social world (money, division of labour, private property) and a theory of the content alienated under these forms (essential forces and objects, nature and species-being). The critical model that emerges here – which can be described as a “critical ontology of capitalism” - has produced profound effects on the different attempts by theoreticians, from Herbert Marcuse to Louis Althusser and from Georg Lukács to Antonio Negri, to confer to the project of a radical transformation of society the ontology it deserves. And it is by the evaluation of its effects that it become possible to formulate anew the question of the ruptures and continuities between the Manuscripts of 1844 and Capital
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García, Vivien. "Le sort de la philosophie : Michel Bakounine, Friedrich Engels, Karl Marx, Max Stirner : quatre itinéraires jeunes-hégéliens (1842-1843)." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2015. http://www.theses.fr/2015GREAP003.

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Abstract:
Ce n’est guère le mouvement jeune-hégélien qui vient immédiatement à l’espritlorsque sont évoqués les noms de Bakounine, d'Engels, de Marx ou même deStirner. Le premier et le dernier sont généralement associés à l’anarchisme,les deux autres, plus indubitablement encore, au marxisme. L'histoire de cespersonnages et le devenir de leurs œuvres n'ont pu que faire de l'ombre à leurappartenance commune et concomitante, trente ans avant que ne se cristallisentlesdits courants politiques, à ce qui a parfois été apparenté à une écolephilosophiqueLa présente thèse propose une lecture immanente, laquelle ne s'efforce pasmoins de restituer un contexte, des principaux écrits rédigés par ces auteursentre 1842 et 1843. La pensée de chacun d'entre eux est présentée dans sesinterrogations et ses enjeux propres, en s'intéressant aux emprunts et auxinnovations conceptuelles réalisées pour y répondre et tout en maintenantd’incessants aller-retours avec le champ problématique relatif au mouvementdans lequel elle prend corps et s’introduit.Il ne s'agit pas, par là, de procéder à une simple mise au point en matièred'histoire des idées. L'un des intérêts majeurs des textes abordés réside dansce qu'ils nous disent, dans une perspective post-hégélienne, de la philosophie.Les descriptions du présent que l'on trouve dans ces textes concordent, eneffet, quant à l'impossibilité d'établir l'unité du rationnel et de l'effectif.Tout reste encore à faire pour qui ne renonce pas à la réalisation de laliberté dans l'histoire. À suivre Hegel, pourtant, la philosophie doit secontenter de décrire ledit procès ou ses résultats. Doit-on se résoudre à ceque la philosophie ne puisse concourir à un destin dont elle a donné la clé ?N'est-il pas possible de la renouveler ? Et comment ? S'agit-il plutôt d'ensortir et d'imaginer d'autres formes d'intervention théoriques et pratiques ?Et qu'en est-il alors de ce qui reste de philosophique ?
The names of Bakunin, Engels, Marx, or Stirner are hardly ever associated withthe Young Hegelian movement. Bakunin and Stirner are generally associated withanarchism and Marx and Engels with marxism. Their lives and the fate of theirworks could do no more than obliterate the mutual and concomitant contributionsof these authors to what has sometimes been described as a philosophicalschool. This participation, in any case, occured thirty years before thecristallisation of the aforesaid political movements.This research proposes an immanent, and at the same time contextual, reading ofthe main texts written by these authors between 1842 and 1843. The theories ofeach of them are presented in accordance with their own questions and issues,focusing on the conceptual borrowings and innovations realised as aconsequence. They are expounded through a perpetual to and fro between theproblematic field related to the movement from which they were born and inwhich they participated.Nevertheless this study cannot be reduced to a mere contribution to the historyof ideas. One of the key interests of the analysed texts lies in what they tellus, from a post-hegelian perspective, about philosophy. When they describetheir epoch, they all conclude that there is no identity of the rational andthe real. There is still much to do for those who do not abandon the idea of therealisation of freedom in history. However, according to Hegel, philosophy canonly describe the process or the results of this realisation. Cannot philosophycontribute to the destiny it revealed? And if not, is it possible to renewphilosophy? How? Would an exit from philosophy be preferable? Other forms oftheoretical and practical intervention could be invented. But then, what aboutthe "philosophical" that remains?
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Jappe, Anselm. "La critique du fétichisme de la marchandise chez Marx et ses développements chez Adorno et Lukács." Paris, EHESS, 2000. http://www.theses.fr/2000EHES0020.

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Abstract:
Quelle est la signification du concept de "fetichisme de la marchandise" chez marx ? l'analyse philologique de tous ses ecrits concernant la critique de l'economie politique demontre que marx ne critique pas les fausses representations de la realite capitaliste, mais l"'inversion reelle" causee par la valeur : toute l'activite sociale prend la forme de son contraire, la valeur. Il s'agit d'une veritable "faussete ontologique". Selon cette interpretation, on ne trouve pas au centre de l'oeuvre de marx la notion de lutte de classe, mais la critique des categories pseudo-naturelles qui sont a la base de la socialisation capitaliste : la marchandise, l'argent, la valeur, le travail abstrait. Cette interpretation mene donc a une critique du marxisme traditionnel et a la mise en question de la glorification du travail. Dans cette perspective sont discutees les oeuvres d'auteurs marxistes peu connus en france tels que krahl, kurz, postone, rosdolsky, sohn-rethel, mais aussi roubin et le jeune lukacs. La dialectique n'apparait plus comme une loi de tout devenir, mais comme la description appropriee de la realite capitaliste. Celle-ci se developpe necessairement a partir de sa "cellule germinale": la structure de la marchandise. Ce fait demontre l'urgence d'une interpretation "logique" et non seulement "historique" du capitalisme. La deuxieme partie de la these examine les contributions de theodor adorno et de georges lukacs a cette "critique de la valeur" et leurs limites, en demontrant que chez eux manque une veritable distinction entre nature et societe. Cela implique des incomprehensions a l'egard de la theorie marxienne de la valeur. Leurs theories esthetiques, opposees entre elles, sont examinees a partir de leurs jugements portes sur balzac et le "realisme", pour conclure qu'elles ne tiennent pas assez compte des consequences auto-destructrices amenees par la logique de la marchandise. C'est ici que les theses de guy debord sur la fin de l'art s'averent utiles. Il parait donc necessaire de partir de la theorie du fetichisme, elargie au champ anthropologique, pour arriver a une nouvelle theorie de la relation entre la culture et la societe basee sur la valeur.
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GOMEZ, ANDRE VILLAR. "LA DIALECTIQUE DE LA NATURE DE MARX: L ANTAGONISME ENTRE CAPITAL ET NATURE." PONTIFÍCIA UNIVERSIDADE CATÓLICA DO RIO DE JANEIRO, 2004. http://www.maxwell.vrac.puc-rio.br/Busca_etds.php?strSecao=resultado&nrSeq=4924@1.

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Abstract:
COORDENAÇÃO DE APERFEIÇOAMENTO DO PESSOAL DE ENSINO SUPERIOR
Cette étude présente les réfléxions de Marx sur la relation entre l homme et la nature à travèrs le concept de dialectique de la nature. Distinct du concept de dialectique de la nature de Engels, selon lequel il existirait un procès dialectique inhérent aux domaines de la nature, independement de toute intervention humaine, le concept de dialectique de la nature de Marx est fondé sur une de ses plus importants formulations théoriques: le concept de praxis. Dans l oeuvre de Marx, la dialectique de la nature surgit du insupprimable pròces de échange matériel entre l homme et la nature, mediatisé par le travail. Aprés la formulation du concept en question, cette étude aborde le problème de la aliénation du travail qui surgit avec le système du capital, signalant l observation marxienne du profond antagonisme instauré par le capital dans le procès de échange matériel entre l homme et la nature. Cette étude montre finalement que, selon Marx, la fin de cet antagonisme est lié à la construction d une nouvelle forme histórique, qui soit au delà des étroites et alienés horizons reproductifs du système de métabolisme social du capital.
Este estudo apresenta as reflexões de Marx sobre a relação entre o homem e a natureza através do conceito de dialética da natureza. Distinto do conceito de dialética da natureza de Engels, segundo o qual existiria um processo dialético inerente aos domínios da natureza, independentemente de toda intervenção humana, o conceito de dialética da Natureza de Marx está fundado sobre uma de suas mais importantes formulações teóricas: o conceito de práxis. Na obra de Marx, a dialética da natureza surge do insuprimível processo de troca material entre o homem e a natureza, mediatizado pelo trabalho. Após a formulação do conceito em questão, este estudo aborda o problema da alienação do trabalho que surge com o sistema do capital, assinalando a observação marxiana do profundo antagonismo instaurado pelo capital nos processos de troca material entre o homem e a natureza. Este estudo mostra finalmente que, segundo Marx, o fim deste antagonismo está ligado à construção de uma nova forma histórica, que esteja para além dos estreitos e alienados horizontes reprodutivos do sistema de metabolismo social do capital.
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