Academic literature on the topic 'États-Unis – Relations extérieures – 1945-1989'

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Journal articles on the topic "États-Unis – Relations extérieures – 1945-1989"

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Millette, Charles-Antoine. "Les sénateurs qui changent le monde. Le président de la Commission du Sénat américain sur les relations extérieures et la politique étrangère des États-Unis après 1945, de Frédérick Gagnon, Québec, Presses de l’Université Laval, 2013, 324 p." Politique et Sociétés 34, no. 2 (2015): 118. http://dx.doi.org/10.7202/1032514ar.

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Calame, Claude. "Individu." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.015.

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Abstract:
La notion de l’individu comme être humain doué d’un corps propre et d’une identité singulière est née de la notion de sujet. C’est en effet autour de ce concept très occidental que s’est développée l’idée d’un être agissant de manière autonome et réflexive. Mais ce sujet constitué en « soi », en self, est aussi un sujet qui agit, un sujet pratique, engagé dans le monde extérieur selon une volonté et selon des motivations qui lui seraient propres. Un sujet donc non plus en tant que sub-jectum comme l’indique l’étymologie du mot ; non plus un sujet « soumis » à différents pouvoirs d’ordre politique et religieux, mais un sujet qui, au siècle des Lumières, avec la contestation de la royauté absolue et la critique de la hiérarchie catholique, devient un être de raison, constitué en droit (Taylor 1989). Désormais un sujet libre, un sujet libre de penser et libre d’agir comme il l’entend, un sujet dont les libertés sont fondées sur un certain nombre de droits, également partagés. Mais qu’en est-il dans la réalité de nos sociétés contemporaines, convaincues que démocratie et libéralisme économique vont de pair, convaincues aussi qu’elles sont les seules aptes à défendre les droits de l’homme et de l’individu dans leur universalité face à d’autres formes sociales, passant pour plus traditionnelles ? Envisagée du point de vue sociologique, la question a longtemps été de savoir qui, de l’individu ou de la société, est premier par rapport à l’autre. On le sait – pour Émile Durkheim la société ne saurait être considérée comme la somme des individus qui la composent, des individus donnés comme entités premières, dans leurs différents états de conscience. Du « holisme méthodologique » (le tout n’est pas réductible aux parties qui le composent) on est passé au « relationalisme méthodologique » : société et individus sont à comprendre dans des relations qui correspondent à des rapports de réciprocité. Le social et le collectif ne sauraient donc être envisagés comme les simples résultantes des actions et pratiques des individus (comme le laisse entendre l’« individualisme méthodologique »). Entre les individus-atomes (êtres indivis) et l’ensemble social auquel ils sont forcément intégrés, il y a interdépendance, interaction ; il y a « co-construction » des uns par l’autre, et vice versa. L’opposition toute théorique entre l’individuel et le collectif doit donc être dépassée (Corcuff 2007 ; Corcuff, Le Bart, de Singly 2010). Avant la guerre de 39-45, le sociologue et philosophe allemand Norbert Elias s’était déjà interrogé sur la nature de l’homme vivant dans ce qu’il appelait « la société des individus ». Les relations réciproques des individus les uns avec les autres constitueraient la condition même de l’existence humaine ; elles représenteraient l’une des bases de la condition d’être humain. Dès lors la vie sociale et l’appartenance à une société étaient données comme une disposition fondamentale, inscrite dans l’être social de l’homme. Pour Elias (1991), ce n’est que tardivement et épisodiquement, surtout à partir de la Renaissance, que serait apparue la conscience d’un « moi » pourvu d’une intériorité ; cette conscience nouvelle aurait alors entraîné, dans une perspective à vrai dire européocentrée, une « prédominance de l’identité du moi sur l’identité du nous ». Si les hommes en tant qu’individus sont bien interdépendants, la notion même d’individu est ancrée dans l’idée de la constitution d’un « moi » ; elle est fondée dans l’idée de sujet. C’est sur un constat analogue qu’est fondée la distinction tracée par l’anthropologue Louis Dumont (1983) entre sociétés holistes et société individualistes. D’un côté donc, dans les sociétés traditionnelles, un homo hierarchicus dont l’identité est définie par la place qu’il occupe dans l’ensemble social avec ses statuts et ses hiérarchies ; de l’autre un homo aequalis, promu dans les sociétés modernes par l’égalité instituée entre des individus considérés comme autonomes. Mais cette opposition se double d’un autre contraste. D’une part l’homme hors du monde : le modèle en est celui du renonçant indien qui se soustrait au réseau des liens sociaux pour se trouver face à lui-même, dans sa singularité ; d’autre part l’homme dans le monde : tel l’homme moderne, cet homme intra-mondain réalise son identité individuelle au sein de la société ; son individualité est posée comme une valeur et un but. Ainsi on assisterait en Occident à la naissance de l’individu moderne en particulier par la transition calviniste vers un « individu-dans-le-monde » mais pour y accomplir la volonté du dieu unique des chrétiens, puis par le passage à l’Individu de la première « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen », libéré de la tutelle de l’Église au nom de la liberté de conscience exercée dans une société égalitaire. Or c’est précisément de la notion de liberté que sont nés tous les malentendus entretenus par une pensée économiste préoccupée de fait par la seule liberté du marché. En effet les libertés fondamentales assises sur les droits partagés qui constituent l’individu abstrait ont été transformées en des libertés individuelles qui permettraient à chacune et chacun de se développer concrètement selon ses capacités propres. Dans cette mesure, l’individualité est assimilée à la sphère privée ; et les droits égaux qui assurent des devoirs réciproques sont réduits aux droits de la personne dans sa singularité (Flahaut 2006), dans la concurrence entre les individus soumis à la marchandisation (Calame 2008). L’extraordinaire développement des sciences humaines dans les années soixante du siècle dernier a pu sembler sonner le glas du sujet occidental en tant que monade autonome, consciente et réflexive. À vrai dire, les différentes sciences de l’homme ont plutôt contribué à en approfondir les multiples dimensions. Du côté de la psychanalyse le sujet dans son psychisme s’est révélé se situer à l’intersection des pulsions animées par son corps propre et du refoulé accumulé dans l’expérience de son enfance au sein de la famille nucléaire. À l’anthropologue structuraliste ce même inconscient est apparu comme fondé, au-delà des différences culturelles, dans les structures universelles de l’esprit humain. Dans le débat entre individualisme et holisme méthodologiques, les sociologues n’ont pas manqué de subordonner l’individu aux relations sociales, insérant son existence dans les réseaux contraignants que tissent ces rapports souvent asymétriques. Et les linguistes se sont interrogés sur l’existence d’une grammaire universelle qui traverserait les langues et qui serait à la base de la compétence verbale de tout être humain. Ainsi l’atome-individu abstrait est désormais soumis aux déterminations psychiques, sociales, économiques, culturelles, verbales et bientôt neuronales qui découlent de sa constitution organique et psychique ainsi que son environnement « naturel » et social. Dans les différentes perspectives ouvertes par les sciences sociales, le sujet-individu est donc bien à saisir étymologiquement comme sub-jectum ; en tant que tel, il s’avère constamment soumis à des processus de subjectivation qui dépendent largement de son entourage matériel, familial, social et culturel. Loin d’entraver une autonomie morale et intellectuelle censée asseoir l’individu philosophique dans une liberté fondée sur la conscience de soi, ces paramètres d’ordre aussi bien organique que symbolique contribuent au contraire à l’enrichissement identitaire constant des individus singuliers. Cette fabrication est rendue indispensable par l’extraordinaire plasticité neuronale constitutive de l’être humain, en particulier dans ses manières de se représenter le monde social et l’écologie qui le déterminent et dans les modes de son action sur cet environnement humain et matériel. En se fondant sur les résultats relativement récents d’une part de la paléo-anthropologie, d’autre part de la neurologie, quelques anthropologues contemporains sont allés plus loin. Dans son incomplétude, l’homme ne saurait se développer, ni en tant que genre humain, ni en tant qu’individu, si l’organisation sociale et la culture n’étaient pas là pour activer et réaliser ses capacités neuronales ; la nature cérébrale de l’homme se révélerait ainsi dans son extraordinaire plasticité, une plasticité qui implique la contrainte (Ansermet, Magistretti 2004). Autant du point de vue phylogénétique du développement du genre humain qu’en ce qui concerne l’essence organique de l’homme avec son développement individuel, tout se passe en somme comme si la nature présupposait la culture, voire comme si, pour l’être humain, la culture précédait en quelque sorte la nature (cf. Dortier 2004). En effet, en anthropologie culturelle et sociale, la tendance traditionnelle est d’envisager la culture, de même qu’à l’époque du Romantisme allemand, comme le moyen de combler le vide laissé par la nature incomplète de l’homme. Ainsi Geertz (1973): « En résumé, nous sommes des animaux incomplets ou inachevés et nous nous complétons ou nous nous parachevons nous-mêmes par le biais de la culture ». Par le biais de pratiques d’ordre technique et symbolique où l’activité de la communication verbale joue un rôle essentiel, l’homme se constitue lui-même dans son identité affective et réfléchie ; il se construit en interaction obligée avec les différents cercles communautaires qui contribuent à sa fabrication, en interaction avec leurs différentes conventions et traditions qu’à son tour il adopte. Ce processus d’« anthropopoiésis » se poursuit pendant toute sa carrière d’être humain mortel. L’individu se fabrique à la fois par les autres et pour les autres, avec des spécificités individuelles et des processus de subjectivation qui engendrent des transformations dynamiques, mais aussi des affrontements et des conflits (Affergan et al. 2003). D’un point de vue anthropologique, l’identité complexe de chacun de nous repose donc sur une dialectique subtile entre d’une part la nécessaire fabrication sociale et culturelle de l’homme par ses proches et d’autre part le développement de la singularité de l’individu, avec son autonomie partagée entre identité-idem et identité-ipse (Ricœur 1990). L’épanouissement de l’individu en personne avec sa réflexivité critique dépend, dans l’interaction notamment discursive, des différents réseaux de sociabilité auxquels il appartient dans sa vie intellectuelle et pratique ; son émancipation repose sur les différents statuts que lui confère son action sociale, entre travail, cercle familial, activités culturelles, etc. Sans doute une identité personnelle épanouie est-elle la résultante du croisement pratique de plusieurs niveaux identitaires collectifs, d’ordre également ethnique et culturel (Galissot, Kilani, Rivera 2000). Dans cette mesure l’identité individuelle doit sans doute être garantie en situation postmoderne par une série de droits, mais aussi de devoirs.
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Dissertations / Theses on the topic "États-Unis – Relations extérieures – 1945-1989"

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Nardon, Laurence. "L'observation spatiale comme instrument de pouvoir dans les relations internationales : les États-Unis et leurs satellites d'observation, 1955-1985." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010319.

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Abstract:
L'observation spatiale pratiquée par les ñtats-unis des années 50 aux années 80 sous-tend un projet de surveillance globale qui évoque le système panoptique imaginé par Bentham dans son projet de prison parfaite, analysé par Foucault dans Surveiller et punir. Comme le surveillant de la tour centrale voit les prisonniers sans que ceux-ci ne puissent le voir, les satellites observent la terre sans que les pays observés ne sachent exactement le moment, l'objet et la précision de l'observation. Le sujet observé doit finir par intérioriser la discipline imposée par le surveillant. Cette surveillance se trouve correspondre à une volonte américaine d'exercer un pouvoir de type nouveau sur la scène internationale dans l'après-guerre. Ce pouvoir doit fonctionner dans une apparente non-violence, par le biais de la persuasion et de la dissuasion. La surveillance satellitaire s'exerce vis-à-vis de l'URSS sur le mode de la menace nucléaire (ciblage, alerte avancée) puis de la maîtrise des armements (moyens de vérification). Un pouvoir différent s'exerce vis-à-vis des alliés des États-unis (sont abordés l'ensemble otanien, puis la Grande-Bretagne, la France, et Israël). Il relève de la maitrisede l'information, alors garantie par le monopole américain, à l'ouest, sur les systèmes d'observation spatiale. Mais dans les faits, le pouvoir panoptique n'est pas totalement efficace. Vis-à-vis de l'URSS, son exercice dépend d'autres facteurs, tels que les évolutions de la stratégie nucléaire et du climat politique entre les deux grands. Il ne fonctionne pas non plus vis-à-vis des alliés : ces derniers conservent une capacité de réaction face aux tentatives américaines de contrôle par l'information. D'autre part, la surveillance panoptique n'est pas la seule forme de pouvoir qu'exprime l'observation spatiale américaine. En effet, les systèmes d'observation spatiale ont pu servir des objectifs politiques plus directement agressifs de la part des États-unis, ne ressortant plus de la discipline indirecte d'une surveillance à distance. Depuis 1990, après l'explosion du monopole des deux grands sur l'observation spatiale dans les années 80 puis la disparition de l'Union soviétique, l'utilisation à des fins politiques de l'observation spatiale par les États-unis a changé du tout au tout.
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Faure, Justine. "Les relations entre les États-Unis et la Tchécoslovaquie, 1944-1961." Paris 3, 2000. http://www.theses.fr/2000PA030106.

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Abstract:
Ce travail de recherche porte sur les mécanismes d'élaboration et de mise en œuvre de la politique est-européenne des Etats-Unis durant la guerre froide, à travers l'exemple tchécoslovaque. Nous avons tout d'abord isolé les objectifs de cette politique : empêcher l'URSS d'entourer son empire d'une frontière imperméable. La fragilisation, voire le recul plus à l'est, du rideau de fer devinrent alors l'objectif permanent des dirigeants américains, tant sous la présidence Truman que sous celle d'Eisenhower. Il s'agissait pour les Etats-Unis de transformer les pays d'Europe de l'est en "marche" de l'empire soviétique. Pour ce faire, Washington élabora une stratégie originale, typique de la guerre froide. Les réticences traditionnelles des Américains quant à l'emploi de la propagande en temps de paix furent par exemple balayées. La Tchécoslovaquie devint alors la cible principale de la guerre psychologique américaine. A la fin des années cinquante, l'administration Eisenhower sut adapter son arsenal stratégique à la coexistence pacifique initiée par Khrouchtchev et lança vers le bloc soviétique une diplomatie culturelle, moins agressive que la propagande de la guerre froide mais terriblement efficace, comme le montrent les archives tchécoslovaques. Nous avons enfin étudié l'incidence des questions est-européennes sur la vie domestique américaine. Axant notre réflexion sur les réseaux américains favorables aux "nations captives", nous avons analysé combien la question est-européenne fut un élément structurant de la naissance du consensus de la guerre froide aux Etats-Unis par la croisade anticommuniste qu'elle offrait aux américains. Dans une optique chronologique, notre travail doctoral repose sur la différenciation de trois grandes périodes : 1944-1950, l'émergence d'un monde bipolaire, 1950-1955 : le temps de l'affrontement, 1955-1961 : les prémices d'un monde nouveau.
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Hamelin, Patrice. "AMITIÉ, ADMIRATION, DOUTES ET INTÉRÊTS DOMESTIQUES : LES MEMBRES DU CONGRÈS AMÉRICAIN FACE AU CANADA, 1945-1958." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/29160/29160.pdf.

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Cavanna, Thomas. "La politique étrangère américaine vis-à-vis de l’Inde et du Pakistan dans les années 1970." Paris, Institut d'études politiques, 2012. http://www.theses.fr/2012IEPP0035.

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Abstract:
Cette thèse a pour objectif de décrire les principales composantes de la politique étrangère des Etats-Unis vis-à-vis de l’Inde et du Pakistan durant les années 1970. Elle se divise en quatre grandes parties correspondant aux grands tournants de la diplomatie régionale américaine durant la décennie : Le conflit indo-pakistanais de 1971 / L’essai nucléaire indien de 1974 / Les changements de régime et/ou de leader dans les trois pays durant l’année 1977 / L’invasion soviétique de l’Afghanistan, en 1979. Pour chacun de ces grandes parties, l’objectif est d’analyser quels furent les déterminants des choix effectues par les Américains dans le sous-continent et d’explorer l’influence mutuelle de Washington, New Delhi et Islamabad. Ce travail a pour ambition de montrer la manière dont les Etats-Unis, par le caractère extrêmement erratique de leur politique (degré d’implication, choix des acteurs à soutenir, modalités d’influence), et du fait qu’ils ignorèrent ou méprisèrent les réalités d’une région à laquelle ils ne s’intéressèrent le plus souvent que dans la mesure où celle-ci était l’objet d’enjeux de guerre froide la dépassant (lutte d’influence contre l’URSS, rapprochement avec la Chine…), contribuèrent à saper leur crédibilité auprès de l’Inde comme du Pakistan, et, surtout, à déstabiliser la région sur le long terme (nucléaire, montée de l’islamisme, renforcement du sentiment d’impunité pakistanais…)
The objective of this dissertation is to describe the main components of the American foreign policy towards India and Pakistan in the 1970s. This work is divided in four parts corresponding to the turning points of Washington’s regional diplomacy : The 1971 Indo-Pakistani conflict / The 1974 Indian nuclear test / The 1977 regime or leadership changes in the three countries / The 1979 Soviet invasion of Afghanistan. For each of these components, the objective is to analyze the main determinants of the choices made by the Americans in the region, and to explore the mutual influence of Washington, New Delhi and Islamabad. The ambition of this work is to show the way the United States lost their credibility in both India and Pakistan and contributed to the destabilization of the Indian subcontinent, because of an extremely erratic policy (degree of implication in the area, choice of the local partners, means of influence) and because they often ignored or dismissed the very geopolitical realities of a region in which they had some interest only as far as the latter was a scene of the cold war global struggle for influence (rivalry with Moscow, rapprochement with China…). These flaws had important consequences in the long run, especially with respect to nuclear issues, the rise of Islamism, and the persistence of a feeling of impunity in the Pakistani ruling circles
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Cesari, Laurent. "La France, les États-Unis et l'Indochine, 1945-1957." Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040308.

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Abstract:
A partir des archives américaines, anglaises et françaises (publiques et privées), étude de la signification que la guerre d’Indochine et son règlement ont revêtue pour les relations entre les États-Unis et la France (et accessoirement l’Angleterre). Il ne s'agit pas d'histoire militaire : l'accent est mis sur l'élaboration d'une stratégie mondiale par les deux puissances, et sur les tractations diplomatiques. Cinq périodes s'individualisent, en 1945, les États-Unis sont anticolonialistes, et souhaitent que l’Indochine serve d'exemple pour l'avenir des territoires dépendants. Mais désirant eux-mêmes annexer des îles dans le pacifique, ils ne peuvent sans contradiction empêcher la France de réaffirmer sa souveraineté sur l’Indochine. Entre 1946 et 1949, les américains, partagés entre l'anticolonialisme et l'anticommunisme, restant neutres dans le conflit franco-vietminh. Après la victoire de Mao Tsé-toung en 1949, l’Indochine présente pour les États-Unis l'intérêt d'être située à proximité de la Chine. Ils financent alors les français tout en les pressant de multiplier les concessions aux nationalistes indochinois non-communistes. Le peu de succès obtenu par les États-Unis dans cette entreprise, et le fait que l’Indochine ne représentait pas pour eux une position essentielle, explique leur comportement à partir de 1954 : acceptation de la paix, mais remplacement de l'influence française en Indochine par celle des américains
Based upon American, British, and French sources (privates as well as public), this dissertation studies the impact of the first Indochina war and the Geneva peace settlement upon the relations between France and the United States (as well as the United Kingdom). This is not military history: stress is laid on the world strategy of the two powers. As well as the diplomatic process. It is possible to distinguish five different periods. In 1945, in spite of their anticolonialism, and although they had marked out Indochina as an example for the status of dependent territories in the future, the united states allowed France to reassert its sovereignty upon the peninsula, for they themselves wanted to annex former Japanese mandates in the pacific. From 1946 to 1949, the United States remained neutral in the Franco-Vietminh war, for they were anti-communist as well as anticolonialist. But after Mao’s victory in 1949, the united states subsidized the French war, since Indochina was close to china. Nevertheless, they urged upon the French the necessity to liberalize their policy to ward non-communist Indochinese nationalism. This policy was not very successful, which may explain the behaviour of the Americans from 1954
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Benantar, Abdennour. "Le monde arabe dans le "nouvel ordre mondial"." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100105.

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Abstract:
Le monde arabe connait une opposition entre deux conceptions de l'ordre regional. La premiere, defendue notamment par les panarabistes, vise a creer un ensemble exclusivement arabe. La seconde d'ordre geopolitique, moyen-orientale, est soutenue par les etats-unis, israel et la turquie favorables a une architecture regionale elargie dans laquelle les pays arabes ne sont que des etats parmi d'autres. Bien qu'elle ait perdu de son intensite, cette opposition persiste et se retrouve propulsee au coeur de l'actualite arabe, avec une perspective nouvelle, loin de l'ideal unitaire panarabe. La guerre du golfe et le processus de paix arabo-israelien ont donne un elan a la perspective moyen-orientale. Cette evolution regionale intervient en pleine mutation mondiale. La detente internationale a engendre une detente sur le plan regional, permettant d'entreprendre ce que la logique est-ouest ne permettait pas. De ce fait, l'etude de l'ordre regional arabe ne peut etre apprehendee sans l'analyse du systeme international, d'autant plus que le monde arabe et le moyen-orient demeurent hautement polarises par les grandes puissances. Difficile donc d'analyser la politique interarabe independamment de celle du systeme international. La crise du golfe a montre l'importance de l'interference entre l'international et le regional. La region arabe s'est transformee ou a ete transformee par les grandes puissances en un vaste champ d'experimentation : passage d'un systeme bipolaire a un ordre nouveau. Pour analyser le nouvel ordre regional percu comme corollaire du nouvel ordre mondial, cette etudeest divisee en deux parties : la premiere est consacree au systeme international, notamment durant les deux dernieres decennies (fin de la guerre froide, chute du communisme et disparition de l'union sovietique) ; la seconde au monde arabe et ses evolutions avec une attention particuliere aux mutations induites par la crise du golfe, le processus de paix et le partenariat euro-mediterraneen.
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Fernandez, Julian. "La politique juridique extérieure des États-Unis à l'égard de la Cour pénale internationale." Paris 2, 2009. http://www.theses.fr/2009PA020016.

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Abstract:
Le Statut de Rome de la Cour pénale internationale entend instaurer une sorte de dissuasion judiciaire « égalitaire ». En raison des caractéristiques principales de ce nouveau régime, du contexte international ou de l’histoire singulière de la puissance américaine, les États-Unis vont s’opposer et tenter de neutraliser la première juridiction pénale internationale permanente. Washington considère que les gains relatifs que ce régime lui propose ne sont pas acceptables. Au surplus, l’« exceptionnalisme » américain serait difficilement conciliable avec les prétentions d’une telle juridiction. Sous l’empire de l’Administration Bush, la politique juridique extérieure des États-Unis s’est cristallisée autour d’une logique de précaution contre la Cour. Les contre-mesures décidées par la puissance américaine se sont fondées sur des éléments classiques de la domination des États-Unis dans les relations internationales. Si la politique américaine a pu paraître excessive, en particulier entre 2002 et 2005, il n’en demeure pas moins que le refus de la CPI est perçu de manière bipartisane comme relevant de l’intérêt national des États-Unis. Il n’est donc pas raisonnable d’espérer en l’espèce une évolution décisive de la politique américaine.
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Durand, Pierre-Michel. "Alliance objective, méfiances réciproques : les États-Unis, la France et l'Afrique noire francophone dans les années soixante." Paris 3, 2003. http://www.theses.fr/2003PA030064.

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Abstract:
Dans le champ des relations franco-américaines pour la période gaullienne, riche de multiples études, la question de l'Afrique francophone est sans doute l'une des seules qui n'ait été abordée. Cette thèse ne se propose que de combler ce vide historiographique, cette problématique des relations franco-américaines apparaissant par ailleurs comme un axe d'étude pertinent pour étudier la politique africaine du général de Gaulle, chantier aussi encore largement en friche. Les années soixante constituent en outre un moment-charnière : jamais sans doute les Etats-Unis n'ont accordé à l'Afrique une place aussi importante. Après Bandoeng et la vague de décolonisation en Afrique, comme une accélération de l'histoire paraît s'opérer : l'Amérique ne doit-elle pas s'appuyer sur ces forces montantes du nationalisme plutôt que sur son allié colonialiste ? Les hésitations de Washington en la matière dans les années 1960 et 1961 seront durement ressenties par Paris. Quoique partenaires objectifs sur ce terrain africain, les deux alliés ne peuvent dès lors plus se faire réellement confiance, et si peu à peu l'Amérique abandonne un continent noir qui perd de son importance, Paris continuera constamment à craindre et contrôler ses amis américains
The question of Subsaharian Africa is one of the only few which has not been dealt with within the well-known field of French-American relations. This PhD. Which aims at studying the relations between France, the US and Subsaharian Africa in the Sixties has just be written to fill this historiographic gap. The Sixties are such a crucial time that the US have probably never taken a bigger interest in Africa than then. Following the Bandoeng conference, the rise of African nationalism and the wave of decolonization seem so irresistible that the US start fearing that the entire, huge African continent could become a new frightening battlefield of the Cold War. The US are in a way condemned to look carefully to African countries they prior almost ignored. In fact with John F. Kennedy's access to the presidency, the Americans seem to prefer taking the side of these rising nationalisms than supporting their french allies. Tense, suspicious during the previous French decolonization, as their interests were often contradictory from Indochina to Algeria, the French-American relations in Africa are therefore particularly mistrustful
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Mikaïl, Barah. "La politique américaine au Moyen-Orient (1945-2009)." Paris 8, 2010. http://www.theses.fr/2010PA083819.

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Abstract:
Les Etats-Unis ont été saisis, depuis leur naissance et la création de leurs institutions officielles à la fin du 18ème siècle, par une tentation impériale qui se traduira avec force au niveau de leurs positionnements diplomatiques. Or, avec la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Moyen-Orient semble avoir acquis une grande importance dans la consolidation des paliers constitutifs de l’impérialisme américain. Certes, Washington avait pu avoir à composer avec cette région bien auparavant, comme en ont témoigné le défilement de missionnaires depuis la fin du 18ème siècle, le bombardement de Tripoli au début du 19ème siècle, ou encore leur investissement de gisements pétroliers dans le premier quart du 20ème siècle. Mais c’est cependant après l’officialisation de la doctrine Truman (1947), qui prenait le relais de la doctrine Monroe (1823), que l’on notera la présence de paliers événementiels à valeur de catalyseur pour la confirmation de l’hégémonie américaine : guerre de Suez (1956), guerre des Six Jours (1967), chute du Mur de Berlin (1989) et guerre du Golfe qui s’ensuivra (1991), et enfin attentats du 11-Septembre (2001). A l’occasion de chacun de ces événements en effet, Washington adoptera un comportement qui renforcera sa stature au Moyen-Orient, et lui donnera des motifs supplémentaires pour accroître la part de ses moyens dans la région comme, à bien des égards, dans le reste du monde
Since their birth and the creation of their official institutions at the end of the 18th century, the United States has been motivated by an imperial temptation that will be strongly reflected in their diplomatic stances. But with the end of the Second World War, the Middle East seems to have acquired a great importance in strengthening the levels of incorporation of the American Imperialism. Obviously, Washington had to deal with this region long before, as it had been proven by the scrolling of American missionaries since the end of the 18th century, the bombing of Tripoli in the early 19th century, or even their investing in oil fields in the first quarter of the 20th century. Nonetheless, the presence of sliding events that will help confirming the American hegemony will come after the formalization of the Truman Doctrine (1947) which followed the Monroe Doctrine (1823), as it will be shown by Suez War (1956), the Six Days War (1967), the fall of the Berlin Wall (1989) and the Gulf War which followed (1991), and finally the September 11 attacks (2001). Indeed, with each of these events, Washington will react by a manner which will strengthen its position in the Middle East, and give it additional reasons for increasing its means in the region as well as, in many respects, in the rest of the world
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Doulcet, Michel. "Aspects de la controverse sur le "déclin américain" à la fin du XXe siècle (1975-1992)." Bordeaux 3, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR30016.

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Abstract:
En 1941, henry luce prophetisait que le 20e siecle serait, dans une certaine mesure, "the american century". La fin de la deuxieme guerre mondiale propulsait les etats-unis au premier rang des grandes puissances. Rien ne semblait s'opposer a leur immense pouvoir. Cependant, des les annees 70, certains observateurs commencent a annoncer la fin de l'ere americaine et de son extraordinaire prosperite. Les annees 90 semblent confirmer un "declin relatif" et l'acheminement des etats-unis vers le statut de puissance ordinaire. Certains chercheurs, tout particulierement paul kennedy, professeur d'histoire a yale, laissent entendre que la situation de l'amerique est caracteristique du phenomene de surexpansion d'un empire tel qu'il se produit depuis le debut des temps. Toutefois, les "revivalists", qui ne partagent pas les theses declinistes, mettent en avant l'effet de la deuxieme guerre mondiale. Les etats-unis, alors, auraient occupe une place quelque peu artificielle et le declin ne serait, en fait, qu'un simple retour a la normale. Notre travail s'efforcera de mettre l'accent sur les mutations qui affectent l'amerique au cours de la periode consideree (1975-1992)
In 1941, henry luce wrote an article in life magazine saying that the twentieth century would be "to a significant degree an american century". At the end of the second world war the united states was riding astride the world, an unrivalved global power. However, by the 1970s, headlines began to declare that the american era was over and, with it, the most prosperous international economic period in human history. Going into the 1990s america seemed once again to be an ordinary power. Some scholars suggest that the american situation is typical of the imperial overstretch that has occured throughout history with other nations. The most outstanding of them all is paul kennedy, professor of history at yale. Yet, the "revivalists", those who do not endorse the "american decline" theses, put forward the vanishing "world war two effect", i. E. , the idea that much of the relative decline would be simply a return to the norm. Our discussion of this question will endeavor to outline america's changing position in the world from 1975 to 1992
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Books on the topic "États-Unis – Relations extérieures – 1945-1989"

1

Mauduy, Jacques. États-Unis, la superpuissance. Paris: Ellipses, 2004.

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2

Allner, Michel D. La politique étrangère des États-Unis depuis 1945: De la guerre mondiale à la mondialisation. Paris: Ellipses, 2000.

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3

Vaiss, Paul. Les relations entre les États-Unis et la Grande-Bretagne depuis 1945: Entre mythe et réalité. Paris: Ellipses, 2002.

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4

Kolko, Gabriel. Confronting the Third World: United States foreign policy, 1945-1980. New York: Pantheon Books, 1988.

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5

Ignatieff, Michael. Kaboul-Sarajevo: Les nouvelles frontières de l'empire. Paris: Éditions du Seuil, 2002.

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6

Marshall, Charles Burton. The limits of foreign policy. Lanham: University Press of America, 1988.

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7

Murtha, John P. From Vietnam to 9/11: On the front lines of national security. University Park, Pa: Pennsylvania State University Press, 2005.

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8

John, Plashal, ed. From Vietnam to 9/11: On the front lines of national security. University Park, Pa: Pennsylvania State University Press, 2003.

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9

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10

Chomsky, Noam. The culture of terrorism. Montréal: Black Rose Books, 1988.

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