Academic literature on the topic 'Éthiopie – 19e siècle'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the lists of relevant articles, books, theses, conference reports, and other scholarly sources on the topic 'Éthiopie – 19e siècle.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Dissertations / Theses on the topic "Éthiopie – 19e siècle"

1

Hassen, Omer Ahmed. "Islam, commerce et politique dans l'Ifat (Éthiopie centrale) au XIXe siècle : l'émergence d'une ville carrefour, Aleyyu Amba." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010589.

Full text
Abstract:
L'Ifat est une zone de l'Éthiopie centrale peuplée par au moins quatre ethnies partagées entre deux religions (le christianisme et l'islam). Ces groupes sont les Argobba, les Amhara, les Oromo et les Afar. L'Ifat est traversée par les grandes routes commerciales du pays. Cette région a vu se développer les plus grands marchés commerciaux d'Éthiopie, suscitant l'intérêt des souverains chrétiens du royaume du Choa, puis de l'empire tout entier, qui favorisèrent son développement en sécurisant les principales routes commerciales. Ces relations entre l'Etat et le commerce occupent une place privilégiée dans cette étude. Le cas de la ville d'Aleyyu Amba, qui fut durant le XIXe siècle la plus grande cité commerçante de la région reste au cœur de ce travail. Cette étude analyse l'histoire, le rôle de l'islam, les populations et les quartiers de cette ville, ainsi que ses relations internes et externes. Ce travail se nourrit de sources variées, endogènes ou exogènes, écrites et orales.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Dewel, Serge. "ADDIS ABÄBA (Éthiopie) 1886-1966. Construction d'une nouvelle capitale pour une ancienne nation souveraine." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCF021/document.

Full text
Abstract:
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l’Éthiopie luttait farouchement pour conserver son indépendance, tout en agrandissant considérablement son territoire. Une région de montagnes et de prairies, jusqu’alors aux marges méridionales de l’espace national, se retrouva au centre du pays défini par de nouvelles frontières. C’est là qu’est née Addis Abäba vers 1886, d’abord simple "kätäma" (camp royal) et base logistique pour les conquêtes militaires, avant de devenir un « carrefour du monde ».L’objectif de cette thèse est une mise en lumière du rôle moteur, exercé par la volonté de reconnaissance de la souveraineté nationale, dans le processus particulier de fondation et de pérennisation de la capitale éthiopienne, ainsi que dans son développement au cours du XXe siècle. Les grandes phases de croissance d’Addis Abäba ne peuvent être comprises qu’à l’aune du contexte international, alors que la souveraineté et l’indépendance éthiopiennes étaient menacées. Dans ces moments particuliers, le pouvoir a mis la ville en scène, en la développant et en la dotant d’un patrimoine architectural et monumental. Pour cela, il puisa dans le temps long de l’histoire éthiopienne, dans l’attachement à la chrétienté éthiopienne — la religion "Täwahǝdo" — et dans le mythe national du "Kǝbrä Nägäst". Les règnes et régimes successifs ont adopté une même rhétorique urbaine et bâtisseuse, jusqu’au XXIe siècle
While fiercely struggling for its independence during the second half of the 19th century, Ethiopia extended considerably its territory. A region of meadows and mountains, at the southern march, became the centre of the country in its new borders. There, in 1886, what was first founded as a garrison camp for its strategic position became Addis Abäba, soon the new capital at the crossroads of the world.This thesis aims to highlight the part played by the national sovereignty and its recognition in the particular process of the Ethiopian capital foundation and its perpetuation, as well as its development during the 20th century. The main growing phases of Addis Abäba might only be understood in terms of its international context whilst Ethiopian sovereignty and independence were jeopardized. During those particular times, the rulers used Addis Abäba as a stage for its performance, expanding the city and provided it with architectural and monumental heritage. For this, they drew in the country’s long-time history, in the strong commitment to the Ethiopian Christianity – the "Täwahǝdo" – and into the "Kǝbrä Nägäst" the national myth. The successive systems and reigns until the 21st century have adopted the same urban and building response
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Hirsch, Bertrand. "Connaissance et figures de l'Ethiopie dans la cartographie occidentale du XIVè siècle au XVIè siècle." Paris 1, 1991. http://www.theses.fr/1991PA010522.

Full text
Abstract:
L'étude des représentations de l'Ethiopie dans la cartographie occidentale (XIV-XVI siècles) a dégagé quatre grandes familles de cartes. Les cartes portulans, entre 1320 et 1420, installent le prêtre Jean en Ethiopie, comme une promesse d'alliance. Au milieu du XV s. , les contacts entre Ethiopiens et Occidentaux et la découverte de l'œuvre géographique de Ptolémée favorisent la création, à Florence, d'une "tabula moderna" de l'Ethiopie, dont les données sont reportées en 1490 sur la cartographie portugaise de l’Afrique, puis largement diffusées, d'abord en terre d'empire, par M. Walseemuller. A Venise, vers 1550, une nouvelle cartographie est élaborée par G. Gastaldi et G. B. Ramusio d'après le récit de voyage de F. Alvarez en Ethiopie (1520-26): reprise et amplifiée par les cartographes des Pays-Bas, elle s'impose comme un modèle dominant avant d'être remise en cause par les recherches et les relevés des missionnaires jésuites présents en Ethiopie jusqu'en 1632. Chacun de ces groupes de cartes est replacé dans l'histoire complexe des relations entre Ethiopiens et occidentaux et confronté aux différentes conceptions que la culture européenne s'est faite de l'Ethiopie. Les diverses sources utilisées par les cartographes et leurs méthodes de construction de l'espace éthiopien sont analysées. La confrontation entre les sources éthiopiennes et les données cartographiques permet l'identification des toponymes indiques sur ces cartes et fait apparaitre la part prise par les lettres éthiopien dans l'élaboration de cette cartographie
The study of Ethiopia through the western cartography between the XIVth and the XVIth centuries discloses four classes of maps. The portulan mapa in the XIVth century set the mythical figure of prester John in Ethiopia, as a potential christian ally. In the mid-fifteenth century, a "tabula moderna" of Ethiopia (a ptolemaic "modern map") was created in Florence and, mixed with the new portuguese cartography of Africa at the end of the century, it was largely apread specially over the empire. Thanks to the cartographical work of m. Waldseemuller. G. Gastaldi and G. B. Ramusio, working at Venice in the mid-sixteenth century on the travel book of F. Alvarez, introduced a new map of Ethiopia which acquired greater popularity through the cartographs of the low countries. Finally, at the and of the XVIth c. And at the beginning of the XVIIth c. , the jesuit missionaries in Ethiopia elaborated a new category of maps based on astronomical surveys, each of those groups of maps is analysed in the light of the history of the relation between Europeans and Ethiopians and saced with the different conceptions of Ethiopia in european culture. The written sources are examined in details, specially the itineraries, and the confrontation of the cartographical material with the ethiopian sources brought forth toponmic identificaton and enbances the part played by the Ethiopians in this cartography
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Derat, Marie-Laure. "La formation du domaine royal éthiopien sous la dynastie salamonienne (1270-1527) : Espace, pouvoir et monachisme." Paris 1, 1998. http://www.theses.fr/1998PA010633.

Full text
Abstract:
Cette enquête propose d'analyser la formation du domaine royal éthiopien, entre 1270, date de l'avènement de la dynastie salomonienne, et 1527, début des conflits ayant opposé chrétiens et musulmans d'Éthiopie. Durant cette période, les souverains chrétiens se sont efforcés d'établir le territoire de la monarchie dans deux régions méridionales et périphériques du royaume, l'Amhara et le Sawa. Pour ce faire, ils se sont appuyés sur des réseaux monastiques, érigés en réseaux de pouvoir, leur permettant de controler l'espace. Dans une première partie, à partir de sources exogènes au royaume chrétien d'Éthiopie (sources européennes, mais aussi arabes, et issues des sultanats musulmans d'Éthiopie), mises en regard avec les sources endogènes, l'espace Amhara-Sawa, territoire de la nouvelle dynastie, est défini et l'émergence d'un domaine royal dans ces deux régions, mis en lumière. Puis, les deux parties suivantes analysent, à partir de sources issues des milieux monastiques (hagiographies, chroniques historiques) et royaux (chroniques, homélies, textes religieux), la constitution de deux types de réseaux monastiques dans l'Amhara et le Sawa : des réseaux de monastères independants, avec lesquels les rois s'allient, et un réseau composé des fondations religieuses des rois, à la fois centres du pouvoir religieux et politique des souverains, et lieu de sépulture. Ce réseau permettait aux rois éthiopiens de contrebalancer la puissance et la volonté d'indépendance des autres réseaux, pour mieux contrôler leur nouveau domaine
This study analyses the constitution of the ethiopian kings domain from 1270, the period of the advent of the salomonian dynasty, to 1527, the beginning of the wars between christians and muslims in Ethiopia. During this period, the christian sovereigns tried to build a new kings domain in two southern and peripheral regions of the kingdom : Amhara and Sawa. So that, they rely on two kinds of monastic networks, used as power networks, allowing them to control the space. In a first part, with the help of external sources (European and Arabic sources, and also those derived from the muslim sultanates of ethiopia), compared to internal sources, the amhara-sawa space, territory of the new dynasty is defined, and a new light is shed on the advent of a new kings domain in these two regions. Then, the two other parts, based on the sources elaborated in monastic milieu (hagiographies, historical chronicles), and in the royal sphere (chronicles, homilies, religious writings) analyse the constitution of two kinds of monastic networks in Amhara and Sawa : independant monastic networks, with which the kings make an alliance, and a network composed by the religious fondations of the sovereigns, both religious and political center of the kings power, and their burial place. This network balanced the power and the will of independance of the other networks out, in order to control the space better
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Toubkis, Oleg Dimitri. ""Je deviendrai roi sur tout le pays d'Éthiopie" : royauté et écriture de l'histoire dans l'Éthiopie chrétienne : XVIe-XVIIIe siècles." Paris 1, 2004. http://www.theses.fr/2004PA010678.

Full text
Abstract:
A la fin du XVIe siècle, apparaît une historiographie officielle à la cour du roi chrétien d'Éthiopie à laquelle est attribuée une fonction de représentation et de légitimation du pouvoir commanditaire. C'est principalement par cette littérature que nous abordons la royauté chrétienne des hauts plateaux éthiopiens, par les quatre séquences principales de sa transmission : la succession, l'investiture, les funérailles et, pour certains rois, le sacre à Aksum. Nous reposons ainsi la question de la nature de ce régime politique : était-ce une royauté héréditaire ou élective, ou encore mixte ? Était-ce bien une monarchie ? Enfin, par une approche critique de l'historiographie moderne (critique du concept d'empire appliqué à l'Éthiopie du XVIe au XVIIIe siècles), nous posons les jalons méthodologiques d'une étude renouvelée de l'espace du royaume, de son organisation territoriale.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Pennec, Hervé. "Des jesuites au royaume du pretre jean (ethiopie) : strategies, rencontres et tentatives d'implantation (1495-1633)." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010686.

Full text
Abstract:
L'enquete proposee dans cette etude traite du << phenomene >> missionnaire jesuite pour le royaume du pretre jean (ethiopie) sur la periode de la fin du xve siecle a l'annee 1633 (la date d'expulsion des missionnaires d'ethiopie). L'analyse est conduite a differentes echelles. Celle de l'europe tout d'abord, en etudiant les connaissances dont disposaient les decideurs pour mettre en place le projetmissionnaire et les differentes strategies d'implantation. Ensuite, une analyse a une echelle plus << regionale >> a permis de centrer l'etude sur le role de goa dans la mise en place et la realisation du projet. Enfin, l'etude se rapproche du terrain proprement dit en developpant les rapports liant les missionnaires aux pouvoirs (royal et local) par le biais de leur lieu strategies et la maniere dont elles ont ete mises en place. Un dernier axe permet de reunir les differents points de vue utilises precedemment. En effet, l'analyse du travail d'ecriture qu'ont effectue certains peres et notamment pero paes et manoel d'almeida, a permis non seulement de voir comment a ete utilisee la documentation ethiopienne mais encore de comprendre comment ce travail d'ecriture s'inscrit dans la legitimation de la presence jesuite en ethiopie.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Wion, Anaïs. ""Aux confins le feu, au centre le Paradis" : Qoma Fasilädäs, un monastère royal dans l'Éthiopie du 17e siècle." Paris 1, 2003. http://books.openedition.org/psorbonne/29860.

Full text
Abstract:
La paroisse et le monastère de Qoma Fasilädäs sont fondés par la reine Wäld Sä'ala ( ca 1580- 1661). Cette fondation prend place à une période charnière: le passage du règne du roi catholique Susneyos (1607-1632), époux de Wäld Sä'ala, à celui de leur fils Fasilädäs (1632- 1667), restaurateur de la foi d'Alexandrie et fondateur de la ville de Gondär. Les enjeux de la création de Qoma éclairent les mécanismes de partage du pouvoir et le rôle des différents mouvements religieux à cette période. La reine succède à bâtir un territoire riche et indépendant des choix de son mari puis de son fils. Le statut de ce territoire, résumé par la formule juridique "Aux confins le feu, au centre le Paradis" le protège de toute ingérence. Cette autonomie, devenue isolement, a permis à Qoma de conserver intactes des sources historiques exceptionnellement bien préservées : bâtiments de pierre, peintures murales, manuscrits, tradition orale
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Bosc-Tiessé, Claire. "Art, Eglise et royauté en Ethiopie aux XVIIe et XVIIIe siècles : écriture de l'histoire et "fabrique" des images dans les églises du lac Tana." Paris 1, 2001. http://www.theses.fr/2001PA010645.

Full text
Abstract:
Dans ce travail, la production artistique en Éthiopie aux XVIIe et XVIIIe siècles est étudiée sous l'angle des relations entre les souverains et les moines, plus particulièrement dans les églises du lac Tana. L'étude des oeuvres anciennes conservées sur le lac définit tout d'abord l'héritage culturel des moines au XVII siècle. L'analyse des interventions des souverains dans la vie interne des monastères et de la commande artistique conduit à poser quelques jalons pour mieux comprendre la peinture au XVIe siècle et l'évolution fondamentale de l'art au cours du XVIIe siècle. La politique du roi Iyasu I marque ensuite un tournant dans les relations des souverains de Gondar avec les monastères du lac Tana. A travers les travaux et des oeuvres qu'il a patronné se dégagent les traits particuliers de la commande royale et la part assumée par les religieux proches des souverains dans la conception de nouvelles images. L 'histoire des textes amène à définir en parallèle les intérêts en jeu dans la constitution de la mémoire officielle ou monastique et la place que prend l'image dans ce processus. L'analyse des différentes composantes d'une fondation royale au XVIIIe siècle en plein centre du lac Tana montre la position que prend alors la reine Mentewwab vis à vis des monastères du lac, quelles sont sa politique et ses pratiques de manière plus globale pour asseoir son pouvoir. Dans ce contexte, le chantier de construction et de peintures de l'église permet de distinguer les différentes facettes d'une commande royale, les moyens qu'elle met à disposition des peintres, comme la collection des manuscrits royaux enluminés et les recueils de gravures occidentales
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Guebreyesus, Namouna. "Les transferts fonciers dans un domaine ecclésiastique à Gondär (Ethiopie) au XVIIIe siècle." Thesis, Paris, EHESS, 2017. http://www.theses.fr/2017EHES0169/document.

Full text
Abstract:
Gondär est établie comme une ville royale au milieu du XVIIe siècle. Elle se situe au croisement des voies commerciales et proche des terres les plus fertiles. Les rois de Gondär instituent de nombreuses églises qu’ils dotent de domaines. Ils honorent ainsi l’engagement fondateur de leur dynastie selon lequel une partie des terres du royaume est réservée aux religieux. Les églises reçoivent par donation des terres déjà occupées, par réajustement des bénéfices domaniaux. Leurs biens-fonds sont désignés gwәlt, et elles ne peuvent en disposer par la vente, la donation ou la constitution de sûreté. Des clercs obtiennent des concessions appelées rim-s sur les terres des églises. Les ventes de ces rim-s sont, à l’inverse de celles des gwәlt-s, reportées par milliers à Gondär. L’ampleur des transferts fonciers est sans précédent connu dans l’histoire éthiopienne. Pour comprendre ce qu’ils signifient, les concepts de gwәlt et de rim sont définis. Leur régime ainsi que les contextes économiques, sociaux et politiques dans lesquels ils évoluent sont déterminés. Le travail proposé procède en prenant comme cas d’étude un recueil d’actes provenant de l’église de Ḥamärä Noḫ fondée en 1709. Les textes de Ḥamärä Noḫ sont interprétés au moyen de sources contemporaines. L’argumentation considère les actes issus d’autres églises, les commentaires de loi préparés par des clercs de Gondär ainsi que les chroniques royales. Elle intègre aussi les apports des écrits de voyageurs européens.Cette étude essaye de démontrer que le phénomène de ventes de rim-s à Gondär ne marque pas le début d’un marché foncier. Les échanges n’ont pas leur cause en un libre cours de l’offre et de la demande. Ils sont bien plus provoqués par l’endettement des clercs et leur besoin de crédit. Les transferts renforcent les inégalités sociales et les avantages seigneuriaux d’une catégorie de gens proche du pouvoir
A royal city called Gondär was established in the middle of the XVIIth century in Ethiopia. The city was crossed by trade routes and was close to the most fertile regions. The kings of Gondär were founders of a number of churches endowed with land. The agreement that enabled the royal dynasty to seize power and that reserved a portion of the kingdom to the clergy was thus honoured. Churches received occupied land by a royal donation that reajusted domanial entitlments. Their endowments (gwәlt) were in principle considered perpetual, and this prevented the transfer of the lands by sale, donation or as a security. Clerics received individual holdings called rim from the churches’ domains. Contrary to gwәlt, rim land was transfered in thousands of sales registered in Gondär.The propensity of land transfers was without a known precedent in Ethiopian history. To understand this phenomenon, the concepts of gwәlt and rim will be defined. Their regime as well as the economic, social and political context within which they evolved will also be determined.The thesis will proceed in taking as its case study the church of Ḥamärä Noḫ founded in 1709. The texts from Ḥamärä Noḫ will be interpreted using contemporary sources. The argument will use documentation from other churches, legal commentaries drafted by clerics from Gondär, royal chronicles and European travellers’ views.The study aims to demonstrate that rim sales from Gondär cannot be seen as the beginning of land marketability. The transfers are not the result of an open market where demand and supply meet. They are rather caused by an indebtedness of clerics and their need for credit. As a result of these sales, social inequalities are aggravated and a category of people, close to power, secure their seigniorial advantages
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography