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Journal articles on the topic 'Ethnologie – France – 20e siècle'

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1

Rémond, René. "L'histoire religieuse de la France au 20e siècle." Vingtième Siècle, revue d'histoire 17, no. 1 (1988): 93–108. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.1988.1963.

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2

Chauveau, Sophie. "Médicament et société en France au 20e siècle." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 73, no. 1 (2002): 169. http://dx.doi.org/10.3917/ving.073.0169.

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3

Berstein, Serge. "Consensus politique et violences civiles dans la France du 20e siècle." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 69, no. 1 (2001): 51. http://dx.doi.org/10.3917/ving.069.0051.

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4

Ponty, Janine. "Une intégration difficile : les polonais en France dans le premier 20e siècle." Vingtième Siècle, revue d'histoire 7, no. 1 (1985): 51–58. http://dx.doi.org/10.3406/xxs.1985.1181.

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5

Chathuant, Dominique. "L'émergence d'une élite politique noire dans la France du premier 20e siècle ?" Vingtième Siècle. Revue d'histoire 101, no. 1 (2009): 133. http://dx.doi.org/10.3917/ving.101.0133.

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6

Pawin, Rémy. "La conversion au bonheur en France dans la seconde moitié du 20e siècle." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 118, no. 2 (2013): 171. http://dx.doi.org/10.3917/ving.118.0171.

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7

Zalc, Claire. "Les petits patrons en France au 20e siècle ou les atouts du flou." Vingtième Siècle. Revue d'histoire 114, no. 2 (2012): 53. http://dx.doi.org/10.3917/vin.114.0053.

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8

Dimitroulia, Titika. "Les multiples réécritures de la littérature policière française en Grèce." Historical Review/La Revue Historique 14 (April 27, 2018): 71. http://dx.doi.org/10.12681/hr.16275.

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Abstract:
Cet article se propose d’étudier, à travers une approche culturelle et sociologique, mais aussi sémiotique, les multiples formes de traduction de la littérature policière française en Grèce, depuis le 19e jusqu’au 21e siècle. Sans aucune ambition d’exhaustivité, il examine la traduction interlinguale et intersémiotique de la littérature policière française, en essayant de reconstituer l’histoire d’un transfert culturel important et de repérer les hybridations auxquelles ce transfert a conduit, comme par exemple la rencontre du genre populaire grec des bandits avec les antihéros de la modernité, tel Fantômas ou Arsène Lupin, apparus en France au début du 20e siècle. Du feuilleton au roman-cinéma et de l’écran a la bande dessinée, l’ histoire de cette rencontre met en évidence la complexité des échanges culturels mais aussi la centralité de la traduction dans la communication littéraire mondiale.
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9

Simon, Jean-François. "Ethnologie de la France : avant-premières en Bretagne ou la marge comme terrain exploratoire?" Port Acadie, no. 13-14-15 (October 27, 2009): 33–43. http://dx.doi.org/10.7202/038418ar.

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Abstract:
Résumé Le projet scientifique que revendique aujourd’hui l’ethnologie de la France s’est progressivement constitué au cours des deux derniers siècles. À l’examen des conditions de cette longue élaboration, il apparaît que le « terrain » breton y a joué un rôle de premier plan : depuis l’intérêt manifesté par les antiquaires de l’Académie celtique au début du xixe siècle jusqu’aux objectifs affichés par la Recherche concertée sur programme (RCP) menée à Plozévet dans les années 1960, en passant par les collectes exemplaires effectuées par les folkloristes de la fin du xixe ou encore les enquêtes diligentées par le Musée national des arts et traditions populaires dans les années 1930, l’une et l’autre démarches ayant donné en Bretagne des résultats particulièrement fructueux… Après avoir rapidement rappelé la place effectivement donnée à la Bretagne dans de nombreuses étapes de cette construction du projet scientifique d’une ethnologie de la France, le propos de ma communication sera de tenter de lui trouver des éléments d’explication, au rang desquels faut-il sans doute considérer l’idée même de marge, associée d’une part à la Bretagne « à la marge » (de l’espace national) et d’autre part à ses habitants « en marge » (de la société globale).
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10

Meloche, Monique. "Enfermer la folie." Santé mentale au Québec 6, no. 2 (2006): 16–26. http://dx.doi.org/10.7202/030099ar.

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Abstract:
En Nouvelle-France, la folie a initialement été considérée selon les traditions européennes : les lunatiques doivent être exclus, mis hors de la vue. Très tôt, une distinction a été faite entre la fonction de protection, attribuée aux hôpitaux généraux et plus tard aux asiles, et la fonction de traitement entreprise à l’Hôtel-Dieu (mettant dans l’ombre le rôle joué par les hôpitaux généraux au 20e siècle). En 1960, le changement des concepts dans les champs de l’étiologie et du traitement de la maladie mentale, la largeur des hôpitaux mentaux et la transformation de la société du Québec de rural à urbain a accéléré la réorganisation des services psychiatriques, sans élément de risque d’exclusion du malade mental. Cet article décrit aussi brièvement les hôpitaux psychiatriques et leur dépendance au début des années 60 au Québec.
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11

Martinez, Victor. "Une réinterprétation du champ poétique du 20e siècle en France: Le cas de Guy Viarre et la revue moriturus." French Forum 37, no. 1-2 (2012): 83–95. http://dx.doi.org/10.1353/frf.2012.0006.

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12

FRANCE, JÉRÔME. "LA LOI DE HIÉRON ET LES ROMAINS DE JÉRÔME CARCOPINO: ALTERTUMSWISSENSCHAFT ET HISTOIRE ÉCONOMIQUE EN FRANCE AU DÉBUT DU 20E SIÈCLE." Bulletin of the Institute of Classical Studies 50, Supplement_97 (2007): 135–53. http://dx.doi.org/10.1111/j.2041-5370.2007.tb02497.x.

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13

Dubois, Sylvie, та Carole Salmon. "Étude diachronique du /ɔ/ devant R et L en français cadien dans le parler de quatre générations de femmes cadiennes". Revue de l'Université de Moncton 37, № 2 (2007): 193–206. http://dx.doi.org/10.7202/015846ar.

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Abstract:
Dans cet article, nous examinons la variation phonétique du son hl devant R et L en français cadien dans le parler de femmes nées entre 1890 et 1949 et originaires de quatre paroisses dans le sud de la Louisiane. Construit à partir de deux bases de données, notre échantillon comporte 29 locutrices cadiennes réparties sur quatre générations. Nous discuterons des sources latines de la variation phonétique, de l'évolution diachronique de la variable en France jusqu'au 20e siècle, et de son emploi en Acadie, au Canada. Nous présenterons ensuite l'usage intergénérationnel des deux variantes [O] et [o] par les locutrices cadiennes. Les aînées et les cadettes semblent instaurer un changement linguistique comparé aux générations précédentes, qui font un usage variable mais stable des deux variantes. Puisque l'hypothèse d'un changement linguistique en cours ne nous satisfait point, nous examinons la variation stylistique dans deux entrevues différentes.
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NEVEU, A. "La raniculture est-elle une alternative à la récolte ? Etat actuel en France." INRAE Productions Animales 17, no. 3 (2004): 161–75. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.3.3587.

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Abstract:
La grenouille est apparue dans la gastronomie européenne au cours du 16e siècle. La plupart des grenouilles consommées sont prélevées sur des stocks naturels, mais ceux-ci ont fortement diminué au cours du 20e siècle du fait de l’augmentation de l’activité humaine (augmentation des prélèvements, diminution des habitats favorables).
 La France est le principal pays importateur avec 3000-4000 t/an de cuisses surgelées en provenance des pays d’Extrême-Orient et 700-800 t/an de grenouilles vivantes. Au cours des dernières années, des essais d’élevage intensif de grenouilles ont été conduits dans plusieurs pays. Des essais ont été mis en place dans les années 80 dans l’ouest de la France pour tester les capacités d’élevage de grenouilles du complexe esculenta (deux espèces parentales : Rana lessonae et R. ridibunda et un hybride : R. esculenta). R. ridibunda s’est avérée la plus intéressante pour l’élevage intensif et a fait l’objet d’un essai de longue durée.
 Au début de l’essai, les femelles effectuaient plusieurs pontes par an avec une fertilité satisfaisante. Après une dizaine d’années d’élevage, la fécondité et la fertilité ont diminué, sans que les causes de ces diminutions soient totalement élucidées. Le développement des têtards dure de 2 à 3 mois.Les grenouillettes peuvent être alimentées avec des granulés dès la métamorphose. Après 40 jours, le taux de survie est de 92 % et la taille moyenne de 32 mm. La durée d’élevage depuis le sevrage est de 10 à 12 mois, avec une production de 20 à 30 kg/m2 pour une température comprise entre 15 et 25°C.
 Une alternative à la production intensive est de reconstituer les stocks naturels. Depuis 1986, plusieurs essais ont été conduits avec R. temporaria, qui associent l’élevage intensif des têtards en étang, le lâcher des grenouillettes dans la nature et le suivi du retour des adultes qui reviennent pondre sur leur lieu de naissance après deux ou trois ans (taux de retour d’environ 6 %). Le choix entre ces deux voies doit également tenir compte des contraintes réglementaires et socio-économiques.
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Petit, Stéphane. "Reconstitution de la dynamique du paysage alluvial de trois secteurs fonctionnels de la rivière allier (1946-2000), Massif central, France." Géographie physique et Quaternaire 60, no. 3 (2008): 271–87. http://dx.doi.org/10.7202/018000ar.

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Abstract:
Résumé L’écocomplexe de la plaine d’inondation de la rivière Allier a été étudié dans trois secteurs fonctionnels présentant une dynamique géomorphologique contrastée : le secteur à méandres de Joze-Maringues où l’Allier est corseté par des enrochements et touché par les extractions de granulats, le secteur à méandres mobiles de la Réserve Naturelle du Val d’Allier et le secteur à bras multiples situé entre les villages de Villeneuve-sur-Allier et du Veurdre. L’étude se fonde sur six à huit missions de photographies aériennes prises entre 1946 et 2000 pour déceler la dynamique du paysage alluvial. L’occupation du sol, la largeur de la bande active et le taux d’érosion des berges ont été estimés par photo-interprétation et leur évolution spatiotemporelle a été mise en évidence par des traitements statistiques et cartographiques. Les résultats indiquent un accroissement des surfaces vouées à l’agriculture à partir des années 1950 et une progression du recouvrement de la végétation arborée en lien avec la modification des pratiques culturales et la rétroaction de la bande active. Dans les trois secteurs, le pourcentage de la végétation arborée est passé de 10 à 17 % en 50 ans. Depuis la seconde moitié du 20e siècle, la modification des pratiques agro-pastorales semble être un agent prépondérant pour expliquer la végétalisation progressive de la plaine alluviale de la rivière Allier. L’érosion des berges ne s’est pas atténuée durant cette période. Elle était plus active pendant la décennie 1970-1980 en raison des crues plus fréquentes et plus intenses.
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Desautels, Éric. "La géographie des religions : quel apport à la compréhension de l’évolution du catholicisme québécois au 20e siècle? Fabien Venon, Géographie et religion en France et au Québec, Paris, L’Harmattan, 2011, 254 p.; Les paroisses de Montréal en crise. La fin d’un bastion catholique?, Paris, L’Harmattan, 2012, 202 p.; Les paroisses au défi de la modernité. L’archidiocèse de Montréal, 2013, 108 p. Fabien Venon, Géographie et religion en France et au Québec, Paris, L’Harmattan, 2011, 254 p. Fabien Venon, Les paroisses de Montréal en crise. La fin d’un bastion catholique?, Paris, L’Harmattan, 2012, 202 p. Fabien Venon, Les paroisses au défi de la modernité. L’archidiocèse de Montréal, 2013, 108 p." Recherches sociographiques 55, no. 3 (2014): 583. http://dx.doi.org/10.7202/1028380ar.

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Cotelette, Patrick. "Anne-Sophie Bruno, Petites entreprises et petits entrepreneurs étrangers en France (19e-20e siècle)." Lectures, January 7, 2007. http://dx.doi.org/10.4000/lectures.357.

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Wallace, David. "À propos du Chili et de l'évolution du roman. Entretien avec Roberto Gac." Sens public, June 4, 2015. http://dx.doi.org/10.7202/1052139ar.

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Abstract:
Dans le monde de la littérature, le Chili est reconnu surtout par ses poètes (Gabriela Mistral et Pablo Neruda, tous deux prix Nobel). Ses romanciers, en dehors de Roberto Bolaño, n'ont jamais atteint le même niveau de prestige. Il y a également une lignée d'écrivains d'avant-garde qui va de Vicente Huidobro dans les années 30 (son œuvre, à l'époque réputée en France et en Espagne, est en partie écrite en français), jusqu'à Jean Emar, Juan-Agustín Palazuelos et Mauricio Wacquez, pendant la deuxième moitié du 20e siècle. Dans cet entretien David Wallace, professeur de littérature à l'Université du Chili, donne, à travers ses questions, un aperçu de l'évolution de la narrative chilienne en particulier et de la narrative hispanique en générale, tout en laissant ouverte la question du roman comme genre littéraire face aux nouvelles technologies et à l'invention de l'écriture électronique.
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Corona, Christophe, and Georges Rovéra. "Réchauffement climatique et dynamique forestière au 20e siècle : la pinède de reboisement sur éboulis de la Courbe (Massif des Grandes Rousses, Alpes du Nord, France)." 61, no. 2-3 (2010): 181–94. http://dx.doi.org/10.7202/038991ar.

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Abstract:
Résumé Cette étude porte sur la dynamique, depuis le début du 20e siècle, d’une forêt de reboisement à pin noir d’Autriche (Pinus nigra ssp. nigricans) sur un talus d’éboulis, localisé dans le sud du massif des Grandes Rousses (Alpes du nord, France). Les différentes étapes de la dynamique forestière ainsi que la croissance des arbres étudiée par dendrologie révèlent les fluctuations climatiques du siècle écoulé (1896-2003). Une cartographie diachronique à grande échelle (1/5 000) au pas de temps bi-décennal, combinée à des prélèvements dendrologiques (157 arbres échantillonnés sur 12 placettes), font ressortir l’expansion rapide de la pinède entre 1950 et 1970, puis un ralentissement dans les décennies 1980, 1990 et le début des années 2000. Cette évolution concorde avec les variations des basses fréquences contenues dans les séries dendrochronologiques et météorologiques. La croissance du peuplement dans les décennies 1950-1970 coïncide avec une augmentation de 40 % de la croissance radiale et une succession d’étés frais et arrosés, d’après les séries climatiques de la station Besse en Oisans située à proximité du site. Inversement, depuis le milieu des années 1970, le peuplement connaît un déficit de croissance radiale de 20 % lié à une série d’étés chauds et secs, contribuant à une expansion ralentie. Cette sensibilité très forte des pins à la sécheresse pré-estivale (mai, juin et juillet) est confirmée, au pas de temps mensuel, par l’analyse dendroclimatologique. Dans un contexte d’épisodes de sécheresse intra-alpine de plus en plus prononcé, un phénomène récent encore peu abordé par les scénarios macroclimatiques, ces résultats conduisent à une série d’interrogations sur le devenir de ces peuplements et sur la fonction de sentinelle de ces forêts reboisées sur un substrat à faible capacité hydrique, capables d’enregistrer fortement les modifications des régimes pluviométriques et thermiques, encore mal modélisées en régions de montagnes.
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Vaillant, Alain. "La littérature, entre livre et périodique (19e–21e siècles)." Journal of European Periodical Studies 4, no. 2 (2019). http://dx.doi.org/10.21825/jeps.v4i2.10809.

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Abstract:
Il est habituellement entendu que la littérature est destinée à la publication en livre, qui seule confèrerait à l’auteur sa vraie légitimité. Or cette vision traditionnelle fausse la réalité historique: non seulement une masse écrasante de textes ‘littéraires’ est publiée exclusivement dans les périodiques, mais, dans le cas spécifique de la France, la presse reste pendant la plus grande part du 19e siècle le mode privilégié de publication. Même si, dans les premières décennies du 20e siècle, les relations vont se rééquilibrer entre le périodique et le non-périodique, cette hégémonie provisoire du périodique dans la communication littéraire joue un rôle déterminant dans l’émergence de ce qu’il est convenu d’appeler la ‘modernité’: au point qu’on peut soutenir, malgré l’idée reçue, que la littérature est alors devenue, à son corps défendant, un phénomène médiatique. C’est donc une réinterprétation globale de l’histoire littéraire, considérée par le prisme des modes de publication, qui est ici esquissée, aussi bien du point de vue de ses fondements théoriques que, plus concrètement, de sa périodisation pour les 19e–21e siècles.
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 It is usually understood that literary publication is intended for books, which alone would confer on the author true legitimacy. However this traditional view distorts historical reality: not only an overwhelming mass of ‘literary’ texts is published exclusively in periodicals, but also, in the specific case of France, the press remains for most of the nineteenth century the privileged mode of publication. Even though, in the first decades of the twentieth century, relations will have found a new balance between periodical and the non-periodical forms, the provisional hegemony of the periodical in literary communication plays a decisive part in the emergence of what is conventionally known as ‘modernity’: to the point that it may be argued, despite the common misconception, that literature has become, against its own will, a media phenomenon. Thus, it is a global reinterpretation of literary history that is sketched here, seen through the prism of publication modes, both from the point of view of its theoretical foundations and, more concretely, of its periodization for the nineteenth to twenty-first centuries.
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Desrosières, Alain. "Un essai de mise en relation des histoires récentes de la statistique et de la sociologie." Cambouis, la revue des sciences sociales aux mains sales, January 5, 2021. http://dx.doi.org/10.52983/crev.vi0.1.

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Abstract:

 
 
 Une réflexion sur les relations entre statisticiens et sociologues ne peut se contenter de confronter des problématiques et des démarches, tant celles-ci semblent résulter de l’inscription institutionnelle, des trajectoires professionnelles des uns et des autres et des marchés de leurs productions respectives. L’histoire des deux groupes, en particulier, permet de comprendre leurs relations, ou absences de relations, actuelles et son étude est indispensable pour situer les apports et les limites des travaux de chaque groupe, limites inscrites dans les conditions sociales de formation, de recrutement, de carrière, de financement, etc. Ainsi le système statistique français s’est développé, depuis la fin du dix-neuvième siècle, en diverses étapes tendant à la constitution d’un réseau d’institutions, dont l’Insee est la principale, dotées simultanément de moyens importants, d’une certaine autonomie administrative et d’une compétence socialement reconnue, fondée en particulier sur un recrutement comparable à celui des corps à haut prestige social : ces divers traits ne sont pas réunis de façon similaire dans la plupart des autres pays. La sociologie française, pour sa part, héritière d’une tradition intellectuelle brillante, issue de la philosophie, a eu dans un premier temps une insertion universitaire. Puis, après la Seconde Guerre mondiale, l’extension rapide du marché des diverses sciences sociales a simultanément accru les moyens de la sociologie et entraîné son émiettement, en raison de sa position relative par rapport aux autres sciences sociales (économie, démographie, d’une part, histoire ou ethnologie, de l’autre) et d’un développement, par le biais de la politique contractuelle, d’un grand nombre de centres de recherches de petite taille et de statut précaire : certains d’entre eux ont produit des travaux importants mais ne disposaient en général pas de relais institutionnels suffisants pour garantir leur suivi et leur reproduction. Une étude du développement concret des sciences sociales en France ne peut donc isoler un de ces deux ensembles, tant chacun d’entre eux a eu à se définir, au moins à certains moments, par rapport aux autres, comme le montrent l’examen historique et l’interview de quelques-uns des acteurs de cette histoire.
 
 
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Kilani, Mondher. "Identité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Abstract:
Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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