Academic literature on the topic 'Étudiants africains – Québec (Province)'

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Journal articles on the topic "Étudiants africains – Québec (Province)"

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Lacombe, Sylvie. "« Les enfants gâtés d’une province parasite. »." Recherche 54, no. 3 (December 12, 2013): 553–75. http://dx.doi.org/10.7202/1021004ar.

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Abstract:
Notre contribution analyse des articles d’opinion – éditoriaux et chroniques – dans leToronto Star, leGlobe and Mailet leNational Postdurant les mois de mars à septembre 2012. La perception du Printemps québécois y est, dans l’ensemble, plutôt négative, les revendications des étudiants grévistes restant largement incomprises des éditorialistes et chroniqueurs, qui y voient une défense insensée d’intérêts étroits, un caprice d’enfants déjà choyés du fait de leur situation. Mais commenter les événements qui agitent le Québec au printemps 2012 conduit surtout les commentateurs à juger le « modèle québécois » et à se prononcer sur la différence québécoise dans l’ensemble canadien. Plusieurs chroniqueurs rattachent aussi cette agitation aux désordres que connaissent certains pays européens, notamment la Grèce, pour leur trouver des similitudes. Dans tous les cas, la différence québécoise n’inspire aucune bienveillance : au mieux, elle témoigne de l’inconscience et de l’irrationalité qui imprègnent les politiques publiques dans cette province ; au pire, elle est artificiellement maintenue au détriment de tous les contribuables canadiens. C’est ainsi que les étudiants grévistes apparaissent comme les enfants gâtés d’une province parasite.
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Durocher, René. "Discours présidentiel : Le rapatriement du Québec." Historical Papers 22, no. 1 (April 26, 2006): 1–8. http://dx.doi.org/10.7202/030961ar.

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Abstract:
Résumé La question constitutionnelle est une question d'actualité fort complexe; elle constitue une dimension fondamentale de l'histoire de notre pays. Cette question paraît toujours importante depuis le gâchis constitutionnel de 1981-1982. Le refus des gouvernements péquiste et libéral de participer à cette entente est une bombe à retardement. C'est notre devoir comme historiens d'expliquer ce sujet difficile à nos étudiants et, si nous le pouvons, à un plus large public. Parmi les diverses positions des provinces, celle du Québec est distinctive par sa continuité historique. Sauf sur la question du veto, l'accord du Lac Meech tentera de satisfaire aux demandes du Québec. Ceci donne satisfaction au gouvernement de la province en reconnaissant le Québec comme société distincte à l'intérieur du Canada et en stipulant que la Constitution doit être interprétée en tenant compte de ce caractère distinct du Québec. C'est vraiment le minimum que peut accepter le Québec. L'accord du Lac Meech et celui du 3 juin, en permettant de réintégrer le Québec dans la vie constitutionnelle du pays, constitue une étape majeure, voire un moment historique, dans l'évolution du fédéralisme canadien.
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3

Utzschneider, Anouk, and Michel Landy. "Impacts of studying in a regional medical campus on practice location." Canadian Medical Education Journal 9, no. 1 (March 28, 2018): e44-50. http://dx.doi.org/10.36834/cmej.42015.

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Abstract:
Background: New Brunswick, a bilingual Canadian province without a medical school, negotiated an agreement in 1967 in which places were reserved for francophone medical students in the province of Quebec. In 2006, the Centre de Formation Médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), a regional medical campus (RMC) of Université de Sherbrooke for its provincial francophone medical students, was established to increase the likelihood of graduates setting up practice in the region. Practice locations of the initial 5 cohorts of CFMNB were analysed to compare data with francophone students trained in Quebec.Methods: Practice locations were determined through Scott’s Medical Database and provincial public registries. Chi-square and relative risk probability were used to examine the relationship between training location and practice location.Results: Doctors trained at CFMNB were 1.4 times more likely to be practicing in Atlantic Canada compared to those trained at Université de Sherbrooke (main campus) before 2006. Those trained at CFMNB were 1.3 times more likely to go on to practice in the region compared to those trained at Université Laval or Université de Montréal. Conclusion: This study supports the hypothesis that individuals completing a medical program in a Francophone RMC in New Brunswick increases the likelihood of them later practicing in the province or in the wider Atlantic Canada region._______Contexte: Le Nouveau-Brunswick, une province canadienne bilingue ne possédant pas de Faculté de médecine, a négocié en 1967 une entente avec le Québec afin de réserver des places pour ses étudiants francophones souhaitant étudier la médecine. En 2006, le Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick (CFMNB), un campus médical régional (CMR) de l’Université de Sherbrooke, a été créé afin de permettre aux Néo-Brunswickois d’étudier la médecine en français dans leur province. L’un des objectifs principaux du CFMNB était d’augmenter les probabilités que les diplômés en médecine s’établissent dans la région. Les lieux de pratique des médecins issus des 5 premières cohortes du CFMNB ont été analysés afin de les comparer avec ceux des médecins francophones d’origine néo-brunswickoise formés au Québec.Méthodes: Les lieux de pratique ont été déterminés via le répertoire des médecins Scott’s et les registres publics provinciaux. Des tests de Chi carré et des analyses de risque ont été conduits afin d’étudier la relation entre le lieu de formation et le lieu de pratique.Résultats: Les médecins formés au CFMNB étaient 1.4 fois plus enclins à travailler au Canada atlantique comparativement à ceux formés au campus principal de l’Université de Sherbrooke avant 2006. Les médecins formés au CFMNB étaient également 1.3 fois plus enclins à travailler dans la région que ceux formés à l’Université Laval ou à l’Université de Montréal.Conclusion: Cette étude supporte l’hypothèse selon laquelle le fait de compléter un programme de médecine francophone dans un CMR francophone au Nouveau-Brunswick augmente les chances de pratiquer au Nouveau-Brunswick ou dans la grande région du Canada atlantique.
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Hautecoeur, Jean-Paul. "Variations et invariance de l'Acadie dans le néo-nationalisme acadien." Articles 12, no. 3 (April 12, 2005): 259–70. http://dx.doi.org/10.7202/055537ar.

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Abstract:
On se représente trop souvent l'Acadie comme une société «monolithique», «unidimensionnelle», «non pluraliste», un peu comme la survivance d'un antique modèle de société hiérarchique où la transmission des traditions est rigoureusement contrôlée par des grands-prêtres ou des dignitaires initiés par la « patente », et méthodiquement rythmée par les rites et cérémonies du calendrier occulte. Une telle image constituée par analogie ressemble trop au type-idéal pour rendre compte de cette formation historique originale qu'est la société acadienne. Elle est aussi trop conforme, par certains côtés, aux canons d'une idéologie unitariste pour ne pas être soumise à la critique. Cette première représentation à laquelle se rattachent de nombreuses variations est très optimiste dans le sens où elle constitue un objet fini, non contradictoire, non problématique : la société existe en soi, tel est son modèle. Une deuxième représentation, moins « savante » que l'autre, consiste à définir l'Acadie comme un souvenir et à ne voir en l'Acadie actuelle qu'un terrain vague parsemé des débris d'une histoire malheureuse. Il resterait quelques ilôts acadiens au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Ecosse où on parle encore un français archaïque et où l'on continue à filer et à chanter, comme dans la chanson. Ce sont eux qui justifiaient que la province du Nouveau-Brunswick se déclare bilingue alors qu'elle était renommée pour son loyalisme à la couronne britannique... Cette image, trop pessimiste, à laquelle se rattachent aussi de nombreuses variations, a des relents de l'idéologie anglo-canadienne intégratrice qui nie à l'autre toute existence autonome pour, au mieux, en faire une originalité « culturelle » à préserver. Acadie traditionnelle, Acadie folklorique : deux stéréotypes — on pourrait en trouver d'autres — dont on découvre vite l'étroite filiation avec des formations idéologiques connues et qui ont tous deux pour conséquence de surdéterminer au départ le terrain sémantique ou de brouiller momentanément le champ d'investigation au « regard prolongé » (celui du sociologue, journaliste, homme politique, etc.). La société acadienne est en soi une certaine configuration de rapports sociaux dont il ne sera pas question dans cet article. Elle existe aussi pour soi dans les diverses théories qu'en ont les acteurs et groupements d'acteurs sociaux. Contrairement à la théorie ou idéologie dominante, j'emploie théories au pluriel et c'est précisément de l'aventure de l'idéologie contestataire de l'idéologie officielle qu'il sera question. L'existence même du discours discordant d'intellectuels et leaders étudiants détruit la théorie simplificatrice selon laquelle la société serait un consensus et ses leaders nationaux les « chefs naturels » incontestés. Il existe deux discours visant à définir les finalités et objectifs de la société globale qui ont en commun une grande cohérence et la même prétention à faire l'unanimité des consciences. La différence est que l'un vise à protéger et perpétuer une certaine lecture de la tradition et une certaine pratique de la culture, et comme tel il a la légitimité, alors que l'autre vise à changer lecture et pratique de la culture pour donner à la société un nouveau destin. Celui-ci n'a pas comme dans d'autres formations sociales la légitimité que pourrait lui conférer l'affiliation à un club, un parti, un syndicat ou tout autre groupement organisé et reconnu : il est tenu pour sauvage, quand il n'est pas tout simplement nié comme tel. Mon propos est le suivant : observer et comprendre le rapport des jeunes idéologues au signe Acadie ou Acadien, en suivre l'itinéraire pour retracer la genèse du projet collectif tout neuf de l'annexion de « L'Acadie » au futur Québec indépendant. Le contenu proprement dit de ce projet m'importe peu ; m'intéresse sa genèse en rapport avec le signe d'identité collective. Mon hypothèse était la suivante : il fallait que les étudiants conservent le signe, qu'ils lui donnent un sens explicite et positif pour faire entrer leur discours dans l'histoire ou pour lui donner des chances objectives de devenir collectif. Mieux : afin que le discours gagne la cohérence nécessaire pour entrer en concurrence avec le discours traditionnel, il devait faire du signe Acadie son centre. Le symbole primordial devait assurer la liaison entre l'ancien et le nouveau : il devait continuer d'être le lieu de l'échange entre le caché et le manifeste, entre la langue et la parole, entre la culture et les traditions. J'ai distingué, dans l'évolution du rapport des nouveaux idéologues au signe Acadie, trois moments qui reproduisent à peu de choses près trois étapes successives de la praxis collective des étudiants de l'Université de Moncton : le Ralliement de 1966, les «événements» de '67-'69, la «répression» de '70-'71. Je n'ai retenu pour ce travail que les exemples les plus significatifs, sélectionnés à partir d'un fichier systématique de la production idéologique acadienne de ces dernières années. Beaucoup de documents annexes ou connexes ne seront pas reproduits ici.
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5

Poznanski, Thaddée. "Loi modifiant la loi des accidents du travail." Commentaires 22, no. 4 (April 12, 2005): 558–65. http://dx.doi.org/10.7202/027838ar.

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Abstract:
Le Bill 79 modifiant la Loi (québécoise) des accidents du travail a été sanctionné le 12 août 1967 et est entré en vigueur le même jour, mais plusieurs dispositions essentielles de la nouvelle loi ne prennent effet qu'à compter du 1er septembre 1967. Les changements principaux apportés par ce Bill concernent l'amélioration des prestations versées aux accidentés et à leurs survivants; ceci non seulement pour les accidents qui surviendront à compter du 1er septembre 1967, mais aussi celles versées présentement pour les accidents antérieurs à cette date. Mentionnons, cependant, que pour les accidents survenus à compter du 1er septembre 1967 la limite du salaire annuel compensable est haussée à $6,000, cette limite n'étant avant cette date que de $5,000 et cela à partir du 1er janvier 1960 ($4,000 à partir du 1er janvier 1955, $3,000 à partir du 1er février 1952, $2,500 à partir du 1er juillet 1947 et $2,000 depuis 1931 — l'année d'entrée en vigueur de la Loi des accidents du travail). Pour saisir l'importance de la modification du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000, on peut mentionner qu'en 1966 presque 40% des accidentés ayant droit à une prestation pécuniaire ont eu un salaire dépassant la limite de $5,000, et dans quelques classes de risque le pourcentage en question dépasse 75% (par exemple: aciéries, etc.). Pour les accidentés d'avant le 1er septembre 1967 le salaire compensable reste le même que lors de l'accident (« gains moyens pendant les douze mois précédant l'accident si son emploi a duré au moins douze mois, ou de ses gains moyens au cours de toute autre période moindre pendant laquelle il a été au service de son employeur »),avec les limites alors en vigueur, même si le salaire effectif de l'accidenté (calculé de la manière précitée) dépassait la limite en question. Mais déjà lors de la revalorisation des rentes effectuée en 1964 (avec effet du 1er octobre 1964) on a tenu compte, dans une certaine mesure, des modifications successives du plafond et les pourcentages ajoutés aux montants des rentes des accidentés d'antan sont basées justement sur l'échelle de ces plafonds et leurs relations. Toutefois, dans l’intention de vouloir couvrir la capitalisation des majorations dues à la revalorisation par le fonds disponible, on s'est vu obligé de n'accorder que 40% de l'augmentation; ainsi, par exemple, pour les accidents des années 1931-1947, quand la limite des salaires compensables était de $2,000 par année, la revalorisation accordée en 1964 était de 60%, tandis que le plafond a augmenté de 150%, à savoir de $2,000 à $5,000; de la même façon, les rentes pour les accidents survenus entre le 30 juin 1947 et le 1er février 1952 ont été augmentées de 40% et celles pour les accidents survenus entre le 31 janvier 1952 et le 1er janvier 1955 de 27% et celles des années 1955-1959 de 10%. La revalorisation prévue présentement, par le Bill 79, est basée sur d'autres principes que celle effectuée en 1964. En premier lieu, il est à noter que lors de la revalorisation en 1964 on n'a pas tenu compte, du moins explicitement, du fait que les rentes des bénéficiaires dont les accidents datent d'avant 1956 sont calculées d'après un taux inférieur à 75% présentement (à partir du 1er janvier 1956) applicable pour l'incapacité permanente totale (et des taux proportionnels en cas d'incapacité permanente partielle), à savoir selon un taux de 66 2/3% pour les accidents survenus de 1931 au 31 janvier 1952 et selon le taux de 70% du 1er février 1952 au 31 décembre 1955. On peut toutefois signaler que les montants des rentes revalorisées en 1964 selon les pourcentages consignés à l'art. 38 de la loi (donc de 40% à 10% selon l'année de l'accident) sont, dans tous les cas, supérieurs aux montants théoriques provenant d'un ajustement hypothétique selon le taux de 75%. En passant, il est à mentionner que dans les autres provinces canadiennes le seul ajustement effectué à date, c'est de recalculer les rentes en les basant sur le taux de 75%. * La revalorisation prévue par le Bill 79 tient compte de trois facteurs. En premier lieu, la majoration de la rente ne part pas du montant initial de la rente, mais de celui augmenté par la revalorisation de 1964. Le deuxième facteur amène toutes les rentes au taux de 75%, expliqué plus haut. Le troisième facteur tient compte du changement de l'indice du coût de la vie entre la date de l'octroi de la rente (date de l'accident) et l'année 1966, avec correction que la rente ainsi ajustée, d'après le coût de la vie, ne soit pas inférieure à celle d'après le principe du taux de 75%. Voici donc la table des majorations prévue par le Bill 79 (annexe A), applicable aux rentes payables le 30 septembre 1967, donc déjà augmentées, le cas échéant d'après la revalorisation de 1964. ANNEXE "A" A LA LOI Année de l'accident Taux de majoration 1931 -1939 40 % 1940 34 % 1941 26 % 1942 21 % 1943 19 % 1944 18 % 1945 7 % 1946 14 % 1947 -1951 12.5 % 1952 -1954 7.14 % 1955 10 % 1956 9 % 1957 5 % 1958 2.2 % 1959 1.1 % 1960 10 % 1961 9 % 1962 8 % 1963 6 % 1964 4 % 1965 2 % Cette échelle des majorations selon l'année de l'accident nécessite, peut-être, quelques explications par des exemples suivants: a) Les rentes provenant des accidents survenus après le 1er janvier 1960, n'étaient pas revalorisées en 1964. D'après l'échelle maintenant adoptée, elles seront majorées selon un taux de 2% par année écoulée depuis l'année de l'accident jusqu'à 1966. b) Les rentes provenant des accidents de la période 1955-1959 ont été revalorisées en 1964 de 10%; pour tenir compte de l'indice du coût de la vie, l'échelle prévoit des augmentations allant de 1.1% à 10% selon l'année de l'accident. c) Les rentes provenant des accidents de la période 1952-1954 ont été revalorisées en 1964 de 27%; après la revalorisation d'un tel pourcentage, les rentes sont déjà plus élevées que d'après l'indice du coût de la vie; l'échelle du Bill prévoit donc pour ces rentes un ajustement de 70% à 75%, c'est-à-dire une majoration de 7.14%. d) Les rentes provenant des accidents de la période 1948-1951 ont été revalorisées en 1964 de 40%; maintenant, d'après le Bill 79, elles sont majorées de 12.5% pour tenir compte de la relation de 75% à 66 2/3%. e) La même chose s'applique aux rentes provenant de la première moitié de l'année 1947, revalorisées en 1964 de 60%. f) Pour les rentes provenant des accidents d'avant le 1er janvier 1947, l'échelle du Bill 79 prévoit une majoration selon l'indice du coût de la vie, car un ajustement de 66 2/3% à 75% serait inférieur. En plus de la revalorisation des rentes aux accidentés, tel que décrit plus haut, le Bill 79 prévoit une majoration substantielle des rentes aux survivants; ces rentes sont, en principe, indépendantes du salaire compensable de l'ouvrier — victime d'un accident. D'après le Bill 79 les rentes mensuelles versées aux veuves (ou veufs invalides) seront portées de $75 à $100, donc une majoration de 33 1/3%. Les rentes pour les enfants seront portées de $25 à $35 par enfant, donc une majoration de 40%, et les rentes aux orphelins de père et de mère de $35 à $55. Mentionnons, en passant, que lorsque de la revalorisation en 1964 des rentes aux accidentés, les montants des rentes aux survivants n'ont pas été modifiés; la rente de veuve au montant de $75 existe depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement à cette date elle était de $40 de 1931 à 1947 et de $45 durant la période 1947-1954). De même les rentes pour les enfants au montant de $25 et $35 aux orphelins existent depuis le 1er janvier 1960 (antérieurement elles étaient de $10 resp. $15 durant la période 1931-1947 et de $20 resp. $30 durant la période 1947-54). Il est à remarquer que dans tous les cas le montant des rentes était fixé selon la date du paiement (de l'échéance) quelle que soit la date de l'accident. La loi prévoit à l'art. 34, par. 10 qu'en principe, le total des rentes mensuelles payées au décès d'un ouvrier, ne peut excéder 75% de son salaire compensable et, le cas échéant, les rentes sont réduites proportionnellement. Cependant la rente mensuelle minimum payable à une veuve (ou un veuf invalide) avec un seul enfant est fixée d'après le Bill 79 à $135 en prévoyant ainsi une augmentation de la situation précédente de $35; pour une veuve avec deux enfants la rente est portée de $125 à $170 (une augmentation de $45) et pour une veuve avec plus de deux enfants de $150 à $205 (une augmentation de $55). S'il y a plus que deux enfants admissibles à ces rentes (donc âgés de moins de 18 ans ou aux études ou invalides) le montant à la veuve (y compris pour les enfants) peut excéder le dit montant de $205 par mois lorsque le salaire mensuel de la victime dépasse $273.33 (car 75% de $274 est de $205.50). Le Bill 79 en majorant les rentes en cours payables aux survivants des victimes des accidents survenus avant le 1er septembre 1967, prévoit une augmentation identique aux rentes qui seront accordées aux survivants des victimes des accidents survenus à compter du 1er septembre 1967. En outre, le Bill stipule que l'allocation spéciale payable à la veuve (ou à la mère adoptive) en plus des dépenses encourues pour les funérailles de l'ouvrier, devient $500 au lieu de $300. Une autre amélioration des prestations provient du fait que dorénavant les rentes accordées dans le cas d'incapacité permanente (totale ou partielle) seront versées jusqu'à la fin du mois durant lequel décède un tel rentier. D'après le texte précédent l'ouvrier n'a droit à sa rente que « sa vie durant »; ainsi les rentes exigibles pour le mois dans lequel a eu lieu le décès n'étaient payables (à la succession) que proportionnellement selon le nombre de jours qu'il a vécus (il est à mentionner à cette occasion que la loi parle toujours de la « rente hebdomadaire » quoique ces rentes sont versées en termes mensuels). La modification à ce propos est d'ailleurs conforme aux principes du Régime de rentes où on stipule que « le paiement d'une prestation est dû au début du mois, mais il est versé à la fin de chaque mois pour le mois écoulé ». En parlant des rentes aux victimes des accidents, il peut être intéressant de signaler que la très grande partie de ces rentes sont: payées pour l'incapacité partielle; ainsi selon l'état au 31 décembre 1966 le nombre des rentiers dont l'incapacité ne dépasse pas 20% est d'environ 63% du total et même la proportion de ceux avec une incapacité ne dépassant pas 50% est de 91%. Le degré moyen d'incapacité s'élevait à 24.4%. Parmi d'autres modifications apportées par le Bill 79, on peut mentionner l'article qui couvre le cas d'aggravation d'un mal d'un accidenté du travail. L'amendement prévoit que dans de tel cas la compensation pour l'incapacité temporaire ou permanente sera basée sur le salaire de l'ouvrier au moment de l'aggravation (rechute, etc.) si celle-ci survient plus que trois (3) ans après cet accident, bien entendu lorsque ce salaire est plus élevé que ceux qui ont servi de base pour établir la compensation antérieure. Dans le passé ce délai était de 5 ans. Une autre modification, inspirée celle-ci par la Loi sur le Régime de rentes, prévoit que la CAT peut déclarer morte une personne disparue à la suite d'un accident survenu par le fait ou à l'occasion du travail, dans les circonstances qui font présumer son décès et reconnaître, la date de l'accident (ou la disparition) comme date de son décès, et par le fait même, de verser aux survivants les prestations requises. Une disposition spéciale du Bill 79 concerne le cas de pneumoconiose (silicose et amiantose); d'après la nouvelle teneur de l'article en question la CAT peut accepter une réclamation à cette fin, aussi si la pneumoconiose « est accompagnée d'une autre complication »; dans le passé il existait justement la restriction que la pneumoconiose ne soit « accompagnée d'aucune complication » (art. 108 de la Loi) pour avoir droit à une compensation. Enfin un article du Bill 79 donne droit aux compensations à toute personne qui serait blessée ou tuée alors qu'elle accompagne un inspecteur des mines, en vertu de la Loi des mines, même si c'est un travail d'occasion ou étranger à l'industrie de l'employeur, lesquels cas, règle générale, ne donnent droit aux compensations. De la revalorisation des rentes en cours vont profiter en 1967 environ 15 mille bénéficiaires (soit accidentés ou atteints de maladie professionnelle) et l'augmentation des rentes atteindra $62,500 par mois ou $750,000 par année; cela fait en moyenne environ 10% des montants versés avant la revalorisation. En ce qui concerne les rentes aux veuves leur nombre est d'environ 2,300, tandis que le nombre d'enfants admissibles atteint environ 3,800 (y compris les orphelins de père et de mère, ainsi que les étudiants au dessus de 18 ans et les enfants-invalides). L'article 5 du Bill 79 prévoit que l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux accidentés découlant de la revalorisation incombe au fond d'accident ou à l'employeur de la même manière que celle de la rente de base; une disposition semblable se trouvait dans l'amendement de la Loi lors de la revalorisation en 1964. Par contre le Bill 79 ne dit pas explicitement à qui incombe l'obligation de payer l'augmentation des rentes aux survivants décrétée par ce Bill. On peut toutefois déduire de l'art. 3 de la Loi que l'employeur dont l'industrie est mentionnée dans la cédule II (et qui par le fait même ne contribue pas au fond d'accident) est personnellement tenu de payer la compensation y compris la modification accordée par le Bill. D'autre part, toujours d'après le même article, l'employeur dont l'industrie est mentionnée à la cédule I, n'est pas responsable de payer la compensation, étant tenu de contribuer au fond d'accident de la Commission. La réforme des prestations aux survivants (des rentes et de l'allocation spéciale) causées par les accidents mortels, survenus après le 31 août 1967 aura comme conséquence l'augmentation des dépenses de la Commission et, par ricochet, amènera une faible majoration des taux de contributions. On estime que de ce fait le taux futur de contribution devra subir une majoration moyenne de moins de 4% du taux actuel; la majoration ne sera pourtant uniforme dans toutes les classes d'industries ou de risque; elle dépendra, en premier lieu, de la fréquence des accidents mortels qui est très différente selon la classe. Par contre, la revalorisation des rentes aux accidentés et l'ajustement de celles aux survivants (veuve, enfants)en cours en septembre 1967, c'est-à-dire causées par les accidents antérieurs soulève un problème particulier. Lors de la revalorisation des rentes en 1964, la Commission pouvait se prévaloir d'un excédent qui se trouvait (implicitement) dans son fond d'accident, pour former la capitalisation des augmentations des rentes provenant de la dite revalorisation. Contrairement à la position de 1964, la situation financière de la CAT en 1967 n'accuse pas de tel excédent (ni explicitement, ni implicitement) pour former la capitalisation des majorations décrétées par le Bill 79. D'après une déclaration du ministre du Travail en Chambre, les majorations en question exigeraient une capitalisation d'environ $21,5 millions. Il serait impossible (et même illogique) de prélever des employeurs une telle somme d'un seul coup. La Commission pourra donc se prévaloir, paraît-il, des dispositions de l'art. 32 de la Loi qui prévoit que « la Commission peut, de la manière et à telle époque ou à telles époques qu'elle croit le plus équitable et le plus en harmonie avec les principes généraux et les dispositions de la présente loi, prélever des employeurs qui ont exploité dans le passé, qui exploitent actuellement ou qui exploiteront à l'avenir une des industries visées par la présente loi, les sommes additionnelles résultant de l'augmentation des compensations payables en vertu des dispositions de la présente loi ». En vertu de cet article (qui est rédigé quasi « sur mesure » de notre problème) il est donc loisible à la Commission de répartir le montant nécessaire sur une longue période, par exemple 25 ans, en prélevant annuellement à titre de sommes additionnelles (sans nécessairement les identifier comme telles) aux contributions régulières; une telle répartition sur une période de 25 ans exigerait environ 6.4% du montant de la capitalisation nécessaire de $21,5 millions, donc environ $1,400,000 par année; ce montant tient compte d'intérêt à raison de 4% composé annuellement, c'est-à-dire le même que le taux d'escompte appliqué pour évaluer la valeur présente des augmentations accordées. Dans l'hypothèse que les contributions annuelles régulières dépasseront $50 millions, la cotisation additionnelle serait d'ordre de 3% et possible moins, si on envisage que la hausse du plafond des salaires compensables de $5,000 à $6,000 et l'assujettissement projeté de nouveaux groupes des travailleurs augmentera sensiblement le volume global des contributions régulières. D'après le plan quinquennal préparé par la Commission et annoncé par le ministre du Travail dans la Gazette du Travail du Québec (juillet 1967) on peut s'attendre que le nombre des salariés couverts par la Loi augmentera dans 5 ans de 50%, en passant de un million en 1966 à un million et demi en 1972, ceci selon les données disponibles actuellement concernant les nouvelles entreprises qui deviendront progressivement assujetties à la Loi. Lors de la discussion du Bill 79 à l'Assemblée législative on a soulevé la question du rajustement ou de l'adaptation automatique au coût de la vie des prestations de la Commission aux accidentés (et à leurs survivants), tout comme cela est prévu pour les prestations du Régime de rentes (au Québec et dans les autres provinces canadiennes) et aussi pour les pensions (fédérales) de la sécurité de la vieillesse. Selon l'explication donnée en Chambre par le ministre du Travail, le gouvernement a envisagé d'une manière objective la question de la revalorisation automatique future des rentes de la CAT, mais le gouvernement n'a pas voulu cette année, selon l'expression du ministre, en faire une disposition particulière dans la loi, bien qu'on y avait songé; et cela surtout, d'après le ministre, à cause du coût supplémentaire pour les employeurs (lesquels, comme on sait, sont les seuls qui contribuent à la CAT), lequel serait occasionné par un tel ajustement automatique. Le ministre a ajouté que le gouvernement est bien conscient du problème et qu'il ne l'a pas abandonné. Il faut donc comprendre qu'il sera étudié plus tard, peut-être, avec l'ajustement automatique d'autres prestations payables par le gouvernement.1 A ce propos, il est à signaler qu'à date, à notre connaissance, il y a une seule province au Canada, celle de la Colombie-Britannique, dans laquelle les prestations périodiques sont sujettes à un accroissement automatique, selon l'indice des prix à la consommation. En substance, si cet indice augmente d'une année à l'autre de pas moins de 2%, les rentes seront accrues de 2% pour chaque augmentation de 2% de l'indice.
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Poitras, Daniel. "Fouetter les structures et « éduquer à l’unité ». Les Travailleurs étudiants du Québec et l’action sociale (1959-1967)." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, September 26, 2018. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v30i2.4536.

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Abstract:
RésuméL’action sociale étudiante est un chapitre largement inconnu de l’histoire des étudiants au Québec, qui ont surtout retenu l’attention pour leurs coups de gueule ou d’éclat. L’histoire des Travailleurs étudiants du Québec (TEQ) vient démentir cette représentation. Les TEQ (1964-1967) qui ont œuvré auprès des familles démunies, des ouvriers, des chômeurs et des jeunes de la rue dans des milieux s’étendant de Gaspé à Thetford Mines se voulaient éducateurs, animateurs sociaux et organisateurs communautaires. Ils cherchaient à susciter des prises de conscience citoyennes et à encourager des initiatives et des structures locales pouvant mener à une véritable société de participation. Dans cet article, je démontre de quelle façon l’Action sociale étudiante (ASE) québécoise opérait à partir de traditions (étudiantes, sociales et politiques) et se projetait dans le futur en réarticulant constamment son idéalisme et son pragmatisme. Pendant ses quatre ans d’existence, l’ASE a constitué un haut lieu de formation et de mobilisation pour plusieurs jeunes qui ont eu l’occasion de confronter un bagage universitaire largement livresque à la réalité du terrain de l’action sociale. Abstract We know relatively little about the social action projects led by Québécois students, better known for their political activism and dramatic gestures. The Travailleurs étudiants du Québec(TEQ)’s story contradicts this representation. Working with low-income families, factory workers, unemployed people, and street youth from all over the province, these students acted as educators and social organizers. Their goal was to raise awareness among citizens, generating local initiatives and establishing structures that could lead to a true participative society. In this article, I demonstrate how the Action sociale étudiante (ASE) emerged from different traditions (social, political, students’) and projected itself into the future through a precarious balance between its idealism and pragmatism. During its four years of existence (1964-1967), the ASE was an important organization for the forming and mobilization of many young people who had the opportunity to confront their scholarly knowledge to the realities of social action.
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Gidney, R. D., and W. P. J. Millar. "The Salaries of Teachers in English Canada, 1900-1940: A Reappraisal." Historical Studies in Education / Revue d'histoire de l'éducation, June 18, 2010. http://dx.doi.org/10.32316/hse/rhe.v22i1.2134.

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Abstract:
Any student of Canadian education during the first half of the twentieth century has encountered the belief, common among those engaged in the educational enterprise and sometimes shared by others, that teachers were badly paid for their work. Though not a universal assessment, a similar view has also dominated the historiography. This interpretation, we think, is overdue for revision. In this article we address two central questions. One focuses more narrowly on teachers' salaries per se: how much, on average, did teachers earn, and how did this change over time? The other asks, just how good or bad were their salaries compared to those of other people in the Canadian workforce? We tackle these questions on a Canada-wide basis, excluding only the province of Quebec, and over an extended period, covering the first four decades of the century. -- Parmi les chercheurs et les étudiants intéressés par l’histoire de l’éducation canadienne pour la première moitié du vingtième siècle, un lieu commun persiste, à savoir, que les enseignants étaient très mal payés pour leur travail. Bien que cette assertion ne soit pas partagée par tous, ce point de vue domine dans l’historiographie de cette période. Nous croyons qu’il est temps de repenser cette interprétation. Dans cet article, nous nous intéressons à deux questions fondamentales. La première porte spécifiquement sur la rémunération des enseignants: combien gagnaient-ils en moyenne et comment leurs salaires ont-ils évolué dans le temps? La deuxième compare les salaires des enseignants à ceux versés aux autres travailleurs canadiens: étaient-ils pires ou meilleurs? Notre étude s’intéresse aux enseignants canadiens, à l’exception de ceux du Québec, et couvre les quatre premières décennies du vingtième siècle.
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Dissertations / Theses on the topic "Étudiants africains – Québec (Province)"

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Millet, Isolde. "Les stratégies d'acculturation des étudiants maghrébins à Québec." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2000. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp03/MQ49111.pdf.

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Sounan, Charles. "Vécu académique et estime de soi chez les étudiants africains universitaires à Québec." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/ftp04/mq26275.pdf.

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Beaulieu, Catherine, and Catherine Beaulieu. "L'exclusion sociale vécue par des réfugiés de l'Afrique subsaharienne à Québec et les effets sur leurs conditions de vie et leur santé." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/37198.

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Abstract:
Cette étude explore les expériences d’exclusion sociale chez les réfugiés de l’Afrique subsaharienne réinstallés à Québec et cherche à comprendre les effets des formes d’exclusion sociale sur leurs conditions de vie et leur santé. La recherche se base sur un devis qualitatif qui donne la parole à dix réfugiés en provenance de différents pays de l’Afrique subsaharienne. Ces personnes ont été rencontrées lors d’entrevues individuelles semidirigées. Les résultats de l’étude ont permis de mettre en lumière différentes expériences d’exclusion sociale dans différents milieux comme le travail, l’école, les commerces, le transport en commun et différents lieux publics. Les données tirées des entrevues font ressortir différentes formes d’exclusion : discrimination raciale à l’embauche, mépris identitaire, difficulté de créer des liens sociaux avec la population hôte, non-respect des droits fondamentaux et des règles de programmes contraignantes. L’exclusion sociale vécue par certains réfugiés subsahariens réinstallés à Québec s’accompagne de conditions de vie très délétères à leur santé : insécurité alimentaire, faible revenu, logements insalubres, réinstallation dans des quartiers mal desservis par les services et les commerces. Cette recherche relève également quelques effets perçus de l’exclusion sociale et des conditions de vie sur la santé tels que des maladies chroniques et des problèmes de santé mentale. MOTS-CLÉS : réfugiés réinstallés, exclusion sociale, déterminants de la santé, conditions de vie, santé, Québec.
Cette étude explore les expériences d’exclusion sociale chez les réfugiés de l’Afrique subsaharienne réinstallés à Québec et cherche à comprendre les effets des formes d’exclusion sociale sur leurs conditions de vie et leur santé. La recherche se base sur un devis qualitatif qui donne la parole à dix réfugiés en provenance de différents pays de l’Afrique subsaharienne. Ces personnes ont été rencontrées lors d’entrevues individuelles semidirigées. Les résultats de l’étude ont permis de mettre en lumière différentes expériences d’exclusion sociale dans différents milieux comme le travail, l’école, les commerces, le transport en commun et différents lieux publics. Les données tirées des entrevues font ressortir différentes formes d’exclusion : discrimination raciale à l’embauche, mépris identitaire, difficulté de créer des liens sociaux avec la population hôte, non-respect des droits fondamentaux et des règles de programmes contraignantes. L’exclusion sociale vécue par certains réfugiés subsahariens réinstallés à Québec s’accompagne de conditions de vie très délétères à leur santé : insécurité alimentaire, faible revenu, logements insalubres, réinstallation dans des quartiers mal desservis par les services et les commerces. Cette recherche relève également quelques effets perçus de l’exclusion sociale et des conditions de vie sur la santé tels que des maladies chroniques et des problèmes de santé mentale. MOTS-CLÉS : réfugiés réinstallés, exclusion sociale, déterminants de la santé, conditions de vie, santé, Québec.
This study seeks to explore experiences of social exclusion among refugees from sub-Saharan Africa resettled in Quebec and to understand the effects of forms of social exclusion on their living conditions and their health. The research is based on a qualitative quote that gives the floor to experts to live, ten refugees from different countries of sub-Saharan Africa. These people were met in semi-structured individual interviews. The results of the study shed light on different processes of social exclusion in different environments such as work, school, businesses, public transportation and various public places. The forms of social exclusion identified by participants are related to racial discrimination in hiring, identity contempt, difficulty in creating social links with the host community, lack of respect for fundamental rights and restrictive program rules. The social exclusion experienced by sub-Saharan refugees resettled in Quebec makes them experience living conditions that are very deleterious to their health: food insecurity, low income, unhealthy housing, resettlement in neighborhoods that are unfavorable to health and unsafe. In addition, this research identifies some effects of social exclusion and living conditions on health such as chronic diseases and mental health problems. KEYWORDS: resettled refugees, social exclusion, determinants of health, living conditions, health, Quebec
This study seeks to explore experiences of social exclusion among refugees from sub-Saharan Africa resettled in Quebec and to understand the effects of forms of social exclusion on their living conditions and their health. The research is based on a qualitative quote that gives the floor to experts to live, ten refugees from different countries of sub-Saharan Africa. These people were met in semi-structured individual interviews. The results of the study shed light on different processes of social exclusion in different environments such as work, school, businesses, public transportation and various public places. The forms of social exclusion identified by participants are related to racial discrimination in hiring, identity contempt, difficulty in creating social links with the host community, lack of respect for fundamental rights and restrictive program rules. The social exclusion experienced by sub-Saharan refugees resettled in Quebec makes them experience living conditions that are very deleterious to their health: food insecurity, low income, unhealthy housing, resettlement in neighborhoods that are unfavorable to health and unsafe. In addition, this research identifies some effects of social exclusion and living conditions on health such as chronic diseases and mental health problems. KEYWORDS: resettled refugees, social exclusion, determinants of health, living conditions, health, Quebec
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Chenard, Pierre. "Construction et validation d'une typologie des départs institutionnels : (le cas de l'Université du Québec)." Doctoral thesis, Université Laval, 1989. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29422.

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Lemoyne, Jean. "Étude longitudinale de la pratique régulière d’activités physiques chez les étudiants du collégial." Doctoral thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26085.

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Abstract:
Plusieurs évidences scientifiques ont démontré un déclin important de la pratique d’activités physiques lors de l’adolescence. Plusieurs études épidémiologiques rapportent les effets délétères de la sédentarité sur notre société. Cette recherche examine les perceptions et les mécanismes expliquant les comportements d’étudiants du collégial quant à leur pratique d’activités physiques. Cette étude comporte trois objectifs. La première étude vise à identifier les déterminants psychosociaux de la pratique d’activités physiques chez les collégiens. Le deuxième objectif consiste à étudier les interactions entre la pratique d’activités physiques et le concept du soi physique. Le dernier objectif vise à examiner les changements de perceptions des étudiants au regard de la pratique d’activités physiques lors de leur passage au collégial. L’étude a été réalisée sur une période de deux ans, auprès de 536 étudiants inscrits dans les cours d’éducation physique au Collège Shawinigan. La collecte des données a été effectuée au début et à la fin de chacun des trimestres des années 2008 à 2010. Des analyses par équations structurelles ont été effectuées, étant donné leur potentiel intéressant pour ce type de devis de recherche. La première étude démontre que les intentions, la pratique antérieure d’activités physiques et les perceptions du soi physique sont des facteurs significativement associés à la pratique d’activités physiques. Les attitudes, le soi physique et les barrières perçues sont des prédicteurs directs des intentions à pratiquer des activités physiques diverses. Les résultats de la deuxième étude suggèrent que les sous-dimensions du soi physique prédisent la participation à des groupes d’activités qui correspondent à chacune de leurs dimensions respectives. La troisième étude démontre que les changements des croyances de contrôle et des intentions sont significativement associés à une augmentation de la pratique d’activités physiques lors du passage au collégial. Dans la dernière section de la thèse, des pistes d’interventions sont proposées, afin de favoriser la pratique régulière d’activités physiques chez les étudiants du collégial.
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Pelletier, Isabelle. "Étude comparative des modes d'acculturation chez des étudiants étrangers provenant d'une société individualiste et d'une société collectiviste." Master's thesis, Université Laval, 2003. http://hdl.handle.net/20.500.11794/44217.

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Abstract:
La présente étude s'intéresse à l'influence de la distance culturelle sur le processus d'adaptation d'étudiants internationaux inscrits à l'Université Laval. L'étude cherche à vérifier l'influence du pays d'origine (collectiviste/individualiste) sur deux niveaux du processus d'acculturation (comportement/système de valeur), en contexte individualiste. L'étude vise également à vérifier l'influence de la discrimination perçue sur le mode d'acculturation choisi et sur son orientation idiocentriste ou allocentriste. Quarante six étudiants français et trente six étudiants marocains participent à l'étude et répondent à un questionnaire inspiré des modèles théoriques de Berry (1997) et de Schwartz (1998). Les résultats démontrent que les deux groupes choisissent majoritairement le mode d'intégration. Cependant, les étudiants marocains ne vivent pas les mêmes changements que les étudiants français et ne réagissent pas aux mêmes déterminants d'adaptation. Chez les Français, les principaux changements s'effectuent au niveau des comportements alors qu'aucun changement n'est observé au niveau des valeurs. Chez les Marocains, on remarque une augmentation des valeurs individualistes et une perception de discrimination collective, ce qui nuance leur mode d'acculturation. Pour les deux groupes, la discrimination perçue n 'est aucunement associée à l'orientation du mode d'acculturation (idiocentriste/allocentriste).
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Skakni, Isabelle. "Les représentations de la carrière professorale des étudiantes et étudiants au doctorat." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/28530/28530.pdf.

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Beaublanc, Richardson. "Perception des étudiants étrangers devenus immigrants à l'égard de leur trajectoire d'intégration professionnelle dans la ville de Québec." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/35034.

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Abstract:
Dans le contexte de l’internationalisation de l’enseignement supérieur dans les pays de l’OCDE, le Canada accueille chaque année un nombre important d’étudiants internationaux. Parmi ces derniers, certains ont demandé la résidence permanente une fois qu’ils ont terminé leurs études. Ils s’appuient sur les politiques en matière d’immigration du Canada qui facilitent la transition des étudiants étrangers vers la résidence permanente. Les résultats de cette étude montrent que la majorité des participants n’avaient pas l’intention d’immigrer au Canada, mais le projet d’immigration a profilé au cours de leurs études en raison de plusieurs facteurs. D’autres participants ont mis de l’avant leur projet d’étude en vue de réaliser leur projet d’immigration permanente. Dans ce cadre, cette étude exploratoire vise à comprendre la perception des anciens étudiants étrangers qui deviennent des immigrants à l’égard de leur trajectoire professionnelle. L’analyse des entretiens montre que la majorité des participants ont exprimé un sentiment de satisfaction de leur intégration professionnelle. En analysant les discours de certains participants, on remarque que cette satisfaction ne s’explique pas en fonction de la qualité des emplois occupés. Ils ont mis de l’avant la passion qui les anime dans leur travail même s’ils n’ont pas des emplois à la hauteur de compétences. Toutefois, il est révélé que dans cette étude d’autres participants sont très insatisfaits de leur intégration professionnelle. Concernant les facteurs qui contribuent à leur intégration, tous les participants s’accordent pour dire que le fait d’avoir un réseau de contacts dans les milieux professionnels constitue un élément déterminant. Pour les facteurs qui entravent l’intégration professionnelle, les participants de cette recherche issus des groupes minoritaires mentionnent que la discrimination et les préjugés constituent de véritables défis.
In the context of the internationalization of higher education in OECD countries, Canada welcomes a significant number of international students each year. Some of them have applied for permanent residence after graduation. They are based on Canada's immigration policies that facilitate the transition of international students to permanent residence. The results of this study show that the majority of participants did not intend to immigrate to Canada, but the immigration project has profiled during their studies due to several factors. Other participants put forward their study project in order to carry out their permanent immigration project. In this context, this exploratory study aims to understand the perception of former international students who become immigrants with respect to their career path. Analysis of the interviews shows that the majority of participants expressed a sense of satisfaction with their professional integration. An analysis of the speeches of some participants shows that this satisfaction cannot be explained by the quality of the jobs held. They have put forward the passion that drives them in their work even if they do not have jobs that match their skills. However, it is revealed that in this study other participants are very dissatisfied with their professional integration. Regarding the factors that contribute to their integration, all participants agreed that having a network of contacts in professional environments is a key element. For the factors that hinder professional integration, participants in this research from minority groups mention that discrimination and prejudice are challenges.
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Beauchemin, Mario. "La centralité de l'État-Providence dans le mode de vie des étudiants-es universitaires au Québec : 1950-1985 : contribution à l'étude de la stratification sociale." Master's thesis, Université Laval, 1991. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28402.

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Duclos, Virginie. "L'intégration d'étudiantes et étudiants tunisiens et marocains et la politique d'accueil, d'encadrement et d'intégration de l'Université Laval." Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23915/23915.pdf.

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