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1

Madelain, Anne. "Ex-Yougoslavie." Le Courrier des pays de l'Est 1058, no. 6 (December 1, 2006): 29–35. http://dx.doi.org/10.3917/cpe.058.0029.

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2

Papic, Zarana. "Ex-citoyennes de l'ex-Yougoslavie." Cahiers du Genre 36, no. 1 (2004): 207. http://dx.doi.org/10.3917/cdge.036.0207.

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3

Dérens, Jean-Arnault. "Ex-yougoslavie, L'accusation de partialité." Alternatives Internationales 35, no. 6 (June 1, 2007): 53. http://dx.doi.org/10.3917/ai.035.0053.

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4

Škiljan, Dubravko. "Les politiques langagières en ex-Yougoslavie." Revue des études slaves 75, no. 1 (2004): 45–53. http://dx.doi.org/10.3406/slave.2004.6861.

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5

Fiala, Pierre. "Ex-Yougoslavie, les noms aussi sont morcelés." Mots 47, no. 1 (1996): 144–47. http://dx.doi.org/10.3406/mots.1996.2089.

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6

Collin, Françoise. "Ex-Yougoslavie : l'aide humanitaire sans les droits humains." Les Cahiers du GRIF 47, no. 1 (1993): 125–36. http://dx.doi.org/10.3406/grif.1993.1878.

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7

Dimitrijevic, Dejan. "Frontières symboliques et altérité : les guerres en ex-Yougoslavie." Études Balkaniques-Cahiers Pierre Belon 9, no. 1 (2002): 93. http://dx.doi.org/10.3917/balka.009.0006.

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8

Jorda, Claude, and Christophe Chiclet. "Un bilan de la Justice internationale en ex-Yougoslavie." Confluences Méditerranée N° 108, no. 1 (2019): 221. http://dx.doi.org/10.3917/come.108.0221.

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9

Del Ponte, Carla. "Ex-Yougoslavie, Rwanda. Les défis du Tribunal pénal international." Pierre d'angle 6 (2000): 59–72. http://dx.doi.org/10.5840/pda200066.

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10

Raduski, Nada. "Guerre civile et changement de structure ethnique en ex-Yougoslavie." Hommes et Migrations 1205, no. 1 (1997): 62–73. http://dx.doi.org/10.3406/homig.1997.2894.

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11

Mrdjen, Snjezana. "La mixité en ex-yougoslavie. Intégration ou ségrégation des nationalités ?" Revue d’études comparatives Est-Ouest 27, no. 3 (1996): 103–44. http://dx.doi.org/10.3406/receo.1996.2801.

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12

Vilkou-Poustovaïa, Irina. "Encore ensemble ?La question de la mixité en ex-Yougoslavie." Langage et société 115, no. 1 (2006): 131. http://dx.doi.org/10.3917/ls.115.0131.

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13

Kozaric-Kovacic, Dragica, Vera Folnegovic-Smalc, Jarmila Skinjaric, and Ana Marusic. "Tortures psychosexuelles en ex-Yougoslavie. Point de vue de femmes psychiatres." Chimères 20, no. 1 (1993): 13–23. http://dx.doi.org/10.3406/chime.1993.1893.

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Dasen, Véronique, and Helene Füger. "Engagement antinationaliste féministe d’une helléniste en (ex-)Yougoslavie. Entretien avec Svetlana Slapsak." Nouvelles Questions Féministes 30, no. 2 (2011): 92. http://dx.doi.org/10.3917/nqf.302.0092.

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15

Lejeau, Nicolas. "Le nettoyage ethnique en ex-Yougoslavie : le cas de la Krajina de Knin." Revue Géographique de l'Est 45, no. 1 (January 1, 2005): 45–53. http://dx.doi.org/10.4000/rge.597.

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16

Sabourin, Louis. "Histoire de l'OTAN." Canadian Journal of Political Science 38, no. 1 (March 2005): 244–45. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423905300102.

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Abstract:
Histoire de l'OTAN, Charles Zorgbibe, Paris : Editions Complexe, 2002, 283 pages.Au moment où l'OTAN élargit le nombre de ses adhésions du côté de l'Europe de l'Est et redéfinit sa mission au regard de la montée du terrorisme et des conflits en ex-Yougoslavie, en Afghanistan et en Irak, il serait sage de lire l'Histoire de l'OTAN de Charles Zorgbibe. Il s'agit d'un ouvrage quasi prémonitoire qui, en plus de dégager les origines et les fondements de l'Alliance atlantique, réussit à illustrer son évolution et surtout à mettre en lumière ses problèmes et ses perspectives ainsi qu'à dégager les motifs qui font de l'OTAN une organisation à la fois indispensable et controversée dans le monde de l'après-guerre froide.
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17

Petris, Richard. "La Colombie dont le monde a besoin : à propos des dialogues de paix." Desbordes. Revista de Investigaciones. Escuela de Ciencias sociales, artes y humanidades - UNAD 6 (June 21, 2017): 121. http://dx.doi.org/10.22490/25394150.1873.

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Abstract:
<p>L’Ecole de la paix travaille depuis plus de 20 ans avec différents secteurs de la société colombienne (ONG, institutions, militaires, communautés), afin d’oeuvrer au rapprochement pour le vivre ensemble, par l’analyse, le dialogue et la construction commune d’alternatives à la violence, par la méthode de « l’approche globale ». </p><p>Fort de son expérience en France, en Colombie, mais aussi dans d’autres pays qu’il a parcourus (Cambodge, Brésil, Rwanda, Côte d’Ivoire, Ex-Yougoslavie), Richard Petris propose dans cet article de lire les attentes nées du processus de paix de La Havane sous un angle historique et international qui rappelle combien la Colombie doit être un exemple de réconciliation.</p>
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18

Charaudeau, Patrick, Guy Lochard, and Jean-Claude Soulages. "La construction thématique du conflit en ex-Yougoslavie par les journaux télévisés français (1990-1994)." Mots 47, no. 1 (1996): 89–108. http://dx.doi.org/10.3406/mots.1996.2083.

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19

Morin, Tony. "Le choix de l’interposition. La stratégie française face aux débuts du conflit en ex-Yougoslavie." Stratégique N° 110, no. 3 (2015): 63. http://dx.doi.org/10.3917/strat.110.0063.

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20

Guillaume, Marc. "La réparation des dommages causés par les contingents français en ex-Yougoslavie et en Albanie." Annuaire français de droit international 43, no. 1 (1997): 151–66. http://dx.doi.org/10.3406/afdi.1997.3441.

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Hébert, Patrick, Alex Macleod, and Stephane Roussel. "Intérêt National Et Responsabilités Internationales: Six États Face Au Conflit En Ex-Yougoslavie (1991-1995)." International Journal 52, no. 1 (1996): 174. http://dx.doi.org/10.2307/40203184.

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Vichniac, Isabelle. "Crimes Sans Châtiment L'action humanitaire en ex-Yougoslavie 1991–1993 - Michèle Mercier, Crimes sans châtiment — L'action humanitaire en ex-Yougoslavie, 1991–1993, Ets. Emile Bruylant S.A, Bruxelles, L.G.D.J., Paris, 324 pp. (Collection Axes Savoir)." Revue Internationale de la Croix-Rouge 76, no. 807 (June 1994): 335–37. http://dx.doi.org/10.1017/s0035336100009874.

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Wit, Sébastien. "Représentation et valeur politique du conflit ethnique en ex-Yougoslavie dans Tactics Ogre : de Sarajevo à Baramus." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 30 (September 3, 2019): 65–77. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.030.05.

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Abstract:
Avec Tactics Ogre: Let Us Cling Together sorti en 1995 sur la Super Famicom de Nintendo, Quest propose un jeu vidéo ambitieux sur le plan narratif, et directement inspiré des guerres ethniques faisant rage en ex-Yougoslavie. L’horreur d’une tuerie potentiellement instrumentalisée comme celle de Sarajevo en février 1994 devrait rendre sa transposition dans le médium ludique particulièrement délicate. Comment transformer un crime de guerre en dispositif narratif ? Dans ces conditions, quel rôle la vérité historique joue-t-elle ? Quel rapport se tisse entre l’actualité et la fiction vidéoludique ? Partant de ces interrogations, il s’agira de voir dans cet article le type de discours que le jeu vidéo est en mesure de tenir sur la question de l’ethnicité, prise à la fois dans sa dimension politique et sociale. Cela nous amènera à interroger la contribution de l'industrie vidéoludique à cet imaginaire du pouvoir socialement partagé sans lequel il n'est pas possible de faire société.
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Tanner, Samuel. "De la sécurité privée à l’armée de destruction massive. La « bande armée » et la criminalité de masse." Criminologie 45, no. 1 (March 19, 2012): 29–49. http://dx.doi.org/10.7202/1008375ar.

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Abstract:
Dans cet article, nous nous intéressons à la mobilisation et la participation d’une bande armée – les Scorpions – dans les événements qui se sont produits en ex-Yougoslavie, durant les années 1990. Si l’étude de cette figure centrale des crimes de masse est nécessaire à la compréhension de ce phénomène et, ultimement, à sa prévention, elle se justifie aussi d’un point de vue épistémologique : plutôt que d’ancrer une réflexion sur l’individu et ses motivations, démarche courante pour une criminologie dominante centrée sur les préoccupations sécuritaires des sociétés occidentales, nous postulons que c’est à partir du groupe et de la nature éminemment collective et politique de cette forme de criminalité extrême que la réflexion sur les dynamiques d’élimination de populations entières doit s’amorcer. Cette démarche permet la genèse de connaissances plus spécifiques et un regard nouveau sur la criminalité de masse.
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Vigneault, David. "MERCIER, Michèle, Crimes sans châtiment. L'action humanitaire en ex-Yougoslavie 1991-1993. Bruxelles, Bruylant, 1994, 323 p." Études internationales 26, no. 4 (1995): 896. http://dx.doi.org/10.7202/703553ar.

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26

Blondel, Cyril. "Gymnastique épistémologique, critique et réflexive : la construction d’une recherche en « ex-Yougoslavie » face à la colonialité du savoir." Nouvelles perspectives en sciences sociales 13, no. 1 (March 21, 2018): 57–89. http://dx.doi.org/10.7202/1044011ar.

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Abstract:
Cet article tente de retracer une histoire, celle de l’évolution de ma propre réflexivité durant le temps d’une thèse intitulée « Aménager les frontières des périphéries européennes. La frontière Serbie/Croatie à l’épreuve des injonctions à la coopération et à la réconciliation » (thèse de doctorat, Tours, Université François-Rabelais, 2016). Mon propos ici est de rendre compte d’une conviction, la nécessité de s’engager dans une démarche réflexive et critique avant, pendant et après la production de la recherche en elle-même. Cet article constitue ainsi une tentative de démonstration par l’exemple de l’intérêt d’une telle posture. Je vise, d’une part, à exposer comment j’ai construit mes réflexions épistémologiques, par une déconstruction progressive des cadres théoriques classiques (nationalistes, post-socialiste, post-yougoslave) choisis ou imposés. D’autre part, j’expose les aboutissements de cette réflexivité, c’est-à-dire principalement ma prise de conscience de la colonialité du savoir (et du mien en particulier). Cette gymnastique m’a permis de parfois dépasser certaines limites de mon travail, et plus souvent d’en rendre compte, mais aussi d’accepter l’indépassable lié à certains aspects de ma situation de recherche, de la manière dont je l’ai énoncée et conduite. Mener ce type d’exercice et en rendre compte contribuent alors à mieux préciser les conditions de validité scientifique de ces travaux, à mieux situer le propos et l’apport du chercheur, sa position et donc sa positionalité.
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Roussel, Stéphane, and Michel Portmann. "Eppur, si muove - Le régime de sécurité européen - Les États non belligérants et la guerre en ex-Yougoslavie." Études internationales 25, no. 4 (April 12, 2005): 729–62. http://dx.doi.org/10.7202/703388ar.

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Abstract:
The central assumption of this paper is that international regime theory constitutes an important heuristic tool which contributes to a better understanding of the dynamics of European security as it emerges from the Cold War era. Comprising a set of principles, norms, decision-making procedures and a framework of permanent organizations, the new European architecture forms an authentic security regime based on a process of regional cooperation. The Yugoslav conflict, which constitutes the first test of this regime, illustrates the fact that, even if these institutions failed to end the conflict, they did influence the behaviour of the main European actors. Not only did they favor interstate cooperation but they also reined-in the inclination of states to opt for self-centered policies based on short-term interests. From this perspective, regional security organizations have helped significantly to limit the scope and potential spill-over risks of the conflict in addition to decreasing the tension between the major European actors.
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Madelain, Anne. "Des citoyens français et les guerres « ethniques » en ex-Yougoslavie : engagements et ruptures d’intelligibilité face aux événements du monde." Relations internationales 176, no. 4 (2018): 69. http://dx.doi.org/10.3917/ri.176.0069.

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Gauthier, Jacques-Antoine, and Éric D. Widmer. "Trajectoires migratoires des personnes confrontées à des violences collectives en ex-Yougoslavie : le cas de la Bosnie (1990-2005)." Migrations Société N° 156, no. 6 (2014): 31. http://dx.doi.org/10.3917/migra.156.0031.

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Roux, Michel. "La géographie de la population et le nettoyage ethnique en ex-Yougoslavie (Population geography and ethnic cleansing informer Yugoslavia)." Bulletin de l'Association de géographes français 83, no. 4 (2006): 399–408. http://dx.doi.org/10.3406/bagf.2006.2526.

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Tessier, Manon. "ASSEMBLÉE PARLEMENTAIRE. La paix séparée en ex-Yougoslavie. Strasbourg, Éditions du Conseil de l'Europe, 1998, (Collection Débats n° 8), 169 p." Études internationales 31, no. 1 (2000): 221. http://dx.doi.org/10.7202/704148ar.

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Daho, Gr�gory. "Les interfaces militaro-industrielles et la prospection des march�s de la reconstruction en ex-Yougoslavie�: un laboratoire pour l�intelligence �conomique fran�aise�?" Les Champs de Mars N�22, no. 2 (2011): 133. http://dx.doi.org/10.3917/lcdm1.022.0133.

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Lukic, Renéo. "DELCOURT, Barbara et Olivier CORTEN. Ex-Yougoslavie : Droit international, politique et idéologies. Bruxelles, Éditions Bruylant, Université de Bruxelles, Collection de droit international, n ° 35, 1997, 202 p." Études internationales 30, no. 3 (1999): 615. http://dx.doi.org/10.7202/704064ar.

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Croci, Osvaldo. "Intérêt national et responsabilités Internationales: six États face au conflit en ex-Yougoslavie (1991–1995)Alex MacLeod et Stéphane Roussel, sous la direction de Montréal: Guérin Universitaire, 1996, 212 p." Canadian Journal of Political Science 31, no. 1 (March 1998): 184–86. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423900008830.

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Brigot, André. "MACLEOD, Alex et Stéphane ROUSSEL (sous la direction de). Intérêt National et responsabilités internationales : Six États face au conflit en ex-Yougoslavie (1991-1995). Montréal, Guérin Universitaire, 1996, 222 p." Études internationales 28, no. 3 (1997): 630. http://dx.doi.org/10.7202/703783ar.

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Štuhec, Marko. "OÙ SITUER LE GRATTE-CIEL DE LJUBLJANA? L’HISTOIRE DES RÉGIONS E L’EDX-YOUGOSLAVIE DANS LES MANUELS SLOVÈNES D’HISTOIRE AU XXe SIÈCLE." La mémoire et ses enjeux. Balkans – France: regards croisés, X/ 2019 (December 30, 2019): 79–93. http://dx.doi.org/10.31902/fll.29.2019.6.

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Abstract:
WHERE TO LOCATE THE LJUBLJANA SKY-SCRAPER? HISTORY OF THE REGIONS OF FORMER YUGOSLAVIA IN HISTORY TEXTBOOKS USED IN SLOVENIA IN THE 20TH CENTURY The paper deals with the presentation and interpretation of history of the regions of ex-Yugoslavia in history textbooks for comprehensive schools used on the territory of present-day Slovenia between 1911 and 2012. The textbooks are an important brick in the construction of collective memory. Their authors are obliged to consider the results of historical science and the age of the pupils as well as the dominating ideologies and cultural values. The latter was all the more important because of the succession of several states and political regimes on the territory of present-day Slovenia during the 20th century and because of profound transformations of Slovenian society. The analysis shows that pupils who went to school between 1920 and 2000 could have gained good knowledge of the past and culture of South Slavs, whereas knowledge provided by textbooks written thereafter is scarce and reduced to the political vicissitudes of the 20th century. The paper identifies major ideologies and suppositions that underlay the presentation and interpretation of certain topics in the textbooks: the national ideology, the feeling of historical injustice, the ideology of the Yugoslav integralism, the ideology of brotherhood and unity, the socialist ideology and the ideology of the reintegration in Europe. Keywords: history textbooks, Slovene comprehensive schools, Yugoslavs, dominant ideologies, cultural values
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Pedon, Éric, and Jacques Walter. "Les medias et les guerres en ex-Yougoslavie." Questions de communication, no. 1 (March 1, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/questionsdecommunication.6455.

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Soulages, Jean-Claude. "Un thème événement : la guerre en ex-Yougoslavie (1990-1994)." Questions de communication, no. 1 (March 1, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/questionsdecommunication.6501.

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Palmer, Michael. "L’historien de d’information et les journalistes occidentaux en ex-Yougoslavie." Questions de communication, no. 1 (March 1, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/questionsdecommunication.6505.

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NAHOUM-GRAPPE, Véronique. "La purification ethnique et les viols systématiques. Ex-Yougoslavie 1991-1995." Clio, no. 5 (April 1, 1997). http://dx.doi.org/10.4000/clio.416.

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41

Nahoum-Grappe, Véronique. "Crimes de souillure et crimes de guerre (ex-Yougoslavie, 1991-1995)." Ateliers d'anthropologie, no. 26 (December 9, 2003). http://dx.doi.org/10.4000/ateliers.8597.

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42

Léonard, Ksenija Djordjević. "La guerre au-delà des langues : ex-Yougoslavie (1991-1999) et Tadjikistan (1992-1997)." Lengas, no. 80 (December 15, 2016). http://dx.doi.org/10.4000/lengas.1176.

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Pedon, Éric, and Jacques Walter. "Les livres photographiques sur les guerres en ex-Yougoslavie, lieux critiques du traitement médiatique." Questions de communication, no. 1 (March 1, 2002). http://dx.doi.org/10.4000/questionsdecommunication.6493.

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44

Blondel, Cyril. "La coopération transfrontalière un levier potentiel des réconciliations interethniques en ex-Yougoslavie ? Une approche critique." Cybergeo, April 11, 2013. http://dx.doi.org/10.4000/cybergeo.25881.

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Moussaoui, Abderrahmane. "Violence extrême." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.134.

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Abstract:
Même si la guerre, comme destruction de masse, a été très tôt au centre des intérêts de la discipline, l’anthropologie ne l’a jamais caractérisée comme une « violence extrême ». Ce qui pose d’emblée la question en termes autres que quantitatifs. L’extrême dans la violence n’est pas forcément dans l’importance du nombre de ses victimes. Il faut y ajouter d’autres dimensions comme l’inanité de l’acte, sa gratuité, son degré de cruauté et le non-respect des règles et normes partagées. Celles de la guerre, par exemple, imposent de ne s’attaquer qu’à l’ennemi armé et d’épargner les civils, de soigner le blessé etc. La violence extrême passe outre toutes ces normes et règles ; et s’exerce avec une cruauté démesurée. La première guerre mondiale constitue aux yeux des défenseurs de cette thèse, le moment inaugural dans le franchissement d’un tel seuil. Car, c’est dans cette guerre que fut utilisé pour la première fois le bombardement aérien, lié à l’ère industrielle, exterminant de nombreuses populations civiles non armées. Associée aux affrontements et insurrections débordant les cadres étatiques, l’expression peut désormais inclure également des faits commis dans le cadre des guerres conduites par des États. La violence extrême est une agression physique et une transgression outrancière d’une éthique partagée. Qu’elle s’exerce lors d’une guerre ou dans le cadre d’une institution (violence institutionnelle) elle est une violence extrême dès lors qu’elle use de moyens estimés inappropriés selon les codes communs et les sensibilités partagées. Les manières et les moyens d’agir doivent être proportionnels à l’objectif visé ; et toute outrance délégitime l’acte de violence, quand bien même celui-ci relèverait de « la violence légitime » monopole de l’Etat. Le qualificatif extrême vient donc spécifier un type de violence qui atteint ce point invisible ou imprévisible, en bafouant l’ordre éthique et conventionnel. Aller à l’extrême c’est aller au-delà du connu et de l’imaginable. La violence extrême est celle donc qui dépasse une limite se situant elle même au-delà des limites connues ou considérées comme impossibles à franchir. Elle renvoie à ce qui dépasse l’entendement par son ampleur ou par sa « gratuité » ; car, ce sont ses finalités qui rationalisent la guerre et toute autre forme de violence. Dépourvue de toute fonctionnalité, la violence extrême n’a d’autres buts qu’elle-même (Wolfgang Sofsky (1993). En d’autres termes, la violence extrême est ce qui oblitère le sens en rendant vaines (ou du moins imperceptibles) les logiques d’un acte jusque-là appréhendé en termes d’utilité, de fonctionnalité et d’efficacité. La violence est extrême quand elle parait démesurée par le nombre de ses victimes (génocide, nettoyage ethnique, meurtres et assassinat de masse) ; mais elle l’est d’autant plus, et le plus souvent, quand elle est accompagnée d’un traitement cruel, froid et gratuit : dépeçage, brûlure, énucléation, viols et mutilations sexuelles. Outrepassant l’habituel et l’admissible, par la démesure du nombre de ses victimes et le degré de cruauté dans l’exécution de l’acte, la violence extrême se situe dans un « au-delà », dont le seuil est une ligne mouvante et difficilement repérable. Son « objectivation » dépend à la fois du bourreau, de la victime et du témoin ; tous façonnés par des constructions culturelles informées par les contextes historiques et produisant des sensibilités et des « esthétiques de réception » subjectives et changeantes. La violence extrême est, nécessairement, d’abord une question de sensibilité. Or, celle-ci est non seulement une subjectivation mais aussi une construction historiquement déterminée. Pendant longtemps et jusqu’au siècle des lumières, le châtiment corporel fut, pour la justice, la norme dans toute l’Europe. Les organes fautifs des coupables sont maltraités publiquement. On exhibait les femmes adultères nues et on leur coupait les seins ; on coupait les langues des blasphémateurs et les mains des voleurs. Le bûcher était réservé aux sodomites, aux hérétiques et aux sorcières. On crevait les yeux (avec un tisonnier incandescent) du traître. Les voleurs de grands chemins subissaient le châtiment d’être rompus vifs. On écartelait et on démembrait le régicide. La foule se dépêchait pour assister à ces spectacles et à ceux des supplices de la roue, des pendaisons, de la décollation par le sabre etc. Placidement et consciencieusement, les bourreaux ont appliqué la « terreur du supplice » jusqu’au milieu du XVIIIe siècle (Meyran, 2006). Il a fallu attendre les lumières pour remplacer le corps violenté par le corps incarcéré. Aujourd’hui insupportables, aux yeux du citoyen occidental, certains de ces châtiments corporels administrés avec une violence extrême sont encore en usage dans d’autres sociétés. Après les massacres collectifs qui ont marqué la fin du XXe siècle, les travaux de Véronique Nahoum-Grappe portant sur le conflit de l’ex-Yougoslavie vont contribuer à relancer le débat sur la notion de « violence extrême » comme elle le rappellera plus tard : « Nous avions utilisé la notion de « violence extrême » à propos de la guerre en ex-Yougoslavie pour désigner « toutes les pratiques de cruauté « exagérée » exercées à l’encontre de civils et non de l’armée « ennemie », qui semblaient dépasser le simple but de vouloir s’emparer d’un territoire et d’un pouvoir. » (Nahoum-Grappe. 2002). Elle expliquera plus loin qu’après dix années de ces premières observations, ce qu’elle tentait de désigner, relève, en fait, d’une catégorie de crimes, graves, usant de cruauté dans l’application d’un programme de « purification ethnique ». Pourtant, quel que soit le critère invoqué, le phénomène n’est pas nouveau et loin d’être historiquement inédit. Si l’on reprend l’argument du nombre et de la gratuité de l’acte, le massacre n’est pas une invention du XXe s ; et ne dépend pas de la technologie contemporaine. On peut remonter assez loin et constater que dans ce domaine, l’homme a fait feu de tout bois, comme le montre El Kenz David dans ses travaux sur les guerres de religion (El Kenz 2010 & 2011). Parce que les sensibilités de l’époque admettaient ou toléraient certaines exactions, aux yeux des contemporains celles-ci ne relevaient pas de la violence extrême. Quant aux cruautés et autres exactions perpétrés à l’encontre des populations civiles, bien avant Auschwitz et l’ex-Yougoslavie, l’humanité en a souffert d’autres. Grâce aux travaux des historiens, certaines sont désormais relativement bien connues comme les atrocités commises lors des colonnes infernales dans la guerre de Vendée ou le massacre de May Lai dans la guerre du Vietnam. D’autres demeurent encore méconnues et insuffisamment étudiées. Les exactions menées lors des guerres coloniales et de conquêtes sont loin d’être toutes recensées. La mise à mort, en juin 1845, par « enfumade » de la tribu des Ouled Riah, dans le massif du Dahra en Algérie par le futur général Pélissier sont un exemple qui commence à peine à être porté à la connaissance en France comme en Algérie (Le Cour Grandmaison, 2005.). Qu’elle soit ethnique ou sociale, qu’elle soit qualifiée de purification ethnique ou d’entreprise génocidaire, cette extermination qui passe par des massacres de masse ne peut être qualifiée autrement que par violence extrême. Qu’elle s’exerce sur un individu ou contre un groupe, la violence extrême se caractérise presque toujours par un traitement cruel, le plus souvent pensé et administré avec une égale froideur ; une sorte d’« esthétisation de la cruauté ». Pour le dire avec les mots de Pierre Mannoni, la violence extrême use d’un certain « maniérisme de l'horreur », ou de ce qu’il appelle « une tératologie symbolique » (Mannoni ,2004, p. 82-83), c‘est à dire l’art de mettre en scène les monstruosités. Motivée par un danger ou une menace extrême justifiant, aux yeux du bourreau, une réponse extrême, cette violence extrême a pu s’exécuter par la machette (Rwanda) ou dans des chambres à gaz, comme par d’autres moyens et armes de destruction massive. C'est l'intégrité du corps social et sa pureté que le bourreau « croit » défendre en recourant à une exérèse… salvatrice. La cruauté fait partie de l’arsenal du combattant qui s’ingénie à inventer le scénario le plus cruel en profanant l’intime et le tabou. Françoise Sironi le montre à propos d’une des expressions de la violence extrême. L’efficacité destructrice de la torture est obtenue entre autres par la transgression de tabous culturels ; et par l’inversion qui rend perméable toutes les limites entre les dedans et les dehors. Réinjecter dans le corps ce qui est censé être expulsé (excréments, urine, vomissures) ; féminiser et exposer les parties intimes ou les pénétrer en dehors de la sphère intime, associer des parties démembrées d’un corps humain à celles d’un animal, sont autant de manières de faire violence extrême. Cette inversion transgressive use du corps de la victime pour terroriser le témoin et le survivant. Outrepassant l’habituel et l’attendu par la manière (égorgement, démembrement, énucléation, émasculation etc.,), les moyens (usage d’armes de destruction massive, d’armes nucléaires bactériologiques ou chimiques) et une certaine rationalité, la « violence extrême » est un dépassement d’horizon. L’acte par sa singularité suggère une sortie de l’humanité de son auteur désensibilisé, déshumanisé ; qui, par son forfait et dans le même mouvement, exclue sa victime de l’humanité. Pour Jacques Semelin, la violence extrême « est l’expression prototypique de la négation de toute humanité ; dans la mesure où ses victimes sont le plus souvent d’abord « animalisées » ou « chosifiées » avant d’être anéanties (Sémelin, 2002). Ajoutons qu’elle n’est pas qu’anéantissement, elle est aussi une affirmation démonstrative d’une surpuissance. Que ce soit par le nombre, la manière ou l’arbitraire, la violence extrême a ponctué l’histoire de l’humanité et continue à la hanter Parmi ses formes contemporaines, le terrorisme est une de ses manifestations les plus spectaculaires ; permettant de comprendre qu’elle est d’abord une théâtralisation. L’image de chaos que renvoient les attentats et autres exactions spectaculaires, est le résultat dument recherché à l’aide d’une organisation minutieuse et de stratégies affinées que cette image chaotique occulte souvent. Il s’agit d’une démarche rationnelle tendant à produire un acte apparemment irrationnel. Les massacres collectifs qui font partie de ce que Stéphane Leman-Langlois qualifie de « mégacrimes » (Leman-Langlois, 2006) constituent une autre forme contemporaine de cette violence extrême ; dont la Bosnie-Herzégovine et le Rwanda demeurent les exemples les plus dramatiques depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. En raison de leur ampleur et l’organisation méthodique de leur exécution, ces massacres ont été, à juste titre, souvent qualifié de génocide. C’est le professeur de droit américain d’origine polonaise, Raphael Lemkin qui donnera le nom de génocide à ce que, Winston Churchill, parlant du nazisme, qualifiait de « crime sans nom ». Au terme génocide devenu polémique et idéologique, sera préféré la notion de massacre que Semelin définit comme « forme d’action le plus souvent collective de destruction des non combattants » (Sémelin 2012, p. 21). Dans les faits, il s’agit de la même réalité ; sans être des entreprises génocidaires, ces massacres de masse ont visé l’« extermination » de groupes humains en vue de s’emparer de leur territoire au sens le plus large. La violence extrême agit à la fois sur l'émotionnel et sur l'imaginaire ; en franchissant le seuil du tolérable et de la sensibilité ordinairement admise dans le cadre de représentations sociales. Le caractère extrême de la violence se définit en fonction d’un imaginaire partagé ; qu’elle heurte en allant au-delà de ce qu'il peut concevoir ; et des limites de ce qu'il peut « souffrir ». Il s’agit d’une violence qui franchit le seuil du concevable et ouvre vers un horizon encore difficilement imaginable et donc insupportable parce que non maîtrisable. Qu’est-ce qui motive ce recours à l’extrême ? Nombre d’historiens se sont demandé si les logiques politiques suffisaient à les expliquer. Ne faudrait-il pas les inférer aux dimensions psychologiques ? Plusieurs approches mettent, quelquefois, en rapport violence extrême et ressorts émotionnels (peur, colère et haine et jouissance..). D’autres fois, ce sont les pulsions psychiques qui sont invoquées. Incapables d’expliquer de telles conduites par les logiques sociales ou politiques, ce sont les dimensions psychologiques qui finissent par être mises en avant. L’acte, par son caractère extrême serait à la recherche du plaisir et de la jouissance dans l’excès, devenant ainsi une fin en soi. Il peut également être une manière de tenter de compenser des manques en recherchant du sens dans le non-sens. Cela a pu être expliqué aussi comme une manière de demeurer du côté des hommes en animalisant ou en chosifiant la victime, en la faisant autre. L’auteur de la violence extrême procède à une négation de sa victime pour se (re) construire lui-même. Pure jouissance (Wolfgang Sofsky) délire (Yvon Le Bot, J Semelin) ou conduite fonctionnelle de reconstruction de soi (Primo Levi), sont les trois approches avancées pour expliquer la cruauté comme acte inadmissible et inconcevable (Wierworka, 2004 : p 268). Or, la violence extrême prend la forme d’une cruauté quand ses protagonistes redoublent d’ingéniosité pour inventer le scénario inédit le plus cruel. Car la violence extrême est d’abord un indéchiffrable insupportable qui se trouve par commodité rangé du côté de l’exceptionnalité. Parce qu’inintelligible, elle est inacceptable, elle est extra… ordinaire. Ses auteurs sont des barbares, des bêtes, des monstres ; autrement dit ; des inhumains parce qu’ils accomplissent ce que l’humain est incapable de concevoir. Dans quelle mesure, de telles approches ne sont-elles pas une manière de rassurer la société des humains qui exclue ces « monstres » exceptionnels seuls capables d’actes … inhumains ? Parce qu’inexplicables, ces violences sont quelquefois rangées dans le registre de la folie ; et qualifiées de « barbares » ou de « monstrueuses » ; des qualificatifs qui déshumanisent leurs auteurs et signalent l’impuissance du témoin à comprendre et à agir. En d’autres termes, tant que la violence relève de l’explicable (réciprocité, échange, mimétisme etc.), elle demeure humaine ; et devient extrême quand elle échappe à l‘entendement. Indicible parce qu’injustifiable, la violence extrême est inhumaine. Cependant, aussi inhumaine soit-elle d’un point de vue éthique, la violence extrême demeure du point de vue anthropologique, un acte terriblement humain ; et que l’homme accomplit toujours à partir de déterminants et selon un raisonnement humains. Comme le dit Semelin : « Les deux faces de la violence extrême, sa rationalité et sa démence, ne peuvent se penser l’une sans l’autre. Et rien ne sert de dénoncer la sauvagerie des tueurs en omettant de s’interroger sur leurs buts » (Semelin, 2000). L’auteur de l’acte de violence extrême s’érige en homme-dieu pour dénier toute humanité à la victime qu’il décide d’exclure de la vie, de la déshumaniser en l’expulsant vers l’infra humain.
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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