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Journal articles on the topic 'Expérience mystique'

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Goytisolo, Juan. "Expérience mystique, expérience poétique." Horizons Maghrébins - Le droit à la mémoire 39, no. 1 (1999): 103–7. http://dx.doi.org/10.3406/horma.1999.1776.

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2

Vidal, Daniel. "Philippe Capelle, éd., Expérience philosophique et expérience mystique." Archives de sciences sociales des religions, no. 136 (December 1, 2006): 115–283. http://dx.doi.org/10.4000/assr.3887.

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Bautista, Balbino. "Expérience mystique et union divine." Psychanalyse 18, no. 2 (2010): 33. http://dx.doi.org/10.3917/psy.018.0033.

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4

St-Arnaud, Guy-Robert. "Mystique, expérience spirituelle et corps." Hors-thème 18, no. 1 (May 30, 2011): 241–65. http://dx.doi.org/10.7202/1003552ar.

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Abstract:
Les transformations du religieux nécessitent de porter une attention particulière aux façons de lire et d’écouter l’expérience des personnes. Exprimés sous des formes culturelles, spirituelles, mystiques ou thérapeutiques, les contenus de ces métamorphoses de l’altérité se retrouvent aussi bien dans les sectes que dans le champ psychanalytique. De ces lieux de praxis, cet article identifie des écueils et nous soumet à un dire issu d’une personne ayant vécu un passage dans un nouveau mouvement religieux. Pathologie et effluves érotiques, ce parcours propose une relecture lacanienne différente en misant sur ce qui affleure à travers la fragilité et l’inattendu.
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Lurson, Guillaume. "Georges Bataille : mystique et expérience intérieure." Revue de métaphysique et de morale 99, no. 3 (2018): 307. http://dx.doi.org/10.3917/rmm.183.0307.

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6

Trépanier, Hélène. "L’incompétence de Thérèse d’Avila – Analyse de la rhétorique mystique du Château Intérieur (1577)." Études littéraires 27, no. 2 (April 12, 2005): 53–66. http://dx.doi.org/10.7202/501081ar.

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Abstract:
Dans l'Espagne inquisitoriale et misogyne de la Contre Réforme, Thérèse d'Avila vit des expériences mystiques intraduisibles en mots. Sous l'ordre de ses confesseurs, elle doit écrire sur son expérience. L'auteure se donne deux buts : parler en tant que femme et exprimer en mots l'union divine innommable. L'analyse de la rhétorique thérésienne montrera que l'écrivaine arrive à ses fins. Plus encore, parce qu'elle affirme sa féminité, elle peut écrire sur Dieu. Cependant et paradoxalement, son discours sanctionne l'autorité ecclésiale masculine et renforce les préjugés sur l'infériorité féminine.
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Cabral, Jimmy Sudário. "Pascal - la religion comme expérience de la contingence et de l'altérité." Estudos de Religião 35, no. 1 (June 16, 2021): 175–91. http://dx.doi.org/10.15603/2176-1078/er.v35n1p175-191.

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Abstract:
L'article analyse l'interprétation de Pascal du concept de religion et la configuration anarchique du christianisme présente dans son œuvre Pensées. À la lumière des concepts centraux de l'œuvre pascalienne, tels que l'équivocité, la disproportion et la contingence, et de son dialogue avec la pensée de Descartes et Montaigne, l'article présente le rejet pascalien des concepts de nature, intériorité et principe, fondamentaux dans l'élaboration de certain vocabulaire philosophique et mystique. Nous soutenons que le dialogue de Pascal avec le scepticisme et le rationalisme offrait une propédeutique à sa pensée religieuse et articulait une grammaire philosophique religieuse résistante à a) un vocabulaire mystique aux racines néoplatoniques b) une philosophie panthéiste de la nature et c) au geste ontothéologique qui donna naissance à ce que Pascal appela le dieu des philosophes.
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8

Vidal, Daniel. "Le Défi des interprétations : figures de femmes et expérience mystique." Archives de sciences sociales des religions 102, no. 1 (1998): 29–33. http://dx.doi.org/10.3406/assr.1998.1112.

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9

Leroux, Pierre. "Le flou et le fou : espace mystique et figure messianique dans La Parenthèse de sang de Sony Labou Tansi." Études littéraires africaines, no. 41 (October 31, 2016): 39–50. http://dx.doi.org/10.7202/1037789ar.

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Abstract:
L’intérêt de Sony Labou Tansi pour le kinguinzila, théâtre traditionnel de « guérison », trouve des échos dans sa production dramatique, notamment au travers de la mise en place d’un espace que l’on peut qualifier de mystique. Dans La Parenthèse de sang, en particulier, les personnages se trouvent coincés dans un entre-deux qui les force à faire évoluer leurs positions. En effet, des soldats font irruption dans un village à la recherche d’un rebelle – Libertashio – qui, selon l’opinion générale, est pourtant déjà enterré. Dès lors qu’ils contredisent les soldats, les villageois sont condamnés à mort au premier acte et tout le reste de la pièce correspond à l’attente de leur exécution. Cet article tente de montrer que Sony Labou Tansi se sert du genre théâtral pour faire jouer la tension entre individuel et collectif, la pièce mettant en avant expérience mystique des condamnés et dynamique messianique de la figure du héros absent. Le fou empli de voix et le tombeau vide qu’il protège reprennent ainsi des motifs connus de la mystique tout en les replaçant dans le contexte bien particulier des dictatures militaires.
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Feneuil, Anthony. "Critique textuelle et expérience mystique : la série thérésienne de Claude Langlois." Revue de l'histoire des religions, no. 228 (March 1, 2011): 93–103. http://dx.doi.org/10.4000/rhr.7717.

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Siep, Ludwig, and Alain Patrick Olivier. "Du corps mystique à l'histoire-expérience : la nation dans l'idéalisme allemand et aujourd'hui." Revue de métaphysique et de morale 81, no. 1 (2014): 57. http://dx.doi.org/10.3917/rmm.141.0057.

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Couture, André. "Expérience chrétienne. Mystique hindoue Bede Griffiths Coll. «Rencontres» Paris, Cerf, 1985. 205 p." Studies in Religion/Sciences Religieuses 16, no. 3 (September 1987): 383. http://dx.doi.org/10.1177/000842988701600336.

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Lambert, Jérémy. "Expérience mystique et mystère eucharistique chez Julien Green. Variations autour de la figure maternelle." Les Lettres Romanes 69, no. 1-2 (January 2015): 113–25. http://dx.doi.org/10.1484/j.llr.5.107326.

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Steigerwald, Diane. "Jérusalem : ville de l'ascension du Prophète Muhammad." Studies in Religion/Sciences Religieuses 26, no. 1 (March 1997): 95–109. http://dx.doi.org/10.1177/000842989702600106.

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Abstract:
Cet article analyse les significations symboliques de Jérusalem pour les musulmans. Il explique pourquoi, au début de la prédication du Prophète, les musulmans priaient en direction de Jérusalem avant de se tourner vers La Mecque. Pourquoi Jérusalem a-t-elle perdu sa préséance en devenant la troisième ville sainte après La Mecque et Médine? Cet article décrit l'ascension spirituelle (mi'rāj) du Prophète Muhammad et comment cette expérience mystique apporte une signification spirituelle à Jérusalem. Les sufīs donnent différentes interprétations de l'ascension spirituelle dont quelques-unes seront examinées. Chez les sufīs, Jérusalem garde une position privilégiée. Elle est la première et dernière qibla (pôle de la prière), la «Cité de la suprême Hégire».
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Maître, Jacques. "POULAT (Émile), L’Université devant la mystique. Expérience de Dieu sans mode. Transcendance du Dieu d’Amour." Archives de sciences sociales des religions, no. 112 (December 31, 2000): 164–65. http://dx.doi.org/10.4000/assr.20456.

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House, Seymour Baker. "A Martyr's Theology of Assent. Reading Thomas More's De Tristitia Christi." Renaissance and Reformation 41, no. 2-3 (January 1, 2005): 49–63. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v41i2-3.9523.

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Abstract:
Lorsqu'il était emprisonné à la Tour de Londres, Thomas More a écrit une méditation détaillée du récit que font les Écritures de la passion du Christ au jardin de Gethsémani, dans le but de se préparer à son prochain martyr et de témoigner de cette expérience. Son De Tristitia Christi, écrit dans le contexte de contraintes morales et physiques, constitue une étude à caractère dévotionnel qui fournit à son auteur, et aux victimes de persécutions, un parcours transformant l'imitatio Christi du Moyen Âge tardif en une union quasi-mystique avec le Christ souffrant. Malgré que l'ouvrage de More repose sur une tradition populaire de méditation des Évangiles et de la vie du Christ, le traitement que fait More d'un seul épisode des Évangiles associe de manière originale la pratique de la lectio divina et de l'exégèse humaniste de la Renaissance.
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Pleshoyano, Alexandra. "La poésie lyrique de Leonard Cohen." Thème 18, no. 2 (January 11, 2012): 163–86. http://dx.doi.org/10.7202/1007485ar.

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Abstract:
Leonard Cohen suscite un engouement international non seulement pour sa musique, mais aussi pour ses écrits où s’amalgament des fragments du judaïsme, des vestiges zen et certains éléments chrétiens qu’il hérite du Montréal catholique de son enfance. Dans un premier temps, l’auteure aborde le rôle joué par la poésie chez Cohen et comment l’écriture lui devient nécessaire. Ceci conduit, dans un deuxième temps, à la période où il prend ses distances avec le monde académique pour se diriger vers la musique populaire : Cohen passe ainsi de poète à pop star. Dans un troisième temps, l’auteure explique comment les symboles de la mystique juive ainsi que la méditation zen deviennent des moyens de survie pour lui. L’artiste prétend anéantir sa volonté pour laisser place à travers lui à une plus grande volonté. Par exemple la chanson-prière intitulée If It Be Your Will reflète notamment une expérience de kénose où Cohen cherche à devenir l’instrument de Dieu (G-d).
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Blée, Fabrice. "Transcendance et transformation de soi dans la doctrine du pur amour selon madame Guyon." Studies in Religion/Sciences Religieuses 49, no. 4 (March 11, 2020): 546–63. http://dx.doi.org/10.1177/0008429820901339.

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Abstract:
La méditation de la pleine conscience, aujourd’hui très populaire, est souvent réduite à une perspective immanentiste postulant que la nature humaine possède en elle-même les ressources de son propre changement. Du point de vue spirituel, cela n’est pas sans dangers pouvant conduire à un vide méditatif artificiel. L’accès à une vie en plénitude ne va pas sans un rapport étroit à l’altérité, au Tout-Autre, réalité transcendante au coeur de la vie de prière. D’où la pertinence d’un dialogue entre théologie et sciences de la santé au sujet des pratiques contemplatives pour un discernement entre oeuvres (efforts personnels) et grâce. Cet article encourage ce dialogue en traitant de transcendence dans l’oeuvre de madame Guyon, mystique française du XVIIe siècle. Il en pose les fondements en décrivant la manière dont cette dernière conçoit la nature de l’expérience de la transcendance, ainsi que la façon dont cette expérience implique une transformation de soi et comment elle s’intègre au quotidien.
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Dominguez, Véronique. "Une expérience de Dieu: Mystique et théâtre dans la quatrième journée du Mystère de la Passion d’Arnoul Gréban." European Medieval Drama 5 (January 2002): 1–16. http://dx.doi.org/10.1484/j.emd.2.300709.

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Turcotte, Paul-André. "Comptes rendus / Reviews of books: L'Université devant la Mystique. Expérience du Dieu sans mode. Transcendance du Dieu d'amour." Studies in Religion/Sciences Religieuses 29, no. 4 (December 2000): 502–3. http://dx.doi.org/10.1177/000842980002900417.

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Roussiau, Nicolas. "Les expériences sur le sentiment mystique." Le Journal des psychologues 303, no. 10 (2012): 38. http://dx.doi.org/10.3917/jdp.303.0038.

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Grondin, Jean. "Foi et vision mystique dans les Confessions d’Augustin." Thème 16, no. 2 (May 20, 2009): 15–30. http://dx.doi.org/10.7202/001630ar.

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Abstract:
Résumé La figure d’Augustin est certainement exemplaire pour étudier ce dont il y va dans la relation et l’expérience religieuses. Comme chacun sait, Augustin décrit la relation religieuse comme un long processus de conversion à Dieu, dans ce qui correspond bel et bien à un acte de foi, mais cette conversion ne va pas sans certaines expériences d’extase qu’Augustin dépeint en s’inspirant de textes de Plotin. Nous nous demanderons si les deux expériences, celles de la foi et de la vision, sont compatibles, chez Augustin plus particulièrement, mais aussi sur un plan plus général.
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Tanguay, Félix. "L’abandon chez Charles de Foucauld et Madame Guyon." Articles spéciaux 73, no. 1 (October 25, 2017): 91–111. http://dx.doi.org/10.7202/1041635ar.

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Abstract:
Le présent article s’interroge sur la notion d’abandon mise de l’avant dans plusieurs ouvrages de spiritualité. Plus précisément, il se penche sur l’acception du terme « abandon » chez deux mystiques chrétiens catholiques qui ont marqué l’histoire, soit Charles de Foucauld (1858-1916) et Madame Guyon (1648-1717). Par le biais de deux textes fondamentaux de ces deux auteurs et selon une grille d’analyse en trois volets (l’abandon selon la relation à soi, à Dieu et à l’autre), l’article permet de montrer que, loin d’être évidente, la notion d’abandon varie selon plusieurs facteurs et ne saurait se réduire à une seule définition. Par exemple, alors que, chez Foucauld, l’abandon tend à se traduire par une intense pratique extérieure et un appel à suivre l’exemple de Jésus, chez Guyon, l’abandon renvoie plutôt à une expérience intérieure et une volonté de partager cette expérience. La recherche permet également de déceler un trait d’union historique entre les deux mystiques, c’est-à-dire le livre L’abandon à la Providence divine. En conclusion, l’article suggère une piste de réflexion sur la notion contemporaine de l’abandon chez Alexandre Jollien.
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Zenkine, Serge. "Deux nouveaux mystiques : le sacré selon Bataille et Sartre." Études françaises 49, no. 2 (November 18, 2013): 47–58. http://dx.doi.org/10.7202/1019491ar.

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Abstract:
Les relations littéraires entre Jean-Paul Sartre et Georges Bataille, y compris l’article de Sartre sur L’expérience intérieure de Bataille (1943), montrent leurs convergences et divergences sur la question du sacré non-religieux. Sensibles aux expériences extatiques, ils interprètent différemment la connaissance, l’expérience et l’écriture du sacré. Sartre, en critiquant Bataille, cherche à distinguer deux attitudes intellectuelles devant le sacré, intérieure (existentialiste) et extérieure (scientiste) ; Bataille les tient pour inséparables. Sartre, dans ses oeuvres littéraires et philosophiques, isole deux aspects affectifs du sacré (le bonheur et l’angoisse), en les relatant dans différents textes ou dans différents passages d’un texte ; Bataille au contraire les réunit, montrant l’ambiguïté du sacré. Sartre parle du sacré dans des récits bien bâtis ou dans des traités systématiques, tandis que Bataille emploie une écriture fragmentaire, un « sacrifice des mots ». Si le premier traite le sacré théoriquement, à distance, le second le fait pratiquement, se plaçant au coeur de l’absolument autre.
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Vidal, Daniel. "Pierre Willoquet, L'ego face au divin. Naissance du moi et expériences mystiques." Archives de sciences sociales des religions, no. 156 (December 31, 2011): 292. http://dx.doi.org/10.4000/assr.22962.

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Renoux, Christian. "Les expériences et les phénomènes mystiques dans les Eloges de Mère de Blémur." Revue d'histoire de l'Église de France 79, no. 202 (1993): 13–46. http://dx.doi.org/10.3406/rhef.1993.1093.

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MELAY, Alexandre. "Magnétismes, tensions, harmonies. Du spirituel à l'œuvre." Revista Estado da Arte 2, no. 2 (June 15, 2021): 1–29. http://dx.doi.org/10.14393/eda-v2-n2-2021-59686.

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Abstract:
Cet article s’inscrit dans une perspective de création-recherche. À partir de ma pratique artistique personnelle, je pose la question de la représentation du spirituel, une entité qui n’à priori pas de forme. Au sein de ma pratique, c’est à travers la production d’“objets subjectifs et méditatifs” que je tente de réinterpréter les fondamentaux des exigences spirituelles des pratiques du bouddhisme zen et de retranscrire cette dimension spirituelle à travers des œuvres à l’esthétique minimaliste propre à ces philosophies du vide. Une recherche artistique métaphysique à l’intersection du spirituel et du philosophique, où le zen permet de donner naissance à des œuvres méditatives, aux formes transcendantales, aux qualités spirituelles ou intellectuelles, qui induisent un état spirituel chez ceux qui les reçoivent. Cet article se donne ainsi pour projet de formaliser l’expérience spirituelle vécue, des traductions physiques et tangibles de réflexions philosophiques et mystiques qui invitent à cette expérience participative du “vide”.
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Spivak, Monika L'Vovna. "La pratique mystique d'Andrej Belyj et les expériences avec le temps dans son œuvre en prose : l ' ordre inverse." Cahiers slaves 11, no. 1 (2010): 55–67. http://dx.doi.org/10.3406/casla.2010.1088.

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Singh, David Emmanuel. "Rethinking Jesus and the Cross in Islam Repenser Jésus et la Croix en Islam Neue Überlegungen zu Jesus und dem Kreuz im Islam Reconsiderar a Jesús y la Cruz en Islam." Mission Studies 23, no. 2 (2006): 239–60. http://dx.doi.org/10.1163/157338306778985767.

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Abstract:
AbstractThe similarity of narratives in the Bible and the Qur'an is commonly acknowledged but this has not prevented the 'parting of ways' between Christians and Muslims. Historically, the traditional theological structure has been the locus of Christian engagement with Muslims. Few have attempted to engage with the strong Mystical traditions in Islam representing what may be called as the alternative theological structure. This paper offers some preliminary reflections on Jesus and the Cross in dialogue with this structure. The main argument is that the plurality of theological structure offers a possibility of a new level of engagement with Islam. The traditional structure posits God as the 'simple unity' whereas the alternative structure thinks of God as 'the complex unity' thus locating the experience of relationship and its demands in the very heart of God. The idea of the Perfect Man (PM), as God-for-us is central to the notion of complex unity. The PM knows the demands of relationship as part of his experience of complex unity. The cross fulfils these demands by reconciling the divine mercy and justice on behalf of humanity. On reconnaît habituellement une similarité dans les récits de la Bible et du Coran, mais cela n'a pas empêché « la séparation des voies » entre chrétiens et musulmans. Historiquement, la structure théologique traditionnelle a été le lieu de discussion entre chrétiens et musulmans. Peu se sont risqués dans la forte tradition mystique de l'islam qui représente ce que l'on peut appeler la structure théologique alternative. Cet article apporte quelques réflexions préliminaires sur Jésus et la Croix en dialogue avec cette structure. Son argument principal est que la pluralité de structure théologique offre la possibilité d'un niveau d'engagement nouveau avec l'islam. La structure traditionnelle présente Dieu comme « l'unité simple » tandis que la structure alternative pense Dieu comme « l'unité complexe » situant ainsi l'expérience de relation et ses demandes au cœur même de Dieu. L'idée de l'Homme Parfait (HP), comme Dieu-pour-nous est centrale à cette notion d'unité complexe. Le HP reconnaît les demandes de la relation comme faisant partie de son expérience d'unité complexe. La croix comble ces demandes en réconciliant la miséricorde et la justice divine en faveur de l'humanité. Die Ähnlichkeit der Erzählungen in der Bibel und im Koran wird allgemein anerkannt, aber das hat nicht verhindert, dass Christen und Muslime getrennte Wege gehen. In der Geschichte war die traditionelle theologische Struktur der Ort der christlichen Beziehungen zu den Muslimen. Wenige haben versucht, sich mit den starken mystischen Traditionen des Islam auseinanderzusetzen, die das ausmachen, was man vielleicht die alternative theologische Struktur nennen könnte. Dieser Artikel schlägt einige vorläufi ge Überlegungen über Jesus und das Kreuz im Dialog mit dieser Struktur vor. Das Hauptargument geht dahin, dass die Pluralität der theologischen Struktur eine Möglichkeit für eine neue Ebene der Beziehung zum Islam eröffnet. Die traditionelle Struktur postuliert Gott als die ,,einfache Einheit", während die alternative Struktur Gott als ,,die komplexe Einheit" denkt und damit die Erfahrung der Beziehung und ihre Anforderungen im Herzen Gottes selber ansiedelt. Die Vorstellung des Perfekten Menschen (PM) als Gott-für-uns macht das Zentrum der komplexen Einheit aus. Der Perfekte Mensch kennt die Herausforderungen der Beziehung als Teil seiner Erfahrung der komplexen Einheit. Das Kreuz erfüllt diese Herausforderungen im Versöhnen von göttlichem Erbarmen und Gerechtigkeit für die Menschheit. Se reconoce la semejanza de narrativas en la Biblia y el Qur'an pero ésta no ha prevenido la división entre cristianos y musulmanes. Históricamente, la estructura tradicional teológica ha sido el sitio del compromiso cristiano con musulmanes. Pocos han intentado comprometer con las fuertes tradiciones Místicas en islam que representa lo que se puede llamar la alternativa estructura teológica. Este articulo ofrece algunas reflexiones preliminares sobre Jesús y la Cruz en diálogo con esta estructura. El argumento principal es que la pluralidad de estructura teológica ofrece una posibilidad de un nivel nuevo de compromiso con islam. La estructura tradicional propone Dios como "la unidad sencilla" mientras que la estructura alternativa piensa en Dios como "la unidad compleja" así localizando la experiencia de relación y sus demandas en el mismo corazón de Dios. La idea del Hombre Perfecto (PM), como Dios-para-nosotros, es central a la idea de la unidad compleja. El PM sabe las demandas de relación como parte de su experiencia de unidad compleja. La cruz cumple estas demandas reconciliando la misericordia y justicia divina en favor de humanidad.
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Schmitt, Yann. "Les expériences mystiques peuvent-elles appartenir à des processus cognitifs ?" ThéoRèmes, July 12, 2010. http://dx.doi.org/10.4000/theoremes.62.

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Levy, Joseph. "érotisme." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.094.

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Abstract:
En anthropologie, les concepts de sexe (renvoyant aux dimensions biologiques), de sexualité (renvoyant aux conduites entourant la relation sexuelle et à la reproduction) et de genre (renvoyant aux constructions socioculturelles associées à la masculinité et à la féminité) dominent comme référents, alors que celui d’érotisme est peu employé. Pourtant, dès les débuts de l’anthropologie moderne, Malinowski (1930) avait souligné, dans son étude sur la sexualité des Trobriandais, l’intérêt de la notion d’érotisme, qu’il reprend pour définir certains aspects de la culture locale associés à la sensualité, aux sentiments et au plaisir. Ce concept d’érotisme se retrouve en filigrane dans l’un des premiers ouvrages collectifs en anthropologie sexuelle en le situant dans une perspective comparative (Marshalls et Suggs 1971). La définition reste cependant trop axée sur les dimensions biologiques et comportementales et ne tient pas compte des constructions historiques, culturelles et des variations dans les significations qui sont associées à ces conduites et leur expérience. Reiss (1986) souligne l’intérêt de l’étude des scénarios culturels, qui incluent la prise en compte et la signification des comportements, privilégiant, une approche proposée par Simon et Gagnon (1984), et du contexte qui oriente l’expression érotique. Sa notion de réponse érotique ne se situe cependant pas dans une perspective constructiviste, tout comme d’autres dimensions postulées comme universelles, que ce soit l’autorévélation de soi (self-disclosure) ou les états de conscience altérés qui accompagneraient l’activité érotique, mais dont les caractéristiques et les variations ne sont pas explicitées. Dans le cadre des études sur la sexualité brésilienne, la notion d’érotisme est reprise et définie comme « un système culturellement constitué à part entière [...], un système de formes symboliques intersubjectives qui acquiert une signification subjective seulement à travers des médiations sociales et culturelles successives », associé à une « esthétique ou [...] une économie des plaisirs corporels ». En insistant sur les « plaisirs corporels » et les « significations érotiques », une perspective constructiviste et interprétative est ainsi établie (Parker 1989, p.58 et 60). La notion d’érotisme n’est pas reprise au moment où « l’anthropologie redécouvre la sexualité » (Vance 1991), suite à la critique des modèles théoriques essentialistes et culturalistes, et aux répercussions de l’épidémie du VIH/sida sur la discipline anthropologique. La dimension construite de la sexualité et des expériences affectives qui dépendent des contextes culturels est néanmoins affirmée (Tuzin 1991; Leavitt 1991), avec une remise en question de l’adéquation trop étroite entre les scénarios culturellement définis et les comportements sexuels, comme le suggère la pratique des saignées péniennes répétées des Ilahita Arapesh de Nouvelle-Guinée et la place de l’expérience de plaisir dans la construction du processus érotique. L’approche constructiviste dans l’étude de l’érotisme est aussi affirmée par Elliston (1995) dans sa critique des travaux sur les rituels homoérotiques en Nouvelle-Guinée, en particulier ceux de Herdt (1981,1982, 1984) sur les Sambia. Notant que la notion de pratiques sexuelles n’a pas fait l’objet d’une théorisation approfondie et que l’articulation assumée entre l’homosexualité ritualisée et la dimension érotique semble constituer une projection des conceptions occidentales sur des conduites dont la signification serait tout autre, elle propose des modalités de mise en place d’une anthropologie de l’érotisme qui se baserait plutôt sur la prise en compte des catégories émiques. Des travaux sur les contextes coloniaux et postcoloniaux s’interrogent aussi sur la construction du désir et du plaisir (Manderson et Jolly 1997) et Mankekar (2004) propose la notion d’« erotics » pour référer aux « désirs sexuels et aux plaisirs construits à l’intersection du psychique et du structurel [et] contester l’hypothèse que l’érotique pourrait être “purement” instinctif ou primordial ou se situer en dehors du domaine du socius » (p. 404). Elle établit aussi un lien entre le désir érotique et le désir de consommation des objets qu’elle définit comme « l’affect de consommation » (commodity affect) qui inclut tout un registre d’émotions (désir, plaisir, aspirations, etc.) liées à l’attraction esthétique que les objets provoquent, élargissant ainsi le champ de l’érotisme à des sphères non sexuelles. Cette extension au champ sociopolitique se retrouve dans le contexte cubain avec la notion proposée par Allen (2012) de « pratiques du désir » (practices of desire) qui « forment l’une des parties d’un processus complexe constitué par des expériences incorporées, qui incluent le genre, la race et la couleur, et la nationalité » (p. 326), à la fois sur le plan des itinéraires personnels des individus, de leurs expériences du désir et de leurs relations intersubjectives, pour montrer comment des « actions infrapolitiques individuelles » de résistance peuvent avoir des répercussions sur le plan macropolitique. L’élargissement du champ de l’érotisme, articulé aux dimensions émotives et corporelles, est proposé par Azam (2013). Selon elle, la notion de sexualité, en étant associée aux actes sexuels ou renvoyant à l’identité de genre, ne peut suffire à rendre compte de la complexité de ce champ et elle en propose la définition suivante : « Aux fins de cette recherche, j’identifie les composantes de l’érotisme, ou l’amour érotique, comme renvoyant au désir (incluant l’inclinaison et l’attraction), l’expression de ce désir ou attirance, soit par des moyens verbaux ou gestuels), et le plaisir (ce qui signifie toute satisfaction du désir, que ce soit par le regard, l’approche, la conversation, le toucher, etc.) » (p.56). Cette approche élargie est reprise par Newmahr (2014) qui propose le concept d’érotisme asexuel (asexual eroticism), mais cette extension risque, néanmoins, de réduire son potentiel heuristique. Soulignant que les dimensions théoriques dans l’étude de l’érotisme sont plutôt rares, elle constate que cette analyse reste arrimée à l’amour romantique ou à la sphère génitale, mais ignore la pléthore des expressions asexuelles et les formes d’excitation présentes dans différents contextes et types de relations. Les analyses empiriques ne tiennent pas compte de l’expérience érotique, ses significations et son statut dans le quotidien des individus et elle suggère d’étudier l’érotisme sur le plan phénoménologique comme une « expérience émotionnelle, en explorer la structure sous-jacente, les conditions et le contexte de l’érotisme comme émotion […] L’érotisme n’est pas le mieux compris comme un état d’excitation spécifiquement sexuelle ou génitale, mais comme un état émotionnel corporel plus large de “charge” » (p.211). Pour rendre compte de l’articulation entre le plaisir et les valeurs de modernité chez les jeunes de la classe moyenne du Kenya, Spronck propose la notion de « bon sexe » (good sex), qui inclut les dimensions de la « connaissance somato-sensorielle » (body-sensorial knowledge) pour étudier les « qualités sensuelles de la sexualité comme médiateurs et modeleurs de la connaissance sociale » (p. 3). Les pratiques érotiques renvoyant aux dimensions de « sentiments sexuels et de désir sexuel » (p.19) permettent de saisir comme l’expérience, les significations sociales et les sensations corporelles s’articulent entre elles et sont interprétées par les acteurs. Le concept de séduction pourrait aussi être associé au champ de l’érotisme. Forme particulière de communication, elle se fonderait sur des rituels à la fois verbaux et non verbaux faisant appel à de nombreux éléments culturels qui alimentent le paraître, conditionnent son esthétique et définissent les codes de conduite (Boëtsch et Guilhem 2005). Les rituels mis en œuvre relèveraient « à la fois de l’auto-séduction, de la théâtralisation et de la mimésis» (p.185), rejoignant par certains aspects la notion de charme qui se construit, comme le montre l’exemple des Peuls Djeneri du Mali, en faisant appel à des catégories corporelles, à des référents esthétiques, à des normes d’expression corporelle et à des représentations sociales des processus physiologiques, mettant ainsi en évidence l’imbrication étroite du biologique et du social (Guilhem 2008). Dans l’ensemble de ces réflexions théoriques, l’apport de Bataille (1957) à la conceptualisation de l’érotisme en anthropologie reste peu évident, alors qu’il propose un triple modèle de l’inscription érotique dans les représentations et l’expérience : le corps, le cœur et le sacré. Dans l’érotisme des corps, dominerait, lors de la rencontre, la violence sans laquelle « l’activité érotique atteint plus difficilement la plénitude » (p. 25). Dans ce modèle, c’est la révélation de soi et les états de conscience modifiés liés à la dissolution des limites et au trouble qui leurs sont associés qui dominent. Dans l’érotisme des cœurs, on retrouve la passion amoureuse, rattachée à la souffrance de ne pouvoir réussir totalement la fusion avec l’être aimé et cette précarité affective « appelle la mort, le désir de meurtre ou de suicide » (p. 28), liant ainsi étroitement Éros et Thanatos, alors que l’érotisme sacré renverrait à une expérience de type mystique. Le rapport à la violence, à la mort et à la finitude se prolonge, chez Bataille, par les liens qu’il établit entre l’érotisme, l’interdit, la transgression et l’excès. Ces thèmes rejoignent les réflexions philosophiques et anthropologiques sur la place du dionysiaque comme mode d’expression érotique, associée à l’orgiasme, à l’excès et au désordre (Maffesoli 1982), qui interviendraient lors de la transgression des interdits, comme le suggèrent les rituels d’« effervescence collective », Durkheim (2008 [1912]). La conjonction entre le danger et le plaisir érotique n’est pas non plus très problématisée, alors qu’elle semble se manifester dans des conduites extrêmes, des formes de sadomasochisme ou dans la prise de risques liés à la transmission du VIH/sida (Lévy 1996). Ce survol de la notion d’érotisme suggère, en définitive, une nouvelle orientation des recherches anthropologiques qui, après avoir déconstruit la notion de sexe pour la distinguer de celles de sexualité et de genre, s’interrogent à présent sur les différentes dimensions de l’érotisme et ses arrimages aux constructions socioculturelles, aux champs du politique et de l’économie, à la fois sur les plans macrosociologique et microsociologique. L’attention portée sur la subjectivité, les sensations, les sentiments et les affects, mais aussi le désir et le plaisir (Arnfred 2014), n’est cependant pas sans poser des problèmes théoriques importants. En effet, cet accent oriente l’anthropologie vers des aspects psychologiques et idiosyncrasiques, une orientation qui nécessite de préciser l’articulation entre culture, individualité et érotisme.
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Witzeling, Thomas. "Emma Aubin-Boltanski, Le corps de la Passion. Expériences religieuses et politiques d’une mystique au Liban." Lectures, February 13, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/lectures.31242.

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Missa, Jean Nöel. "Gilbert Hottois et la Species Technica." Revista Colombiana de Bioética 16, no. 1 (March 1, 2021). http://dx.doi.org/10.18270/rcb.v16i1.3216.

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Abstract:
Impossible pour moi de parler de l'oeuvre de Gilbert Hottois sans évoquer des souvenirs personnels. Ma première rencontre avec Gilbert remonte à 1985, il y a plus d’un quart de siècle. Je devais présenter l’examen du cours «Les grands courants de la philosophie». Pour l’occasion, j’avais lu attentivement le syllabus, un condensé de l’histoire de la philosophie occidentale en cent pages bien étayées. Je n’étais, à vrai dire, qu’à demi-rassuré en pénétrant dans son bureau du deuxième étage de l’Institut de philosophie, au 143 avenue Buyl, à Ixelles. A l’époque, je terminais pourtant des études de médecine et j’avais une certaine expérience des examens, certainement plus que les étudiants de première candidature en philosophie qui attendaient terrorisés dans le couloir. Ce fut ma première rencontre avec Gilbert et, je pense, la seule fois où j’eus l’occasion de discuter avec lui des preuves de l’existence de Dieu chez saint Anselme. Ce fut aussi, et je ne m’en doutais évidemment pas, le début d’un long parcours académique mené d’abord sous sa direction puis, à ses côtés, et le début surtout aussi d’une longue amitié. L'époque était tant autre en 1985. Cette année-là, dans la salle aux lambris du premier étage de l’Institut de philosophie, Jean Paumen, le professeur Jauret de Species Technica, qui avait été le directeur de thèse de Hottois, commentait Kant ou nous parlait des trois formes de l’ennui chez Heidegger; c'est là aussi que la fumée se dégageant de son cigarillo donnait des airs mystiques à Marc Richir, lui qui essayait de nous faire comprendre les arcanes de la phénoménologie de Husserl ou l'intérêt philosophique du mystérieux comportement des particules quantiques; quant à Pierre Verstraeten, le cours qu'il y donnait était un spectacle brillant visant à entretenir malicieusement le caractère hermétique de la philosophie de L’Etre et le Néant; Gilbert Hottois, pour sa part, se contentait d'y commenter sobrement, avec clarté et rigueur, son dernier ouvrage, Le Signe et la Technique, dans lequel il introduisait le concept de transcendance noire et s'insurgeait contre l'inflation du langage dans la philosophie contemporaine. Un an plus tard, il allait fonder le CRIB, le Centre de Recherches Interdisciplinaires en Bioéthique, et devenir un théoricien renommé de cette discipline qu'il considérait comme une branche de la philosophie des technosciences.
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"Paul B. Fenton and Roland Goetschel, eds., Expérience et écriture mystiques dans les religions du Livre. Actes d'un colloque international tenu par le Centre d'études juives, Université de Paris IV-Sorbonne, 1994. (Etudes sur le Judaïsme Médiéval, 22.) Leiden, Boston, and Cologne: Brill, 2000. Pp. viii, 245. $98." Speculum 77, no. 01 (January 2002): 283. http://dx.doi.org/10.1017/s0038713400189766.

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Kilani, Mondher. "Identité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.122.

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Abstract:
Dans le lexique des anthropologues, le mot identité est apparu bien plus tard que le mot culture. Mais depuis quelques décennies, alors que divers anthropologues se sont presque vantés de soumettre à une forte critique et même de rejeter leur ancien concept de culture, l'identité a acquis un usage de plus en plus étendu et prépondérant, parallèlement à ce qui s'est passé dans d'autres sciences humaines et sociales, ainsi que dans le langage de la politique et des médias. Nombreux sont ceux dans les sciences sociales qui s'accordent pour dire que le concept d'identité a commencé à s'affirmer à partir des années soixante du siècle dernier. Il est habituel de placer le point de départ dans les travaux du psychologue Erik Erikson (1950 ; 1968), qui considérait l'adolescence comme la période de la vie la plus caractérisée par des problèmes d'identité personnelle. Cette reconstruction est devenue un lieu commun des sciences humaines et sociales du XXe siècle, et pour cette raison, elle nécessite quelques ajustements. Par exemple, le sociologue américain Robert E. Park (1939) utilisait déjà, à la fin des années 1930, le terme identité, en rapport avec ceux d'unité, d'intégrité, de continuité, pour décrire la manière dont les communautés et les familles se maintiennent dans le temps et l'espace. En ce qui concerne l'anthropologie, un examen rapide permet de constater que l'identité a déjà été utilisée dans les années 1920 par Bronislaw Malinowski d'une manière qui n'était pas du tout sporadique. Dans ses textes sur les Trobriandais – comme par exemple La vie sexuelle des Sauvages du Nord-Ouest de la Mélanésie (1930) – il parle de l'identité du dala, ou matrilignage, en référence à la « substance » biologique dont il est fait, une substance qui se transmet de génération en génération dans la lignée maternelle. Ce n’est peut-être pas par hasard que le terme identité fut ensuite appliqué par Raymond Firth, dans We, the Tikopia (1936), pour affirmer la continuité dans le temps du clan, et que Siegfried Nadel dans The Foundations of Social Anthropology (1949) parle explicitement de l’identité des groupes sociaux grâce auxquels une société s’articule. La monographie The Nuer (1940) d'Edward E. Evans-Pritchard confirme que l’on a fait de l’identité un usage continu et, en apparence, sans problèmes dans l'anthropologie sociale britannique sous l’influence de Malinowski. Dans ce texte fondamental, l’identité est attribuée aux clans, à chacune des classes d'âge et même à l'ensemble de la culture nuer, que les Nuer considèrent eux-mêmes comme unique, homogène et exclusive, même si le sentiment de la communauté locale était « plus profond que la reconnaissance de l'identité culturelle » (Evans-Pritchard 1975: 176). Par contre, l’autre grand anthropologue britannique, Alfred R. Radcliffe-Brown, qui était particulièrement rigoureux et attentif aux concepts que l'anthropologie devait utiliser (selon M.N. Srinivas, il « prenait grand soin de l'écriture, considérant les mots comme des pierres précieuses » 1973 : 12), il est resté, probablement pour cette raison, étranger au recours au terme d'identité. S’il fait son apparition dans son célèbre essai consacré à la structure sociale de 1940, c’est uniquement lorsqu'il fait référence à l'utilisation approximative de ce concept par Evans-Pritchard. Il soutient que certains anthropologues (y compris Evans-Pritchard) utilisent l’expression « structure sociale » uniquement pour désigner la persistance des groupes sociaux (nations, tribus, clans), qui gardent leur continuité (continuity) et leur identité (identity), malgré la succession de leurs membres (Radcliffe-Brown 1952 : 191). Son utilisation du terme identité ne se justifie ainsi que parce qu’il cite la pensée d'Evans-Pritchard presque textuellement. On a également l’impression que Radcliffe-Brown évite d’adopter le concept d’identité, utilisé par ses collègues et compatriotes, parce que les termes de continuité (continuity), de stabilité (stability), de définition (definiteness), de cohérence (consistency) sont déjà suffisamment précis pour définir une « loi sociologique » inhérente à toute structure sociale (Radcliffe-Brown 1952 : 45). Qu’est-ce que le concept d'identité ajouterait, sinon un attrait presque mystique et surtout une référence plus ou moins subtile à l'idée de substance, avec la signification métaphysique qu’elle implique? Radcliffe-Brown admet que la persistance des groupes dans le temps est une dimension importante et inaliénable de la structure sociale. Mais se focaliser uniquement sur la stabilité donne lieu à une vision trop étroite et unilatérale : la structure sociale comprend quelque chose de plus, qui doit être pris en compte. Si l’on ajoute le principe d’identité à la stabilité, à la cohérence et à la définition, ne risque-t-on pas de détourner l’attention de l’anthropologue de ce qui entre en conflit avec la continuité et la stabilité? Radcliffe-Brown a distingué entre la structure sociale (social structure), sujette à des changements continus, tels que ceux qui se produisent dans tous les organismes, et la forme structurale (structural form), qui « peut rester relativement constante pendant plus ou moins une longue période » (Radcliffe-Brown 1952 : 192). Même la forme structurale – a-t-il ajouté – « peut changer » (may change); et le changement est parfois graduel, presque imperceptible, alors que d’autres fois, il est soudain et violent, comme dans le cas des révolutions ou des conquêtes militaires. Considérant ces deux niveaux, la forme structurale est sans aucun doute le concept qui se prêterait le mieux à être associé à l'identité. Mais l’identité appliquée à la forme structurale ne nous aiderait certainement pas à appréhender avec précision les passages graduels, les glissements imprévus ou, au contraire, certaines « continuités de structure » qui se produisent même dans les changements les plus révolutionnaires (Radcliffe-Brown 1952 : 193). Bref, il est nécessaire de disposer d’une instrumentation beaucoup plus raffinée et calibrée que la notion d’identité, vague et encombrante, pour saisir l’interaction incessante et subtile entre continuité et discontinuité. On sait que Radcliffe-Brown avait l'intention de construire une anthropologie sociale rigoureuse basée sur le modèle des sciences naturelles. Dans cette perspective, l'identité aurait été un facteur de confusion, ainsi qu'un élément qui aurait poussé l'anthropologie naissante vers la philosophie et l'ontologie plutôt que vers la science. Alors que Radcliffe-Brown (décédé en 1955) avait réussi à éviter le problème de l'identité en anthropologie, Lévi-Strauss sera contraint de l'affronter ouvertement dans un séminaire proposé, conçu et organisé par son assistant philosophe Jean-Marie Benoist au Collège de France au milieu des années soixante-dix (1974-1975). Quelle stratégie Lévi-Strauss adopte-t-il pour s'attaquer à ce problème, sans se laisser aller à la « mode » qui, entre-temps, avait repris ce concept (Lévi-Strauss 1977 : 11)? La première étape est une concession : il admet que l’identité est un sujet d’ordre universel, c’est-à-dire qu’elle intéresse toutes les disciplines scientifiques, ainsi que « toutes les sociétés » étudiées par les ethnologues, et donc aussi l’anthropologie « de façon très spéciale » (Lévi-Strauss 1977 : 9). Pour Lévi-Strauss, les résultats suivants sont significatifs: i) aucune des sociétés examinées – même si elles constituent un petit échantillon – ne tient « pour acquise une identité substantielle » (Lévi-Strauss 1977 : 11), c’est-à-dire qu’il ne fait pas partie de leur pensée de concevoir l'identité en tant que substance ou la substance en tant que source et principe d'identité; ii) toutes les branches scientifiques interrogées émettent des doutes sur la notion d'identité et en font le plus souvent l'objet d'une « critique très sévère » (Lévi-Strauss 1977 : 11); iii) il est possible de constater une analogie entre le traitement réservé à l’identité de la part des « sociétés exotiques » examinées et les conceptions apparues dans les disciplines scientifiques (Lévi-Strauss 1977 : 11); iv) cela signifie alors que la « foi » que « nous mettons encore » sur l’identité doit être considérée comme « le reflet d'un état de civilisation », c'est-à-dire comme un produit historique et culturel transitoire, dont la « durée » peut être calculée en « quelques siècles » (Lévi-Strauss 1977 : 11) ; v) que nous assistons à une crise contemporaine de l'identité individuelle, en vertu de laquelle aucun individu ne peut se concevoir comme une « réalité substantielle », réduit qu’il est à une « fonction instable », à un « lieu » et à un « moment » éphémères d’« échanges et de conflits » auxquelles concourent des forces d’ordre naturel et historique (1977 : 11). Ceci fait dire à Lévi-Strauss que « quand on croit atteindre l'identité, on la trouve pulvérisée, en miettes » (in Benoist 1977 : 209), tout en constatant dans le même mouvement que, tant dans les sociétés examinées que dans les sciences interrogées, nous assistons à la négation d'une « identité substantielle » et même à une attitude destructrice qui fait « éclater » l’identité « en une multiplicité d’éléments ». Dans un cas comme dans l'autre, on arrive à « une critique de l’identité », plutôt qu’« à son affirmation pure et simple » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 331). Pourtant, nous ne pouvons pas oublier que Lévi-Strauss était parti d'une concession, c’est-à-dire de l'idée que nous ne pouvions pas nous passer du thème de l'identité : c'est quelque chose qui concerne d'une manière ou d'une autre toutes les sociétés, les sociétés exotiques étudiées par les anthropologues et les communautés scientifiques qui se forment dans la civilisation contemporaine. Lévi-Strauss aurait pu développer plus profondément et de manière plus radicale l’argument présenté au point iv), à savoir que l’identité est une croyance (voire une foi), produit d’une période historique de notre civilisation. Mieux encore, étant donné que les autres sociétés d’une part et nos sciences de l’autre « la soumettent à l’action d’une sorte de marteau-pilon », c’est-à-dire qu’elles la font « éclater » (in Benoist 1977 : 309), nous aussi nous pourrions finalement nous en débarrasser. Lévi-Strauss sent bien, cependant, la différence entre sa propre position et celle du public qui a participé au séminaire, beaucoup plus enclin à donner du poids et un sens à l'identité. Pour cette raison, il offre un compromis (un compromis kantien, pourrait-on dire), qui consiste à détacher la notion d’identité de celle de substance et à penser l’identité comme « une sorte de foyer virtuel auquel il nous est indispensable de nous référer pour expliquer un certain nombre de choses, mais sans qu’il ait jamais d’existence réelle » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Si nous l’interprétons bien, c'est comme si Lévi-Strauss avait voulu dire à ses collègues anthropologues : « Voulez-vous vraiment utiliser le concept d'identité? » Au moins, sachez que cela ne fait jamais référence à une expérience réelle : c’est peut-être une aspiration, une affirmation, une manière de représenter des choses, auxquelles rien de réel ne correspond. Avec ce compromis, Lévi-Strauss semble finalement attribuer à l'identité une sorte de citoyenneté dans le langage des anthropologues. Cependant, même comme un feu virtuel, où se trouve l'idée d'identité : dans la tête des anthropologues, qui utilisent ce concept pour représenter des sociétés dans leur unité et leur particularité, ou dans la tête des groupes sociaux lorsqu'ils se représentent leur culture? Revenons à l'exemple de Malinowski et des Trobriandais. C'est Malinowski qui interprète le veyola, la substance biologique du matrilignage (dala), en termes d'identité, et établit un lien entre identité et substance. Parler de l'identité du dala, surtout si elle est soutenue par le concept de substance (c'est-à-dire quelque chose qui se perpétue avec le temps et qui est complet en soi, de sorte qu'il ne dépend de rien de ce qui lui est extérieur, selon la définition classique d'Aristote), finit par obscurcir la pensée plus profonde des Trobriandais, c’est-à-dire l’incomplétude structurelle du dala. Il ne suffit pas de naître dans le dala et de recevoir le veyola de la mère. Le veyola n'est pas une substance identitaire, mais une matière sans forme qui doit être modelée par l’intervention du tama ou tomakava, c'est-à-dire « l'étranger », avec lequel la mère est mariée et qui est proprement le modeleur, celui qui aide les enfants de son partenaire à grandir, à prendre un visage, une personnalité, non pas en assumant une identité, mais par une participation progressive à des relations sociales (Weiner 1976). Malgré l’utilisation extensive du terme identité dans leurs descriptions ethnographiques et leurs réflexions théoriques, les anthropologues feraient bien de se demander s’il est vraiment approprié de conserver ce concept dans leur boîte à outils ou s’il ne convient pas de considérer l’identité comme une modalité de représentation historiquement et culturellement connotée. L'auteur de cette entrée a tenté de démontrer que l'identité en tant que telle n'existe pas, sauf en tant que mode de représentation que les anthropologues peuvent rencontrer dans telle ou telle société (Remotti 2010). Toutes les sociétés, dans leur ensemble ou dans leurs éléments constitutifs, ressentent les besoins suivants : stabilité, continuité, permanence, cohérence d’un côté, spécificité, certitude et définissabilité de l’autre. Mais, comme l’a suggéré Radcliffe-Brown, les réponses à ces besoins sont toujours relatives et graduelles, jamais complètes, totales et définitives. Nous pourrions également ajouter que ces besoins sont toujours combinés avec des besoins opposés, ceux du changement et donc de l'ouverture aux autres et au futur (Remotti 1996 : 59-67). Autrement dit, les sociétés ne se limitent pas à être soumises au changement, mais le recherchent et l’organisent en quelque manière. Il peut y avoir des sociétés qui donnent des réponses unilatérales et qui favorisent les besoins de fermeture plutôt que d’ouverture, et d’autres le contraire. Si ce schéma est acceptable, alors on pourrait dire que l'identité – loin d'être un outil d'investigation – apparaît au contraire comme un thème et un terrain important de la recherche anthropologique. En retirant l'identité de leur boîte à outils, prenant ainsi leurs distances par rapport à l'idéologie de l'identité (un véritable mythe de notre temps), les anthropologues ont pour tâche de rechercher quelles sociétés produisent cette idéologie, comment elles construisent leurs représentations identitaires, pour quelles raisons, causes ou buts elles développent leurs croyances (même leur « foi » aveugle et aveuglante) en l’identité. Nous découvrirons alors que nous-mêmes, Occidentaux et modernes, nous avons construit, répandu, exporté et inculqué au monde entier des mythes et des concepts identitaires. Nous l’avons fait à partir de l’État-nation aux frontières rigides et insurpassables, de l’idéologie clairement identitaire qu’est le racisme, et pour terminer de la racialisation de la culture qui exalte les traditions locales ou nationales comme substances intouchables, dont la pureté est invoquée et qu’on entend défendre de toutes les manières contre les menaces extérieures. Passée au niveau du discours social et politique, l'identité révèle tôt toute la violence impliquée dans la coupure des liens et des connexions entre « nous » et les « autres ». Comme le disait Lévi-Strauss (et aussi Hegel avant Lévi-Strauss), à l'identité « ne correspond en réalité aucune expérience » (in Benoist et Lévi-Strauss 1977 : 332). Mais les effets pratiques de cette représentation n'appartiennent pas au monde des idées : ils sont réels, souvent insupportablement réels.
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