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Sablayrolles, Philippe, Hildemberg Cruz, Marcelo Santos Melo, Isabel Garcia Drigo, and Plinio Sist. "Le potentiel de la production forestière paysanne en Amazonie brésilienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20539.

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Abstract:
Dans l'État du Pará, 60 % des forêts destinées à l'aménagement sont des forêts paysannes. Les concessions forestières d'entreprise ne pourront fournir au mieux que la moitié de la consommation actuelle. À quelques exceptions près, les communautés traditionnelles et les familles paysannes n'ont ni l'expérience technique ni la capacité économique pour conduire l'exploitation commerciale des bois : l'aménagement est réalisé par le biais d'accords avec une entreprise, selon différentes modalités. Dans ce contexte, les contrats entre communautés et entreprise sont de nature très variée et aboutissent au contrôle total par les entreprises privées de toutes les opérations, du plan d'aménagement à l'exploitation. Les politiques publiques et la législation forestière cherchent aujourd'hui à améliorer les capacités des communautés locales à défendre leurs intérêts dans le cadre de tels partenariats. Cette étude analyse le cadre financier de l'entreprise par rapport à l'organisation paysanne pour son exécution, et les éléments clés qui permettent un meilleur contrôle : les inventaires pré- exploitation, la diversification de la production de bois d'oeuvre et de produits forestiers non ligneux, la commercialisation, le suivi et le contrôle des opérations d'exploitation. Il est proposé des pistes de politiques publiques qui doivent aider à la diffusion de l'aménagement paysan dans différentes contextes fonciers : unités de conservation et forêts de production, périmètres de colonisation agricole. L'article discute des modalités d'action et d'implantation d'un service public d'assistance technique et financière au profit des agriculteurs et des communautés. Le potentiel de l'intégration de la gestion forestière au sein des systèmes de production paysans est discuté dans le cadre du débat actuel de réforme du code forestier. (Résumé d'auteur)
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Lescuyer, Guillaume, and Julienne Nadège Essoungou. "Gestion forestière multi-usages en Afrique centrale : perceptions, mises en oeuvre et évolutions." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (March 1, 2013): 29. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20536.

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Abstract:
Quoique la gestion forestière multiusages (Gfmu) soit promue par les codes forestiers d'Afrique centrale, cette approche reste mal comprise et peu mise en oeuvre pour les forêts de production et les forêts communautaires. L'article présente les résultats de 62 entretiens avec des personnes impliquées dans la gestion forestière au Cameroun, au Gabon et en République démocratique du Congo, et fait ressortir trois interprétations de la Gfmu : une exploitation durable du bois intégrant secondairement les usages des autres acteurs ; une utilisation coutumière des ressources par les populations locales ; une gestion planifiée et formelle de la diversité des biens et fonctions fournis par ces écosystèmes. L'analyse détaillée de huit études de cas montre en pratique que l'aménagement durable de la forêt se focalise presque toujours sur l'exploitation du bois ; quoique l'utilisation du gibier et la collecte des produits forestiers non ligneux soient systématiquement mentionnés dans les documents d'aménagement. À l'inverse, les services environnementaux - séquestration du carbone, protection des bassins versants - ou les biens publics y sont quasi absents. L'inscription de différents usages dans les documents de gestion ne suffit toutefois pas pour qu'ils soient toujours mis en oeuvre sur le terrain. Trois pistes sont explorées pour renforcer l'application de la Gfmu dans le bassin du Congo : concevoir la Gfmu à l'échelle du paysage et non à celle du massif forestier ; améliorer le contenu des documents d'aménagement forestier pour y inclure et valoriser l'ensemble des usages de la forêt ; renforcer le contrôle de l'application effective des documents de gestion, grâce à la certification ou à un meilleur contrôle du respect de la légalité.
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Gond, Valéry, and Stéphane Guitet. "Elaboration d'un diagnostic post-exploitation par télédétection spatiale pour la gestion des forêts de Guyane." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20423.

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Abstract:
Cette étude s'inscrit dans le cadre du suivi de l'exploitation forestière à faible impact en forêt tropicale humide. L'importance des dégâts liés à l'exploitation forestière conditionne fortement la durabilité de cette activité et un contrôle efficace de la qualité des travaux forestiers s'impose donc au gestionnaire. Dans cette étude, l'imagerie satellitaire aide à suivre la progression des chantiers d'exploitation et à estimer les dégâts, par l'acquisition d'images en cours et en fin d'exploitation des parcelles. L'analyse d'images à haute résolution (10 m) permet de bien identifier les trouées d'abattage et certaines pistes de débusquage. Ainsi, on a une évaluation de l'ouverture de la canopée. Plusieurs parcelles ont été étudiées en Guyane française. Pour chacune d'entre elles, un diagnostic simple a été mis en place pour évaluer l'intensité d'exploitation, relever les pistes créées et les pertes de bois. L'outil satellite permet alors de mieux considérer la qualité de l'exploitation et d'en tirer les conséquences vis-à-vis de l'exploitant. Cette étude a permis de démontrer l'utilité de la télédétection pour identifier les concentrations de dégâts après exploitation forestière. Une validation de l'outil a été menée grâce à une base de données de suivi d'exploitation et par des missions de terrain. Cet outil de contrôle postexploitation peut désormais s'automatiser de façon à le rendre totalement opérationnel pour le gestionnaire forestier. (Résumé d'auteur)
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Bigsby, Hugh. "Le modèle spatial de rendement est-il une solution plus pertinente pour l¿exploitation des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (December 1, 2012): 57. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20491.

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Abstract:
L'expérience de sociétés forestières pratiquant l'abattage sélectif d'arbres individuels au Sarawak montre que leurs opérations ne sont encadrées en général que par une réglementation de base concernant par exemple le diamètre minimum d'abattage, les dimensions maximales des trouées ou les essences autorisées. En général, les aspects sylvicoles ne sont, au mieux, pris en compte qu'implicitement dans les règlements sur l'abattage, et non explicitement dans la planification et les opérations d'abattage. Les sociétés forestières tendent de plus en plus à pratiquer un comptage à 100 % des arbres, associé à une cartographie par GPS, dans le cadre de systèmes d'exploitation à impact faible ou réduit. L'utilisation de systèmes GPS permet d'élaborer des bases de données spatialisées et des descripteurs clés des arbres. Ceux-ci pourraient servir d'appui à la planification d'activités futures basées sur des modèles de croissance et de rendement permettant de prendre en compte des paramètres forestiers importants, comme le DBH et les essences présentes, et de cartographier la position des arbres. Cela aiderait les gestionnaires des récoltes et les arpenteurs forestiers à passer d'une optique purement opérationnelle à une optique sylvicole, en prenant en compte des paramètres tels que l'espacement, le recrutement et les tiges d'avenir lors de la planification des opérations d'abattage. L'absence de ce type de planification parmi les sociétés forestières est principalement due au fait que les modèles d'exploitation forestière en milieu tropical sont généralement basés sur des paramètres de zonage (modèles à l'échelle des peuplements ou selon les classes de dimension) qui ne sont pertinents que par rapport aux besoins de la planification à grande échelle. Ces modèles n'intègrent généralement pas les données spatiales générées par la planification, ils nécessitent des données beaucoup plus nombreuses et différentes de celles utilisées pour planifier les opérations d'abattage et ne produisent pas de résultats utiles à la planification opérationnelle des récoltes. Il est plus utile de se servir de modèles par arbre qui intègrent des données spatiales et produisent des résultats pertinents au plan opérationnel, comme les diamètres, les essences et la position des arbres. Cet article rappelle les contraintes opérationnelles de l'exploitation forestière à impact faible ou réduit, et préconise des approches pour la modélisation des rendements compatibles avec ces systèmes.
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Lassagne, Antoine. "Exploitation forestière, développement durable et stratégies de pouvoir dans une forêt tropicale camerounaise." Anthropologie et Sociétés 29, no. 1 (November 18, 2005): 49–79. http://dx.doi.org/10.7202/011740ar.

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Abstract:
Résumé Dans le bassin du Congo, l’exploitation des ressources de la forêt a toujours été au coeur des formes les plus violentes de la relation coloniale. L’exemple de la région de la forêt du Dja dans le sud-est du Cameroun suggère que l’installation du pouvoir colonial s’est appuyée sur la mise en place d’un complexe « territoire-population-ressources », processus similaire à celui qui a eu cours en Occident dès la fin du XVIIe siècle. Nous pensons que cette « gouvernementalisation de la population », si l’on s’appuie sur cette notion proposée par Michel Foucault, est déterminante dans la compréhension des modes d’exploitation de la forêt en vigueur depuis la décolonisation jusqu’à aujourd’hui. Il nous est dès lors possible d’envisager les stratégies de pouvoir adoptées par les exploitants forestiers et par les acteurs du développement durable comme faisant partie d’un même dispositif de gestion combinée de la nature et du social. La nouvelle loi forestière adoptée par le gouvernement camerounais en 1994 apparaît comme le point de jonction du discours scientifique sur la population et la forêt tropicale et des intérêts du secteur forestier industriel. Dans ce contexte, les Badjoués qui habitent la périphérie de la Réserve de biosphère du Dja se trouvent être à la fois la cible des conservationistes et des exploitants forestiers.
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Estève, Jean. "DESTRUCTION OF FOREST AREAS AS A RESULT OF LOGGING AND HARVESTING IN AFRICAN OR AMERICAN DENSE TROPICAL RAINFORESTS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (July 20, 2017): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31298.

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Abstract:
Il est devenu habituel de lire dans les médias des articles accusant l’exploitation fores- tière d’être le moteur principal de la dispari- tion des forêts tropicales. Ce raccourci trom- peur est imputable à une méconnaissance des réalités forestières, d’une part, et à un amalgame entre l’exploitation forestière et le défrichement agricole, d’autre part. L’ob- jet de cet article rédigé par un praticien fami- lier du contexte forestier tropical était d’éva- luer l’impact de l’exploitation forestière sur les forêts denses tropicales humides, dans les deux continents africain et améri- cain. Par souci d’exactitude, les phases de l’exploitation ont été distinguées : installa- tion de la base vie, constitution du réseau routier de vidange des bois, réalisation des opérations d’exploitation proprement dites. Des scénarios ont été distingués en fonction de la richesse de la forêt, dont le volume ré- colté varie de 3 à 15 m3/ha. Ces estimations confirment que la destruction du couvert fo- restier demeure si faible qu’à l’exception de situations radicales l’exploitation forestière ne constitue pas une menace pour le main- tien durable des forêts tropicales. La mise en place des réseaux routiers et de pistes de débardage affecte de 4,5 à 5,5 % du couvert forestier. Les surfaces des trouées consé- cutives à l’abattage ne dépassent jamais 4 % du couvert, et restent inférieures à 2 % pour les forêts riches ou de richesse moyenne. L’exploitation forestière n’est donc direc- tement responsable que de la destruction de 5,5 à 8,5 % du couvert forestier. Dans le cas de forêts riches, des exploitations fores- tières successives peuvent certes atteindre 12 à 16 % du couvert forestier. Mais c’est alors sans compter sur la dynamique de reconstitution de la biomasse opérant natu- rellement entre deux séquences d’exploi- tation. En Asie du Sud-Est où l’exploitation est plus intensive en raison d’un potentiel commercial très élevé, la reconstitution du couvert est acquise en 20 ans. Si la valeur économique d’une forêt dense tropicale humide diminue avec l’exploitation, ses va- leurs biologique et écologique restent quant à elles sensiblement intactes.
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Désy, Jean, and Gille Tremblay. "Pour une renaissance planifiée et globale de l’écoumène agro-forestier régional québécois." Cahiers de géographie du Québec 37, no. 101 (April 12, 2005): 309–35. http://dx.doi.org/10.7202/022347ar.

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Abstract:
Devant les effets inévitables d'une exploitation minière et monovalente des forêts du Québec méridional, du moins jusqu'à récemment, il devient urgent d'explorer et de gérer plus humainement et plus naturellement l'écoumène forestier et agro-forestier entourant les régions ressources. C'est l'ambition de cet article de proposer une utilisation beaucoup plus judicieuse de la biomasse forestière par le vecteur privilégié de la planification stratégique régionale. D'abord approfondie dans sa dimension théorique, on tentera d'opérationnaliser cette planification dans un scénario alternatif pour l'horizon 2010, utilisant comme matière première la vingtaine de filières de transformation possibles de la biomasse forestière. On décomposera ce scénario jusqu'à la structure d'action prévue pour l'an 2010.
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Rossi, Vivien, Thomas Dolley, Guillaume Cornu, Stéphane Guitet, and Bruno Hérault. "GUYASIM : UN OUTIL D’AIDE À LA DÉCISION POUR L’AMÉNAGEMENT D’UN TERRITOIRE FORESTIER, LA GUYANE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 326, no. 326 (December 18, 2015): 67. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.326.a31285.

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Abstract:
Les aménagements futurs nécessaires au développement rapide de la Guyane vont entraîner la conversion de terres fores- tières, participant ainsi au changement global. Les décideurs guyanais devront conjuguer ces aménagements avec la pré- servation des services écosystémiques forestiers. Le projet GuyaSim avait comme objectif l’approfondissement des connaissances sur ces services (stock de carbone, biodiversité et qualité du sol) et le transfert d’un logiciel aux décideurs pour faciliter l’intégration de ces connais- sances dans les politiques d’aménage- ment du territoire. L’article présente les caractéristiques et les fonctionnalités de ce logiciel GuyaSim. Il s’agit d’un logiciel libre de type Sig, destiné a priori aux ser- vices d’aménagement des collectivités et du domaine forestier de Guyane. Le logiciel offre deux grands types de fonc- tionnalité : la mise à disposition d’infor- mations et l’aide à l’aménagement. Les informations mises à disposition sont les scénarios de développement socio-éco- nomique, les scénarios climatiques et les valeurs des services écosystémiques. L’aide à l’aménagement consiste en des outils de construction des scénarios d’aménagement du territoire (change- ment d’usage des terres) et d’aménage- ment forestier (exploitation forestière), fournissant des informations sur l’impact environnemental. Les fonctionnalités du logiciel sont limitées par les connais- sances sur les écosystèmes guyanais. Les avancées des projets de recherche en cours permettront de mettre à jour le logiciel à moyen terme.
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Benest, Fabienne, Jonathan Carruthers-Jones, and Adrien Guetté. "Travaux actuels d'inventaire des forêts à forte naturalité à l'échelle nationale et européenne." Revue forestière française 73, no. 2-3 (March 30, 2022): 161–78. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5467.

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Abstract:
Divers travaux menés à différentes échelles concernent la distribution des forêts anciennes et matures, mais il n’existe pas à ce jour de cartographie complète au niveau national. Au niveau européen, le récent rapport du Joint Research Centre de l’Union européenne donne quelques éléments. Au niveau national, la cartographie des forêts anciennes (continuité de l’état boisé) progresse, et parallèlement, le projet CARTNAT envisage le niveau de naturalité toutes occupations du sol confondues. Une récente étude de l’INRAE a permis de modéliser la distribution des forêts selon leur date de dernière exploitation. Les réserves biologiques intégrales créées en forêt publique, maintenues en libre évolution sur 27 000 ha en métropole, ont fait l’objet en 2020 d’un bilan complet de leur contenu en termes d’habitats forestiers. En Nouvelle-Aquitaine, une méthode croisant diverses données géographiques et d’inventaires a permis de situer des zones à fort potentiel de naturalité au sein des forêts anciennes. Les forêts récentes, férales, liées à la recolonisation spontanée par une végétation forestière de zones en déprise font maintenant l’objet d’un suivi spécifique dans les protocoles de l’Inventaire forestier national.
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Caspa, Roseline Gusua, Isaac Roger Tchouamo, Jean Pierre Mate Mweru, Joseph Mbang Amang, and Marley Ngang Ngwa. "THE PLACE OF IRVINGIA GABONENSIS IN VILLAGE COMMUNITIES AROUND THE LOBEKE NATIONAL PARK IN CAMEROON." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 324, no. 324 (March 17, 2015): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.324.a31262.

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Abstract:
Le manguier sauvage, Irvingia gabonensis, est une des essences les plus exploitées pour des produits forestiers non ligneux aux alentours du Parc national de Lobeke au Cameroun. Une enquête auprès des cueilleurs montre que les fruits sont ramas- sés en forêt à même le sol, ce qui entraîne des risques élevés d’attaque par des gorilles (100 %) et nécessite de longs séjours en campement (87 %). Tous les cueilleurs conservent cette essence, la plu- part (82 %) en protégeant les semis spon- tanés, mais ne s’intéressent pas à la plan- tation. Cependant, près de 68% des cueil- leurs indiquent qu’ils l’envisageraient. L’amande de Irvingia gabonensis est considérée par les cueilleurs comme la deuxième ressource alimentaire (98 %) et la première source de revenus (93 %) parmi les quatre principaux produits fores- tiers non ligneux de la région. Un inventaire a été réalisé pour évaluer l’abondance de l’essence dans trois systèmes forestiers : la zone protégée, une forêt de production vil- lageoise (forêt naturelle comprise dans le domaine forestier non-permanent et gérée par une communauté villageoise avec l’ap- pui du service forestier) et une zone agrofo- restière (jachères et associations de cul- tures/cacao), dans 6 x 3 parcelles de 1 ha. La production fruitière a été estimée en comptant les fruits pendant les collectes. La croissance et la survie des plantules n’ont été estimées que dans la zone proté- gée en raison de la rareté des jeunes plants dans la forêt de production et la zone agro- forestière. La densité moyenne des I. gabo- nensis s’établit à 3,3 arbres/ha, sans écart significatif entre les trois systèmes fores- tiers. Le diamètre moyen à hauteur de poi- trine ne varie pas significativement entre les trois systèmes, ni la production fruitière moyenne. Le taux de survie des semis baisse à 70 % dans la zone protégée au bout de 18 mois. La présence majoritaire d’arbres de diamètre moyen à élevé indique que la ressource se maintiendra pendant quelque temps, mais la quasi absence de jeunes individus permettant de régénérer ces peuplements vieillissants compromet la ressource à plus long terme. L’intensité de la cueillette conduit à recom- mander l’intégration de cette essence dans les exploitations agricoles villageoises.
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Ndiaye, Seydou, Pape Ibrahima Djighaly, Saboury Ndiaye, and Fodé Amata Dramé. "Dynamique de l’Exploitation des Produits Forestiers non Ligneux Commercialisés dans le Département de Goudomp, Sénégal." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 9 (March 31, 2024): 147. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n9p147.

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Abstract:
Dans le contexte de rareté des ressources forestières, évaluer le degré d’exploitation des produits forestiers non ligneux est crucial pour comprendre les pressions exercées sur les produits forestiers non ligneux et in fine de mettre en place des stratégies visant une exploitation rationnelle et durable des produits forestiers non ligneux. Cette étude a pour objectifs d’analyser la dynamique d’exploitation des produits forestiers non ligneux. Un suivi de l’exploitation des produits forestiers non ligneux a été réalisé chez 260 exploitants répartis en 30 groupements. Un questionnaire a été utilisé pour la collecte des données complémentaires et ont été administrés auprès de 150 producteurs au niveau de quatre communes Les résultats montrent qu’entre 2012 et 2018, le volume d’exploitation du pain de singe est passé de 20,087 tonnes à 88,457 tonnes, de 1,19 T à 45,231 tonnes pour le Saba. Celui du miel est passé de 4 354 litres en 2012 à 6 694 litres, de10 280 litres à 35 563 litres pour l’huile de palme. Quant au Néré, son exploitation est passée de 79, 996 tonnes en 2012 à 263, 141 tonnes. La commercialisation des produits exploités a permis de générer plus de 208 859 000 millions de FCFA par an. Il ressort des enquêtes de perception que l’ensemble des produits forestiers subissent une forte pression et que leur disponibilité est de plus en plus faible. Dès lors, des stratégies résilientes sont à adopter allant de l’exploitation contrôlée à la conservation de ces ressources. In the context of scarce forest resources, assessing the degree of exploitation of non-timber forest products is crucial to understanding the pressures exerted on non-timber forest products and, ultimately, to implementing strategies aimed at rational and sustainable exploitation of non-timber forest products. The aim of this study is to analyze the dynamics of non-timber forest product exploitation. Non-timber forest product harvesting was monitored among 260 farmers in 30 groups. A questionnaire was used to collect additional data and was administered to 150 producers in four communes. The results show that between 2012 and 2018, the volume of monkey bread harvested rose from 20.087 tonnes to 88.457 tonnes, and from 1.19 T to 45.231 tonnes for Saba. Honey production rose from 4,354 liters in 2012 to 6,694 liters, and palm oil from 10,280 liters to 35,563 liters. Néré production rose from 79.996 tonnes in 2012 to 263.141 tonnes. The marketing of harvested products generated more than 208,859,000 million FCFA per year. Perception surveys show that all forest products are under heavy pressure and that their availability is becoming increasingly limited. Resilient strategies must therefore be adopted, ranging from controlled harvesting to conservation of these resources.
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Piponiot, Camille. "Quel futur pour les forêts de production en Amazonie ? Du bilan carbone de l’exploitation forestière à la recherche de compromis entre services écosystémiques (bois d’œuvre, biodiversité et carbone)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (July 20, 2019): 89. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31731.

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Abstract:
La moitié des forêts tropicales du monde est désignée comme des forêts de production par les services forestiers nationaux. Pour la seule Amazonie brésilienne (400 millions d’hectares), l’exploitation sélective affecte chaque année entre un et deux millions d’hectares. Si l’effet de la déforestation sur les émissions de carbone et les pertes de biodiversité en région tropicale ont fait l’objet de nombreuses études, les impacts à long terme de l’exploitation commerciale de bois sur ces forêts restent à ce jour très peu étudiés. Or, les enjeux sont grandissants pour ces forêts de production. Non seulement elles doivent alimenter le commerce du bois tropical, mais leur rôle dans le stockage de carbone et dans la préservation de la biodiversité est de plus en plus reconnu. La thèse s’organise en trois temps. Premièrement, un modèle de bilan carbone de l’exploitation forestière est développé, et les différences régionales de dynamique de récupération du carbone post-exploitation sont modélisées. Deuxièmement, un modèle de récupération du volume de bois d’œuvre a été développé et calibré à l’échelle amazonienne. Ces résultats ont permis de montrer la lenteur de la récupération du volume de bois en Amazonie, et la non-durabilité des pratiques actuelles d’exploitation. Ces modèles (carbone et bois d’œuvre) ont été élaborés dans un cadre bayésien, avec l’appui et les données du Tropical managed Forest Observatory (TmFO : www.tmfo.org), réseau rassemblant neuf institutions de recherche et plus de 200 parcelles de suivi de la dynamique forestière après exploitation en Amazonie depuis plus de 30 années. Enfin, une analyse comparative de scénarios prospectifs a été effectuée, où les compromis possibles entre services écosystémiques (bois d’œuvre, carbone et biodiversité) ont été explorés par des techniques d’optimisation multicritère.
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Alex, Wotto, Gbaguidi Aholidji Humbert Ulrich, and Vissoh Ahotondji Sylvain. "Importance Socioculturelle Des Produits Forestiers Non Ligneux Du Massif Forestier D’agoua Au Benin." European Scientific Journal, ESJ 13, no. 14 (May 31, 2017): 123. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2017.v13n14p123.

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Abstract:
The aim of this research is to analyze the socio-cultural importance of non-ligneous forest products (NWFPs) in the forest of Agoua, located in the department of Hills in Benin. This research led to an inventory of NWFPs and ethnobotanical surveys among 50 foresters, 62 NWFP resellers, 46 consumers and 12 phytotherapists. The data collected relate to the plant species used as NWFPs by populations living on the massif of Agoua, to endogenous knowledge and to the use values of NWFPs. Thus, 105 plant species distributed in 48 families have been inventoried within the forest massif of Agoua. The determination of the different categories of NWFP uses revealed that 61 (58.09%) of the total number of plant species surveyed were used in traditional medicine, 30 in food (28.57%), 28 for various domestic uses (26.57%), 8 for building materials (7.61%), 6 for packaging (5.71%) and 4 for coloring (3.8%). The organs taken by the populations vary from one species to another and according to the use they make of them. In fact, it is the leaves, fruits, barks, flowers and roots that are used by the populations bordering the forest of Agoua. The excessive exploitation of NWFPs by the populations bordering on the Agoua forest is the cause of the decline and disappearance of these plant species with a high genetic and socio-cultural potential. The aggravation of this phenomenon with population growth may be detrimental to the sustainability of this forest ecosystem. In order to reduce the effects of such use, it is necessary to implement methods and collection rates that respect the sustainability of these resources.
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Plamondon, André P. "L’influence de l’exploitation forestière sur la concentration des particules dans les petits cours d’eau de la Beauce, Québec." Géographie physique et Quaternaire 36, no. 3 (November 29, 2007): 315–25. http://dx.doi.org/10.7202/032484ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cette étude a pour but d'évaluer l'influence de l'exploitation forestière sur l'augmentation de la quantité de sédiments en suspension dans cinq cours d'eau soumis à différents types de coupe. Lorsque les exploitations sont effectuées sans aucun souci de protection et que la machinerie forestière a libre accès au cours d'eau, les concentrations des sédiments inorganiques et organiques en suspension se maintiennent respectivement au-dessus de 1 000 et 500 ppm durant la coupe. Les maxima atteignent 197 000 et 65 000 ppm. Lorsque l'on garde la machinerie à une certaine distance des cours d'eau et que les arbres sont abattus en direction opposée, l'augmentation de la concentration de particules en suspension dans l'eau est faible. Il en va de même lorsque les cours d'eau sont protégés par des bandes boisées. Les concentrations des sédiments en suspension dans ces deux derniers cas demeurent généralement sous 35 ppm. Par contre, l'efficacité de la bande boisée est fortement atténuée par les passages de la machinerie, par l'arrivée d'un tributaire bouleversé par les opérations forestières ou par le creusage des tranchées d'égouttement des voies d'accès. Ainsi, les concentrations de sédiments inorganiques et organiques en suspension dépassent fréquemment 100 ppm et atteignent respectivement des maxima de 900 â 2 000 ppm.
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Hawkins, A. F. A. "Conservation status and regional population estimates of the White-breasted MesiteMesitornis variegata, a rare Malagasy endemic." Bird Conservation International 4, no. 4 (December 1994): 279–303. http://dx.doi.org/10.1017/s0959270900002847.

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Abstract:
SummaryThree different methods (visual detection on transects, call-playback and territory mapping) were used to estimate the densities of the White-breasted MesiteMesitornis variegatain western Malagasy deciduous forest. The species is threatened and belongs o t an endemic family of uncertain affinities. The population in the Menabe region, central-west Madagascar, surveyed using call-playback (the most efficient survey method), is estimated at 3,000-19,000 individuals; that of Ankarafantsika, north-west Madagascar, 6,000-26,000 individuals. Other western populations may be relicts. The White-breasted Mesite occurs at highest densities and with highest productivity in logged forest near rivers in the south of its range and in undisturbed sand-forest in the north, and is present at low density or absent from some areas of apparently suitable habitat, as well as forest that is secondary or has been severely damaged by burning. It is probably not immediately at risk from rats, dogs or selective exploitation, but hunting and forest burning through accidental bushfires or clearance for agriculture are locally important threats.Trois méthodes différentes (détection visuelle sur transect, réémission de chant, et délimitation du territoire) ont été utilisées pour faire des estimations de la densité de la Mésite VariéeMesitornis variegatadans la forêt sèche de l'ouest de Madagascar. L'espèce est considérée comme menacée et appartient à une famille endémique de relations obscures. La population dans la region du Menabe, centre-ouest Madagascar, estime avec la réémission de chant (la méthode la plus efficace) est entre 3,000-19,000; celle de l'Ankarafantsika, nord-ouest Madagascar, est entre 6,000-26,000. Les autres populations occidentales sont probablement des vestiges. L'habitat ou l'espece se trouve le plus commune est à côté des rivières dans la foret exploitée, dans la partie méridionale de son aire de distribution, et dans forêt intacte sur sable dans le partie septentrionale. L'espece parait etre absente dans d'autres régions, meme où l'habitat est similaire. Elle existe rarement ou pas du tout dans les forêts sécondaires ou brulees. Les rongeurs introduits et Sexploitation forestiere selective ne posent pas probablement un grand problème pour l'espece, mais la chasse et le defrîchement pour l'agriculture sont localement importante.
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PETIT, H., E. CUCHET, J. P. POMIES, and D. TOUCHET. "Innovation et informatique en exploitation forestière." Revue Forestière Française, S (1993): 32. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26497.

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Vandergucht, David. "ZFOREST : UN PROTOTYPE DE PLATEFORME WEB DE COVISUALISATION LIDAR, RASTER ET VECTEUR À GRANDE ÉCHELLE." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 1, no. 211-212 (December 30, 2020): 129–42. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.551.

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Abstract:
En recherche comme en exploitation forestière, la donnée Lidar aéroportée apporte des clefs de compréhension surla structure du terrain, de la forêt et par extension, des informations sur la biomasse aérienne. Mais pour être utile, cette donnée Lidar doit couvrir de vastes étendues tout en étant très résolue spatialement. Ces caractéristiques se traduisent par de grands volumes de données très difficiles à visualiser, manipuler et étudier sans l’aide de logiciels très onéreux.Dans le cadre du projet ANR FORESEE, nous avons développé un logiciel web, de visualisation mixte nuage de pointsLidar / surface 3D issue d’un Modèle Numérique de Terrain / carte / photographie aérienne et terrestre / donnée vectorielle : la plateforme zForest. Ce logiciel, qui s’adresse aux chercheurs en télédétection et à terme aux exploitants forestiers, permet la navigation à grande échelle dans des données massives et leur exploration, du niveau de détail le plus large (la région) jusqu’au plus fin (l’arbre). Cet outil permet la mesure, l’annotation et l’extraction des données. Il propose également une interface de programmation web (API) permettant à d’autres outils du marché d’utiliser ses données sources. zForest étant une plateforme web, elle est disponible sans installation sur tous les navigateurs internet récents, facilitant son accessibilité et son déploiement.
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Gosselin, Frédéric, Jean-Claude Génot, and Thibault Lachat. "Libre évolution et naturalité en forêt : définitions et métriques associées." Revue forestière française 73, no. 2-3 (March 30, 2022): 115–36. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5464.

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Abstract:
Depuis son apparition dans la conservation de la nature, la notion de naturalité est très souvent employée pour les écosystèmes forestiers. La multitude de termes pour caractériser les forêts “naturelles” reflète la complexité de ce concept. Nous proposons dans cet article d’analyser les relations entre libre évolution et naturalité, et de distinguer les deux grands types de naturalité : biologique et anthropique — la naturalité anthropique comprenant la notion de libre évolution ou de spontanéité des processus. Nous proposons ensuite une synthèse des métriques employées dans la littérature scientifique pour mesurer ces deux types de naturalité en forêt. Les métriques liées à la naturalité biologique se focalisent sur les stades âgés et sénescents, celles concernant la naturalité anthropique sont plus centrées sur les prélèvements de bois passés (durée depuis la dernière exploitation, intensité des prélèvements…). Nous discutons enfin de ces notions considérées dans un contexte plus large — pas uniquement forestier ; cela nous amène à aborder les biais relatifs au choix des métriques, le lien entre biodiversité et naturalité, l’état de référence dans un contexte de changement global et la relation entre libre évolution et ré-ensauvagement.
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Boucart, Gregory. "L'exploitation forestière en Finlande//Finnish forest exploitation." Annales de Géographie 108, no. 609 (1999): 532–41. http://dx.doi.org/10.3406/geo.1999.2064.

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Worah, Josiane Audrey, Christian Mikolo Yobo, Innocent AKPACA, Donald Midoko Iponga, Saturnin Ndotit Maghiengha, and Hervé Charles Ndoume Engone. "Analyse de la Gouvernance et de la Légalité D’attribution des Titres D’exploitation Artisanale du Bois D’œuvre au Gabon : Revue de Littérature." International Journal of Progressive Sciences and Technologies 16, no. 2 (September 13, 2019): 14. http://dx.doi.org/10.52155/ijpsat.v16.2.1014.

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Abstract:
RésuméLe marché domestique du bois d’œuvre, empreint d’informalité et de pratiques illégales dans les pays du Bassin du Congo en général et au Gabon en particulier, est très largement méconnu et peu documenté. C’est aussi le cas de la gouvernance relative à la gestion de ce secteur. Dans le contexte actuel de légalité préconisée dans les activités forestières, le Gabon s’est engagé à améliorer la pratique de la légalité dans ses activités forestières. Cette étude vise à analyser la législation et la réglementation en vigueur relatives à l’attribution des permis d’exploitation artisanale de bois d’œuvre au Gabon. L’approche de collecte des données est basée sur une revue de littérature suivie de l’analyse des Forces, Faiblesses, Opportunités et Menaces (FFOM) de la législation et de la réglementation en matière de gestion du secteur domestique du bois d’œuvre au Gabon. De cette analyse, il ressort que pour satisfaire les besoins des populations locales vis-à-vis des titres ou autorisations d’exploitation de type artisanal, le permis de gré à gré (PGG), la forêt communautaire (FC), l’autorisation spéciale de coupe (ASC) et l’autorisation de coupe de bois pour le sciage de long (ACBSL) ont été créés, et ceci en remplacement des coupes familiales (CF) et du permis spécial (PS). L’introduction des PGG, FC, ASC et ACBSL donnent ainsi naissance à la notion de gestion participative ou cogestion des ressources forestières, de satisfaction des droits d’usages coutumiers et de conduite des projets d’intérêts communautaires au bénéfice des populations locales. Bien que l’administration forestière demeure toujours l’institution clé dans la gestion et l’attribution des titres d’exploitation artisanale de bois d’œuvre, cependant elle tend à transférer ses pouvoirs aux autres organes de gestion. Par ailleurs, les seuls titres reconnus par le code forestier actuel (2001) au Gabon sont le PGG (bien que suspendu d’attribution depuis 2010), l’ASC, les FC et l’ACBSL. Pourtant, les CF et le PS n’ont été définitivement suspendus qu’en 2005 et 2010 respectivement alors que l’ASL continue à être délivrée, et ceci en dépit du fait que ce titre soit issu de la loi forestière n°1/82, déjà abrogée. De plus, une confusion existe dans la pratique conjuguée de l’ACBSL et l’ASL d’une part, et les concepts de PGG et de FC d’autre part. Une clarification de la pratique de ces titres est donc nécessaire, de même qu’une évaluation des impacts de la multiplicité de leurs attributions sur le terrain (secteur). Ainsi, l’atteinte de ces objectifs est indispensable si le Gabon doit officiellement continuer les négociations APV/FLEGT avec l’UE, en vue d’améliorer la gouvernance forestière et la pratique de la légalité dans ses activités forestières, particulièrement pour le marché domestique du bois d’œuvre.AbstractThe domestic lumber market, marked by informality and illegal practices in the Congo Basin countries in general and Gabon in particular, is largely unknown and poorly documented. This is also the case of governance related to the management of this sector. In the current context of legality advocated in forest activities, Gabon is committed to improving the practice of legality in its forestry activities. This study aims to analyze the legislation and regulations in force concerning the allocation of artisanal logging permits in Gabon. The data collection approach is based on a literature review followed by analysis of the Strengths, Weaknesses, Opportunities and Threats (SWOT) of legislation and regulations for the management of the domestic softwood lumber sector. Gabon. From this analysis, it appears that to satisfy the needs of the local populations vis-à-vis the titles or authorizations of exploitation of artisanal type, the license of mutual-agreement (PGG), the forest community (FC), the authorization Special Cutting (ASC) and Wood Cutting Permission for Long Sawing (ACBSL) were created, and this in lieu of Family Cutting (CF) and Special Permit (PS). The introduction of PGGs, FCs, ASCs and ACBSLs thus gives rise to the notion of participatory management or co-management of forest resources, satisfaction of customary use rights and the conduct of projects of community interest for the benefit of local populations.Although the forest administration is still the key institution in the management and allocation of artisanal logging titles, it tends to transfer its powers to other management bodies. In addition, the only titles recognized by the current Forest Code (2001) in Gabon are the PGG (although suspended since 2010), the CSA, the CF and the ACBSL. However, the CF and the PS were permanently suspended only in 2005 and 2010 respectively while the ASL continues to be issued, and this despite the fact that this title is derived from the forestry law n ° 1/82 , already repealed. Moreover, there is confusion in the combined practice of ACBSL and ASL on the one hand, and the concepts of PGG and FC on the other. A clarification of the practice of these titles is therefore necessary, as well as an evaluation of the impacts of the multiplicity of their attributions on the ground (sector). Thus, achieving these objectives is essential if Gabon is to formally continue the VPA / FLEGT negotiations with the EU, with a view to improving forest governance and the practice of legality in its forestry activities, particularly for the domestic market. timber.Key words: Forest governance, legality, title, artisanal timber harvesting
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Rosales, Andrés González, Carlos Israel Vázquez León, and Carlos Francisco Ortiz-Paniagua. "Gobernanza forestal en México desde la perspectiva del análisis estructural." Regions and Cohesion 13, no. 1 (March 1, 2023): 52–73. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2023.130104.

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Abstract:
Abstract Forest governance is a process influenced by a variety of conditions and factors. This article examines the features and conditions that promote forestry governance in Los Azufres, Mexico, subject to forest exploitation through community management units (ejidos and communities). The research question is: What are the characteristics and conditions that determine how forest governance is established and prevails? The study involved a survey and adaptation of the MICMAC structural analysis method. Therefore, 12 variables are determinants of forest governance, and three of these, participation, timber, and forest, were most prevalent. The findings serve as a reference for policies to promote forest governance. Resumen La gobernanza forestal es un proceso en el que influyen diversas condiciones y factores. Este artículo examina las características y condiciones que promueven la gobernanza forestal en la región Los Azufres, México, sujeta a explotación forestal a través de unidades de manejo comunitario (ejidos y comunidades). La pregunta de investigación es: ¿cuáles son las características y condiciones determinantes para que la gobernanza forestal sea establecida y prevalezca? El estudio incluyó una encuesta y adaptación del método de análisis estructural MICMAC. Identificamos 12 variables determinantes de la gobernanza forestal, y tres de ellas, participación, madera y bosque, fueron más prevalentes. Las conclusiones sirven de referencia para las políticas de promoción de la gobernanza forestal. Résumé La gouvernance forestière est un processus influencé par une variété de conditions et de facteurs. Cet article examine les spécificités et les conditions qui promeuvent la gouvernance forestière à Los Azufres au Mexique, objet d'une exploitation forestière à travers des unités de gestion communautaires (ejidos et communautés). La question de recherche posée est la suivante : Quelles sont les caractéristiques et conditions qui déterminent comment la gouvernance forestière est définie et prévaut ? L'étude inclut une enquête et l'adaptation de la méthode d'analyse structurelle MICMAC. Par conséquent, douze variables sont des déterminants de la gouvernance forestière et trois d'entre elles, la participation, le bois et la forêt étaient les plus répandues. Les résultats servent de référence pour les politiques de promotion de la gouvernance forestière.
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Rosier, Karine. "Exploitation et conservation des milieux forestiers du Chiapas (Mexique)." Cahiers d'Outre-Mer 55, no. 218 (July 1, 2002): 223–48. http://dx.doi.org/10.4000/com.1113.

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BRUNAUX (Olivier) and DEMENOIS (Julien). "Aménagement forestier et exploitation en forêt tropicale humide guyanaise." Revue Forestière Française, sp (2003): 260. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5777.

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Durrieu De Madron, Luc, Sébastien Bauwens, Adeline Giraud, Didier Hubert, and Alain Billand. "Estimation de l'impact de différents modes d'exploitation forestière sur les stocks de carbone en Afrique centrale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 75. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20476.

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Abstract:
L'impact, en termes d'émission de carbone, d'une exploitation forestière n'a fait l'objet que de rares et réels travaux de recherche en Afrique centrale. Pourtant, dans le cadre des mécanismes Redd (Réduction des émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts), cette problématique comporte des enjeux importants avec l'augmentation du nombre de concessions aménagées et l'importance grandissante des techniques d'exploitation à faible impact. Cette étude constitue un essai de méta-analyse incluant les diverses expériences issues de la littérature. Les données ainsi récoltées ont été appliquées à une exploitation hypothétique, afin de dresser un bilan théorique de l'impact sur le stock de carbone. Les résultats montrent qu'avec les hypothèses retenues l'aménagement d'une forêt permettrait une réduction du dixième des pertes en carbone, pour un prélèvement à l'hectare de 10 à 20 m3 de bois d'oeuvre ; et cela par rapport à une concession forestière conventionnelle sans gestion prévisionnelle. L'essentiel de l'économie en carbone proviendrait de l'augmentation des diamètres minimums d'exploitation. Par ailleurs, les gains que pourrait induire la pratique d'une exploitation à faible impact seraient ceux découlant de l'amélioration du tracé des pistes et des routes, à savoir 5 à 8 % des pertes en carbone dues à l'exploitation conventionnelle. Ces gains sont supérieurs à l'erreur constatée sur la mesure de biomasse par coupe rase, la plus proche de la réalité, faite en Guyane. Néanmoins, ces gains sont largement inférieurs aux erreurs calculées sur l'estimation de la biomasse pour plusieurs études disponibles dans la littérature. Quoi qu'il en soit, la mise sous aménagement d'une concession forestière et l'utilisation de techniques d'exploitation à faible impact sont à même d'entraîner une différence favorable du stock de carbone en forêt dense africaine. (Résumé d'auteur)
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Arsène, EWOSSAKA, KOUBOUANA Felix, AYESSA LECKOUNDZOU, and MAYIKA Ivan Arnold. "Processus Technologique de Fabrication Du Contre-Plaque." Forestry & Agriculture Review 2, no. 1 (February 4, 2021): 37–51. http://dx.doi.org/10.47285/far.v2i1.72.

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Abstract:
It should be remembered that in the Congo Basin, investments in new wood processing plants or in the extension of existing ones are still very limited. In addition, the 3 wood products exported from this region are mainly sawn timber, veneers, and plywood. It should be noted that despite some timid existing opportunities, some companies operating in the Congo Basin are struggling to invest in wood processing and therefore do not effectively contribute to the development of national and sub-regional economies. To better capitalize on these opportunities, it is important to create a business environment conducive to new investments in advanced wood processing. Ultimately, this study made it possible to assimilate the techniques and processes of obtaining veneers and plywood successfully through the technology of the machines developed, with the application of our theoretical knowledge in order to gain experience of professionally enhanced intellectual capacities. The plywood production is fixed at 6,651 m3; 8,452 m3 respectively in 2011 and 2012 showing a gradual increase in the order of 1,801 m3 due to strong demand from the local market. With regard to the annual volume of veneers obtained, the yield of veneers and plywood obtained were the following R1 ≈ 44% and R2 ≈ 30%. Exports of peeled veneers recorded a drop of 8.20% in volume, reaching 25,893.244 m3 in 2019 against 28,206.341 in 2018. However, peeled veneers each ranked 4th, in order reached 25,893.244 m3 or 2.60%. Okoumé, with 391,030,067 m3, or 39.31% of the total volume, was the main forest species among the various exported products, out of more than sixty exported concerned. Rappelons que dans le Bassin du Congo, les investissements dans les nouvelles usines de transformation du bois ou dans l’extension de celles existantes restent encore très limités. En outre, les 3 produits de bois exportés de cette région, sont majoritairement les bois sciés, les placages et les contreplaqués. Soulignons qu´en dépit de quelques timides opportunités existantes, certaines entreprises opérant dans le Bassin du Congo peinent à investir dans la transformation du bois et de ce fait, ne contribuent pas efficacement au développement des économies nationales et sous-régionales. Pour mieux capitaliser ces opportunités, il s´avère important de créer un environnement d´affaires propice aux nouveaux investissements dans la transformation poussée du bois. En effet depuis l’année 2000, le Congo s’était doté de la loi forestière, loi n° 16 - 2000 du 20 novembre 2000 portant code forestier qui consacre la gestion durable des forêts garantissant une exploitation soutenue des bois et une conservation des écosystèmes ; et jusqu’à la promulgation de la nouvelle loi forestière n°33 – 2020 du 8 juillet 2020 portant code forestier qui aborde de nouvelles questions climatiques et environnementales ; le développement et la diversification de la transformation constitue l’une des principales stratégies pour la mise en œuvre de cette politique, avec une utilisation rationnelle des bois, avec une valeur ajoutée plus importante du secteur forêt – bois et la création de plus d’emplois.
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Muntotombe Botonga, Ghislain, and Andy Mussa Kalambayi. "Etude analytique de l’exploitation forestière du bois d’œuvre dans le Territoire de Bikoro, (Province de l’Equateur, République démocratique du Congo)." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 02, no. 01 (February 15, 2023): 169–75. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i1.21.

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Abstract:
L’exploitation du bois est une activité économique, mais elle modifie le paysage naturel et perturbe la biodiversité. Le but de cette étude était d’identifier les essences d’arbres exploitées et d’examiner les perceptions des habitants de l’impact environnemental de cette exploitation. Des entretiens ont été menés dans huit villages du territoire de Bikoro. Les données ont été collectées de novembre 2020 à janvier 2021 en administrant des questionnaires aux habitants consentants. Au total 106 répondants ont participé à l’étude dont l’âge moyen était de 40 ans. 58% des répondants avaient un avis défavorable sur l’exploitation du bois car elle impliquée souvent la baisse et/ou la disparition des animaux et insectes alimentaires et la perturbation saisonnière. Mots clés: Bassin du Congo, exploitation forestière, bois d’œuvre, territoire de Bikoro, République démocratique du Congo
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Leblond, Jonathan. "Expérience touristique en milieu naturel public et exploitation forestière industrielle, inconciliables ?" Téoros: Revue de recherche en tourisme 25, no. 3 (2006): 46. http://dx.doi.org/10.7202/1071019ar.

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de Thoisy, Benoît, and Jean-Christophe Vié. "Faune et activités humaines : exploitation forestière et chasse en Guyane française." Journal d'agriculture traditionnelle et de botanique appliquée 40, no. 1 (1998): 103–20. http://dx.doi.org/10.3406/jatba.1998.3663.

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DECONCHAT (Marc), BALENT (Gérard), VIEBAN (S.), and LAUGA-REYREL (F.). "Relations entre biodiversité et exploitation forestière : bases pour une méthode d'analyse." Revue Forestière Française, no. 2 (1998): 159. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5526.

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Robert, Monga Ilunga Dikoshi, Muchiza Bachinyaga Israël, Mbinga Lokoto Boniface, Mbuyu wa Kakudji Justin, Kabange Masangu Néhémie1, and Numbi Mujike Désiré2. "Application de quelques normes d’exploitation forestière à faible impact environnemental : cas des villages Tondolo et Kakana dans le Sud-Est de la République Démocratique du Congo." Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 7, no. 1 (April 27, 2024): 28–36. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v7i1.4.

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Abstract:
Description du sujet. L’exploitation du bois d’oeuvre constitue une importante source de revenu pour les acteurs impliqués dans cette activité et leurs dépendants. Cependant, elle dégrade les forêts et cause divers impacts sur l’environnement naturel et humain.Objectif. L’étude vise à évaluer le niveau d’application de quelques normes à impact environnemental réduit dans l’exploitation forestière artisanale du bois d’oeuvre aux alentours de la ville de Lubumbashi.Méthodes. Un questionnaire d’enquête à questions fermées et ouvertes a été administré aux exploitants artisanaux de bois d’oeuvre à Lubumbashi. Un échantillonnage de 84 personnes repartis dans deux villages a fait objet de l’enquête.Résultats. L’exploitation artisanale du bois d’oeuvre est majoritairement pratiquée par les jeunes dont l’âge varie entre 20 et 29 ans (67,8 %) et essentiellement célibataires (62 %). Le marquage est la principale technique d’identification des essences à protéger (75 %).Conclusion. De manière générale, les exploitants forestiers artisanaux tendent à respecter les normes à impact environnemental réduit considérées dans cette étude. Description of the subject. Timber exploitation is an important source of income for those involved in this activity and their dependents. However, it degrades forests and causes various impacts on the natural and human environment.Objective. The study aims to assess the level of compliance with selected low impact forest management standards in the artisanal timber sector around the city of Lubumbashi.Methods. A survey questionnaire consisting of both closed and open-ended questions was given to artisanal timber operators in Lubumbashi. A sample of 84 people selected from two villages were interviewed and surveyed.Results. Artisanal wood harvesting is mainly carried out by young people aged between 20 and 29 (67.8 %), who are predominantly single (62 %). Marking is the main technique used to identify the species to be protected (75 %).Conclusion. In general, the environmental standards considered in this study are more likely to be met by small-scale forest operators.
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Kenguem, Kinjouo Ghislain, Victor François Nguetsop, and Solefack Marie Caroline Momo. "Utilisation ethnobotanique de Garcinia lucida, Scorodophloeus zenkeri et Alstonia boonei dans la localité de Ngovayang I (Sud Cameroun)." Cameroon Journal of Experimental Biology 14, no. 2 (October 4, 2021): 16–23. http://dx.doi.org/10.4314/cajeb.v14i2.4.

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Abstract:
Les forêts d’Afrique centrale contiennent plusieurs produits d’origine animale et végétale. Les produits d’origine végétale peuvent se distinguer en produits forestiers ligneux et non ligneux. Le présent travail de recherche porte sur l’importance et la gestion durable de quelques Produits Forestiers Non Ligneux (PFNL), notamment l’écorce de trois arbres (Garcinia lucida, Scorodophloeus zenkeri, Alstonia boonei) dans la localité de Ngovayang I. À l’aide d’un questionnaire semi-structuré, les caractéristiques du secteur des PFNL, les stratégies de gestion, ainsi que l’impact de la valorisation des PFNL ont été déterminés. Il ressort des enquêtes que les écorces de ces trois espèces sont connues et utilisées à des fins diverses telles que la consommation, l’automédication et la vente. L’initiation à l’utilisation de l’écorce de ces espèces est liée au sexe et est également fonction de l’âge des enquêtés. Leurs écorces sont approvisionnées sur le marché et vendues en majorité par les hommes. G. lucida et S. zenkeri sont utilisées à des fins nutritionnelles, médicinales et lucratives, tandis qu’Alstonia boonei est utilisée exclusivement à des fins médicinales. Pour des personnes plus jeunes, d’une tranche d’âge comprise entre 15 et 35 ans, l’exploitation de l’écorce de ces trois espèces n’a aucun impact néfaste sur la disponibilité des ressources forestières. S’agissant des personnes âgées de 35 à 65 ans, l’exploitation non contrôlée et l’écorçage anarchique de G. lucida et de S. zenkeri peuvent entrainer leur pénurie et même leur disparition dans cette région. Toutefois, la récolte échelonnée de l’écorce de G. lucida, S. zenkeri et A. boonei est utilisée comme stratégie de gestion de l’écorce de ces arbres dans cette localité. Central African forests are teemed with several goods of animal and plant origin. Goods of plant origin are forest products and non-timber forest products. This research work focused on the identification and importance of some non-timber forest products (NTFPs), especially the bark of tree species (Garcinia lucida, Scorodophloeus zenkeri and Alstonia boonei) in the locality of Ngovayang I. Using a semi-structured questionnaire, the characteristics of the NTFP sector, management strategies, and the impact of NTFP exploitation were determined in Ngovayang I. Surveys show that the bark of these three species is well known and used for various purposes such as consumption, self-medication and sale. The initiation of the use of the bark of these species is linked to sex and also depends on the age of the respondents. Their bark is supplied on the market and sold mostly by men. G. lucida and S. zenkeri are used for food, medicinal and profit-making purposes, while A. boonei is used exclusively for medicinal purposes. For younger people, aged between 15 and 35 years old, the exploitation of the bark of these three species has no negative impact on forest resources. For old people (35 to 65 years), the uncontrolled exploitation and uncontrolled debarking of G. lucida and S. zenkeri can lead to the shortage and even extinction of these two tree species in the region. However, the planned harvest of the bark of Garcinia lucida, Scorodophloeus zenkeri and Alstonia boonei is used as strategy of management of the bark of these trees in this locality.
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Menga, Pisco, Nicolas Bayol, Robert Nasi, and Adeline Fayolle. "Phénologie et diamètre de fructification du wengé, Millettia laurentii De Wild.: implications pour la gestion." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 312, no. 312 (June 1, 2012): 31. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.312.a20501.

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Abstract:
L'étude fait partie d'un effort de caractérisation de l'autoécologie du wengé, Millettia laurentii De Wild., une essence majeure de la filière bois en République démocratique du Congo (Rdc). Dans cet article sont présentés les éléments relatifs à la phénologie foliaire et reproductrice de l'espèce et les implications de ces résultats pour la gestion. La phénologie de 774 arbres, répartis dans trois concessions d'exploitation forestière de la Société de développement forestier (SODEFOR) dans la région de Mai- Ndombe (258 arbres par site) a été suivie mensuellement pendant 15 mois. Millettia laurentii présente une phénologie foliaire et reproductrice fortement saisonnière. La chute des feuilles et l'apparition des nouvelles feuilles se produisent deux fois par an, respectivement pendant les saisons sèches et au début des saisons pluvieuses. La phénologie reproductrice (floraison et fructification) présente également une forte saisonnalité, avec cependant des différences entre sites. La floraison se produit au début des saisons pluvieuses en même temps que l'apparition des feuilles. La maturité complète avec possibilité de récolte des semences (éclatement de gousses) a lieu durant l'intersaison (fin de la saison sèche et début de la saison pluvieuse). Le type de floraison est majoritairement annuel. Les individus fleurissent par groupe, mais chaque groupe ne fleurit qu'une fois par an. Toutefois, en dehors des pics s'observent des événements de floraison et de fructification occasionnels, en particulier dans le site le plus arrosé et le moins saisonnier. Millettia laurentii est une espèce à fructification précoce. Le diamètre minimal de fertilité est inférieur ou égal à 10 cm mais l'efficacité de la fructification dépend néanmoins du diamètre et du statut social des arbres. Le diamètre minimum d'exploitation (Dme) en vigueur en Rdc (60 cm) est supérieur au diamètre de fructification régulière (Dfr) qui se situe entre 40-50 cm, ce qui est nécessaire pour le maintien de semenciers dans les peuplements après le passage en exploitation.
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Diané Lucien, ADOU, Dr KOUAO N'kpomé Styvince Romaric, and TROTSKY Mel. "Migrations agricoles, dynamique de dégradation du couvert forestier et émergence de systèmes agro-forestiers à base de cacaoyer dans la Sous-préfecture de Bléniméouin (Ouest-ivoirien)." International Journal of Scientific Research and Management (IJSRM) 11, no. 09 (September 22, 2023): 411–25. http://dx.doi.org/10.18535/ijsrm/v11i09.ah03.

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Abstract:
Expansion of cultivation camps, dynamics of degradation of forest cover and emergence of cocoa-based agro-forestry systems in the Sub-prefecture of Bléniméouin (Western Côte d'Ivoire) The Sub-prefecture of Bléniméouin is part of the western forest region of Côte d'Ivoire, home to the new pioneer fronts of the country for the past two decades. Due to its natural potential (maintenance of a few scraps of primary forest, hot and humid climate, etc.) and its very dynamic plantation economy, this territory is experiencing strong land pressure which results in agricultural migrations and the expansion of cultivation camps. Alongside the dwindling of land reserves, new agroforestry practices have been emerging since the end of the 2010-2020 decade. Thus, the objective of this study is to analyze the agrarian and landscape changes induced by the expansion of cultivation camps in the said Sub-prefecture. To achieve this objective, a multi-date analysis based on the exploitation of Landsat images (TM 1980, ETM+ 2000 and Oli/Tirs 2021) coupled with S.I.G was adopted and supplemented by field observations. The results reveal significant regressive forest cover dynamics. From 1980 to 2021, the area of ​​primary forest has increased from 6499 ha or 29% of the space to 1360 ha or 6%. The area lost by the forest has been converted mainly into areas of perennial crops (60%), food crops (37%) and bare soils (3%). Faced with land saturation, rural people are developing new agro-forestry techniques combining cashew, cocoa and rubber orchards in order to create more ecological conditions beneficial to all kinds of crops (food crops and perennials).
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EL-HADJ ISSA, Azizou, Dossou Sèblodo Judes Charlemagne GBEMAVO, Achille HOUNKPEVI, Guy Apollinaire MENSAH, and Brice SINSIN. "Pressions anthropiques et dynamique des habitats naturels de la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W-Bénin." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 11, no. 2 (December 31, 2021): 1–14. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v11i2.48.

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Abstract:
Les pressions anthropiques ont accéléré la dégradation des aires protégées surtout dans les pays en voie de développement où les populations dépendent fortement des ressources forestières. La présente étude vise à évaluer l’impact de la gouvernance induite par les différents projets / programmes connus par la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W du Bénin (RTBW/B) entre 2000 et 2017 sur son intégrité écologique. De façon spécifique, elle vise à (i) analyser la variation spatio-temporelle des unités d’occupation des terres dans la RTBW/B entre 1990 et 2020 ; et (ii) évaluer la dynamique des indicateurs de pression (défrichement, braconnage, transhumance, pêche illégale, exploitation forestière illégale) sur la réserve de 1990 à 2020. Pour cela, une classification supervisée a été faite sur des images Landsat 4 pour l’année 1990, Landsat 7 pour 2000 et Landsat 8 pour 2020. De plus, une analyse de la tendance des indicateurs de pression a été faite. Les résultats ont montré que le paysage de la RTBW/B s’est fortement dégradé entre 1990 et 2000 avec des taux annuels de changement, certes, relativement bas (entre -0,002 et 0,336 %) mais traduisant une dynamique homogène du paysage. Par contre, entre 2000 et 2020, une nette amélioration du couvert végétal est observée et ceci se traduit notamment par le fait que les mosaïques de champs et jachères ont fortement régressé (ΔS<0 et Tc = -0,822%). De plus, une tendance régressive est globalement notée pour les indicateurs de pression sur la période. Tout ceci pourrait traduire un impact positif des actions des différents projets/programmes mis en œuvre entre 2000 et 2017. Toutefois, il est important de disposer de données sur de longues périodes sur les aires protégées bénéficiaires afin de mieux appréhender les impacts des multiples projets et programmes sur leur intégrité écologique des aires protégées.
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Oury, Benjamin. "Exploitation du fer et gestion des ressources forestières en Dauphiné médiéval." Histoire & Sociétés Rurales 53, no. 2 (2020): 71. http://dx.doi.org/10.3917/hsr.054.0071.

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Arnoux, Mathieu. "Perception et exploitation d'un espace forestier : la forêt de Breteuil (XIe-XVe siècles)." Médiévales 9, no. 18 (1990): 17–32. http://dx.doi.org/10.3406/medi.1990.1165.

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Bourel, Etienne. "Ott-Duclaux-Monteil Cécile, 2013, Exploitation forestière et droits des populations en Afrique centrale." Journal des Africanistes, no. 84-1 (February 1, 2014): 301–3. http://dx.doi.org/10.4000/africanistes.3381.

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Daugeard, Marion, and Paulo Roberto Cunha. "Entre exploitation et protection : la question forestière au cœur d’une ambivalence historique au Brésil." Caravelle, no. 119 (January 1, 2023): 51–70. http://dx.doi.org/10.4000/caravelle.13092.

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Mack, J. Alexander K. "Une analyse non paramétrique de l'efficience technique des exploitations forestières suisses." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 166, no. 2 (February 1, 2015): 97–103. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2015.0097.

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Abstract:
A nonparametric analysis of the technical efficiency of Swiss forestry firms The chronic deficits of Swiss public forestry firms can be attributed in part to problems of efficiency. By using a nonparametric method of efficiency measurement, called data envelopment analysis (DEA), and on the basis of the data of the network of experimental forestry firms (TBN), this study attempts to shed light on these problems and propose an approach to detect them. In an effort to improve the performance and to increase the competitiveness, and while taking into account the multifunctionality of forests, this benchmarking exercise allows to compare the characteristics of the technical efficient firms with those of the non efficient firms. Overall, there is a great potential to increase the technical efficiency of firms by reducing the amount of labor and capital inputs used as well as administration costs. Wood production is generally less efficient in protective forests because of the difficult harvesting conditions. Moreover, less efficient firms generally have a higher tendency to outsource and obtain more State contributions when compared to efficient ones. Finally, efficient firms seem to be generally less diversified.
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Sist, Plinio, Lilian Blanc, Lucas Mazzei, Christopher Baraloto, and Raphaël Aussenac. "Nouvelles connaissances sur la dynamique globale de la biomasse après exploitation en forêt nord amazonienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 314, no. 314 (December 1, 2012): 41. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.314.a20489.

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Abstract:
L'article présente les effets de l'exploitation forestière sur la dynamique de la biomasse aérienne à partir des résultats issus de l'exploitation commerciale au sein de deux forêts : Cikel dans l'Est du Pará au Brésil et Paracou en Guyane française. L'objectif principal a été de comparer l'impact de ce type d'exploitation sur la régénération de la biomasse aérienne dans ces deux forêts dont les caractéristiques sont différentes en termes de structure et de croissance. Dans les deux sites, l'intensité de l'exploitation s'avère être un facteur essentiel déterminant de la perte de biomasse et le temps nécessaire à sa régénération. À Paracou, la régénération de la biomasse aérienne perdue lors des coupes d'abattage de 10 arbres par hectare prendra 45 ans et plus de 100 ans en cas d'exploitation à plus forte intensité (21 arbres par hectare). À la Cikel, la biomasse aérienne se régénérera au bout de 49 ans après exploitation à raison de 6 arbres par hectare et au bout de 87 ans après prélèvement de 8 arbres par hectare. Cette régénération prendra donc autant de temps sur les deux sites, mais avec un moindre nombre d'arbres exploités à la Cikel, les arbres abattus étant de plus grande taille avec une biomasse aérienne individuelle plus importante qu'à Paracou. Après le passage en coupe, l'étude a établi une corrélation directe de la dynamique de la biomasse aérienne avec la structure initiale de la forêt ainsi qu'avec les paramètres de la dynamique forestière : mortalité, croissance et recrutement. L'accumulation de biomasse aérienne par la croissance globale des peuplements après coupe s'avère être un paramètre clé pour le stockage net du carbone, toutefois la contribution du recrutement ne devient significative à Paracou qu'au bout de 10 ans après exploitation. Il s'agit donc de favoriser la croissance des arbres résiduels après la coupe, grâce aux traitements sylvicoles tels que l'éclaircie sélective ou l'élimination de lianes. Alors que les deux forêts sont géographiquement assez proches, leurs capacités de régénération ne sont pas identiques et, en raison de la différence significative de taille des arbres, la forêt guyanaise pourrait tolérer une plus forte intensité d'exploitation.
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Issifou, Issa. "Formes d’exploitation et stratégies de conservation des pieds de Khaya spp. sur la chaîne de l’Atacora au Togo." Revue Ecosystèmes et Paysages 3, no. 2 (December 30, 2023): 1–18. http://dx.doi.org/10.59384/recopays.tg3207.

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Abstract:
Les espèces de Khaya font l’objet de surexploitation entrainant la menace de leur disparition. Cette étude sur les formes d’exploitation et stratégies de conservation des pieds de Khaya a été réalisée sur la chaîne de l’Atacora au Togo. Elle a pour objectif général de contribuer à la gestion durable des Khaya spp. au Togo. Elle vise spécifiquement à : i) présenter l’état des pieds de Khaya spp. ; (ii) évaluer l’ampleur des me-naces anthropiques sur les pieds de Khaya et (iii) localiser les semenciers de Khaya spp. La collecte des données forestières s’est basée sur un échantillonnage orienté par la présence des Khaya spp. sur des placettes de 2500 m² dans les champs et jachères, de 900 m² dans les savanes, de 400 m² dans les forêts claires et agroforêts et de 500 m² dans les formations ripicoles. Les paramètres dendrométriques sont relevés pour les tiges d’arbres. Le nombre des pieds de Khaya coupés et des semenciers ont été compté et le code sanitaire des arbres de Khaya relevé. Les résultats montrent que les pieds de Khaya ont une densité de 29,67 pieds/ha avec une surface terrière de 13,36 m2/ha dans la zone écologique II contre une densité de 27,91 pieds/ha et une surface terrière de 5,96 m2/ha dans la zone IV. Les formes d’exploitation sur les pieds de Khaya sont les coupes de bois, les écorçages, les élagages, les prélèvements de racines et la récolte des fruits. Les écorçages (90,90 %) et les coupes de bois (68,83 %) sont plus fréquents que les autres formes d’exploitation. Des possibilités de restaurations des Khaya exis-tent dans la zone d’étude avec la présence des semenciers de Khaya senegalensis dans la zone II et de Khaya grandifoliola dans la zone IV. Il urge d’adopter des mesures de gestion durable de Khaya spp. en vue de limiter la dégradation de leurs peuplements naturels.
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Asenjo González, María. "Las tierras de baldío en el concejo de Soria, a fines de la Edad Media." Anuario de Estudios Medievales 20, no. 1 (April 2, 2020): 389. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1990.v20.1156.

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Abstract:
L'utilisation du sol de Soria, adapté à l'altitude, au climat froid et à la pauvreté du terrain, se fit avec une grande mobilité sur la superficie de cer terres depuis leur utilisation, au XIIIeme siècle. Ces terres en friche représentaient la plus grande partie du territorire, où l'on pratiquait l'élevage ainsi que l’agriculture de «monte hueco». L'occupation permanente des terres, utilisées en pâturages, délimitèrent lentement la mosaïque des propriétés individuelles et collectives. Dès le milieu du XVeme siècle, la dynamique d'expansion économique que connut la Couronne de Castille affecta ces terres pour les convertir en exploitations d'élevage et de production forestière. La dénonciation d'usurpation de terres, entre autres de la part de l'oligarchie urbaine de Soria, rend manifeste l'attribution de ces terrains à l'élevage. Vers la fin du XVeme siècle, des conflits se déclarèrent entre la Mesta pour l'utilisation de ces jachères comme pâturages, l’oligarchie urbaine désirant délimiter ces propres pâturages et les municipies de certaines villes et villages cherchant à préserver l’exploitation forestière. Les habitants des lieux, de petits ou «moyens» agriculteurs et éleveurs, furent les plus lésés en perdant leur mobilité et en devant faire face à la concurrence des élevages «mesteño» dans l'utilisation de ces jachères.
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Watha-Ndoudy, Noël, Claude Mélaine Dipakama, Jean de Dieu Nzila, Isidore Nguelet-Moukaha, and Victor Kimpouni. "Impact de l’Orpaillage sur les Ecosystemes Forestiers du Secreur de Souanke, Republique du Congo." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 36 (November 30, 2022): 169. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n36p169.

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Abstract:
Ce travail a pour objet de contribuer à la connaissance de l’orpaillage et de ses impacts dans les écosystèmes forestiers du secteur de Souanké au Nord-Ouest de la République du Congo. La méthodologie est basée sur l’inventaire des types et des caractéristiques des exploitations, et sur une évaluation des impacts environnementaux observés à l’aide de la grille de Fecteau et des analyses au spectrophotomètre. La télédétection a servi à l’évaluation de la dégradation forestière. Occupant 18 sites sur les 20 identifiés, l’exploitation artisanale reste dominante (soit 90%) par rapport à celle semi-industrielle. L’exploitation artisanale est pratiquée par des Congolais et certains étrangers (Camerounais, Tchadiens, Congolais de la RDC et des ressortissants des pays Ouest africains,) organisés en équipes légères tandis que l’exploitation semi-industrielle est pratiquée par des sociétés chinoises. Les impacts négatifs relevés sur l’environnement du secteur sont : dégradation du couvert végétal, perturbation du milieu faunique, excavations, stagnation des eaux et asphyxie des plantes, éboulements, modification du paysage, amoncellements de graviers et morts-terrains, augmentation de la turbidité des eaux, perturbation du régime d’écoulement des eaux, risques d’accident. Les impacts identifiés pour l’orpaillage semi-industriel et artisanal sont respectivement : majeurs (50 % vs 31%) ; moyens (29% vs 15%) ; mineurs (21% vs 54%). La turbidité est supérieure à 500 UTN du point de lavage jusqu’à 1000 m en aval dans les sites mécanisés alors qu’elle décroit rapidement en aval des sites traditionnels. La superficie forestière dégradée par les activités d’orpaillage est évaluée à 934 ha sur 13.912 ha, soit un taux de 6.7%. The aim of this work is to contribute to the knowledge of gold artisanal mining and its impacts in the forest ecosystems of Souanké sector in the northwest of the Republic of Congo. The methodology is based on an inventory of the types and characteristics of mining operations, and on an assessment of the environmental impacts observed using the Fecteau grid and spectrophotometer analyses. Remote sensing was used to assess forest degradation. Of the 20 sites identified, 18 are dominated by artisanal mining (90%) compared to semi-industrial mining. Artisanal mining is carried out by Congolese and some foreigners (Cameroonians, Chadians, West Africans, and Congolese from the DRC) and organized in small teams, whereas semi-industrial mining is carried out by Chinese companies. The negative impacts noted on the environment of the sector are degradation of the vegetation cover, environmental disturbance, excavations, stagnation of water and asphyxiation of plants, landslides, modification of the landscape, heaps of gravel and dead land abandoned, increase in water turbidity, disturbance of the flow regime of watercourses, risks of accidents. The impacts identified for semi-industrial and artisanal gold mining are respectively: major (50% vs. 31%), medium (29% vs. 15%), and minor (21% vs. 54%). Turbidity is above 500 NTU from the washing point to 1000m downstream in mechanized sites, whereas it decreases rapidly downstream in artisanal sites. The forest area degraded by gold mining activities is estimated at 934 ha out of 13,912 ha, corresponding to a rate of 6.7%.
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PARDÉ, J. "De 1900 à 1940 : locomotives et exploitations forestières au pays des arbres géants." Revue Forestière Française, no. 5 (1992): 463. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26347.

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CUNY, Pascal, Françoise PLANCHERON, Abraham BIO, Elvis KOUAKOU, and François MORNEAU. "La forêt et la faune de Côte d’Ivoire dans une situation alarmante – Synthèse des résultats de l’Inventaire forestier et faunique national." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 355 (March 1, 2023): 47–72. http://dx.doi.org/10.19182/bft2023.355.a36939.

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Abstract:
La Côte d’Ivoire a engagé début 2019 un inventaire national de ses forêts et de sa faune, accompagné par des enquêtes socio-économiques auprès des agriculteurs. Cet inventaire, déployé sur l’ensemble du territoire, fournit une grande quantité d’informations. Il montre que l’état des forêts et de la faune est fortement dégradé et que les cultures industrielles (cacaoyer, hévéa, palmier à huile dans le sud, anacardier et coton dans le centre et le nord) sont devenues dominantes. La superficie de la forêt en Côte d’Ivoire est estimée en 2020 à 2,97 millions d’hectares, soit 9,2 % de la surface totale du territoire, dont 2,88 millions d’hectares de forêt (dite) naturelle et un peu plus de 92 000 ha de reboisement. Le taux de déforestation moyen annuel depuis 1986 est de 2,8 % (superficie de la forêt en 1986 de 7,85 millions d’hectares). La superficie de la forêt dans les forêts étatiques, dites forêts classées, n’est plus que de 13,3 % alors que la création des forêts classées dans les années 1970 avait pour objectif la préservation et la gestion durable des forêts. La raréfaction, voire la disparition, des essences commerciales ne permet plus de mettre en œuvre une exploitation forestière respectant les critères de gestion durable. Les aires protégées (parcs nationaux, réserves) ne contiennent plus que 32,2 % de forêt. En outre, des transects d’observation de la faune déployés sur tout le territoire ont permis de montrer que la faune commune (aulacode, guib harnaché, lièvre, etc.) est encore bien présente. En revanche, les grands mammifères (antilopes, éléphants, singes) sont cantonnés dans quelques aires protégées et forêts classées avec des tailles de population souvent critiques. Enfin, l’analyse socio-économique montre que les forêts classées sont occupées par une population humaine composée à 50 % d’allogènes, à 28 % d’autochtones et à 22 % d’allochtones : le cacao occupe la plus grande partie des cultures installées majoritairement par les allogènes. Dans le domaine rural, ce sont surtout les autochtones (76 %) qui s’investissent dans l’agriculture (principalement l’anacarde), suivis des allogènes (13 %) et des allochtones (11 %). L’état des écosystèmes forestiers et de leur faune est alarmant, mais des mesures fortes prises rapidement pourraient permettre d’améliorer cette situation au moins dans les secteurs les mieux préservés. La poursuite de campagnes d’inventaire régulières sera un outil essentiel pour mesurer l’impact de ces décisions.
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Laguet, Sébastien, and Max Bruciamacchie. "L’iloscope de La Motte-Servolex : analyse et comparaisons de 48 scénarios de mise en place d’îlots de sénescence en futaie irrégulière de montagne." Revue forestière française 72, no. 4 (August 31, 2020): 319–37. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2020.5334.

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Abstract:
À l’occasion du colloque « Naturalité, vers une autre culture des Eaux et des Forêts », organisé par le WWF, l’Irstea (désormais INRAE), le REFORA et l’ONF du 17 au 20 septembre 2013, un nouvel outil a été créé afin d’aider les gestionnaires à optimiser la création ou l’extension d’un réseau de peuplements matures. Cet outil, l’iloscope, a avant tout une fonction pédagogique. Depuis sa création en 2013, 48 équipes se sont succédé sur l’iloscope de la forêt communale de La Motte-Servolex pour faire des propositions d’implantation de réseaux d’îlots de sénescence. Ces exercices ont eu lieu pour certains dans le cadre de leur formation continue (forestiers en activité), pour des élèves ingénieurs dans le cadre de leur formation initiale, pour d’autres à l’occasion de manifestations mélangeant des publics pas forcément forestiers. Encadrées par les volontés écrites du propriétaire de la forêt, les équipes ont majoritairement choisi de prendre en compte la maturité des peuplements, l’ancienneté des dernières exploitations et la localisation des autres éléments de la trame écologique intraforestière existante aux alentours pour compléter le réseau. Organisé sous forme d’une journée de formation avec des participants répartis par équipes, l’iloscope fait ressortir les effets ou conséquences économiques, écologiques et sociales de chaque proposition. Il permet de les comparer, d’en débattre et finalement d’enrichir la réflexion de chaque participant.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Rakotondrabe, Manohisoa, Sigrid Aubert, Jules Razafiarijaona, Sylvain Ramananarivo, Romaine Ramananarivo, and Martine Antona. "Les paiements pour services environnementaux : un moyen de contenir les cultures sur brûlis forestier à Madagascar ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31236.

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La déforestation massive dans la partie Nord-Est de Madagascar, notamment à Andapa, grenier à riz de la région SAVA (région regroupant quatre districts dans la partie Nord-Est de Madagascar qui sont : Sambava, Andapa, Vohémar et Antalaha), entraîne l’érosion des bassins versants et l’ensablement de la plaine rizicole. En amont du bassin versant de Sahamazava, la culture sur brûlis forestier participe à une stratégie de survie des ménages agri- coles les plus démunis. Ces pratiques per- turbent également l’approvisionnement en eau potable de la commune urbaine d’Andapa. Un système de Paiements pour Services Environnementaux (PSE) a été envisagé en vue de réorienter le compor- tement des agriculteurs défricheurs. Le mécanisme promeut l’abandon de l’agri- culture itinérante sur brûlis forestier (tavy) au profit de la pratique de cultures pérennes en amont du bassin versant. Des questions se posent quant aux condi- tions de mise en place et de pérennisation de ce dispositif. La présente étude se pro- pose de mettre en exergue l’importance de l’appréciation des besoins locaux dans le contexte de la mise en place d’un PSE dans un pays en développement. À partir de trois scénarios différents, elle retrace l’évolution des exploitations agricoles avant et après l’établissement de l’inter- diction de défricher la forêt sur le bassin versant de Sahamazava, alors que les compensations liées à la réduction des droits d’accès ne sont pas encore effec- tives. Des pistes d'actions précisant l'af- fectation des compensations attendues sont finalement proposées.
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Oyebamiji, N. A., O. O. Ojekunle, O. O. Opanike, and J. A. Yisau. "Effects of pre-sowing techniques on selected seeds of savanna agroforestry tree species." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 19, no. 1 (May 16, 2023): 31–41. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v19i1.3.

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Abstract:
The ability of a forest ecosystem to regenerate is crucial for its sustainable exploitation and conservation. Hence, seed is a fundamental material for regeneration. Germination requirements of seeds were investigated at the Forest Nursery Unit of Federal University Dutsin-Ma to assess the effects of presowing techniques on selected seeds of savanna agroforestry tree species. A 5 x 5 factorial in randomized complete block design was used for this experiment in four replicates. The factors were agroforestry tree seeds (AFTS); Acacia nilotica (AN); Parkia biglobosa (PB); Diospyros mespiliformis (DMk); Detarium microcapum (DMt); Adansonia digitata (AD) and pre-sowing treatments; Seeds soaked in 60 % diluted Tetraoxosulphate (VI) acid (H2SO ) (A); mechanical scarification (Ms); hot water at 600 C (HW); seeds soaked in water for 24 hours (W); control (C). AD seeds had significantly higher values (13.84, 4.64, and 10.50) on the wet weight of shoot (WWS), dry weight shoot (DWS), and wet weight of root (WWR) at 10 weeks after sowing (WAS), respectively. A. digitata seeds experienced consistent significantly higher values (13.81. 13.84, 13.89, 13.89 and 13.81, and 4.62, 4.72, 4.60, 4.57 and 4.71) on WWS and DWS at 10 WAS respectively. Mechanically scarified seeds had significantly higher value (2.11) on DWS at 10 WAS. Therefore, mechanical scarification significantly affects the agroforestry tree species of A. digitata among others. Based on this, we recommend mechanical scarification as an effective pre-sowing technique to break seed dormancy and increase seedling biomass. La capacité d’un écosystème forestier à se régénérer est cruciale pour son exploitation et sa conservation durables. Par conséquent, la semence est un matériau fondamental pour la régénération. Les exigences de germination des graines ont été étudiées à l’unité de pépinière forestière de l’Université fédérale Dutsin-Ma pour évaluer les effets des techniques de pré-semis sur des graines sélectionnées d’espèces d’arbres agroforestiers de savane. Un factoriel de 5 x 5 dans une conception en blocs complets randomisés a été utilisé pour cette expérience en quatre répétitions. Les facteurs étaient les semences d’arbres agroforestiers (AFTS); Acacia nilotica (AN); Parkia biglobosa (PB); Diospyros mespiliformis (DMk); Detarium microcapum (DMt); Adansonia digitata (AD) et traitements de pré-semis; Graines trempées dans de l’acide tétraoxosulfate (VI) dilué à 60 % (H2SO4) (A); scarification mécanique (Ms) ; eau chaude à 600 C (EC); graines trempées dans l’eau pendant 24 heures (W); contrôle (C). Les graines AD avaient des valeurs significativement plus élevées (13,84, 4,64 et 10,50) sur le poids humide de la pousse (WWS), le poids sec de la pousse (DWS) et le poids humide de la racine (WWR) à 10 semaines après le semis (WAS), respectivement. Les graines d’A. digitata ont présenté des valeurs significativement plus élevées (13,81, 13,84, 13,89, 13,89 et 13,81, et 4,62, 4,72, 4,60, 4,57 et 4,71) sur WWS et DWS à 10 WAS respectivement. Les graines scarifiées mécaniquement avaient une valeur significativement plus élevée (2,11) sur DWS à 10 WAS. Par conséquent, la scarification mécanique affecte de manière significative les espèces d’arbres agroforestiers d’A. digitata entre autres. Sur cette base, nous recommandons la scarification mécanique comme technique de présemis efficace pour briser la dormance des graines et augmenter la biomasse des semis.
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Jean-Denis, Sardou, Daniel Jean-Pierre, Madeleine Mutel, Hervé Duchaufour, Christian Langlais, Paula Fernandes, Marie-Eunide Alphonse, and Éric Malézieux. "Évolution de la structure d’un système agroforestier en relation avec le cycle de vie familial : cas du jardin de case en Haïti." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (July 17, 2014): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31213.

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Abstract:
Le jardin créole, communément appelé jardin lakou en Haïti, est un système agro- forestier multistrates et à usages multi- ples. Ce système de culture ancien conti- nue à occuper une place prépondérante dans le paysage agraire et dans l’équili- bre des petites exploitations agricoles des zones de montagne, notamment dans le contexte de crise écologique, éco- nomique et sociale que traverse le pays. Cet article cherche à déterminer les fac- teurs qui orientent la structure de la végé- tation du jardin lakou et son rôle dans les exploitations agricoles. L’étude a été menée sur deux petites régions agri- coles : Salagnac et Lavallée de Jacmel. L’analyse a confirmé la grande richesse spécifique des jardins lakou avec un total de 69 espèces potentiellement utilisables et le rôle central du jardin dans les fonc- tions essentielles d’autosuffisance ali- mentaire et d’auto-approvisionnement en produits non alimentaires des exploita- tions agricoles haïtiennes de montagne. Ce travail met en évidence l’influence du mode de tenure foncière et du mode de transmission sur la trajectoire d’évolution et la pérennisation du jardin lakou. Il a ainsi été montré que les différentes struc- tures écologiques (composition, organi- sation) observables dans les jardins sont liées aux stades de développement de l’exploitation agricole (implantation, croissance, héritage, etc.).
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