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Semara, Lounis, Toufik Madani, Charefeddine Mouffok, and Farida Belkasmi. "Réaction des éleveurs bovins des régions semi-arides algériennes face aux contraintes économiques et climatiques." Cahiers Agricultures 27, no. 6 (November 2018): 65001. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018037.

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Abstract:
Les évolutions socioéconomiques récentes de l’Algérie et l’accentuation de l’aridité du climat local induisent des transformations dans les pratiques et les stratégies des exploitations agricoles. Cette étude analyse la réaction des petites exploitations familiales d’élevage bovin des régions semi-arides de Sétif face aux contraintes économiques et aux incertitudes du milieu. L’approche retenue est l’identification des trajectoires d’évolution des exploitations agricoles d’élevage bovin sur une période de cinq ans, entre 2012 et 2017. L’analyse montre que les exploitations suivies ont développé six types de trajectoires d’adaptation pour maintenir leur production et répondre aux pressions externes et internes aux exploitations. Généralement, on observe une réduction des effectifs du cheptel bovin et des surfaces consacrées aux fourrages, ainsi qu’une chute de la proportion d’exploitations spécialisées en élevage bovin et en production laitière. Cette étude montre l’importance d’intégrer la dynamique des exploitations d’élevage dans les programmes régionaux de développement agricole.
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Bourgoin, Jérémy, Djibril Diop, Djiby Dia, Moussa Sall, Romaric Zagré, Quentin Grislain, and Ward Anseeuw. "Regard sur le modèle agricole sénégalais : pratiques foncières et particularités territoriales des moyennes et grandes exploitations agricoles." Cahiers Agricultures 29 (2020): 18. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020018.

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Abstract:
L’enjeu alimentaire lié à l’augmentation démographique est au cœur des agendas internationaux de développement durable et nourrit les débats sur les transitions à entreprendre ou soutenir. Souvent défini en opposition à un modèle agro-industriel intensif et capitaliste, le modèle des agricultures familiales, ensemble de types d’exploitations et d’exploitants aux profils variés, reste difficile à considérer dans sa diversité du fait de sa constante évolution. Certains phénomènes restent peu étudiés, notamment la dynamique d’accumulation foncière d’exploitations agricoles identifiée dans certains pays d’Afrique subsaharienne. Notre contribution, basée sur des enquêtes menées au Sénégal, vise à caractériser les profils et les modalités d’accès au foncier de 1399 exploitations agricoles, concentrant le plus de terres. À l’échelle de différentes zones agro-écologiques, nous mettons en évidence que les chefs d’exploitations agricoles possédant plus de 3 hectares sont majoritairement issus de la localité d’origine, cultivent des terres familiales et investissent dans l’agriculture des revenus issus de cette même activité. Globalement, ces exploitations agricoles ne semblent pas inféodées à une dynamique de gentrification, caractérisée par les investissements d’élites urbaines et rurales, souvent non issues du monde agricole, et faisant l’acquisition de terres grâce à des revenus non agricoles. Concernant les dynamiques foncières, les enquêtes montrent que la majorité des terres reste sous occupation coutumière bien que les territoires ruraux soient en constante évolution. Dans un contexte où les pouvoirs publics insistent sur les besoins d’intensification agricole, à travers la promotion de l’entreprenariat privé et du secteur agro-industriel, il est crucial d’avoir une bonne compréhension de la diversité des formes d’exploitations agricoles. Cela est d’autant plus nécessaire qu’une réforme foncière est en cours et qu’elle contribuera à redéfinir les contours du modèle agricole, entre volontés productivistes et exigences de durabilité et d’équité.
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Pham Duy Khanh, Khanh, Guillaume Duteurtre, Sylvie Cournut, Samir Messad, Benoît Dedieu, and Nathalie Hostiou. "Caractérisation de la diversité et de la durabilité des exploitations laitières familiales au Vietnam : étude de cas en zone périurbaine de Hanoï." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 4 (June 27, 2017): 131. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31198.

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Abstract:
Au Vietnam, les politiques publiques tendent à soutenir le développement des exploitations laitières de grande taille familiales (> 30 vaches) ou industrielles (> 500 vaches). Cependant, malgré un essor récent de ces grandes fermes, les exploitations familiales de très petite taille continuent à jouer un rôle impor­tant dans la production nationale de lait. Pour contribuer à la réflexion sur les modèles de fermes à promouvoir, notre étude propose de caractériser la diver­sité des exploitations laitières présentes dans le district de Ba Vi en zone périur­baine de Hanoi et d’évaluer leur durabilité. Au total 160 exploitations laitières ont été sélectionnées pour représenter la diversité des fermes présentes dans la zone. Des informations ont été recueillies lors d’entretiens directifs avec les éleveurs sur les divers types de capitaux disponibles sur l’exploitation, sur les pratiques d’élevage et de commercialisation du lait, et sur leurs performances économiques, environnementales et sociales. Une analyse factorielle multiple, suivie d’une classification ascendante hiérarchique ont permis de réaliser une typologie des exploitations. En plus d’une ferme industrielle présente dans le district, cinq types d’exploitations laitières familiales ont été identifiés, qui se différenciaient surtout par le nombre et le type d’activités agricoles et non-agri­coles, la taille du troupeau laitier, et l’intensification de la production laitière. Les indicateurs de performances des exploitations spécialisées ont révélé une rentabilité économique plus élevée que dans les exploitations plus diversifiées. Cependant, les exploitations mixtes avaient également des atouts sur les plans économique (souplesse d’adaptation), environnemental (autonomie fourragère) et social (emploi, charge de travail), qui étaient liés à la diversité de leurs acti­vités agricoles et non-agricoles. Si les politiques publiques tendent à soutenir le développement des fermes spécialisées et des grandes fermes, les programmes d’appui doivent également concerner les petites exploitations associant activi­tés agricoles et non-agricoles, car elles ont aussi un rôle majeur à jouer dans le développement durable de la production laitière nationale.
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Richer, Francine, and Louise St-Cyr. "La transmission des exploitations agricoles familiales : le cas des filles d’agricultrices et d’agriculteurs." Articles 8, no. 2 (April 12, 2005): 91–105. http://dx.doi.org/10.7202/057847ar.

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Abstract:
Les femmes assumant la relève au sein d'entreprises agricoles familiales représentent un phénomène social et économique en émergence. Les recherches des années 1980 ont rendu visible le travail des femmes en agriculture : collaboratrices ou partenaires, elles n'avaient pas toujours ni la reconnaissance ni le statut qu'elles souhaitaient. Le plus souvent établies sur la ferme de leur conjoint, les femmes détiennent aujourd'hui des parts qui consacrent parfois leur statut de partenaire égalitaire dans la vie comme dans le métier. Cet article montre que si les filles s'établissent sur l'entreprise agricole de leurs parents, leur cheminement est particulier; la tradition patrilinéaire est encore bien vigoureuse au Québec. Les auteures tracent le portrait de 15 de ces pionnières. Au-delà des données socio-économiques relatives aux individus, à l'entreprise et à la famille, il est démontré comment le processus de succession a ignoré les filles ou les a marginalisées en dépit de leur intérêt professionnel manifeste pour l'agriculture et leur attachement profond à la ferme familiale.
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Chia, Eduardo, Patrick Dugué, and Souadou Sakho-Jimbira. "Les exploitations agricoles familiales sont-elles des institutions ?" Cahiers Agricultures 15, no. 6 (November 2006): 498–505. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2006.0027.

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Rasambatra, Elias Romélio, Patrice Autfray, Eric Vall, Eliel González-Garciá, Jean-Michel Mortillaro, Jean de Neupomuscène Rakotozandriny, and Paulo Salgado. "Intégration agriculture-élevage dans un contexte d’accès limité aux intrants de synthèse en milieu tropical de moyenne altitude." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 2 (June 29, 2020): 49–59. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31876.

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Abstract:
Dans le Moyen-Ouest de la région de Vakinankaratra à Madagascar, les exploitations agricoles ont des besoins croissants en fertilisants et en fourrages, et dans le même temps de sérieuses difficultés économiques d’accès aux engrais minéraux et aux aliments de bétail. Cette étude a montré comment l’intégration agriculture-élevage (IAE) a permis de pallier en partie la difficulté d’accès aux intrants agricoles industriels et de contribuer à l’intensification agricole. Des enquêtes auprès de 20 exploitations agricoles ont été menées. A l’aide d’analyses en composantes principales et d’une classification sur la base de treize variables, trois structurelles (superficie cultivée, nombre de bovins, nombre de mains-d’oeuvre familiales) et dix fonctionnelles (production de fumure organique, achat de fumure organique, achat de fertilisants minéraux, épandage de fumure organique, rendement en riz pluvial, rendement en maïs, disponibilité de résidus de cultures, valorisation de résidus de cultures, complémentation de l’alimentation des bovins, durée de pâturage), cinq types d’exploitations ont été caractérisés : un type de petites exploitations avec un niveau d’IAE fort, deux types d’exploitations de taille moyenne avec un niveau d’IAE moyen et faible, et deux types de grandes exploitations avec un niveau d’IAE moyen et faible. La complémentation de l’alimentation des bovins, le nombre de bovins et la durée de pâturage ont le mieux discriminé les exploitations. Les besoins alimentaires énergétiques et protéiques des bovins étaient couverts à l’échelle de l’année pour toutes les exploitations. Les exportations d’azote par les cultures étaient compensées par les apports dans les exploitations au plus fort niveau d’IAE. En conclusion, dans ce contexte d’accès très limité aux intrants industriels, les producteurs se sont tournés vers des stratégies d’IAE, d’une part, pour allouer la fumure organique produite sur les cultures exigeantes (riz et maïs) et, d’autre part, pour couvrir les besoins alimentaires des animaux.
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Havard, Michel, A. Fall, and Aboubakar Njoya. "La traction animale au coeur des stratégies des exploitations agricoles familiales en Afrique subsaharienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (March 1, 2004): 183. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9889.

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Abstract:
Cet article fait une analyse comparative de trois situations contrastées d’utilisation de la traction animale : le bassin arachidier du Sénégal, le Nord-Cameroun et l’est du Burkina Faso. L’objectif est de caractériser les dynamiques de la traction animale dans les exploitations agricoles. Dans chaque situation, les données, collectées selon des méthodes et outils spécifiques et avec la collaboration de partenaires différents, n’ont pas permis de faire systématiquement des comparaisons entre les trois pays. Dans tous les cas, cette analyse montre que l’appropriation de la traction animale dans l’exploitation est un processus souvent difficile et progressif. La première étape est l’acquisition d’un attelage pouvant demander des années d’efforts. Elle engendre d’importantes transformations dans le fonctionnement du système de production de l’agriculteur qui doit chercher à équilibrer le disponible en force de traction, en surface agricole et en main-d’oeuvre. La traction animale favorise l’extension des superficies cultivées et renforce l’intégration agriculture élevage. Elle modifie l’organisation et la répartition du travail, et elle est source d’augmentation et de diversification des revenus. Enfin, elle créée de nouvelles tâches, comme l’élevage d’animaux de trait qui engendre des dépenses supplémentaires. A l’échelle des exploitations agricoles, les analyses font ressortir la variété des trajectoires d’équipements et donc la diversité des stratégies des agriculteurs pour accéder à la traction animale, puis la conserver. Elles confirment aussi le rôle pivot de la traction animale dans leur cycle de vie. A l’échelle du village, elles montrent le rôle déterminant des échanges de travail et de terre entre les exploitations dans le processus d’appropriation de la traction animale. Ce processus, qui doit encore être accompagné, est avancé dans le bassin arachidier, et il est en cours dans l’est du Burkina Faso et au Nord-Cameroun. Les priorités sont l’acquisition des attelages pour les exploitations non équipées à l’est du Burkina Faso et au Cameroun, et la reproductibilité des exploitations équipées (diversification des activités, maîtrise de la technique, innovations endogènes) dans toutes les situations étudiées, et particulièrement au Sénégal.
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Ndiaye, Malick. "Analyse De L'efficacité Technique Des Exploitations Agricoles Familiales À Maurice." European Scientific Journal, ESJ 14, no. 9 (March 31, 2018): 143. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2018.v14n9p143.

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Abstract:
This study was undertaken to determine the technical efficiency of family farms and to identify the factors which determine their productivity. All in all, 200 farmers were randomly selected and interviewed using a structured questionnaire to obtain data on agricultural production and input use during 2014. The Data Envelopment Analysis (DEA) technique was used to determine the levels of technical efficiency of such enterprises. Besides, a Tobit regression model was applied to identify the factors influencing the technical efficiency of farmers in agricultural production. The average technical efficiency under the variable scale yield is 0.726. This implies that it is possible to increase agricultural production by 27.4% compared to the current level of inputs. The results show that 46.5% of the sample is technically efficient under variable scale yield. The results showed that productivity is significantly influenced by the sex of the farmer, the area of cultivated land and the wage of labor. It is therefore recommended to undertake a policy to improve the formal education of producers, to build capacity of their organizations and facilitate to them access to land and inputs.
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Lepage, Fanny, Jean Pierre Couderc, Jean-Philippe Perrier, and Diane Parent. "Transfert : les déterminants de la performance des exploitations agricoles familiales." Économie rurale, no. 324 (July 30, 2011): 3–17. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.3058.

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Filippi, G., and Christian Nicourt. "Domestique-professionnel : la cohérence du travail des femmes dans les exploitations agricoles familiales." Économie rurale 178, no. 1 (1987): 47–52. http://dx.doi.org/10.3406/ecoru.1987.3817.

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Mbétid-Bessane, Emmanuel, Michel Havard, and Koye Djondang. "Évolution des pratiques de gestion dans les exploitations agricoles familiales des savanes cotonnières d’Afrique centrale." Cahiers Agricultures 15, no. 6 (November 2006): 555–61. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2006.0038.

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Kuate, Jean, Bella-Manga, François Damesse, Lazare Kouodiekong, Sali Atanga Ndindeng, Olivier David, and Laurent Parrot. "Enquête sur les cultures fruitières dans les exploitations familiales agricoles en zone humide du Cameroun." Fruits 61, no. 6 (November 2006): 373–87. http://dx.doi.org/10.1051/fruits:2006037.

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Pedelahore, Philippe, Rosine Tchatchoua, Menimo Tonka, Mireille Ntsama, and Nadine Andrieu. "Resituer l’adoption des propositions techniques de la recherche dans les stratégies d’adaptation des exploitants agricoles familiaux." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 33. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10112.

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Abstract:
L’innovation technique est souvent présentée comme le levier principal de l’amélioration des performances économiques et des conditions de vie des exploitants agricoles familiaux (EAF). Elle constitue de ce fait un moyen d’adaptation face à la variabilité de l’environnement socio-économique. L’objectif de cette étude a été d’analyser la place du recours à l’adoption de propositions techniques issues de la recherche au sein de l’ensemble des stratégies d’adaptation mobilisées par les producteurs pour préserver, voire pour améliorer, leurs conditions de vie et celles de leurs descendants. A travers la réalisation d’entretiens semi-directifs et directifs auprès d’un échantillon représentatif d’EAF du Grand Sud Cameroun, cette étude a montré que le développement des migrations et des activités non agricoles, l’extension des surfaces cultivées, et la diversification des productions agricoles marchandes étaient des stratégies d’adaptation plus fréquemment mobilisées que l’adoption de propositions techniques. Cette étude a souligné le fait que l’amélioration des itinéraires techniques et des performances des exploitations familiales ne peuvent constituer la seule orientation des politiques de recherche et de développement. L’augmentation des mobilités spatiales et professionnelles des producteurs encourage à développer des politiques de recherche et de développement plus attentives à la gestion des territoires et des hommes et aux interactions entre les différents secteurs de l’économie nationale.
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M Coulibaly, Yacouba, Jean-François Bélières, and Yénizié Koné. "Les exploitations agricoles familiales du périmètre irrigué de l’Office du Niger au Mali : évolutions et perspectives." Cahiers Agricultures 15, no. 6 (November 2006): 562–69. http://dx.doi.org/10.1684/agr.2006.0024.

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Soukaradji, Barmo, Amani Abdou, Sitou Lawali, Ichaou Aboubacar, Ali Mahamane, and Mahamane Saadou. "Typologie des exploitations agricoles familiales : cas de la périphérie de la forêt protégée de Baban Rafi du Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 3 (October 5, 2017): 1096. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i3.14.

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Hiernaux, Pierre, Kalilou Adamou, Alberto Zezza, Augustine A. Ayantunde, and Giovanni Federighi. "Lait de vache trait dans les petites exploitations familiales du Sahel semi-aride : des rendements faibles mais de grande valeur !" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 69, no. 4 (June 27, 2017): 143. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31199.

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Abstract:
Les volumes de lait de vache traits ont été mesurés tous les quinze jours sur une année chez 300 petits exploitants agro­pastoraux de la zone semi-aride du Sahel, dans la commune de Dantiandou au Niger. Les effectifs de vaches − adultes, en lactation et effectivement traites le matin et/ou le soir − ont été systématiquement enregistrés, ainsi que des informations sur la gestion de la pâture, la supplémentation alimentaire des vaches, et la consommation, la transformation du lait et la vente des produits laitiers. En outre, les carrières de reproduc­tion des 334 vaches ont été documentées par enquête rétros­pective. Le volume moyen par jour d’une traite a été de 0,82 ± 0,45 L. Il n’a pas été significativement différent entre la traite du matin et celle du soir, ni entre les saisons, ni entre les éle­vages. Cependant, les volumes totaux de lait trait par élevage, dont la moyenne annuelle a été de 507 ± 362 L, ont fortement varié en fonction des saisons et des élevages. En moyenne, ils ont été plus élevés dans les élevages des campements peuls récemment sédentarisés (624 ± 377 L) que dans ceux des éle­vages villageois djerma (352 ± 275 L). Cet écart était princi­palement dû à un effectif de vaches plus important dans les campements (7,1 ± 5,3 vs 4,3 ± 4,0), bien que la proportion de vaches en lactation y ait été plus faible (57 %) que dans les troupeaux villageois (73 %). Les résultats ont montré qu’une meilleure gestion par les agroéleveurs des campements avec des traites moins fréquentes, un recours plus fréquent à la pâture de nuit, à la transhumance et à une supplémentation alimentaire régulière ont contribué à améliorer l’état d’en­graissement des vaches et leurs performances reproductives. Malgré ces rendements laitiers modestes, la valeur monétaire du lait trait a représenté 16 % des revenus agricoles et non-agricoles des ménages des campements, et 7 % de ceux des villages. Les produits laitiers étaient largement consacrés à la consommation familiale : 78 % dans les campements et 84 % dans les villages.
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Djondang, Koye, and Michel Havard. "De l'encadrement au conseil aux exploitations agricoles familiales: une évolution indispensable pour les zones cotonnières du Tchad et du Cameroun." Canadian Journal of Development Studies / Revue canadienne d'études du développement 31, no. 1-2 (January 2010): 77–89. http://dx.doi.org/10.1080/02255189.2010.9669331.

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Daburon, A., J.-F. Tourrand, V. Alary, A. Ali, and M. Elsorougy. "Typologie exploratoire des systèmes d’élevage laitier familiaux de la mégalopole du Grand Caire en Egypte, contraintes et opportunités." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 4 (October 2, 2015): 173. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20559.

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Abstract:
Avec la croissance de la population urbaine mondiale, les rôles que pourraient jouer les agricultures urbaines dans les villes de demain posent question. L’Egypte, qui a connu une urbanisation très rapide au cours du siècle dernier, semble abriter une importante diversité d’exploitations urbaines et périurbaines. La mégalopole du Grand Caire, avec ses 20 millions d’habitants, ne fait pas exception et profite de la présence de fermes, dont une partie contribue à l’approvisionnement en lait de la ville. Relevant de l’économie informelle, la littérature est presque inexistante quant à leurs structures, fonctionnements, dynamiques et perspectives. Cet article décrit les principaux systèmes familiaux du secteur laitier informel du Caire, afin de mieux cerner leurs contraintes et leurs opportunités. Les données collectées au cours d’entretiens auprès de 73 éleveurs du Caire ont permis de réaliser une typologie de ces systèmes en se basant sur leurs caractéristiques structurelles, techniques, familiales et économiques. Deux grandes catégories ont été identifiées : les agroéleveurs intégrant agriculture et élevage, et les éleveurs hors-sol. Chacune de ces catégories a été divisée en deux types, à partir d’un gradient de la taille. Dans tous les cas, la satisfaction des besoins alimentaires familiaux a primé. Le lait de bufflonne était le lait le plus produit et la commercialisation des surplus de lait frais passait par des circuits courts. Bien que rendant des services à la ville, ces exploitations affrontaient de nombreuses contraintes (coûts élevés des intrants agricoles, pression foncière, faible disponibilité des terres agricoles, parmi d’autres) qui remettaient en question leur subsistance à moyen terme.
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Le Guilloux, Guénaël, Augustin David, and André Pouzet. "La différenciation par l’organisation de filières : l’expérience d’AGROPOL." OCL 25, no. 2 (March 2018): D210. http://dx.doi.org/10.1051/ocl/2018023.

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Abstract:
Agropol, association des membres de la filière oléo-protéagineuse française et de ses partenaires, accompagne le développement des filières oléagineuses en dehors du territoire national, en accord avec la conviction que le schéma interprofessionnel tel qu’il est mis en œuvre en France peut également contribuer à répondre aux grands défis de l’Afrique : sécurité alimentaire, réduction de la pauvreté et durabilité des exploitations agricoles familiales. Deux exemples d’intervention d’AGROPOL sont présentés : l’accompagnement du développement des cultures de colza et de tournesol dans le cadre du Plan Vert Marocain et le projet de développement du soja au Burkina-Faso. L’analyse de ces expériences se fait selon la trame définie dans un accord de partenariat avec la FAO en 2012. Il résulte de l’analyse des deux expériences que la réussite de l’action interprofessionnelle permet la création de valeur et la différenciation des acteurs. Elle repose bien sûr sur une organisation en filière pour répondre à la demande d’un marché, une gouvernance basée sur une concertation permanente entre les différents acteurs, et un partage des orientations avec les pouvoirs publics, mais le facteur le plus sensible est certainement l’efficacité de l’organisation des producteurs dans le temps, tant au niveau local qu’au niveau national.
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Zhao, Li. "L'évolution récente de la Constitution chinoise." Les Cahiers de droit 37, no. 3 (April 12, 2005): 643–52. http://dx.doi.org/10.7202/043402ar.

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Abstract:
Ce texte présente les origines, le sens et la portée des modifications apportées en 1993 à la Constitution de 1982. Après avoir rappelé les modifications introduites en 1988, qui accordaient une reconnaissance constitutionnelle à l'activité économique privée et autorisaient le transfert du droit d'utilisation du sol, l'auteure montre en quoi les modifications de 1993 consacrent certains acquis de la politique de réforme et d'ouverture et précisent l'expression constitutionnelle de l'idéologie dirigeante. A cette fin, l'auteure rattache ces modifications à deux thèmes majeurs, l'actualisation de la référence du développement socialiste de la société chinoise et des objectifs de ce développement et l'introduction de la notion d'« économie socialiste de marché », ainsi qu'à deux thèmes de moindre portée : la perpétuation du principe de coopération multipartite sous la direction du PCC et le prolongement du mandat des assemblées populaires de district. Relativement à l'actualisation de la théorie du développement du socialisme en Chine, le texte analyse la signification des changements à certains alinéas du préambule, notamment pour y consacrer la référence à la théorie de la « construction d'un socialisme aux caractéristiques chinoises » et y affirme la volonté de poursuivre la politique dite « de réforme et d'ouverture ». Certains acquis de cette politique, et notamment la notion d'« économie socialiste de marché », se sont traduits par une série de modifications. Cette notion elle-même a été consacrée à l'article 15, alors que l'autonomie élargie qu'elle comporte pour les entreprises appartenant à l'État, les entreprises collectives et les exploitations familiales agricoles a été inscrite aux articles 16, 17 et 8 respectivement.
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Jean-Denis, Sardou, Daniel Jean-Pierre, Madeleine Mutel, Hervé Duchaufour, Christian Langlais, Paula Fernandes, Marie-Eunide Alphonse, and Éric Malézieux. "Évolution de la structure d’un système agroforestier en relation avec le cycle de vie familial : cas du jardin de case en Haïti." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 321, no. 321 (July 17, 2014): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.321.a31213.

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Abstract:
Le jardin créole, communément appelé jardin lakou en Haïti, est un système agro- forestier multistrates et à usages multi- ples. Ce système de culture ancien conti- nue à occuper une place prépondérante dans le paysage agraire et dans l’équili- bre des petites exploitations agricoles des zones de montagne, notamment dans le contexte de crise écologique, éco- nomique et sociale que traverse le pays. Cet article cherche à déterminer les fac- teurs qui orientent la structure de la végé- tation du jardin lakou et son rôle dans les exploitations agricoles. L’étude a été menée sur deux petites régions agri- coles : Salagnac et Lavallée de Jacmel. L’analyse a confirmé la grande richesse spécifique des jardins lakou avec un total de 69 espèces potentiellement utilisables et le rôle central du jardin dans les fonc- tions essentielles d’autosuffisance ali- mentaire et d’auto-approvisionnement en produits non alimentaires des exploita- tions agricoles haïtiennes de montagne. Ce travail met en évidence l’influence du mode de tenure foncière et du mode de transmission sur la trajectoire d’évolution et la pérennisation du jardin lakou. Il a ainsi été montré que les différentes struc- tures écologiques (composition, organi- sation) observables dans les jardins sont liées aux stades de développement de l’exploitation agricole (implantation, croissance, héritage, etc.).
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Sencébé, Yannick, and Ademir Antonio Cazella. "Enjeux et politiques foncières en France et au Brésil: regards croisés sur deux histoires contrastées." Revista Pós Ciências Sociais 12, no. 23 (June 30, 2015): 249. http://dx.doi.org/10.18764/2236-9473.v12n23p249-274.

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Abstract:
Cet article propose une mise en regard de deux pays, la France et le Brésil, où l’agriculture tient une place particulière, avec cependant des trajectoires et des enjeux contrastés. L’analyse est centrée sur la question foncière. Les données sont issues de travaux de terrain menés en parallèle et en commun et de la lecture croisée de sources statistiques et bibliographiques concernant l’histoire et les politiques foncières et agricoles des deux pays. L’étude, en première partie, des enjeux fonciers fait apparaitre une tendance à la dualisationde l’agriculture dans chacun des deux pays à partir de cheminement très contrastés. Au Brésil de très petites exploitations en situation de pauvreté et d’insécurité foncière voient leur nombre augmenter plus vite que la part du “gâteau” foncier et économique qui leur est réservé. En France, toujours moins d’exploitations toujours plus grandes accaparent l’essentiel des terres libérées dans un contexte de forte concurrence foncière. La remontée dans l’histoire des politiques foncières et agricoles, menée en seconde partie, montrequ’au-delà des objectifs similaires affichés de deux côtés de l’Atlantique, seul laFrance a mis en place une véritable restructuration foncière au profit de l’agriculture familiale de taille moyenne qui a constitué le socle de la modernisation agricole. Au Brésil, la politique foncière est plutôt le résultat historique des rapports de force entre élites agraires et mouvement sociaux expliquant les limites de la réforme agraire.
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Gaillard, Cédric, Sofyan Martin, Pierre-Marie Bosc, Jalila El-Ati, Marie Claude Dop, Tarek Trabelsi, Marie-Josephe Amiot, and Sandrine Dury. "Explorer les liens entre agriculture et sécurité alimentaire : une enquête auprès des femmes du gouvernorat de Sidi-Bouzid en Tunisie." Cahiers Agricultures 27, no. 1 (January 2018): 15501. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018005.

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Abstract:
Cet article présente et décrit le contenu d’une base de données construite à partir d’une enquête menée dans le gouvernorat de Sidi-Bouzid, situé dans le centre de la Tunisie. Sur ce territoire en transition, le secteur agricole, qui tient une place prédominante dans l’activité économique, est caractérisé par la diversité de ses exploitations, aussi bien sur le plan organisationnel (main-d’œuvre familiale ou salariée à dominante féminine) que technique (présence d’infrastructure d’irrigation, de culture sous-abri). Sur le plan des orientations technico-économiques, les cultures arboricoles et maraîchères se développent quand d’autres cultures plus traditionnelles persistent (oléiculture, céréaliculture). Des politiques publiques récentes ont également encouragé l’élevage laitier. Berceau de la révolution du Jasmin en 2010, Sidi-Bouzid fait face à des difficultés économiques et sociales. Dans ce contexte, l’agriculture a un rôle essentiel pour assurer la sécurité alimentaire de la population. L’objectif de cette enquête était d’identifier les liens existants entre la structure, le fonctionnement et les performances des exploitations agricoles, et la sécurité alimentaire des femmes adultes du territoire. Les revenus individuels des membres du ménage, l’autoconsommation de produits agricoles, et l’autonomie des femmes peuvent aussi jalonner ce chemin d’impact. En effet, le développement du salariat peut permettre aux femmes d’accroître leur autonomie, privilégiant ainsi, à travers la maîtrise de leurs dépenses, leurs besoins alimentaires et ceux du ménage auquel elles appartiennent. L’enquête est articulée autour de trois questionnaires. Cinq cent soixante-quinze femmes, sélectionnées aléatoirement à partir d’un échantillon représentatif des femmes de 20 à 49 ans du gouvernorat de Sidi-Bouzid, 575 chefs de ménages et 316 chefs d’exploitations ont répondu aux questionnaires. La collecte a été réalisée sur questionnaire papier, en entretien face-à-face en décembre 2015. Les données ont été ensuite saisies et contrôlées sur le logiciel EpiData, avant d’être nettoyées sur le logiciel Stata. Les données sont disponibles sur le lien doi: 10.18167/DVN1/LWT7BG.
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Taghouti, Ibtissem, Chaima Derbali, and Mohamed Elloumi. "Evaluation de la Durabilité et des Stratégies d'Adaptation des Exploitations Agricoles Familiales : Cas de la Zone d'El Amaiem, El Fahs, Zaghouan = Assessment of the Sustainability and Adaptation Strategies of Family Farms : Case of El Amaiem, El Fahs Zone, Zaghouan = تقييم استدامة وإستراتيجيات التكيف للمستغلة العائلية : حالة من منطقة العمايم، الفحص، زغوان." Annales de l Inrat 90, no. 90 (2017): 223–40. http://dx.doi.org/10.12816/0040331.

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Bénagabou, Ouèbounga Ida, Mélanie Blanchard, Valérie M. C. Bougouma Yaméogo, Jonathan Vayssières, Mathieu Vigne, Eric Vall, Philippe Lecomte, and Hassan Bismarck Nacro. "L’intégration agriculture-élevage améliore-t-elle l’efficience, le recyclage et l’autonomie énergétique brute des exploitations familiales mixtes au Burkina Faso ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 70, no. 2 (December 11, 2017): 31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31479.

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Abstract:
Face au défi majeur de la croissance démographique mondiale, le secteur agricole se doit de concilier une augmentation de la production alimentaire et une diminution de son impact environnemental. L’intégration agriculture-élevage (IAE) mise en œuvre dans les exploitations familiales mixtes à faible niveau d’intrants peut être un moyen d’y parvenir. L’un des grands principes de l’IAE est l’utilisation de ressources produites par les différents ateliers de l’exploitation pour la conduite des autres ateliers. L’IAE se construit autour de trois grandes pratiques : la traction animale, le stockage de fourrage et la production de fumure organique. L’objectif de cette étude a été d’analyser l’effet de ces pratiques sur l’autonomie, le recyclage et l’efficience énergétique des exploitations familiales mixtes. Pour ce faire, les flux d’énergie brute de huit exploitations familiales mixtes de la zone cotonnière de l’ouest du Burkina Faso, suivies sur une période de 20 mois, ont été analysés grâce à la méthode d’analyse de réseau écologique (ecological network analysis [ENA]). Les résultats ont montré que le stockage de fourrage et la production de fumure organique ont permis aux exploitations d’augmenter leur recyclage et leur autonomie, et d’acquérir une meilleure efficience énergétique. La méthode ENA met en lumière les caractéristiques et les performances d’exploitations de différents types (agriculteurs, éleveurs, agroéleveurs) et évalue l’apport des pratiques de l’IAE sur ces performances. Il apparaît cependant qu’il existe des marges de manœuvre sur le niveau de mise en œuvre des pratiques d’IAE dans les exploitations familiales mixtes de la zone cotonnière de l’ouest du Burkina Faso permettant d’améliorer le recyclage de l’énergie.
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Hattab, M., and A. Gaouar. "Evaluation du potentiel productif des exploitations agricoles dans les monts de Tlemcen (nord-ouest de l’Algérie)." Lebanese Science Journal 20, no. 1 (April 27, 2019): 71–88. http://dx.doi.org/10.22453/lsj-020.1.071-088.

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Abstract:
La population montagnarde algérienne reste tributaire surtout d’une agriculture fragile. À cet effet, le présent travail consiste à effectuer une évaluationapprofondiede la situation actuelle des exploitations agricoles, qui sont fortement fragilisées par différentes contraintesdans les monts de Tlemcen, afin d’évaluer leur potentiel productif. Les résultats obtenus ont montréque les exploitations enquêtées quoiqu’elles appartiennent à un même ensemble montagneux, elles se distinguent par des particularités différentes d’une région à une autre. Certaines exploitations sont orientées vers le modeld’exploitation familiale à cause de leur morcellement répété et du manque de main d’œuvre salariée. D’autres exploitations sont obligées de développer une stratégie de survie basée essentiellement sur une céréaliculture extensive combinée surtout avec l’élevage ovin. Dans l’ensemble, les moyens de production actuels de toutes les exploitations enquêtées sont insuffisants pour qu’elles puissent résister au climat irrégulier, à la configuration difficile des terrains et aux fluctuations du marché.
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Osman, M., I. Daoud, S. Melak, E. Salah, Y. Hafez, A. Haggah, A. Aboul Naga, V. Alary, and Jean-François Tourrand. "Animal husbandry complexity in the crop-livestock farming systems of the New Reclaimed Lands in Egypt." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 4 (October 2, 2015): 201. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.20562.

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Abstract:
Les New Reclaimed Lands (NRL, Egypte) sont les terres désertiques entourant le delta du Nil aménagées au cours du dernier demi-siècle pour le développement de l’agriculture irriguée. Elles ont été peuplées par des migrants d’origines diverses, dont d’anciens étudiants et des paysans sans terre en provenance des zones à haute densité démographique du delta et de la vallée du Nil. La littérature aborde peu la production agricole familiale des NRL, en particulier leur composante animale, les pratiques d’élevage, l’intégration agriculture-élevage, leurs performances et leur diversité. Le projet CLIMED vise à produire des données sur ces thèmes pour décrire et mieux comprendre les systèmes agriculture- élevage des NRL, évaluer leurs performances et dynamiques dans le contexte égyptien et méditerranéen actuel, ainsi que définir les priorités en termes de recherche et de politique de développement. Les auteurs décrivent les systèmes agricoles à partir des données collectées au cours d’un suivi mensuel d’exploitations sur une année sur un échantillon de treize fermes dans trois zones sélectionnées à partir d’une vaste enquête menée sur 160 exploitations dans quatre zones. Le suivi montre la grande complexité de ces systèmes pour les trois raisons principales suivantes : la multifonctionnalité de l’élevage, la forte dépendance de l’élevage vis-à-vis des aliments produits sur l’exploitation, et les facteurs sociaux en particulier la gestion des compétences et du travail à l’échelle de l’exploitation. Directement lié à cette complexité, le suivi montre l’énorme enjeu des services de développement face aux incertitudes du marché, au faible accès à la terre, aux contraintes futures sur l’eau, de même que la faible attractivité de l’agriculture pour les jeunes.
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Davie, May. "Saint-Serge de Bouchtoudar dans le pays de Batroun." Chronos 24 (March 28, 2019): 223–29. http://dx.doi.org/10.31377/chr.v24i0.437.

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Abstract:
Saint-Serge (Mar Sarkis) de Bouchtoudar est une petite chapelle votive, sise à Bsatin al-'Ossi dans la circonscription de Bouchtoudar, en contrebas du monastère Saint-Jean-Baptiste de Douma dont elle relève. Pour avoir été longtemps désertée, elle est aujourd'hui en partie effondrée. De toute apparence, cette chapelle est la survivance d'un petit monastère rural d'âge médiéval dont on aperçoit encore deux pièces en ruine contiguës à la chapelle et une esplanade. Un petit oratoire (« mazar » en arabe) de construction récente occupe l'extrémité nord de l'esplanade. Autour de cet ensemble, on discerne les vestiges d'une exploitation agricole qui remonte probablement à la même période. La région de Douma, entre Tannourine et Kfar Helda, est disséminée de ce genre d'établissements qui remontent pour la plupart au Moyen Âge. Certains étaient des fondations monastiques familiales, d'autres des ermitages ou des pèlerinages. II ne s'agit pas de monastères au sens actuel de ce mot, quand bien même ces trois types d'établissement ecclésiastique sont indifféremment appelés « deir » en arabe. Leur organisation est d'ailleurs différente de celle des monastères classiques agencés autour d'une cour. À la suite de Lévon Nordiguian, nous suggérons un modèle à part, où l'on note en premier lieu l'absence d'une cour aménagée et de tout agencement symétrique des unités construites. De toute évidence, les couvents familiaux faisaient office de communes agricoles. En sus de la chapelle, ils se composaient d'une ou de deux pièces annexes (qillayat en arabe), de citernes (joubb), d'un arbre sacré et souvent de tombes ad sanctos, le tout étant implanté sur une terrasse cultivée. Quant aux ermitages, ils étaient le plus souvent, entièrement ou en partie, troglodytes, et se sont par la suite et pour la plupart transformés en pèlerinages.
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Billard, Cécile, Valéry Gond, Johan Oszwald, Xavier Arnauld de Sartre, and Benno Pokorny. "Trajectoires des pratiques agricoles paysannes en Amazonie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, no. 319 (January 1, 2014): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20552.

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Abstract:
L'important corpus de recherches sur les changements d'utilisation des terres et de la couverture du sol en Amazonie brésilienne met généralement en évidence un effet significatif des systèmes de production paysanne. Cependant, l'influence des caractéristiques socio-économiques spécifiques des petits exploitants sur l'utilisation des terres et le changement de couverture des sols n'apparaît pas clairement. Afin de mieux comprendre cet aspect, une étude de cas dans la colonie de Palmares-2 en Amazonie brésilienne a été menée au niveau des ménages pour cerner l'influence de certaines variables socio-économiques sur leur utilisation des terres. Les changements d'utilisation des terres à l'échelle de l'exploitation familiale ont été analysés à l'aide d'images LANDSAT TM et SPOT disponibles pour 1986, 1992, 2001 et 2007. Ces données SIG (système d'information géographique) ont été associées aux informations recueillies lors d'une enquête auprès de 44 exploitants. L'analyse montre que les niveaux de revenus influencent positivement les taux de déforestation sur cette période, et que l'expansion des zones cultivées et des pâturages s'accroît avec le niveau d'éducation des ménages. La disponibilité de crédits non remboursables est corrélée avec l'expansion de jachères forestières. Les surface nues et/ou brûlées sont plus importantes parmi les exploitations à faible capital implantées moins durablement sur la région. Les résultats de cette étude indiquent clairement la pertinence des niveaux de revenus et d'éducation comme facteurs d'explication sur l'utilisation des terres et le changement de couverture des sols par les paysans d'Amazonie.
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Legagneux, Bruno, and Valérie Olivier-Salvagnac. "Quelle main-d’œuvre contractuelle dans les exploitations agricoles ? À la base de l’éclatement du modèle familial." Économie rurale, no. 357-358 (February 17, 2017): 101–16. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.5132.

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LIÉNARD, G., P. CORDONNIER, and J. P. BOUTONNET. "Exploitations et systèmes de production d’herbivores. Importance, évolution, questions." INRAE Productions Animales 5, no. 1 (February 28, 1992): 59–85. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.1.4222.

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Abstract:
L’évolution des exploitations d’élevage herbivore françaises a été considérable depuis une vingtaine d’années, à la fois sous l’influence de la démographie, des innovations technologiques, de la mise en place de la Politique Agricole Communautaire, et des transformations économiques générales, dont l’internationalisation des échanges est un des points les plus décisifs pour le secteur agricole et agro-alimentaire. Le texte retrace les grandes évolutions massales des secteurs lait et viande bovine et ovine, et la transformation des systèmes de production. Pour les bovins, l’instauration des quotas laitiers en 1984 est la date charnière à partir de laquelle s’est accélérée la restructuration du secteur laitier, avec une perturbation profonde de la production de viande. En production ovine, l’instauration de la Règlementation Européenne à partir de 1980 a fait passer la production française de l’expansion au repli. Le futur dépendra, entre autres, de quatre facteurs essentiels :- le départ prochain à la retraite d’un grand nombre d’éleveurs sans successeurs va libérer des surfaces plus importantes que par le passé, potentiellement près d’un quart du total : on peut s’interroger sur les conditions dans lesquelles ces surfaces pourront être reprises par les éleveurs restants.- la réforme de la PAC peut modifier radicalement la conception des systèmes de production, notamment vis-à-vis du foncier.- l’influence des transformateurs et des consommateurs sera croissante, avec des exigences accrues vis-à-vis des éleveurs, pour la qualité de leurs productions et même pour les techniques d’élevage mises en oeuvre.- les éleveurs eux-mêmes, notamment les jeunes, chercheront à satisfaire des objectifs nouveaux. A celui du maintien du revenu familial s’ajoutera l’exigence de conditions de travail plus satisfaisantes. Quatre objectifs de recherche pour les éleveurs d’herbivores peuvent, entre autres, être envisagés pour l’avenir :- maintenir la compétitivité des productions bovines,- mieux adapter la production à la demande, quantitativement en volume et dans le temps, et surtout qualitativement selon l’évolution des préférences des consommateurs.- mettre au point des systèmes de production plus diversifiés, aptes à mettre en valeur des milieux très variés.- faire face à des troupeaux de plus grands effectifs, pour permettre une meilleure productivité du travail humain, qui sera le facteur le plus déterminant dans l’avenir.
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Lavigne Delville, Philippe, and Justine Robin. "Aménagement de bas-fonds, politique de l’aménageur et recompositions foncières. Le cas de Lofing au Burkina Faso." Cahiers Agricultures 28 (2019): 18. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019018.

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Abstract:
L’aménagement des bas-fonds et des petites vallées inondables peut permettre d’accroître la production agricole et la résilience des agricultures familiales en Afrique soudanienne. Mais les opportunités économiques que ces espaces représentent ne peuvent être saisies que par les acteurs ayant accès à une parcelle en leur sein, ce qui pose la question de la politique de l’aménageur en termes de redistribution des parcelles. Or, la prise en compte des questions foncières lors des projets d’aménagement demeure très inégale. À partir du cas d’un aménagement de bas-fond au sud du Burkina Faso, cet article montre comment le devenir des droits existants sur la zone à aménager et les règles d’accès aux nouvelles parcelles déterminent la distribution des gains et des pertes entre les exploitations, et comment les pratiques des intervenants peuvent créer ou réveiller des conflits ou des tensions, en particulier par rapport à la légitimité des règles de redistribution foncière.
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Fréguin-Gresh, Sandrine, Lissania Padilla, Karen Pavon, Douglas Elizondo, Geneviève Cortès, Valentina Banoviez Urrutia, Alissia Lourme Ruiz, Sandrine Dury, and Emmanuelle Bouquet. "Explorer les liens entre agriculture, migration et sécurité alimentaire : une enquête auprès de ménages agricoles diversifiés et multilocalisés du nord-ouest du Nicaragua." Cahiers Agricultures 28 (2019): 9. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019009.

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Abstract:
Cet article présente une enquête menée dans le nord-ouest du Nicaragua, qui vise à comprendre comment les flux d’argent et d’aliments générés par les activités diversifiées et multilocalisées des familles agricoles interviennent dans l’accès aux aliments et dans la perception de la sécurité alimentaire. Dans la région d’étude, l’agriculture familiale est caractérisée par des conditions agro-écologiques difficiles et repose sur la production vivrière et l’élevage bovin. En réponse au manque de revenus, les ménages ont depuis longtemps diversifié leurs activités hors exploitation, localement ou en migration. Cette diversification et cette multilocalisation leur permettent d’obtenir des revenus et des aliments, indispensables à la sécurité alimentaire dans les régions d’origine. Ces flux d’argent et d’aliments se fondent sur des rapports sociaux entre les membres des ménages et au-delà (famille élargie, voisinage, acteurs institutionnels). Pour capter ces flux, le questionnaire d’enquête, composé de trois sections, s’organise autour d’une clef d’identification unique : l’individu. En captant les activités individuelles et les flux de ressources dirigés vers la cuisine familiale, l’enquête propose des possibilités d’analyse de la sécurité alimentaire basées sur la déconstruction des unités classiques d’analyse (résidence, ménage, exploitation). Des communautés de production et de circulation sont alors établies pour pouvoir étudier les stratégies d’approvisionnement de la communauté de consommation, point de départ de l’étude de la sécurité alimentaire. Le questionnaire a été appliqué à 350 ménages dans une région d’étude au nord-ouest du Nicaragua. La collecte s’est faite par questionnaire papier et en entretien face-à-face entre avril et juin 2016. Des entretiens individuels complémentaires ont été conduits entre février et mai 2016. Les données ont été saisies entre juillet et octobre 2016, avant d’être contrôlées, nettoyées et préparées pour les analyses entre juin et octobre 2017 sur le logiciel SPSS. Les métadonnées ont été produites sur NESSTAR.
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Ndiaye, Amadou, and Yacouba Sangaré. "Exploitations Familiales de Production Agricole des Cercles de Niono et de Banamba (Mali): Caractérisation et Stratégies de Prise en Charge des Besoins en Rapport Avec L’intervention Pour le Développement Agricole et Rural." European Scientific Journal, ESJ 13, no. 13 (May 31, 2017): 193. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2017.v13n13p193.

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Abstract:
The development of family farming is an important strategic option to support the food needs of the rural and urban populations. This is the reason it has been the subject of several studies which is based on characterization and typology to better orientate agricultural and rural development interventions. This study was conducted to characterize family farm in Mali and to determine the strategies to satisfy the country’s needs in rapport with the implementation of rural development. In doing this, field data were first collected in the family farms at Niono County (Niger River valley) and the Banamba County. After data collection, it was then analyzed in a systemic way. This analysis helps to characterize the family farm of Mali as a “Traditional peasant farm”. In Niono County, ‘peasant family farm’ which ensures its food self-sufficiency is centered on the production unit with an option of diversification. In Banamba County, “peasant family farm’ centered on unity of consumption develops food security strategy through pluri-activity. Thus, despite the intensity of government intervention, particularly in the area of Niger River Valley, malian “peasant family farmg” did not turn into “Modern family farm business”. In doing this, intervention for agricultural and rural development should move based on its strategies and practices from a sectorial approach to a systemic approach. This passage from the deterministic and holistic paradigm to the systemic and interactionist paradigm, should better redefine agricultural education and agricultural subsidy in relation with the structure of production.
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Kassambara, Hamidou, and Paul Kleene. "La traction animale à l’Office du Niger au Mali : du colonat au désengagement de l’Etat." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (March 1, 2004): 167. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9887.

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Abstract:
L’Office du Niger a commencé son exploitation au début des années 1930 par la traction bovine. La grande mécanisation, introduite à partir de 1949, s’est soldée par un échec dix ans plus tard. Depuis, la traction animale est redevenue la principale source d’énergie pour le travail du sol et le transport. Jusqu’au début des années 1980, les systèmes de production étaient basés sur des techniques extensives, conduisant à des rendements moyens en paddy qui ne dépassaient que rarement 2 t/ha. A partir de 1982, une nouvelle dynamique dans les activités de l’Office du Niger s’est instaurée. La traction animale s’est fortement développée, grâce à de nouvelles facilités de crédit, du matériel mieux adapté fabriqué sur place et des services vétérinaires adéquats. Les rendements moyens en paddy sont passés à 4-6 t/ha, en fonction du type d’aménagement. La restructuration de l’Office du Niger, intervenue en 1994, a vu la suppression de la division d’élevage, les services vétérinaires étant privatisés. La fabrication et la maintenance du matériel sont désormais assurées par un réseau de forgerons. Les fonctions d’approvisionnement en matériel agricole et en boeufs de labour sont à la charge des paysans. Suite au fort endettement des organisations paysannes, les crédits matériels et boeufs ont été supprimés, ce qui rend l’accès à l’équipement difficile. Des retards dans l’exécution du calendrier agricole sont constatés dus à la mauvaise condition alimentaire et sanitaire des boeufs en début de campagne. Pour y remédier, le projet Urdoc (Unité de recherche développement observatoire de changement) a mis au point et testé un ensemble de mesures permettant d’améliorer l’état des animaux de trait. Leur diffusion se fait dans le cadre de l’approche « conseil à l’exploitation familiale ». La pérennisation de l’impact positif de la traction animale dépendra de l’engagement des différents acteurs au renforcement des services d’appui : conseil, crédit, entretien/fabrication de matériel et soins vétérinaires.
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Aoudji, Augustin Kossi N., Anselme Adegbidi, Jean Cossi Ganglo, and Philippe Lebailly. "Plantations de teck, Tectona grandis L.f., en sylviculture paysanne au Sud Bénin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, no. 319 (January 1, 2014): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20554.

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Abstract:
Cette étude se place dans le cadre du système agricole pour caractériser les modes de culture du teck, Tectona grandis L.f., sur les petites exploitations au Sud Bénin, avec pour objectif de cerner des orientations politiques à même de valoriser le potentiel de la sylviculture paysanne. La question posée est la suivante : par quels moyens les petits agriculteurs intègrent-ils la sylviculture sur leurs exploitations ? Une évaluation empirique a été menée en se basant sur un échantillon de 221 petits exploitants sélectionnés par échantillonnage en grappes sur cinq communes du département de l'Atlantique. Les données ont été recueillies par le biais d'entretiens en tête-à-tête à l'aide d'un questionnaire standardisé. Une approche à variable multiples associant analyse typologique et analyse en composante principale (Acp) a permis d'établir une typologie des systèmes de plantation du teck. Cette typologie se base sur les critères suivants : objectifs de production, superficies plantées en teck, taille de l'exploitation et contribution de la main-d'oeuvre familiale à la production de bois. L'étude a permis d'identifier trois systèmes de plantation associés aux différentes stratégies d'intégration d'une activité de sylviculture paysanne. Ces trois systèmes ont été classés selon les critères suivants : " petite taille à main-d'oeuvre dominante " (33,48 % de l'échantillon), " taille moyenne à capital dominant " (37,56 %), et " grande taille à capital dominant " (28,96 %). Les exploitants se spécialisent dans la production de perches pour satisfaire la demande régionale de bois d'oeuvre à bas prix pour la construction urbaine. Les trois raisons principales motivant l'intégration des plantations de teck sont, dans l'ordre, la recherche de revenus, la satisfaction des besoins en bois de construction des ménages et la sécurisation des titres fonciers. Cependant, l'ordre des deux dernières est inversé dans le cas du système " grande taille à capital dominant ". La sécurité foncière et l'existence d'un marché domestique sont indispensables pour réussir le développement d'une sylviculture paysanne.
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Hostiou, Nathalie, Jean-François Tourrand, and Jonas Bastos Da Veiga. "Organisation du travail dans des élevages familiaux lait et viande sur un front pionnier amazonien au Brésil. Etude à partir de sept enquêtes « bilan travail »." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 3 (March 1, 2005): 167. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9929.

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Abstract:
Cette étude privilégie un regard nouveau sur les élevages laitiers familiaux en frontière agricole au Brésil : l’organisation technique du travail. Le travail apparaît être un facteur essentiel des conduites d’élevage et une contrainte aux transformations durables des exploitations. Cependant très peu de connaissances ont été produites jusqu’à ce jour. Pour rendre compte de l’organisation du travail sur une année, les temps de travaux ont été quantifiés et les collectifs de travail décrits dans sept fermes « lait-viande », à partir de la méthode « bilan travail ». Les mêmes activités d’astreinte avec le troupeau laitier ont été réalisées dans tous les élevages avec des variances quant aux volumes horaires : 1 h 45 à 6 h 30 par jour et par personne de la cellule de base. Les différences entre les fermes ont été liées à la composition de la cellule de base, à l’effectif de vaches traites et au mode de commercialisation du lait. Sur l’année, 17 à 328 journées ont été dédiées aux activités de saison, dont 17 à 176 jours sur les prairies cultivées. Une partie des activités sur les prairies (sarclage, implantation, clôtures) ont été déléguée à de l’aide familiale ou à des salariés temporaires. Trois stratégies d’éleveurs face au travail ont été identifiées, reposant sur la simplification des conduites ou l’organisation des collectifs de travail. L’étude conclut que le travail est un facteur à prendre en compte pour appuyer la transformation des pratiques des éleveurs et la durabilité des élevages familiaux amazoniens. Les futures actions de recherche-développement en Amazonie permettront de produire des connaissances pour identifier les voies d’amélioration possibles.
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Galetto, A., W. Lopez, and E. Baumeister. "Compétitivité de la production laitière au Nicaragua : analyse de la productivité et des coûts dans les élevages laitiers et à viande de la région de Matagalpa." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 133. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9965.

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Abstract:
L’article analyse la productivité, les résultats économiques et les coûts de la production laitière de systèmes d’élevage laitier et à viande dans le département de Matagalpa, situé dans la région centre du Nicaragua. Les données sur les exploitations ont été obtenues à partir d’interviews d’un jour, destinées à l’origine à être utilisées à des fins d’évaluation interne pour un projet de développement agricole. Au total 124 observations ont été relevées sur la structure des élevages, les ventes, l’utilisation d’intrants, l’emploi de main d’oeuvre et le cheptel. Seule la zone de pâturage des bovins, qui représentait 83 p. 100 des terres, a été utilisée dans l’analyse. Les données on été divisées en quartiles afin de les organiser. Les résultats ont montré que les élevages les plus petits utilisaient la terre de manière plus intensive et avaient une productivité plus grande. Au contraire, les élevages plus grands étaient caractérisés par une productivité plus élevée de leur ressource rare, la main d’oeuvre, une indication dans les deux cas de l’efficacité de leur répartition. Le revenu familial, obtenu après déduction des dépenses en liquide et de la dépréciation des recettes totales, a été de 10 $ US par jour et par personne de la famille ayant une activité sur l’exploitation. Le coût moyen de la production de lait à court terme a été de 0,071 $/L pour l’ensemble de l’échantillon, alors que sur le long terme il a été de 0,236 $/L. Il y a eu une forte relation négative entre le coût de production et la productivité de la terre.
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Ruf, François, Siaka Kone, and Boniface Bebo. "Le boom de l’anacarde en Côte d’Ivoire : transition écologique et sociale des systèmes à base de coton et de cacao." Cahiers Agricultures 28 (2019): 21. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019019.

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Abstract:
Le dynamisme agricole de la Côte d’Ivoire continue de surprendre les marchés de matières premières, en particulier ceux du cacao et du caoutchouc. Le pays s’empare aussi de la place de premier producteur mondial d’anacarde. Comment interpréter ce boom ? Il est en partie lié aux marchés (stagnation des prix du coton et du cacao, hausse du prix de l’anacarde sur deux périodes), mais les déterminants sont beaucoup plus complexes. L’hypothèse de l’étude est que l’adoption de l’anacardier relève en partie d’une transition écologique d’adaptation à l’épuisement de la rente forêt et au changement climatique, au coût croissant des intrants chimiques pour le coton et le cacao, mais répond aussi à l’insécurité foncière. Cette hypothèse a été testée en 2016–2017 sur 6 sites d’étude, choisis selon un gradient nord-sud : Mankono, Konanhiri, Bonon, Yamoussoukro, Bayota-Gagnoa et Soubré, à raison de 40 à 100 exploitations par site, avec des actualisations partielles en 2018. Ces enquêtes confirment l’hypothèse. L’anacardier, arbre robuste, résistant aux sécheresses, évite pour l’instant aux planteurs tout recours aux intrants chimiques et au crédit, reconstitue un ombrage forestier et est aussi un marqueur de terre (il apporte une sécurité foncière informelle dans le village d’origine des planteurs migrants, mais aussi dans leur village cacaoyer). Il devient l’outil d’une transition écologique et sociale. Cette transition inclut des flux significatifs d’information, de travail et d’investissement entre les deux espaces économiques. Elle relève essentiellement d’une innovation paysanne. En zone cacaoyère, l’anacardier, dans sa dimension agroforestière sous forme d’association avec le cacaoyer, réduit la mortalité des jeunes plants de cacao, et son adoption prend tout son sens de transition agroécologique. L’agriculture familiale est-elle en train de réaliser seule ce que l’industrie du chocolat promet sur le papier : une cacaoculture « zéro-déforestation » et durable ?
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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Otmane, Tayeb, and Abed Bendjelid. "Les petites exploitations agricoles familiales dans les oasis occidentales du Sahara algérien : état et devenir." Les Cahiers d’EMAM, no. 30 (April 18, 2018). http://dx.doi.org/10.4000/emam.1488.

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