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Journal articles on the topic 'Extraits de plantes'

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Guinobert, I., V. Bardot, and M. Dubourdeaux. "De la plante aux effets biologiques de l’extrait : quand la démarche scientifique éclaire les usages." Phytothérapie 17, no. 3 (June 2019): 149–55. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0132.

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Abstract:
L’intérêt porté aux plantes médicinales a considérablement été renouvelé ces dernières années. Cependant, les données fiables sur les extraits de plantes commercialisés sont souvent inexistantes. Une partie du savoir-faire industriel du groupe PiLeJe est axé sur la production d’extraits de plantes dont le profil phytochimique est proche de celui dutotum. Le laboratoire s’efforce d’apporter des preuves scientifiques sur la qualité, l’usage et l’intérêt des extraits de plantes produits. Cela nécessite de recourir à des procédés industriels adaptés, permettant d’extraire et de restituer intacte la majorité des composants de la plante et d’améliorer de façon continue la filière et la production des extraits. De nombreux efforts sont également fournis pour standardiser et caractériser chaque extrait de plante produit et associer au profil phytochimique établi des propriétés et des effets biologiques.
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TRAVEL, Angélique, Rodrigo GUABIRABA, Olivia TAVARES, Denis BELLENOT, Benjamin LEMAIRE, Hanh DUFAT, Christine FILLIAT, et al. "Méthodologies pour choisir et caractériser des extraits de plantes et évaluer leurs activités biologiques sur l’immunité des poulets." INRAE Productions Animales 35, no. 4 (March 1, 2023): 369–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2022.35.4.7337.

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Abstract:
Le potentiel des plantes connues pour leurs vertus médicinales suscite un grand intérêt dans un contexte mondial de réduction des risques d’antibiorésistance. Dans le cadre de la nutrition animale, l’usage des extraits de plantes se positionne dans une démarche de gestion intégrée de la santé des animaux dans le but de favoriser la construction de leur immunité et de limiter l’apparition des maladies. Le soutien des fonctions immunitaires par l’apport d’extraits de plantes est un moyen de renforcer les capacités d’adaptation des poulets, notamment chez le poussin. Pour mettre en œuvre leur usage, cela nécessite de disposer de méthodologies complémentaires, adaptées et fiables pour s’assurer de la qualité et de la valeur ajoutée fonctionnelle des extraits pour la santé des poulets. Les étapes décrites, indépendantes et complémentaires, ont permis d’élaborer et de valider une méthodologie globale, pertinente et robuste pour sélectionner, caractériser et évaluer la qualité et les effets des extraits de plantes sur l’immunité des poulets en situation d’élevage. Des grilles d’analyse ont été rassemblées en un outil d’aide à la décision (CHECK’MEX). Les extraits de plantes sélectionnés comme la mélisse et le ginseng ont été testés pour évaluer leurs capacités à stimuler l’immunité innée des volailles dans des modèles cellulaires ou des modèles d’inflammation et de stress oxydant développés ex vivo sur cellules de poulet. Les extraits ont ensuite été évalués chez le poulet dans des conditions expérimentales proches du terrain permettant de valider leurs effets et de réaliser une analyse multicritère incluant des indicateurs de santé, de bien-être et de zootechnie. Cette démarche est applicable à tous types d’extraits de plantes et elle peut être adaptée pour d’autres espèces animales ou d’autres effets biologiques.
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Oyedum, U. M., F. A. Kuta, S. A. Garba, and S. O. Enejiyon. "Comparative analysis of the phytochemical and antibacterial activity of the root extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 22, no. 4 (September 27, 2021): 504–14. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v22i4.11.

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Abstract:
Background: Over time, herbal plants and their various components have been major sources of therapeutic medicine for man. A comparative study was carried out to determine the phytochemical components and antibacterial activities of the different crude extracts of Euphorbia heterophylla and Vitellaria paradoxa roots on four enteric bacteria; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli and Proteus vulgaris.Methodology: Root samples of E. heterophylla and V. paradoxa were collected, washed, air dried and processed to fine powder in the microbiology laboratory of Federal University of Technology, Minna, Nigeria. Crude extract of the root samples was done by the cold maceration technique using four solvents (chloroform, methanol, petroleum ether and water). Phytochemical analysis of the extracts was done using previously described technique, and in vitro antibacterial activities of different concentrations of the extracts (50-200 mg/ml) and a standard antibiotic (ciprofloxacin) were tested on four enteric bacteria (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) by the agar diffusion test. In vivo antibacterial activities of the two plants were also tested by daily oral administration of 2000 mg/kg bodyweight (for 7 days) of each extract on inbred mice infected through intraperitoneal inoculation of an infective dose of each of the four enteric bacteria. Data were computed as mean ± standard error and analysed by the Statistical Analysis System (SAS) version 9.4. Associations between variables were determined using analysis of variance (ANOVA), with p < 0.05 considered as significant value.Results: Phytochemical analysis of the crude extracts of both plants revealed the presence of cardiac glycosides, saponins, alkaloids, flavonoids, and tannins but V. paradoxa contain more carbohydrates and starch, and less phlobatannins, compared to E. heterophylla. In vitro assay showed dose-dependent antibacterial activity of the methanol, aqueous and chloroform (but not petroleum ether) extracts of the two plant roots. The in vitro antibacterial activities of the different extracts of V. paradoxica extracts were significantly higher (higher mean diameters of inhibition zones) than those of E. heterophylla (p<0.05), and methanol extracts gave the highest antibacterial effects. However, the root extract of E. heterophylla gave a higher antibacterial activity with the in vivo assay on inbred mice than V. paradoxa, and methanol extracts of the two plant extracts gave the highest in vivo activity, followed by aqueous extract and least activity was obtained with the chloroform extract.Conclusion: Crude extracts of E. heterophylla and V. paradoxa roots produce antibacterial activity against enteric Gram-negative bacteria pathogens involved in diarrhoea illnesses. Further researches should be directed towards isolation and characterization of the active compounds in the crude extracts. French title: Analyse comparative de l'activité phytochimique et antibactérienne des extraits de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa Contexte: Au fil du temps, les plantes médicinales et leurs divers composants ont été une source majeure de médecine thérapeutique pour l'homme. Une étude comparative a été réalisée pour déterminer les composants phytochimiques et les activités antibactériennes des différents extraits bruts de racines d'Euphorbia heterophylla et de Vitellaria paradoxa sur quatre bactéries entériques; Salmonella typhi, Shigella flexneri, Escherichia coli et Proteus vulgaris. Méthodologie: Des échantillons de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa ont été collectés, lavés, séchés à l'air et transformés en poudre fine dans le laboratoire de microbiologie de l'Université fédérale de technologie, Minna, Nigéria. L'extraction brute des échantillons de racines a été réalisée par la technique de macération à froid en utilisant quatre solvants (chloroforme, méthanol, éther de pétrole et eau). L'analyse phytochimique des extraits a été effectuée en utilisant la technique décrite précédemment, et les activités antibactériennes in vitro de différentes concentrations des extraits (50-200 mg/ml) et d'un antibiotique standard (ciprofloxacine) ont été testées sur quatre bactéries entériques (S. typhi, S. flexneri, E. coli, P. vulgaris) par le test de diffusion sur gélose. Les activités antibactériennes in vivo des deux plantes ont également été testées par administration orale quotidienne de 2000 mg/kg de poids corporel (pendant 7 jours) de chaque extrait sur des souris consanguines infectées par inoculation intrapéritonéale d'une dose infectieuse de chacune des quatre bactéries entériques. Les données ont été calculées en tant que moyenne ± erreur standard et analysées par le système d'analyse statistique (SAS) version 9.4. Les associations entre les variables ont été déterminées à l'aide d'une analyse de variance (ANOVA), avec p < 0,05 considéré comme une valeur significative. Résultats: L'analyse phytochimique des extraits bruts des deux plantes a révélé la présence de glycosides cardiaques, de saponines, d'alcaloïdes, de flavonoïdes et de tanins mais V. paradoxa contient plus de glucides et d'amidon, et moins de phlobatannins, par rapport à E. heterophylla. Un essai in vitro a montré une activité antibactérienne dose-dépendante des extraits au méthanol, aqueux et au chloroforme (mais pas à l'éther de pétrole) des deux racines des plantes. Les activités antibactériennes in vitro des différents extraits d'extraits de V. paradoxica étaient significativement plus élevées (diamètres moyens des zones d'inhibition plus élevés) que celles d'E. heterophylla (p<0,05), et les extraits au méthanol ont donné les effets antibactériens les plus élevés. Cependant, l'extrait de racine d'E. heterophylla a donné une activité antibactérienne plus élevée avec le test in vivo sur des souris consanguines que V. paradoxa, et les extraits au méthanol des deux extraits de plantes ont donné l'activité in vivo la plus élevée, suivie par l'extrait aqueux et l'activité la plus faible a été obtenu avec l'extrait chloroformique. Conclusion: Des extraits bruts de racines d'E. heterophylla et de V. paradoxa produisent une activité antibactérienne contre les bactéries pathogènes entériques à Gram négatif impliquées dans les maladies diarrhéiques. D'autres recherches devraient être dirigées vers l'isolement et la caractérisation des composés actifs dans les extraits bruts.
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Kela, S. L., R. A. Ogunsusi, V. C. Ogbogu, and N. Nwude. "Dépistage de l'activité molluscicide de quelques plantes nigérianes." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 42, no. 2 (February 1, 1989): 195–202. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8831.

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Abstract:
L'action molluscicide de 25 extraits de plantes nigérianes préparés soit au méthanol, soit avec de l'eau ordinaire, avec ou sans évaporation et utilisés pour différents emplois médicinaux et domestiques a été contrôlée sur des Limnées élevées au laboratoire (Lymnaea natalensis Krauss). Sept plantes se sont révélées inactives ; en revanche, les extraits des 18 plantes restantes (72 p. 100), dont quelques unes sont connues pour leur effet nocif sur les poissons, ont montré une activité molluscicide. Il s'agit de Acacia nilotica, Aristolochia albida, Balanites aegyptiaca, Blighia sapida, Boswellia dalzielii, Detarium microcarpum, Gnidia kraussiana, Kigelia africana, Nauclea latifolia, Opilia celtidefolia, Parkia clappertoniana, Polygonum limbatum, Pseudocedrela kotschyi, Sclerocarya birrea, Securidaca longipedunculata, Ximenia americana, Vetiveria nigritana et Ziziphus abyssinica. Les DL50 de ces extraits ont été déterminés. Il est fortement recommandé que leurs effets toxiques sur les poissons, les cercaires, les oeufs de mollusques et les mammifères fassent l'objet de recherches complémentaires afin de déterminer la concentration adéquate d'utilisation, spécialement dans les étangs à poissons.
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Diarrassouba, Dolourou, Solange Aka, Karamoko Ouattara, Issa Bagre, Nanga Yesse Zinzindorf, Koffi Marcellin Dje, and Yao Guillaume Loukou. "Evaluation of the phytochemical composition and antimicrobial properties of two aromatic plants used in the production of sweet wort and tchapalo, two artisanal beverages from Côte d'Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 9 (March 25, 2021): 3215–30. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i9.19.

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Abstract:
The search for new antimicrobial molecules from natural sources is an opportunity to preserve food. The objective of this study is to evaluate the phytochemical composition and antimicrobial properties of the leaves of Adansonia digitata (Bombacaceae) and the bark of Grewia venusta (Tilaceae), two aromatic plants used in the production of sweet must and tchapalo. Phytochemical screening from the aqueous, decocted and methanolic extracts of these plants was performed using standard colorimetric methods. Antimicrobial activity was also evaluated on 21 strains using the well diffusion method. Minimum Inhibitory Concentrations (MIC) and Bactericides were determined respectively by the liquid macro-dilution and agar plating methods. Results showed the presence of tannins, triterpenoids, cardiotonic glycosides and saponins in these extracts. All extracts were active on Staphylococcus aureus ATCC25923 with inhibition diameters ranging from 10.33±1 to 20.3±1.5 mm. The methanolic extracts had the lowest MICs (12.5 mg/mL), with bactericidal and/or fungicidal activity on most of the microbial strains tested. These results confirm the antimicrobial activities of the phytochemical compounds of these plants that could play the role of stabilizer and preservative of sweet wort and tchapalo. La recherche de nouvelles molécules antimicrobiennes à partir de sources naturelles est une opportunité pour conserver les aliments. L’objectif de cette étude est d’évaluer la composition phytochimique et les propriétés antimicrobiennes des feuilles de Adansonia digitata (Bombacaceae) et des écorces de Grewia venusta (Tilaceae), deux plantes aromatiques utilisées dans la production du moût sucré et du tchapalo. Le criblage phytochimiques à partir des extraits aqueux, décoctés et méthanoliques de ces plantes a été réalisé selon les méthodes standards de colorimétries. L’activité antimicrobienne a été également évaluée sur 21 souches en utilisant la méthode de diffusion en puits. Les Concentrations Minimales Inhibitrices (CMI) et Bactéricides ont été déterminées respectivement par les méthodes de macro-dilution en milieu liquide et ensemencement sur milieu gélosé. Les résultats ont montré la présence de tannins, de triterpénoïdes, de cardiotoniques glycosides et de saponines dans ces extraits. Tous les extraits ont été actifs sur Staphylococcus aureus ATCC25923 avec des diamètres d’inhibition allant de 10,33±1 à 20,3± 1,5 mm. Les extraits méthanoliques ont présenté les CMI les plus faibles (12,5 mg/mL), avec une activité bactéricide et/ou fongicide sur la plupart des souches microbiennes testées. Ces résultats confirment les activités antimicrobiennes des composés phytochimiques de ces plantes qui pourraient jouer le rôle de stabilisant et conservateur du moût sucré et du tchapalo.
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Afassinou, Y. M., L. K. Tokou, Y. I. Sossou, K. Afanlovi, N. Togbenou, K. Koudouvo, and A. Agbonon. "Evaluation de la toxicité subchronique in-vivo des extraits de trois plantes utilisées dans le traitement de l’hypertension artérielle dans la région autonome du Grand Lomé." Journal de la Recherche Scientifique de l’Université de Lomé 26, no. 2 (November 12, 2024): 63–77. http://dx.doi.org/10.4314/jrsul.v26i2.13.

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Abstract:
Introduction : l’utilisation de la médecine traditionnelle dans le traitement de l’hypertension artérielle est courante au Togo. L’objectif de cette étude est d’évaluer la toxicité sub-chronique de trois plantes médicinales utilisées dans le traitement de l’hypertension artérielle à Lomé. Matériels et Méthodes : il s’est agi d’une étude expérimentale réalisée sur une période de 4 mois du 1 er août au 30 novembre 2022. Elle a consisté à évaluer la toxicité sur 28 jours de trois extraits de plantes médicinales utilisées pour traiter l’hypertension artérielle dans le district sanitaire du Grand Lomé, (Uvaria chamae, Acanthospermum hispidum, Senna rotundifolia) à des doses de 250 mgkg-1 , 500 mgkg-1 et de l’eau distillée aux rats témoins. Le comportement et les poids des rats ainsi que des paramètres hématologiques et biochimiques ont été analysés. Résultats : L’administration des extraits pendant les vingt-huit jours n’a provoqué aucun signe clinique de toxicité et aucun décès. Les extraits éthanoliques de Acanthospermum hispidum à 250mg/kg ont induit une baisse pondérale significative des rats à partir du 13e jour jusqu’au 29e jour. Une baisse significative du volume globulaire moyen a été observée avec les extraits éthanoliques Senna rotundifolia à 500 mgkg1 et Acanthospermum hispidum à 250 mgkg-1 et 500 mgkg-1 . Une augmentation des Aspartates aminotransférases a été retrouvée avec l’extrait éthanolique de Uvaria chamae. L’élévation de la créatininémie a été observée avec l’extrait éthanolique de Acanthospermum hispidum à 500 mgkg-1. Conclusion : L’étude de la toxicité de ces plantes chez les rats Wistar révèle un effet mineur qui nécessite d’être confirmé chez les utilisateurs humains
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Haddouchi, F., T. M. Chaouche, and N. Halla. "Screening phytochimique, activités antioxydantes et pouvoir hémolytique de quatre plantes sahariennes d’Algérie." Phytothérapie 16, S1 (December 2018): S254—S262. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0140.

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Abstract:
Les plantes spontanées sahariennes sont très caractéristiques par leur mode d’adaptation particulier à l’environnement désertique très contraignant à leur survie. Certaines espèces possèdent des propriétés pharmacologiques qui leur confèrent un intérêt médicinal. En Algérie, on cherche à mieux connaître le patrimoine des espèces spontanées utilisées en médecine traditionnelle ainsi que leurs principes actifs. C’est dans ce contexte qu’une étude phytochimique, antioxydante et hémolytique des extraits méthanoliques de quatre plantes de Tamanrasset est menée. Il s’agit d’Asteriscus graveolens, de Cymbopogon schoenanthus, de Panicum turgidum et de Pituranthos scoparius. À travers cette étude, nous avons mis en évidence l’existence des flavonoïdes, des tanins cathéchiques, des alcaloïdes et des saponosides dans ces plantes, à l’exception des alcaloïdes qui sont absents dans l’extrait de Cymbopogon schoenanthus. Les teneurs en polyphénols totaux sont plus élevées dans l’extrait d’Asteriscus graveolens (27,74 ± 0,15 mg EAG/g MS) par rapport aux autres extraits. Cependant, les teneurs en flavonoïdes et en tanins condensés, révélées par rapport à la catéchine, sont faibles dans ces espèces. L’activité antioxydante par la méthode de DPPH est plus importante pour l’extrait d’Asteriscus graveolens avec une valeur de CI50 de 26,97 ± 1,04 μg/ml suivi, respectivement, par ceux de Cymbopogon schoenanthus (56,83 ± 1,53 μg/ml) et de Pituranthos scoparius (73,73 ± 1,41 μg/ml). Ces trois extraits sont plus actifs par rapport au butylhydroxytoluène (BHT). En réduisant le fer, c’est l’extrait d’Asteriscus graveolens qui s’est révélé le plus actif avec une concentration de CE50 de 0,99 ± 0,05 mg/ml. Cette valeur reste faible comparativement au BHT. Le test d’hémolyse réalisé a montré que les quatre espèces présentent un effet hémolytique faible. Cependant, les extraits de Cymbopogon schoenanthus et de Panicum turgidum peuvent être légèrement hémolytiques à des concentrations élevées.
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Kela, S. L., R. A. Ogunsusi, V. C. Ogbogu, and N. Nwude. "Sensibilité de <em> Lymnaea natalensis </em> à quelques extraits de plantes, à l'âge de deux semaines." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 42, no. 2 (February 1, 1989): 189–92. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8829.

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Abstract:
Le pouvoir molluscicide de 17 extraits de plantes nigérianes a été évalué sur des Lymnaea natalensis Krauss de 2 semaines (méthode par extraction aqueuse sans évaporation). Cinq extraits ont été inactifs ; en revanche les extraits de Balanites aegytiaca, Blighia sapida, Boswellia dalzielii, Cissampelos mucronata, Detarium microcarpum, Kigelia africana, Opilia celtidifolia, Parkia clappertoniana, Polygonum limbatum, Pseudocedrela kotschyi, Nauclea latifolia et Securidaca longipedunculata avaient un effet molluscicide. Cette capacité permettra de les utiliser à l'avenir dans la lutte intégrée contre Lymnaea natalensis, ainsi que contre d'autres mollusques. Les données de mortalité pour les valeurs de la concentration léthale (DL50) pour tous les extraits ont été analysées par la transformation "probit". Les limites supérieures et inférieures de confiance pour la DL50 (P = 0,05) ont aussi été déterminées.
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Bamba, Moussa, Christel Neut, Simon Bordage, Soro Dramane, Jules Kouadio N’guessan, Sanogo Yacouba, Jennifer Samaillie, Alexis Zamble Bi Tah, Honora Tra Bi Fezan, and Sevser Sahpaz. "Screening phytochimique des extraits méthanoliques des feuilles de Combretum collinum et des racines de Anogeisus leiocarpus et effet antibactérien in vitro sur des souches de Staphylococcus aureus multirésistantes." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 7, 2020): 2362–72. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.34.

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Abstract:
Anogeissus leiocarpus (DC.) Guill. & Perr. (Combretaceae) et Combretum collinum Fresen. (Combretaceae) sont deux plantes de la flore ivoirienne couramment utilisées pour traiter plusieurs pathologies telles que les affections cutanées, le paludisme et la fatigue générale. Ce travail s’inscrit dans le cadre de la valorisation de cette flore. Il vise donc à évaluer l’activité antibactérienne des extraits méthanoliques bruts des feuilles de Combretum collinum et des écorces de racines de Anogeissus leiocarpus sur la croissance "in vitro" des souches de Staphylococcus aureus résistantes à la méticilline. La méthode de diffusion en milieu gélosé (solide) a été utilisée pour évaluer la sensibilité des souches bactériennes aux extraits et à déterminer les concentrations minimales inhibitrices (CMI), Quant au screening phytochimique, il a été réalisé par une chromatographie sur couche mince (CCM). La concentration minimale inhibitrice est comprise entre 0,62 mg/ml et 1,25 mg/ml pour Anogeissus leiocarpus et est de 0,325 mg/ml pour Combretum collinum. Le screening phytochimique a révélé la présence de flavonoïdes et de tanins dans l’extrait méthanolique de Anogeissus leiocarpus alors que dans l’extrait méthanolique de Combretum collinum, ce sont des acides phénoliques qui ont été mis en évidence. Il ressort donc que ces deux plantes sont dotées d’un important pouvoir antibactérien et contiennent plusieurs composés chimiques. Elles pourraient donc constituer des voies de prospection pour la recherche de nouvelles molécules antibactériennes en réalisant une étude bio-guidée des extraits bruts et en évaluant leur cytotoxicité sur des cellules hépatiques saines.Mots clés: Antibactérienne, plantes médicinales, flore ivoirienne, extraits methanoliques English Title: Phytochemical screening of methanolic extracts from leaves of Combretum collinum and roots of Anogeisus leiocarpus and in vitro antibacterial effect on multiresistant strains of Staphylococcus aureus Both Anogeissus leiocarpus (DC.) Guill. & Perr. (Combretaceae) and Combretum collinum Fresen. (Combretaceae) are Ivorian national flora plants commonly used in treating skin disorders, malaria, and general fatigue. The current study consists of the valorization of this flora, and aims therefore at revealing antibacterial activity of the methanol crude extracts obtained from stem bark and leaves of the respective plants, against Methicillin-resistant Staphylococcus aureus strains. Agar gel diffusion method was used to assess bacteria susceptibility, and broth dilution method allowed determination of minimum inhibition concentrations (MICs). These parameters varied from 0.62 mg/ml to 1.25 mg/ml for Anogeissus leiocarpus, while they reached 0.325 mg/ml for Combretum collinum. In addition, phytochemical screening brought about flavonoids and tanins for the plant, and phenolic acids for the other one. In conclusion, these named plants contain several chemical compounds with antibacterial properties, and could be of great interest in the search of new molecular compounds provided with antibacterial activity through bio-guided experiments. Furthermore, they could best hold value by testing those methanol extracts over hepatic sane cells for cytotoxicity assessment. Keywords: antibacterial, medicinal plants, Ivorian national flora, methanolic extracts.
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Koto-Te-Nyiwa Ngbolua, Jean-Paul. "Bio-activité et Etude phytochimique des extraits des Feuilles de Jatropha podagrica Hook. et de Euphorbia hirta L. (Euphorbiaceae)." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 3, no. 4 (December 31, 2024): 571–86. https://doi.org/10.59228/rcst.024.v3.i4.123.

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Abstract:
La drépanocytose est une pathologie génétique qui se caractérise par la présence des érythrocytes dans le sang contenant l'hémoglobine S. En Afrique, cette hémoglobinopathie est la première maladie génétique par le nombre des malades. En République démocratique du Congo, 2% de la population sont malades et la majorité de ces malades meurent avant l’âge de cinq ans lorsqu’ils ne sont pas pris en charge médicalement et ceux qui survivent présentent cependant une atteinte au niveau de certains organes vitaux, qui réduit considérablement leur espérance de vie. Les extraits d’anthocyanes et méthanoliques de Jatropha podagrica et Euphorbia hirta ont été utilisées dans cette étude et ont permis d’évaluer les activités antifalcémiante et antibactérienne. Aussi, différents métabolites secondaires ont été déterminés par chromatographie sur couche mince. Leur profil phytochimique reste dominé par divers métabolites secondaires tels que les coumarines, les flavonoïdes, les acides phénoliques et les terpénoïdes. Quant à la composition minérale, les résultats ont montré de divers éléments, à savoir le calcium, le fer, le sodium et le magnésium. L'activité antibactérienne des extraits de Jatropha podagrica et Euphorbia hirta a été intéressante vis-à-vis des souches bactériennes testées. Les extraits de ces plantes ont montré également de bonnes activités antifalcémiante liées à leurs compositions phytochimiques. Les résultats de l'étude in silico sur l'activité antifacémiante ont confirmé les expériences in vitro. Tous ces résultats constituent des preuves scientifiques validant l'utilisation de ces plantes médicinales pour la gestion de la drépanocytose en RDC.
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Karanga, Yssouf, Amidou Tall, Yibor Fabrice Roland Bako, Ousmane Ilboudo, and Issa Tapsoba. "Etude du comportement électrochimique des flavonoïdes dans l’extrait à l’acétate d’éthyle de <i>Euphorbia hirta</i> L." International Journal of Biological and Chemical Sciences 17, no. 7 (February 22, 2024): 3024–36. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v17i7.32.

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Abstract:
Les extraits de plante sont des mélanges complexes de composés tels que les flavonoïdes dont l’identification nécessite des méthodes conventionnelles souvent sophistiquées et coûteuses. Il est donc nécessaire de développer des méthodes plus simples et abordables en termes de faible coût et de facilité de mise en œuvre pour l’identification de ces composés. Dans le présent travail, nous avons utilisé les méthodes électrochimiques pour étudier le comportement des flavonoïdes en vue de leur identification dans l’extrait d’acétate d’éthyle de Euphorbia hirta L par voltammétrie cyclique. Les voltamogrammes des standards de flavonoïdes ont révélé la présence de plusieurs pics d’oxydation irréversibles attribuables à l’oxydation des différents groupements hydroxyles présents sur l’aglycone. Il ressort de cette étude qu’il serait possible de mettre en évidence la différence entre des flavonoïdes glycosylés et non glycosylés. En effet, l’analyse électrochimique d’un extrait d’acétate d’éthyle de Euphorbia hirta L. et de différentes fractions obtenues à partir d’une chromatographie flash a permis de révéler la présence de la myricitrine, la quercétine, la quercitrine, le kaempférol et la lutéoline dans ces extraits. Les résultats de l’étude ont montré que la méthode électrochimique pourrait être utilisée pour l’identification des flavonoïdes dans les extraits de plantes. English title: Electrochemical behavior of flavonoids from ethyl acetate extract of Euphorbia hirta L. Plant extracts are complex mixtures of compounds such as flavonoids. Identifying these compounds requires conventional methods that are often sophisticated and expensive. It is therefore necessary to develop simples for identification of these compounds. In the present work, we used electrochemical methods to study the behavior of flavonoids for their identification in ethyl acetate extract of Euphorbia hirta L. The voltammograms of the flavonoid standards several irreversible oxidation peaks attributable to the oxidation of the various hydroxyl groups on the aglycone. This study shows that it would be possible to highlight the difference between glycosylated and non- glycosylated flavonoids using the electrochemical tool. Electrochemical analysis of an ethyl acetate extract of Euphorbia hirta L. and various fractions obtained by flash chromatography revealed the presence of myricitrin, quercetin, quercitrin, kaempferol and luteolin in these extracts. The study results showed that the electrochemical method could be used to identify flavonoids in plant extracts
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Piba, Serge Cherry, Pierre Alain Kouassi Konan, Losséni N’gana Kone, Amoin Gervaise Kouame, Richard Kouakoubah Donthy Kouakou, and Honora Fezan Bi Tra. "Phytochimie, activité antioxydante et toxicité aiguë de plantes médicinales utilisées contre les séquelles de l’accident vasculaire cérébral en Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 2 (June 22, 2021): 652–63. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i2.21.

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Abstract:
Les séquelles, après un accident vasculaire cérébral, sont importantes et les patients handicapés moteurs très nombreux. La présente étude a pour objectif de définir le profil phytochimique des cinq plantes les plus utilisées pour traiter les séquelles des AVC en Côte d’Ivoire, d’évaluer leur capacité antioxydante et leur toxicité. Après le screening phytochimique, la teneur en phénols et flavonoïdes ont été quantifiés par la méthode colorimétrique de Folin-Ciocalteu. L’évaluation quantitative du potentiel antioxydant des extraits a été réalisée in vitro par le test au DPPH (1,1-diphényl-2-picryl-hydrazyle). Les tests ont mis en évidence la présence de polyphénols, de tanins et de flavonoïdes dans tous les extraits aqueux. Ces métabolites sont importants dans la prévention et le traitement des maladies cardio-vasculaires. Les taux les plus élevés de polyphénols sont présents dans les extraits aqueux d’écorce de tige de Ficus mucuso (83425,29 μg EAG/g MS) et de rameaux feuillés de Zizyphus mauritiana (74517,24 μg EAG/g MS). La plus forte teneur en flavonoïdes a été observée dans l’extrait aqueux de rameaux feuillés de Ziziphus mauritiana (20,28%). Des capacités antioxydantes importantes ont été observées dans les extraits aqueux du mélange écorces de tige/feuilles de Tamarindus indica (CI50 = 0,1269 mg/ml) et dans l’extrait d’écorce de tige de Ficus mucuso (0,1335 mg/ml). Les tests de toxicité aigüe montrent que l’extrait aqueux de l’écorce de tige de Ficus mucuso, par voie orale, à 5000 mg/kg de pc, est légèrement toxique chez les souris.Mots clés : AVC, séquelles, plantes médicinales, phytochimie, toxicité. English Title: Phytochemistry, antioxidant activity and acute toxicity of medicinal plants used against the sequelae of stroke in Côte d’IvoireThe sequelae after a stroke are significant and there are many patients with motor disabilities. The purpose of this study is to define the phytochemical profile of the five plants most used to treat the sequelae of stroke in Côte d'Ivoire, to assess their antioxidant capacity and their toxicity. After the phytochemical screening, the content of phenols and flavonoids were quantified by the colorimetric method of Folin-Ciocalteu. The quantitative evaluation of the antioxidant potential of the extracts was carried out in vitro by the DPPH (1,1-diphenyl-2-picryl-hydrazyl) test. The tests revealed the presence of polyphenols, tannins and flavonoids in all the aqueous extracts. These metabolites are important in the prevention and treatment of cardiovascular disease. The highest levels of polyphenols are found in aqueous extracts of stem bark of Ficus mucuso (83425.29 μg EAG/ g DM) and leafy twigs of Zizyphus mauritiana (74,517.24 μg EAG / g DM). The highest content of flavonoids was observed in the aqueous extract of leafy twigs of Ziziphus mauritiana (20.28%). Significant antioxidant capacities were observed in the aqueous extracts of the stem bark / leaf mixture of Tamarindus indica (IC50 = 0.1269 mg / ml) and in the extract of the stem bark of Ficus mucuso (0.1335 mg / ml). Acute toxicity tests show that the aqueous extract of the stem bark of Ficus mucuso, taken orally, at 5000 mg / kg bw, is slightly toxic in mice.Keywords: Stroke, sequelae, medicinal plants, phytochemistry, toxicity.
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BELLO, Saliou, K. A. COULIBALY, O. A. BABALAKOUN, and J. ZOUNDJIHEKPON. "Efficacité d’extraits aqueux de plantes pour le contrôle des thrips sur différents cultivars de niébé (Vigna unguiculata) au Nord-Ouest du Bénin." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 9, no. 1 (June 30, 2019): 107–22. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v9i1.67.

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Abstract:
La présente étude a été conduite afin d’évaluer l’efficacité d’extraits aqueux contre les populations de thrips, le rendement en graines et la résistance variétale de six cultivars de niébé. Les extraits aqueux étaient à base d’Hyptis suaveolens, d’Azadirachta indica, de Manihot esculenta, de Thevetia neriifolia et de Cymbopogon nardus. Un dispositif de Fisher en blocs éclatés a été installé auprès de six producteurs dans la commune de Djougou située au Nord-Ouest du Bénin. L’apparition et le nombre de thrips à 34, 41, 48, 55, 62 jours après semis (JAS), le poids de graines de niébé récoltées dans les parcelles expérimentales et le poids de mille graines de niébé étaient les données collectées, Elles étaient soumises à une analyse de variance univariée à trois facteurs (période, cultivar, extrait aqueux) et à la comparaison par paires des moyennes sur mesures répétées avec le test de Tukey au seuil de 5%. Tous les extraits aqueux sauf celui à base de citronnelle (Cymbopogon nardus) ont réduit très significativement (p < 0,0001), la population de thrips dans le cultivar Katché péha. Thevetia neriifolia, Hyptis suaveolens Manihot esculenta, Azadirachta indica et C. nardus ont été par ordre d’importance décroissante, les extraits aqueux les plus efficaces avec des niveaux de rendement très significativement différents (p < 0,0001). Ces niveaux variaient de 885,76 kg/ha à 587,06 kg/ha comparativement à celui du témoin qui a été de 387,28 kg/ha. Les cultivars Katché peha, puis Katché sôwôho, Kpodjiguèguè et Toura pera, ainsi que Katché peha nan soori et Katché sénégal ont été par ordre d’importance décroissant du rendement en graines décroissant, les plus productifs. Les extraits aqueux sont efficaces à divers degrés et peuvent être recommandés. L’étude peut être poursuivie au champ contre les punaises et les pucerons et aussi pour le devenir des graines face aux bruches en stock.
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Cloutier, Conrad, Jean-Marie Perron, and Christine Jean. "Extraits de l'évolution de l'entomologie appliquée au Québec : emphase sur la phytoprotection." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 79–97. http://dx.doi.org/10.7202/038236ar.

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Abstract:
Le développement de l’entomologie au Québec comme science naturelle a commencé avec des naturalistes érudits comme William Couper, Léon Provancher et Henry Lyman qui ont observé abondamment et décrit l’entomofaune du Québec, fondé des sociétés professionnelles et rédigé les premiers ouvrages scientifiques sur les insectes du Québec. Au début du XXe siècle, l’importance économique des plantes agricoles et des essences de coupes forestières a atteint un niveau favorisant la naissance de l’entomologie appliquée. Son développement initial est marqué par la fondation de la SPPQ, la création du premier programme d’études supérieures en entomologie, ainsi que le recrutement d’entomologistes professionnels dans les institutions publiques de protection des plantes contre les ravageurs. Les entomologistes en chef James Fletcher au gouvernement fédéral et Victor Huard au gouvernement provincial, ainsi que les professeurs William Lochhead du Collège Macdonald et Georges Maheux de l’École forestière de l’Université Laval, sont des figures remarquables de cette époque. Les entomologistes publient abondamment sur le cycle de vie des insectes nuisibles, sur les dommages causés et sur les moyens de lutte efficaces avec des insecticides encore primitifs et dangereux. Pendant plusieurs décennies, Ernest-Melville DuPorte se trouve au Collège Macdonald au centre des études supérieures et de la recherche en entomologie au Québec. Après la Seconde Guerre mondiale, la demande en denrées alimentaires et en fibre ligneuse croît à un rythme sans précédent, de même que la lutte aux ravageurs, à l’ère nouvelle des produits chimiques de synthèse, notamment des insecticides comme le DDT. En agriculture, les entomologistes actifs en phytoprotection se regroupent au laboratoire de recherche de Saint-Jean-sur-Richelieu et au Service de la protection des cultures du MAPAQ, ainsi que dans leurs stations de recherche de terrain. La recherche en entomologie forestière se développe à Québec autour du laboratoire fédéral des Laurentides et à la Faculté d’arpentage et de génie forestier (aujourd’hui la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique) de l’Université Laval. Sous la pression de l’industrie forestière, les arrosages aériens aux insecticides deviennent systématiques et sont surtout régis par l’abondance cyclique de la tordeuse des bourgeons de l’épinette. À la fin des années 1960, l’entomologie appliquée prend lentement un virage écologique, ouvert au contrôle naturel des ravageurs et aux idées de la résistance des plantes et de la stimulation de l’impact des agents biologiques de répression. La recherche et la formation aux études supérieures en entomologie connaissent un essor marqué dans les centres universitaires établis et nouvellement créés. La fin du XXe siècle est marquée par l’arrivée des plantes transgéniques résistantes aux ravageurs et les conséquences prévisibles du réchauffement climatique sur l’abondance et la diversité des ravageurs. L’entomologie comme activité scientifique professionnelle s’est enrichie de l’arrivée de nombreuses femmes dans les centres de recherche et les universités, bien qu’affectée par le ralentissement du recrutement d’entomologistes professionnels dans les services publics et les universités et l’incertitude des conditions économiques futures.
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Mohammed, B., M. M. Adua, S. E. Alu, D. Gambo, S. I. Musa, and R. A. Ofukwu. "Comparative efficacy of amprolium and crude extracts of Prosopis africana leaf for the treatment of West African dwarf goats infected with coccidial oocysts." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 1 (February 25, 2022): 124–30. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i1.3410.

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Abstract:
This study aimed at evaluating the comparative efficacy of amprolium and crude extracts of Prosopis africana (Iron tree) leaves in the treatment of West African dwarf goats infected with coccidial oocysts. The efficacy of amprolium, aqueous and methanolic extracts were tested using a total of 20 West African dwarf goats (WAD) of both sexes. The goats were randomly divided into five groups comprising of four goats each for amprolium, aqueous and methanolic extracts. Coccidial oocyst count reduction per gram of faeces was determined. Data collected were subjected to one-way analysis of variance (ANOVA) procedure in SPSS software version 22. The ever increasing cases of coccidiosis in goat's especially young goats have continued to be a source of worry for rural livestock farmers. This is so because they could not afford the available synthetic anticoccidial due to high cost and the chemical residue concerned in animal products and environmental pollution have awaken interest in medicinal plants as an alternative anticoccidial. The result revealed the presence of flavonoids, Saponins and tannins in all the extracts but absence of alkaloids in fresh and dried aqueous extracts except methanolic extract and also absence of glycosides in all the extracts. Maximum percent oocyst count reduction of 93.54% and 99.38% on day six and day eight post treatments (PT) were recorded in goats treated with 100mg/kg b.w. of the fresh leaves aqueous extract and amprolium respectively. It was concluded that the leaves extracts of Prosopis afracana had anticoccidial efficacy that is comparable with the amprolium. Cette étude visait à évaluer l'efficacité comparative de l'amprolium et des extraits crus de feuilles de Prosopis africana (arbre de fer) dans le traitement des chèvres naines d'Afrique de l'Ouest infectées par des oocystes coccidiaux. L'efficacité des extraits d'amprolium, aqueux et méthanolique a été testée sur un total de 20 chèvres naines d'Afrique de l'Ouest (NAO) des deux sexes. Les chèvres ont été réparties au hasard en cinq groupes comprenant chacun quatre chèvres pour les extraits d'amprolium, aqueux et méthanolique. La réduction du nombre d'oocystes coccidiens par gramme de matières fécales a été déterminée. Les données recueillies ont été soumises à une procédure d'analyse de variance à un facteur (ANOVA) dans la version 22 du logiciel SPSS. En effet, ils ne pouvaient pas se permettre l'anticoccidien synthétique disponible en raison du coût élevé et les résidus chimiques concernés dans les produits animaux et la pollution de l'environnement ont suscité l'intérêt pour les plantes médicinales comme anticoccidien alternatif. Le résultat a révélé la présence de flavonoïdes, de saponines et de tanins dans tous les extraits mais l'absence d'alcaloïdes dans les extraits aqueux frais et séchés à l'exception de l'extrait méthanolique et également l'absence deglycosides dans tous les extraits. Le pourcentage maximum de réduction du nombre d'oocystes de 93,54 % et de 99,38 % au jour six et au jour huit après les traitements (AT) a été enregistré chez les chèvres traitées avec 100 mg/kg de poids corporel de l'extrait aqueux de feuilles fraîches et de l'amprolium respectivement. Il a été conclu que les extraits de feuilles de Prosopis afracana avaient une efficacité anticoccidienne comparable à celle de l'amprolium.
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N’guettia Marie, Yah, N’douba Amako Pauline, Koffi Ahébé Marie Hélène, Soro Senan, Kante Drissa, and Koffi N’dodo Boni Clovis. "Controle Des Maladies De La Tomate (Solanum Lycopercicum L.) En Culture Avec Trois Extraits De Plantes A Daloa (Cote D’ivoire)." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 17 (May 31, 2022): 111. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n17p111.

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La culture de la tomate en Côte d’Ivoire est sujette aux attaques de nombreux pathogènes qui sont à l'origine de dégâts au champ et en post-récolte. Aussi pour réduire l’impact des maladies sur les cultures, différentes méthodes de lutte sont utilisées. C’est dans cette optique que cette étude a été entreprise. Elle a consisté à tester l’efficacité des extraits d’Alchornea cordifolia ; Mezoneuron benthamianum, et Tithonia diversifolia sur les symptômes des maladies d’une parcelle de tomate cultivée à Daloa. Les extraits poudreux de ces trois plantes ont été utilisés pour traiter un sol de culture infesté à la quantité 5 g et 15 g par poquet à différentes périodes : un mois et deux semaines avant repiquage et le jour du repiquage. Les résultats montrent que les extraits de A. cordifolia, M. benthamianum et T. diversifolia réduisent considérablement l’incidence et la sévérité des symptômes par rapport au témoin. Ainsi, le traitement du sol un mois avant le repiquage a montré des incidences plus faibles au niveau des symptômes de jaunissement (32,27 à 55 %), de l’enroulement (30 à 45,55 %) et de flétrissement (0 à 8,33 %). Au niveau de la sévérité des symptômes foliaires, le traitement du sol le jour du repiquage a induit une sévérité moindre du jaunissement et de l’enroulement sur les plants de tomate avec M. benthamianum tandis que le sur le flétrissement, c’est le traitement du sol un mois avant le repiquage qui donne les plus faibles sévérités (0 à 0,5) pour tous les traitements. Au niveau des galles racinaires, le traitement du sol un mois avant le repiquage induit des faibles incidences et des symptômes moins sévères. A. cordifolia a été plus efficace à la quantité de 5 g/poquet. Cette étude montre que les extraits de plantes tels que A. cordifolia, M. benthamianum, et T. diversifolia pourraient être utilisés comme méthode efficace de contrôle des maladies de la tomate en culture. The tomato crop in Côte d'Ivoire is subject to attack by many pathogens that cause damage in the field and post-harvest. This study consisted in testing the efficacy of extracts of Alchornea cordifolia; Mezoneuron benthamianum, Tithonia diversifolia on the symptoms of diseases in a tomato plot grown in Daloa. The powdery extracts of these three plants were used to treat crop soil in the quantity of 5g and 15g/pack at different periods: one and two months before transplanting and the day of transplanting. The health analysis of the plants from the infested soil after different applications of A. cordifolia, M. benthamianum and T. diversifolia extracts gave lower incidences and severities of symptoms compared to the control. Thus, the soil treatment one month before transplanting showed the lowest incidences of yellowing (32.27 to 55%), leaf curl (30 to 45.55%), and wilting (0 to 8.33%) symptoms. Regarding the severity of foliar symptoms, the soil treatment on the day of transplanting induced a lower severity of yellowing and leafroll on tomato plants with M. benthamianum while wilting, the soil treatment one month before transplanting gave the lowest severity (0 to 0.5) for all treatments For root galls, soil treatment one month before transplanting induced low incidences and less severe symptoms. A. cordifolia was more effective at 5 g/pack. This study shows that plant extracts such as A. cordifolia, M. benthamianum, and T. diversifolia could be used as an effective method for controlling tomato diseases in cultivation.
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Diatta, B. D., O. Niass, M. Diouf, M. Guèye, E. Houel, and G. Boetsch. "Diversité et composition phytochimique des plantes utilisées comme bâtonnets frotte-dents (cure-dents) par les Peuls de la commune de Tessékéré (Ferlo Nord, Sénégal)." Phytothérapie 19, no. 1 (February 2021): 45–54. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2019-0161.

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Abstract:
Le bâtonnet frotte-dents est un outil d’hygiène buccodentaire en forme de fragment de matière végétale : tige, brindille, petite branche ou racine. Le but de cette étude était de déterminer la composition phytochimique et la teneur en grandes classes chimiques des tiges les plus utilisées comme bâtonnets frotte-dents chez les Peuls de Widou Thiengoli au Nord Ferlo (Sénégal). Des entretiens ouverts semi-structurés ont permis de recueillir les plantes les plus utilisées. L’indice de fidélité renseigne sur la convergence des usages quant à l’emploi des plantes comme bâtonnets frotte-dents comparé aux autres pratiques cosmétiques répertoriées. L’étude de la composition phytochimique des tiges a ciblé huit classes chimiques : stéroïdes, terpénoïdes, tanins, saponines, anthocyanines, leucoanthocyanidines, coumarines, émodines. Les tanins et les saponines sont très fréquents ; les terpénoïdes et les leucoanthocyanines presque inexistants. Un dosage des flavonoïdes, alcaloïdes et polyphénols, réalisé chez des extraits aqueux, a ensuite été effectué sur 12 plantes (huit familles). Les grandes teneurs en polyphénols et alcaloïdes sont mesurées chez Anogeissus leiocarpus, et la meilleure en flavonoïdes chez Commiphora africana.
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DOREAU, M., C. MARTIN, M. EUGÈNE, M. POPOVA, and D. P. MORGAVI. "Leviers d’action pour réduire la production de méthane entérique par les ruminants." INRAE Productions Animales 24, no. 5 (December 8, 2011): 461–74. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.5.3278.

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Abstract:
Cet article fait le point des connaissances sur différentes pistes pour réduire la production de méthane entérique par les ruminants,en privilégiant les approches in vivo, et évalue les possibilités d'application pratique. Il est connu que l'accroissement du pourcentagede concentré dans la ration réduit la production de méthane par kg de matière sèche ingérée. Cet effet est toutefois plus sensible pourdes proportions élevées de concentré. Les céréales diminuent plus la production de méthane que les concentrés riches en fibres.L'addition de lipides à la ration a un effet significatif pour réduire les émissions de méthane. Parmi les fourrages, l'ensilage de maïsentraîne des émissions plus faibles que l'ensilage d'herbe ou le foin ; mais les différences induites entre stades de végétation de l'herbeou entre graminées et légumineuses sont faibles, et parfois controversées. De très nombreux extraits de plantes et autres additifsaux modes d'action divers ont été testés. Les plantes riches en tannins et les tannins extraits des plantes sont efficaces pour réduire leméthane mais le risque de diminution de la digestibilité de la ration doit être considéré. Les autres additifs nécessitent des étudessupplémentaires pour attester leur efficacité sur le long terme. Parmi les biotechnologies, celles visant à réorienter la productiond'hydrogène vers d'autres produits que le méthane sont séduisantes, mais pas encore mises au point. L'accroissement du niveau deproduction des animaux entraîne une réduction de la production de méthane qui est particulièrement marquée quand elle estrapportée au kg de lait ou de viande. Enfin, il y a des différences entre animaux dans l'efficacité globale de production, appréciée parl'ingestion rapportée à un même niveau de production. Les animaux les plus efficaces produisent moins de méthane par kg de lait oude viande. L'article met l'accent sur la nécessité de ne pas considérer la diminution du méthane seule, mais d'évaluer l'efficacité desstratégies proposées sur l'ensemble des GES.
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Falleh, Hanen, Chokri Hafsi, Ichrak Mohsni, and Riadh Ksouri. "Évaluation de différents procédés d’extraction des composés phénoliques d’une plante médicinale : Verbena officinalis." Biologie Aujourd’hui 215, no. 3-4 (2021): 133–42. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2021009.

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Abstract:
Depuis la nuit des temps, les plantes ont été la source principale de molécules bioactives, tels les composés phénoliques, capables de remédier à diverses maladies. Cependant, le contenu et l’activité des polyphénols dépendent d’un certain nombre de facteurs intrinsèques et extrinsèques. Dans le but d’optimiser les procédés d’obtention des principes actifs de la verveine (Verbena officinalis), les effets de la provenance de la plante, du solvant et de la méthode d’extraction ont été évalués. Ainsi, la partie aérienne de V. officinalis a été collectée dans deux régions différentes de la Tunisie (Bizerte et Ain Draham). L’extraction a été réalisée par macération, décoction et par l’appareil de Soxhlet tantôt avec de l’eau tantôt avec de l’éthanol pur. Une variabilité significative des teneurs en composés phénoliques ainsi que des capacités antioxydantes et antimicrobiennes des extraits a été observée en fonction des facteurs étudiés. De manière générale, les extraits éthanoliques sont plus riches en composés phénoliques et présentent des activités antioxydantes plus fortes que les extraits aqueux. Cependant, vis-à-vis de différentes souches pathogènes, les extraits aqueux sont souvent au moins aussi puissants que les extraits éthanoliques pour inhiber la croissance bactérienne in vitro. De plus des différences notables sont observées selon que V. officinalis provient de la région de Bizerte ou d’Ain Draham. Ces résultats montrent que la prise en compte de plusieurs paramètres est nécessaire pour optimiser l’efficacité des procédures d’extraction des molécules bioactives de V. officinalis.
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Akroum, Souâd, and Moad Rouibah. "Utilisation d’extraits méthanoliques de plantes pour la protection des cultures de tomates-cerises (Solanum lycopersicum var. cerasiforme) contre l’infection fongique par Alternaria alternata." Biologie Aujourd’hui 214, no. 1-2 (2020): 55–61. http://dx.doi.org/10.1051/jbio/2020001.

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Abstract:
La tomate-cerise est un fruit très sujet aux infections fongiques qui peuvent causer des dégâts considérables dans les cultures et lors de la conservation. Les alternarioses comptent parmi les altérations les plus répandues et dangereuses pour ce fruit. Elles sont causées par Alternaria alternata ou d’autres espèces appartenant au même genre. Dans ce travail, nous avons testé l’activité antifongique d’extraits méthanoliques de cinq plantes récoltées dans la région de Jijel (Algérie) sur A. alternata. L’activité a d’abord été testée in vitro, puis sur des plants de tomates-cerises cultivés sous serre : les extraits ont été appliqués sur des plants sains, avant l’infection, afin de tester leur action préventive, et après l’infection pour déterminer s’ils sont capables de traiter l’alternariose. Les résultats ont montré que les extraits de Rosmarinus officinalis et Lavandula angustifolia étaient les plus actifs in vitro sur A. alternata. L’observation microscopique de la moisissure a indiqué que ces extraits agissaient en inhibant sa production de dictyospores. L’activité antifongique testée sur les plants cultivés sous serre a révélé que l’extrait de R. officinalis était toujours le plus actif. Venaient ensuite les extraits de L. angustifolia et Punica granatum qui n’ont pas permis la protection des plants contre l’alternariose, mais qui ont néanmoins donné une guérison totale à la fin du traitement. Les extraits de Quercus suber et Eucalyptus globulus étaient les moins actifs. Ils n’ont permis ni la prévention, ni la guérison complète des plants. Le comptage des dictyospores réalisé sur les fruits à la fin du traitement a confirmé les résultats obtenus pour les cultures sous serre.
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Nando, Oro Anne-Nathalie, Yao Kan Séraphin Diby, Ténon Coulibaly, Akpa Alexandre Moise Akpesse, and Kouassi Philippe Kouassi. "Effets insecticides des extraits aqueux de trois plantes (Ocimum gratissimum, Alstonia boonei et Nauclea latifolia) sur les termites prédateurs du manioc (Manihot esculenta Crantz 1766) dans la région d'Agboville (Côte d'Ivoire)." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 24 (August 31, 2024): 80. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n24p80.

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Abstract:
Le manioc représente l’une des principales cultures de production de racines tubéreuses en Afrique conduisant à plusieurs variétés de produits alimentaires. Malheureusement, les termites causent de sérieux dommages à la culture, entrainant une considérable perte de production. La méthode de lutte la plus répandue est l’utilisation des insecticides synthétiques qui représentent un risque réel pour les organismes vivants et l’environnement. Dans la recherche d’alternatives à ces insecticides chimiques, cette présente étude, réalisée dans le département d’Agboville, a pour objectif d’évaluer l’effet insecticides d’extraits aqueux de trois plantes : Ocimum gratissimum (Lamiacée), Nauclea latifolia (Rubiacée) et Alstonia boonei (Apocynacée) dans les champs de manioc. Le dispositif expérimental utilisé est un bloc de Fisher de 5 traitements (3 extraits de plantes, le chlorpyrifos-éthyl, le témoin non traité) avec trois répétitions. Chaque extraits de plante a été concentré à 100g/L et 3,2 ml de pyriforce (dosé à 480g/l de chlorpyrifos-éthyl), produit de référence, ont été dilués dans 2 L d’eau pour les traitements. Les résultats obtenus ont confirmé l’efficacité du chlorpyrifos-éthyl sur les termites ravageurs de manioc. Le traitement par Ocimum gratissimum s’est révélé plus efficace contre les termites, avec un taux d’attaques de termites plus faible (27,78 ± 4,96%) et significativement différent de celui du témoin non traité (66,66 ± 13,17%). Les traitements par Alstonia boonei et par Nauclea latifolia avec des taux d’attaques respectifs de 54,33 ± 8,93 % et 44,44 ± 11,04 % ont été moins efficaces contre les termites. Par ailleurs, l’effet insecticides de ces extraits aqueux de plantes diminue avec le temps. Le test de toxicité par contact réalisé au laboratoire sur Ancistrotermes sp, espèce de termites la plus agressive sur le manioc, a confirmé l’efficacité de Ocimum gratissimum. Toutefois, des études approfondies doivent être menées pour mieux cerner les propriétés anti-termites de cette plante en vue de son utilisation par les paysans. Cassava represents one of the main production crops of tuberous roots in Africa leading to several varieties of products food. Unfortunately, termites cause serious damage to the cultivation, leading to a considerable loss of production. The most effective method of control widespread is the use of synthetic insecticides which represent a real risk to living organisms and the environment. In the search for alternatives to these chemical insecticides, this present study, carried out in the department d’Agboville, aims to aqueous extracts of three plants : Ocimum gratissimum (Lamiacée), Nauclea latifolia (Rubiacée) et Alstonia boonei (Apocynacée) in the cassava fields. The experimental device used is a Fisher block of treatments (3 plant extracts, chlorpyrifos-ethyl, untreated control) with three repetitions. Each plant extract was concentrated to 100 g /L and 3,2 ml of pyriforce (dosed at 480g/l of chlorpyrifos-ethyl), a product of reference, was diluted in 2 l of water for the treatments. The obtained results confirmed the effectiveness of chlorpyrifos -ethyl on cassava termite pests. The treatment with Ocimum gratissimum has proven to be more effective againts termites, with a lower rate of termite attacks (27,78 ± 4,96%) and significantly different from that of the untreated control(66,66 ± 13,17%). Treatment with Alstonia boonei and by Nauclea latifolia with respective attack rates of 54,33 ± 8,93 % and 44,44 ± 11,04 % were less effective against termites. Furthermore, the effect of insecticides from these aqueous plant extracts decreases over time. The test of toxicity by contact carried out in the laboratory an Ancistrotermes sp, a species of termites the most aggressive on cassava, confirmed the effectiveness of Ocimum gratissimum. However, in-depth studies must be anti-termite properties of this plant for its use by farmers.
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Djeneb, Camara, Yapi Adon Basile, Fofié N’guessan Bra Yvette, Ouattara Katinan Etienne, and Zirihi Guédé Noël. "Etude Comparative des Toxicités Cellulaires et Aigües de Ageratum conyzoides L. et de Acanthospermum hispidum DC." European Scientific Journal ESJ 17, no. 40 (November 30, 2021): 74–87. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n40p74.

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Abstract:
Dans la recherche de nouveaux traitements thérapeutiques contre les maladies endémiques et récurrentes ; et dans le but de rassurer la population sur l’utilisation des médicaments à base de plantes, une étude toxicologique de deux adventices médicinales ivoiriennes : Ageratum conyzoides et Acanthospermum hispidum, a été faite. Cette étude consistait à la mise en évidence de la toxicité cellulaire sur les cellules humaines HFF et la toxicité aiguë sur des souris, des extraits éthanoliques 70 % de ces deux plantes. L’extrait éthanolique 70 % de A. hispidum n’est pas toxique, ni pour les cellules humaines aux concentrations de 125 à 1000 μg/mL, ni pour les souris aux doses de 0-45 000 mg/kg/Vo. Aucun signe de changement de comportement n’a été observé à ces mêmes doses. Par contre, l’extrait éthanolique 70 % de A. conyzoides est légèrement toxique sur les cellules HFF en prolifération à 1000 μg/mL (taux de viabilité de 40 %). Cet extrait ne présente pas de toxicité sur les souris à des doses inférieures à 15 000 mg/kg/Vo. Cependant aux doses supérieures à 15 000 mg/kg/Vo bien qu’aucune mortalité de souris n’a été observée, des troubles symptomatiques, des difficultés motrices, une dyspnée et une somnolence chez les souris traitées ont été constatés. Ainsi, ces deux adventices ne présentent pas de toxicité avérée, ce qui justifie leur utilisation dans la médecine traditionnelle.
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Onunkwor, D. N., I. U. Udokwu, E. O. Ekundayo, B. N. Ezenyilimba, J. N. Omumuabuike, and F. C. Ezeoke. "Serum biochemical assay of broiler chickens administered water containing various medicinal plant leaf methanol extract." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 95–100. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3466.

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Abstract:
Bans on the use of antibiotics as feed additives have accelerated and led to investigations of alternative feed additives in animal production. To this end, the response of broiler chickens fed various medicinal plants methanol extract as a replacement for antibiotics was investigated. A total of 180 unsexed Ross strain broiler chickens were randomly assigned to four available plant leaf extract namely, Gercinia kola (Bitter Kola), Alcornea cordifolia (Christmas bush), Pterocarpus santalinoides (Red scandal wood) and Chromolaena odorata (Hagony or Siam weed). Each treatment group had 30 birds each. The treatments were replicated thrice with 10 birds per replicate in a completely randomized design. Feed and water were provided ad libitum throughout the experiment which lasted for 56 days. Serum biochemical indices of the broiler chickens were evaluated. Significant differences (p<0.05) were observed in the mean values of all the parameters measured with the exception of total protein and globulin. However, the values (4.75 – 6.65g/dl) obtained did not reveal any health problem. In conclusion, the findings of this study showed that the medicinal plant methanol extracts have considerable potentials as component of broiler chicken diet. Alcornea cordifolia plant methanol extract can successfully be used to replace antibiotics for broiler production. Further research should be carried out on Alcornea cordifolia and other medicinal plants to examine their potentials and inhibitory characteristics. Les interdictions sur l'utilisation d'antibiotiques sous forme d'additifs alimentaires ont été accélérées et ont conduit à des enquêtes d'additifs alternatifs d'alimentation dans la production animale. À cette fin, la réponse des poulets à griller nourria divers extrait de méthanol de plantes médicinales en remplacement des antibiotiques a été étudiée. Un total de 180 poulets de gril à Ross de Ross nonxé ont été attribués au hasard à quatre extraits de feuilles plantes disponibles, à savoir Gercinia Kola (Kola amère), Alcorna cordifolia (Bush de Noël), Pterocarpus santalinoides (bois de scandale rouge) et Chromolaena odorata (Hagonie ou mauvaise herbe d'Siam). Chaque groupe de traitement comportait 30 poulets chacun. Les traitements ont été reproduits trois fois avec 10 oiseaux par réplication dans une conception complètement randomisée. L'alimentation et l'eau ont été fournies publicitairesdans l'expérience qui a duré 56 jours. Des indices biochimiques sériques des poulets de poulets à griller ont été évalués. Des différences significatives (p <0,05) ont été observées dans les valeurs moyennes de tous les paramètres mesurés à l'exception de la protéine totale et de la globuline. Cependant, les valeurs (4,75 - 6,65 g / dl) obtenues n'ont révélé aucun problème de santé. En conclusion, les conclusions de cette étude ont montré que les extraits de méthanol de méthanol de l'usine médicinale ont des potentiels considérables en tant que composant du régime de poulet au poulet. L'extrait de méthanol d'usine d'Alcorna cordifolia peut être utilisé avec succès pour remplacer les antibiotiques pour la production de poulets à gril. Des recherches supplémentaires devraient être menées sur Alcorna cordifolia et d'autres plantes médicinales pour examiner leurs potentiels et leurs caractéristiques inhibitrices.
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Faye, Elhadji Ousmane, Rokhaya Gueye, Abdoulaye Diop, Idrissa Wagane Faye, Pape Issakha Dieye, Harouna Tirera, Thierno Mouhamed Wane, et al. "Caractérisation phytochimique et étude de l’activité antimicrobienne d’extraits de feuilles de trois plantes de la flore sénégalaise : Detarium senegalense, Detarium microcarpum et Piliostigma reticulatum." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 1 (June 8, 2022): 286–99. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i1.24.

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Abstract:
Detarium senegalense, Detarium microcarpum et Piliostigma reticulatum sont trois plantes de la flore sénégalaise, utilisées en médecine traditionnelle pour la prise en charge de maladies infectieuses. Cette étude visait à déterminer in vitro l’activité antimicrobienne d’extraits et de fractions de feuilles de ces plantes sur différentes souches (Escherichia coli, Klebsiella oxytoca, Pseudomonas aeruginosa, Enterococus faecalis, Staphylococcus aureus et Candida albicans). Les méthodes de diffusion en milieu solide et de dilution en milieu liquide ont été utilisées pour la détermination des Diamètres d’Inhibition (DI) et des Concentrations Minimales Inhibitrices (CMI). Le screening phytochimique a été réalisé par des tests de caractérisation reposant sur des réactions physico-chimiques et par chromatographie sur couche mince. Sur l’ensemble des échantillons testés, seule la fraction dichlorométhanique de P. reticulatum était inactive sur les souches bactériennes étudiées. Les DI variaient entre 10 et 23 mm pour les échantillons actifs. Les CMI étaient comprises entre 0,0293 et 2,50 mg/mL. Les fractions d’acétate d’éthyle étaient les plus actives. Les familles de molécules suivantes ont été identifiées : tanins, flavonoïdes et saponosides. Les teneurs en polyphénols totaux variaient de 0,66 à 19 mg équivalent acide tannique/g. Cette étude a montré que les extraits des trois plantes sont dotés d’un fort pouvoir antimicrobien et contiennent plusieurs familles de composés chimiques.
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Keïta, Y. F., M. O. Diawara, R. R. Assogba, B. Dembélé, M. Keïta, S. Bouaré, A. Traoré, et al. "Évaluation de l’efficacité de biopesticides dans la lutte contre les mouches des fruits (Ceratitis cosyra et Bactrocera dorsalis) au Mali." African Journal of Tropical Entomology Research 2, no. 2 (August 20, 2023): 50–57. http://dx.doi.org/10.58697/ajter020207.

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Abstract:
Le Mali dispose d’un important potentiel de production de mangues. La filière fait cependant face à de nombreuses contraintes dont les bioagresseurs en général et les mouches des fruits en particulier, cela malgré l’utilisation souvent incontrôlée des insecticides chimiques. Or les impacts de ces produits sur la santé des producteurs et l’environnement sont largement admis. Cette étude a été initiée pour tester l’efficacité de trois extraits de plantes sur deux espèces de mouches des fruits (Diptera : Tephritidae) : B. dorsalis et C. cosyra. Elle a été conduite de novembre 2021 à mai 2022 au laboratoire. Les extraits de graines d’Azadirachta indica, les feuilles de Cassia nigricans et Calotropis procera ont été mélangés à l’alimentation des mouches. Un effectif total de 2180 mouches des fruits adultes a été utilisé dont 1620 ont été testés aux trois biopesticides et 560 mouches des fruits utilisées comme témoins. Les doses utilisées étaient de 0,5 ml ; 0,10 ml ; 0,15 ml pour l’huile extraite des graines d’A. indica et 0,5 g ; 0,10 g ; 0,15 g pour les feuilles de C. nigricans et C. procera. L’étude révèle qu’après 72 heures d’exposition le taux de mortalité varie entre 38,5 à 100%. Il en ressort aussi que A. indica était le plus efficace suivi par C. nigricans et C. procera. Les produits testés sont plus efficaces au cours des trois premiers jours d’exposition et pourraient servir dans la lutte biologique contre les mouches des fruits qui sont responsables d’importantes pertes économiques dans la filière mangue au Mali.
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Ait Taadaouit, N., M. Hsaine, A. Rochdi, A. Nilahyane, and R. Bouharroud. "Effet des extraits végétaux méthanoliques de certaines plantes marocaines surTuta absoluta(Lepidoptera, Gelechiidae)." EPPO Bulletin 42, no. 2 (August 2012): 275–80. http://dx.doi.org/10.1111/epp.2571.

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Cheurfa, M., and R. Allem. "Effet des extraits de quelques plantes sur les bactéries pathogènes responsables de gastroentérites." Phytothérapie 15, no. 6 (December 2017): 395–400. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-017-1177-1.

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Ouattara, Etienne Katinan, Kiyinlma Coulibaly, Théodore Dibié Etien, and Noël Guédé Zirihi. "Etude ethnobotanique de plantes antifongiques utilisées traditionnellement en Côte d’Ivoire et du potentiel de Piliostigma Thonningii (schumach.) milneredh. (Fabaceae) dans le contrôle de souches telluriques." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 1 (April 3, 2020): 239–53. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i1.20.

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Abstract:
A la recherche de moyen de lutte contre les agents pathogènes, une enquête ethnobotanique a été menée dans des villages Tagbana (Département de Katiola, Côte d’Ivoire). 102 tradithérapeutes dont 67 femmes et 35 hommes, utilisent 29 espèces de plantes pour leur effet antifongique. La famille des Euphorbiaceae avec 5 espèces, soit 17,85% est la plus représentée. Piliostigma thonningii avec une fréquence de citation de 24,24%, apparait comme l’espèce la plus sollicitée. Le criblage phytochimique réalisé sur les extraits aqueux et éthanolique 70% des feuilles de Piliostigma thonningii a mis en évidence la présence des tanins, des flavonoïdes, des saponines, des stérols, des alcaloïdes et des terpènes. Le potentiel antifongique des extraits aqueux et éthanolique 70% a été évaluée par la méthode de la double dilution en milieu Potato, Dextrose, Agar. Les résultats ont montré que seul l’extrait hydroéthanolique 70% des feuilles de Piliostigma thonningii possèdent des propriétés antifongiques à la fois sur Colletotrichum musae (concentration minimale inhibitrice est 12,5 mg/ml et concentration minimale fongicide est 50 mg/ml) et Sclerotium rolfsii (concentration minimale inhibitrice est 12,5 mg/ml et concentration minimale fongicide est 50 mg/ml). Cette étude met en évidence le pouvoir thérapeutique des plantes médicinales et les principes actifs qu’elles contiennent. Elle pourrait être d’un grand apport dans l’agronomie, dans le cadre de la lutte contre les champignons phytopathogènes. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Mots clés: Plantes antifongiques, Piliostigma thonningii, Sclerotium rolfsii, Colletotrichum musae, Côte d’Ivoire English Title: Ethnobotanical study of antifungal plants traditionally used in ivory coast and the potential of Piliostigma Thonningii (schumach.) milne-redh. (fabaceae) in the control of telluric English Abstract In search of a means of fight against pathogens, an ethnobotanical survey was carried out in Tagbana villages (Katiola Department, Ivory Coast), of which, 102 traditherapists including 67 women and 35 men, use 29 species of plants for their antifungal effect. The family Euphorbiaceae with 5 species, 17.85% is the most represented. Piliostigma thonningii with a citation rate of 24.24%, appears as the most requested species. Phytochemical screening on the aqueous and ethanolic extracts of Piliostigma thonningii leaves revealed the presence of tannins, flavonoids, saponins, sterols, alkaloids and terpenes. The antifungal potential of the aqueous and ethanolic 70% extracts was evaluated by the double dilution method in Potato, Dextrose, Agar medium. The results showed that only the 70% hydroethanolic extract of Piliostigma thonningii leaves had antifungal properties on both Colletotrichum musae (minimum inhibitory concentration is 12.5 mg/ml and minimum fungicide concentration is 50 mg/ml) and Sclerotium rolfsii (minimum inhibitory concentration is 12.5 mg/ml and minimum fungicide concentration is 50 mg/ml). This study highlights the therapeutic power of medicinal plants and the active ingredients they contain. It could be of great help in agronomy, in the fight against phytopathogenic fungi. © 2020 International Formulae Group. All rights reserved. Keywords: Antifungal plants, Piliostigma thonningii, Sclerotium rolfsii, Colletotrichum musae, Ivory Coast
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Ze Medjap, Abel Second, René Bikomo Mbonomo, and Aoudou Yaouba. "Efficacité in-vitro des extraits aqueux, éthanoliques et des huiles essentielles de Chromoloena odorata et d’Ageratum conyzoïdes sur le développement des champignons responsables des pourritures de cabosses de cacaoyers (Theobroma cacao L.)." Cameroon Journal of Experimental Biology 14, no. 1 (March 10, 2021): 40–49. http://dx.doi.org/10.4314/cajeb.v14i1.5.

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Abstract:
La présente étude se propose d’étudier l’efficacité des extraits aqueux, éthanoliques et des huiles essentielles de Chromolaena odorata et d’Ageratum conyzoïdes sur le développement des champignons responsables des pourritures des cabosses de cacaoyers dans les plantations villageoises d’Akonolinga, Dizangué et Tonga. Les extraits ont été obtenus par macération de 100 g de poudre de chaque plante. Les huiles essentielles obtenues par centrifugation ont été fixées par le sulfate de sodium anhydre. Trois milieux de cultures V6, V8 et le milieu Pomme de terre – Dextrose - Agar (PDA) ont été fabriqués pour la culture des champignons associés aux cabosses. Les extraits et huiles essentielles de plantes ont été préparés aux concentrations de 5 ; 10 ; 15 et 20 mg/ml. L’essai a été conduit suivant un dispositif en blocs complets aléatoires avec 3 répétitions. La fréquence d’isolement de chaque champignon par localité, la surface des lésions développées sur les cabosses infectées et le pourcentage d'inhibition PI (%) des champignons pathogènes ont été mesurés et soumises à l’analyse de la variance (ANOVA). Les moyennes obtenues ont été séparées par le test de Duncan au seuil de probabilité 5%. Les résultats suivants ont été obtenus : sur 8 espèces isolées, seulement Phytophtora megakarya, Botryodiplodia theobromae et Colletotrichum gloeosporioides. ont été pathogènes sur les cabosses saines. L’analyse statistique a montré des différences significatives (à P ≤ 0,05) entre les surfaces des lésions causées par ces champignons sur les cabosses entre le 4ième, 7ème et 10ème jour après inoculation (JAI) en fonction des espèces fongiques testées. Les extraits aqueux de C. odorata et d’A. conyzoides à la concentration de 20 mg/ml ont présenté des pourcentages d’inhibition à 100 % sur P. megakarya, B. theobromae et C. gloeosporioides. Les extraits éthanoliques et les huiles essentielles ont inhibé le développement de B. theobromae, de C. gloeosporioides et de P. megakarya à 100 % aux concentrations de 15 et 20 mg/ml. Les extraits et huiles essentielles de C. odorata et d’A. conyzoïdes pourraient donc être utilisés pour lutter contre les champignons responsables des pourritures de cabosses de cacaoyers.Abstract This work is to evaluate the antifungal activity of Chromolaena odorata and Ageratum conyzoides on the development of mycoflora associated with cocoa pods diseases in villager plantations in Akonolinga, Dizangue and Tonga. Extracts were obtained by steeping of 100 g of powder of each plant. Essential oil extractions were done through centrifugation. Essential oil were fixed by sulfate of sodium anhydre. Three culture media V6, V8 and Potato Dextrose Agar (PDA) were made to cultivate mycoflora associated with cocoa pods Data were randomized into completely blocs with three replications. Frequency of each fungus per locality, lesion area developed on cocoa pod by fungi and percentage of inhibition PI (%) of each fungus were being submitted in variance analysis. Means were separated by Duncan test with (P ≤ 0, 05). The results showed that: over 8 varieties of fungal species isolated from cocoa pods, unly Phytophthora megakarya, Botryodiplodia theobromae and Colletotrichum gloeosporioides were pathogens on cocoa pod inoculated. The analysis of the variance showed significatives differences (P ≤ 0, 05) of area lesions on cocoa pods between the 4th, 7th and the 10th days after inoculation. Mycelia growth was stopped at the concentrations of 20 mg/ml for aqueous extracts, of 15 and 20 mg/ml ethanolic extracts and essential oil. .The extracts and essential oil of C. odorata and A. conyzoides can be used to fight against micoflora associated with cocoa pods disease.
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Ngando, W. E., M. J. E. Essouma, V. A. Voula, O. J. S. Ondoua, Y. T. Djoah, L. Ngatourbam, A. O. Onana, and B. Z. Zing. "Evaluation de l’effet insecticide de certaines plantes locales sur les performances agronomiques de la tomate dans la réserve forestière de Mbalmayo (Cameroun)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 3 (August 29, 2022): 1253–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i3.27.

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Abstract:
L’utilisation des pesticides chimiques dans la lutte contre les ravageurs des plantes cultivées est très onéreuse et non respectueuse de l’environnement. Cette situation est tellement préoccupante qu’il est impératif de trouver davantage des méthodes de traitements palliatives à ces problèmes. C’est ainsi que cette étude a été faite avec pour objectif d’évaluer l’efficacité des extraits aqueux de Tithonia diversifolia et de Nicotiana tabacum sur la croissance et le développement de la tomate. Le dispositif expérimental était constitué de 24 parcelles répartis dans 8 blocs de 3 sous-unités complètement randomisés. 8 traitements ont été appliqués, à savoir, le produit de référence (PR) à la dose de 33 ml par pulvérisateur de 15 litres d’eau, les extraits aqueux de feuilles de Nicotiana tabacum Ta (30%), Ta (40%), Ta (50%), et de Tithonia diversifolia Ti (30%), Ti (40%), Ti (50%) et un traitement témoins (TNT). Les résultats ont montré que trois traitements sur huit ont permis d’avoir des meilleurs paramètres agronomiques à 18, 32 et 46 Jours Après Repiquage. PR a présenté un poids frais de 67,19±3,19 Kg; un poids sec de 5,79±0,31 Kg et un rendement de 705,53±33,44 Kg/ha. Suivi de Ta (50) qui a présenté 66,26±5,52 Kg; 5,64±0,54 Kg et 695,73±32,97 Kg/ha respectivement. Enfin, Ti (50%) où l’on a observé 62,60±5,52 Kg; 5,34±0,54 Kg et 657,30±31,14 Kg/ha. En revanche, le TNT a enregistré la performance agronomique la moins satisfaisante dans l’ensemble. Ainsi, Ta (50%) et Ti (50%) ont permis d’avoir des performances agronomiques satisfaisantes sans différences significatives avec le PR. Alors, les extraits aqueux d’une concentration de 50% de chacune de ces deux espèces peuvent être conseillés aux agriculteurs dans le cadre de la lutte contre les ravageurs de la tomate (Lycopercicum esculentum). The use of chemical pesticides in the control of crop pests is very expensive and not environmentally friendly. This situation is so worrying that it is imperative to find more palliative treatment methods to these problems. Thus, this study was carried out with the objective of evaluating the efficacy of aqueous extracts of Tithonia diversifolia and Nicotiana tabacum on the growth and development of tomato. The experimental set-up consisted of 24 plots divided into 8 completely randomised blocks of 3 sub-units. Eight treatments were applied, namely, the reference product (RP) at a dose of 33 ml per 15 litre water sprayer, the aqueous leaf extracts of Nicotiana tabacum Ta (30%), Ta (40%), Ta (50%), and Tithonia diversifolia Ti (30%), Ti (40%), Ti (50%) and a control treatment (TNT). The results showed that three out of eight treatments gave better agronomic parameters at 18, 32 and 46 Days After Planting. PR had a fresh weight of 67.19±3.19 Kg; a dry weight of 5.79±0.31 Kg and a yield of 705.53±33.44 Kg/ha. Followed by Ta (50) which presented 66.26±5.52 Kg; 5.64±0.54 Kg and 695.73±32.97 Kg/ha respectively. Finally, Ti (50%) where 62.60±5.52 Kg; 5.34±0.54 Kg and 657.30±31.14 Kg/ha respectively were observed. On the other hand, the TNT treatment recorded the least satisfactory agronomic performance overall. Thus, Ta (50%) and Ti (50%) provided satisfactory agronomic performance without significant differences with the PR. So, the aqueous extracts of 50% concentration of each of these two species can be advised to the farmers in the pest control of tomato (Lycopercicum esculentum).
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Nyaka, Aurélie Irène Claire Ngobisa, Sine Nsangou Mfiya Zahrah Fadimatou, Camille Ulrich Dzoyem Dzokouo, Sali Bourou, and Aoudou Yaouba. "Effet antifongique de deux extraits de plantes sur les agents pathogènes identifiés sur des fruits de l’anacardier (Anacardium occidentale L.) au Nord Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 3 (September 9, 2021): 1121–39. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i3.21.

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Abstract:
L’anacardier (Anacardium occidentale L.), importante culture de rente, est confrontée à la menace de nombreux pathogènes qui entravent sa productivité au Cameroun. Dès lors, cette étude se propose de déterminer le potentiel d’une lutte biologique à base d’extraits végétaux sur les champignons pathogènes identifiés sur des fruits prélevés dans le bassin de la Benoué. Pour atteindre ces objectifs, l’identification des agents pathogènes des fruits, des tests de pathogénicité et l’évaluation de l’effet antifongique in vitro et in vivo des extraits de piments et de neem ont été effectués. Les résultats ont montré que ces fruits abritent une diversité d’espèces fongiques dont les principales sont Colletotrichum gloeosporioides, Oïdium anacardii, Fusarium solani, Aspergillus niger et Phytophthora sp. Les tests de pathogénicité ont produit les symptômes des maladies observées sur le terrain. L’huile de neem et les extrait de piment ont inhibé totalement la croissance de C. gloeosporioides, O. anacardii et A. niger aux doses respectives de 7,5% v/v et 75 mg/ml. Cependant, l'huile de neem s'est avérée plus efficace. Ces résultats représentent des sources d'information précieuses pour l’implémentation d'une stratégie de lutte intégrée contre les agents pathogènes de l’anacardier à l’origine de la baisse de sa productivité, affectant ainsi son potentiel économique. English Title: Antifungal effect of two plant extracts on pathogens identified on fruits of Cashew tree (Anacardium occidentale L.) in North Cameroon The Cashew tree (Anacardium occidentale L.), an important cash crop, is challenged by the proliferation of pathogens that affect its productivity in Cameroon. Therefore, this study aims to determine the potential of a biological control based on plant extracts on pathogenic fungi identified on fruits collected in the Benoué basin. To achieve these objectives, identification of fruit pathogens, pathogenicity tests and evaluation of the in vitro and in vivo antifungal effect of chilli and neem extracts were carried out. The results showed that these fruits harbour a diversity of fungal species, of which the main ones are Colletotrichum gloeosporioides, Oïdium anacardii, Fusarium solani, Aspergillus niger and Phytophthora sp. The pathogenicity tests have generated the symptoms of the diseases observed in the field. Neem oil and chilli extracts completely inhibited the growth of C. gloeosporioides, O. anacardii and A. niger at doses of 7.5% v/v and 75 mg/ml respectively. However, neem oil proved to be more effective. These results represent valuable sources of information for the implementation of an integrated pest management strategy against cashew pathogens that impede the productivity of the tree, thereby affecting its economic potential.
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Tidou, Sylvie Noëlle, Landry Sylvain Kouakou, Gisèle Siransy Kouakou, and Guédé Noëlle Zirihi. "Etude Analgésique des Extraits Hydroéthanoliques de Clerodendrum splendens G. Don (Lamiaceae) et Nephrolepis bisserata (Sw.) Schott (Nephrolepidaceae) : Deux Plantes de la Pharmacopée Ivoirienne." European Scientific Journal, ESJ 20, no. 6 (February 29, 2024): 244. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2024.v20n6p244.

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La présente étude avait pour objectif général d’évaluer l’activité analgésique des extraits hydroéthanolique de Clerodendrum splendens et Nephrolepsis bisserata. Cette étude s’est faite en utilisant le Writhing test induit par l’acide acétique 1% par voie intrapéritonéale et le test d’immersion de la queue chez la souris. Le paracétamol, à la dose de 100 mg/kg de poids corps corporelle (pc) et l’extrait hydroéthanolique ont été administrés par voie orale. La morphine à la dose de 10 mg/kg de pc a été administrée par voie intrapéritonéale. Les résultats ont montré que les extraits de Clerodendrum splendens et Nephrolepsis bisserata administrés aux doses de 50, 100 et 200 mg/kg de pc chacun présentaient des pourcentages d’inhibition respectivement de 56,44 ; 61,28 ; 98,39 pour Clerodendrum splendens et 98,39, 87,10 ; 95,16 pour Nephrolepsis bisserata. Par contre, le paracétamol a donné un pourcentage d’inhibition de 91, 93. Aux temps T30, la morphine a fortement prolongé le retrait de la queue des souris avec une moyenne de 8,6±0,2 s contre 3,6±0,2 s, 4,4±0,5 s et 5,6±0,2 s pour la solution de (Clerodendrum splendens + Nephrolepsis bisserata) respectivement aux doses de 5 mg/ml, 10 mg/ml et 15 mg/ml. Cependant à la 150éme minute, notre extrait a fortement prolongé les temps de retrait de la queue des souris avec des moyennes de 8±0,4, 10,6±0,5 et 12,2±0,4 s (respectivement aux doses de 5 mg/ml, 10 mg/ml et 15 mg/ml) par rapport à celui de la morphine (6,2±0,2 s). L’effet analgésique de Clerodendrum splendens et Nephrolepsis bisserata justifierait l’utilisation de ces deux espèces de plantes par les populations pour soulager la douleur. The general aim of the present study was to evaluate the analgesic activity of hydroethanol extracts of Clerodendrum splendens and Nephrolepsis bisserata. This evaluation was carried out using the Writhing test induced by 1% acetic acid intraperitoneally and the tail immersion test in mice. Paracetamol at a dose of 100 mg/Kg body weight (bw) and hydroethanol extract were administered orally. Morphine at a dose of 10 mg/kg bw was administered intraperitoneally. The results showed that extracts of Clerodendrum splendens and Nephrolepsis bisserata administered at doses of 50, 100 and 200 mg/Kg bw each presented inhibition percentages of 56.44; 61.28; 98.39, 98.39, 87.10; 95.16 respectively versus 91, 93 for paracetamol. At times T30, morphine greatly prolonged tail withdrawal in mice, with an average of 8.6±0.2 s versus 3.6±0.2 s, 4.4±0.5 s and 5.6±0.2 s for our (NB+CS) solution at doses of 5mg/ml, 10mg/ml and 15mg/ml respectively. However, at the 150th minute, our extract greatly prolonged the tail withdrawal times of the mice, with averages of 8±0.4, 10.6±0.5 and 12.2±0.4 s (at doses of 5mg/ml, 10mg/ml and 15mg/ml respectively) compared with morphine (6.2±0.2 s). The analgesic effect of Clerodendrum splendens and Nephrolepsis bisserata justifies their use by local populations to relieve pain.
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Sunda, Teddy Makuba, Nicolas Kalulu Muzele Taba, and Papy Mola Mbala. "Contribution à l’étude de la désinfection de l’eau par photosensibilisation avec des extraits de plantes." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 1 (May 29, 2017): 305. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i1.24.

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Makuba, Teddy Sunda, Kalulu Muzele Taba, Francis Rosillon, and Bernard Wathelet. "Contribution à l’étude de la désinfection de l’eau par photosensibilisation avec des extraits de plantes." Comptes Rendus Chimie 19, no. 7 (July 2016): 827–31. http://dx.doi.org/10.1016/j.crci.2016.01.012.

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Sunda, Makuba Teddy, Francis Rosillon, and Kalulu Muzele Nicolas Taba. "Contribution à l’étude de la désinfection de l’eau par photosensibilisation avec des extraits de plantes." European journal of water quality 39, no. 2 (2008): 199–209. http://dx.doi.org/10.1051/water/2008006.

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Onunkwor, D. N., I. U. Udokwu, E. O. Ekundayo, B. N. Ezenyilimba, J. N. Omumuabuike, and F. C. Ezeoke. "Carcass and internal organ changes in broiler chickens administered water containing various medicinal plant leaf methanol extracts." Nigerian Journal of Animal Production 49, no. 2 (March 8, 2022): 209–14. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v49i2.3481.

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The discovery that the use of antibiotic in food animals is fueling the increasing problem of transmitting resistance bacteria from food animals to man has led to the search for an alternative to the use of antibiotics. To this end, the response of broiler chickens administered various medicinal plant methanol extract as a replacement for antibiotics was investigated. The plant extracts encompass four available leaves; Gereinia kola (Bitter Kola), Alcornea cordifolia (Christmas bush), Pterocarpus santalinoides (Red scandal wood) and Chromolera Odorata (Hagony or Siam weed). The experimental diet was same for all the treatment groups since the methanol extract of the leaves were administered in their drinking water against synthetic antibiotics. 180 unsexed Ross strain broiler chickens were randomly assigned to these dietary treatments which had 30 birds each. The treatments were replicated thrice with 10 birds per replicate in a Completely Randomized Design (CRD). Feed and water were provided ad libitum throughout the experiment which lasted for 56 days. Carcass characteristics and internal organ proportions were considered which differed significantly (p<0.05). Treatment 5 (Alcornea Cordifolia) had a significant reduction in abdominal fat when compared to the positive control group. The findings of this study conclude that the medicinal plant methanol extract has considerable potentials as component of broiler chickens'water. Alcornea cordifolia plant methanol extract can successfully be used to replace antibiotics for broiler production. La découverte que l'utilisation d'antibiotiques chez les animaux destinés à l'alimentation alimente le problème croissant de la transmission à l'homme de bactéries résistantes des animaux destinés à l'alimentation a conduit à la recherche d'une alternative à l'utilisation d'antibiotiques. À cette fin, la réponse des poulets à griller ayant reçu divers extraits de méthanol de plantes médicinales en remplacement des antibiotiques a été étudiée. Les extraits de plantes englobent quatre feuilles disponibles ; Gereinia kola (Cola amer), Alcornea cordifolia (Buisson de Noël), Pterocarpus santalinoides (Bois de scandale rouge) et Chromolera Odorata (Mauvaise herbe d'Hagony et Siam). Le régime alimentaire expérimental était le même pour tous les groupes de traitement puisque l'extrait de méthanoldes feuilles a été administré dans leur eau de boisson contre des antibiotiques de synthèse. 180 poulets de chair de souche Ross non sexés ont été assignés au hasard à ces traitements diététiques qui avaient 30 oiseaux chacun. Les traitements ont été répétés trois fois avec 10 oiseaux par répétition dans un plan complètement randomisé (PCR). La nourriture et l'eau ont été fournies à volonté tout au long de l'expérience qui a duré 56 jours. Les caractéristiques de la carcasse et les proportions des organes internes ont été prises en compte et différaient significativement (p<0,05). Le traitement 5 (Alcornea Cordifolia) a entraîné une réduction significative de la graisse abdominale par rapport au groupe témoin positif. Les résultats de cette étude concluent que l'extrait de méthanol de plantes médicinales a des potentiels considérables en tant que composant de l'eau des poulets à griller. L'extrait de méthanol de la plante Alcornea cordifolia peut être utilisé avec succès pour remplacer les antibiotiques pour la production de poulets à griller.
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Zenoh, D. A., B. Josephus, N. Halley, Endurance Okpan, Henry Chukwuemeka, and Akumbo Gemenen. "Evaluation of antimicrobial properties of five medicinal plants used against bacterial infections in Jalingo, Nigeria." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 25, no. 2 (April 3, 2024): 219–26. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v25i2.13.

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Abstract:
Background: The prevalent utilization of medicinal plants in communities underscores their promise as antimicrobial agents amid rising antibiotic resistance. This study assesses five medicinal plants; Bambusa vulgaris, Hibiscus sabdariffa, Heteropogon contortus, Moringa oleifera, and Carica papaya against clinical isolates of Salmonella Typhi and Shigella dysenteriae. Methodology: Five medicinal plants were chosen based on traditional knowledge and ethnobotanical practices. Phytochemical analysis followed standard methods. Plant extracts were prepared using ethanol, ethyl acetate, dichloromethane, and hexane. Various concentrations (R conc., D1 conc., D2 conc, D3 conc, and D4 conc) of the extracts were evaluated using Kirby-Bauer disk diffusion and broth dilution methods to ascertain antimicrobial properties, including minimum inhibitory concentrations (MIC) and minimum bactericidal concentrations (MBC). Results: Phytochemical analysis revealed abundant saponins, cardiac glycosides, terpenoids, steroids, flavonoids, phenolics, and tannins, notably higher with ethanol extraction. Hibiscus sabdariffa demonstrated potent activity against S. Typhi with inhibition zone diameters of 29.00 mm (R conc), 27.00 mm (D1 conc), 14.00 mm (D2 conc), and 4.00 mm (D3 conc). Heteropogon contortus exhibited activity against S. dysenteriae with inhibition zone diameter of 25.05 mm (R conc), 15.00 mm (D1 conc), 10.00 mm (D2 conc), and 5.00 mm (D3 onc). The inhibition zone diameters of B. vulgaris were 18.50 mm (R conc), 17.00 mm (D1 conc), and 10.00 mm (D2 conc) against S. dysenteriae. The MIC and MBC were similar for both organisms, with H. sabdariffa (MIC: D3-4.27 mg/mL, MBC: D1-68.25 mg/mL) and H. contortus (MIC: D3-4.69 mg/mL, MBC: R-75.00 mg/mL), while M. oleifera, C. papaya, and B. vulgaris had negligible antimicrobial activity. Conclusion: Hibiscus sabdariffa and H. contortus exhibited potent antimicrobial effects against Salmonella, with MICs of 4.27 mg/mL and 4.69 mg/mL, and MBCs of 68.25 mg/mL and 75.00 mg/mL respectively. Their consistent low MICs against Shigella suggest their potentials for antibiotic production. Contexte: L’utilisation répandue des plantes médicinales dans les communautés souligne leur promesse en tant qu’agents antimicrobiens dans un contexte de résistance croissante aux antibiotiques. Cette étude évalue cinq plantes médicinales; Bambusa vulgaris, Hibiscus sabdariffa, Heteropogon contortus, Moringa oleifera et Carica papaya contre les isolats cliniques de Salmonella Typhi et Shigella dysenteriae. Méthodologie: Cinq plantes médicinales ont été choisies sur la base des connaissances traditionnelles et des pratiques ethnobotaniques. L'analyse phytochimique a suivi les méthodes standard. Des extraits de plantes ont été préparés en utilisant de l'éthanol, de l'acétate d'éthyle, du dichlorométhane et de l'hexane. Diverses concentrations (R conc., D1 conc., D2 conc., D3 conc et D4 conc) des extraits ont été évaluées à l'aide des méthodes de diffusion sur disque Kirby-Bauer et de dilution en bouillon pour vérifier les propriétés antimicrobiennes, y compris les concentrations minimales inhibitrices (CMI) et les concentrations minimales concentrations bactéricides (MBC). Résultats: L'analyse phytochimique a révélé une abondance de saponines, de glycosides cardiaques, de terpénoïdes, de stéroïdes, de flavonoïdes, de composés phénoliques et de tanins, notamment plus élevés avec l'extraction à l'éthanol. Hibiscus sabdariffa a démontré une activité puissante contre S. Typhi avec des diamètres de zone d'inhibition de 29,00 mm (conc R), 27,00 mm (conc D1), 14,00 mm (conc D2) et 4,00 mm (conc D3). Heteropogon contortus a présenté une activité contre S. dysenteriae avec un diamètre de zone d'inhibition de 25,05 mm (R conc), 15,00 mm (D1 conc), 10,00 mm (D2 conc) et 5,00 mm (D3 onc). Les diamètres des zones d'inhibition de B. vulgaris étaient de 18,50 mm (conc R), 17,00 mm (conc D1) et 10,00 mm (conc D2) contre S. dysenteriae. La CMI et la MBC étaient similaires pour les deux organismes, avec H. sabdariffa (CMI: D3-4,27 mg/mL, MBC: D1-68,25 mg/mL) et H. contortus (CMI: D3-4,69 mg/mL, MBC: R -75,00 mg/mL), tandis que M. oleifera, C. papaya et B. vulgaris avaient une activité antimicrobienne négligeable. Conclusion: Hibiscus sabdariffa et H. contortus ont présenté de puissants effets antimicrobiens contre Salmonella, avec des CMI de 4,27 mg/mL et 4,69 mg/mL et des MBC de 68,25 mg/mL et 75,00 mg/mL respectivement. Leurs CMI constamment faibles contre Shigella suggèrent leur potentiel de production d’antibiotiques.
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Désiré Diatta, Bétémondji, Ousmane Niass, Massamba Diouf, Mathieu Guèye, Emeline Houel, and Gilles Boetsch. "Diversité et composition phytochimique des bâtonnets frotte-dents (cure-dents) proposés chez les Peul de la commune de Tessékéré (Ferlo Nord, Sénégal)." Journal of Applied Biosciences 158 (February 28, 2021): 16267–81. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.158.1.

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Objectifs : Le but de cette étude était de déterminer la composition phytochimique et la teneur en grandes classes chimiques des tiges les plus utilisées comme bâtonnets frotte-dents chez les peul de Widou Thiengoli au Nord Ferlo (Sénégal). Méthodes et résultats : Des entretiens ouverts semi structurés ont permis de recueillir les plantes les plus utilisées. L’indice de fidélité renseigne sur la convergence des usages quant à l’emploi des plantes comme bâtonnets frotte-dent comparé aux autres pratiques cosmétiques. L’étude de la composition phytochimique des tiges a ciblé 8 classes chimiques. Les tanins et les saponines sont très fréquents ; les terpénoïdes et les leuco-anthocyanines presque inexistants. Un dosage des flavonoïdes, alcaloïdes et polyphénols, réalisé chez des extraits aqueux, a porté sur 12 plantes. Les meilleures teneurs en polyphénols et alcaloïdes sont recueillies chez Anogeissus leiocarpa, et la meilleure en flavonoïdes chez Commiphora africana. Conclusion et applicabilité des résultats : Ces résultats permettent de sélectionner à travers la composition phytochimique des plantes, les espèces présentant de potentielles activités antimicrobiennes, car renfermant des composés phytochimique doués de fonctions germicides, au- delà de la fonction mécanique connue des bâtonnets dans l’élimination de la plaque dentaire. Mots clés : Bâtonnets frotte-dents, Dosage phytochimique, Ethnobotanique, Téssékéré, Ferlo Nord, 52 Sénégal Diatta et al., J. Appl. Biosci. 2021 Diversité et composition phytochimique des bâtonnets frotte-dents (cure-dents) proposés chez les Peul de la commune de Tessékéré (Ferlo Nord, Sénégal) 16268 Diversity and phytochemical composition of plants used as toothbrush sticks (toothpicks) by Fulani of Tessékéré commune (North Ferlo, Senegal) ABSTRACT Objectives: The aim of this study was to determine the phytochemical composition and the content of major chemical classes of the stems most used as tooth-brushing sticks among the Fulani of Widou Thiengoli in North Ferlo (Senegal). Methods and results: Open semi-structured interviews made it possible to collect data on the most used plants. The fidelity index provides information on the convergence of uses regarding the use of plants as toothbrushes compared to other cosmetic practices. The study of the phytochemical composition of the stems targeted 8 chemical classes. Tannins and saponins were very common; almost non- existent were the terpenoids and leuco-anthocyanins. An assay of flavonoids, alkaloids and polypnenols, in aqueous extracts, was carried out on 12 plants. The best contents of polyphenols and alkaloids were obtained from Anogeissus leiocarpa, and the best of flavonoids from Commiphora africana. Conclusion and applicability of the results: These results make it possible to select, through the phytochemical composition of plants, the species exhibiting potential antimicrobial activities, because they contain phytochemical compounds endowed with germicidal functions, beyond the known mechanical function of the rods in the plan removal of dental plaque. Keywords: Toothbrush sticks, Phytochemical determination, Ethnobotany, Téssékéré, North Ferlo, and Senegal.
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Mbanga, L. "Antioxidant Properties of Some Plants Extracts Used As Natural Sunscreen in the Formulated Cream." Revue Congolaise des Sciences & Technologies 02, no. 01 (February 28, 2023): 185–90. http://dx.doi.org/10.59228/rcst.023.v2.i1.23.

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Abstract:
The aim of the present research is to study the antioxidant properties of eight seeds [carrot, Moringa oleifera, soya bean, coconut, Cucurbita maxima (Ccm), palm walnut (Pmw), Vigna unguiculata called niebe and Citrullus lanatus (Ctl)] extracts using radical DPPH as model in view of their possible application as antisolar agents. Ethyl acetate seed extracts were prepared with methanol as solvent and the absorbance were recorded after reaction with the radical DPPH using UV-vis spectrophotometer. The EC50, the antiradical power (ARP) and the stoechiometry of eight seeds extracts were determinated. It was noticed that three of the tested herbal extracts namely carrot, Pmw and niebe showed some antioxidant properties. The carrot extracts gave the better results with an EC50, an ARP and a stoechiometry of 1.12, 0.89 and 0.45 respectively. Five seeds extracts (Ccm, moringa, Ctl, coconut and soya) didn't show antioxidant properties. Thus, the carrot extracts are most active whereas five samples did not show reactivity towards radical DPPH. Keywords: Antioxidant properties, EC50, antiradical power (ARP), Citrullus lanatus, Moringa oleifera
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Dessouroux, A., C. Seyrig, and C. Leclerc. "Point sur la qualité des extraits fluides glycérinés de plantes fraîches standardisés (EPS) et leur intérêt pharmacologique." Phytothérapie 9, no. 4 (July 13, 2011): 249–54. http://dx.doi.org/10.1007/s10298-011-0649-y.

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BAYOURTHE, C., and D. ALI-HAIMOUD-LEKHAL. "Les extraits de plantes chez le ruminant : effets sur les fermentations dans le rumen et la qualité lipidique des produits animaux." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 23, 2014): 317–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3079.

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Abstract:
Les extraits de plantes représentent un groupe complexe de substances dont les propriétés peuvent être utilisées pour manipuler le fonctionnement du rumen. Parmi eux, les tannins condensés, les huiles essentielles et les saponines ont été largement évalués pour leurs effets bactéricides/bactériostatiques. La variété de structure chimique des tannins condensés est, sans doute, à l’origine de leur différence de réactivité mais aussi d’une activité différente vis-à-vis des microorganismes du rumen. De façon générale, la croissance bactérienne est d’autant plus inhibée que la concentration en tannins condensés dans le milieu est élevée. Si les tannins condensés inhibent l'activité des archées méthanogènes, ils seraient sans effet sur les protozoaires. Généralement, les tannins condensés conduisent à une diminution de la concentration en azote ammoniacal dans le milieu ruminal mais n’affectent pas la concentration en acides gras volatils totaux. Si à dose élevée, l’effet est plus marqué in vitro qu’in vivo, à dose identique, l’amplitude de la réponse est différente selon la source de tannins condensés. En ce qui concerne l’action des tannins condensés sur la méthanogenèse, l’effet généralement observé, tant in vitro qu'in vivo, est une diminution de la production de CH4 bien que l’amplitude de la réponse soit variable et dépende de plusieurs facteurs que les études in vitro permettent de mieux cerner. Les effets principaux des huiles essentielles dans le rumen consistent en une réduction de la dégradation des protéines et de l'amidon et une inhibition de la dégradation des acides aminés, en raison de l'action sélective sur certains micro-organismes du rumen. Le pouvoir bactéricide des huiles essentielles vis-à-vis des bactéries (pathogènes ou ruminales) est lié à la structure chimique des molécules aromatiques qui les composent. Elles inhibent la croissance de la plupart des cultures pures bactériennes du rumen à des concentrations inférieures à 100 ppm ; certaines espèces pouvant s'adapter, ce qui explique la diminution voire l’absence d’effet souvent observé in vivo. Certains composés aromatiques ont la capacité de réduire la production de méthane dans le rumen. En revanche, les effets des saponines dans le rumen sont moins nets, en raison probablement du développement de populations microbiennes capables de les dégrader et/ou de l'adaptation des microorganismes à ces extraits de plante. Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances, il est impossible de conclure quant à l’effet des extraits végétaux sur la qualité lipidique des produits animaux. Des essais complémentaires conduits in vivo et à long terme restent indispensables pour vérifier les effets observés, dans des conditions d'utilisation plus variées, mais aussi pour s'assurer de l'absence de résidus dans les produits animaux et de leur innocuité pour le consommateur.
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Benhamou, Nicole, and Patrice Rey. "Stimulateurs des défenses naturelles des plantes : une nouvelle stratégie phytosanitaire dans un contexte d’écoproduction durable." Article de synthèse 92, no. 1 (September 25, 2012): 24–35. http://dx.doi.org/10.7202/1013299ar.

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Abstract:
Au cours des dernières décennies, les avancées spectaculaires de nos connaissances sur les mécanismes impliqués dans la résistance induite chez les plantes ont favorisé le développement d’initiatives visant à valoriser la stratégie de défense naturelle des plantes dans un contexte conjuguant la préservation de l’environnement et la production intensive de produits agricoles. Aujourd’hui, un nombre croissant de formulations contenant des stimulateurs des défenses naturelles (SDN) en tant que matière active arrive sur le marché et il est raisonnable de croire que de plus en plus de molécules inductrices de résistance seront disponibles dans un futur proche. Un SDN est une molécule biologique capable de déclencher les événements moléculaires, biochimiques et cytologiques menant à l’expression de la résistance chez une plante. Il s’agit donc d’une sorte de « vaccin » susceptible d’activer le « système immunitaire » de la plante de telle sorte qu’une plante initialement sensible à un agent pathogène devienne résistante. Si le chitosane est connu depuis plusieurs années, d’autres SDN d’origines variées ont récemment été découverts et certains d’entre eux ont été commercialisés. Tels sont les cas, par exemple, du Iodus40®, un polymère de β-1,3-glucanes isolé d’une algue brune, du Messenger®, dont la matière active est un peptide bactérien, ou du Stifénia® qui contient des extraits de fenugrec, une légumineuse africaine. L’exploitation de la résistance induite en agriculture biologique ou en agriculture raisonnée (alternance entre la lutte biologique et la lutte chimique) est une stratégie qui offre de grandes promesses d’avenir, car elle est essentiellement fondée sur la stimulation des mécanismes naturels de défense des plantes. Il est cependant évident que des recherches sont encore nécessaires pour démontrer que cette approche 1) n’engendre aucun risque pour le consommateur (allergies ou autres désordres); 2) ne cause pas de baisses de rendement; 3) ne présente pas une trop grande variabilité en termes de performance; et 4) n’est pas trop onéreuse en comparaison avec une approche de lutte chimique.
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Gaudillière, Jean-Paul. "Une marchandise scientifique ? Savoirs, industrie et régulation du médicament dans l'Allemagne des années trente." Annales. Histoire, Sciences Sociales 65, no. 1 (February 2010): 89–120. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900026214.

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Abstract:
RésuméCet article revient sur la double identité du médicament comme marchandise et comme objet de science durant l’entre-deux-guerres, moment où l’industrialisation de la pharmacie était un enjeu de fortes controverses. Il aborde les activités des firmes, des chercheurs et des médecins par les divers registres de savoirs mobilisés pour faire des agents thérapeutiques. L’article propose l’analyse des deux formes de régulation (professionnelle et industrielle) alors dominantes ; c’est-à-dire de deux systèmes de pratiques pour régler la caractérisation, la production, la circulation, les usages de ces produits au-delà des seules actions formelles de l’État. Pour les caractériser, le texte part de l’histoire de deux firmes allemandes, Madaus et Schering, investies dans l’industrialisation des préparations issues du vivant dont le positionnement scientifique et les marchés étaient radicalement différents. Il explore les trajectoires des extraits de plantes (Madaus) et des hormones sexuelles (Schering) avec une attention particulière pour les dispositifs de standardisation.
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Kasmi, Manal, Mohammed Aourach, Mohammed El Boukari, Said Barrijal, and Haiat Essalmani. "Efficacité des extraits aqueux des plantes aromatiques et médicinales contre la pourriture grise de la tomate au Maroc." Comptes Rendus Biologies 340, no. 8 (August 2017): 386–93. http://dx.doi.org/10.1016/j.crvi.2017.07.010.

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T., Olu’Seun-Esan, and Alaba O. "Impact of Aloe vera leaf extracts on semen quality and fertilizing potential in red Sokoto bucks." Nigerian Journal of Animal Production 50, no. 6 (November 27, 2024): 87–104. https://doi.org/10.51791/njap.v50i6.8081.

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Abstract:
Due to some bacteria's resistance to conventional antibiotics, it is necessary to continuously look for alternatives when replacing conventional antibiotics in commercial extenders with herbal antimicrobials. The purpose of this study was to evaluate the antibacterial activity of Aloe Vera Leaf Methanolic Extracts (AVLME) on semen quality and spermatozoa fertilisation potential in extended caprine semen. The Aloe barbadensis Miller leaf extracts was carried out using methanol. Fresh semen was collected from a healthy Red Sokoto buck using electro- ejaculator method. The experiment was divided into five treatments, the first treatment (control) had the appropriate concentration of penicillin and streptomycin in a Tris-based extender, and the remaining treatments had the antibacterial agents replaced with AVLME using the following concentrations; 0.25, 0.50, 0.75 and 1.0g/L and evaluated at 0, 24, 48 and 72 hours at 5℃ for bacterial load (x cfu/mL), morphology (%), liveability (%), pH, acrosome integrity (%) and spermatozoa morphology classification. The experimental design was a Completely Randomized Design. Data obtained were analysed using ANOVA (SAS). Bacterial load was suppressed best at 0 hour (0.75g/L) and 24 hours (0.25g/L). Significant decline was observed in semen quality parameters and fertilising potential during storage. Proportions of spermatozoa cell morphology classification were within expected limits of abnormality. Aloe vera leaf methanolic extracts at the optimum concentration between 0.25 and 0.75, has the potential to replace conventional antibacterial agents in commercial Red Sokoto caprine extenders. En raison de la résistance de certaines bactéries aux antibiotiques conventionnels, il est nécessaire de rechercher en permanence des alternatives lors du remplacement des antibiotiques conventionnels dans les extenseurs commerciaux par des antimicrobiens à base de plantes. Le but de cette étude était d'évaluer l'activité antibactérienne des extraits méthanoïques de feuilles d’Aloe Vera (AVLME) sur la qualité du sperme et le potentiel de fertilisation des spermatozoïdes dans le sperme caprin étendu. Les extraits de feuilles d’Aloe barbadensis Miller ont été réalisés à l'aide de méthanol. Du sperme frais a été collecté à partir d'un bouc Red Sokoto sain en utilisant la méthode de l'électro-éjaculateur. L'expérience a été divisée en cinq traitements, le premier traitement (témoin) avait la concentration appropriée de pénicilline et de streptomycine dans un extenseur à base de Tris, et les traitements restants avaient les agents antibactériens remplacés par AVLME en utilisant les concentrations suivantes ; 0,25, 0,50, 0,75 et 1,0 g/L et évaluées à 0, 24, 48 et 72 heures à 5? pour la charge bactérienne (x cfu/mL), la morphologie (%), la viabilité (%), le pH, l'intégrité de l'acrosome (%) et la classification de la morphologie des spermatozoïdes. La conception expérimentale était une conception complètement randomisée. Les données obtenues ont été analysées à l’aide d’ANOVA (SAS). La charge bactérienne a été supprimée au mieux à 0 heure (0,75 g/L) et 24 heures (0,25 g/L). Une baisse significative a été observée dans les paramètres de qualité du sperme et le potentiel fertilisant pendant le stockage. Les proportions de classification de la morphologie des cellules des spermatozoïdes se situaient dans les limites d'anomalie attendues. Les extraits méthanoïques de feuilles d’Aloe vera à la concentration optimale entre 0,25 et 0,75 ont le potentiel de remplacer les agents antibactériens conventionnels dans les extenseurs caprins Red Sokoto commerciaux.
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Laetitia, Delort, Muriel Koffi, Hermine Billard, Yao N’Guessan, Marie-Paule Vasson, Pierre Chalard, and Florence Caldefie-Chézet. "43: Influence de deux extraits de plantes alimentaires d’origine africaine sur la prolifération de cellules cancéreuses mammaires in vitro." Bulletin du Cancer 97, no. 1 (March 2010): S38. http://dx.doi.org/10.1016/s0007-4551(15)31136-x.

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Tahiri, Hassane, Mohammed El yachioui, and Abderrazzak Khadmaoui. "L’influence d’un biostimulant enracineur sur la croissance racinaire du haricot vert." SHS Web of Conferences 175 (2023): 01012. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/202317501012.

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Les biostimulants enracineur sont des produits qui visent à stimuler le développement du système racinaire des plantes. Ils peuvent être appliqués au moment du semi, de la transplantation ou pendant la croissance des cultures. Ces produits contiennent généralement des substances naturelles, telles que des extraits d’algues, des hormones végétales, des acides aminés et des vitamines, qui agissent en synergie pour favoriser la croissance et le développement des racines.Les légumineuses telles que les pois, les haricots et les lentilles, jouent un rôle important dans l’agriculture durable en raison de leur capacité à fixer l’azote atmosphérique et à améliorer la fertilité du sol. Les haricots verts sont riches en fibres alimentaires et une source de vitamines et de protéines végétales. Au Maroc, la superficie cultivée du haricot vert augmente au fur et à mesure pour atteindre 8.000 hectares en 2020.Plusieurs études ont examiné les effets des biostimulants enracineur sur les légumineuses, et les résultats sont prometteurs. L’application de ces produits a été associée à une augmentation de la longueur et de la densité des racines, ce qui améliore l’absorption des nutriments et de l’eau. De plus, les biostimulants enracineur ont montré des effets bénéfiques sur la nodulation des légumineuses, en favorisant la formation de nodules racinaires et en augmentant la fixation de l’azote atmosphérique.Le but de notre travail consiste à étudier l’efficacité d’un biostimulant enracineur sur le développement racinaire du haricot vert. Les résultats obtenus montrent une augmentation moyenne de plus de 55% du poids de la racine en comparaison aux plantes non traitées après trois mois de cultures, ainsi que la longueur de la racine avec une augmentation de presque 60% par rapport au témoin.Les essais aux champs confirment la faisabilité à une grande assurance de ce biostimulant qui a montré des résultats très encourageants.
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Okunye, Olufemi Lionel, Kotun Bunmi Comfort, Kolade Titilayo Teniola, Omolanke Temitope Oyedemi, Caroline Olufunke Babalola, and Ayedun Joshua Seun. "Antibacterial activity of zinc oxide nanoparticles and gentamicin on Xanthomonas campesiris on infested tomato from Bodija market, Ibadan Nigeria - a quantitative comparative study." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 20, no. 3 (August 27, 2024): 261. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v20i3.5.

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Les nanoparticules d’oxyde de zinc sont apparues comme un nouvel outil en agronomie et en protection des cultures grâce à leur efficacité dans la lutte contre les pathogènes bactériens des plantes résistants aux agents antibactériens conventionnels. Les nanoparticules d’oxyde de zinc et la gentamicine ont été testées quantitativement contre Xanthomonas campesiris vesicatoria, l’agent pathogène responsable des taches infectieuses avant et après la récolte de la tomate. Exactement 0,1 ml de la suspension de tomate broyée a été étalé de manière aseptique sur un milieu gélosé au saccharose et a été incubé à une température optimale pendant 24 à 48 heures. Des tests de pathogénicité des isolats ont été réalisés sur des tomates non infectées afin d’authentifier les isolats infectieux obtenus. Des extraits aqueux et éthanoliques de nanoparticules d’oxyde de zinc et des antibiotiques gentamicine ont été testés sur les isolats de Xanthomonas campesiris vesicatoria confirmés, par technique de diffusion en coupe d’agar. Extrait aqueux et éthanolique de nanoparticules d’oxyde de zinc et d’antibiotiques gentamicine préparés en concentrations variées ; 5 µg/mL, 2,5 µg/mL, 1,25 µg/mL dans différentes dilutions doubles ont été testés sur Xanthomonas campesiris vesicatoria obtenu et ont présenté une activité antibactérienne compétitive significative. L’extrait éthanolique a montré une activité antibactérienne plus forte que l’extrait aqueux. La gentamicine, un antibiotique à large spectre, exerce une activité antibactérienne compétitive à chaque dilution. La croissance de Xanthomonas campestris pv.vesicatoria, l’agent étiologique de la tache infectieuse chez la tomate, a été remarquablement supprimée par les nanoparticules d’oxyde de zinc, comme cela a également été observé dans la gentamicine.
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Ahebe Marie Helene, Koffi, Soko Dago Faustin, Yah N Guettia Marie, Koffi Yao Odilon, Tonessia Dolou Charlotte, and Atta Taky Hortense Diallo. "EVALUATION DE LACTIVITE FONGIQUE DES EXTRAITS AQUEUX DOCIMUM GRATISSIMUM ET DE CHROMOLAENA ODORATA SUR COLLETOTRICHUM SP. RESPONSABLE DES POURRITURES DES TUBERCULES DE DIOSCOREA ALATA EN CONSERVATION A DALOA, COTE DIVOIRE." International Journal of Advanced Research 9, no. 07 (July 31, 2021): 209–18. http://dx.doi.org/10.21474/ijar01/13119.

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Abstract:
Ligname, Dioscorea spp. (L) est une importante denree alimentaire qui occupe une place primordiale dans le systeme agricole en Cote dIvoire. Cette plante est cependant sujette a plusieurs maladies au cours de sa culture et pendant sa conservation parmi lesquelles celles causees par divers champignons. Ainsi, les pertes occasionnees par les pourritures des tubercules en conservation, constituent un risque majeur pour la rentabilite economique et pour la securite alimentaire des consommateurs. Cette etude avait pour objectif dinitier une methohede lutte contre les pourritures des tubercules de Dioscorea alata en conservation.par lutilisation dextraits aqueux dOcimum gratissimum et de Chromolaena odorata. Pour ce faire, trois differentes doses (33 g/l 39 g/l et 50 g/l) dextraits aqueux de chacune de ces deux plantes ont ete appliquees sur des rondelles digname prealablement inoculees avec Colletotrichum sp. Les resultats ont montre que la souche fongique inocule aux rondelles de D. alata a cause dimportants degres de pourritures. Aussi, les extraits de Chomolaena odorata et dOcimum gratissimum possedent des activites antifongiques differentes. Ces activites ont ete plus elevee avec lextrait dOcimum gratissimum a 50 g/l que celui de Chomolaena odorata.
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A. S. Y., Dauda, Egbewande O. O., Ibrahim H. G., Mohammed L., Aliyu Z., and Idris M. F. "Efficacy of Phyllanthus amarus leaf on growth performance and carcass characteristics of broiler chickens challenged with Eimeria oocysts." Nigerian Journal of Animal Production 50, no. 6 (November 27, 2024): 13–22. https://doi.org/10.51791/njap.v50i6.8067.

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Abstract:
The development of drug resistance of Eimeria spp. in poultry necessitated chemotherapeutic control alternatives from plant extracts as potential solution. This study investigated in-vitro evaluation was studied on the anti-coccidial properties from P. amarus leaf extracts and its effects on growth performance and carcass characteristics of broiler chicken challenged with Eimeria oocysts. Phytochemical screening of the plant extracts revealed the presence of flavonoids, cummarin, glycoside, triterpenes and alkaloids while saponin, tannin, phenolics, steroid, anthocyanins, terpenoid, amino acids and phylobatanins were negative. In the In-vitro trial, the effects of P. amarus on the inhibition of the sporulation of oocysts of Eimeria spp. were undertaken. The experimental design was complete randomized design (CRD) consisting of 5 treatments with 4 replicates each. T1 received 5 mL of P. amarus extracts, T2 received 10 mL of P. amarus leaf extract, T3 received 15 mL of P. amarus leaf extract, T4 was positive control using Embazine forthe and T5 negative control. The chicks of all the groups were inoculated orally with sporulated oocysts on day 28 (4th week), 7 days post-infection, the birds were treated with different regimens, (5, 10 and 15 mL) of P. amarus leaf extracts for 3 consecutive days with the exception of T4 and T5. Oocysts clearance showed a decrease in the amount of oocysts in the feaces of all the groups treated with P. amarus leaf extract. The feed intake, body weight gain and feed conversion ratio were significantly improved in all treatment groups in comparison with the infected but not treated broiler chickens. 5 mL of P. amarus extract had sporulation inhibition percentage of 58% at 72 hours, 10 mls of P. amarus had sporulation inhibition rate of 73% while 15 mL of P. amarus has higher sporulation inhibition of 84% at 72 hours. In conclusion, the study showed that 15mls of ethanoic extract of P. amarus was effective in control of coccidiosis caused by Eimeria infection in broiler chicken. Le développement de la résistance aux médicaments des Eimeria spp. chez les volailles a nécessité des alternatives de contrôle chimiothérapeutique à partir d'extraits de plantes comme solution potentielle. Cette étude a examiné l'évaluation in-vitro des propriétés anti-coccidiennes des extraits de feuilles de P. amarus et ses effets sur les performances de croissance et les caractéristiques de carcasse des poules de chair confrontées aux oocystes d'Eimeria. Le dépistage phytochemical des extraits de plantes a révélé la présence de flavonoïdes, de coumarine, de glycosides, de triterpènes et d'alcaloïdes, tandis que les saponines, les tanins, les phénoliques, les stéroïdes, les anthocyanines, les terpènes, les acides aminés et les phylobatanins étaient négatifs. Dans l'essai in-vitro, les effets de P. amarus sur l'inhibition de la sporulation des oocystes d'Eimeria spp. ont été étudiés. Le design expérimental était un design complètement aléatoire (DCA) comprenant 5 traitements avec 4 répliques chacun. T1 a reçu 5 mL d'extrait de P. amarus, T2 a reçu 10 mL d'extrait de feuilles de P. amarus, T3 a reçu 15 mL d'extrait de feuilles de P. amarus, T4 était un contrôle positif utilisant Embazine, et T5 un contrôle négatif. Les poussins de tous les groupes ont été inoculés oralement avec des oocystes sporulés le jour 28 (4e semaine), 7 jours après l'infection, les oiseaux ont été traités avec différents régimes (5, 10 et 15 mL) d'extraits de feuilles de P. amarus pendant 3 jours consécutifs, à l'exception de T4 et T5. L'élimination des oocystes a montré une diminution du nombre d'oocystes dans les fèces de tous les groupes traités avec l'extrait de feuilles de P. amarus. L'ingestion de nourriture, le gain de poids corporel et le ratio de conversion alimentaire se sont significativement améliorés dans tous les groupes de traitement par rapport aux poules de chair infectées mais non traitées. 5 mL d'extrait de P. amarus ont eu un pourcentage d'inhibition de la sporulation de 58 % à 72 heures, 10 mL d'extrait de P. amarus ont eu un taux d'inhibition de la sporulation de 73 %, tandis que 15 mL d'extrait de P. amarus ont montré une inhibition plus élevée de la sporulation de 84 % à 72 heures. En conclusion, l'étude a montré que 15 mL d'extrait éthanolique de P. amarus était efficace dans le contrôle de la coccidiose causée par l'infection par Eimeria chez les poules de chair.
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