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Journal articles on the topic 'Femmes inuites'

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Hervé, Caroline, and Pascale Laneuville. "La quête d’autonomie résidentielle des femmes inuites du Nunavik." Recherches amérindiennes au Québec 47, no. 1 (January 15, 2018): 49–58. http://dx.doi.org/10.7202/1042898ar.

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Abstract:
Cet article explore la quête d’autonomie résidentielle des femmes inuites du Nunavik selon une perspective relationnelle. Basé sur des témoignages de femmes au sujet de la crise du logement, il montre les liens étroits entre le surpeuplement des maisons et la violence familiale et met en évidence les limites du système de logement social face aux tentatives de certaines femmes pour sortir de situations familiales difficiles. Loin de refléter un désir d’émancipation féminine et de rupture relationnelle, cette quête d’autonomie s’avère plutôt être une tentative de se procurer un environnement sécuritaire, étape devenue essentielle dans le rétablissement de saines relations sociales pour certaines femmes inuites du Nunavik. L’intérêt de développer une perspective relationnelle sur la question du logement des femmes invite à repenser de façon plus globale les politiques actuelles de logement social qui fournissent aux Inuits, selon la distinction d’Ingold, des abris (buildings) plutôt que de véritables foyers (dwellings).
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Nelson, Chantal, Karen M. Lawford, Victoria Otterman, and Elizabeth K. Darling. "Indicateurs de santé mentale chez les femmes autochtones enceintes au Canada : résultats de l’Enquête sur l’expérience de la maternité." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no. 7/8 (August 2018): 307–14. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.7/8.01f.

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Abstract:
Introduction On dispose de peu de recherches sur la santé mentale chez les femmes autochtones enceintes, ce qui nous a conduit à examiner dans cette étude la prévalence de la dépression post-partum (DPP) et ses déterminants, en tenant compte des antécédents de dépression chez les femmes non autochtones et autochtones du Canada. Méthodologie L’Enquête sur l’expérience de la maternité (EEM) est une enquête nationale portant sur l’expérience et les pratiques des femmes canadiennes préalablement à la conception et jusqu’aux premiers mois de la maternité. On a calculé, à l’aide de la méthode de correction Mantel-Haenszel, les estimations du risque pour les facteurs de prédiction de la DPP en se basant sur les rapport de cotes de l’analyse de régression ajustée. L’analyse a été menée auprès de femmes s'étant auto-identifiées comme autochtones (Inuites, Métisses ou membres des Premières Nations vivant hors réserve) ou comme non autochtones. Résultats La prévalence d'antécédents dépression était plus élevée chez les femmes s'étant auto-identifiée comme membre des Premières Nations vivant hors réserve ou métisses que chez les femmes non autochtones, les femmes inuites offraient la plus faible prévalence d'antécédents de dépression autodéclarée. Les femmes autochtones avaient une prévalence plus élevée de DPP que les femmes non autochtones. La présence d'antécédents de dépression n'était pas un facteur de prédiction de DPP chez les femmes inuites et métisses, mais s'est révélée en être un chez les femmes des Premières Nations vivant hors réserve et chez les femmes non autochtones. Un nombre disproportionnellement plus élevé de femmes autochtones que de femmes non autochtones ont déclaré avoir été victimes de violence. Conclusion Notre étude a montré que les facteurs usuels de prédiction de DPP que sont l’anxiété, les événements stressants de la vie pendant la grossesse, un faible niveau de soutien social et des antécédents de dépression étaient bien présents chez les femmes non autochtones mais que, à l’exception du nombre d’événements stressants chez les femmes des Premières Nations vivant hors réserve, ces facteurs n'étaient pas associés à la DPP chez les femmes autochtones. Ces résultats incitent à développer la sensibilité des indicateurs de santé mentale pour les femmes autochtones.
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Totten, S., A. Severini, GC Jayaraman, ST Faybush, G. Johnson, AA Demers, I. Sobol, Y. Mao, and Wong Wong. "Résultats des infections au virus du papillome humain (VPH) spécifiques au type et des tests Pap chez les femmes inuites et non inuites au Nunavut, Canada." Relevé des maladies transmissibles au Canada 41, no. 3 (March 5, 2015): 46–54. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v41i03a01f.

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Jiang, Ying, Susan Rogers Van Katwyk, Yang Mao, Heather Orpana, Gina Agarwal, Margaret de Groh, Monique Skinner, Robyn Clarke, and Howard Morrison. "Évaluation du risque de dysglycémie dans la région de Kitikmeot (Nunavut) au moyen de l’outil CANRISK." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 37, no. 4 (April 2017): 123–32. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.37.4.02f.

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Abstract:
Introduction L’Agence de la santé publique du Canada a adapté un outil finlandais de dépistage du diabète (FINDRISC) dans le but de créer un outil, CANRISK, conçu sur mesure pour la population multiethnique du Canada. Cet outil a été élaboré à partir de données recueillies dans sept provinces canadiennes. Dans le but d’élargir son applicabilité aux populations des territoires nordiques, nous avons réalisé une étude auprès de la population majoritairement inuite de la région de Kitikmeot (Nunavut). Méthodologie Nous avons recueilli des questionnaires CANRISK, des mesures physiques et des échantillons de sang auprès de participants vivant dans cinq collectivités de la région de Kitikmeot. Nous avons utilisé une régression logistique pour évaluer l’ajustement du modèle à l’aide des facteurs de risque de l’outil CANRISK d’origine associés à la dysglycémie (prédiabète et diabète). La dysglycémie a été évaluée au moyen d’un test de glycémie plasmatique à jeun (GPJ) administré seul ou avec une épreuve d’hyperglycémie provoquée par voie orale. Nous avons mis au point les scores CANRISK des participants pour tester le fonctionnement de cet outil au sein d'une population inuite. Résultats Au total, 303 personnes ont participé à l’étude. La moitié d’entre elles avaient moins de 45 ans, les deux tiers étaient des femmes et 84 % étaient inuites. Sur les 303 participants, 18 % étaient atteints de prédiabète et 4 % avaient un diabète non diagnostiqué. La probabilité de présenter un état dysglycémique augmentait de façon exponentielle avec l’âge et la relation avec l’indice de masse corporelle (IMC) suivait une courbe en U. Par rapport aux résultats d’analyse en laboratoire, l’outil CANRISK avec un seuil de 32 points a présenté une sensibilité de 61 %, une spécificité de 66 %, une valeur prédictive positive de 34 % et un taux d’exactitude de 65 %. Conclusion L’outil CANRISK a permis de détecter la dysglycémie au sein de cette population très majoritairement inuite avec une exactitude comparable à celle obtenue avec un échantillon de Canadiens présentant une diversité multiethnique. L’outil CANRISK est donc utilisable pour la région de Kitikmeot, et plus généralement au Nunavut.
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Laugrand, Frédéric. "Sedna crucifiée." Hors-thème 20, no. 1-2 (October 16, 2013): 453–77. http://dx.doi.org/10.7202/1018867ar.

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Abstract:
L’iconographie consacrée à la femme de la mer est très riche et très diversifiée, mais la Sedna crucifiée de Bill Nasogaluak, réalisée en 2006, demeure une oeuvre singulière. Dans cet article, je montre comment cette représentation novatrice ne marque pas tant le début d’une nouvelle période de l’art inuit, qui continue à s’épanouir, mais peut-être une nouvelle étape dans la culture visuelle reliée à l’incorporation du christianisme par les Inuits. Elle montre également à quel point ceux-ci ont non seulement reçu profondément le christianisme, mais comment ils en perçoivent, peut-être mieux que nous, la part non-naturaliste, donc animique que nous, modernes convaincus, ne voyons plus.
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Guay, Hélène. "Femmes inuit, développement et catégories sociales de sexe." Note de recherche 1, no. 2 (April 12, 2005): 91–102. http://dx.doi.org/10.7202/057517ar.

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Abstract:
Cette note porte sur une recherche en cours dans une société du Quart-Monde, la société inuit de l'Arctique canadien. L'auteure montre que les modèles de développement élaborés dans le Tiers-Monde ne s'appliquent pas tels quels à ce type de société. De plus, étant donné les phénomènes de l'éponymie et de la socialisation inversée caractéristiques de la culture inuit, la problématique de l'intégration des femmes dans le développement ne correspond pas non plus au vécu des femmes inuit.
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Harvey, Carol J. "À la découverte du Nord : La rivière sans repos de Gabrielle Roy." Le dossier 29, no. 2 (November 30, 2017): 411–27. http://dx.doi.org/10.7202/1042267ar.

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Abstract:
Depuis la parution en 1970 du sixième roman de Gabrielle Roy, La rivière sans repos, ni la critique littéraire ni le public ne lui a accordé beaucoup d’attention. Dans cet article, nous proposons une relecture du roman en vue de montrer à quels égards Gabrielle Roy était en avance sur son temps en mettant Elsa, une femme inuite, au centre de son texte. Après avoir rappelé brièvement la genèse du roman, nous étudierons les éléments-clés de la thématique: le conflit identitaire et le désarroi qui se produisent chez Elsa quand deux cultures sont en contact, l’ancienne et la moderne; la confrontation entre les valeurs traditionnelles des Inuit perçues comme inférieures et la culture moderne jugée supérieure qui représente le progrès, les sciences, la médecine et le matérialisme. Nous dégagerons par la suite certaines composantes des paysages du Nord qui appuient symboliquement Elsa et ses proches. Il ressort de cette étude que Roy voyait clairement le racisme et autres injustices du système colonial du Canada. Sans les dénoncer ouvertement, pourtant, l’auteure nous invite à lire entre les lignes de son roman et à en voir la portée idéalogique.
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Blanc, Magali. "Comment survivre sans la figure paternelle ?" Voix Plurielles 14, no. 1 (May 5, 2017): 86–95. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v14i1.1548.

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Abstract:
Cette étude se propose d’analyser comment les personnages principaux des romans d’Yves Thériault et de Gaétan Soucy évoluent sans la présence de leur père respectif. Le jour du suicide de son père, Alice (La petite fille qui aimait trop les allumettes) se voit endosser un rôle qui jusqu’à présent lui était inconnu : celui de la responsabilité et de la survie de sa famille. Elle qui toute sa vie a été considérée comme un garçon va très vite devenir une femme et puis une mère. La mort de son père sera l’élément déclencheur de son développement personnel et de sa prise de conscience identitaire. Après avoir atteint l’âge de la maturité, Agaguk décide de quitter sa tribu et de partir vivre avec sa femme dans la toundra. Par ce geste, il rompt avec les traditions autochtones et ainsi avec le chef de la tribu, son père. Ce dernier ne représentait plus les valeurs des Inuits selon Agaguk. Sans son père et sans la tribu, Agaguk devra relever des défis conséquents : notamment qu’est-ce qu’être un bon mari ? Un bon Inuit ? Et enfin un bon père ? La mort symbolique du père d’Agaguk le projettera vers des questionnements auxquels il sera le seul à devoir trouver les réponses. Nos deux personnages vont devoir apprendre rapidement à évoluer et grandir sans leur père (que ce soit par choix ou par dépit), mais qui plus est, ils devront apprendre à être parents.
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Bertrand, Karine. "Le collectif Arnait Video Productions et le cinéma engagé des femmes inuits : Guérison communautaire et mémoire culturelle." Canadian Review of Comparative Literature / Revue Canadienne de Littérature Comparée 44, no. 1 (2017): 36–53. http://dx.doi.org/10.1353/crc.2017.0002.

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Rode, Andris, and Roy J. Shephard. "Growth and Development of Physical Fitness in Igloolik Inuit and Volochanka nGanasan." Pediatric Exercise Science 7, no. 4 (November 1995): 432–44. http://dx.doi.org/10.1123/pes.7.4.432.

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Abstract:
Two circumpolar populations, ages 11.0–19.9 years, have been studied at different stages in acculturation to a sedentary lifestyle: Igloolik Inuit and Volochanka nGanasan. Both populations are short, but have a normal body mass. Skinfold readings rise with age. Male handgrip force develops similarly in both communities, but female scores are poorer for Inuit than for nGanasan. Older nGanasan males show a greater knee extension force than the Inuit, but the converse is true for females. Predicted aerobic power is 56–59 ml · kg−1 · min−1 for Inuit males and 49–57 for nGanasan males. For females, values decline with age, from 50 to 45 ml · kg−1 · min−1 for Inuit females and from 47 to 39 for nGanasan females. It appears that the main effect of acculturation has been an accumulation of body fat in the Igloolik population.
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Dorais, Louis-Jacques. "Être jeune à Quaqtaq après l’an 2000." Études/Inuit/Studies 35, no. 1-2 (October 23, 2012): 245–63. http://dx.doi.org/10.7202/1012844ar.

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Abstract:
Cet article décrit certaines pratiques, valeurs et représentations partagées par de jeunes hommes et femmes vivant à Quaqtaq, une petite communauté du nord du Nunavik (Québec). Basée sur des entretiens menés avec 27 jeunes âgés de 15 à 25 ans et 15 adultes, la description montre de façon concrète comment les habitudes culturelles et sociales des jeunes combinent mode de vie inuit et culture mondialisée. L’article en arrive à la conclusion que l’identité des jeunes émane d’un processus de confrontation et d’intégration qui rassemble au sein d’une matrice commune divers éléments signifiants de la culture inuit locale avec des contre-influences marquantes et attirantes en provenance du monde extérieur.
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Konrad, S., A. Hossain, A. Senthilselvan, JA Dosman, and MD Pahwa. "La bronchite chronique chez les Autochtones – prévalence et facteurs associés." Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 4 (September 2013): 247–54. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.4.03f.

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Abstract:
Introduction On sait peu de choses sur la bronchite chronique (BC) chez les Autochtones au Canada. Le but de cette étude était de déterminer la prévalence de la BC et des facteurs qui lui sont associés chez les Autochtones de 15 ans et plus. Méthodologie Une analyse de régression logistique a été appliquée à des données tirées de l'Enquête auprès des peuples autochtones de 2006 (enquête transversale) afin de déterminer les facteurs de risque associés à la BC. Résultats La prévalence de la BC était de 6,6 % au sein des membres des Premières nations, de 6,2 % chez les Métis et de 2,4 % chez les Inuits. Elle était plus élevée chez les femmes que chez les hommes (7,2 % contre 5,0 %). Les individus atteints de BC étaient en général plus âgés et plus nombreux à avoir un revenu et un niveau d'instruction plus faibles et à habiter en milieu rural. Le tabagisme et l'indice de masse corporelle étaient également associés de façon significative à la BC, mais leur effet différait selon le sexe. L'obésité était associée de manière particulièrement significative à la BC chez les femmes, et le fait d'être fumeur ou de n'avoir jamais fumé était aussi associé de façon significative à la BC chez les femmes. Conclusion Ces constatations permettent de déterminer les facteurs associés à la BC chez les Autochtones. Ce sont peut-être à ce titre des facteurs de risque potentiellement évitables qui peuvent éclairer les pratiques en matière de promotion de la santé et de prévention des maladies.
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Beaumier, Maude C., James D. Ford, and Shirley Tagalik. "The food security of Inuit women in Arviat, Nunavut: the role of socio-economic factors and climate change." Polar Record 51, no. 5 (September 9, 2014): 550–59. http://dx.doi.org/10.1017/s0032247414000618.

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Abstract:
ABSTRACTClimate change has been identified as compromising food security in many case studies with Inuit communities in Canada. Largely neglected in the scholarship however, is research focusing on the gendered dimensions of Inuit food security in a changing climate. This paper reports on a community based participatory research project involving semi-structured interviews with Inuit women (n = 42), 10 focus groups (n = 40), key informant interviews (n = 8), and participant observation, to identify and characterise the determinants of food security among Inuit females in the community of Arviat, and examine the role played by climate and climate change. Results indicate that significant changes in climate being observed are not currently affecting female food security, with socio-economic-cultural factors primary determinants of food security. The nature of the traditional food system in Arviat based on harvesting land mammals reduces sensitivity to changing sea ice conditions which have been problematic in other Inuit communities. However, dependence on a limited number of animals for diet (primarily caribou, arctic char) increases sensitivity to potential future disruptions caused by climate change to these species and reduces response diversity as a coping mechanism.
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Trott, Christopher G. "SALADIN D’ANGLURE, Bernard, 2006 Être et renaître inuit: homme, femme ou chamane, Paris, Gallimard, 429 pages." Études/Inuit/Studies 30, no. 2 (2006): 230. http://dx.doi.org/10.7202/017577ar.

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Kleinfeld, Judith, and Justin J. Andrews. "Postsecondary education gender disparities among Inuit in Alaska: A symptom of male malaise?" Études/Inuit/Studies 30, no. 1 (August 1, 2007): 111–21. http://dx.doi.org/10.7202/016152ar.

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Abstract:
Abstract Far more Inuit women in Alaska are pursuing postsecondary education compared to Inuit men. Among Inupiat in Alaska, only 28% of students pursuing baccalaureate degrees at the University of Alaska are male, and the proportion of males receiving baccalaureate degrees declined from 2000 to 2003. Among Yupiit, 30% of students pursuing baccalaureate degrees are male. Similar gender disparities occur in programs for high school students designed to prepare academically able Indigenous students for college. This phenomenon can be interpreted either as a sign of “male malaise,” of disengagement from education and the wage employment for which education is a preparation, or as a functional adaptation to a mixed wage and subsistence way of life where education and particularly higher education is less important to Inuit males than females. To examine support for the explanation of “male malaise,” we compare two Inuit regions of Alaska, the Inupiaq region of Northwest Alaska, where the regional Native corporation has emphasized providing employment within the region through the Red Dog Mine, and the Yup’ik region of southwestern Alaska, which has low numbers of jobs, particularly outside the regional hub of Bethel. In Northwest Alaska, 49% of young Inuit men, ages 22 to 29, described themselves in the 2000 census as either “unemployed” or “out of the labor force.” In Southwest Alaska, 48% of young Inuit men said the same thing. These patterns support the explanation of “male malaise.” However, community studies, which allow fine-grained, household analyses of male and female participation in the wage and subsistence economies are needed to distinguish between these two explanations or suggest other interpretations.
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Ford, James D., and Lea Berrang-Ford. "Food security in Igloolik, Nunavut: an exploratory study." Polar Record 45, no. 3 (July 2009): 225–36. http://dx.doi.org/10.1017/s0032247408008048.

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Abstract:
ABSTRACTThis paper reports on an exploratory analysis examining the prevalence of food (in)security in the Inuit community of Igloolik, Nunavut, identifying high risk groups, and characterising conditions facilitating and constraining food security. A stratified cross-sectional food survey was administered to 50 Inuit community members in July 2007. 64% of the participants surveyed experienced some degree of food insecurity in the past year (July 2006–July 2007). Food insecurity among the sample population greatly exceeds the Canadian average. This is cause for concern given the negative physical and mental health impacts that have been documented for low nutritional status. The prevalence and severity of food insecurity differed among participants; females and those obtaining most of their food from the store were at highest risk of food insecurity. Consumption of traditional foods was significantly associated with increased food security. The study supports the need for further research to investigate key trends highlighted by the sample. Preliminary identification of potential trends contributes towards the goal of identifying entry points for policy aimed at strengthening northern Inuit food systems.
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Young, T. Kue, and Peter T. Katzmarzyk. "L’activité physique chez les Autochtones au CanadaCet article est tiré d’un supplément intitulé Advancing physical activity measurement and guidelines in Canada: a scientific review and evidence-based foundation for the future of Canadian physical activity guidelines (Favoriser les lignes directrices et la mesure de l’activité physique au Canada: examen scientifique et justification selon les données probantes pour l’avenir des lignes directrices de l’activité physique canadienne) publié par Physiologie appliquée, nutrition et métabolisme et la Revue canadienne de santé publique. On peut aussi mentionner Appl. Physiol. Nutr. Metab. 32 (Suppl. 2F) ou Can. J. Public Health 98 (Suppl. 2)." Applied Physiology, Nutrition, and Metabolism 32, S2F (December 2007): S165—S178. http://dx.doi.org/10.1139/h07-164.

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Abstract:
Cet article présente un bilan des pratiques de l’activité physique, des facteurs et des conséquences de même que des effets de plusieurs interventions menées pour accroître la pratique de l’activité physique chez les Aborigènes du Canada et des États-Unis. Peu d’études nationales ont été menées à propos de la pratique de l’activité physique chez les peuples aborigènes. Les données les plus récentes proviennent de l’Enquête régionale longitudinale sur la santé des Premières Nations (2002–2003) : 21 % des adultes (hommes, 27 %, femmes, 15 %) font en une journée au moins 30 min d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse, et ce, 4 jours ou plus par semaine. Cet article indique les défis particuliers auxquels les Aborigènes sont confrontés et souligne le besoin pour cette population de s’approprier le savoir collectif à propos de la quantité d’activité physique à pratiquer et des modalités à suivre pour la promotion et le maintien de la santé. En ce moment, des individus travaillent à adapter le guide d’activité physique aux Premières Nations, aux Inuits et aux Métis. Les prochaines études devraient porter sur les niveaux, minimal et optimal, de pratique de l’activité physique chez ces populations afin qu’elles en retirent les bienfaits au plan de la santé.
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Oliver, LN, P. Finès, E. Bougie, and D. Kohen. "Hospitalisations pour blessures intentionnelles dans les régions à fort pourcentage de résidents d'identité autochtone, 2004-2005 à 2009-2010." Maladies chroniques et blessures au Canada 34, no. 2/3 (July 2014): 88–100. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.34.2/3.03f.

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Abstract:
Introduction Cette étude décrit les taux d'hospitalisation pour blessures auto-infligées et pour blessures par agression dans les régions à pourcentage relativement élevé de résidents s'identifiant comme membres des Premières nations, Métis ou Inuits, par cause de blessure, par tranche d'âge et par sexe. Méthodologie Tous les dossiers de sortie des hôpitaux de soins de courte durée des provinces et territoires du Canada hors Québec ont été tirés de la Base de données sur les congés des patients. Les aires de diffusion où plus de 33 % des résidents ont déclaré appartenir à un groupe autochtone au recensement de 2006 ont été classées comme « régions à fort pourcentage d'Autochtones ». Résultats Dans l'ensemble, dans les régions à fort pourcentage d'Autochtones, les taux d'hospitalisation normalisés selon l'âge (THNA) pour blessures auto-infligées étaient plus élevés chez les femmes, tandis que les THNA pour blessures par agression étaient plus élevés chez les hommes. Comparativement aux résidents des régions à faible pourcentage d'Autochtones, les résidents des régions à fort pourcentage d'Autochtones étaient au moins trois fois plus susceptibles d'avoir été hospitalisés pour blessures auto-infligées et au moins cinq fois plus susceptibles d'avoir été hospitalisés pour blessures par agression. Conclusion Les recherches à venir devraient analyser les comorbidités et les conditions socioéconomiques ainsi que les comportements à risque individuels comme facteurs associés à l'hospitalisation pour blessures auto-infligées.
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Oosten, Jarich G. "Kiviuq : une épopée en devenir?1." Anthropologie et Sociétés 26, no. 2-3 (October 15, 2003): 71–90. http://dx.doi.org/10.7202/007049ar.

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Abstract:
Résumé Dans un article stimulant, Roberte Hamayon explorait les liens entre tradition chamanique et tradition épique chez les Bouriates de Sibérie. Dans le présent article, j’examine les dimensions chamanique et épique des récits inuit, et en particulier de l’illustre unikaaqtuaq de Kiviuq. Les récits qui mettent en scène Kiviuq présentent tous les traits d’une épopée émergente centrée sur un héros chamanique. L’article porte une attention particulière à la dialectique complexe qui existe entre le comportement social et non social du héros. La position de Kiviuq paraît ambiguë, puisque ses aventures peuvent se dénouer aussi bien sur son aliénation complète de la société que sur son retour à ses femmes. Il ne met pas ses aptitudes chamaniques au service de la communauté mais à celui de sa survie lorsqu’il rencontre de dangereux êtres non humains. Ainsi Kiviuq n’est-il pas un héros de service mais un héros de la survie.
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Konrad, S., A. Hossain, A. Senthilselvan, JA Dosman, and MD Pahwa. "Chronic bronchitis in Aboriginal people—prevalence and associated factors." Chronic Diseases and Injuries in Canada 33, no. 4 (September 2013): 218–25. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.4.03.

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Abstract:
Introduction Knowledge about chronic bronchitis (CB) among Aboriginal people in Canada is limited. The aim of this study was to determine the prevalence of CB and its associated factors among Aboriginal people aged 15 years plus. Methods Logistic regression analysis was used on data from the cross-sectional 2006 Aboriginal Peoples Survey to determine risk factors associated with CB. Results CB prevalence was 6.6% among First Nations, 6.2% among Métis and 2.4% among Inuit. Prevalence was higher among females than males (7.2% versus 5.0%). Individuals with CB were more likely to be older, living at a lower income, with a lower educational attainment and residing in rural areas. Smoking status and body mass index were also significantly associated with CB, but their effect differed by sex. Obesity was particularly significantly associated with CB among females compared with males, and current smoking and non-smoking status was significantly associated with CB among females but not males. Conclusion These findings identify factors associated with CB among Aboriginal people. As such, they may represent potentially preventable risk factors that can inform health promotion and disease prevention practices.
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Bertrand, Karine. "Cinéma inuit et post-colonialisme : la revendication de la parole des femmes dans le film Le jour avant le lendemain (2008) de Marie-Hélène Cousineau et Madeleine Ivalu." Studies in French Cinema 13, no. 3 (September 1, 2013): 197–213. http://dx.doi.org/10.1386/sfc.13.3.197_1.

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Kirmayer, Laurence J., Lucy J. Boothroyd, and Stephen Hodgins. "Attempted Suicide among Inuit Youth: Psychosocial Correlates and Implications for Prevention." Canadian Journal of Psychiatry 43, no. 8 (October 1998): 816–22. http://dx.doi.org/10.1177/070674379804300806.

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Abstract:
Objective: To identify potential risk and protective factors associated with attempted suicide among Inuit youth, a population known to have a high rate of both attempted and completed suicide in recent years. Method: A secondary analysis of data on 203 Inuit youth (aged 15 to 24 years) from a random community survey conducted by Santé Québec in 1992. Factors previously identified in the literature and in clinical consultation and ethnographic research were tested with bivariate statistics and logistic regression models for each gender. Results: At the bivariate level, positive correlates included substance use (solvents, cannabis, cocaine), recent alcohol abuse, evidence of a psychiatric problem, and a greater number of life events in the last year. Regular church attendance was negatively associated with attempted suicide. Multivariate analysis indicated that a psychiatric problem, recent alcohol abuse, and cocaine or crack use were the strongest correlates of attempted suicide for females, while solvent use and number of recent life events were the strongest correlates for males. Conclusions: Suicide prevention programs can be targeted at youth who are using substances, particularly solvents, cocaine, and alcohol, have psychiatric illness, and have experienced recent negative life events. Involvement in church or other community activities may reduce the risk for suicide. Consideration of gender differences may allow more precise identification of those at risk for attempted suicide.
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Ng, C., S. Chatwood, and TK Young. "Arthrite dans la population autochtone canadienne : différences entre le Nord et le Sud en ce qui a trait à la prévalence et aux corrélats." Maladies chroniques au Canada 31, no. 1 (December 2010): 26–31. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.31.1.04f.

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Abstract:
Contexte Les données sur l’arthrite et les autres troubles musculosquelettiques chez les Autochtones sont rares. Les données d’enquête montrent que l’arthrite et le rhumatisme figurent parmi les troubles chroniques les plus fréquemment signalés et que leur prévalence est plus élevée chez les Autochtones que chez les non-Autochtones. Objectif Décrire le fardeau de l’arthrite au sein de la population autochtone du nord du Canada et démontrer l’impact social et l’importance sur le plan de la santé publique de cette maladie. Méthodologie À partir de données transversales recueillies auprès de plus de 29 000 personnes autochtones âgées de 15 ans et plus et ayant participé à l’Enquête auprès des peuples autochtones de 2006, les différences régionales relatives à la prévalence de l’arthrite ont été évaluées, de même que les liens avec l’utilisation des services de santé et certains facteurs de risque et de comorbidité. Résultats Dans les trois territoires du Nord (le « Nord »), la prévalence de l’arthrite était de 12,7 %, alors qu’elle était de 20,1 % dans les provinces (le « Sud »). Dans le Nord comme dans le Sud, la prévalence était plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Elle demeure moins élevée chez les Inuits qu’au sein des autres groupes autochtones. Les personnes atteintes d’arthrite étaient davantage susceptibles de fumer, d’être obèses, de souffrir d’autres maladies chroniques et d’être sans emploi. Les Autochtones atteints d’arthrite ont utilisé le système de santé plus souvent que ceux ne souffrant pas de cette maladie. Conclusion Les conclusions concernant l’arthrite et d’autres maladies chroniques chez les Autochtones ainsi que la reconnaissance des différences entre le Sud et le Nord seront profitables pour la planification de programmes et l’établissement de nouvelles priorités en matière de promotion de la santé.
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Ferguson, Steven H., Xinhua Zhu, Brent G. Young, David J. Yurkowski, Gregory W. Thiemann, Aaron T. Fisk, and Derek C. G. Muir. "Geographic variation in ringed seal (Pusa hispida) growth rate and body size." Canadian Journal of Zoology 96, no. 7 (July 2018): 649–59. http://dx.doi.org/10.1139/cjz-2017-0213.

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Abstract:
We summarize geographical patterns in ringed seal (Pusa hispida (Schreber, 1775)) body length and girth growth using 3012 samples collected by Inuit hunters in the eastern Canadian Arctic from 1990 to 2016. Spatial structure was detected using cluster analysis of environmental variables separating a northern region in the eastern Canadian High Arctic and a southern region in Hudson Bay. The north was characterized by more fast ice, multiyear ice, greater snow depth, colder temperatures, and greater sea-ice concentration in the spring seal breeding season. Hierarchical Bayesian models described length and axillary girth growth of northern seals as slower than in the south, reaching asymptotic size 5–7 years later. Northern females were larger than males (asymptotic length of 149 versus 140 cm, respectively) and both were larger than southern seals (males and females 126 cm). We conclude that environmental variation was best represented by regions rather than latitude, regional body size differences were driven by differential growth rates, and northern ringed seals may be characterized by reverse sexual size dimorphism.
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Gagnon, Louis. "Lectures sur les arts visuels inuit du Nunavik. FINCKENTEIN, Maria von (dir.), 1999 Celebrating Inuit Art, 1948-1970, catalogue d’exposition, Hull, Musée canadien des civilisations et Key Porter Books, 191 pages. HESSEL, Ingo, 1998 Inuit Art/An Introduction, Vancouver, Douglas and McIntyre, 198 pages. NOËL, Michel et Jean CHAUMELY, 1998 Histoires de l’art des Inuits du Québec, Montréal, Éditions Hurtubise HMH, 115 pages. SAUCIER, Céline, 1998 Le refus de l’oubli: femmes-sculptures du Nunavik, Québec, Les éditions de L’instant même, 191 pages. SEIDELMAN, Harold et James TURNER, 2001 The Inuit Imagination: Arctic Myth and Sculpture, Vancouver, Douglas and McIntyre, 224 pages. SWINTON, George, 1999 Sculpture of the Inuit (revised and updated edition), Toronto, McClelland and Stewart, 302 pages." Études/Inuit/Studies 28, no. 1 (2004): 171. http://dx.doi.org/10.7202/012646ar.

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Hillis, Tracy L., and Frank F. Mallory. "Fetal development in wolves, Canis lupus, of the Keewatin District, Northwest Territories, Canada." Canadian Journal of Zoology 74, no. 12 (December 1, 1996): 2211–18. http://dx.doi.org/10.1139/z96-251.

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Abstract:
Of 205 female wolves (Canis lupus) shot by Inuit hunters between 1987 and 1989 in the Keewatin District, Northwest Territories, Canada, 97 were parous, and 16 gravid females carried 73 identifiable fetuses. Fetuses grew at a mean rate of 5.17 g/day between day 32 post coitus and parturition. During the same period, fetuses increased in length at a mean rate of 0.204 cm/day. No significant sexual dimorphism in body mass or other morphological features was found at this stage of development. Cranio-caudal length ranged from 3 mm shortly after implantation to approximately 185 mm at parturition. All correlations of morphological parameters with cranio-caudal length were significant, and with the exception of humerus length and contour length, all parameters increased faster than cranio-caudal length. The results are discussed in relation to reproductive and developmental strategies in canids.
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Jalenques, M., J. Sanders, L. Tran, L. Beaupré, M. Kent, and S. Lair. "Muscular microsporidian infection in Arctic char Salvelinus alpinus from two lakes in Nunavik, Quebec, Canada." Diseases of Aquatic Organisms 144 (May 27, 2021): 209–20. http://dx.doi.org/10.3354/dao03593.

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Abstract:
Arctic char Salvelinus alpinus is an important cultural and subsistence resource for Inuit communities. Muscular infections by microsporidia were diagnosed for the first time in Arctic char originating from 2 different lakes in Nunavik (Quebec, Canada). The consumption of these infected fish was associated with digestive tract disorders in people. To better characterize microsporidiosis in these char populations, a cross-sectional study was conducted on 91 fish. The microsporidium was classified as a member of the Microsporidium collective genus by morphological evaluation and phylogenetic analysis using small subunit ribosomal DNA sequence data. The presence and severity of infection were determined histologically. Microsporidian infection occurred in 61% of the fish (56/91) and was significantly associated with an increase in their age, length and weight. The severity of infection (percentage of muscle area affected by microsporidia) was mild in most cases (<1% of the total muscle area). Based on multiple linear regression modeling, the severity of infection was significantly greater in females and negatively correlated with the body condition. Despite a high prevalence, the low pathogenicity of the infection suggests that microsporidiosis has little impact on these char populations. Moreover, since digestive-tract disorders following ingestion of fish infected by microsporidia have never been reported in humans, it seems unlikely that it was responsible for the reported clinical signs. Anisakid larvae are occasionally observed in these char populations. Digestive-tract infection associated with ingestion of these larvae should thus be considered as a potential differential diagnosis in these Inuit communities.
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Ferguson, Steven H., Cornelia Willing, Trish C. Kelley, David A. Boguski, David J. Yurkowski, and Cortney A. Watt. "Reproductive Parameters for Female Beluga Whales (Delphinapterus leucas) of Baffin Bay and Hudson Bay, Canada." ARCTIC 73, no. 4 (December 27, 2020): 405–20. http://dx.doi.org/10.14430/arctic71435.

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Abstract:
Monitoring marine mammal populations and their habitats is crucial for assessing population status and defining realistic management and conservation goals. Environmental and anthropogenic changes in the Arctic have prompted the pursuit for improved understanding of female beluga whale (Delphinapterus leucas) spatial and temporal reproductive patterns. There are relatively few estimates for female reproductive parameters of beluga whale populations across the Arctic, and those few that are available are outdated. Here we summarize female reproductive data from samples collected through Inuit subsistence hunts of three eastern Canadian Arctic beluga populations: High Arctic/Baffin Bay (HA), Western Hudson Bay (HB), and Cumberland Sound (CS) from 1989 to 2014. We grouped the CS and HA populations into a Baffin Bay region (BB) population based on similar body growth patterns and genetic similarity. Asymptotic body length of BB beluga whales (370.9 cm) was greater than HB whales (354.4 cm) as established from Gompertz growth curves fitted for whales ranging in age from 1 – 89 y. We did not detect a significant difference in average number of pseudocervices (8.6) between regions. Differences in average age of sexual maturity (ASM) and length at sexual maturity (LSM) were identified, with evidence of BB females maturing earlier than females from HB (probability method BB = 9.9 y versus HB = 11.0 and logistic method ASM50% HB = 9.99 and BB unresolved). BB females were also longer than HB females at maturing age (logistic LSM50%: BB = 314.5 cm vs HB = 290.3). Total corpora counts were strongly correlated with age, although the number of corpora (≥ 10 mm) suggests reproductive senescence between 40 and 50 y. Improved understanding of female reproductive patterns and knowledge of changes in the spatial and temporal timing of reproductive processes are fundamental for effective conservation and sustainable management of beluga whale populations.
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Maranda, Pierre. "Bernard Saladin d’Anglure, Naître et renaître inuit, homme, femme ou chamane. Préface de Claude Lévi-Strauss. Paris, Gallimard, collection Le langage des contes, 2006, 429 p., illustr., bibliogr." Anthropologie et Sociétés 31, no. 3 (2007): 229. http://dx.doi.org/10.7202/018384ar.

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Oliver, LN, P. Finès, E. Bougie, and D. Kohen. "Intentional injury hospitalizations in geographical areas with a high percentage of Aboriginal-identity residents, 2004/2005 to 2009/2010." Chronic Diseases and Injuries in Canada 34, no. 2/3 (July 2014): 82–93. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.34.2/3.03.

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Abstract:
Introduction This study describes rates of self-inflicted and assault-related injury hospitalizations in areas with a relatively high percentage of residents identifying as First Nations, Métis and Inuit, by injury cause, age group and sex. Methods All separation records from acute in-patient hospitals for Canadian provinces and territories excluding Quebec were obtained from the Discharge Abstract Database. Dissemination areas with more than 33% of residents reporting an Aboriginal identity in the 2006 Census were categorized as high-percentage Aboriginal-identity areas. Results Overall, in high-percentage Aboriginal-identity areas, age-standardized hospitalization rates (ASHRs) for self-inflicted injuries were higher among females, while ASHRs for assault-related injuries were higher among males. Residents of high-percentage Aboriginal-identity areas were at least three times more likely to be hospitalized due to a self-inflicted injury and at least five times more likely to be hospitalized due to an assault-related injury compared with those living in low-percentage Aboriginal-identity areas. Conclusion Future research should examine co-morbidities, socio-economic conditions and individual risk behaviours as factors associated with intentional injury hospitalizations.
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Fisher, K. I., and R. E. A. Stewart. "Summer foods of Atlantic walrus, Odobenus rosmarus rosmarus, in northern Foxe Basin, Northwest Territories." Canadian Journal of Zoology 75, no. 7 (July 1, 1997): 1166–75. http://dx.doi.org/10.1139/z97-139.

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Abstract:
Stomach contents of Atlantic walrus, Odobenus rosmarus rosmarus, taken by Inuit hunters in northern Foxe Basin in July 1987 and 1988 (n = 105) and September 1988 (n = 2) were examined. In July, 20 of 94 stomachs from immature and adult walrus contained > 5 g of food representing 17 prey taxa, including bivalves, gastropods, holothurians, polychaetes, and brachiopods. The bivalve Mya truncata contributed 81.4% of the total gross energy in the diet, with the bivalve Hiatella arctica, holothurians, and the polychaete Nereis sp. contributing 7.5, 3.5, and 2.8%, respectively. The diets of male and female walrus were similar except that females received a significantly (P < 0.05) greater percentage of gross energy in their diet from H. arctica than did males. Walrus less than 3 years old (n = 11) consumed mostly milk, although some benthic invertebrates were eaten. Analysis of the contents of two stomachs collected in September suggested that walrus may feed more intensively in the fall. Mya truncata was again the predominant prey, contributing 59.9% of total gross energy, with the bivalve Serripes groenlandicus (37.9%) replacing H. arctica (0.3%) as the second most important prey.
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Ng, C., S. Chatwood, and TK Young. "Arthritis in the Canadian Aboriginal population: north-south differences in prevalence and correlates." Chronic Diseases in Canada 31, no. 1 (December 2010): 22–26. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.31.1.04.

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Abstract:
Background Information on arthritis and other musculoskeletal disorders among Aboriginal people is sparse. Survey data show that arthritis and rheumatism are among the most commonly reported chronic conditions and their prevalence is higher than among non-Aboriginal people. Objective To describe the burden of arthritis among Aboriginal people in northern Canada and demonstrate the public health significance and social impact of the disease. Methods Using cross-sectional data from more than 29 000 Aboriginal people aged 15 years and over who participated in the Aboriginal Peoples Survey 2006, we assessed regional differences in the prevalence of arthritis and its association with other risk factors, co-morbidity and health care use. Results The prevalence of arthritis in the three northern territories ("North") is 12.7% compared to 20.1% in the provinces ("South") and is higher among females than males in both the North and South. The prevalence among Inuit is lower than among other Aboriginal groups. Individuals with arthritis are more likely to smoke, be obese, have concurrent chronic diseases, and are less likely to be employed. Aboriginal people with arthritis utilized the health care system more often than those without the disease. Conclusion Aboriginal-specific findings on arthritis and other chronic diseases as well as recognition of regional differences between North and South will enhance program planning and help identify new priorities in health promotion.
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Teilmann, Jonas, and Finn O. Kapel. "Exploitation of ringed seals (Phoca hispida) in Greenland." NAMMCO Scientific Publications 1 (June 5, 1998): 130. http://dx.doi.org/10.7557/3.2984.

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Abstract:
The ringed seal (Phoca hispida) is the most important game for the Inuit hunters of Greenland, providing many of the basic needs in the original culture. It is distributed all around Greenland with the main distribution north of 69°N on the west coast and north of 66°N on the east coast. During 1974-76, studies were conducted in the most important ringed seal catching area, Upernavik, Northwest Greenland, and a total of 7,089 ringed seals were sampled. The methods used for catching ringed seals were categorised into five different groups. The most common hunting method used in the municipality of Upernavik during 1974-76 was netting under the ice, accounting for almost half of the total annual catch. Seals shot on the ice and seals shot at the ice edge accounted for one fifth and one tenth of the annual catch, respectively. In this region seals shot in open water made up about one fifth of the annual catch of ringed seals, while netting in open water contributed only a few percent.Of the seals sampled in Upernavik in 1974-76, 60% were males and 40% were females. In the ringed seal samples collected all around Greenland in the 1980s and 1990s the males comprised 56% and the females 44% (n=923). Similar ratios were found for all age classes and for all hunting methods suggesting either a skewed sex ratio in the ringed seal stock(s) around Greenland or a differencein availability to the hunters of male and female ringed seals. In tagging experiments a higher mobility was found for females than for males, which suggests differences in the behaviour of the two sexes.Catch and trade statistics on ringed seals are reviewed and evaluated for the period of 1954 until 1994, and the seasonal and regional variation is examined. The peak season for ringed seal hunting in Greenland as a whole is from January through May. This is particularly evident for the northern regions, where relatively few ringed seals are taken during the open water season from June to September. In the southern regions, however, the great majority of ringed seals are caught in openwater.In all regions, the catch of ringed seals showed great annual and long-term variation. The variations were not identical in all regions, but similar trends were found for Northwest and Central West, and for Southwest and South. From 1954 to 1994 there was a general, significant increase in the reported catches of ringed seals in west Greenland. For Greenland overall, the catch of ringed seals wasaround 43,000 per year in the 1950s, peaked in the late 1970s at almost 100,000 per year, but since decreased to about 70,000 in the early 1990s.
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Howard, Courtney, Caren Rose, Warren Dodd, Katherine Kohle, Craig Scott, Patrick Scott, Ashlee Cunsolo, and James Orbinski. "SOS! Summer of Smoke: a retrospective cohort study examining the cardiorespiratory impacts of a severe and prolonged wildfire season in Canada’s high subarctic." BMJ Open 11, no. 2 (February 2021): e037029. http://dx.doi.org/10.1136/bmjopen-2020-037029.

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Abstract:
ObjectivesTo determine healthcare service utilisation for cardiorespiratory presentations and outpatient salbutamol dispensation associated with 2.5 months of severe, unabating wildfire smoke in Canada’s high subarctic.DesignA retrospective cohort study using hospital, clinic, pharmacy and environmental data analysed using Poisson regression.SettingTerritorial referral hospital and clinics in Yellowknife, Northwest Territories, Canada.ParticipantsIndividuals from Yellowknife and surrounding communities presenting for care between 2012 and 2015.Main outcome measuresEmergency room (ER) presentations, hospital admissions and clinic visits for cardiorespiratory events, and outpatient salbutamol prescriptionsResultsThe median 24-hour mean particulate matter (PM2.5) was fivefold higher in the summer of 2014 compared with 2012, 2013 and 2015 (median=30.8 µg/m3), with the mean peaking at 320.3 µg/m3. A 10 µg/m3 increase in PM2.5 was associated with an increase in asthma-related (incidence rate ratio (IRR) (95% CI): 1.11 (1.07, 1.14)) and pneumonia-related ER visits (IRR (95% CI): 1.06 (1.02, 1.10)), as well as an increase in chronic obstructive pulmonary disease hospitalisations (IRR (95% CI): 1.11 (1.02, 1.20). Compared with 2012 and 2013, salbutamol dispensations in 2014 increased by 48%; clinic visits for asthma, pneumonia and cough increased; ER visits for asthma doubled, with the highest rate in females, in adults aged ≥40 years and in Dene people, while pneumonia increased by 57%, with higher rates in males, in individualsaged <40 years and in Inuit people. Cardiac variables were unchanged.ConclusionsSevere wildfires in 2014 resulted in extended poor air quality associated with increases in health resource utilization; some impacts were seen disproportionately among vulnerable populations, such as children and Indigenous individuals. Public health advisories asking people to stay inside were inadequately protective, with compliance possibly impacted by the prolonged exposure. Future research should investigate use of at-home air filtration systems, clean-air shelters and public health messaging which addresses mental health and supports physical activity.
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Miller, Frank L., Samuel J. Barry, and Wendy A. Calvert. "The role of seasonal migration in the near-total loss of caribou on south-central Canadian Arctic Islands." Rangifer 27, no. 4 (April 1, 2007): 243. http://dx.doi.org/10.7557/2.27.4.349.

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Abstract:
Extended: In 1980 the caribou (Rangifer tarandus) on Prince of Wales, Russell, and Somerset islands represented a healthy geographic population of an Arctic-island caribou ecotype on the southern tier of Canadian Arctic Islands. Those caribou exhibited complex patterns of seasonal range occupancy, involving annual seasonal migrations between and among the three islands and Boothia Peninsula (Miller et al., 1982, 2005; Miller, 1990). A large segment of the population migrated annually from the islands to Boothia Peninsula in early winter, wintered there, and then returned to the islands in the following late winter and spring. There is no evidence for large-scale emigration of caribou anywhere in the study area (Gunn et al., 2006). Caribou on Boothia Peninsula occur as two distinct ecotypes that are genetically different from the Arctic-island ecotype that occurred on Prince of Wales, Russell, and Somerset islands (e.g., Zittlau, 2004). Both the Boothia Peninsula ecotype and the Mainland ecotype calve mostly on northern Boothia Peninsula, northwest and northeast sections respectively (Gunn et al., 2000). After summering on the peninsula, most individuals of both ecotypes migrate south of the Boothia Isthmus onto adjacent mainland areas (Gunn et al., 2000). As a result, there were about the same number of caribou wintering on Boothia Peninsula when migrant caribou from Prince of Wales, Russell, and Somerset islands wintered there, as in summer when the migrant Arctic-island caribou had returned to Prince of Wales, Russell, and Somerset islands and the migrant Boothia Peninsula and Mainland caribou ecotypes had returned from their winter ranges farther south on the mainland to their calving areas and summer ranges on Boothia Peninsula. We treat both caribou ecotypes on Boothia Peninsula as just one geographic population for our assessment. The Arctic-island caribou ecotype on Prince of Wales, Russell, and Somerset islands declined about 98% from the estimated 5097 1+ yr-old caribou in 1980 to fewer than 100 1+ yr-old caribou in 1995 (Gunn & Decker, 1984; Miller, 1997; Gunn & Dragon, 1998; Gunn et al., 2006). This loss of caribou on those islands amounts to a near-total loss of a genetically distinctive group of Arctic-island caribou (e.g., Zittlau, 2004). In contrast, the estimated number of caribou in the geographic population on Boothia Peninsula appeared to increase by 1.4-fold from 4831 to 6658 1+ yr-old caribou between 1985 and 1995, although annual harvesting pressure was heavy. It was biologically impossible for the Boothia Peninsula geographic population at its 1985 estimated size to have persisted until 1995, let alone to have increased, under the estimated average annual harvest regime of 1100 1+ yr-old caribou • yr-1. There is no evidence that the Boothia Peninsula population was underestimated in 1985. It would have required a population in 1985 at least twice as great as the calculated estimate to sustain the estimated annual harvest between 1985 and 1995. An underestimate of such magnitude is too great to be probable. In our examination of the survey results, we could find no reason to question that the calculated population estimates were not reasonable approximations. The fixed-wing aerial surveys in 1980 (Gunn & Decker, 1984), 1985 (Gunn & Ashevak, 1990), and 1995 (Gunn & Dragon, 1998) were highly comparable, well designed and executed, using standard procedures for a fixed-width, strip-transect, systematic aerial survey of caribou. One of the two observers was the same experienced survey biologist in all 3 years, the second observer in 1980 was an experienced survey biologist and in 1985 and 1995 was an experienced Inuit hunter familiar with the area, and the pilot was the same on all surveys and had flown many systematic surveys of caribou on the Canadian Arctic Archipelago and mainland Canada. Helicopter searches of known caribou ranges on Prince of Wales, Russell, and Somerset islands that were carried out in late winter 1996 under ideal viewing conditions yielded only two caribou on Somerset Island and none on Prince of Wales Island or Russell Island (Miller, 1997). In 2004, a combination aerial and ground survey of caribou by the Nunavut Wildlife Service, using a helicopter and snowmobile-mounted Inuit observers, failed to find even one caribou or any recent sign of caribou on Prince of Wales and Somerset islands (Gunn et al., 2006). Gunn et al. (2006) found no evidence that an absolute shortage of forage, relative unavailability of forage due to extreme snow and ice conditions, intraspecific competition with muskoxen (Ovibos moschatus), large-scale emigration, widespread disease, or heavy parasite burdens played a major role in the near-total loss of caribou on Prince of Wales, Russell, and Somerset islands. They did, however, conclude that both wolf (Canis lupus) predation and hunting on Prince of Wales, Russell, and Somerset islands most likely contributed to and deepened the final stage of the decline. The role of annual seasonal migration between the islands and Boothia Peninsula was not considered by Gunn et al. (2006). Therefore, we investigated how annual seasonal migration of the Arctic-island caribou ecotype from Prince of Wales, Russell, and Somerset islands to Boothia Peninsula could have played the major role by providing a yearly ongoing supply of caribou “recruits” on Boothia Peninsula to buffer the heavy annual harvest of caribou there. We carried out a series of multiple analyses of required population structure, required proportion of females producing calves, required proportion of calves surviving to yearlings, allowable annual harvest, and resultant annual harvest shortfall (the number of caribou lost annually at the estimated level of annual harvest or the number of additional caribou required annually from beyond Boothia Peninsula to sustain the annual harvest) in relation to the required size of the 1985 caribou population on Boothia Peninsula. We derived the annual harvest estimates from data presented in Gunn et al. (1986) and Jingfors (1986), which yielded a per capita mean annual harvest of 3.1 caribou • person-1 • yr-1 throughout the Kitikmeot region and at Taloyoak. We believe the extrapolated annual harvest estimates are conservative, as we did not inflate them to account for the 1.6-fold increase in the human population at Taloyoak between 1980 and 1995 and the Inuit hunters did not report any lack of caribou or hardships in obtaining them during that time. Inuit hunters prefer the meat of Arctic-island caribou to that of either the Boothia Peninsula ecotype or the Mainland ecotype. Thus, individuals of the Arctic-island caribou ecotype were shot each winter while they wintered on Boothia Peninsula in preference to both the Boothia Peninsula and the Mainland caribou ecotypes. Although caribou are killed year-round and there is no restriction on how many can be killed, most caribou hunting takes place during winter, when hunters can travel longer distances and haul carcasses back to the settlements more easily by snow machines. Our analyses and assessment of the changes over time in the sizes of the two caribou populations under consideration led us to three primary conclusions. 1) It was biologically impossible for the 4831 1+ yr-old caribou estimated on Boothia Peninsula in 1985 to have sustained the estimated average annual harvest of 1100 1+ yr-old animals for 10 years: the caribou population on the Boothia Peninsula would have been in a steady state of decline and, with the population performing at expected levels, would have been reduced to a remnant or even extirpated as early as 1992. 2) Although the estimated harvest level was unsustainable by the Boothia Peninsula population, the decline was masked by an annual winter infusion of the migrant Arctic-island caribou ecotype from Prince of Wales, Somerset and Russell islands onto Boothia Peninsula during the peak annual hunting period: without the infusion of caribou from the islands, the Inuit of Taloyoak could only have realized, on average, about two-fifths of the estimated annual harvests between 1985 and 1995 without the Boothia Peninsula population entering into a steady state of decline. 3) Migrant Arctic-island caribou from Prince of Wales, Russell, and Somerset islands wintered each year on Boothia Peninsula and this resulted in the persistence of caribou on the Boothia Peninsula, but led to the simultaneous near-demise of the caribou in the Prince of Wales, Russell, and Somerset islands geographic population. The caribou resource within the entire Prince of Wales-Russell-Somerset islands-Boothia Peninsula complex must be managed as a single unit. Effective management is not possible without ongoing assessment of the annual harvest combined with periodic monitoring of population size being carried out on all of those three islands and on Boothia Peninsula at the same times. To date this has not happened. A serious effort should be made to obtain annual harvest statistics yearly and population estimates every 3 years. The interval between population surveys could be stretched to 5 years if the budget demands it, but 6-10 years or more between surveys should be viewed as totally unacceptable. All population surveys should be carried out in July, to obtain population estimate and sex and age composition of the population at the same time during each year and long enough after June calving to get a good measure of the early survival of calves. If any evidence is obtained for large-scale ingress or egress, the population should be surveyed the following July and the magnitude and direction of population change determined and evaluated in relation to current annual harvest estimates. The population should be surveyed the following July after every exceptionally severe winter when a major die-off is probable due to extremely unfavorable snow and ice conditions. All responsible parties (renewable resource agencies and Inuit users) must have the will to act on the findings obtained from the monitoring efforts. Most importantly, they must take the necessary actions in a timely manner, if the findings indicate that the Boothia Peninsula caribou population is in a state of decline. Setting hunting regulations and enforcing harvest limits that are not agreed to by the Inuit users is not practical; therefore, only self-restraint by Inuit hunters will safeguard this valuable renewable caribou resource. The conservation of this hunted caribou population is complicated because preserving only a relatively few caribou is not a satisfactory goal. There must be enough caribou in the population to sustain the desired level of annual harvest or the annual harvest must be quickly adjusted downward to the sustainable level. Otherwise, with a steadily growing human population at Taloyoak, the future of the geographic population of caribou on Boothia Peninsula is not promising and most likely its continual use as a valuable renewable resource is in jeopardy. For further details on this subject see Miller et al. (2007).
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Hervé, Caroline. "Saladin d’Anglure Bernard, Être et renaître inuit. Homme, femme ou chamane (préface de Claude Lévi-Strauss), Gallimard, coll. « Le langage des contes », Paris, 2006, 429 p. + 8 p. de pl. N&B, bibl., gloss., ill." Journal de la société des américanistes 92, no. 93-1 (December 1, 2007). http://dx.doi.org/10.4000/jsa.7263.

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Uhl, Magali. "Images." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.126.

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Abstract:
Image matérielle ou image mentale, émanation du geste humain ou production de l’esprit, artefact ou souvenir, l’image recouvre une multiplicité de formes et de significations qui vont des rêves aux dessins d’enfants, des ombres projetées aux peintures célébrées, des traces mnésiques aux images numériques. Tout autant confrontée à cette tension entre matérialité et virtualité, la connaissance anthropologique sur les images, comme les nombreux domaines du savoir qui lui sont associés (sociologie, sémiologie et études médiatiques, principalement) ont proposé des manières distinctes d’aborder les images, abandonnant toutefois aux sciences de l’esprit (psychanalyse et sciences cognitives) la dimension imaginative. Ainsi, deux voies se sont historiquement tracées pour intégrer les apports de la représentation imagée et se partagent, aujourd’hui encore, le domaine de l’anthropologie des images. D’un côté, l’image comme support au discours permet de questionner le potentiel culturel, politique et idéologique de l’image que les chercheurs vont déceler dans des corpus de représentations (publicités, images de la presse, cartes postales, selfies, snapshots et autres illustrations culturelles); de l’autre, l’image comme instrument de recherche dans laquelle la production visuelle des chercheurs (captations photographiques ou filmiques, tableaux, croquis, dessins et plans) est une manière d’accéder à leur terrain d’étude avec parfois pour ambition de proposer une visualisation de leurs résultats de recherche. Pour le dire avec Douglas Harper (1988), l’image peut aussi bien être un objet d’étude sur lequel on porte le regard qu’un instrument de recherche qui conduit ce regard. Si l’anthropologie s’est saisie dès le début du 20e siècle du potentiel expressif et cognitif de l’image avec les travaux photographiques de Margaret Mead et de Gregory Bateson sur les usages sociaux du corps dans la culture Balinaise (1942), et ceux, filmiques, de Robert Flaherty à travers son documentaire sur la population inuite de l’Arctique (1922), c’est l’iconologue et anthropologue Aby Warburg qui, à la même époque, a le plus insisté sur la complémentarité de ces deux formes d’images (matérielles et mentales) comme de ces deux postures de recherche (sur les images et avec les images). En effet, son projet d’un Atlas (2012) – composé de milliers de photographies et baptisé du nom de la déesse grecque de la mémoire, Mnemosyne – avait pour ambition de retracer, par la collecte et l’assemblage d’images, des invariants anthropologiques qui traverseraient les époques et les continents (de la Grèce antique à la Renaissance florentine; des Bacchantes romaines au peuple Hopi d’Arizona), et dont la mise en correspondance permettrait, par-delà les discours, une lecture visuelle de l’histoire culturelle. Dans cette méthode d’interprétation iconologique, les représentations matérielles et l’imagination sont intimement liées dans le processus de connaissance anthropologique : les images sont tout à la fois la source du savoir et son véhicule. Le terme de « formules de pathos » que Warburg propose, exprime, dès lors, le caractère idéal-typique du motif imaginaire qui se répète de représentation en représentation à travers les époques, les espaces et les cultures. La proposition qui, par ailleurs, est faite de mettre le détail au cœur de la démarche de recherche, en insistant sur l’attention aux motifs discrets mais persistants – comme la forme d’un drapé ou le tracé d’un éclair – retrouvera plus tard l’un des impératifs de l’anthropologie interprétative formulée par Geertz et l’effort ténu de description que sa mise en pratique exige (1973). Elle rejoindra également celui de l’anthropologie modale (Laplantine 2013) qui milite pour un mode mineur de la connaissance, à l’image des lucioles qui ne brillent la nuit que pour celles et ceux dont l’acuité sensible est mise au service de cette contemplation. Malgré sa radicalité, le parti pris de considérer les images comme la trame à partir de laquelle l’anthropologie se constitue comme savoir a ceci de fascinant qu’il inspire nombre de recherches actuelles. En effet, dans une société saturée par le visuel et dans laquelle les écrans forgent en partie le rapport au monde, cette voie originale trouve aujourd’hui un écho singulier dans plusieurs travaux d’envergure. Georges Didi-Huberman (2011 : 20) reprend, à son compte, le défi warburgien, autrement dit « le pari que les images, assemblées d’une certaine façon, nous offriraient la possibilité – ou, mieux, la ressource inépuisable – d’une relecture du monde ». De son côté, Hans Belting (2004 : 18) insiste sur le fait que « nous vivons avec des images et nous comprenons le monde en images. Ce rapport vivant à l’image se poursuit en quelque sorte dans la production extérieure et concrète d’images qui s’effectue dans l’espace social et qui agit, à l’égard des représentations mentales, à la fois comme question et réponse ». On le voit, l’héritage de l’iconologie a bel et bien traversé le 20e siècle pour s’ancrer dans le contemporain et ses nouveaux thèmes transversaux de prédilection. Les thèmes de l’expérience et de l’agentivité des images sont de ceux qui redéfinissent les contours de la réflexion sur le sujet en lui permettant de nuancer certains des épistémès qui lui ont préexisté. Désamorçant ainsi le partage épistémologique d’un savoir sur les images, qui témoignerait des représentations véhiculées par les artefacts visuels, et d’un savoir avec les images, qui les concevrait comme partenaires de recherche, on parle désormais de plus en plus d’agir des images aussi bien du côté de l’interprétation culturelle que l’on peut en faire, que du travail des chercheurs qui les captent et les mettent en récit. Par ailleurs, le fait que l’image est « le reflet et l’expression de son expérience et de sa pratique dans une culture donnée [et qu’à] ce titre, discourir sur les images n’est qu’une autre façon de jeter un regard sur les images qu’on a déjà intériorisées (Belting 2004 : 74) », relativise également cet autre partage historique entre image intérieure (mentale) et image extérieure (représentationnelle), image individuelle (idiosyncrasique) et image publique (collective) qui s’enracine dans une généalogie intellectuelle occidentale, non pas universelle, mais construite et située. L’agir des images est alors tout aussi bien l’expression de leur force auratique, autrement dit de leur capacité à présenter une réalité sensible, à faire percevoir une situation sociale, un prisme culturel ou un vécu singulier, mais aussi, celle de leur agentivité comme artefact dans l’espace public. Dans le premier ordre d’idées, l’historienne et artiste Safia Belmenouar, en collectant et en assemblant des centaines de cartes postales coloniales, qui étaient le support médiatique vernaculaire en vogue de 1900 à 1930, montre, à travers un livre (2007) et une exposition (2014), comment les stéréotypes féminins réduisant les femmes des pays colonisés en attributs exotiques de leur culture se construisent socialement, tout en questionnant le regard que l’on porte aujourd’hui sur ces images de femmes anonymes dénudées répondant au statut « d’indigène ». La performance de l’image est ici celle du dessillement que sa seule présentation, en nombre et ordonnée, induit. Dans le deuxième ordre d’idées, l’ethnologue Cécile Boëx (2013) n’hésite pas, dans ses contributions sur la révolte syrienne, à montrer de quelle manière les personnes en lutte contre le pouvoir se servent des représentations visuelles comme support de leur cause en s’appropriant et en utilisant les nouvelles technologies de l’image et l’espace virtuel d’Internet. Les images sont ici entendues comme les actrices des conflits auxquels elles prennent part. L’expérience des images, comme le montre Belting (2004) ou Laplantine (2013), est donc aussi celle dont nous faisons l’épreuve en tant que corps. Cette plongée somatique est, par exemple, au cœur du film expérimental Leviathan (2012), réalisé par les anthropologues Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel. Partant des images d’une douzaine de caméras GoPro fixées sur le corps de marins de haute mer partis pêcher au large des côtes américaines de Cape Cod, le documentaire immersif fait vivre l’âpre expérience de ce métier ancestral. À l’ère des pratiques photographiques et filmiques amateures (selfies, captations filmiques et montages par téléphones cellulaires) et de l’explosion des environnements numériques de partage (Instagram, Snapchat) et de stockage des données (big data), le potentiel immersif de l’image passe désormais par des pratiques réinventées du quotidien où captation et diffusion sont devenues affaire de tous les corps, indépendamment de leur position dans le champ social et culturel. Critiquées pour leur ambiguïté, leur capacité de falsification et de manipulation, les images ont aussi ce potentiel de remise en cause des normes hégémoniques de genre, de classe et d’ethnicité. Prises, partagées et diffusées de manière de plus en plus massive, elles invitent à l’activité critique afin de concevoir la visualité dans la diversité de ses formes et de ses enjeux contemporains (Mirzoeff 2016). Si aujourd’hui, dans un monde traversé de part en part par les images, l’anthropologie de l’image est un domaine de recherche à part entière dont l’attention plus vive à l’expérience sensible et sensorielle qui la singularise est le prérequis (Uhl 2015), l’iconologie comme méthode anthropologique spécifique répondant aux nouveaux terrains et aux nouvelles altérités a encore du chemin à parcourir et des concepts à inventer afin de ne pas s’enfermer dans le registre instrumental auquel elle est trop souvent réduite. Pour penser l’image dans le contexte actuel de sa prolifération et de la potentielle désorientation qu’elle induit, la tentative d’une iconologie radicale, telle qu’initiée par Warburg, demeure d’une évidente actualité. <
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