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Journal articles on the topic 'Feuilles de plante – croissance et développement'

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Bationo, Babou André, Niéyidouba Lamien, Nicole Demers, and Serigne Kandji. "Culture du baobab Adansonia digitata L. (Bombacaceae) en planche maraîchère : une méthode pour simplifier sa récolte et favoriser sa propagation au Sahel." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (March 1, 2009): 79. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20426.

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Abstract:
Le baobab (Adansonia digitata L.) est l'une des principales espèces ligneuses alimentaires des pays sahéliens. Les feuilles et les fruits sont largement consommés. Sa régénération artificielle reste cependant marginale au Sahel. La technique de production maraîchère du baobab développée par le World Agroforestry Centre (Icraf) et les instituts nationaux de recherche agricole du Sahel apparaît comme une alternative pour accroître l'approvisionnement des populations en feuilles de baobab. L'étude entreprise en station et en milieu paysan a pour objectifs d'évaluer la productivité des planches de baobab soumises à différentes techniques de récolte, de suivre le comportement végétatif des plants après exploitation et de tester l'aptitude du baobab à la transplantation. Deux techniques de récolte sont appliquées : la récolte sur pied en épargnant les bourgeons terminaux et la récolte par coupes rases successives à 5 cm du sol. Les essais de transplantation sont réalisés avec trois stades (I, II, III) de développement. Les résultats montrent que le rendement en feuilles dépend de la saison et de la technique de récolte. Un an après la germination, les rendements sont en moyenne de 2 kg/m2 et 0,6 kg/m2 respectivement sur les planches soumises à la récolte sur pied et à la coupe rase. Les plants transplantés au stade III donnent les meilleurs taux de survie et de croissance. La technique de récolte des feuilles sur pied, en épargnant les bourgeons terminaux, permet ainsi d'intensifier la production de feuilles fraîches et de plants vigoureux pour régénérer les parcs agroforestiers. (Résumé d'auteur)
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Broquedis, Michel, Tayeb Koussa, and Jacques Bouard. "Mise en évidence de l'interconversion de l'acide abscissique et de l'abscissate de β-D-glucopyranose dans des feuilles de Vitis vinifera L. au cours de leur développement." OENO One 22, no. 4 (December 31, 1988): 295. http://dx.doi.org/10.20870/oeno-one.1988.22.4.1264.

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Abstract:
<p style="text-align: justify;">L'évolution, dans les baies de raisin, de l'acide abscissique libre (ABA) et de sa forme conjuguée, l'abscissate de β-D-glucopyranose (ABA-GE), est maintenant bien connue (BROQUEDIS, 1987). On sait notamment qu'une forte accumulation de ce régulateur de croissance sous sa forme libre se produit à la véraison et que l'interconversion entre les deux formes d'ASA est possible. Comme il est généralement admis que l'ASA est essentiellement synthétisé par les feuilles, il était intéressant de savoir si, chez la vigne, de tels phénomènes d'interconversion étaient susceptibles de se produire également dans ces organes, contrairement à l'opinion actuellement admise à la suite de travaux réalisés sur d'autres plantes.</p>
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3

Montagnini, Florencia, Beatriz Eibl, and Sara R. Barth. "Yerba maté biologique : un système agroforestier en phase avec l'environnement et l'économie sociale et financière." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (June 1, 2011): 59. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20475.

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Abstract:
Le commerce de la yerba maté, Ilex paraguariensis Saint-Hilaire, est un négoce lucratif en Argentine, au Paraguay et au Brésil. Ses feuilles sont consommées comme du thé avec un marché en croissance aux États-Unis, en Europe et en Asie, car elles contiennent des antioxydants, sont énergisantes et constituent ainsi une alternative au café. Environ 5% de la superficie de la province de Misiones en Argentine sont consacrés à la production de la yerba maté. Beaucoup de paysans n'atteignent pas les rendements escomptés faute de techniques appropriées. La yerba maté en culture organique (sans intrants agrochimiques) peut atteindre un prix plus élevé pour les coopératives qui en font un de leurs produits. Tradition nel lement gérée en monoculture, son exploitation peut entraîner l'érosion et l'épuisement des sols. Toutefois, la yerba maté pousse en forêt subtropicale et tolère l'ombrage ce qui permet de la cultiver dans des systèmes agroforestiers (SAF). Cette étude examine les SAF avec la yerba maté en culture organique à l'aide d'interviews semi-structurées auprès des paysans de la province de Misiones, y compris les fermes familiales, les grandes fermes, les compagnies privées et les réserves. Un grand nombre d'espèces naturelles poussant en association avec la yerba maté ont été identifiées. Le travail supplémentaire requis par les pratiques de la culture organique est compensé par un meilleur prix de vente. Les SAF, associant yerba mate et arbres, améliorent la fertilité des sols sans recourir aux fertilisants tout en procurant des revenus supplémentaires. Pour cette association l'étude recommande les espèces locales suivantes: Balfourodendron riedelianum, Cordia trichotoma, Nectandra lanceolata, Bastardiopsis densiflora, Cedrela fissillis, Jacaranda micrantha, Araucaria angustifolia, et Ocotea puberula, du fait de leur développement monopodial et de leur capacité d'auto-élagage; ainsi que Tabebuia heptaphylla, Enterolobium contortisiliquum, Peltophorum dubium, Parapiptadenia rigida et Anadenanthera macrocarpa avec une couronne plus large; toutes ont une bonne croissance et un bois de qualité. Il est aussi suggéré d'introduire d'autres espèces arborées, herbacées et arbustives de valeur fruitière, médicinale ou ornementale, diversifiant les produits fermiers. Finalement, cette agroforesterie associant yerba maté et espèces locales va promouvoir la diffusion de cette plante en culture organique et diversifier les revenus en Argentine et ailleurs. (Résumé d'auteur)
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Aissi, Abdeldjalil, Yassine Beghami, and Myriam Heuertz. "Le chêne faginé (Quercus faginea, Fagaceae) en Algérie : potentiel germinatif et variabilité morphologique des glands et des semis." Plant Ecology and Evolution 152, no. 3 (November 28, 2019): 437–49. http://dx.doi.org/10.5091/plecevo.2019.1553.

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Abstract:
The Portuguese Oak in Algeria (Quercus faginea, Fagaceae): germination potential and variability of acorn and seedling morphology Background and aims – The Portuguese Oak, Quercus faginea Lam. (Fagaceae) forms part of iconic Mediterranean forest communities and is of great ecological and taxonomic value in Algeria. Unfortunately, the species is under threat and its populations remain poorly characterized. The aim of this paper is to study the variability of acorn morphology and germination potential of Q. faginea in Algeria, to examine variability in the growth of seedlings and to evaluate the influence of physical treatments on germination capacity and the subsequent development of seedlings at the intra- and inter-provenance levels.Methods – Mature acorns from four Q. faginea provenances of the species in Algeria were used for this work. In each provenance, ten trees were selected, and 100 acorns collected from each tree. Prior to germination, phenotypic seed traits were measured and a set of physical treatments was performed. The germinated seedlings were transplanted into polyethylene bags and several characteristics of plant growth were measured.Key results – The comparative analysis on acorn morphology and germination features revealed heavier acorns in the Baloul provenance and smaller and lighter leaves in the Chelia provenance, in comparison with other provenances. Germination features and seedling growth showed that the size of the acorns had no influence on seedling development.Conclusions – Our results show a morphological variability of leaves and acorns of the Portuguese Oak at the inter-provenance level. This diversity is probably a consequence of genetic variation and / or variable environmental conditions of the provenances. The study of the germination and seedling development reveals a considerable potential for germination and growth. Given all the factors that threaten the persistence of Portuguese Oak in Algeria, we recommend conservation action for the species through reforestation, ex situ plantations and protective fences to avoid genuine and irreversible population regression, which would most likely lead to its disappearance. Contexte et buts visés – Le chêne faginé, Quercus faginea Lam. (Fagaceae), représente un intérêt patrimonial, écologique et taxonomique remarquable en Algérie, mais malheureusement l’espèce est menacée et peu étudiée. L’objectif de ce travail est d’étudier la variabilité morphologique et le potentiel germinatif des glands de Q. faginea en Algérie, d’examiner la variabilité de la croissance des semis et d’évaluer l’influence des traitements physiques sur le potentiel germinatif et le développement ultérieur des semis, tant au niveau intra- qu’inter-stationnel.Méthodes – Des glands mûrs de chêne faginé récoltés sur quatre stations de l’espèce en Algérie ont été utilisés. Sur chaque station, dix arbres ont été sélectionnés, représentés par 100 glands chacun. Une analyse de traits phénotypiques a été réalisée sur les glands ; ensuite un ensemble de traitements physiques ont été effectués afin de tester leur effet sur la germination. Les semis issus de la germination ont été transplantés dans des sachets en polyéthylène et plusieurs caractères de croissance ont été mesurés. Résultats-clés – L’étude comparative morphologique et germinative révèle des glands plus longs et plus lourds à la station de Baloul, et des feuilles plus petites et plus légères à la station de Chélia, en comparaison avec les autres stations. Un effet significatif des traitements sur la germination a été montré dans toutes les stations. La taille des glands n’a aucune influence sur le développement des jeunes semis.Conclusions – Nos résultats montrent une variabilité morphologique inter-stationnelle des feuilles et des glands du chêne faginé. Cette diversité est probablement la conséquence de variations génétiques et/ou des conditions environnementales des stations. L’étude de la germination et de l’évolution de plants révèle un potentiel germinatif et de croissance considérables. Compte tenu de l’ensemble des facteurs qui menacent la pérennité du chêne faginé en Algérie, nous recommandons des actions pour la conservation de l’espèce telles que des reboisements, des plantations ex situ et des clôtures de protection pour éviter une régression réelle et irréversible des peuplements qui conduirait très probablement à sa disparition.
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Boureima, Seyni, and Laouali Ibrahim Mahaman. "Effets de la déficience en phosphore du sol sur la croissance et le développement du sésame (Sesamum indicum L.)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 19, 2020): 1014–24. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.28.

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Abstract:
Le sésame (Sesamum indicum L.) est un protéoléagineux à haute valeur ajoutée et cultivé dans les régions chaudes. Sa culture connait un réel intérêt pour les producteurs sahéliens ces dernières années. Malheureusement dans ces régions, les sols sont trop pauvres en éléments fertilisants, principalement le phosphore. Cette étude vise à évaluer les effets de la déficience en phosphore sur la croissance et le développement de plantes de sésame. Un essai a été conduit en pots dans un dispositif en bloc complet randomisé avec 2 facteurs. La variété à 10 modalités correspondant à 10 variétés de sésame vulgarisées au Niger et le phosphore à 2 modalités (condition optimale ou témoin et condition de déficience). Il ressort des résultats que la déficience en phosphore retarde la floraison de la seule variété 38-1-7 de 4 jours, réduit les biomasses aériennes de 71% et racinaire de 68%. La déficience réduit également, le nombre de feuilles et la taille des plantes. En utilisant le ratio de la biomasse aérienne en condition de déficience et celle en condition optimale de nutrition phosphatée comme proxy, les variétés DS01 et HB168 sont les plus tolérantes à la déficience en phosphore du sol. Le ratio peut donc être utilisé comme critère de criblage rapide pour la tolérance à la déficience en phosphore du sol et identifier des variétés potentielles.Mots clés : Nutrition, fertilisants, croissance, Sesamum indicum L., Sahel. English Title: Effects of phosphorus deficiency on the growth and development of sesame (Sesamum indicum L.) Sesame (Sesamum indicum L.) is a high added value oil and protein crop grown in hot regions of the world. Sesame production has seen a real interest for Sahelian producers in recent years. Unfortunately, in these regions, soils are too poor in nutrients, mainly phosphorus. This study aims to assess the effects of this phosphorus deficiency on the growth and development of sesame plant. A trial was conducted in pots in a completely randomized block design with 2 factors: the “Variety” with 10 modalities corresponding to 10 varieties of sesame vulgarized in Niger and the “Phosphorus” with 2 modalities (optimal or control condition and deficiency condition). The results show that phosphorus deficiency delays flowering of variety 38-1-7 by 4 days, reduces aboveground biomass by 71% and root biomass by 68% as well as the number of leaves and the height of the plants. Using the ratio of aboveground biomass in deficient condition and that in optimal condition of phosphorus nutrition as proxy, varieties DS01 and HB168 are the most tolerant to phosphorus deficiency in the soil. The ratio can therefore be used as a criterion for rapid screening for tolerance to soil phosphorus deficiency and to identify potential varieties.Keywords: Nutrition, fertilizer, growth, Sesamum indicum L., Sahel
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Ouattara, A., A. Touré, K. J. Golly, G. M. Ahon, A. Coulibaly, and K. Ouattara. "Activité antibactérienne d’un extrait hydroalcoolique des feuilles de Carapa procera (Méliacée) sur Staphylococcus aureus et Shigella sp." Phytothérapie 19, no. 2 (March 16, 2021): 64–68. http://dx.doi.org/10.3166/phyto-2018-0104.

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Abstract:
Carapa procera (Meliaceae) est une plante très exploitée en médecine traditionnelle pour le traitement des pathologies infectieuses en Afrique occidentale. Le but de ce travail est d’évaluer l’activité antibactérienne de l’extrait hydroalcoolique des feuilles de cette plante sur la croissance in vitro de Staphylococcus aureus (204C12) et Shigella sp. (1177C10), deux germes multirésistants. Les paramètres antibactériens de Carapa procera ont été déterminés par les méthodes de diffusion en milieu solide et de dilution en milieu liquide respectivement pour les diamètres d’inhibition et les concentrations minimales inhibitrice et bactéricide (CMI et CMB). L’extrait de Carapa procera a montré une activité bactéricide effective avec des diamètres d’inhibition variant de 18 à 21 mm pour des CMB de 0,19 mg/ml et de 0,39 mg/ml respectivement contre Shigella sp. et Staphylococcus aureus. Le potentiel antibactérien de cet extrait pourrait être attribué aux alcaloïdes, aux tanins et aux flavonoïdes révélés par le screening phytochimique. Les résultats obtenus confirment l’utilisation traditionnelle de cette plante dans le traitement des différentes pathologies dans lesquelles les germes testés sont impliqués.
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Lamy Lamy, Georges Maxime. "Étude ethnobotanique et variabilité morphologique de Syzygium guineense var. macrocarpum dans les hautes savanes guinéennes de l’Adamaoua (Cameroun)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (March 31, 2020): 83–84. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31852.

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Abstract:
La problématique de la variabilité morphologique des feuilles et fruits de nombreuses plantes locales multifonctionnelles préoccupe les chercheurs africains. À cela s’ajoute la menace de disparition de certaines de ces plantes vivant encore naturellement. Dans la zone agroécologique des hautes savanes guinéennes de l’Adamaoua au Cameroun se rencontre Syzygium guineense var. macrocarpum (Engl.) F. White, une myrtacée endémique. Pour sa domestication, un problème de choix des sous-variétés à retenir s’est posé. L’ethnobotanique étant la relation entre l’Homme et les plantes dans un milieu donné à travers le temps, la prise en compte du savoir et des préférences locales était indispensable. Par ailleurs, les objectifs visaient à identifier, décrire et déterminer les descripteurs morphologiques (qualitatifs et quantitatifs) et les sous-variétés de la plante. Les personnes enquêtées étaient constituées de 218 hommes et femmes appartenant à neuf ethnies différentes. Dans des quadrats de 100 m x 100 m, 256 arbres des sous-variétés de la plante ont été sélectionnés. Le dispositif expérimental était un plan factoriel (8 x 4 x 8 x 3) : 8 x 4 pour l’unité expérimentale ; 8 pour le nombre de sites d’étude ; 4 pour le nombre de sous-variétés ; 3 pour le nombre de répétitions (3 feuilles et 3 fruits sur chaque pied), les sites étant le traitement principal et les sous-variétés le traitement secondaire. L’évaluation des descripteurs morphologiques a été respectivement faite sur 768 feuilles et fruits. Les critères de différenciation paysanne étaient liés à l’observation (couleur, forme, etc.) des arbres, feuilles et fruits. Les descripteurs de l’accessibilité à une meilleure luminosité de l’arbre, du rendement et du développement végétatif pourront servir de références lors de la domestication de la plante. Les sous-variétés 1, 2 et 3 étaient hautement significatives, de par leur valeur d’usage ethnobotanique total, supérieure à 3 parmi les 4 recensées. Des études moléculaires utilisant les ADN génomiques (chloroplastique et ribosomal) permettront de tirer une conclusion définitive quant à l’origine environnementale ou moléculaire de la variabilité observée au sein de la plante dans cette zone.
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Ben Abdallah, Ferjani, Nada Elloumi, Imed Mezghani, Makki Boukhris, and Jean Pierre Garrec. "Réponses d’une vigne locale à une pollution fluorée." Canadian Journal of Botany 84, no. 3 (March 2006): 393–99. http://dx.doi.org/10.1139/b06-010.

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Abstract:
Les effets d’une pollution atmosphérique par des composés fluorés ont été étudiés sur des cultivars d’une vigne locale, Vitis vinifera L. ‘Asli’, cultivée aux environs d'une usine de production d'engrais phosphatés. L’étude a pour objectif de déterminer les mécanismes permettant à ces vignes autochtones de survivre dans la zone polluée. Elle a consisté à suivre le comportement de ces cultivars dans deux parcelles : l’une soumise aux fumées d’une usine polluante et l’autre au loin de toute pollution. Les paramètres mesurés sont la conductance stomatique, la teneur des feuilles en F– et en Ca2+ et l’activité photosynthétique des zones foliaires saines. Nos résultats suggèrent que la survie de la vigne est liée à une compartimentation du fluor dans les bordures et les extrémités des feuilles, avec une tendance de la plante à contourner les nouveaux tissus nécrosés par un liseré de transition conduisant au développement d’auréoles concentriques de zones nécrosées donnant au limbe un aspect de mosaïque. Ce dernier peut donner des informations intéressantes sur la qualité de l’air et l’état des plantes. Ce comportement est concomitant à une aptitude des zones foliaires saines à conserver la capacité photosynthétique de la plante, tant que les nécroses ne dépassent pas 10 % à 20 % de la surface foliaire. Outre le piégeage du fluor dans des régions foliaires particulières, la fermeture temporaire des stomates semble également contribuer à la restriction de l’accumulation de ce polluant. Par ailleurs, le parallélisme entre l’accumulation du fluor et celle du calcium suggère que ce cation est impliqué dans le piégeage et la détoxication du fluor en le séquestrant sous forme de CaF2. Enfin, nos résultats ne plaident pas en faveur d’une remobilisation foliaire du fluor qui demeure séquestré dans les feuilles les plus âgées. D’ailleurs, la contamination des baies semble se faire directement par les fumées de l'usine, et non par apports endogènes.
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Agban, Amégninou, Yao Hoekou, Passimna Pissang, Tchadjobo Tchacondo, and Komlan Batawila. "Evaluation du potentiel antimicrobien et de la toxicité des extraits de Jatropha multifida Linn, (Euphorbiaceae)." Journal of Applied Biosciences 151 (July 31, 2020): 15550–58. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.151.4.

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Abstract:
Objectif : L’objectif de ce travail était d’évaluer in vitro l’activité antimicrobienne des extraits de feuilles et tige de Jatropha multifida sur la croissance de Candida albicans, Escherichia coli et Staphylococcus aureus, puis d’évaluer in vivo la toxicité de cette plante. Méthodologie et résultats : Les méthodes de diffusion en milieu gélosé et de microdilution en milieu liquide ont été utilisées pour évaluer l’effet antimicrobien. Une étude en subaigüe était réalisée afin d’explorer les effets toxiques de l’extrait aqueux des feuilles. Les résultats des tests antimicrobiens montrent une activité des extraits de feuilles et tige de J. multifida sur la croissance des souches utilisées avec des diamètres de zones d’inhibition allant de 8 à 25 mm et des concentrations minimales inhibitrices (CMI) variant de 0,039 mg/mL à 1,25 mg/mL à l’exception des souches de E. coli qui sont résistantes aux extraits de la tige. L’administration en subaigüe de l’extrait aqueux des feuilles de J. multifida à la dose de 600 mg/kg entraîne une perte significative de poids chez les souris. Conclusion et applications des résultats : Les extraits aqueux, éthanolique et hydroéthanolique des feuilles et tige de J. multifida possèdent d’activité antimicrobienne et pourraient être utilisés dans le traitement des Candidoses à C. albicans et des infections à S. aureus. Mais l’essai de toxicité subaigüe montre que l’extrait aqueux de la plante serait toxique. Des études toxicologiques approfondies restent donc nécessaires sur ces extraits afin de mieux élucider leur inocuité. Mots-clés : Jatropha multifida, extraits de feuilles et de tige, activités antifongique et antibactérienne, toxicité. Agban et al., J. Appl. Biosci. 2020 Evaluation du potentiel antimicrobien et de la toxicité des extraits de Jatropha multifida Linn, (Euphorbiaceae) 15551 Evaluation of antimicrobial potential and toxicity of Jatropha multifida Linn, (Euphorbiaceae) extracts ABSTRACT Objective: The objective of this study was to evaluate in vitro the antimicrobial activity of leaves and stem of Jatropha multifida extracts against Candida albicans, Escherichia coli and Staphylococcus aureus, and then to evaluate in vivo the toxicity of this plant. Methodology and Results: The agar well-diffusion and the NCCLS broth microdilution methods were used to assess the antimicrobial effect. A subacute study was carried out to explore the toxic effects of the aqueous extract of the leaves. The results of the antimicrobial tests show an activity of the extracts of leaves and stems of J. multifida on the growth of the strains used with diameters of inhibitory zones ranging from 8 to 25 mm and minimum inhibitory concentrations (MIC) varying from 0.039 mg/mL to 1.25 mg/mL exception E. coli strains which are resistant to extracts from the stem. Subacute administration of the aqueous extract of the leaves of J. multifida at a dose of 600 mg/kg leads to a significant loss of weight in the mice. Conclusion and application of findings : The aqueous, ethanolic and hydroethanolic extracts of the leaves and stem of J. multifida have antimicrobial activity and could be used in the treatment of Candidiasis and bacterial infections due respectively to C. albicans and S. aureus. But the subacute toxicity test shows that the aqueous extract of the plant would be toxic. Extensive toxicological studies therefore remain necessary on these extracts in order to better elucidate their safety. Keywords: Jatropha multifida extracts of leaves and stem, antifungal and antibacterial activities, toxicity
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Beauchamp, C. J. "Mode d’action des rhizobactéries favorisant la croissance des plantes et potentiel de leur utilisation comme agent de lutte biologique." Phytoprotection 74, no. 1 (April 12, 2005): 19–27. http://dx.doi.org/10.7202/706033ar.

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Abstract:
Les rhizobactéries qui favorisent la croissance des plantes, connues sous le terme RFCP, stimulent directement la croissance de celles-ci en augmentant le prélèvement des éléments nutritifs du sol, en induisant et produisant des régulateurs de croissance végétale et en activant les mécanismes de résistance induite chez les végétaux. Les RFCP stimulent indirectement la croissance des végétaux par leur effet antagoniste sur la microflore qui leur est néfaste, en transformant les métabolites toxiques et en stimulant la nodulation des légumineuses par les rhizobia. Les effets antagonistes des RFCP impliquent la production d'antibiotiques et la compétition nutritionelle avec les pathogènes végétaux. L'établissement de l'association RFCP-plante est primordiale pour l'expression des effets bénéfiques aux plantes. L'utilisation des RFCP marquées avec des gènes de bioluminescence permet de visualiser le processus de colonisation racinaire. Suite à l'apparition des exsudats de la semence, l'inoculum bactérien se multiplie, puis les bactéries sont transportées passivement par la racine en développement, hors de la zone d'influence de la semence. Par la suite, les RFCP continuent de se multiplier grâce aux exsudats racinaires et persistent sur les racines. Plusieurs compagnies développent actuellement des inoculants contenant des RFCP, surtout afin de réduire l'utilisation des pesticides de synthèse en agriculture.
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Bodo, Ruben, Robert Hausler, and Abdelkrim Azzouz. "Approche multicritère pour la sélection de plantes aquatiques en vue d’une exploitation rationnelle." Revue des sciences de l'eau 19, no. 3 (September 18, 2006): 181–97. http://dx.doi.org/10.7202/013537ar.

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Abstract:
Résumé L’envahissement incontrôlé des plans d’eau par les plantes aquatiques est une problématique d’actualité, plus particulièrement dans les pays tropicaux, à cause du phénomène d’eutrophisation. Parmi les solutions proposées, une exploitation rationnelle de certaines plantes envahissantes comme source de biomasse valorisable, et comme agents de dépollution, est envisagée. Dans le cadre de cette étude, un accent particulier a été mis sur une sélection adéquate de plantes aquatiques visant un développement durable, se basant sur la capacité de cette plante à s’adapter à son milieu de culture avec un impact environnemental pratiquement nul. Pour cela, il est nécessaire que la plante sélectionnée puisse présenter des propriétés dépolluantes pouvant ramener l’écosystème à son état naturel d’origine et que le taux de croissance de cette plante soit contrôlé par une exploitation optimisée de la biomasse récoltée. La problématique envisagée s’est limitée à un nombre restreint de plantes aquatiques, fréquemment rencontrées dans les milieux eutrophisés, à savoir la jacinthe d’eau, les lentilles d’eau, la laitue d’eau, le papyrus et le chou de marais. Un choix et une hiérarchisation préalables des principaux critères d’évaluation ont permis, sur la base d’une analyse de satisfaction rigoureuse, d’opter pour la jacinthe d’eau, comme étant la meilleure alternative, présentant un grand pouvoir de fixation d’éléments polluants et un potentiel élevé en protéines et agents antioxydants, dans un contexte donné. Une exploitation judicieuse de cette plante dans un plan d’eau continuellement pollué ne posera plus de problèmes de rentabilité, étant donné que la productivité sera assurée par la récolte d’un excédent de jacinthes, deux ou trois fois par mois. Ceci permettra de mieux maîtriser le taux de recouvrement du plan d’eau par la plante aquatique, évitant ainsi une eutrophisation de celui-ci. La méthodologie adoptée peut être généralisée à d’autres plantes aquatiques et d’autres contextes.
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Sery, Drolet Jean-Marc, Bouadou Bonsson, Rachel Gnogbo, Nadré Gbedie, Yaya Ouattara, Hyacinthe Legnate, and Zagbahi Jules Keli. "Influence du génotype et du nombre de feuilles sur la croissance en pépinière des boutures du colatier (Cola nitida [Vent.] Schott et Endlicher.)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 12, 2020): 3144–56. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.14.

Full text
Abstract:
Malgré son importance socioéconomique, la production ivoirienne de noix de cola est confrontée à plusieurs difficultés. Le manque de techniques culturales éprouvées constitue une des contraintes pour la domestication et la culture du colatier. Il est donc nécessaire de mettre au point des techniques adaptées à l’espèce cultivée. L’objectif de cette étude est d’optimiser la méthode de bouturage sous tunnel du colatier (Cola nitida), face aux inconvénients de la multiplication générative. Le dispositif expérimental utilisé est un Split-Splot avec deux facteurs : le génotype avec cinq modalités (5 génotypes) et le nombre de feuilles avec cinq (05) modalités (1, 2, 3, 4 et 5 feuilles diminuées de moitié). Nous avons le génotype en grande parcelle et le nombre de feuilles en petite parcelle. L’aptitude des génotypes au bouturage a été évaluée à six mois à travers le taux de survie et la mesure des paramètres de croissance et de développement. Le génotype L18A1D9 a montré la meilleure aptitude au bouturage avec un taux de survie de 41,7%. Les boutures avec 4 feuilles diminuées de moitié ont eu le meilleur taux de survie (41,7%), un bon enracinement des boutures vivantes (88,9%), une biomasse totale fraîche (4,2 g) et totale sèche (1,7 g) élevée. Le succès du bouturage sous tunnel du colatier est tributaire du génotype et du nombre de feuilles. Le nombre de feuilles recommandé par bouture est de quatre (4) pour le bouturage du colatier sous tunnel.Mot clés : Bouturage, nombre de feuilles, Cola nitida, génotype. Englsih Title: Influence of genotype and number of leaves on the growth in nurseries of cola cuttings (Cola nitida [Wind.] Schott and Endlicher.)Despite its socio-economic importance, kola nut production faces several challenges. Domestication and cultivation of kola requires the adoption of propagation techniques adapted to the crop species. The objective of this study is to optimize kola (Cola nitida) vegetative propagation by cutting under tunnel. The experimental design used was a split-splot with two factors: genotype with five modalities (5 genotypes,) and leave number with five (05) modalities (1, 2, 3, 4 and 5 leaves cut in half). The ability of genotype to cutting propagation was assessed by measuring growth parameters. The survival rate of the cuttings was evaluated at six months. Root growth, number of new leaves, height gain and biomass were subsequently measured. Genotype L18A1D9 has the best ability for vegetative propagation by cuttings with a survival rate of 41.7%. To optimize vegetative propagation by cuttings under tunnel, 4 leaves cut in half by cuttings must be used for acceptable success rate (41.7%), good rooting (88.9%), a high total fresh biomass (4.2 g) and total biomass (1.7g). The success of kola vegetative propagation depends of genotype and the leave number per cutting. The number of leaves per cuttings recommended per cuttings is four (4) for kola vegetative propagation.Keywords: Cuttings, number of leaves, Cola nitida, genotype.
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Zakka, T., M. R. Hassan, R. J. Tanko, B. M. Munza, and A. A. Sadiq. "Effect of variety and plant spacing on yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor l. Moench)." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 1 (February 28, 2021): 175–84. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i1.2883.

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Abstract:
The study was conducted to evaluate the effects of variety, plant spacing and stage of harvest on the forage yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor L. Moench) at the National Animal Production Research Institute Shika, Zaria. The agronomic study was laid in a 2 × 3 × 5 factorial arrangement of a Split Plot Design with three replicates, which consist of two varieties (bush head and sweet sorghums), three plant spacing (15 × 85, 20 × 85 and 25 × 85 cm) and five stages of harvest (6, 8, 10, 12 and 14 weeks after sowing), respectively. The forage yield was determined at 14 weeks after sowing (WAS). Leaf length (68.68 cm), stem diameter (7.13 cm), number of leaves per plant (12.02) and leaf area index (2.78) were significantly (p<0.05) higher in bush head sorghum variety. Similarly, plant spacing significantly (p<0.05) affected the leaf area index (LAI) with the highest leaf area index recorded in 15 × 85 cm plant spacing. There was significant (p<0.05) interaction between variety and plant spacing. Stage of harvest significantly (p<0.05) affected all the growth parameters with 14 weeks having the highest (223.88 cm) plant height and 10.37 number of leaves per plant and the stage of harvest at 12 weeks after sowing (WAS) recorded the highest 69.84 cm leaf length, 6.82 cm leaf width and 2.46 leaf area index. While stage of harvest at 6 and 10 weeks after sowing (WAS) also having the highest number of tillers per plant and stem diameter of 1.24 and 6.47 cm respectively. Fresh forage yield was significantly (p<0.05) higher (42.92 t/ha) in bush head sorghum variety not and plant spacing significantly (p<0.05) affected fresh forage and dry matter yields at 14 weeks after sowing (WAS). The highest fresh forage yield (41.81 t/ha) and dry matter yield (7.99 t/ha) were recorded in 15 × 85 cm plant spacing. It was concluded, that harvesting of Sorghum bicolor bush head and sweet sorghum varieties for forage is to be best carried out at 14 weeks after sowing for better forage productivity. L'étude a été menée pour évaluer les effets de la variété de sorgho, et faisant l'espace des plantes sur les composantes de rendement fourrage de deux variétés de sorgho (Sorgho bicolore L. Moench) à l'Institut National de Recherche sur la Production Animale Shika, Zaria. L'étude agronomique a été posée dans un 2 × 3 × 5 arrangement factorial d'une conception de parcelle divisée avec trois répliques, qui se composent de deux variétés (leEffect of variety and plant spacing on yield components of two sorghum varieties (Sorghum bicolor l. Moench)'bush head' et sorghos sucrés), de trois espacements végétaux (15 × 85, 20 × 85 et 25 × 85 cm) et de cinq étapes de récolte (6, 8, 10, 12 et 14 semaines après le semailles), respectivement. Le rendement du fourrage a été déterminé à 14 semaines après la semailles (le 'WAS'). La longueur des feuilles (68,68 cm), le diamètre de la tige (7,13 cm), le nombre de feuilles par plante (12,02) et l'indice de la superficie des feuilles (2,78) étaient significativement (p<0,05) plus élevés dans la variété de sorgho 'bush head'. De même, l'espacement des plantes de façon significative (p<0,05) a affecté l'indice de la superficie des feuilles (le 'LAI') avec l'indice de superficie folio-feuille le plus élevé enregistré en 15 × espacement des plantes de 85 cm. Il y avait une interaction significative (p<0,05) entre la variété et l'espacement des plantes. L'étape de la récolte a eu une incidence importante (p<0,05) sur tous les paramètres de croissance, 14 semaines ayant la hauteur végétale la plus élevée (223,88 cm) et 10,37 le nombre de feuilles par plante et le stade de la récolte à 12 semaines après le semis (WAS) ayant enregistré la longueur de feuilles la plus élevée de 69,84 cm, la largeur des feuilles de 6,82 cm et l'indice de la superficie des feuilles de 2,46 feuilles. Alors que le stade de la récolte à 6 et 10 semaines après le semailles (le 'WAS') a également le plus grand nombre de laboureurs par plante et le diamètre de la tige de 1,24 et 6,47 cm respectivement. Le rendement des fourrages frais était significativement (p<0,05) plus élevé (42,92 t/ha) dans la variété de sorgho de la tête de brousse et l'espacement des plantes de façon significative (p<0,05) affectait les rendements de fourrage frais et de matière sèche à 14 semaines après le semis (le 'WAS'). Le rendement le plus élevé en fourrage frais (41,81 t/ha) et en matière sèche (7,99 t/ha) a été enregistré dans 15 × espacement des plantes de 85 cm. Il a été conclu que la récolte de 'bush head' bicolore de Sorgho et des variétés de sorgho sucré pour le fourrage doit être effectuée au mieux 14 semaines après la semailles pour une meilleure productivité fourragère.
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Devaux, A., J. Brodeur, C. Hamel, and G. Tremblay. "Effet des taches foliaires causées par le Phaeosphaeria nodorum inoculé à différents stades de développement sur le rendement du blé de printemps." Phytoprotection 79, no. 2 (April 12, 2005): 55–62. http://dx.doi.org/10.7202/706134ar.

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Abstract:
Des études en serre ont été réalisées pour évaluer l'effet du Phaeosphaeria nodorum sur le rendement du blé de printemps (Triticum aestivum, cv. Laval 19). Les plants de blé étaient inoculés aux stades gonflement épiaison, pleine floraison et grain laiteux. L'essai a été réalisé au cours de l'hiver 1993 et répété au cours de l'hiver 1994. L'inoculation du champignon pathogène P. nodorum entraîne généralement une augmentation significative de la surface foliaire infectée et une réduction du rendement comparativement aux témoins non inoculés. La surface foliaire infectée mesurée uniquement sur la feuille étendard est similaire à celle mesurée sur la plante entière. Le stade phénologique a un effet significatif sur toutes les variables observées: surface foliaire infectée, poids des tiges et des feuilles, poids des épis, poids des grains, poids des biomasses végétative et totale et indice de récolte. L'inoculation du pathogène au stade grain laiteux, le plus tardif de l'étude, semble avoir provoqué moins d'effets négatifs sur le rendement du blé comparativement aux trois autres stades étudiés. Selon les résultats de cette étude et les observations réalisées au Québec au cours des 15 dernières années, il est peu probable que les taches foliaires causées par le P. nodorum provoquent des baisses appréciables de rendement du blé de printemps au Québec.
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Benhamada-Driouèche, Nacima, Fatiha Aidoud-Lounis, Nadir Hanifi, and Réda Djebbar. "Variabilités morphologiques de quelques populations de Plantago albicans L. le long d’un transect nord-sud dans la région du Sud-Oranais (Ouest algérien)." BASE, no. 1 (2021): 8–20. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.18849.

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Abstract:
Description du sujet. Plantago albicans est une psammophyte pastorale dont la variabilité morphologique est observable sur le terrain. L’évaluation de l’influence des conditions du milieu sur les caractères morphologiques de l’espèce a été étudiée. Objectifs. L’objectif du présent travail est d’analyser la variabilité morphologique de quelques populations de P. albicans dans la région du Sud-Oranais (Ouest algérien). Méthode. Deux-cents-quarante individus répartis en 12 populations ont été récoltés le long d’un transect nord-sud et sont issus de biotopes différents. Ces individus ont fait l’objet de mesures morphométriques sur lesquelles des analyses univariées et multivariées sont appliquées. Résultats. L’étude a révélé une variabilité inter-populations qui serait liée à la combinaison de facteurs stationnels et à la diversité biologique des biotopes. Des coupes anatomiques réalisées sur des axes aphylles érigés entre la rosette de feuilles et la racine ont permis de conclure à une structure anatomique adaptée de la tige de P. albicans qui, au fur et à mesure de la croissance de la rosette, surélève la partie feuillée photosynthétique évitant l’ensevelissement de la plante lors d’un ensablement trop important. Conclusions. La variabilité des caractères morphologiques de P. albicans (longueur et largeur de la feuille, longueur de la hampe florale, de l’épi et de l’axe aphylle) semble traduire une plasticité phénotypique, c'est-à-dire une aptitude à exprimer le phénotype qui s’accommode le mieux aux conditions du milieu et souligne la capacité de l’espèce à occuper des milieux fortement ensablés.
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Bodji, N. C. "Influence de la hauteur et du rythme de coupe sur la survie et la production fourragère de Cajanus cajan CIAT 18700." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 4 (April 1, 1997): 309–12. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9562.

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Abstract:
Trois niveaux de coupe (50, 75 et 100 cm du sol) et l'exploitation des repousses à 4, 8 et 12 semaines d'âge en saison des pluies, ainsi qu'à 6 et 12 semaines en saison sèche, ont été testés sur une culture de Cajanus cajan. Cette expérimentation a permis de prouver l'influence de la hauteur de coupe et du rythme d'exploitation sur la biomasse foliaire de cette espèce ligneuse d'une part et sur la survie de la culture d'autre part. En saison des pluies, les rendements en matière sèche obtenus avec l'exploitation des repousses à 75 et 100 cm du sol étaient équivalents (p > 0,05). Toutefois, ils étaient supérieurs à ceux enregistrés avec la coupe à 50 cm (p < 0,05). En outre, la quantité de matière sèche des repousses de 8 semaines était plus élevée que celle à 4 et 12 semaines (p < 0,001) : l'estimation du rendement des repousses de 12 semaines a coïncidé avec le développement des organes de reproduction (fleurs et fruits) de la plante qui s'est accompagné d'une importante chute de feuilles. En saison sèche, le maximum de rendement en matière sèche a été obtenu à 12 semaines pour la coupe à hauteur de 100 cm du sol (en moyenne 400 kg.ha-1). Cette valeur était nettement inférieure à celle de la saison des pluies (3,5 t.ha-1). Par ailleurs, l'exploitation de Cajanus cajan à hauteur de 50 cm du sol a entraîné une mortalité élevée (25 %). Une bonne survie de la culture de Cajanus cajan CIAT 18 700 a été constatée lorsque la coupe était faite à 75 ou 100 cm (respectivement 4 et 9 % de plants morts seulement).
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Ngoyi, Adolphe Nsomue, Gustave Kishiko Masanga, Hubert Mulungu Bila, Alphonse Yangoy Yashima, Médard Matala Milambo, Laurent Nsapu Ndjibu, and Louis Longanza Baboy. "Effet des amendements organiques sur la croissance et le rendement de la pomme de terre (Solanum tuberosum) cultivée sur un sol dégradé dans la région de Kabinda, République Démocratique du Congo." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 5 (September 14, 2020): 1812–19. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i5.24.

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Le bas niveau de la fertilité des sols à Kabinda et la rareté des engrais chimiques sur le marché orientent les agriculteurs à recourir à une fertilisation palliative et durable. Cette étude a été réalisée dans le but d’évaluer l’effet des amendements organiques sur la croissance et le rendement de la pomme de terre. L’essai était installé suivant un dispositif en blocs complets randomisés. Les traitements en cinq répétitions ont été constitués d’un témoin (T0), de la bouse de vache (T1), de cendres (T2) et de la biomasse fraiche de Entada abyssinica (T3). Les observations ont porté sur les paramètres de croissance et de rendement et l’analyse de la variance (ANOVA) a été appliquée pour la comparaison. Les résultats obtenus renseignent que la pomme de terre se comporte positivement sous effet d’amendements (P<0.05) comparativement au sol non amendé. Le plus grand nombre de feuilles est démarqué nettement au traitement à base des cendres avec 4 feuilles contre 2 feuilles pour le témoin. L’apport de la cendre à la dose de 10 kg/ha sur la culture de la pomme de terre a augmenté le rendement de 1 t/ha par rapport au sol non amendé. L’utilisation de ces amendements dans une région comme Kabinda contribuerait au développement de l’agriculture en luttant contre l’insécurité alimentaire et la pauvreté. Ainsi donc, L’utilisation de la cendre est recommandable pour la production de la pomme de terre vu ses effets sur la culture et sa disponibilité dans la ville de Kabinda.Mots clés : Fertilité, engrais chimiques, production, Solanum tuberosum , Kabinda. English Title: Effect of organic amendments on growth and yield of potato (Solanum tuberosum L.) on soil degraded in Kabinda area, Democratic Republic of CongoThe low level of soil fertility in Kabinda and the scarcity of chemical fetilizers on the market guide farmers to seel palliative and sustainable fertilization. This study was carried out in order to assess the effect of organic amendments on the growth and potato yield. The trial was installed using a ramdomized complete block system. Five Treatments in five repetitions, consisted of a witness (T0), cow dung (T1), ash (T2) and Entada abyssinica fresh biomass (T3). Observations focused on growth and yield parameters and analysis of variance (ANOVA) at the 5% threshold was applied for comparison betwen treatments. The results obtained indicate that the potato behaves positively under the effect of amendments (P<0.05) compared to unamended soil. The greatest leaves number is clearly demarcated in the ash based treatment with 4 leaves versus 2 leaves for the witness treatment. The addition of ash to the potato crop increased the yield by 1 t/ha compared to the unamended soil. The use of ash is recommendable for the production of potato in the city of Kabinda.Keywords : Fertility, chemical fertilizers, production, Solanum tuberosum, Kabinda
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Kindozandji, A., B. D. Datinon, K. Amevoin, A. N. Nondichao, A. I. Glitho, and M. Tamó. "Etude de l’effet rémanent de Mavi MNPV dans un champ de niébé." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 7, 2020): 2219–29. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.23.

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Le niébé est l’une des légumineuses alimentaires la plus importante dans toutes les régions de l’Afrique Sub-saharienne. L’objectif de ce travail était d’étudier l’effet rémanent de Mavi Multinucléo polyhedrovirus (Mavi MNPV) après la récolte du niébé au champ. Le champ a été traité 5 fois au biopesticide Mavi MNPV à la fréquence de sept jours. Deux semaines après la récolte, deux plants ainsi que les graines de chaque traitement sur chaque unité parcellaire ayant reçu les traitements de Mavi MNPV de 107, 108 et 109 virions/ml ont été collectés et amenés au laboratoire avec le substrat de développement de la plante (sable). Aucune des formulations issues des substrats sable, racines, feuilles, tiges et graines n’a affecté la mortalité des larves L2 et L3 de Maruca vitrata et aucune différence significative n’a été observée entre les traitements et le témoin. Quels que soient les traitements, le taux d’émergence des adultes est élevé ; ce qui signifie que la variation de la concentration de Mavi MNPV ne conditionne pas sa présence dans le sol, les tiges, les feuilles, les racines et les graines. Le biopesticide Mavi MNPV n’est pas persistant dans la nature.Mots clés : Niébé, Mavi MNPV, Maruca vitrata, Effet rémanent English Title: Study of the residual effect of Mavi MNPV in a cowpea field Cowpea is one of the most important food legumes in all regions of Sub-Saharan Africa. The objective of this research work was to study the persistence effect of Mavi Multinucleus polyhedrovirus (Mavi MNPV) after field harvest of the cowpea. The field was treated 5 times with Mavi MNPV biopesticide at seven days. Two weeks after harvest, two plants as well as the seeds from each treatment on each plot unit that received Mavi MNPV treatments of 107, 108 and 109 virions / ml were removed and brought to the laboratory with the plant development substrate (sand). None of the formulations from sand, root, leaf, stem and seed substrates did not affect the mortality of L2 and L3 larvae of Maruca vitrata and no significant difference was observed between treatments and control. Regardless of the treatments, the rate of emergence of adults is high; this means that the variation in the concentration of Mavi MNPV does not condition its presence in soil, stems, leaves, roots and seeds. Mavi MNPV biopesticide is not persistent in nature.Keywords: Cowpea, Mavi MNPV, Maruca vitrata, Residual effect.
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PEYRAUD, J. L., and L. DELABY. "Combiner la gestion optimale du pâturage et les performances des vaches laitières : enjeux et outils." INRAE Productions Animales 18, no. 4 (October 18, 2005): 231–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.4.3529.

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Les prairies et le pâturage devraient constituer à l’avenir la base des systèmes laitiers durables. L’herbe pâturée est le fourrage le moins coûteux pour alimenter les vaches laitières et constitue un mode d’alimentation qui réduit l’impact environnemental des systèmes très intensifs tout en conférant une image plus «naturelle» aux systèmes laitiers. L’utilisation efficace de l’herbe au pâturage nécessite la mise au point de méthodes qui permettent de maximiser l’ingestion journalière d’herbe tout en assurant la production d’une quantité importante d’une herbe de qualité durant toute la saison de pâturage. Les opportunités d’accroître la part de l’herbe pâturée dans l’alimentation des vaches laitières existent en allongeant la saison de pâturage au printemps et/ou en automne et en pratiquant le report d’herbe sur pied en été. A ce titre, l’introduction de légumineuses, trèfle blanc notamment, dans les prairies doit être favorisée. Les possibilités de moduler la saisonnalité de la croissance de l’herbe existent au travers de la sélection fourragère, de la stratégie de fertilisation azotée ou des pratiques de pâturage. L’intérêt d’une réduction du chargement visant à maximiser les performances individuelles reste limité compte tenu des effets cumulatifs défavorables sur la qualité de l’herbe et sa valorisation. Par contre, l’accroissement de la proportion de feuilles grâce à des pratiques de pâturage appropriées au printemps permet d’accroître l’ingestion et de maintenir une hauteur résiduelle faible qui facilite la gestion du pâturage. Il reste à en évaluer les conséquences durant toute la saison de pâturage et son influence sur les performances annuelles par hectare. Dans un futur proche, le développement de méthodes et d’outils d’aide à la gestion du pâturage à la fois pour le rationnement des vaches laitières et pour la gestion des parcelles devrait donner confiance aux éleveurs et favoriser le retour du pâturage dans l’alimentation des vaches laitières.
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Salé Charles, Essomé, Ngoh Dooh Jules Patrice, Heu Alain, Ndogho Pegalepo Angèle, Ngatsi Zemko Patrice, Chewachong Godwill, and Ambang Zachee. "Évaluation des activités antifongiques des extraits de graines de Thevetia peruviana contre Phytophthora colocasiae (Oomycètes) agent causal du mildiou du taro (Colocasia esculenta (L.) Schott) au Cameroun." Journal of Applied Biosciences 151 (July 31, 2020): 15584–97. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.151.7.

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Objectif : Le mildiou du taro dû à Phytophthora colocasiae est l’affection la plus importante de cette culture au Cameroun depuis près d’une décennie. Cette étude a été réalisée pour évaluer l’activité antifongique des extraits des graines du laurier jaune scéniquement appelé Thevetia peruviana (Appocynacées) sur le développement in vitro de P. colocasiae et in vivo sur les fragments des feuilles infectées artificiellement. Méthodologie et résultats : les extraits de T. peruviana ont été préparés à partir des solvants : eau, méthanol, acétone et acétate d’éthyle aux concentrations respectives de 12,5 ; 25 ; 50 et 100 mg/ml. Une solution de 20 µl des fructifications de P. colocasiae isolé des feuilles infectées du cultivar de taro «Macumba» puis cultivé sur milieu V8-Agar, a été utilisée à une concentration de 5x104 sporanges/ml. Pour les tests in vitro, des explants de P. colocasiae d’environ 0,8 cm de diamètre ont été déposés dans des boîtes de Pétri stériles contenant le milieu PDA supplémenté avec les différentes concentrations d’extraits, et mises en incubation à 23±1°C pendant sept jours pour l’évaluation de la croissance radiale. La sensibilité in vivo du pathogène aux extraits s’est faite sur des fragments de feuilles de taro par application de 20 µl de suspension sporangiale de P. colocasiae suivie de 20 µl d’extrait. Les résultats obtenus in vitro ont montré que les extraits aqueux, méthanoliques et à l’acétate d’éthyle ont totalement inhibé la croissance de l’agent pathogène à 25 mg/ml, tandis que l’extrait à l’acétone a inhibé la croissance à 12,5 mg/ml. Les fragments de feuilles inoculés au champignon et traités à l’extrait à l’acétone n’ont pas développé les symptômes du mildiou après cinq jours d’inoculation du pathogène. Conclusion et application potentielle : L’extrait des graines de T. peruviana à l’acétone à la dose de 12,5 mg/ml a inhibé totalement la croissance radiale de P. colocasiae in vitro. Cet extrait s’est révélé efficace contre P. colocasiae et peut donc constituer une alternative de lutte contre le mildiou du taro. L’activité de cet extrait était comparable à celle du fongicide synthétique de référence (le Callomil plus 72 WP) utilisé. Les extraits bruts des graines de T. peruviana renfermeraient un grand nombre de composés bioactifs, qui une Essomé et al., J. Appl. Biosci. 2020 Évaluation des activités antifongiques des extraits de graines de Thevetia peruviana contre Phytophthora colocasiae (Oomycètes) agent causal du mildiou du taro (Colocasia esculenta (L.) Schott) 15585 fois purifiés, pourraient présenter une activité antifongique assez levée au même titre que les fongicides synthétiques. Cette étude préliminaire constitue une base pour des essais futurs dans les conditions naturelles. Mots clés : extraits bruts, Thevetia peruviana, activités antifongiques, Phytophthora colocasiae, Colocasia esculenta. ABSTRACT Evaluation of antifungal activities of Thevetia peruviana extracts against Phytophthora colocasiae, causal agent of late blight of taro (Colocasia esculenta (L.) Schott) in Cameroon. Objective: Taro leaf blight caused by Phytophthora colocasiae is the most devastating disease in taro production in Cameroon for one decade now. This study was conducted to evaluate the antifungal activities of extracts from Thevetia peruviana (yellow oleander) seeds on the in vitro growth of the fungus as well as on detached taro leaf fragments infected artificially. Methodology and Results: Aqueous, methanolic, acetone and ethlyl acetate extracts of T. peruviana were prepared and used at concentrations of 12.5, 25, 50 and 100 mg / ml. P. colocasiae was isolated from an infected taro leaf cultivar "Macumba or Ibo coco" in V8 agar medium and maintained in pure culture from which a suspension of 5 x 104 sporangia/ml was prepared. Mycelial fragments of P. colocasiae of about 0.8 cm in diameter were cut and placed in sterile Petri dishes containing Potato Dextrose Agar (PDA) medium supplemented with different concentrations of plant extracts and incubated at 23±1°C for seven days for the evaluation of the radial growth. In vivo sensitivity of the pathogen to plant extracts was done by application of 20 µl of sporangial suspension on taro leaves followed by 20 µl of each extract. The results obtained showed that the methanolic, ethyl acetate, and aqueous extracts completely inhibited the growth of the pathogen at 25 mg/ml while total inhibition of the pathogen was obtained with acetone extract at 12.5 mg/ml. No symptoms were observed on leaf fragments that received a drop of the fungus and acetone extract. Conclusion and potential application: The acetone extract at the concentration of 12.5 mg/ml totally inhibited the in vitro radial growth of P. colocasiae and significantly delayed the development of the disease on leaf fragments. This extract, active against P. colocasiae could be used as alternative to fungicides for the control of taro leaf blight. This activity was comparable to that of the reference fungicide used: Callomil plus 72 WP. These extracts are still crude and may contain a large number of different compounds, which after purification could present even a better activity than the fungicides used. This preliminary study provides a base line for future trials in natural conditions in greenhouse and in the field. Keywords: Crude extracts, Thevetia peruviana, antifungal activities, Phytophthora colocasiae, taro.
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BAYOURTHE, C., and D. ALI-HAIMOUD-LEKHAL. "Les extraits de plantes chez le ruminant : effets sur les fermentations dans le rumen et la qualité lipidique des produits animaux." INRAE Productions Animales 27, no. 4 (October 23, 2014): 317–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.4.3079.

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Les extraits de plantes représentent un groupe complexe de substances dont les propriétés peuvent être utilisées pour manipuler le fonctionnement du rumen. Parmi eux, les tannins condensés, les huiles essentielles et les saponines ont été largement évalués pour leurs effets bactéricides/bactériostatiques. La variété de structure chimique des tannins condensés est, sans doute, à l’origine de leur différence de réactivité mais aussi d’une activité différente vis-à-vis des microorganismes du rumen. De façon générale, la croissance bactérienne est d’autant plus inhibée que la concentration en tannins condensés dans le milieu est élevée. Si les tannins condensés inhibent l'activité des archées méthanogènes, ils seraient sans effet sur les protozoaires. Généralement, les tannins condensés conduisent à une diminution de la concentration en azote ammoniacal dans le milieu ruminal mais n’affectent pas la concentration en acides gras volatils totaux. Si à dose élevée, l’effet est plus marqué in vitro qu’in vivo, à dose identique, l’amplitude de la réponse est différente selon la source de tannins condensés. En ce qui concerne l’action des tannins condensés sur la méthanogenèse, l’effet généralement observé, tant in vitro qu'in vivo, est une diminution de la production de CH4 bien que l’amplitude de la réponse soit variable et dépende de plusieurs facteurs que les études in vitro permettent de mieux cerner. Les effets principaux des huiles essentielles dans le rumen consistent en une réduction de la dégradation des protéines et de l'amidon et une inhibition de la dégradation des acides aminés, en raison de l'action sélective sur certains micro-organismes du rumen. Le pouvoir bactéricide des huiles essentielles vis-à-vis des bactéries (pathogènes ou ruminales) est lié à la structure chimique des molécules aromatiques qui les composent. Elles inhibent la croissance de la plupart des cultures pures bactériennes du rumen à des concentrations inférieures à 100 ppm ; certaines espèces pouvant s'adapter, ce qui explique la diminution voire l’absence d’effet souvent observé in vivo. Certains composés aromatiques ont la capacité de réduire la production de méthane dans le rumen. En revanche, les effets des saponines dans le rumen sont moins nets, en raison probablement du développement de populations microbiennes capables de les dégrader et/ou de l'adaptation des microorganismes à ces extraits de plante. Par ailleurs, en l’état actuel des connaissances, il est impossible de conclure quant à l’effet des extraits végétaux sur la qualité lipidique des produits animaux. Des essais complémentaires conduits in vivo et à long terme restent indispensables pour vérifier les effets observés, dans des conditions d'utilisation plus variées, mais aussi pour s'assurer de l'absence de résidus dans les produits animaux et de leur innocuité pour le consommateur.
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Razafindramanana, Norosoa Christine, Patrice Autfray, Raymond Rabenson, Jean Chrysostôme Randriamboavonjy, Mihoby Arivony Rajaominoson, and Jean Marie Razafindrajaona. "Effets de la poudre d’os et de fumier de zébu sur la production de haricot (Phaseolus vulgaris L) sur les Hautes Terres malgaches." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 6 (October 6, 2020): 2181–92. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i6.20.

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Abstract:
Une étude a été entreprise sur les Hautes Terres malgaches. L’objectif est d’évaluer l’effet de la poudre d’os et le fumier de zébu sur la croissance et le rendement de haricot (Phaseolus vulgaris). L’expérimentation a été mise en place avec un dispositif en blocs randomisés à quatre répétitions et quatre traitements : (1) parcelles témoins non fertilisées (T0) et parcelles fertilisées respectivement par (2) de fumier de zébu pur (Tfu), (3) de fumier de zébu combiné avec du N11P22K16 (Tfu+NPK) et (4) de fumier de zébu combiné avec de la poudre d’os (Tfu+os). Les résultats ont montré que la combinaison de fertilisants organiques et minéraux a offert de meilleures croissances (hauteur de la plante et nombre des feuilles) par rapport au simple apport de fertilisant organique. Par ailleurs, les rendements en grains de haricots ont été significativement plus élevés avec Tfu+os (1,77 t.ha-1) par rapport aux traitements Tfu+NPK (1,47 t.ha-1) et Tfu (1,32 t.ha-1). Ces trois traitements étant significativement plus élevés que le traitement témoin sans aucun apport de fertilisant T0 (0,73 t.ha-1). En conclusion, l’apport de la poudre d’os apparaît comme un bon substitut à l’emploi d’engrais de synthèse et pourrait être recommandé pour la production de haricot.Mots clés : Engrais minéral ; phénologie de haricot ; sol ferrallitique ; rendement de culture. English Title: Bone powder and zebu manure effects on beans (Phaseolus vulgaris L) production in Highlands of MadagascarAn experiment was carried out in Highlands of Madagascar. This study aims to assess zebu bone powder and cattle manure effects in fertilization for common bean (Phaseolus vulgaris) growth and yield. Four treatments were compared in a complete randomized block design with four replications: (1) no-fertilized control plots (T0) and fertilized plots respectively with (2) cattle manure only (Tfu); (3) mixed fertilization with cattle manure and N11P22K16 (Tfu+ N11P22K16); and (4) mixed fertilization with cattle manure and bone powder (Tfu + os). In result, mixed fertilizer with organic and mineral improved significantly bean growth parameters (plant height and number of leaf plant) compared with organic fertilizer alone. Bean grain yields were significantly higher with Tfu+os (1.77 t.ha-1) compared to Tfu + NPK (1.47 t.ha 1) and Tfu (1.32 t. ha-1) and which were not significantly different. The control T0 (0.73 t.ha-1) showed significantly lower yield than the three other treatments. In fact, bone powder could be encouraged locally as an alternative resource to synthetic fertilizer.Keywords: Mineral fertilization; bean phenology; ferralitic soil; crop yield.
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Adeyemi, D. K., A. O. Adeluola, M. J. Akinbile, O. O. Johnson, and G. A. Ayoola. "Green synthesis of Ag, Zn and Cu nanoparticles from aqueous extract of Spondias mombin leaves and evaluation of their antibacterial activity." African Journal of Clinical and Experimental Microbiology 21, no. 2 (February 17, 2020): 106–13. http://dx.doi.org/10.4314/ajcem.v21i2.4.

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Abstract:
Background: Nanotechnology offers an advantage as a green route for synthesis of metal nanoparticles (NPs) with plant extracts as capping agent. Spondias mombin is a fruit-bearing tree and its leaf extracts have been reported to possess anxiolytic, hypoglycaemic, antiepileptic, antipsychotic, sedative, antioxidant, and antimicrobial properties. The objective of the study is to determine the antibacterial potential of a simple non-toxic product of green synthesis of metallic (Ag, Zn and Cu) nanoparticles using the leaf of Spondias mombin aqueous extracts (SMAE) as a reducing and capping agents of the metal ions.Methodology: Nanoparticles were characterized by UV visible spectrophotometeric analysis, Fourier Transform Infra-Red (FT-IR) spectrophotometer and scanning electron microscope (SEM). Antimicrobial activities of synthesized NPs against Escherichia coli, Staphylococcus aureus and Pseudomonas aeruginosa were determined by agar well diffusion technique.Results: The synthesized NPs varied in colour from dark brown to green and appears dominantly spherical, occasionally rod or triangular shaped with size ranging from 65-90 nm. UV spectroscopy absorption spectra of Ag, Zn and Cu NPs had absorbance peak at 267, 262 and 765 nm respectively. FT-IR spectrometry of Zn NP, Cu NP, and SMAE gave wave number ranging from 895.71-3320.67, 747.02-3225.45 and 658.25-3674.49 respectively. FT-IR analysis showed that SMAE acted as reducing and stabilizing agent while the NPs exhibited lower energy absorption band when compared to the plant extract. The NPs demonstrated higher antimicrobial activities against S. aureus than Ps. aeruginosa and E. coli. The antimicrobial activity was higher with copper NP than Ag and Zn NPs, and also higher than SMAE.Conclusion: The result from this study presents an indication for an alternative means for development of novel antimicrobial agents for clinical and biotechnological applications.Keywords: synthesis, nanoparticles, FT-IR, UV-visible spectrophotometry, antibacterial activitiesFrench Title: Synthèse verte de nanoparticules d'Ag, de Zn et de Cu à partir d'extrait aqueux de feuilles de Spondias mombin et évaluation de leur activité antibactérienneContexte: La nanotechnologie offre un avantage en tant que voie verte pour la synthèse de nanoparticules métalliques (NP) avec des extraits de plantes comme agent de coiffage. Spondias mombin est un arbre fruitier et ses extraits de feuilles possèdent des propriétés anxiolytiques, hypoglycémiques, antiépileptiques, antipsychotiques, sédatives, antioxydantes et antimicrobiennes. L’objectif de l’étude est de déterminer le potentiel antibactérien d’un simple produit non toxique de synthèse verte de nanoparticules métalliques (Ag, Zn et Cu) à l’aide de la feuille d’extraits aqueux de Spondias mombin (SMAE) en tant qu’agent réducteur et coiffant de la ions métalliques.Méthodologie: Les nanoparticules ont été caractérisées par analyse spectrophotométrique UV visible, spectrophotomètre à transformée de Fourier infrarouge (FT-IR) et microscope électronique à balayage (MEB). Lesactivités antimicrobiennes de NP synthétisées contre Escherichia coli, Staphylococcus aureus et Pseudomonas aeruginosa ont été déterminées par une technique de diffusion sur puits d’agar.Résultats: Les NP synthétisés ont une couleur allant du brun foncé au vert et apparaissent principalement sphériques, parfois en bâtonnets ou en triangles, avec des tailles allant de 65 à 90 nm. Les spectres d'absorption par spectroscopie UV des NP Ag, Zn et Cu présentaient des pics d'absorbance à 267, 262 et 765 nm respectivement. La spectrométrie FT-IR de Zn NP, Cu NP et SMAE a donné un nombre d'onde allant de 895,71 à 3320,67, 747,02 à 3225,45 et 658,25 à 3674,49 respectivement. L'analyse FT-IR a montré que le SMAE agissait en tant qu'agent réducteur et stabilisant, alors que les NP présentaient une bande d'absorption d'énergie inférieure à celle de l'extrait de plante. Les NP ont démontré des activités antimicrobiennes plus élevées contre S. aureus que Ps. aeruginosa et E. coli. L'activité antimicrobienne était plus élevée avec les NP en cuivre que dans les NP Ag et Zn, et également supérieure à celle du SMAE.Conclusion: le résultat de cette étude présente une indication d'un autre moyen de développement de nouveaux agents antimicrobiens pour des applications cliniques et biotechnologiques.Mots-clés: synthèse, nanoparticules, FT-IR, spectrophotométrie UV-visible, activités antibactériennes
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Wete, E., J. L. Betti, J. R. Ngueguim, Siegfried D. Dibong, and N. O. F. Njukouyou. "Analyse comparative de la soutenabilité des méthodes d’exploitation de Prunus africana (Hook. f.) Kalkman en vigueur au Cameroun : incidence biologique et socio-économique." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1405–15. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.19.

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Prunus africana (Hook. f.) Kalkman est une plante de haute valeur médicinale qui connait de forte pression d’exploitation au Mont Cameroun. Dans le cadre d’une récolte durable des écorces, deux méthodes d’exploitation (2/4 et 4/8 opposées) ont été recommandées par l’Agence National de Développement des Forêts (ANAFOR) qui est l’autorité scientifique CITES du Cameroun. Cette étude porte sur l’analyse de la soutenabilité biologique et économique de ces méthodes de récolte en vigueur Cameroun. Un inventaire d’exploitation au taux de sondage de 100% dans une parcelle de 100 ha en fin de première rotation (cycle de 5 années), a servi à la collecte des données sur l’état de santé des arbres (mort, vivant, dépérissant), la mesure des diamètres à hauteur de poitrine et le dénombrement de la population d’arbre. Au total 170 arbres ont été dénombrés, ce qui correspond à 1,7 tiges/ha. Dans cet échantillon on compte 84 arbres (54%) exploités à la méthode 4/8. Ce groupe comprend 23 arbres dépérissant (27,40%), 7 arbres morts (8,30%) et 54 arbres vivants (64,30%). Tandis que sur un effectif de 86 arbres (56%) exploités par la méthode 2/4 on a observé 12 arbres dépérissant (14%), aucun arbre mort et 74 arbres vivants (86%). Ces informations montrent que la méthode d’écorçage (4/8) est plus compromettante sur la croissance des populations d’arbre. Elle est également économiquement la moins rentable avec des pertes de 1650 $US comparée à la méthode 2/4 (660 $). La méthode 2/4 a un faible impact sur la santé des arbres, elle peut être améliorée et adoptée comme méthode de récolte durable qui garantit une cicatrisation rapide de l’écorce des arbres et des revenues importants.Mots clés : Plante médicinale, méthode de récolte durable, régénération, aménagement des ressources forestières, Mont Cameroun. English Title: Comparative analysis of the sustainability of prunus africana (Hook. f.) Kalkman harvesting techniques used in Cameroon: biologic and socioeconomic incidence Prunus africana (Hook. f.) Kalkman is a medicinal plant with a high socioeconomic value which is facing serious bark harvesting pressure in Mount Cameroon. To ensure sustainable exploitation, two norms (2/4 and 4/8 opposites) was prescribed by the National Forestry Agency (ANAFOR) which is the CITES scientific authority in Cameroon. This study analyzes the biologic and economic sustainability of these harvesting practices. Data collection consisted of trees inventory, measurement of trees diameter and appreciation of tree vitality within a 100 ha plot at the end of the first rotation (five years later after bark harvesting). The sample comprise 170 trees (corresponding to 1.7 trees/ha) amongst which 84 trees (54%) were harvested using 4/8 technic. In this group, 23 (27.40%) trees were found in bad health, 7 (8.30%) trees dead, 54 trees alive (64.30%) and the annual diameter increment was 0.42±0.37 cm while in a group of 86 trees (56%) harvested with 2/4 technic, observation shown: 12 trees (14%) in bad health, 74 trees alive (86%) and annual diameter increment of 0.44±0.36 cm. This statistic shows that, 4/8 technic has a negative impact on trees population and is less benefit with losses estimated at 1650 $US comparing to 660 $US (2/4 technic). The 2/4 technic can be improved and adopted as a suitable harvesting method; since it ensures a fast diameter recovery, low impact on trees population and generate more income.Keywords: Medicinal plant, sustainable harvesting techniques, regeneration, forest resources management, Mount Cameroon.
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Sirima, A., A. Sereme, D. Sereme, K. Koïta, T. A. Nana, and M. Sawadogo. "Effets de quatre huiles essentielles sur la croissance mycélienne radiale d’un isolat de Alternaria sp. au Burkina Faso." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 18, 2020). http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.10.

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L’alternariose de la tomate est une maladie cryptogamique dévastatrice dans les zones maraichères du Burkina Faso. Tous les organes de la plante (tiges, feuilles, fruits) sont attaqués, entrainant une baisse importante du rendement et une dépréciation de la qualité de la production. Dans la présente étude, quatre huiles essentielles de plantes aromatiques locales (Cymbopogon schoenanthus, Lippia multiflora, Ocimum americanum, et Ocimum basilicum) ont été testées, pour évaluer leurs propriétés d'inhibition sur la croissance radiale du mycélium d’un isolat pathogène de Alternaria sp. Le test in vitro des doses de 100%, 50%, 10%, 5% et 1% a montré que toutes ces huiles essentielles possèdent une activité antifongique sur ledit isolat. Les taux d’inhibition des huiles essentielles sur la croissance du champignon étudié vont de 25,96% à 100%. La meilleure inhibition a été enregistrée avec l’huile essentielle de Cymbopogon schoenanthus, de Ocimum basilicum et de Lippia multiflora pour les concentrations supérieures à 1%. Il ressort donc de cette étude que trois huiles essentielles, stoppent la croissance mycélienne de l’isolat pour des doses allant de 5% à 100%. Ces huiles (Cymbopogon schoenanthus, Ocimum basilicum et Lippia multiflora) pourraient être utilisées pour la mise au point de phytopesticides afin d'atténuer l’utilisation intensive et hasardeuse des pesticides.Mots clés: Alternariose, activité antifongique, plante aromatique, tomate. English Title: Effects of four essential oils on radial mycelial growth of an isolate of Alternaria sp. in Burkina Faso Early blight of tomato is a devastating cryptogamic disease in the vegetable gardens in Burkina Faso. All plant’s organs (stems, leaves, fruits) are attacked causing a significant decrease in the yield and a depreciation of the quality of the production in the field. In the present study, four essential oils of aromatic plants (Cymbopogon schoenanthus, Lippia multiflora, Ocimum americanum, and Ocimum basilicum) were tested to evaluate the inhibition properties of these oils on the radial growth of the mycelium of an isolated pathogen of Alternaria sp. In vitro tests at doses of 100%, 50%, 10%, 5% and 1% showed that all these essential oils tested have antifungal activity on said strain. The inhibition rates of essential oils on the growth of the fungus studied range from 25.96% to 100%. The best inhibition was recorded with the essential oil of Cymbopogon schoenanthus, Ocimum basilicum and Lippia multiflora for applied concentrations more than 1%. It therefore emerges from this study that three essential oils stop the mycelial growth of the isolate for doses ranging from 5% to 100%. These oils (Cymbopogon schoenanthus, Ocimum basilicum and Lippia multiflora) could be used for the development of phytopesticides in order to reduce the intensive and hazardous use of pesticides.Keywords: Early blight, antifungal activity, aromatic plant, tomato.
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