Academic literature on the topic 'Fiction Climatique'

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Journal articles on the topic "Fiction Climatique"

1

Mengozzi, Chiara, and Julien Wacquez. "La Défamiliarisation du monde : Trois exemples de « fiction climatique » française." MLN 135, no. 4 (2020): 936–65. http://dx.doi.org/10.1353/mln.2020.0059.

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2

Bolka-Tabary, Laure. "Le changement climatique à la télévision : de la science à la fiction." Communication & langages 2012, no. 172 (June 2012): 53–67. http://dx.doi.org/10.4074/s0336150012002049.

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3

Rentsch, J. "Changement climatique fait ou fiction?" Forum Médical Suisse ‒ Swiss Medical Forum 10, no. 45 (November 10, 2010). http://dx.doi.org/10.4414/fms.2010.07331.

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4

CHIBOUT, Karim, and Martial MARTIN. "Entre le récit pour les masses et le mythe d’Internet, les croyances sur les réseaux sociaux comme jeu de co-constructions." Recherches en Communication 38 (July 10, 2013). http://dx.doi.org/10.14428/rec.v38i38.50263.

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Abstract:
L’étude porte sur des croyances exposées par les utilisateurs via certains outils numériques, principalement les réseaux sociaux virtuels, les blogs et les forums, ayant cependant pour origine des produits culturels de masse. Elle s’intéressera au point d’articulation entre d’une part une communication de type « top-down » à des fins de promotion de biens culturels (marketing et storytelling) et d’autre part la production d’une culture commune (d’un culte commun ?) par les utilisateurs des technologies numériques (web 2.0). Nous nous intéressons par exemple au culte Jedi-iste (Star Wars) et aux croyances eschatologiques (2012). Paradoxalement, les « fausses » ( ?) croyances exprimées évoquent les plaisirs fugaces de la fiction (« willing suspension of disbelief ») mais étendus aux pratiques sociales du quotidien ; elles s’apparentent à un jeu, une manière de fuir les désordres de la réalité (climatiques, économiques, sociaux, politiques, religieux…) et, dans le même temps, sont fortement connectées à cette réalité désenchantée. Nous avions déjà entraperçu cette contradiction interne dans l’analyse des constructions imaginaires «faniques » autour de l’univers des jeux en ligne multi-joueurs (Chibout & Martin, 2009). A l’heure où les textes fondateurs (livres saints, constitution, traditions…) et les certitudes universelles sont ébranlés (Lyotard), on feint de croire à des réalités inventées de toutes pièces (pour ne pas dire faites de bric et de broc). Les échanges virtuels portant sur les pseudo-croyances renvoient, en effet, à des co-constructions hybrides mêlant faits scientifiques, prophéties ésotériques, superstitions et religion(s) mondiales et transhistoriques (qui prennent sens dans une créolisation généralisée). Très liées aux circonstances qui les ont vues naître ou dans lesquelles on les a diffusées ou partagées, ces croyances sont marquées par l’inconstance ou l’inconsistance. L’absence de profondeur des « convictions » est à l’image de la labilité et de la fluidité des relations et des conduites installées dans la vie virtuelle.
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Dissertations / Theses on the topic "Fiction Climatique"

1

Wacquez, Julien. "L'Horizon des possibles planétaires : dynamiques et glissements de frontières entre science et science-fiction." Thesis, Paris, EHESS, 2020. http://www.theses.fr/2020EHES0072.

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Abstract:
Lorsque la sociologie s’intéresse à la science-fiction, elle ne la considère qu’en tant que forme littéraire, voire paralittéraire, sans jamais s’interroger sur ce qui fait sa spécificité, à savoir le trait d’union placé entre deux mots que tout semble opposer. Cette thèse vise à prendre au sérieux cette spécificité. Elle démontre, d’une part, que les récits de science-fiction, en répondant à des impératifs de crédibilité scientifique et de réalisme, possèdent une certaine efficacité épistémique et, d’autre part, que la science elle-même empiète sur le territoire de la fiction et, par ces incursions, parvient à repenser l’horizon de ses possibilités et de ses spéculations.Après avoir développé une approche sociologique capable de rendre compte pleinement de l’ambivalence de ces récits – comme appartenant simultanément aux domaines (jamais entièrement) séparés de la science et de la science-fiction – l’enquête se focalise sur un corpus précis, constitué en isolant un problème commun à la « Hard Science Fiction » et la discipline astrophysique, celui de l’expansion de l’empire de l’humanité dans l’espace. Ce dernier thème connaît un fort regain d’intérêt à l’heure où l’effondrement des écosystèmes terrestres menace la pérennité de nos modes de vie.À partir d’un ensemble de matériaux hétérogènes (romans, nouvelles, articles scientifiques, conférences, essais, lettres, préfaces, critiques, avis de lectures, etc.), la thèse révèle que les écrivains de science-fiction et les scientifiques se lisent mutuellement, se répondent, se critiquent et se corrigent. Qu’ensemble, ils élaborent des concepts nouveaux, en affinent ou en déconstruisent d’anciens et ce faisant, s’engagent dans un même effort pour penser, concrétiser ou, au contraire, remettre en cause la faisabilité et le bien-fondé d’un tel projet civilisationnel. En retraçant soigneusement leurs interactions, la thèse suit la constitution et le déplacement de la frontière entre science et littérature, réalité et fiction, possible et impossible. À l’issue de l’enquête se dégage la complicité entre écrivains et scientifiques dans la promotion de deux projets distincts, répondant chacun à leur manière aux enjeux écologiques contemporains : le premier en quittant la Terre et le second en réinterrogeant nos manières de l’habiter
Sociology has neglected science fiction, at best considering it as a literary form (or paraliterary), without attempting to investigate its defining feature, i.e. the juxtaposition of two alleged antithetical terms—science and fiction. This thesis takes seriously the constitutive in-betweenness of this genre and makes two key arguments. First, by responding to the imperatives of scientific credibility and realism, science fiction possesses an epistemic effectiveness. Second, science itself encroaches on the territory of fiction. As such, science fiction reshapes the horizon of possibilities and speculations in science itself. After developing a sociological approach capable of offering a full account of the ambivalence of these narratives—as belonging simultaneously to the (never entirely) separated fields of science and science fiction—the investigation focuses on a corpus constituted by isolating a problem shared by both “Hard Science Fiction” and astrophysics: the expansion of the human empire in space. This theme has recently gained a renewed interest amidst climate change and the concomitant collapse of terrestrial ecosystems, which threatens humanity’s way of life.Relying on a heterogeneous body of materials (novels, short stories, scientific articles, lectures, essays, letters, prefaces, book reviews, comments), the thesis reveals that science fiction writers and scientists interact intensively, by reading, criticizing, and correcting each other. They jointly elaborate new concepts, sharpen or deconstruct old ones, and in doing so, engage in a common effort to think, give a concrete form to, or put into question the technical feasibility and moral validity of such a civilizational project. By carefully tracing the numerous interplays and exchanges between writers and scientists, the thesis tracks the shifting boundaries between science and literature, reality and fiction—the possible and impossible. What emerges is the promotion of two distinct projects, both responding to the ongoing ecological crisis, yet in opposite ways: the first by leaving the Earth, the second by re-interrogating and undoing our ways of inhabiting it
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