Academic literature on the topic 'Follicule pileux – croissance et développement'

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Journal articles on the topic "Follicule pileux – croissance et développement"

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MONNIAUX, D., A. CARATY, F. CLEMENT, R. DALBIES-TRAN, J. DUPONT, S. FABRE, N. GERARD, P. MERMILLOD, P. MONGET, and S. UZBEKOVA. "Développement folliculaire ovarien et ovulation chez les mammifères." INRAE Productions Animales 22, no. 2 (April 15, 2009): 59–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2009.22.2.3335.

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Abstract:
Cette revue présente l’état des connaissances sur la folliculogenèse et l’ovulation chez les mammifères. La folliculogenèse basale est une phase de croissance folliculaire lente, au cours de laquelle l’ovocyte acquiert la compétence méiotique. La folliculogenèse terminale est une phase de développement rapide, au cours de laquelle le follicule ovulatoire est sélectionné et termine sa maturation, tandis que l’ovocyte acquiert la compétence au développement. La revue décrit les différents changements fonctionnels qui s’opèrent dans le follicule et l’ovocyte au cours de ces deux phases, ainsi que les mécanismes qui les régulent et qui déterminent le quota ovulatoire caractéristique de chaque espèce ou race. Les facteurs-clés identifiés de la folliculogenèse sont les BMP, le KITLG et l’AMH pour le démarrage de croissance folliculaire, l’IGF et l’insuline pour la transition entre folliculogenèse basale et terminale, la FSH pour le début de la folliculogenèse terminale et la sélection des follicules ovulatoires, et la LH pour le développement folliculaire final, la maturation ovocytaire et l’ovulation. L’ovulation est déclenchée par une décharge préovulatoire de LH qui induit la maturation du complexe cumulus-ovocyte dans le follicule ovulatoire, suivie de la rupture de la paroi folliculaire et de la formation du corps jaune. La folliculogenèse ovarienne est contrôlée par des facteurs externes, tels que la photopériode et la nutrition, et c’est essentiellement le système hypothalamo-hypophysaire qui intègre les signaux endocriniens et environnementaux. Des modifications de l’apport alimentaire, relayées par des variations de signaux hormonaux et métaboliques, modulent l’activité de l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien à ses différents étages.
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SAUMANDE, J. "La production d’embryons chez les bovins : quelles voies de recherches pour augmenter l’efficacité des traitements de superovulation ?" INRAE Productions Animales 8, no. 4 (October 23, 1995): 275–83. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.4.4137.

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Abstract:
Chez les bovins, le transfert d’embryons s’est développé sur une base commerciale depuis environ 15 ans. Malgré les nombreux travaux de recherches réalisés pendant cette période, les deux problèmes majeurs identifiés dès le début de l’utilisation de cette technique demeurent : le nombre moyen d’embryons récoltés par vache traitée reste faible, ce qui a pour conséquence un coût de production élevé et la fréquence des animaux qui ne produisent aucun embryon transférable est trop élevée pour que la technique soit utilisée au mieux dans les programmes d’amélioration génétique. Cette situation limite le développement du transfert d’embryons ; elle perdure alors que les traitements de superovulation sont optimisés et que les extraits hypophysaires utilisés pour stimuler la croissance folliculaire sont bien mieux définis et contrôlés qu’il y a 15 ans. Actuellement, le principal facteur qui détermine le nombre d’embryons transférables est le nombre d’ovulations induites. Des études portant sur les relations entre fonction ovarienne et réponse au traitement de superovulation ont montré que ce nombre d’ovulations dépendait de l’état de la population folliculaire au moment où débute la stimulation gonadotrope (présence d’un follicule dominant, nombre de follicules de plus de deux millimètres de diamètre). Il apparaît donc que l’amélioration de l’efficacité des traitements de superovulation dépend moins de la mise à disposition de nouvelles molécules ou de nouveaux protocoles de traitement que de l’administration d’un pré-traitement susceptible de faire régresser le follicule dominant et/ou d’augmenter le nombre de follicules recrutables par les gonadotrophines. A cette fin, différentes possibilités sont envisagées ; les résultats préliminaires sont encourageants et devraient permettre de proposer prochainement de nouvelles stratégies pour une production d’embryon plus efficace.
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Haras Nationaux, INRA. "Dossier : Actualités en reproduction équine." INRAE Productions Animales 12, no. 5 (July 1, 1999): 331–52. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1999.12.5.3901.

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Abstract:
La production par une jument d’un poulain par an (et pourquoi pas de plusieurs) avec de la semence d’étalon conservée fraîche ou congelée est l’objectif appliqué actuel de toutes les équipes de recherche. Un point très détaillé en français dans les domaines couverts par notre équipe avait été fait en 1992 dans le Recueil de Médecine vétérinaire (volume 168, numéro 11-12). Depuis, de nouvelles connaissances ou de nouvelles technologies ont vu le jour et il était important de les mettre à disposition d’un large public. Le phénomène d’inactivité ovarienne en début de saison de monte limite le nombre de cycles disponibles pour une fécondation. Des études ont permis d’affiner les conditions des traitements lumineux. Des traitements longs à la mélatonine pourraient permettre de décaler le rythme annuel de reproduction de la jument. Le développement des follicules ovariens est sous le contrôle des hormones hypophysaires FSH et LH, et de facteurs intra-ovariens dont l’inhibine. La maîtrise du nombre d’ovulations permettrait (lors de transfert embryonnaire) de pouvoir produire plusieurs embryons par cycle. Des essais de superovulation sont en cours qui utilisent la FSH exogène ou l’effet anti-inhibine. La maîtrise du moment de l’ovulation peut se faire classiquement par injection d’hCG mais aussi par l’administration de GnRH sous forme d’implant. La croissance et la maturation du follicule dominant, ainsi que l’atrésie des follicules dominés, se caractérisent par l’évolution intrafolliculaire de nombreux paramètres biochimiques dont certains ont été étudiés dans l’espèce équine. Sous échographie transvaginale, le rythme de collecte d’ovocytes le plus rentable est de deux ponctions au cours du même cycle (l’une en fin de croissance folliculaire, l’autre en phase lutéale) : on obtient alors 9 ovocytes en moyenne. La maturation de l’ovocyte provient des maturations respectives du cumulus, du cytoplasme et du noyau. La fécondation in vitro (FIV) n’ayant donné que des résultats moyens, d’autres techniques de reproduction assistée sont utilisées actuellement avec plus de succès au laboratoire : 1) la mise en place de l’ovocyte d’une donneuse soit dans l’oviducte (GIFT), soit dans le follicule (TOIF) d’une receveuse, avec fécondation de la receveuse et 2) l’introduction d’un spermatozoïde directement dans le cytoplasme de l’ovocyte (ICSI). Le transfert d’embryon est utilisé sur le terrain en France principalement pour des juments de haute valeur génétique. Le transport d’embryons frais, mais surtout l’utilisation de la congélation des embryons, simplifieront la gestion entre donneuse et receveuse. La baisse de fertilité observée sur les étalons de plus de 15 ans est fréquemment associée à un profil hormonal caractéristique (niveau basal de FSH et de LH élevé, d’oestrogène diminué, niveau de testostérone non modifié après induction à l’hCG). Ceci pourrait être la conséquence d’une dégénérescence testiculaire primaire. L’évolution des travaux sur la conservation de la semence a abouti à la mise au point de deux grands types de techniques d’insémination : en semence fraîche et en semence congelée. Les résultats obtenus dans les Haras Nationaux montrent que la fertilité par cycle est proche pour les deux types de technique. L’effort doit porter en partie sur des améliorations techniques qui permettront d’avoir accès à toutes les techniques de conservation et d’insémination artificielle pour la grande majorité des étalons. Les critères d’évaluation de la qualité de la semence utilisés en routine (examen de la mobilité essentiellement) ne donnent pas entièrement satisfaction puisqu’ils ne permettent pas de "détecter" certains étalons dont la fertilité se révèle réduite. La plupart des fonctions cellulaires des spermatozoïdes peuvent être explorées : intégrité des membranes, de l’acrosome, stabilité de la chromatine, activité des mitochondries... Cependant les relations de ces fonctions entre elles et, surtout, les relations entre ces fonctions et la fertilité ne sont pas encore très claires.
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Dissertations / Theses on the topic "Follicule pileux – croissance et développement"

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Cuffley, Kristine. "Développement par génie tissulaire d'un modèle d'étude in vitro des voies de signalisation des cellules souches du follicule pileux." Thesis, Université Laval, 2005. http://www.theses.ulaval.ca/2005/23211/23211.pdf.

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Colombe, Laurent. "Prostglandines et cheveu." Paris 7, 2007. http://www.theses.fr/2007PA077134.

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Abstract:
Alors que pendant longtemps, les recherches sur l'alopécie androgénétique se sont focalisées sur l'impact des androgènes, force est de constater que la régulation est loin d'être évidente. Il a fallu depuis ajouter l'impact des vitamines (A, D), les hormones thyroïdiennes, les ligands des PPARs, les agonistes de la famille hedgehog et depuis peu celui des prostanoïdes. Cette dernière valence a été découverte par des études cliniques de l'hypertension oculaire en tant qu'effet secondaire d'agonistes du récepteur FP (récepteur liant la prostaglandine PGF2oc). Les traitements par collyres ont permis de mettre en évidence que les cils poussaient plus longs, plus épais et plus pigmentés par rapport à un témoin non traité. De plus le duvet au pourtour de l'œil se transformait en poils terminaux. La littérature sur les mêmes agonistes décrit également des effets trichogènes sur têtes de macaques ainsi que sur dos de souris. L'utilisation d'inhibiteurs de voie de synthèse des prostaglandines pharmacologiques ou biologiques (souris Knock-out) confirme que cette voie est importante. La surexpression de certaines de ces enzymes entraîne généralement des altérations de la forme du poil ou de la pousse elle-même. Tous ces éléments nous ont confortés dans l'utilité d'une étude plus exhaustive sur les acteurs du métabolisme des prostaglandines (enzymes de synthèses) et étude de l'aspect réceptoriel des prostanoïdes dans le follicule de cheveu. Ces études ont été établies avec un lien direct de développement d'une stratégie de recherche d'actifs antichute/repousse ; l'aspect de recherche d'inhibiteurs spécifiques de l'enzyme de catabolisme 15-PGDH type 1 a donc aussi été développé
For a long time, research on androgenetic alopecia has focused on the impact of androgens. However it is becoming increasingly clear that the regulation of hair growth is not solely due to these factors. We, now, have to consider the impact of vitamins (A, D), thyroid hormones, PPAR ligands, hedgehog family agonists and recently prostanoïds. The latter was discovered as a side effect during clinical studies on hypertension ocular pressure using FP receptor agonists (receptor linking prostaglandin PGF2a). Eye lotion treatments showed that lashes had grown longer, thicker and more pigmented compared to non treated eyes. Moreover, ancillary hairs around eyelids appeared. In the literature, studies have also shown that in the présence of the same agonists on macaque heads as well as on the backs of mice the same re-growth effects were observed. Inhibition of the prostaglandin synthesis either pharmacologically or biologically (mouse Knockout) confirms that this pathway is important for hair growth control. Over-expression of some of these enzymes usually induces impaired growth. All these results suggest that a more exhaustive study should be carried out on the actors of prostaglandins metabolism (synthesis enzymes) and prostanoïd receptors in the hair follicle. These studies were established in conjunction with a strategy to find active re-growth agents (or against hair loss). A study to fmd inhibitors of the catabolic enzyme 15- PGDH type 1 was also developed
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Delacour, Alexandra. "Contribution à l'étude du développement et du renouvellement des follicules pileux." Paris 7, 2001. http://www.theses.fr/2001PA077181.

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Chalmey, Clémentine. "Exposition néonatale aux œstrogènes : effets sur leur métabolisme, le développement ovarien et la fonction de reproduction chez la ratte." Phd thesis, Université Rennes 1, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00953657.

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Abstract:
L'ovaire est au cœur de la physiologie de la reproduction féminine. Il est à la fois à l'origine des ovocytes nécessaires à la fécondation et acteur des régulations endocrines du système reproducteur. Les ovocytes de l'ovaire fœtal sont groupés en amas bordés de cellules somatiques et d'une membrane basale, formant les cordons ovariens. Ces cordons ovariens se fragmentent pour former les follicules ovariens: un ovocyte bordé de cellules somatiques et d'une membrane basale. Cette fragmentation se déroule sur une courte période (/in utero/ chez la femme et juste après la naissance chez les rongeurs) et fait intervenir une vague de mort cellulaire programmée touchant les ovocytes pendant leur méiose et un remodelage de la membrane basale. La formation des follicules est une période cruciale du développement ovarien puisque le stock de follicules formés à l'issue de ce processus est non renouvelable. Son altération peut donc être à l'origine de troubles de la fonction de reproduction chez le futur adulte. Il existe une fragile homéostasie œstrogénique en place au moment de la formation folliculaire: chez la femme, l'ovaire se développe /in utero/, sous l'influence des œstrogènes circulants maternels et la production ovarienne fœtale. Chez les rongeurs, les follicules se forment lors de la levée de l'imprégnation hormonale maternelle au moment de la naissance. Nous avons souhaité comprendre comment le 17b-œstradiol (E2), œstrogène endogène, pouvait contribuer à la mise en place des follicules. Pour cela, des rattes Sprague-Dawley ont été traitées pendant la période de formation des follicules avec de l'E2 à différentes doses entre 0.01 et 10 µg/jour. Nos travaux démontrent que le traitement de rattes par des œstrogènes entre leur naissance et 3 jours induit une réduction dose-dépendante de leur nombre d'ovocytes. Bien que le traitement entrave le développement normal du système de détoxication hépatique et ovarien, l'animal est capable d'accroître ses capacités d'élimination des œstrogènes. Ces capacités sont toutefois insuffisantes pour bloquer les effets du traitement. Quelle que soit la dose d'E2 utilisée (0.1 ou 10 µg/jour), la puberté est plus précoce chez les femelles exposées mais toutes sont fertiles, au moins transitoirement. Cependant le traitement induit une dégradation rapide des capacités reproductives. L'E2 modifie la dynamique folliculaire chez l'adulte, longtemps après l'arrêt du traitement. Si une forte dose d'E2 réduit la survie des ovocytes lors de la formation des follicules et conduit à une infertilité secondaire due à un dysfonctionnement général du tractus reproducteur, une dose faible n'affecte pas la survie des ovocytes à court terme mais conduit à une sénescence reproductive précoce vraisemblablement d'origine ovarienne. L'origine de ces troubles pourrait résider dans les effets précoces de l'exposition à E2 : cette molécule altère le transcriptome ovarien et induit de nombreuses lésions de l'ADN des cellules ovariennes.
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