To see the other types of publications on this topic, follow the link: Fonds d'investissement de microfinance.

Journal articles on the topic 'Fonds d'investissement de microfinance'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 23 journal articles for your research on the topic 'Fonds d'investissement de microfinance.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

J.H. "Climat océanique et fonds d'investissement." Biofutur 2000, no. 198 (March 2000): 50. http://dx.doi.org/10.1016/s0294-3506(00)88799-2.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Davydoff, Didier. "Les fonds d'investissement spécialisés en Europe." Revue d'économie financière 64, no. 4 (2001): 201–10. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2001.4959.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Monteillard, Pierre. "La distribution et la circulation des fonds d'investissement." Revue d'économie financière 79, no. 2 (2005): 213–20. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2005.3982.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Belaicha, Amine, Abdeldjellil Bouzidi, and Daniel Labaronne. "Création d'un Fonds d'investissement d'État en Algérie : quels enjeux ?" Mondes en développement 159, no. 3 (2012): 135. http://dx.doi.org/10.3917/med.159.0135.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

de Dominicis, Ariane. "Les fonds d'investissement dans les actifs CO₂ : état des lieux." Revue d'économie financière 83, no. 2 (2006): 47–53. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2006.3999.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Ammar, Dr Oussama. "L'approche des fonds d'investissement dans l'expérimentation stratégique du Business Model." Humanisme et Entreprise 316, no. 1 (2014): 47. http://dx.doi.org/10.3917/hume.316.0047.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Martinez, Daniel. "Les fonds d'investissement social en Amérique centrale et au Panama." Tiers-Monde 32, no. 127 (1991): 533–49. http://dx.doi.org/10.3406/tiers.1991.4650.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

de Malherbe, Etienne. "MODELING PRIVATE EQUITY FUNDS AND PRIVATE EQUITY COLLATERALISED FUND OBLIGATIONS." International Journal of Theoretical and Applied Finance 07, no. 03 (May 2004): 193–230. http://dx.doi.org/10.1142/s0219024904002359.

Full text
Abstract:
The recent development of the securitisation of funds of private equity funds poses the question of the individual and joint modelling of the underlying funds. Private equity funds are different from other managed funds because of their particular bounded life cycle: when the fund starts, the investment partners make an initial capital commitment, the fund managers gradually draw down the committed capital into investments, returns and proceeds are distributed as the investments are realised and the fund is eventually liquidated as the final investment horizon is reached. Modelling private equity funds therefore requires three stages: the modelling of the commitment drawdowns, the modelling of the investment value and the modelling of the return repayments. A standard lognormal process is utilised for the dynamics of the investment value. Squared Bessel processes are utilised for the dynamics of the rates of drawdowns and repayments. Résumé: Le récent développement de la titrisation de fonds de fonds de placements privés pose la question de la modélisation individuelle et jointe des fonds sous-jacents. Les fonds de placements privés sont différents des autres sociétés d'investissement à cause de leur cycle de vie particulier et limité: au démarrage du fonds, les associés s'engagent sur un apport initial en capital; puis les gérants du fonds opèrent des tirages progressifs sur le capital apporté pour procéder à des investissements; les revenus et les profits sont distribués à mesure que les investissements sont réalisés; enfin, le fonds est liquidé lorsque l'horizon d'investissement est atteint. La modélisation d'un fonds doit donc se faire en trois étapes: la modélisation des tirages sur l'apport en capital, la modélisation de la valeur des investissements et enfin la modélisation des paiements et remboursements des dividendes et retours sur investissements. Un processus lognormal standard est utilisé pour la dynamique de la valeur des investissements. Des processus de Bessel carré sont utilisés pour la dynamique des taux de tirage et de remboursement.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Leclair, Alain, and Carlos Pardo. "Fonds d'investissement : un rôle croissant dans le financement des économies européennes." Revue d'économie financière 64, no. 4 (2001): 179–200. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2001.4958.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Lorrain, Dominique. "L'industrie de la finance et les infrastructures (2) : les fonds privés d'investissement." Flux 72-73, no. 2 (2008): 138. http://dx.doi.org/10.3917/flux.072.0138.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Urgeghe, Ludovic. "Les véhicules d'investissement en microfinance et le défi de la performance sociale." Mondes en développement 152, no. 4 (2010): 69. http://dx.doi.org/10.3917/med.152.0069.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Grégoire-Borzeda, Cécile. "Le rôle des Fonds nationaux d'investissement dans la restructuration des entreprises en Pologne." Revue d’études comparatives Est-Ouest 31, no. 4 (2000): 209–39. http://dx.doi.org/10.3406/receo.2000.3062.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Malo, Marie-Claire, and Cédriane Moreau. "Corporations de développement économique communautaire (CDEC) et Caisses Desjardins : quelle configuration partenariale ?" III. Nouveaux débats, no. 41 (October 2, 2002): 119–28. http://dx.doi.org/10.7202/005180ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ L'étude de la configuration partenariale entre les caisses d'épargne et de crédit du Mouvement Desjardins et la corporation de développement économique communautaire (CDEC) d'un arrondissement de Montréal révèle que leur partenariat se concrétise dans une société locale d'investissement dans le développement de l'emploi (SOLIDE) dont le modèle provient d'une grande composante syndicale de l'économie sociale québécoise : le Fonds de solidarité des travailleurs du Québec (FTQ). Ainsi, les relations partenariales entre anciennes et nouvelles composantes de l'économie sociale comportent deux dimensions stratégiques : le renouvellement communautaire (associatif) d'organisations anciennes, comme les caisses Desjardins, et le renforcement de la dimension économique d'organisations nouvelles, comme les CDEC.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Rigouzzo, Luc. "Les fonds d'investissement : une source essentielle de capitaux à long terme pour les entreprises africaines." Revue d'économie financière 116, no. 4 (2014): 213. http://dx.doi.org/10.3917/ecofi.116.0213.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Jégourel, Yves. "Les fonds d’investissement en microfinance : nouvelle niche de la finance éthique ?" Revue d'économie financière 93, no. 3 (2008): 89–102. http://dx.doi.org/10.3406/ecofi.2008.5268.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Jaidane-Mazigh, Lamia, and Moez Labidi. "Les fonds souverains du Moyen-Orient face à la crise financière : quelles stratégies d'investissement dans la région ?" Maghreb - Machrek 206, no. 4 (2010): 125. http://dx.doi.org/10.3917/machr.206.0125.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Artus, Patrick. "Pourquoi le rendement moyen des actifs risqués est-il trop faible? Le rôle de la concurrence entre fonds d'investissement." Revue économique 51 (February 2000): 207. http://dx.doi.org/10.2307/3503197.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Artus, Patrick. "Pourquoi le rendement moyen des actifs risqués est-il trop faible ? Le rôle de la concurrence entre fonds d'investissement." Revue économique 51, no. 1 (2000): 207–22. http://dx.doi.org/10.3406/reco.2000.410491.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Serret, Vanessa. "Apport de la signalisation par un label au marché des fonds d'investissement éthiques. Une illustration par le label français CIES dédié à l'épargne salariale." Gestion 2000 30, no. 2 (2013): 121. http://dx.doi.org/10.3917/g2000.302.0121.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

Wampfler, Betty. "Financement de la traction animale dans le contexte de désengagement de l’Etat. Enseignements des cas du Nord- Cameroun, de l’Est Burkina Faso et du bassin arachidier du Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 57, no. 3-4 (March 1, 2004): 211. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9892.

Full text
Abstract:
La traction animale suppose un investissement important que les ménages agricoles les plus vulnérables peuvent difficilement réaliser sur fonds propres. Le recours au crédit est alors nécessaire. En Afrique de l’Ouest et centrale, les formes publiques de financement de la traction animale ont permis l’équipement de larges zones pratiquant les cultures de rente. Mais ces dispositifs publics s’avèrent impossible à pérenniser et sont aujourd’hui en très forte régression. Dans le vide laissé par l’Etat, émergent des innovations institutionnelles portées par les organisations paysannes et la microfinance. Ces deux secteurs expérimentent aujourd’hui à très petite échelle le financement de la traction animale mais rencontrent eux aussi des difficultés importantes : les ressources financières adaptées sont difficiles à mobiliser, les crédits à moyen terme sont difficiles à sécuriser, les financements fournis sont très largement insuffisants par rapport à l’ampleur de la demande. Quelques institutions, comme par exemple le réseau des Caisses d’épargne et de crédit agricole mutuel (Cecam) à Madagascar, expérimentent des financements innovants et prometteurs.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Babatoundé, Alain L. "Dualisme financier et politique monétaire : un réexamen théorique des implications." Articles 91, no. 3 (May 26, 2016): 313–38. http://dx.doi.org/10.7202/1036493ar.

Full text
Abstract:
Cet article réexamine les implications monétaires du dualisme financier. Enrichissant le cadre d’analyse de Sidrauski (1967), Montiel (1991) puis Agénor et Alper (2009) des dépôts décentralisés pour lesquels les agents ont une préférence (Ary Tanimoune, 2007), nous dérivons l’offre de dépôts des agents non financiers sur le marché des fonds prêtables. Nous montrons que le taux d’intérêt créditeur des institutions de microfinance (IMF) et celui des banques ont un même effet direct ou indirect sur l’offre de dépôts décentralisés; cet effet dépend d’un niveau critique de différentiel de taux. L’effet substitution attendu d’une hausse de taux d’intérêt créditeur des banques s’opère si et seulement si le différentiel de taux qui prévaut est inférieur à ce seuil critique. Nous concluons ainsi, que la politique de taux créditeur reste inefficace lorsque les différentiels de taux d’intérêt entre les deux sous-secteurs sont relativement faibles. Avec cet ancrage théorique, non seulement le résultat relativise la proposition de Eboué (1990) suivant laquelle les dépôts décentralisés renforcent l’activité bancaire avec une meilleure mobilisation de l’épargne à des fins d’investissement productif, mais aussi, il apporte une explication à l’échec des politiques de libéralisation financière dans les économies en développement. Le modèle permet d’établir par ailleurs, une relation inverse entre l’offre de dépôts décentralisés et le taux d’intérêt sur le marché monétaire.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15993.

Full text
Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

De Briey, Valérie. "Numéro 28 - mars 2005." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2005.03.01.

Full text
Abstract:
Les Nations Unies ont proclamé l’année 2005 "Année Internationale du Microcrédit". A cette occasion, la Plate-forme belge de la microfinance et la Coopération belge au développement (DGCD) organisent les 3 et 4 mars un séminaire de réflexion sur la microfinance. Dans le dernier numéro de Regards économiques, Valérie de Briey, qui est responsable de recherches au Cerisis, membre de la plate-forme belge de microfinance et du GRAP-OSC (CUD-DGCD), dresse un large panorama du rôle et des missions de la microfinance dans les pays en développement. Elle présente également les questions importantes qui seront débattues lors du séminaire des 3 et 4 mars. Ce communiqué résume les principaux points de son étude. De tous temps, de nombreuses activités de taille très réduite (qualifiées habituellement de micro-entreprises) se sont développées dans les pays du Sud, bien souvent partiellement ou totalement en marge des règles législatives et administratives, pour permettre aux populations pauvres de subsister. Celles-ci regroupent des activités aussi diverses que marchands ambulants, petits artisans, kiosques à journaux, taxis, vendeurs de rue, bazars, etc. Parmi les multiples contraintes auxquelles sont confrontées les micro-entreprises, la difficulté d’accès à des sources de financement extérieures représente encore aujourd’hui une entrave principale à leur bon développement. Elles ont en effet besoin d'un capital suffisant pour financer leurs équipements, leurs achats de fournitures, de matières premières, etc. Or, ce capital leur a longtemps fait défaut car les petites sommes demandées par ces micro-entrepreneurs, l’absence de garantir à offrir et bien souvent la nature risquée du projet rebutaient les banques commerciales traditionnelles. C’est pourquoi différents intermédiaires financiers spécialisés dans l’attention à ce type de clientèle ont vu le jour. Ces intermédiaires sont souvent qualifiés d’ «institutions de microfinance» (IMF). Leur rôle consiste à offrir des services financiers de base (épargne, crédit, assurance, transfert de fonds, etc.), aux montants réduits, à des populations pauvres afin de leur donner la possibilité d’investir et de se prémunir en cas de coups durs (conditions climatiques défavorables à la production, dépenses imprévues liées à une maladie ou à la perte de biens, etc.). Par ailleurs, la microfinance favorise également des retombées positives sur la famille en général : amélioration des conditions de vie, valorisation de l’auto-estime, financement de la scolarisation, des soins de santé, etc.). Il a cependant fallu attendre les années quatre-vingt pour que ce secteur soit véritablement reconnu comme générateur de revenus et créateur d’emplois. Depuis lors, il fait l’objet d’une attention toute particulière de la part tant des praticiens du développement, des politiciens que des chercheurs universitaires. Aujourd’hui, la micro-finance fait partie intégrante des politiques de développement des pays pauvres. En 1998 déjà, l’Assemblée Générale des Nations Unies avait proclamé l’année 2005 l’Année Internationale du micro-crédit pour marquer l’importance de cet instrument pour éradiquer la pauvreté. Son objectif à l’époque était de réduire de moitié les populations pauvres qui vivent sous le seuil de pauvreté d’ici 2015 (Objectifs de Développement pour le Millénaire). Depuis les expériences pionnières jusqu’à sa forte médiatisation de nos jours, le champ de la microfinance a fortement évolué. Il existe une pluralité d’institutions de microfinance faisant appel à des statuts juridiques différents (fondations, coopératives d’épargne et de crédit, institutions publiques, sociétés anonymes, etc.) dont les modes de fonctionnement et les objectifs diffèrent fortement. Les IMF sont aujourd’hui largement tributaires d’un discours néo-libéral prônant l’absolutisation du marché et l’adoption d’une démarche commerciale. Pour des institutions telles que Banque Mondiale ou les Nations Unies, il faut en effet parvenir à la construction de «marchés financiers intégrants» afin de mettre en place des systèmes de microfinance pérennes et qui touchent un grand nombre de populations pauvres. Elles préconisent dès lors l’institutionnalisation des programmes de microfinance, autrement dit, la mise en place d’institutions de microfinance rentables, répondant aux lois des marchés financiers concurrentiels et faisant appel à un mode de gouvernance efficace. Pour ces organismes en effet, les institutions à vocation sociale (de type ONG) sont la plupart du temps fragiles, tributaires des subsides en provenance des bailleurs de fonds et disposent d’une capacité limitée à faire face à la demande massive de microcrédits. D’autres personnes au contraire, principalement des acteurs de terrain soucieux de rester au service des plus démunis, s’interrogent sur les dérives potentielles de l’adoption d’une telle démarche et craignent que la poursuite de but de lucre conduise à l’écartement d’une clientèle plus défavorisée afin de satisfaire les critères de rentabilité propres aux marchés financiers. Elles réclament notamment le maintien de subsides. Cette opposition entre ces deux visions de la microfinance constitue ce que Morduch (1998) a qualifié de "microfinance schism". Ce schisme est également marqué par les méthodes d’évaluation auxquelles recourent les partisans de chacune des deux approches (études d’impact, instruments de rating, etc.). Plus qu’antagonistes, ces deux visions de la microfinance sont, selon Valérie de Briey, complémentaires. La pertinence de l’une ou l’autre doit s’évaluer au regard des acteurs en présence, de la cible poursuivie, de la densité de population, de la technologie disponible, du contexte économique, institutionnel, etc. La pérennité d’une IMF ne pourra en effet être atteinte que dans la mesure où l’institution peut opérer à grande échelle et avoir un volume d’activité tel que le point d’équilibre puisse être atteint. Il est donc par exemple nécessaire que la densité de la population soit suffisamment importante pour toucher un grand nombre d’emprunteurs. Par ailleurs, l’IMF doit également disposer d’une technologie appropriée pour évaluer rapidement les demandes de crédit et maintenir à jour l’information commerciale et financière. Sans ces conditions, la productivité des membres internes à l’IMF ne pourra pas être suffisante et la croissance du portefeuille assurée. Par ailleurs, dans le choix de l’approche dans laquelle doit s’inscrire l’IMF, il importe également selon Valérie de Briey de se pencher sur le degré de précarité de la cible visée. Certaines institutions, soucieuses de veiller à la rentabilité de leurs opérations de prêts, excluent en effet de leurs clients, certains secteurs d’activité jugés comme trop risqués (citons en autres les conducteurs de taxi) et mettent des conditions d’accès telles que de nombreux micro-entrepreneurs se trouvent hors des conditions d’accès (comme par exemple l’ancienneté minimale exigée ou le degré de formalisation de la micro-entreprise). Il y a donc place dans certaines zones géographiques pour la coexistence d’IMF différenciées (par exemple des sociétés anonymes adoptant une logique de rentabilité et des ONG adoptant une logique de développement de populations pauvres). Il est donc nécessaire, conclut l’auteur, que les limites du discours dominant orienté sur une approche de marchés soient reconnues et que les bailleurs de fonds adoptent une attitude différenciée selon les intermédiaires financiers considérés, et le contexte économique, social et institutionnel du pays dans lequel ces intermédiaires opèrent. Il faudrait en outre que les bailleurs de fonds adoptent des critères d’évaluation des IMF en cohérence avec la mission poursuivie par l’institution d’appui et ses valeurs fondatrices. Plus qu’antagonistes, les différentes méthodes d’évaluation proposées dans le champ de la microfinance sont, de l’avis de Valérie de Briey, elles aussi complémentaires. Leur utilité dépend tout à la fois de la mission de l’IMF (à vocation sociale ou financière), de la ou des personnes qui évaluent (bailleurs de fonds, membres internes, etc.), de la perspective adoptée (du point de vue des clients, des bailleurs de fonds, de l’institution, etc.) et des moyens dont disposent les évaluateurs. L’important est que les personnes en présence s’accordent sur l’objet de l’évaluation. L’auteur anticipe ainsi sur certaines questions qui seront débattues lors d’un séminaire de réflexion organisé par la plate-forme belge de Microfinance et la DGCD les 3 et 4 mars au Palais d’Egmont à Bruxelles à l’occasion de l’année 2005 proclamée «Année Internationale du Microcrédit» par les Nations Unies.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography