To see the other types of publications on this topic, follow the link: Forêt dense tropicale humide.

Journal articles on the topic 'Forêt dense tropicale humide'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 50 journal articles for your research on the topic 'Forêt dense tropicale humide.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Estève, Jean. "DESTRUCTION OF FOREST AREAS AS A RESULT OF LOGGING AND HARVESTING IN AFRICAN OR AMERICAN DENSE TROPICAL RAINFORESTS." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (2017): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31298.

Full text
Abstract:
Il est devenu habituel de lire dans les médias des articles accusant l’exploitation fores- tière d’être le moteur principal de la dispari- tion des forêts tropicales. Ce raccourci trom- peur est imputable à une méconnaissance des réalités forestières, d’une part, et à un amalgame entre l’exploitation forestière et le défrichement agricole, d’autre part. L’ob- jet de cet article rédigé par un praticien fami- lier du contexte forestier tropical était d’éva- luer l’impact de l’exploitation forestière sur les forêts denses tropicales humides, dans les deux continents africain et améri- cain. Par souci d’exactitude, les phases de l’exploitation ont été distinguées : installa- tion de la base vie, constitution du réseau routier de vidange des bois, réalisation des opérations d’exploitation proprement dites. Des scénarios ont été distingués en fonction de la richesse de la forêt, dont le volume ré- colté varie de 3 à 15 m3/ha. Ces estimations confirment que la destruction du couvert fo- restier demeure si faible qu’à l’exception de situations radicales l’exploitation forestière ne constitue pas une menace pour le main- tien durable des forêts tropicales. La mise en place des réseaux routiers et de pistes de débardage affecte de 4,5 à 5,5 % du couvert forestier. Les surfaces des trouées consé- cutives à l’abattage ne dépassent jamais 4 % du couvert, et restent inférieures à 2 % pour les forêts riches ou de richesse moyenne. L’exploitation forestière n’est donc direc- tement responsable que de la destruction de 5,5 à 8,5 % du couvert forestier. Dans le cas de forêts riches, des exploitations fores- tières successives peuvent certes atteindre 12 à 16 % du couvert forestier. Mais c’est alors sans compter sur la dynamique de reconstitution de la biomasse opérant natu- rellement entre deux séquences d’exploi- tation. En Asie du Sud-Est où l’exploitation est plus intensive en raison d’un potentiel commercial très élevé, la reconstitution du couvert est acquise en 20 ans. Si la valeur économique d’une forêt dense tropicale humide diminue avec l’exploitation, ses va- leurs biologique et écologique restent quant à elles sensiblement intactes.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Gourlet-Fleury, Sylvie. "Indices de compétition en forêt dense tropicale humide : étude de cas sur le dispositif sylvicole expérimental de Paracou (Guyane française)." Annales des Sciences Forestières 55, no. 6 (1998): 623–54. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19980601.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

HERVÉ, Dominique, Herizo RANDRIAMBANONA, Hibrahim Rijasoa RAVONJIMALALA, et al. "Perceptions des fragments forestiers par les habitants des forêts tropicales humides malgaches." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 345 (October 26, 2020): 45–64. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.345.a31929.

Full text
Abstract:
Malgré des mesures de protection, la forêt dense humide de l’Est malgache tend à se réduire à des fragments forestiers. Le processus de fragmentation n’est pas pris en compte dans les suivis de la déforestation par télédétection qui comparent le couvert forestier entre plusieurs dates ; la question est de savoir s’il est perçu par les populations riveraines au point de les mobiliser dans des actions de conservation ou de restauration. Des enquêtes ethnobotaniques sont menées dans deux communes contrastées de l’Est malgache, la commune de Ranomafana-Est au nord (région Antsiranana) à fragments forestiers et la commune d’Androy au sud (région Haute Matsiatra) à massif forestier, pour recueillir auprès des villageois leurs perceptions de la forêt, son évolution, sa fragmentation, sa biodiversité végétale et animale, ses ressources et les mesures de protection envisagées localement. Les différences de réponses entre les deux sites traduisent les différences de contextes et de niveaux de fragmentation ; elles sont marquées sur la perception des forêts résiduelles et leur dynamique passée, avec une hiérarchie spécifique des usages (la construction de l’habitation venant en premier), une attention particulière à la biodiversité animale et des propositions de conservation surtout issues des interventions d’ONG. Un prolongement serait nécessaire pour co-construire avec les habitants une vision de la fragmentation.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

DEMENOIS (Julien), GOURLET-FLEURY (Sylvie), FUHR (Marc), and JOURGET (Jean-Gaël). "Sylviculture en forêt tropicale humide guyanaise." Revue Forestière Française, sp (2003): 273. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5778.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Catinot, René, and Ilona Bossanyi. "Tropical silviculture in dense African forest (Part 5)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31614.

Full text
Abstract:
L’article présente la dernière partie de l’étude sur la sylviculture en forêt dense africaine. L’auteur y décrit une nouvelle méthode, appelée la méthode « Nouvelle croissance » que le Centre technique forestier tropical (CTFT, centre technique maintenant intégré au Cirad) a pu développer au Gabon depuis 1958. L'objectif est de donner le plus de lumière possible aux jeunes arbres plantés tout en maintenant une ambiance forestière acceptable par le soin et l'entretien des nouvelles espèces d'ombrage. Dans la conclusion, il compare les coûts et les rendements des différentes méthodes sylvicoles employées dans les forêts tropicales humides, et il fait le point sur la situation actuelle et les perspectives d’avenir.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Catinot, René, and Ilona Bossanyi. "Tropical silviculture in dense African forest (Part 4)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31613.

Full text
Abstract:
L’article présente la quatrième partie de l’étude sur la sylviculture en forêt dense africaine. Dans cet article, l’auteur compare les différentes méthodes employées dans les forêts tropicales humides à la lumière des résultats de recherche exposés dans le précédent article. Il conclut que, excepté pour les méthodes « Limba » et « Okoumé », le principal facteur limitant le succès des plantations semble être le manque de lumière arrivant jusqu’au niveau du sol. Sur la base de cette observation fondamentale et d’autres considérations techniques, il propose des changements aux méthodes conventionnelles, avec la perspective d’améliorer leurs chances de succès.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

BRUNAUX (Olivier) and DEMENOIS (Julien). "Aménagement forestier et exploitation en forêt tropicale humide guyanaise." Revue Forestière Française, sp (2003): 260. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5777.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Pedroni, Guido. "Notes écologiques sur Agrypnus fairmairei (Candèze, 1889) de Madagascar (Coleoptera: Elateridae)." Bollettino della Società Entomologica Italiana 152, no. 3 (2020): 107–10. http://dx.doi.org/10.4081/bollettinosei.2020.107.

Full text
Abstract:
Des notes écologiques sont présentées sur le Coléoptère Elateride Agrypnus fairmairei (Candèze, 1889), trouvé dans la forêt tropicale humide de ranomafana à Madagascar, dans le bois d’Eucalyptus sp. en décomposition plus ou moins avancée.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Erosion under Forest Cover and Erosion in Deforested Areas in the Humid Tropical Zone." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 103. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31259.

Full text
Abstract:
L’érosion par décapage ou par ravinement reste insignifiante sous la forêt dense tro- picale. Une érosion sérieuse peut certes se manifester localement sous couvert forestier, sous la forme de glissement de terrains saturés d’eau. De tels cas peuvent être observés à Madagascar, dans la forêt d’Anamalazoatra ou dans celle de Marojejy. Un cas connu d’érosion généralisée sous forêt dense se situe en Amazonie péruvienne, près de la petite localité de la Merced, sur des pentes très abruptes. Mais ce sont là des exceptions. Dans les temps géologiques, durant les périodes de transformations tectoniques, l’érosion peut aussi avoir été intense sous forêt dense, générant des reliefs tourmentés, parfois des « badlands ». Mais dans tous ces cas, l’érosion ne se produit sous forêt que lorsqu’il y a élé- vation du niveau de base des fleuves par rapport au niveau des océans, comme cela s’est manifesté durant les glacia- tions quaternaires. Là où la forêt manque aujourd’hui, se manifestent en revanche des phénomènes d’érosion parfois spec- taculaires. Ceux-ci peuvent prendre des proportions spectaculaires dans des régions autrefois forestières, récemment et sévèrement éclaircies. Les situations les plus extrêmes sont observées à Ma- dagascar, au Congo, au Gabon, au Brésil et dans la partie tempérée des USA, tout particulièrement dans le bassin cupri- fère du Tennessee. Ces exemples confir- ment pleinement la vertu antiérosive des forêts. Lorsque l’érosion est déclenchée, celle-ci ne peut être arrêtée qu’à grands frais, et dans des zones restreintes. La fo- rêt joue donc un rôle anti-érosif préventif à la fois naturel, peu coûteux, et opérant sur de larges étendues.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Charles-Dominique, Pierre, and Henri Puig. "Une nouvelle station de terrain en forêt tropicale humide de Guyane française." Bulletin de la Société Botanique de France. Actualités Botaniques 136, no. 3-4 (1989): 137. http://dx.doi.org/10.1080/01811789.1989.10826967.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

HEURET (Patrick), NICOLINI (Eric), EDELIN (Claude), and ROGGY (Jean-Chirstophe). "Approche architecturale pour l'étude des arbres de la forêt tropicale humide guyanaise." Revue Forestière Française, sp (2003): 158. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5769.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Catinot, René, and Ilona Bossanyi. "Tropicale silviculture in dense African forest (Part 1)." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31602.

Full text
Abstract:
Cet article représente la première partie d’une étude réalisée par l’auteur sur le développement des méthodes de la sylviculture appliquée aux forêts denses humides d’Afrique. L’étude compare les résultats obtenus par chaque méthode. Les articles suivants exposeront les aboutissements des recherches en foresterie menées ces dernières années, incluant une discussion à la lumière des résultats de ces recherches sur les méthodes utilisées au moment de la rédaction de l’article. L’auteur décrit aussi une nouvelle méthode rendant compte des expériences passées et de nouvelles idées. L’article apporte des éléments essentiels à l’heure où les gouvernements africains promeuvent des programmes de reforestation et de restauration forestière dans les forêts tropicales humides. Cela est désormais primordial en raison de l’augmentation et l’extension de l’exploitation forestière en Afrique, nécessaire pour stimuler les économies africaines, mais épuisant indéniablement le capital forestier.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Béreau, M., M. Gazel, and J. Garbaye. "Les symbioses mycorhiziennes des arbres de la forêt tropicale humide de Guyane française." Canadian Journal of Botany 75, no. 5 (1997): 711–16. http://dx.doi.org/10.1139/b97-080.

Full text
Abstract:
Roots of 75 tree species, belonging to 28 families, were sampled on different types of soil in the forest of French Guiana. Both seedlings and mature trees of each species were studied. The roots were first observed for ectomycorrhizas, then thinned and stained to observe and quantify endomycorrhizal associations. Ectomycorrhizas were found only on two genera: Coccoloba (Polygonaceae) and Neea (Nyctaginaceae). All the species studied had zygomycetous endomycorrhizas with hyphal coils and vesicles. It is remarkable that some families (Caesalpiniaceae, Myrtaceae, Tiliaceae, Euphorbiaceae, Lauraceae), considered as frequently ectomycorrhizal in other regions of the world, were not so in our sample. In addition, the results contradict the theory that ectomycorrhizal species are dominant in the poorest soils in tropical rainforests (tropical podzols). Key words: tropical rainforest, symbioses, mycorrhizas, French Guiana.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Karsenty, Alain. "Is sustainable logging possible in Africa’s dense forest?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 336 (September 6, 2018): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.336.a31615.

Full text
Abstract:
René Catinot, qui fut directeur des recherches forestières au CTFT (Centre Technique Forestier Tropical, qui deviendra le département Forêt du Cirad) et figure historique de la foresterie tropicale française, se posait cette question au début des années 1960. Dès leur arrivée en Afrique Tropicale, nous dit Catinot, « les Forestiers chargés de la gestion de la forêt dense ont cherché à la régénérer ». Les connaissances forestières de milieux tempérés sont insuffisantes face à des forêts qui comportent 200 à 300 espèces, mais qui contiennent nettement moins de bois qu’une forêt aménagée en zone tempérée. Un débat oppose alors les tenants d’une régénération naturelle à ceux de la régénération artificielle. Le problème de l’exploitation sélective tropicale, particulièrement en Afrique, est le faible taux de prélèvement qui limite l’arrivée de lumière au sol et empêche la germination nécessaire au renouvellement des espèces les plus appréciées commercialement, lesquelles sont souvent à tendance héliophile. Catinot est affirmatif « il ne faut pas compter sur la Nature seule pour la régénérer ». Les techniques sylvicoles s’emploient, dès lors, à favoriser ces espèces commerciales, soit en « stimulant la croissance des plants préexistants » (sylviculture utilisant la régénération naturelle), soit en « transplantant dans les forêts épuisées par l’exploitation des plants d’essences nobles préalablement produits en pépinière » (régénération artificielle). Le langage sur la « noblesse » des essences trahit les conceptions de l’époque. Le terme de « diversité biologique » n’apparaitra qu’en 1968 et il faudra encore quelques années pour comprendre que la biodiversité ne se limite pas à la somme des espèces, mais représente l'ensemble des interactions entre les êtres vivants. Que nous dit Catinot, qui exprime bien la pensée des forestiers tropicaux de l’époque ? La sylviculture utilisant la régénération naturelle, « c’est avant tout une destruction lente et prudente du couvert » en utilisant délianage, dégagement et empoisonnement des « espèces gênantes ». Quant à la régénération artificielle, « il faut bien détruire la forêt préexistante pour donner aux plants la lumière indispensable à leur croissance ». Ce langage serait inaudible aujourd’hui, à l’heure où l’on cherche à promouvoir « l’exploitation à faible impact » et où la certification Forest Stewardship Council « de bonne gestion forestière » (FSC) s’interroge sur la compatibilité de l’exploitation, même à faible impact, avec le maintien de « paysages forestiers intacts »...
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Pinta, François, and Philippe Girard. "Production d'énergie à partir de forêt tropicale humide : une étude de cas en Guyane française." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, no. 302 (2009): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20401.

Full text
Abstract:
L'un des verrous à la mise en oeuvre de projet de génération d'électricité à partir de la biomasse réside dans la bonne appréciation de la nature de la ressource et de sa disponibilité. Cet article s'inspire de travaux qui ont été réalisés en 2007 afin d'apprécier la faisabilité de la mise en place de centrales dendro-électriques de vingt mégawatts en Guyane française. L'analyse de la disponibilité en ressources de biomasse a été au coeur de l'étude. L'originalité de l'approche consiste à apprécier la capacité de la forêt à fournir de manière durable tout ou partie des volumes nécessaires et sans remettre en cause la gestion actuelle. Différentes ressources ont été étudiées dont la valorisation de bois issus de deux gisements : l'exploitation forestière pour la production de bois énergie et l'exploitation mixte de bois énergie en complément de l'exploitation de bois d'oeuvre. Des scénarios ont été étudiés pour la zone côtière où se concentre la majorité de la demande électrique. Les travaux ont montré une disponibilité importante permettant d'approvisionner des centrales électriques de cinq et dix mégawatts de capacité électrique. L'étude de préfaisabilité d'une centrale de cinq mégawatts électriques près du village de Régina a montré la faisabilité économique du projet utilisant du bois issu de l'exploitation mixte des forêts de production et du bois récupéré sur l'emprise des pistes forestières. Cependant, la validation des schémas prévisionnels d'exploitation durable de bois énergie en forêt naturelle aménagée exige des recherches spécifiques complémentaires. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Trichon, V. "Hétérogénéité spatiale d'une forêt tropicale humide de Sumatra : effet de la topographie sur la structure floristique." Annales des Sciences Forestières 54, no. 5 (1997): 431–46. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19970502.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

César, Jean, Jérémy Bouyer, Laurent Granjon, Massouroudini Akoudjin, Laure Guerrini, and Dominique Louppe. "Les relictes forestières de la falaise de Banfora : un peuplement original au voisinage de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 305, no. 305 (2010): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.305.a20437.

Full text
Abstract:
La falaise de Banfora est d'une grande richesse floristique et faunique. Ses forêts renferment des espèces endémiques mais aussi des espèces remarquables telles que Albiziadinklagei, Acridocarpus chevalieri ou Warneckea fascicularis qui ne se retrouvent nulle part ailleurs au Burkina Faso. C'est aussi le cas de certaines espèces d'insectes telles que Dicronorhina kouensis ou Stephanorhina guttata. Toutefois, ces forêts sont menacées, particulièrement autour de Bobo-Dioulasso où la faune d'origine a déjà partiellement disparu. Les sites de la falaise sont comparés entre eux ainsi qu'avec d'autres forêts de la région de Bobo-Dioulasso. Une très grande diversité biologique s'observe d'une forêt à l'autre. La dispersion des espèces suggère que ces forêts résulteraient de masses forestières plus vastes dont elles seraient les relictes. La végétation forestière des falaises aurait trois origines : la forêt dense sèche, caractérisée par Guibourtia copallifera, qui pourrait représenter le fond forestier originel avant l'invasion de la flore des savanes ; la forêt dense humide, représentée par la majorité des espèces ripicoles, qui serait issue de la masse forestière humide en suivant le réseau hydrographique ; un fond de flore montagnarde inféodé aux falaises gréseuses, dont l'unique représentant serait Warneckea fascicularis, auquel il serait possible de rattacher les espèces de rochers. La communauté de rongeurs des sites forestiers de la falaise de Banfora est un mélange d'espèces typiquement forestières (en particulier Praomys rostratus) dans les zones les moins perturbées et d'espèces très anthropophiles (comme Rattus rattus) sur les sites les plus dégradés par l'action humaine. La plupart des espèces d'insectes ont probablement pour origine la forêt humide de Côte d'Ivoire, avec des influences maliennes, comme Coeliades aeschylus, ou togolaises, comme Dicronorhina kouensis, espèces qui se rencontrent surtout en zone de savane guinéenne, à proximité des forêts galeries. Ces espèces n'étant pas observées au Sud, ni respectivement à l'Est et à l'Ouest du Burkina Faso, la falaise de Banfora pourrait constituer un point de rencontre entre différentes faunes, ce qui en fait toute la richesse. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
18

Weaver, Peter L. "Changements à long terme de structure et de composition d'une forêt primaire humide de basse montagne suite au passage d'ouragans a Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, no. 317 (2013): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20525.

Full text
Abstract:
Dacryodes excelsa, espèce arborée connue sous les noms de tabonuco à Puerto Rico et de gommier aux Petites Antilles, domine les sommets de la forêt tropicale humide de basse montagne (selon Beard) de l'archipel des Caraïbes ; où périodiquement les ouragans passent à travers les îles modifiant la structure des massifs forestiers, leur composition en essences et leur dynamique. Au nord-est de Puerto Rico, l'étude chronologique post-ouragans menée entre 1946 et 2010 a permis de suivre les modifications de la végétation sur une parcelle de 0,40 hectare à 380 metres d'altitude dans la forêt expérimentale de Luquillo. Celle-ci a montré : (1) la défoliation, la casse et les chablis provoqués par le vent induisant une mortalité immédiate entraînent une déstructuration de forêt en perte du nombre de tiges, de hauteur des arbres et de biomasse ; (2) la mortalité différée de d'autres arbres blessés s'accompagne d'un rapide et abondant recrutement de Cecropia schreberiana et d'espèces cicatricielles, augmentant le nombre de tiges dans la forêt ; (3) une accélération de la croissance en diamètre et l'accumulation de la biomasse pendant une vingtaine d'années après l'ouragan, suivie du déclin de leur ratio ; (4) un très fort taux de survie après l'ouragan et une augmentation de la vitesse de croissance en diamètre de Dacryodes excelsa ; (5) toujours suite à l'ouragan, une augmentation de la richesse en espèces pendant une période de 20 ans au cours de laquelle les espèces primaires et secondaires grandissent ensemble, suivie dune chute d'abondance liée la concurrence ; (6) enfin, des conditions d'évolution asymptotiques aussi bien pour les tiges et la biomasse que pour le nombre d'espèces, après plus de 40 ans. En outre, d'autres études connexes menées dans des types de forêts semblables ont montré que les ouragans et les coupes intensives induisent des réactions de croissance comparables. Cette étude s'avère être d'intérêt régional puisque la forêt humide de basse montagne de Puerto Rico partage des conditions environnementales semblables ainsi que les mêmes essences forestières avec les montagnes des Antilles.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
19

Baret, Stéphane, Thomas Le Bourgeois, and Dominique Strasberg. "Comment Rubus alceifolius, une espèce exotique envahissante, pourrait-elle progressivement coloniser la totalité d'une forêt tropicale humide ?" Canadian Journal of Botany 83, no. 2 (2005): 219–26. http://dx.doi.org/10.1139/b04-169.

Full text
Abstract:
Few quantitative studies confirm or refute actual theories on the capacity of exotic species to invade and colonize new environments. To evaluate these theories, we tested some biological traits of an invasive bramble (Rubus alceifolius Poiret), known for the importance of its sexual reproduction on lowlands, at La Réunion (Indian Ocean). We studied R. alceifolius seed distribution in one of the last tropical lowland rainforests of the island. Seed count was greater under R. alceifolius patches (> 10 000 seed/m2) than in understoreys not colonized by the bramble (approximately 3000 seed/m2). In R. alceifolius patches, localized within gaps, our results showed that seed-rain and seed-bank before and after the fruit period decreased significantly from the center to the edge of the gap. This pattern was certainly due to the variation in luminosity, which decreased from the center of the gap to the edge. We conclude that seed dispersal of this species within the forest is mainly via running water. A number of seeds (10%–20%) were able to wait for a new opening in which to germinate. A small proportion of these seeds remained viable in the soil for many years. Monospecific R. alceifolius patches can be considered nurseries and are the main source for colonization of new areas within the forest. Our quantitative results confirm that copious sexual reproduction, a large soil seedbank, and a high germination rate are biological traits that greatly contribute to the invasiveness of this plant. They also provide important information for forestry services establishing adapted control plans.Key words: seedbank, dissemination, introduced plant, biological invasion, life history traits, viability.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
20

LABBÉ, P., and Sylvie MELONI. "Impact du cyclone Hugo sur les peuplements de forêt dense humide à la Guadeloupe." Revue Forestière Française, no. 1 (1993): 27. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26391.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
21

Ringuet, Stéphane, Olivier Claessens, Jean-François Cosson, Jean-Christophe de Massary, Laurent Granjon, and Jean-Marc Pons. "Fragmentation de l'habitat et diversité des petits vertébrés en forêt tropicale humide : l'exemple du barrage de Petit Saut." Journal d'agriculture traditionnelle et de botanique appliquée 40, no. 1 (1998): 11–30. http://dx.doi.org/10.3406/jatba.1998.3659.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
22

Missa, Koffi, Fofana Seguena, Dramane Soro, and Adama Bakayoko. "Caractéristique structurale des zones marécageuses de la forêt de la Tanoé-Ehy (Sud-Est de la Côte d’Ivoire)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 8 (2020): 2893–902. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i8.19.

Full text
Abstract:
Cette étude vise à dégager les différents états de dégradation de la végétation au sein de la forêt marécageuse de la Tanoe-Ehy, à travers 4 relevés linéaires de 100 mètres de long. L’analyse de ces relevés a montré qu’au niveau des types biologiques, l’espèce Combretum racemosum P. Beauv. (Combretaceae) représente l’essentielle des espèces lianescentes. Dans cette forêt, parmi les espèces qui contribuent fortement à la formation de la végétation, il y a la présence des espèces vulnérables de l’UICN. Concernant les recouvrements, les strates basses sont faiblement occupées. Cependant, la végétation est dense dans les strates moyennes. Ces recouvrements ont montré que la dégradation de la structure des milieux est une conséquence de l’exploitation villageoise. Par ailleurs, cette forêt marécageuse présente des recouvrements particuliers qui n’ont jamais été observés en forêt dense humide de Côte d’Ivoire.Mots clés : Structure, végétation, forêt, marécageuse, types biologiques, recouvrements.
 Englsih Title: Structural Characteristic of the marshy areas of the Tanoé-Ehy forest (Southeastern Côte d'Ivoire)
 This study aims to identify the different state of vegetation degradation within the Tanoe-Ehy swamp forest, through 4 linear surveys 100 meters long. Analysis of these surveys showed that at the level of biological types, the species Combretum racemosum P. Beauv. (Combretaceae) is the essential of lianescent species. In this forest, among the species that contribute heavily to vegetation formation, there is the presence of vulnerable IUCN species. For overlays, the lower strata are poorly occupied. However, vegetation is dense in the middle strata. These recoveries have shown that the degradation of the structure of the environments is a consequence of village exploitation. In addition, this swamp forest has special overlays that have never been seen in the dense rainforest of Côte d'Ivoire.
 Keywords: Structure, vegetation, forest, swampy, biological types, recoveries.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
23

Prugnolle, Franck, Alain Rousteau, and Monique Belin-Depoux. "Occupation spatiale deCyathea muricataWilld. (Cyatheaceae) en forêt dense humide guadeloupéenne. I-À l'échelle de l'individu." Acta Botanica Gallica 147, no. 4 (2000): 361–74. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2000.10515867.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
24

Puig, Henri, André Fabre, and Thierry Gauquelin. "Distribution spatiale des plantules et des jeunes plants d'Iryanthera hostmannii (Benth.) Warb, en forêt tropicale humide de Guyane française." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series III - Sciences de la Vie 321, no. 5 (1998): 429–35. http://dx.doi.org/10.1016/s0764-4469(98)80308-9.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
25

Bourbier, Lucas, Guillaume Cornu, Alexandre Pennec, Christine Brognoli, and Valéry Gond. "Estimation à grande échelle de l'ouverture du couvert forestier en Afrique centrale à l'aide de données de télédétection." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 315, no. 315 (2013): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.315.a20537.

Full text
Abstract:
Les activités humaines en forêt humide tropicale sont à l'origine de perturbations et de dégradations du fait de leur mitage du couvert forestier. Des capacités permettant de mesurer l'étendue des dégâts sont indispensables au calcul des émissions de carbone dans le cadre des programmes Redd+ (Réduction des émissions dues à la déforestation et la dégradation des forêts). La télédétection est un outil puissant pour le recueil de ce type d'information (concernant, par exemple, l'exploitation forestière ou minière ou les projets d'infrastructure). Différentes techniques sont mises en ¿uvre pour identifier et quantifier l'ouverture du couvert forestier. Il s'agit ici de les compléter en comparant l'ouverture passée et actuelle du couvert forestier afin de documenter le renouvellement des écosystèmes suite aux opérations d'exploitation forestière. Cet article présente une approche mettant en ¿uvre une chaîne de traitement semi-automatisée adaptée à l'imagerie Landsat. En post-traitement, l'information portant sur l'ouverture de la canopée est extraite à l'aide d'algorithmes spécifiques. Un index spatial, calibré sur des données radiométriques à basse résolution, indique les taux d'ouverture passés et actuels. Ce procédé fournit des estimations de la dégradation forestière permettant de décrire les données de télédétection à basse résolution (issues de Modis, par exemple) utilisées pour la cartographie terrestre. Ces estimations sont alors croisées avec des cartes de couverture terrestre afin de distinguer des catégories forestières actuelles. Cet outil a été développé dans le cadre du projet CoForChange, dont l'objectif global est de prévoir l'évolution du couvert forestier et de la distribution des essences dans le Bassin du Congo liée aux changements globaux, et de développer des outils d'aide à la décision. Cet article présente un exemple en grandeur et en temps réels, situé dans la forêt humide aux frontières de la République centrafriquaine, de la République du Congo et du Cameroun, analysé année par année à l'aide de trente années d'archives Landsat.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
26

Gilarowski, Jerzy. "Végétation ancienne et actuelle en Afrique Centrale – changement anthropique de l'étendue de la forêt dense humide." Miscellanea Geographica 6, no. 1 (1994): 181–84. http://dx.doi.org/10.2478/mgrsd-1994-060128.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
27

Prugnolle, Franck, Alain Rousteau, and Monique Belin-Depoux. "Occupation spatiale deCyathea muricataWilld. (Cyatheaceae) en forêt dense humide guadeloupéenne. II—À l'échelle de la population." Acta Botanica Gallica 148, no. 2 (2001): 81–91. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2001.10515876.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
28

Goodman, Steven M., and Thomas S. Schulenberg. "The rediscovery of the Red-tailed Newtonia Newtonia fanovanae in south-eastern Madagascar with notes on the natural history of the genus Newtonia." Bird Conservation International 1, no. 1 (1991): 33–45. http://dx.doi.org/10.1017/s0959270900000526.

Full text
Abstract:
SummaryThe Red-tailed Newtonia Newtonia fanovanae, previously known from a single specimen from the eastern rainforest of central Madagascar, was rediscovered in October 1989 in the Marosohy Forest in the south-east of the island. In the study area, N. fanovanae occurs in the middle and upper section of the canopy of humid forest between 300 and 1,300 m. Ecological relationships with the other two sympatric Newtonia, amphichroa and brunneicauda, are discussed. The main morphological differences between fanovanae and the other two sympatric species are that the former has relatively long wings and short tarsi. The song of fanovanae is described and compared to other members of the genus. Our observations on the morphology, behaviour and vocalisations of N. fanovanae confirm its validity as a species.Le Newtonie à queue rouge Newtonia fanovanae jusqu'à presént uniquement connu d'un seul spécimen provenant de la partie orientale de la forêt tropicale du Madagascar central, fût redécouvert en octobre 1989 dans la forêt de Marosohy au sud-est de l'île. N. fanovanae fût rencontré dans les parties moyennes et supérieures du feuillage de la forêt humide entre 300 et 1,300 m d'altitude. Les relations écologiques avec les deux espèces sympatriques de Newtonia, amphichroa et brunneicauda sont discutées. Les différences morphologiques principales entre fanovanae et les deux espéces sympatriques sont que celle-ci a des ailes relativement longues et des tarses courts. Le chant de fanovanae est decrit et comparé avec celui d'autres membres du genre. Nos observations sur la morphologie, le comportement et les vocalizations de N. fanovanae confirment sa validité comme bonne espéce.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
29

Tonleu, Jean, Kadiri Serge Bobo, Ducelier Wamba Djoumessi, et al. "Prédation des nids de deux espèces de bulbuls (Pycnonotidae) dans un écosystème de forêt tropicale humide à Korup, Sud-Ouest Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 12, no. 5 (2019): 2328. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v12i5.32.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
30

Gilarowski, Jerzy. "Essai de reconstitution de l'étendue de la forêt dense humide en Afrique Occidentale d'avant la période agricole." Miscellanea Geographica 5, no. 1 (1992): 95–98. http://dx.doi.org/10.2478/mgrsd-1992-050114.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
31

Owona Ndongo, Pierre André, Régis Peltier, Ibrahim Linjouom, et al. "Plantations de bois d'oeuvre en zone équatoriale africaine : cas de l'arboretum de l'Enef de Mbalmayo au sud du Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (2009): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20421.

Full text
Abstract:
Aux abords de l'École forestière de Mbalmayo au Cameroun, un arboretum a été installé à partir de 1956. Il a été suivi et protégé par plusieurs générations d'enseignants avec l'appui de diverses agences de coopération. À l'occasion du cinquantième anniversaire de sa création, une étude y a été menée sur quinze parcelles afin de mesurer leurs principaux paramètres dendrométriques et de pouvoir estimer leur productivité en bois d'oeuvre. Les peuplements de bété, Mansonia altissima, de framiré, Terminalia ivorensis, et de wengé, Milletia laurentii, présentent une bonne production ligneuse qui augure de belles perspectives pour le reboisement. Les parcelles, au départ monospécifiques, abritent à présent une régénération naturelle variée d'espèces ligneuses et herbacées. Ces résultats permettent de justifier une reprise des plantations de bois d'oeuvre en zone de forêt dense humide d'Afrique centrale. Les grandes plantations industrielles, qui ne sont plus aujourd'hui prioritaires, cèdent utilement la place à de petites plantations individuelles ou à des boisements collectifs ou communaux plus étendus. Le Programme sectoriel Forêt et Environnement financé par un mécanisme de remise de la dette doit y contribuer. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
32

DUCREY, M., and P. LABBÉ. "Etude de la régénération naturelle contrôlée en forêt tropicale humide de Guadeloupe I. - Revue bibliographique, milieu naturel et élaboration d'un protocole expérimental." Annales des Sciences Forestières 42, no. 3 (1985): 297–322. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19850304.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
33

DUCREY, M., and P. LABBÉ. "Etude de la régénération naturelle contrôlée en forêt tropicale humide de Guadeloupe. II - Installation et croissance des semis après les coupes d'ensemencement." Annales des Sciences Forestières 43, no. 3 (1986): 299–326. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19860302.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
34

Blanchard, Elodie, Philippe Birnbaum, Christophe Proisy, et al. "Prédire la structure des forêts tropicales humides calédoniennes: analyse texturale de la canopée sur des images Pléiades." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 209 (January 29, 2015): 141–47. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2015.226.

Full text
Abstract:
Cartographier et classifier les forêts denses humides (FDH) selon une typologie structurale objective est un enjeu majeur pour leur conservation et leur gestion. Les principales contraintes dans l'étude des FTH sont dues à leur forte hétérogénéité et à leur faible accessibilité. Les images satellites Pléiades offrent de nouvelles opportunités pour l'étude, à large échelle, de l'organisation structurale de ces forêts. Dans cet article nous avons évalué à travers une étude de cas en Nouvelle-Calédonie leur potentiel pour construire une typologie des FDH à partir d'une analyse de texture de la canopée. La méthode FOTO (FOurier-based Textural Ordination) a été appliquée à des images à très haute résolution spatiale pour produire des indices de texture de la canopée. Les résultats ont montré que cette méthode était prometteuse pour, d'une part isoler la FDH des autres formations végétales, et d'autre part mettre en évidence leur diversité structurale à large échelle. .
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
35

Gond, Valéry, and Stéphane Guitet. "Elaboration d'un diagnostic post-exploitation par télédétection spatiale pour la gestion des forêts de Guyane." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 299, no. 299 (2009): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.299.a20423.

Full text
Abstract:
Cette étude s'inscrit dans le cadre du suivi de l'exploitation forestière à faible impact en forêt tropicale humide. L'importance des dégâts liés à l'exploitation forestière conditionne fortement la durabilité de cette activité et un contrôle efficace de la qualité des travaux forestiers s'impose donc au gestionnaire. Dans cette étude, l'imagerie satellitaire aide à suivre la progression des chantiers d'exploitation et à estimer les dégâts, par l'acquisition d'images en cours et en fin d'exploitation des parcelles. L'analyse d'images à haute résolution (10 m) permet de bien identifier les trouées d'abattage et certaines pistes de débusquage. Ainsi, on a une évaluation de l'ouverture de la canopée. Plusieurs parcelles ont été étudiées en Guyane française. Pour chacune d'entre elles, un diagnostic simple a été mis en place pour évaluer l'intensité d'exploitation, relever les pistes créées et les pertes de bois. L'outil satellite permet alors de mieux considérer la qualité de l'exploitation et d'en tirer les conséquences vis-à-vis de l'exploitant. Cette étude a permis de démontrer l'utilité de la télédétection pour identifier les concentrations de dégâts après exploitation forestière. Une validation de l'outil a été menée grâce à une base de données de suivi d'exploitation et par des missions de terrain. Cet outil de contrôle postexploitation peut désormais s'automatiser de façon à le rendre totalement opérationnel pour le gestionnaire forestier. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
36

Chevalier, Jean-François, and Alexandra Pasquier. "Après dix années de gestion, déroulement et enseignements issus de la révision d'un plan d'aménagement forestier en République Centrafricaine." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 310, no. 310 (2011): 25. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.310.a20456.

Full text
Abstract:
La concession forestière de Ngotto, permis d'exploitation et d'aménagement (Pea 169), en République centrafricaine a fait l'objet d'un des premiers plans d'aménagement de forêt dense humide africaine, en 1997. Il s'agissait alors de mettre en application les premiers résultats de la recherche sur ces écosystèmes complexes, tout en s'appuyant sur de nouveaux outils tels que la cartographie numérique. Ce plan d'aménagement a été mis en ¿uvre dans ses grandes lignes pendant dix années ; des désaccords récurrents sont apparus entre le gestionnaire de la forêt (une composante du projet Ecofac) et l'entreprise Ifb, titulaire exploitant le permis, conduisant progressivement à la remise en cause du scénario d'aménagement par cette dernière. La révision du plan a démarré en 2006, en vue de remettre en adéquation " production durable " et " rentabilité ". La révision en profondeur du scénario d'aménagement a exigé plus d'un an et demi d'étude. Cet exercice nouveau en République centrafricaine s'est appuyé sur un processus aux nombreuses étapes mettant en oeuvre des outils modernes de traitement de l'information, adaptés au cadre institutionnel. L'accent a été mis sur les avancées techniques obtenues depuis 2000 ainsi que sur la concertation avec la société d'exploitation afin d'obtenir une adhésion complète à ce processus. Cette étude riche d'enseignements méthodologiques a été l'occasion de mener une analyse constructive sur les divers motifs de révision se multipliant probablement dans l'avenir. (Résumé d'auteur)
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
37

Liboum, Mbonayem, and K. S. Bobo. "Analyse de l’effet de la concurrence végétale sur la croissance du Moabi en forêt dense tropicale perturbée de l’Est – Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 11, no. 6 (2018): 2671. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v11i6.10.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
38

Bariteau, M. "Régénération naturelle de la forêt tropicale humide de Guyane : étude de la répartition spatiale de Qualea rosea Aublet, Eperua falcata Aublet et Symphonia globulifera Linnaeus f." Annales des Sciences Forestières 49, no. 4 (1992): 359–82. http://dx.doi.org/10.1051/forest:19920405.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
39

Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "In Search of the Forest in Côte D’ivoire, parts 1 & 2." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 71. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31247.

Full text
Abstract:
Jusqu’à 1935, on pouvait encore voir en Côte d’Ivoire des forêts intactes le long des routes. Depuis, avec l’extension démesu- rée de la culture du café et du riz pluvial, le défrichement s’emballe. L’agriculteur fuyant les agoutis et le parasitisme fami- lial défriche dans des forêts éloignées. En 1957, il faut aller à sa recherche pour aper- cevoir la forêt primaire. L’ouverture d’une route la condamne en une décennie, et l’exploitation forestière ne passe qu’une fois. Avec la disparition des forêts denses humides africaines, les régions soudano- sahéliennes subiront une saison sèche plus longue. En outre, il importe d’établir des cartes d’aires de présence avant la disparition des forêts primaires. L’étude ici présentée vise à classifier la végétation fo- restière ivoirienne et repose sur le parcours de 12 transects en forêt dense humide. L’approche phytosociologique est en effet trop imparfaite pour analyser cette végéta- tion. Deux ensembles caractérisés par des groupes botaniques spécifiques ont été distingués : les « forêts denses semi-déci- dues humides à malvacées et ulmacées », et les « forêts denses humides à légumi- neuses sempervirentes ». Les espèces à grand pouvoir de dispersion, abondantes dans les brousses secondaires, notam- ment des genres Triplochiton ou Termina- lia, échappent cependant à cette classifi- cation. Les ruptures d’aires de présence chez certaines espèces tiennent ainsi à la dispersion des semences, mais aussi à la paléohistoire floristique et climatique. De même, la notion d’aire écologique ne peut s’appliquer pour les espèces rares ou pour les zones d’endémisme local. L’étude évoque également plusieurs espèces inva- sives indigènes, comme Scaphopetalum amoemum et Chidlowia sanguinea, dont le développement bloque la régénération forestière. Elle traite enfin de l’inclusion de savanes dans des forêts humides, dont l’origine est toujours édaphique et non pas anthropique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
40

Morin-Rivat, Julie. "Des arbres et des hommes : nouvelles perspectives sur les relations entre l’Homme et son environnement dans les forêts humides d’Afrique centrale à l’Holocène récent." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 335 (March 15, 2018): 73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.335.a31501.

Full text
Abstract:
Traditionnellement, les études paléoécologiques menées en Afrique centrale ont documenté l’évolution de la végétation, en particulier le rôle du climat dans le façonnage des paysages forestiers tropicaux. Ces études restent néanmoins peu nombreuses, en raison des conditions d’accès au terrain et de la grande diversité en matière d’espèces végétales. En outre, la relation entre l’homme et son environnement y demeure un champ d’investigation relativement récent. Conduite dans une optique pluridisciplinaire, entre archéologie et écologie, cette thèse s’intéresse aux activités humaines passées dans le nord du bassin du Congo et à leur impact sur les forêts telles que nous les voyons aujourd’hui. L’analyse du cadre spatio-temporel des activités anthropiques dans l’Intervalle de la Sangha montre l’ampleur du manque de connaissances sur cette présence humaine. Elle souligne également l’absence d’occupations humaines entre ~1300 et 600 BP dans la zone d’étude. Une méthodologie est donc proposée pour combler ces lacunes, basée sur l’acquisition et l’analyse statistique des restes botaniques carbonisés trouvés dans les sols. Les résultats montrent une opposition spatiale entre espaces domestiques et agricoles. La combinaison d’endocarpes de palmier à huile carbonisés et de tessons de céramique indiquerait la présence de villages, tandis que la présence de charbons de bois supposerait davantage l’existence de champs. Par ailleurs, le rassemblement et l’analyse d’importants jeux de données (i. e. paléoécologiques, archéologiques, historiques et dendrologiques), centrés sur l’Intervalle de la Sangha et couvrant le dernier millénaire, soulignent l’effet des changements d’usage des terres sur la régénération de quatre populations d’arbres héliophiles actuellement exploités pour leur bois (Erythrophleum suaveolens, Pericopsis elata, Terminalia superba et Triplochiton scleroxylon). Les résultats mettent particulièrement en exergue le rôle de la colonisation européenne à partir de la deuxième moitié du 19e siècle dans ces changements, et le déficit de régénération de ces populations d’héliophiles depuis cette période. Ainsi, ce travail souligne l’importance de la chronologie, de l’identification des activités humaines passées au sein des forêts denses humides et de l’impact de l’histoire humaine récente sur les paysages forestiers d’Afrique centrale. Enfin, nous identifions plusieurs lacunes et proposons des pistes de recherche, notamment en direction des gestionnaires forestiers.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
41

Njutapvoui, Nourdi, RUDANT Jean Paul, and ONGUENE RAPHAEL. "EVALUATION DU POTENTIEL DES SERIES D’IMAGES MULTI-TEMPORELLES OPTIQUE ET RADAR DES SATELLITES SENTINEL 1 & 2 POUR LE SUIVI D’UNE ZONE CÔTIÈRE EN CONTEXTE TROPICAL : CAS DE L’ESTUAIRE DU CAMEROUN POUR LA PÉRIODE 2015-2020." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 223 (August 25, 2021): 88–103. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2021.586.

Full text
Abstract:
Ce travail porte sur l’évaluation du potentiel des images multi-temporelles et multi-capteurs (optique et radar) des satellites Sentinel 1 et 2 pour la cartographie de l’occupation du sol et le suivi de l’évolution du trait de côte dans un écosystème tropical sur la période 2015 à 2020. La zone d’étude choisie est l’Estuaire du Cameroun. Cette zone représente un milieu de transition écologique majeur dans la sous-région avec la présence de réserves naturelles protégées (mangroves, forêt dense, zones humides) mais aussi une forte activité anthropique (constructions, agriculture, forêt dégradée). L’approche méthodologique a consisté en une chaine de prétraitements et d’analyses visuelles d’images, suivie d’une combinaison des bandes de chaque capteur, d’une classification supervisée Random Forest pour ébaucher une cartographie de l’occupation du sol et enfin une numérisation du trait de côte. Globalement, les résultats montrent que la classification, avec les images Sentinel 2 en utilisant 10 bandes et en ajoutant 4 indices de végétation, s’avère légèrement plus précise (95.75%) que celle issue des 13 bandes initiales (91.78%). La classification avec les seules images Sentinel 1A double polarisation (VV, VH) conduit à une précision de 78.44%. La combinaison des bandes Sentinel 2A (10 bandes et 4 indices) et Sentinel 1 améliore les résultats et conduit à une précision de 98.76%. Nos résultats montrent aussi que l’utilisation des séries chronologiques d’images multi-temporelles améliore considérablement la précision de classification par rapport à l’usage d’une seule image (mono-date), et cela pour les deux capteurs, soit un gain supplémentaire de 13% et 10% respectivement pour Sentinel-2 et Sentinel-1. Néanmoins ce gain reste faible pour les classes temporellement stables. Les résultats d’analyse de l’évolution du trait de côte montrent que l’estuaire du Cameroun est perturbé selon différents niveaux d’érosion (Cap Cameroun, Partie Nord île Manoka, embouchure de la Sanaga), et d’accrétion (Limbé, et Partie Sud île Manoka) et aussi par de faible variations internes. La fusion des données de télédétection optique et radar dans la discrimination des classes d’occupation du sol, a permis de montrer que les zones de constructions sont les plus vulnérables à l’érosion côtière. Par contre, la présence de la végétation (mangrove, forêt) stabilise et protège la côte d’éventuels risques de cette nature.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
42

Habonayo, Richard, Akomian Fortuné Azihou, Gbèwonmèdéa Hospice Dassou, François Havyarimana, Aristide Cossi Adomou, and Bernadette Habonimana. "Expansion de la liane envahissante Sericostachys scandens Gilg & Lopr. (Amaranthaceae) en forêt dense humide de montagne: déterminants écologiques et effets sur les plantes herbacées." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 1 (2019): 18. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i1.3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
43

Bengono, Gael Bibang, Alain Souza, Félicien Tosso, Robin Doucet, Aurore Richel, and Jean-Louis Doucet. "Les Dialium de la région guinéo-congolaise (synthèse bibliographique)." BASE, no. 3 (2021): 172–91. http://dx.doi.org/10.25518/1780-4507.19114.

Full text
Abstract:
Introduction. Le présent travail dresse une synthèse des connaissances sur le genre Dialium (Fabaceae, Dialioideae) dans la région guinéo-congolaise. Il examine plus particulièrement la possibilité de valoriser durablement le bois de ces espèces et les coproduits de leur transformation en vue de diminuer la pression sur d’autres espèces de bois durs dont les populations se raréfient. Littérature. Bien qu’il n’existe pas de consensus parmi les botanistes, le genre Dialium comprendrait 44 espèces, dont 22 espèces seraient inféodées à la région guinéo-congolaise. Les différences entre espèces sont parfois ténues et les descriptions reposent sur un nombre limité d’individus. Les espèces vivant en forêt dense humide ont des structures de populations équilibrées. À part leur mode de dispersion, lequel est zoochore, les connaissances écologiques sont très lacunaires. L’absence de données sur la dynamique des populations est particulièrement problématique dans le cadre de l’aménagement durable des forêts. Les propriétés physiques, mécaniques et biochimiques du bois ont seulement été caractérisées pour un nombre limité d’espèces. Conclusions. Cet article, en proposant une clé de détermination des espèces de la région guinéo-congolaise, a tenté de clarifier la taxonomie du genre Dialium tout en soulevant la nécessité de mener des études génétiques complémentaires. En Afrique centrale, certaines espèces du genre Dialium sont localement abondantes et semblent se régénérer correctement. Elles offrent de nombreuses perspectives de valorisation car leur bois est très durable et pourrait renfermer des molécules intéressantes. Les recherches à venir devraient se concentrer en priorité sur la dynamique démographique de ces espèces et sur les propriétés de leur bois.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
44

Forestier, Hubert, Heng Sophady, and Vincenzo Celiberti. "Le techno-complexe hoabinhien en Asie du Sud-est continentale : L’histoire d’un galet qui cache la forêt." Journal of Lithic Studies 4, no. 2 (2017): 305–49. http://dx.doi.org/10.2218/jls.v4i2.2545.

Full text
Abstract:
La préhistoire du Sud-est asiatique se caractérise par un matériel lithique dont les chaînes opératoires restent encore peu connues ou mal décrites. Cette méconnaissance s’explique par l’éloignement géographique de ces régions tropicales vis à vis des problématiques préhistoriques occidentales développées depuis maintenant deux siècles. La préhistoire de l’Extrême-Orient est complexe, originale, surprenante parfois paradoxale car en marge des grandes lignées techniques connues ailleurs pour la période concernée, celle qui a vu l’avènement de l’Homme anatomiquement moderne. Cette préhistoire régionale d’environ 2 millions de km2 que l’on nomme l’Asie du Sud-est péninsulaire ou continentale renvoie à l’élaboration d’une science en mouvement dont la construction est toujours d’actualité. En se heurtant à la thèse classique de l’évolution comme à celle du progrès technique, le Hoabinhien bouscule les règles et les repères en préhistoire. Il se situe aux antipodes du modèle classique (Eurasiatique, Africain) de développement des outils de pierre selon l’enrichissement et l’allègement progressif de l’outillage depuis la pebble culture jusqu’au Néolithique. C’est précisément sur cette singularité que porte notre réflexion à propos d’un phénomène technique unique qui reste difficile à positionner sur l’axe évolutif des industries tel qu’il existe ailleurs dans le monde ou en Asie de l’Est (Chine, Corée, Japon). La régularité et l’homogénéité des formes d’outils façonnées sur galet dans un vaste espace et sur une durée record de près de 30 000 ans sont les caractéristiques principales de ce technocomplexe peu orthodoxe qui interroge la capacité cognitive d’Homo sapiens en écosystème tropical humide. Mais aussi, la question de la nature des liens existants entre l’homme et ses productions lithiques ou la place occupée par la technique de la pierre taillée lors du développement humain dans cette région hors d’Europe.A cette monotone pérennité d’outils sur galet se greffe l’absence d’outils lithiques pointus (pointe, extrémité apicale, outil à bords saillants convergents, etc.) tels qu’ils se rencontrent partout ailleurs chez les groupes de chasseurs-cueilleurs qu’ils soient du Paléolithique supérieur ou (sub-)actuels.C’est pourquoi la stabilité de ces outillages sur galet cacherait tout un pan de complexité inconnu du domaine technique comme l’insaisissable travail des matières dures d’origine animale mais surtout végétale non conservées à ce jour dans les niveaux archéologiques. Le cheminement du minéral vers la question du végétal renvoie à la nécessité de compléter la « boîte à outils » des artisans préhistoriques hoabinhiens par des objets pointus. Connue à ce jour qu’à travers les données de l’ethnographie, la « civilisation du végétal » conduit tout naturellement à réfléchir sur l’importance de ce matériau périssable dans le bagage outillé des derniers chasseurs-cueilleurs de la forêt tropicale d’Asie du Sud-est continentale. Autrement dit, la possibilité d’une autre existence technique en équilibre avec le milieu extérieur.Après avoir mis en avant l’originalité du phénomène culturel hoabinhien au regard de l’impact de la recherche en préhistoire et en paléoanthropologie dans les régions du Sud-est asiatique, cet article présentera d’un point de vue strictement qualitatif, les chaînes opératoires du techno-complexe hoabinhien. Faciès industriel sur galet qui caractérise la principale culture technique des chasseurs-cueilleurs du Paléolithique final d’Asie du Sud-est entre environ 30 000 et 5 000 ans BP. Plus largement des précisions seront apportées d’une part sur l’inachèvement informatif du phénomène lithique en tant que donnée archéologique et d’autre part, sur son dépassement en tant que phénomène. Il s’agira donc de repenser l’envers de la dialectique lithique-lignic c’est-à-dire les objets du végétal à jamais disparus, à la lumière des objets de pierre taillée seuls conservés comme marqueurs de temps, de technique, d'espace et d’absence.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
45

Kassoum, Traore. "Le couvert forestier en Côte d’Ivoire : une analyse critique de la situation de gestion des forêts (classées, parcs et réserves)." International Journal of Social Sciences and Humanities Invention 5, no. 2 (2018): 4387–97. http://dx.doi.org/10.18535/ijsshi/v5i2.02.

Full text
Abstract:
Preserving the forest is a "vital" action for maintaining the climate balance and promoting eco-tourism. The history mentions that the Ivorian forests played an important role in the dynamics of the development of the country because they sheltered a great diversity floristic and wildlife. Unfortunately, from 16 million hectares at the beginning of the last century (1900), the dense rainforest increased to 9 million hectares in 1965 and 3 million hectares in 1991. Today, it is estimated at about 2.5 million hectares. This situation is attributable to extensive agriculture based on the technique of shifting cultivation, the overexploitation of the forest with timber and wood energy and bush fires. Moreover, the phenomenon of forest infiltration with regard to the occupation or colonization of forest areas, particularly in the south-west of the country by migrants to build houses and / or villages, is an important factor in the disappearance of the forest. Also, successive crises that the country has experienced since 1999 until 2010 (post-election), with periods of tension, have led to mass displacements of populations. This regrouping of the populations in turn caused the clearing of the forest areas for their relocation. Thus, from the analysis of the situation of forest pressure in Côte d'Ivoire, the Ministry in charge of the management of the Ivorian forest cover indicates that the accelerated rate of destruction of Ivorian forests has today reached an estimated average of 450,000 hectares a year. The forest situation is catastrophic, if corrective measures are not taken and put into effect, the forest cover is supposed to disappear around 2040. The present work attempts to contribute to the level of reflection undertaken to improve the management of the sector.
 Résumé: Préserver la forêt est une action « vitale » pour le maintien de l’équilibre climatique et la promotion de l’éco-tourisme. L’histoire mentionne que les forêts ivoiriennes ont joué un rôle important dans la dynamique du développement du pays car elles abritaient une grande diversité floristique et faunique. Malheureusement, de 16 millions d’hectares au début du siècle dernier (année 1900), la forêt dense humide est passée à 9 millions d’hectares en 1965 et à 3 millions d’hectares en 1991. Aujourd’hui, elle est estimée à environ 2,5 millions d’hectares. Cette situation est imputable à l’agriculture extensive basée sur la technique des cultures itinérantes sur brûlis, la surexploitation de la forêt en bois d’œuvre et bois énergie et les feux de brousse. Par ailleurs, le phénomène de l’infiltration des forêts au regard de l’occupation ou la colonisation des zones forestières notamment du Sud-Ouest du pays par des migrants pour bâtir les habitations et/ou des villages est un facteur important de la disparition du couvert forestier.Egalement, les crises successives qu’a connues le pays depuis 1999 jusqu’en 2010 (post-électorale), populations. Ce regroupement des populations à son tour, a occasionné le défrichement des zones forestières pour leur relocalisation. Ainsi, de l’analyse de la situation des pressions sur les forêts en Côte d’Ivoire, le ministère en charge de la gestion du couvert forestier ivoirien indique que le rythme accéléré de destruction des forêts ivoiriennes a atteint de nos jours une moyenne estimée à 450.000 hectares par an. La situation des forêts est catastrophique, si des mesures correctives ne sont pas entreprises et mises en vigueur, le couvert forestier doit en principe disparaitre vers 2040. Le présent travail tente d’apporter sa contribution au niveau des réflexions engagées pour améliorer la gestion du secteur.
 Mots clés : forêts classées, parcs et réserves, gestion du couvert forestier, Côte d’Ivoire
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
46

Mariaux, Alain, and Ilona Bossanyi. "NATURE AND PERIODICITY OF GROWTH RINGS IN AFRICAN TIMBER: CAN THEY BE USED TO DETERMINE THE AGE OF TREES?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 327, no. 327 (2015): 51. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.327.a31296.

Full text
Abstract:
Dans une démarche de planification de l’exploitation forestière, il est nécessaire de connaître à quel âge les arbres afri- cains peuvent être exploités, ceci autant pour le bois d’œuvre en forêt dense hu- mide que pour le bois énergie en savane. Or, le suivi de la croissance sur plusieurs années est rarement assuré. Les cernes de croissance peuvent-ils dès lors fournir une estimation au moins approximative de l’âge des arbres exploitables ? Cet article méthodologique publié en français il y a bientôt 40 ans, aujourd’hui traduit en anglais, présente d’abord de manière générale et dans une première partie la nature et l’anatomie des cernes des arbres de bois africains. Il précise alors de quelle manière ces cernes, quand ils sont peu visibles à la loupe, peuvent être individualisés et comptabilisés par traitement mécanique de surface puis radiographie aux rayons X. La seconde partie est consacrée aux moyens de dé- terminer la périodicité de formation des cernes. Elle intègre bien entendu la dif- ficulté principale représentée, pour une même espèce tropicale, par le décalage entre la croissance végétative et la suc- cession des saisons. Diverses méthodes ont été utilisées dès les années 1920 pour analyser la dynamique de formation du bois chez des essences forestières tropi- cales. Les prélèvements périodiques de cambium réalisés en tournant autour de l’arbre constituent une méthode intéres- sante, cependant destructive. Des inci- sions pratiquées dans l’écorce laissent dans le bois des cicatrices qui permettent de dater différents points dans le bois. Une autre méthode consiste à pratiquer une incision annuelle et à poser un ruban dendrométrique autour de l’arbre, dont le suivi régulier et mensuel permet de révéler les périodes de formation du bois. Deux ans d’observation suffisent à obtenir de bons résultats.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
47

VALEIX, (J ). "Quelle démarche d'aménagement retenir en forêt tropicale humide ?" Revue Forestière Française, sp (1999). http://dx.doi.org/10.4267/2042/5741.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
48

Bahuchet, Serge, and Jean-Marie Betsch. "L’agriculture itinérante sur brûlis, une menace sur la forêt tropicale humide ?" Revue d’ethnoécologie, no. 1 (November 20, 2012). http://dx.doi.org/10.4000/ethnoecologie.768.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
49

DOUH, Chauvelin. "Rôle de la banque de graines du sol dans la régénération des forêts denses humides d’Afrique centrale." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 342 (November 25, 2019). http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.342.a31816.

Full text
Abstract:
La présente thèse s’intéresse aux moteurs de la régénération des forêts denses humides tropicales d’Afrique, plus particulièrement au rôle joué par la banque de graines du sol dans cette régénération. Plus spécifiquement, l’étude vise à : évaluer l’abondance et la composition floristique de la banque de graines du sol de deux types de forêt reposant sur des sols différents ; quantifier l’abondance de la banque de graines du sol d’une essence commerciale importante, le tali (Erythrophleum suaveolens) et étudier les facteurs intervenant dans la levée de dormance de ses graines ; évaluer la capacité du système d’imagerie hyperspectrale proche infrarouge à discriminer des graines de deux espèces sœurs, E. suaveolens et E. ivorense. Les résultats montrent que la densité et la composition floristique de la banque de graines du sol varient significativement selon les types de forêt et de sol. Les taxons pionniers sont largement majoritaires dans les deux cas, mais sont mieux représentés dans la banque du sol de la forêt à Celtis (vieille forêt secondaire) que dans le sol de la forêt à Manilkara (forêt mature). Tous taxons confondus, la similarité floristique entre la banque de graines du sol et la végétation environnante est relativement faible quel que soit le type forestier. Cependant, cette similarité s’avère nettement plus importante en ne considérant que les taxons pionniers. Seulement trois espèces de bois d’œuvre ont été observées dans la banque du sol : Nauclea diderrichii, Staudtia kamerunensis et Erythrophleum suaveolens. E. suaveolens, le tali, est une des espèces les plus exploitées d’Afrique centrale. L’évaluation de l’abondance des graines de l’espèce au sein des deux types de forêt révèle une densité plus élevée en forêt à Celtis qu’en forêt à Manilkara, où les graines sont quasi inexistantes bien que les densités d’arbres en âge de reproduction ainsi que les structures diamétriques, soient similaires entre sites. Différentes hypothèses ont été émises pour expliquer ce résultat, la plus probable étant liée à la structure de végétation différente entre les sites. Les canopées des individus vivant dans la forêt à Manilkara seraient davantage dominées et fructifieraient moins fréquemment que dans la forêt à Celtis. La longévité des graines étudiées par spectroscopie de masse par accélérateur révèle que ces semences de tali, viables et enfouies dans le sol, seraient âgées d’environ dix ans. Le système d’imagerie hyperspectrale proche infrarouge s’est avéré efficace dans la distinction des graines d’E. suaveolens et E. ivorense, ce qui ouvre d’intéressantes perspectives quant à l’utilisation de cette technique pour étudier la banque de graines du sol.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
50

Kouamé, N., and I. Zoro Bi. "Nouveau découpage de la zone de forêt dense humide de la Côte d’Ivoire." Sciences & Nature 7, no. 2 (2010). http://dx.doi.org/10.4314/scinat.v7i2.59962.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography