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Journal articles on the topic 'Forêt'

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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Secondary Forests in Equatorial Africa Côte d’Ivoire - Cameroon - F. E. A." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 19. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31241.

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Abstract:
La « brousse secondaire » s’oppose à la « forêt primaire », forêt « noble » aux grands arbres. C’est une forêt exubérante, inextricable, avec plus de lianes et de petits bois que d’arbres, succédant à l’agricul- ture sur brûlis. Dans les régions habitées, elle entoure communément les villages et borde les routes, la forêt primaire étant reléguée aux collines rocheuses et maré- cages. En Afrique équatoriale, la « brousse secondaire » représente actuellement 50 à 75 % des surfaces forestières. La forma- tion des brousses secondaires procède en trois phases : (i) l’apparition de semis d’es- pèces héliophiles (Musanga sp., Vernonia sp., Anthocleista sp.) à croissance rapide, qui diffèrent des espèces de « forêt pri- maire » et dont les graines sont dispersées sur de longues distances ; (ii) la formation d’un sous-bois, constitué cette fois des mêmes espèces arbustives qu’en « forêt primaire », et où se mêle un second groupe d’espèces héliophiles banales, caractéris- tiques de la « brousse secondaire » et rat- trapant le précédent, voire le surcimant ;(iii) la lente reconstitution de la « forêt primaire », riche en sapotacées, guttifères et légumineuses au bois dur, capables de se régénérer dans les sous-bois, et parmi lesquelles de très grands arbres finissent par percer la voûte des cimes. L’okoumé (Aucoumea klaineana), essence précieuse typique des « brousses secondaires », est ainsi fréquent dans les prétendues « forêts primaires » du Gabon, forêts qui ont été en réalité autrefois défrichées. On ne saurait admettre aujourd’hui que le fort potentiel des « brousses secondaires » soit inva- riablement réduit en cendres. Il faut au contraire apprendre à guider et hâter leur évolution en faveur d’espaces à haute va- leur économique.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Le Reboussier. "Mythes forestiers (suite). Enseignements tirés de l'Amazonie brésilienne." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 221 (September 1, 1989): 25–30. https://doi.org/10.19182/bft1989.221.a19618.

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Abstract:
Cet article fait suite à deux autres articles publiés dans cette revue (numéros 206 et 209) sur certains mythes forestiers répandus dans le monde.Ici, l'auteur, qui illustre son propos par l'Amazonie brésilienne, traite de la disparition des forêts tropicales et en particulier de la forêt tropicale humide et des cinq mythes qui lui sont attachés la forêt tropicale humide et les cinq mythes qui lui sont attachés : 1) Le rôle (forcément) irremplaçable de la forêt. 2) La disparition des forêts dans le monde, le rythme de la disparition de la forêt amazonienne primitive et son avenir récent ou prévisible. 3) L'immense richesse des forêts tropicales et de la forêt amazonienne en particulier. 4) La forêt comme usine à oxygène. 5) La religion du bois français.
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Corvol, Andrée. "Le legs de monsieur Colbert." L'Histoire N° 503, no. 1 (2023): 34–43. http://dx.doi.org/10.3917/histo.503.0034.

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Abstract:
Forêt Terme probablement issu du latin silva forestis (dérivé de forum , « cour de justice »), qui désigne une forêt « relevant de la cour de justice du roi ». « Forêt » a éliminé l’ancien français selve du latin silva , qui subsiste dans la terminologie technique. La graphie actuelle n’apparaît qu’au xvii e siècle pour désigner une grande étendue couverte d’arbres. Grande comment ? A partir de quelle surface un bois devient-il une forêt ? La limite reste floue. Forêts domaniales Ce sont les forêts royales. Les massifs domaniaux représentent en 1661 environ 1/10e des forêts du royaume. Les autres appartiennent à des seigneurs, au clergé, à des bourgeois ou paysans riches, mais aussi à des communautés villageoises. Futaie Forêt composée de grands arbres. Ses fûts (partie droite du tronc, dépourvue de branches) sont dégagés pour qu’ils puissent atteindre leur pleine croissance et donner du bois d’œuvre. Taillis Partie d’un bois ou d’une forêt où les arbres, qu’on coupe régulièrement, sont jeunes et de petite dimension. Baliveau Arbre réservé dans le taillis, pour le laisser croître et devenir un arbre de haute futaie. Charbon de bois Il est obtenu par combustion lente du bois, contrairement au charbon de terre ou minéral (houille) qui est extrait du sol. Enrésiner Reboiser une forêt avec des arbres résineux.
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Baland, Jean-Marie, Nicolas Delbart, and François Libois. "Régénération des forêts au Népal : le rôle moteur de la gestion participative." Revue d'économie du développement Vol. 33, no. 3 (2024): 103–8. http://dx.doi.org/10.3917/edd.373.0103.

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Abstract:
Les groupements d’usagers de la forêt ont contribué à la restauration des forêts au Népal. Les groupements densifient les forêts et en augmentent légèrement la surface. En plus de mieux gérer la forêt, ils modifient les choix énergétiques des ménages. Codes JEL : O13, Q23.
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Kazemi, Yves, and Laurianne Jeanneret Guinnard. "Nouvelle politique forestière vaudoise en matière d’accueil, de loisirs et de bien-être en forêt." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 174, no. 4 (2023): 198–201. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2023.0198.

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Abstract:
Résumé Comme partout en Suisse, les forêts du canton de Vaud représentent un espace naturel de loisirs particulièrement apprécié de la population. La nouvelle Politique forestière vaudoise 2040 (DGE-Forêt 2022) soutient un développement qualitatif et mesuré des activités de sports et loisirs en forêt qui garantit le «bien vivre ensemble» des usagers ainsi que la préservation du milieu naturel et de la multifonctionnalité forestière. L’élaboration d’une stratégie cantonale sur l’accueil du public en forêt permettra d’orienter le développement régional et local des activités de sports et loisirs en forêt. Elle souhaite, à ce titre, soutenir les propriétaires forestiers dans la prise en charge des coûts et investissements liés à l’accueil du public en forêt. La mise en œuvre de ces stratégies nécessite la mise en place d’un monitoring stratégique des loisirs en forêt. Elle repose aussi sur le renforcement des compétences et ressources des agents de terrain. La promotion du «vivre ensemble en forêt» et du «respect du milieu naturel» dans la pratique des activités de loisirs en forêt nécessitera aussi des actions de communication ciblées et pérennes. Finalement, il est important de relever que la gestion de l’accueil en forêt commence en dehors de la forêt. La gestion durable de l’accueil en forêt nécessite une étroite coordination avec les planifications urbaines, infrastructurelles ou touristiques. Parallèlement, renforcer la présence des arbres – forestiers ou non – dans l’espace bâti constitue une réponse appropriée aux défis écologiques et sociaux posés par le développement des villes. La création d’un réseau cohérent et continu d’espaces naturels de loisirs reliant les centres urbains aux massifs forestiers périurbains contribuent aussi à améliorer la qualité et la gestion de l’accueil en forêt.
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Hakizimana, Paul, Frédéric Bangirinama, Tatien Masharabu, Bernadette Habonimana, Charles De Cannière, and Jan Bogaert. "Caractérisation de la végétation de la forêt dense de Kigwena et de la forêt claire de Rumonge au Burundi." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 312, no. 312 (2012): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.312.a20502.

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Abstract:
L'objectif principal de cette étude est de décrire l'hétérogénéité spatiale de la végétation des forêts de Kigwena et de Rumonge au Burundi à travers l'identification et la caractérisation des groupements végétaux en présence. Cette étude met également en évidence l'organisation sociologique de la végétation des deux forêts et contribue à élargir les connaissances phytosociologiques qui restent encore fragmentaires sur la végétation des écosystèmes forestiers du Burundi. Les analyses sont basées sur les données issues de 23 relevés phytosociologiques réalisés à travers les faciès de la forêt de Kigwena et de mesures du diamètre à hauteur de poitrine dans 12 transects tracés dans la forêt de Rumonge. Quatre et trois groupements végétaux ont été respectivement individualisés, caractérisés et classés dans les taxons supérieurs (classe, ordre et alliance). Dans la forêt de Kigwena, la typologie de la végétation obéit à un gradient d'humidité et d'anthropisation et l'effet lisière marque nettement la diversité biologique des groupements végétaux. Mais, dans la forêt de Rumonge, l'hétérogénéité des faciès de végétation correspondrait aux phénomènes de dégradation localisée dans un même fond floristique.
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MANGAZA, Lisette, Jean-Remy MAKANA, Wannes HUBAU, Denis SONWA, Germain BATSI, and Adeline FAYOLLE. "Impacts du changement d’utilisation des terres sur la biomasse et la diversité dans le paysage forestier de la réserve de biosphère de Yangambi en République démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 353 (October 1, 2022): 61–73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2022.353.a36836.

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Abstract:
Les forêts tropicales de la République démocratique du Congo sont menacées par la déforestation et la dégradation forestière, qui affectent la structure et la diversité arborée. Cette étude a pour objectif de quantifier les pertes de biomasse et de diversité liées à la déforestation et à la dégradation, en se concentrant sur la réserve de biosphère de Yangambi. Quatre parcelles de 50 m x 50 m ont été inventoriées dans chacun des huit types d’utilisation des terres identifiés : la forêt mature mixte, la forêt mature à Gilbertiodendron dewevrei, les champs des cultures vivrières, les jachères (5 à 10 ans), les forêts secondaires (20 à 40 ans), les plantations de cacaoyers, les plantations de caféiers et les plantations de palmiers à huile. Les stocks de biomasse dans les forêts matures s’élèvent à environ 400 et 380 Mg/ha respectivement pour la forêt à G. dewevrei et la forêt mixte. Les résultats montrent que la forêt mature perd 50, 70 et 90 % de sa biomasse aérienne quand elle est convertie en plantations de cacaoyers, caféiers et palmiers, respectivement, et la quasi-totalité (99 %) lorsqu’elle est convertie en champs de cultures vivrières ; mais quand le champ est abandonné, la biomasse se reconstitue progressivement à 7,5 % après 5 à 10 ans et à 38,8 % après 20 à 40 ans. La diversité est aussi impactée par la conversion, et, bien que la richesse spécifique semble se reconstituer plus rapidement que la biomasse, la composition est fondamentalement modifiée. Ces résultats fournissent des informations essentielles pour quantifier les impacts des solutions « naturelles » pour lutter contre le changement climatique : la protection des forêts matures, l’amélioration de la gestion forestière et le reboisement ; même si l’approche doit être étendue à plus grande échelle.
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Peucelle, Marie, and Claire Peucelle-Christory. "En forêt." Inflexions N° 54, no. 3 (2023): 43–48. http://dx.doi.org/10.3917/infle.054.0043.

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Abstract:
Comment parler du temps lorsque l’on parle de nature ? Il est vrai que le temps long vient immédiatement à l’esprit : celui de la croissance des arbres centenaires, de la longévité des forêts primaires, du développement que l’on souhaite durable. Mais n’est-ce que cela ? Par l’exemple de la forêt, nous découvrons un lieu où plusieurs temporalités se croisent et s’entremêlent.
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CUNY, Pascal, Françoise PLANCHERON, Abraham BIO, Elvis KOUAKOU, and François MORNEAU. "La forêt et la faune de Côte d’Ivoire dans une situation alarmante – Synthèse des résultats de l’Inventaire forestier et faunique national." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 355 (March 1, 2023): 47–72. http://dx.doi.org/10.19182/bft2023.355.a36939.

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Abstract:
La Côte d’Ivoire a engagé début 2019 un inventaire national de ses forêts et de sa faune, accompagné par des enquêtes socio-économiques auprès des agriculteurs. Cet inventaire, déployé sur l’ensemble du territoire, fournit une grande quantité d’informations. Il montre que l’état des forêts et de la faune est fortement dégradé et que les cultures industrielles (cacaoyer, hévéa, palmier à huile dans le sud, anacardier et coton dans le centre et le nord) sont devenues dominantes. La superficie de la forêt en Côte d’Ivoire est estimée en 2020 à 2,97 millions d’hectares, soit 9,2 % de la surface totale du territoire, dont 2,88 millions d’hectares de forêt (dite) naturelle et un peu plus de 92 000 ha de reboisement. Le taux de déforestation moyen annuel depuis 1986 est de 2,8 % (superficie de la forêt en 1986 de 7,85 millions d’hectares). La superficie de la forêt dans les forêts étatiques, dites forêts classées, n’est plus que de 13,3 % alors que la création des forêts classées dans les années 1970 avait pour objectif la préservation et la gestion durable des forêts. La raréfaction, voire la disparition, des essences commerciales ne permet plus de mettre en œuvre une exploitation forestière respectant les critères de gestion durable. Les aires protégées (parcs nationaux, réserves) ne contiennent plus que 32,2 % de forêt. En outre, des transects d’observation de la faune déployés sur tout le territoire ont permis de montrer que la faune commune (aulacode, guib harnaché, lièvre, etc.) est encore bien présente. En revanche, les grands mammifères (antilopes, éléphants, singes) sont cantonnés dans quelques aires protégées et forêts classées avec des tailles de population souvent critiques. Enfin, l’analyse socio-économique montre que les forêts classées sont occupées par une population humaine composée à 50 % d’allogènes, à 28 % d’autochtones et à 22 % d’allochtones : le cacao occupe la plus grande partie des cultures installées majoritairement par les allogènes. Dans le domaine rural, ce sont surtout les autochtones (76 %) qui s’investissent dans l’agriculture (principalement l’anacarde), suivis des allogènes (13 %) et des allochtones (11 %). L’état des écosystèmes forestiers et de leur faune est alarmant, mais des mesures fortes prises rapidement pourraient permettre d’améliorer cette situation au moins dans les secteurs les mieux préservés. La poursuite de campagnes d’inventaire régulières sera un outil essentiel pour mesurer l’impact de ces décisions.
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Weaver, Peter L. "Changements à long terme de structure et de composition d'une forêt primaire humide de basse montagne suite au passage d'ouragans a Puerto Rico." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 317, no. 317 (2013): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.317.a20525.

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Abstract:
Dacryodes excelsa, espèce arborée connue sous les noms de tabonuco à Puerto Rico et de gommier aux Petites Antilles, domine les sommets de la forêt tropicale humide de basse montagne (selon Beard) de l'archipel des Caraïbes ; où périodiquement les ouragans passent à travers les îles modifiant la structure des massifs forestiers, leur composition en essences et leur dynamique. Au nord-est de Puerto Rico, l'étude chronologique post-ouragans menée entre 1946 et 2010 a permis de suivre les modifications de la végétation sur une parcelle de 0,40 hectare à 380 metres d'altitude dans la forêt expérimentale de Luquillo. Celle-ci a montré : (1) la défoliation, la casse et les chablis provoqués par le vent induisant une mortalité immédiate entraînent une déstructuration de forêt en perte du nombre de tiges, de hauteur des arbres et de biomasse ; (2) la mortalité différée de d'autres arbres blessés s'accompagne d'un rapide et abondant recrutement de Cecropia schreberiana et d'espèces cicatricielles, augmentant le nombre de tiges dans la forêt ; (3) une accélération de la croissance en diamètre et l'accumulation de la biomasse pendant une vingtaine d'années après l'ouragan, suivie du déclin de leur ratio ; (4) un très fort taux de survie après l'ouragan et une augmentation de la vitesse de croissance en diamètre de Dacryodes excelsa ; (5) toujours suite à l'ouragan, une augmentation de la richesse en espèces pendant une période de 20 ans au cours de laquelle les espèces primaires et secondaires grandissent ensemble, suivie dune chute d'abondance liée la concurrence ; (6) enfin, des conditions d'évolution asymptotiques aussi bien pour les tiges et la biomasse que pour le nombre d'espèces, après plus de 40 ans. En outre, d'autres études connexes menées dans des types de forêts semblables ont montré que les ouragans et les coupes intensives induisent des réactions de croissance comparables. Cette étude s'avère être d'intérêt régional puisque la forêt humide de basse montagne de Puerto Rico partage des conditions environnementales semblables ainsi que les mêmes essences forestières avec les montagnes des Antilles.
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Karsenty, Alain. "La déforestation et le commerce international." Futuribles N° 461, no. 4 (2024): 5–21. http://dx.doi.org/10.3917/futur.461.0005.

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Abstract:
Dans un contexte de changement climatique plus rapide qu’envisagé, la forêt est une ressource cruciale : en moyenne (car variable selon le type de forêt) un hectare de forêt filtre 50 tonnes de poussières par an, stocke 338 tonnes de CO 2 , produit 21 tonnes d’oxygène et filtre 1 000 mètres cubes d’eau ; la forêt est aussi un réservoir de biodiversité (faune, flore et nombreuses molécules ou espèces encore inconnues), etc. Ce rôle essentiel à la préservation de la vie sur Terre mobilise de nombreux acteurs, associatifs, gouvernementaux, internationaux, pour lutter contre la déforestation — l’exemple le plus emblématique concernant sans doute la protection de la forêt amazonienne. Et ces dernières années, un certain nombre d’États (Royaume-Uni, États-Unis, Union européenne) ont décidé de renforcer leur action en adoptant des mesures plus ciblées en matière de lutte contre la déforestation, afin de tenir compte de la déforestation dite « importée », à savoir l’importation de matières premières ou de produits transformés dont la production a contribué, directement ou indirectement, à la déforestation, à la dégradation des forêts ou à la conversion d’écosystèmes naturels dans les pays producteurs. Mais la définition précise de la déforestation légale, importée…, et la façon de la contrôler effectivement dans les pays producteurs font l’objet de controverses. Alain Karsenty, après avoir rappelé l’évolution de la déforestation ces dernières décennies, sa localisation et les différents facteurs qui y contribuent, examine la teneur de ces débats. S’appuyant sur le cas du Règlement européen sur la déforestation et la dégradation des forêts, il montre la complexité des mesures censées mieux réguler le commerce international du bois et ses conséquences sur la forêt, ainsi que leur impact potentiel sur les producteurs et les pays concernés. Dans un secteur encore très informel, il va sans doute falloir réajuster les réglementations pour tendre vers le résultat escompté de la manière la plus équitable possible. S.D.
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Douh, Chauvelin, Anaïs-Pasiphaé Gorel, Kasso Daïnou, et al. "Banque de graines du sol et déterminants de la germination du tali, Erythrophleum suaveolens (Guill. & Perr.) Brenan." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 338 (February 11, 2019): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.338.a31681.

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Abstract:
Cette étude évalue l’abondance des graines d’Erythrophleum suaveolens dans la banque de semences du sol des forêts denses humides d’Afrique centrale. Les travaux ont été menés au Nord-Congo dans deux types forestiers : la forêt à Celtis sur des sols argilo-sableux à sablo-argileux et la forêt à Manilkara sur des sols sableux. Les tiges d’E. suaveolens (dhp ≥ 10 cm) ont été inventoriées dans deux blocs de 400 ha, et les structures diamétriques de leurs populations ont été comparées. En outre, 80 fosses (2 x 40 fosses par type de forêt) ont été creusées au pied de 20 arbres (10 par forêt), sur trois couches contiguës de 10 cm chacune, soit à une profondeur totale de 30 cm, et l’abondance des graines dans la banque de semences du sol a été évaluée. La dormance des graines récoltées a été testée par des essais de germination après traitement au H2SO4 et cinq graines prélevées jusqu'à une profondeur de 20 cm dans la forêt à Celtis ont été utilisées pour estimer leur âge par spectroscopie de masse par accélérateur (AMS). Dans les deux types forestiers, les structures diamétriques présentent une distribution gaussienne, illustrant un déficit de régénération. Alors que les densités de tiges (dhp ≥ 10 cm) sont proches, avec 0,85 et 1,05 tige/ha respectivement, dans la forêt à Celtis et la forêt à Manilkara. Les densités de graines sont significativement plus élevées dans la forêt à Celtis (8,55 graines/m2) que dans la forêt à Manilkara (0,15 graine/m2). Le pourcentage maximum de germination obtenu était de 19,1 % pour des graines n’ayant subi aucun traitement. Les lots traités à l’acide ont présenté de moindres taux de germination. Ces graines semblent pouvoir se conserver une dizaine d’années au moins dans la banque du sol. Les facteurs pouvant influencer les variations de densité des graines sont discutés et des recommandations sylvicoles sont formulées.
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AKAKPO, Alexis Bokon, Elie Antoine PADONOU, Achille E. ASSOGBADJO, and Romain L. GLELE-KAKAÏ. "Evaluation de l’état actuel et les principales menaces de la Forêt sacrée Badja au sud-ouest du Bénin : Proposition des stratégies de conservation." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 9, no. 1 (2019): 95–106. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v9i1.66.

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Abstract:
Au Bénin, les statistiques tendancielles de l’état de dégradation des forêts sacrées sont de plus en plus inquiétantes pour la conservation de ces îlots dans une majorité des cas. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’état actuel de la forêt sacrée "Badja" et de caractériser les facteurs d’une pression éventuelle afin d’orienter les stratégies pour sa conservation. Un inventaire floristique et dendrométrique dans 30 placettes circulaires de 18 m de rayon aléatoirement distribuées dans la forêt avec un taux de sondage de 23 % environ a été réalisé. Par ailleurs, des enquêtes socio-économiques sur des facteurs de pression éventuelle exercée sur cet écosystème avec 442 enquêtés a été également effectuée. La richesse spécifique, les paramètres de diversités et dendrométriques ont été évalués pour caractériser l’état de conservation de la forêt sacrée. Une analyse factorielle de correspondance et l’histogramme de fréquences des perceptions sur des facteurs de menaces ont été également effectués afin d’élucider les principaux facteurs de pression sur la forêt sacrée. Il ressort de cette étude que la forêt sacrée est caractérisée par une richesse floristique (45 espèces), une richesse des ligneux dbh ≤ 10 cm (24 espèces) et de structures dendrométriques (Densité moyenne: 200 tiges/ha, Diamètre moyen: 23,85 cm, Surface terrière : 7,69 m2/ha et régénération naturelle 5≤dbh<10 cm : 171 pieds/ha). De même les ligneux de forts indices de valeurs d’importance (Triplochiton scleroxylon, Terminalia superba et Sterculia tragacantha) sont devenues très rares dans la forêt. Les principaux facteurs de cette régression sont l’agriculture, les coupes anarchiques et les feux de brousse. Pour une conservation effective de cette forêt sacrée, il faut attribuer un statut foncier à la forêt sacrée tout en récupérant ses limites originelles. Il faut aussi une sensibilisation de la population, l’élaboration, l’expérimentation et le suivi d’un plan de gestion de la forêt sacrée.
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Kalawu, Serge M., Michel K. Ngoy, Innocent Ombeni, et al. "Analysis of the stratification of vegetation classes in the Miombo forests of the Democratic Republic of Congo." Revue Africaine d’Environnement et d’Agriculture 6, no. 2 (2023): 20–30. http://dx.doi.org/10.4314/rafea.v6i2.4.

Full text
Abstract:
Description of the subject: This study aims at mapping and discriminating the different strata of land cover classes of the Miombo forests of the province of Haut-Katanga in DRC.
 Objective: The objective of this study is to identify the vegetation classes of the Miombo forests with the sole purpose of assessing the land cover dynamics of these ecosystems in the Upper Katanga Province (DRC) which are facing important drivers of deforestation, namely: slash and burn agriculture, wood fuel exploitation (carbonization), late bushfires, and artisanal mineral exploitation and to a large extent, demographic pressure. 
 Methods: Landsat 8 TM, OLI images from June 2018 were processed and analyzed in this study. To ensure the quality of the accuracy of the classification of vegetation classes, 519 points from a random and stratified sampling were generated using the Random tool. In addition, high-resolution Google Earth imagery and field data were used as a reference (ground truth) during the validation analyses of the stratified vegetation class map of Miombo forests. By comparing the reference data (Ground Truth) and the spatio-map resulting from the classification, it was possible to perform a statistical validation of the map produced.
 Results: The analysis on the stratification of the vegetation classes of the Miombo forests of the DRC in 2018, highlighted three (03) main strata: (1) Undegraded open forest (Primary Forest); (2) Degraded open forest (Secondary Forest); (3) Savannah zones which include shrubby savannahs, grassy savannahs, savannah forests, and agricultural zones) and (4) Other land use classes: Water and anthropized zones. 
 Conclusion: At the end of its analysis three main vegetation classes of the Miombo forests were highlighted, these are the strata: (1) Undegraded open forest (Primary Forest); (2) Degraded open forest (Secondary Forest); (3) Savannah zones which include shrub savannahs, grassy savannahs, savannah forests and agricultural areas). 
 
 English titleAnalyse de la stratification des classes de végétation des forêts Miombo de la République Démocratique du Congo
 Description du sujet: Cette étude vise à cartographier et à discriminer les differentes strates de classes d’occupation du sol des forêts Miombo de la province du Haut-Katanga en RDC.
 Objectif: L’objectif de cette étude est d’identifier les classes de végétation des forêts de Miombo dans le but d’évaluer la dynamique de l’occupation du sol de ces écosystèmes dans la Province du haut - Katanga (RDC) qui font face à des moteurs importants de déforestation, à savoir : l’agriculture itinérante sur brûlis, l’exploitation du bois-énergie (carbonisation), les feux de brousse tardifs, et l’exploitation artisanale des minerais.
 Méthodes: Les images de Landsat 8, OLI du mois de Juin 2018 ont été traitées et analysées lors cette étude. Pour s’assurer de la qualité de la précision de la classification des classes de végétation, 519 points issus d’un échantillonnage aléatoire et stratifié ont été générés à l’aide de l’outil Random. Mais aussi, les images hautes résolution de Google Earth et les données collectées sur le terrain ont été utilisées comme référence (vérité terrain)lors des analyses sur la validation de la carte stratifiée des classes de végétation des forêts Miombo. En comparant les données de référence (Ground Truth) et la spatio-carte issue de la classification, il a été possible de faire une validation statistique de la carte produite.
 Résultats: L’analyse sur la stratification des classes de végétation des forêts Miombo de la RDC en 2018, a mis en évidence trois (03) principales strates : (1) Forêt claire non dégradée (Forêt primaire) ; (2) Forêt claire dégradée (Forêt secondaire) ; (3) Zones savanicoles qui comprennent les savanes arbustive, savane herbeuses, forêts savantisées et zones agricoles) et (4) Autres classes d’occupation du sol : Eau et zone anthropisée.
 Conclusion: A l’issue de ses analyses, trois principales classes de végétation des forêts Miombo ont été mis en évidence, il s’agit des strates : (1) Forêt claire non dégradée (Forêt primaire) ; (2) Forêt claire dégradée (Forêt secondaire) ; (3) Zones savanicoles qui comprennent les savanes arbustive, savane herbeuses, forêts savantisées et zones agricoles)
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Badré, Michel. "Forêts en crise, relevons le défi : Une introduction." Revue forestière française 74, no. 2 (2023): 103–8. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7583.

Full text
Abstract:
Cet article est un témoignage sur les crises forestières et environnementales passées et actuelles. Les trois points de vue abordés portent sur la gestion des forêts publiques de l’ONF, sur les politiques publiques du ministère chargé de l’environnement et enfin sur la gestion familiale d’une forêt dans les Vosges. Messages clésLa gestion d’une crise nécessite d’appréhender le temps.La gestion d’une crise nécessite des décisions.En forêt, les décisions doivent être prises à différents niveaux.
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BONI BIAO, Saliou, Comlan Julien HADONOU, Jean-Bosco Kpatindé VODOUNOU, and Yvette DOUBOGAN ONIBON. "TRADITIONS LOCALES ET PROTECTION DES FORETS : UNE APPROCHE COMPAREE ENTRE LES FORETS, SACREE DE SEROU ET CLASSEE DE KILIR AU NORD-BENIN." Kurukan Fuga 3, no. 10 (2024): 28–44. http://dx.doi.org/10.62197/afwf8189.

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Abstract:
Les questions environnementales ont été au cœur des décisions politiques ces dernières années et, parfois, les habitudes de certaines sociétés traditionnelles sont remises en cause au nom de la protection de l’environnement. Mais, en dehors des décisions politiques, souvent motivées par des résultats de recherches scientifiques, n’existe-t-il pas une autre approche, endogène par exemple, qui garantisse le développement durable ? Cette recherche se donne pour objectif de comparer deux modèles de gestion des forêts, la forêt classée de Kilir et la forêt sacrée de Sérou. La démarche méthodologique est basée sur une analyse diachronique et synchronique, qui a engagé 54 différents acteurs à travers des focus groupes et des entretiens individuels. Des résultats il ressort que la production des cultures de rente, encouragée par le gouvernement, contraint les paysans à la recherche de terres agricoles. L’absence d’une synergie d’actions entre les structures publiques et les communautés riveraines met en péril les forêts classées. La survie de la forêt sacrée de Sérou vient de la sacralisation de certaines essences, devenues incontournables dans les rites et traditions des communautés riveraines.
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Mutwedu Mwishingo, Eli. "Diversité floristique ligneuse et contraintes de gestion des forêts sacrées dans la Chefferie de Kaziba, Sud – Kivu, République Démocratique du Congo." Revue Ecosystèmes et Paysages 4, no. 2 (2024): 1–12. https://doi.org/10.59384/recopays.tg4218.

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Abstract:
Les forêts sacrées jouent un rôle important dans la conservation de la biodiversité. A certains endroits, elles constituent le dernier refuge de la flore relique caractéristique de la région. Bien que leur présence soit signalée dans plusieurs coins du pays, les connaissances sur les forêts sacrées de la République démocratique du Congo (RDC) restent sommaires. Aucun répertoire de ces forêts n’est signalé, la superficie qu’elles couvrent reste inconnue, leurs diversités floristiques et les menaces qui pèsent sur elles ne sont pas connues, peu d’initiatives de leur valorisation ont été observée. Le présent travail a pour objectifs de cartographier les forêts sacrées de la chefferie de Kaziba, d’en évaluer la diversité floristique ligneuse et d’identifier les menaces pouvant entraver leur durabilité. Les forêts étudiées sont celles de Kabembe, Katudu, Lwampango, Ngando et Nkoma. Leurs contours respectifs ont été définis au GPS. Leur diversité floristique a été étudiée en installant trois placettes de 10*20m dans chaque forêt. Des focus groupes ont permis d’identifier les menaces qui pèsent sur elles et pouvant entraver leur conservation. Les résultats montrent que, prises ensemble, les forêts sacrées étudiées couvrent une superficie estimée à 139,7 ha. La forêt sacrée de Lwampango couvre la plus grande superficie, la plus petite forêt étant celle de Ngando. L’inventaire floristique a permis de recenser 20 espèces ligneuses appartenant à 15 familles. L’indice de Shannon-Weaver varie entre 1,541 et 1,769 bits. L’équitabilité de Piélou varie entre 0,857 et 0,966. La recherche des terres pour l’agriculture et la recherche du bois de chauffe représentent les principales menaces à la durabilité ces forêts. L’insertion des forêts sacrées de Kaziba dans les Aires et Patrimoines Autochtones et Communautaires pourrait assurer leur durabilité.
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César, Jean, Jérémy Bouyer, Laurent Granjon, Massouroudini Akoudjin, Laure Guerrini, and Dominique Louppe. "Les relictes forestières de la falaise de Banfora : un peuplement original au voisinage de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 305, no. 305 (2010): 43. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.305.a20437.

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Abstract:
La falaise de Banfora est d'une grande richesse floristique et faunique. Ses forêts renferment des espèces endémiques mais aussi des espèces remarquables telles que Albiziadinklagei, Acridocarpus chevalieri ou Warneckea fascicularis qui ne se retrouvent nulle part ailleurs au Burkina Faso. C'est aussi le cas de certaines espèces d'insectes telles que Dicronorhina kouensis ou Stephanorhina guttata. Toutefois, ces forêts sont menacées, particulièrement autour de Bobo-Dioulasso où la faune d'origine a déjà partiellement disparu. Les sites de la falaise sont comparés entre eux ainsi qu'avec d'autres forêts de la région de Bobo-Dioulasso. Une très grande diversité biologique s'observe d'une forêt à l'autre. La dispersion des espèces suggère que ces forêts résulteraient de masses forestières plus vastes dont elles seraient les relictes. La végétation forestière des falaises aurait trois origines : la forêt dense sèche, caractérisée par Guibourtia copallifera, qui pourrait représenter le fond forestier originel avant l'invasion de la flore des savanes ; la forêt dense humide, représentée par la majorité des espèces ripicoles, qui serait issue de la masse forestière humide en suivant le réseau hydrographique ; un fond de flore montagnarde inféodé aux falaises gréseuses, dont l'unique représentant serait Warneckea fascicularis, auquel il serait possible de rattacher les espèces de rochers. La communauté de rongeurs des sites forestiers de la falaise de Banfora est un mélange d'espèces typiquement forestières (en particulier Praomys rostratus) dans les zones les moins perturbées et d'espèces très anthropophiles (comme Rattus rattus) sur les sites les plus dégradés par l'action humaine. La plupart des espèces d'insectes ont probablement pour origine la forêt humide de Côte d'Ivoire, avec des influences maliennes, comme Coeliades aeschylus, ou togolaises, comme Dicronorhina kouensis, espèces qui se rencontrent surtout en zone de savane guinéenne, à proximité des forêts galeries. Ces espèces n'étant pas observées au Sud, ni respectivement à l'Est et à l'Ouest du Burkina Faso, la falaise de Banfora pourrait constituer un point de rencontre entre différentes faunes, ce qui en fait toute la richesse. (Résumé d'auteur)
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Dupuy, Bernard. "Plaidoyer pour le reboisement dans les zones tropicales humides." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 221 (September 1, 1989): 31–42. https://doi.org/10.19182/bft1989.221.a19620.

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Abstract:
L'auteur évoque les conditions d'exploitation de la forêt tropicale humide en Afrique au sud du Sahara depuis une cinquantaine d'années : alors que la forêt a d'abord été exploitée sélectivement pour le rendement d'une ressource ligneuse économiquement intéressante, elle est aujourd'hui le plus souvent considérée comme une réserve foncière, en liaison avec l'utilisation encore répandue du système du brûlis, basé sur le maintien de la fertilité des sols avec le système de la jachère de brousse.Au cours des dernières décennies, on a constaté une augmentation excessive des défrichements pour les cultures avec une diminution de la durée des jachères, d'où, dans certains pays, une diminution drastique des zones de forêt dense.Pour permettre la mise en œuvre d'une véritable gestion forestière et éviter l'exploitation anarchique des forêts denses, il s'agit en priorité de déterminer, dans le cadre de l'aménagement du territoire, un domaine forestier permanent où sera concentrée la production de bois, en gardant à l'esprit la notion de rendement soutenu.Parallèlement au traitement sylvicole de la forêt dense basé sur l'utilisation optimale du potentiel de récolte sur pied, les plantations forestières constituent l'un des moyens de régénérer les zones les plus dégradées d'une forêt à gérer.De nos jours, les plantations de bois en zone forestière sont souvent condamnées en raison de leur coût élevé et de leur très faible taux de rentabilité.L'auteur explique cette situation par la valeur insuffisante des bois en zone tropicale, en comparaison avec les résultats de la forêt tempérée.Les plantations forestières en zone tropicale offrent de nombreux avantages en matière de croissance et de rendement. L'auteur définit le rôle que les opérations de reboisement peuvent raisonnablement jouer dans le cadre de la gestion d'une forêt dense.
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Cioldi, Fabrizio, Marco Conedera, Fulvio Giudici, and Anne Herold. "Dynamique évolutive de la forêt au Sud des Alpes suisses." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 172, no. 5 (2021): 318–29. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2021.0318.

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Abstract:
Résumé La surface forestière du Sud des Alpes suisses a plus que doublé en 120 ans, avec une accélération importante de cette croissance après la Seconde Guerre mondiale. En utilisant les données de l’Inventaire forestier national (IFN), l’article décrit la structure, la composition et l’évolution des forêts de cette région, en distinguant les forêts établies avant 1940, celles formées entre 1940 et 1985, ainsi que celles établies après 1985. En raison de difficultés structurelles et environnementales, la forêt a évolué de manière naturelle depuis plusieurs décennies sans véritable gestion régulière. Cette évolution conduit au vieillissement progressif des forêts de plus en plus denses et sombres, qui finit par favoriser les essences intermédiaires et surtout finales, en particulier le hêtre. Les espèces pionnières, en revanche, sont en fort déclin dans les forêts établies depuis longtemps et pour elles – le bouleau et le mélèze en particulier – les zones boisées de formation récente représentent un refuge important. En outre, les analyses mettent en évidence la rareté de la régénération, particulièrement importante pour garantir la stabilité des forêts à moyen et long terme, mais elles montrent aussi l’effet bénéfique des interventions sylvicoles sur l’abondance du rajeunissement. Les extrêmes climatiques, en particulier les sécheresses de plus en plus fréquentes, intensifient encore la concurrence entre les espèces. Dans ce cadre, le châtaignier – essence symbolique du Sud des Alpes – est en grande difficulté, surtout dans les stations fortement exposées au soleil et à la pénurie d’eau. Les résultats de l’IFN montrent effectivement une forte mortalité du châtaignier au cours des trois dernières décennies.
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KONATE, Ibrahim, Daniel ILBOUDO, Sidzabda Djibril DAYAMBA, Salifou TRAORÉ, Louis SAWADOGO, and Mipro HIEN. "Dynamique d'occupation et d'utilisation des terres dans la Forêt Classée de Tiogo au Burkina Faso : caractérisation, moteurs et impacts sur la diversité et le stock de carbone ligneux." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 360 (June 1, 2024): 41–64. http://dx.doi.org/10.19182/bft2024.360.a37226.

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Abstract:
L’état de dégradation des forêts est une préoccupation mondiale particulièrement pour l’Afrique. De ce fait, plusieurs forêts classées sont de plus en plus menacées d’extinction dont les causes sont anthropiques et climatiques. L’étude a évalué la dynamique du couvert végétal et ses implications sur le stock de carbone aérien et la diversité ligneuse de la Forêt Classée de Tiogo au Burkina Faso. Une analyse d’images Landsat des années 1990, 1999, 2009 et 2019, et des données socioéconomiques et d’inventaire forestier ont été combinées dans différentes unités d’occupation des terres : savane arborée, savane arbustive, forêt galerie et cultures pluviales et territoires agroforestiers. Entre 1990 et 2019, 47 % de la superficie des savanes arborées a été perdue au profit des savanes arbustives et des cultures pluviales et territoires agroforestiers. Les feux de brousse, la coupe du bois et l’activité agricole constituent les principaux facteurs de dégradation. Les valeurs de la diversité ligneuse de la savane arborée (2,14 ± 0,31) et de la savane arbustive (1,92 ± 0,43) étaient plus élevées que celles des cultures pluviales et territoires agroforestiers (1,31 ± 0,62) et de la forêt galerie (0,63 ± 0,41). La forêt galerie avait le plus important potentiel de stock de carbone aérien (35,5 tC/ha), suivi de la savane arborée (7,1 tC/ha), puis de de la savane arbustive (2,5 tC/ha) et des cultures pluviales et territoires agroforestiers (1,7 tC/ha). Les changements d’unités d’occupation des terres dans la Forêt Classée de Tiogo ont induit entre 1990 et 2019, une réduction de 41 % du potentiel du stock de carbone aérien. Il en ressort le besoin de promouvoir des alternatives pour les moyens de subsistance et l’énergie pour les ménages, et le renforcement des initiatives de sensibilisation.
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Tissaux, Jean-Claude. "Le projet FuturForEst : une autre voie pour l’adaptation des peuplements forestiers aux crises climatiques et sanitaires." Revue forestière française 74, no. 2 (2023): 229–34. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7600.

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Abstract:
Dans la Région Grand Est, un des moyens pour expérimenter des méthodes d’adaptation des forêts au changement climatique est la mise en place d’îlots d’avenir permettant de tester dix espèces allochtones sur des placettes comprises entre 1 et 2 ha. Ce projet, appelé FutorforEst, comprend un réseau d’environ 70 placettes aussi bien en forêt publique qu’en forêt privée. L’objectif est d’étudier le comportement de ces espèces en condition de peuplement et de d’évaluer leur résistance aux sécheresses répétées, à la canicule et aux ravageurs. À terme, parmi les espèces prometteuses, un itinéraire technique sylvicole sera développé. Messages clésLe projet FuturForEst met en place des îlots d’avenir.Dix espèces allochtones sont testées.Des suivis permettront d’évaluer leur potentialité pour constituer les forêts du futur.
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Tassin, Jacques. "André Aubréville (1897-1982), a pioneering forester and a visionary mind." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 7. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31240.

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Abstract:
André Aubréville fut un forestier d’exception. Formé à l’École forestière française de Nancy, il rejoignit dans les années 1920 les services forestiers coloniaux. Ses livres quifontencore référence témoignent d’un esprit encyclopé- dique, d’une grande lucidité et d’un talent de visionnaire. Comprenant combien l’avenir de la forêt tropicale était menacé par les activi- tés humaines, il mit en place des structures forestières susceptibles d’assurer ce qu’on nommerait aujourd’hui une production sou- tenue. Il devint en 1939 Inspecteur général des Eaux et Forêts de l’Afrique occidentale française mais était aussi déjà réputé comme botaniste spécialiste des Sapotacées et bio- géographe. À l’âge de 60 ans, il fut nommé Professeur au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, et entra à l’Académie des Sciences de l’Institut de France. Travailleur in- fatigable, il considérait la botanique comme un outil permettant de mieux comprendre la complexité des forêts tropicales. S’insur- geant contre les généralisations abusives, il montra pourquoi la climatologie actuelle ou passée déterminait localement la compo- sition floristique et les contours de la forêt africaine, forêt malmenée par les feux dont il mesurait l’effet dévastateur et durable. Il fut le premier à entreprendre une véritable tropicalisation de la foresterie, à démontrer la faiblesse du concept de forêt primaire et à suggérer la valorisation des forêts secon- daires. Il ne doutait pas que le matériau bois tiendrait, cinquante ans plus tard, face aux matériaux concurrents, et que les espèces les plus demandées le demeureraient encore pour leurs qualités technologiques supé- rieures. L’ensemble de son œuvre appelait à une forme d’interventionnisme susceptible de préserver les ressources forestières tropi- cales de toute forme d’exploitation abusive. D’aucuns ont pu y voir l’expression d’un tem- pérament jugé trop colonial. Mais on peut tout autant aujourd’hui y déceler, par l’am- pleur des propositions formulées en faveur de la protection de la végétation forestière, l’œuvre d’un forestier résolument précurseur et visionnaire.
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Wohlhauser, Philippe, Julien Plaschy, Noémi Gay, Agnès Collaud, Frédéric Schneider, and Christian Aeschlimann. "Evolution des loisirs et de l’événementiel en forêt dans le canton de Fribourg." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 174, no. 4 (2023): 186–92. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2023.0186.

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Abstract:
Résumé Déjà populaires avant, les loisirs et la détente dans les forêts fribourgeoises ont évolué encore plus rapidement pendant la période COVID, ainsi que l’a démontré l’enquête WAMOS. Les aires de jeux en forêt et «Au Bois de mon Cœur» sont des aménagements précieux. La légalisation de la pratique du VTT en forêt a conduit à la création de parcours après une prolifération anarchique au Schwyberg. Il n’est pas encore clair si ce projet sera couronné de succès, car la période d’exploitation est encore courte avec un grand nombre de visiteurs additionnels.
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Benest, Fabienne, Jonathan Carruthers-Jones, and Adrien Guetté. "Travaux actuels d'inventaire des forêts à forte naturalité à l'échelle nationale et européenne." Revue forestière française 73, no. 2-3 (2022): 161–78. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5467.

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Abstract:
Divers travaux menés à différentes échelles concernent la distribution des forêts anciennes et matures, mais il n’existe pas à ce jour de cartographie complète au niveau national. Au niveau européen, le récent rapport du Joint Research Centre de l’Union européenne donne quelques éléments. Au niveau national, la cartographie des forêts anciennes (continuité de l’état boisé) progresse, et parallèlement, le projet CARTNAT envisage le niveau de naturalité toutes occupations du sol confondues. Une récente étude de l’INRAE a permis de modéliser la distribution des forêts selon leur date de dernière exploitation. Les réserves biologiques intégrales créées en forêt publique, maintenues en libre évolution sur 27 000 ha en métropole, ont fait l’objet en 2020 d’un bilan complet de leur contenu en termes d’habitats forestiers. En Nouvelle-Aquitaine, une méthode croisant diverses données géographiques et d’inventaires a permis de situer des zones à fort potentiel de naturalité au sein des forêts anciennes. Les forêts récentes, férales, liées à la recolonisation spontanée par une végétation forestière de zones en déprise font maintenant l’objet d’un suivi spécifique dans les protocoles de l’Inventaire forestier national.
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Meunier, Quentin, Sylvie Boldrini, Carl Moumbogou, Amélie Morin, Sostène Ibinga, and Cédric Vermeulen. "Place de l'agriculture itinérante familiale dans la foresterie communautaire au Gabon." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 319, no. 319 (2014): 65. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.319.a20553.

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Abstract:
L'agriculture itinérante reste un système de production partagé par une grande majorité de groupes ethnolinguistiques, et appelé à se maintenir au Gabon. Elle s'exprime généralement dans un rayon de cinq kilomètres autour de l'unité de résidence. Au Gabon, cette zone est précisément celle destinée à accueillir depuis fin 2013 les premières forêts communautaires. Les préceptes de durabilité qui sous-tendent la notion de forêt communautaire impliquent le maintien d'un couvert forestier et pourraient entrer en contradiction avec la pratique de cette agriculture itinérante. Celle-ci prélève en effet, à chaque saison, un volume de bois soustrait au potentiel du massif concerné. Les plans simples de gestion des forêts communautaires prévoient une série agricole pour ne pas mettre en concurrence deux activités sur un même espace. Cela permet également de reconnaître la place socio-économique importante de l'agriculture en milieu rural. L'agroforesterie est une des clés pour articuler l'agriculture familiale et l'exploitation de la forêt communautaire. Conserver sur pied des arbres d'intérêt économique, social ou environnemental, d'une part, épargne de pénibles travaux d'abattage et, d'autre part, limite quantitativement l'impact de la coupe et du brûlis qui n'est plus systématique. L'introduction d'essences utiles, rares, protégées ou encore de bois d'oeuvre permet également d'élever la valeur économique et patrimoniale des parcelles agricoles tout en répondant aux exigences en matière de conservation et de durabilité du plan simple de gestion de la forêt communautaire. Par ce biais, l'agriculture familiale coutumière est pérennisée et sécurisée dans l'enceinte d'une portion de forêt légalement reconnue tandis que les techniques culturales y sont optimisées.
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Guillard, Joanny. "Le baobab et l'épicéa. Histoire d'une rencontre politique internationale sur les politiques forestières." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 208 (June 1, 1985): 3–10. https://doi.org/10.19182/bft1985.208.a19544.

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Abstract:
A l'invitation de la France, une réunion internationale appelée SILVA s'est tenue à Paris les 5, 6 et 7 février 1986. Son thème était « Arbres et forêts ». 62 états étaient représentés au plus haut niveau, ainsi que 24 institutions et autres organismes.Les travaux et communications ont porté sur « La lutte contre la sécheresse en Afrique tropicale sèche » et « La protection des forêts tempérées ».Un appel solennel, appelé Appel de Paris, a été lancé pour conserver et promouvoir l’arbre et la forêt dans l'intérêt des générations présentes et futures, et les participants se sont engagés à : protéger l'arbre et la forêt des menaces de tous ordres, lutter contre la désertification et accroître la présence des arbres, et développer la recherche et la formation et renforcer les échanges de connaissances.
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Schmit, Laura. "La dénaturation manifeste du statut de forêt de protection par le décret du 6 avril 2018." Revue Juridique de l'Environnement 43, no. 4 (2018): 719–31. http://dx.doi.org/10.3406/rjenv.2018.7430.

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Abstract:
Le statut de forêt de protection de 1922 symbolise l’accomplissement d’un régime forestier spécial strict et uniquement protecteur et conservateur des massifs forestiers classés. La logique originelle du classement était liée à la protection de l’Homme par les forêts situées en montagne, le long du littoral et des fleuves, contre les aléas naturels tels que l’érosion, les avalanches et glissements de terrain. La vision du statut de forêt de protection a cependant évolué à la suite de la création, en 1976, de nouveaux motifs permettant de classer en forêts de protection des forêts dites périurbaines, modifiant ainsi sensiblement l’application de la loi relative aux forêts de protection. Cette évolution du statut a de ce fait entraîné une confusion entre les deux objets concernés par la loi que sont les forêts de montagne et les forêts périurbaines, ouvrant ainsi la voie à des transformations plus profondes du régime forestier spécial. C’est alors, par le récent décret du 6 avril 2018, que la logique économique s’est définitivement implantée au sein de ce régime, assouplissant la rigidité de ce dernier au détriment de l’efficacité de la fonction de protection de ce statut.
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Deuffic, Philippe, Elodie Brahic, and Eve Dusacre. "La naturalité à petit pas. Evolution des regards et des pratiques sur une notion émergente." Revue forestière française 73, no. 2-3 (2022): 253–70. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5471.

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Abstract:
Si la forêt incarne la nature pour les Français, la notion de naturalité leur est beaucoup moins familière et leur semble relever du sauvage. Pourtant, certains signes montrent que ces représentations évoluent : les bois morts sont désormais tolérés, voire promus pour leur qualité écologique par les forestiers comme par le public ; les espaces dédiés à la naturalité tels que les réserves biologiques intégrales sont de plus en plus nombreuses sur le territoire métropolitain. Les raisons de cette adhésion restent cependant ambivalentes. Certains forestiers et usagers de la forêt le font pour éviter d’être accusé de négligence environnementale alors que d’autres sont vraiment convaincus de l’intérêt de laisser des espaces en libre évolution pour la biodiversité et la résilience des forêts face aux changements climatiques. Dans les deux cas, la naturalité retrouve progressivement et bon gré mal gré une place dans nos écosystèmes forestiers et nos représentations de la forêt.
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Aubréville, André, and Ilona Bossanyi. "Erosion under Forest Cover and Erosion in Deforested Areas in the Humid Tropical Zone." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 323, no. 323 (2015): 103. http://dx.doi.org/10.19182/bft2015.323.a31259.

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Abstract:
L’érosion par décapage ou par ravinement reste insignifiante sous la forêt dense tro- picale. Une érosion sérieuse peut certes se manifester localement sous couvert forestier, sous la forme de glissement de terrains saturés d’eau. De tels cas peuvent être observés à Madagascar, dans la forêt d’Anamalazoatra ou dans celle de Marojejy. Un cas connu d’érosion généralisée sous forêt dense se situe en Amazonie péruvienne, près de la petite localité de la Merced, sur des pentes très abruptes. Mais ce sont là des exceptions. Dans les temps géologiques, durant les périodes de transformations tectoniques, l’érosion peut aussi avoir été intense sous forêt dense, générant des reliefs tourmentés, parfois des « badlands ». Mais dans tous ces cas, l’érosion ne se produit sous forêt que lorsqu’il y a élé- vation du niveau de base des fleuves par rapport au niveau des océans, comme cela s’est manifesté durant les glacia- tions quaternaires. Là où la forêt manque aujourd’hui, se manifestent en revanche des phénomènes d’érosion parfois spec- taculaires. Ceux-ci peuvent prendre des proportions spectaculaires dans des régions autrefois forestières, récemment et sévèrement éclaircies. Les situations les plus extrêmes sont observées à Ma- dagascar, au Congo, au Gabon, au Brésil et dans la partie tempérée des USA, tout particulièrement dans le bassin cupri- fère du Tennessee. Ces exemples confir- ment pleinement la vertu antiérosive des forêts. Lorsque l’érosion est déclenchée, celle-ci ne peut être arrêtée qu’à grands frais, et dans des zones restreintes. La fo- rêt joue donc un rôle anti-érosif préventif à la fois naturel, peu coûteux, et opérant sur de larges étendues.Résumé adapté par la rédaction de la revue.
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Savoie, Jean-Marie, Marie Thomas, Eugénie Cateau, Nicolas Gouix, and Pierre Paccard. "Connaître les forêts anciennes et matures : comment ? pourquoi ?" Revue forestière française 73, no. 2-3 (2022): 179–209. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5468.

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Abstract:
Les forêts anciennes et matures constituent aujourd’hui en Europe occidentale les forêts les plus proches de la forêt dite primaire. Leurs attributs leur confèrent un fort potentiel d’accueil de biodiversité, particulièrement saproxylique. Depuis une quinzaine d’années, elles font l’objet d’inventaires, d’évaluations ou de cartographies sur une grande partie du territoire métropolitain. De nombreux projets sont en cours ou émergent, portés par diverses structures (parcs nationaux ou régionaux, réserves naturelles, Office national des forêts, conservatoires d’espaces naturels, conservatoires botaniques…). Les protocoles varient d’un projet à l’autre mais certains attributs sont relevés de façon quasi systématique. Les objectifs affichés diffèrent mais sont axés autour de quelques grands thèmes : prise en compte des forêts anciennes et matures dans les chartes ou les plans de gestion des aires protégées, dans les documents de gestion durable, dans l’élaboration de trames de vieux bois pertinentes, dans des projets de recherche visant à améliorer la connaissance de leur biodiversité ou de leur fonctionnement, dans des actions de communication et de sensibilisation en faveur de leur préservation.
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NZIGOU BOUCKA, Farrel, Conan Vassily OBAME, Francis MANFOUMBI, et al. "Cartographie de l’occupation du sol du Gabon en 2015 - changements entre 2010 et 2015." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection 223 (October 11, 2021): 118–28. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2021.567.

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Abstract:
La cartographie de l’occupation du sol du Gabon en 2010 et 2015 et celle des changements entre ces deux dates a été réalisée dans le cadre du programme OSFACO [1] par l'Agence Gabonaise d'Etudes et d'Observations Spatiales (AGEOS). Il s’agit de la première carte d’occupation du sol de référence à l’échelle nationale dont la légende est issue d’une concertation des acteurs majeurs du secteur forestier gabonais. Cette carte a été obtenue en affinant celle du couvert forestier du Gabon (forêt/non forêt) obtenue dans le cadre des projets OSFT [2] et GEOFORAFRI [3]. La cartographie s’est basée sur l’utilisation des images satellitaires SPOT 5/7, Sentinel 2 pour l’année 2015 et les images SPOT 4, ASTER et ALOS 1 pour l’année 2010. Les méthodes de classification semi-automatisée et d'amélioration manuelle ont été combinées pour une meilleure précision des classes d’occupation du sol. Les résultats obtenus mettent en évidence 10 classes d’occupation du sol représentant les grands ensembles paysagers du pays, dominés par les forêts qui occupent 89% de la superficie totale du Gabon en 2015. Les classes d’occupation du sol qui ont le plus évolué entre 2010 et 2015 sont les forêts, les savanes, les terres agricoles et les surfaces artificialisées. Les principales pertes en forêt sont liées à la conversion des forêts vers les surfaces artificialisées, les terres cultivées et les sols nus. Les gains en forêt les plus importants quant à eux sont observés au niveau de la fermeture des pistes forestières. La validation du produit, réalisée par une équipe indépendante de celle qui a produit la carte, s’est basée sur une donnée de référence issue d’un plan d’échantillonnage combinant une composante systématique et aléatoire suivant la méthodologie de Sannier et al. (2016). L’analyse de la correspondance entre la donnée d’occupation du sol produite et la donnée de référence a permis d’estimer la précision globale à 95%. [1] Observation Spatiale des Forêts d’Afrique Centrale et de l’Ouest, projet financé par l’Agence Française de Développement (AFD), de 2016 à 2020.[2] Observation Spatiale des Forêts tropicales, projet financé par l’AFD, de 2011 à 2015.[3] Renforcement des capacités et accès aux données satellitaires pour le suivi des forêts en Afrique Centrale et de l’Ouest, projet financé par le Fonds Français pour l'Environnement Mondial (FFEM), de 2012 à 2017.
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Vacher, Pascal. "Des chemins de traverse qui ne mènent pas nulle part : Forêts, de Wajdi Mouawad, ou l’entrelacs de l’histoire et de l’intime, du politique et du psychique." Voix Plurielles 16, no. 2 (2019): 106–16. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v16i2.2312.

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Abstract:
« Ma mémoire est une forêt dont on a abattu les arbres ». Le titre de cette pièce de Wadji Mouawad est au pluriel car la forêt est polysémique. Elle est d’abord un espace ardennais au sein duquel se trouve un domaine à l’écart de tout, conçu pour échapper à l'Histoire ainsi qu’à l’histoire de la famille Keller. Mais c’est dans ce lieu utopique que resurgit violemment l’histoire, au point que le zoo qui devait être une arche de Noé devient le lieu même de la traversée de l'intime par l'histoire, la psyché de chaque personnage étant métaphoriquement une forêt, chargée de sa mémoire et de celle de sa généalogie nécessairement marquée par l’histoire cauchemardesque du vingtième siècle. Chacune de ces forêts (psychiques et historiques) réagit sur les autres, le spectateur s'y perdant d'abord et retrouvant à la fin le fil qui permet à sa psyché de se réparer afin qu'émerge de cet entrelacs une subjectivité partagée entre personnages et spectateurs, désormais aptes à devenir sujets de leur histoire.
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Blanc, Romain, and Mélila Saucy. "Challenges forestiers – réponses sylvicoles." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 173, no. 5 (2022): 222–29. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2022.0222.

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Abstract:
Résumé La forêt suisse, par une gestion adaptée, rend de nombreux services à la société qui sont résumés par les quatre fonctions forestières: protection, économie, écologie et accueil. Cependant, les propriétaires et gestionnaires forestiers se retrouvent face à des difficultés pour assurer le maintien de cette multifonctionnalité. Cette synthèse bibliographique dresse une liste des grandes problématiques actuelles auxquelles ils sont confrontés, ainsi que des recommandations sylvicoles y relatives à leur disposition. Une enquête auprès des services forestiers cantonaux a étayé cette démarche et consolidé les résultats. Neuf problématiques impactant la gestion des forêts de manière notable et globale se sont démarquées: changements climatiques, problèmes économiques et leurs effets, attaques de scolytes, dégâts du gibier, augmentation des activités de détente et de loisirs, promotion de la biodiversité, atteintes aux sols forestiers, effets de la forêt sur l’eau potable, et feux de forêt. En réponse, la synthèse des recommandations sylvicoles relatives à ces problématiques a permis d’aboutir à 22 mesures principales les influençant dans une perspective de multifonctionnalité durable. 14 de ces recommandations sylvicoles correspondent à différentes notions caractéristiques de la «sylviculture proche de la nature», et douze d’entre elles s’avèrent inhérentes au mode de traitement de la forêt irrégulière, qui se montre donc particulièrement favorable à leur application.
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Maroteaux, Vincent. "Les forêts péri-urbaines, milieu de loisir : le cas de la région parisienne à l'époque moderne et contemporaine." Hors-collection des Cahiers de Fontenay 9, no. 1 (1991): 91–107. http://dx.doi.org/10.3406/cafon.1991.915.

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Abstract:
Comme espaces de loisir, les forêts de la région parisienne ont connu deux types d'usages. Ces forêts ont d'abord été le lieu des chasses royales et des promenades de la Cour et du Roi. Après le Second Empire seulement, les chasses officielles se sont réduites et la chasse a pu s'exercer par le biais de locations, avant bien souvent de devenir totalement marginale. A partir de ce moment en effet, le rapport de la ville à la forêt a changé. Celle-ci a tendu à devenir un espace de tourisme et de détente pour les citadins, alors que la ville ne cessait de croître. Ces usages ont entraîné des aménagements particuliers de la forêt. Pour la chasse à courre et les promenades du Roi, les forêts sont percées d'un très important réseau de routes en étoiles. La chasse intervient aussi dans les choix d'exploitation. Sous la Restauration, on aménage des tirés spéciaux pour le petit gibier, comme il en subsiste à Marly. La transformation des forêts péri-urbaines en espaces de récréation citadine entraîne de nouvelles mutations de l'espace forestier. Des réserves «artistiques» sont créées, où l'on exploite seulement les arbres morts, un effort est fait pour diminuer l'impact des coupes, la futaie est étendue (et on s'oriente même actuellement vers une conversion systématique). Cette recherche d'agrément se retrouve dans le recours à des essences ornementales. On aménage aussi aires de jeux, parkings, etc. La forêt péri-urbaine évolue vers le parc, à l'image de ce qui s'est passé dès le siècle dernier pour le Bois de Boulogne. Se trouve ainsi résolue la question «production ou agrément ?», posée dès l'Ancien Régime. A cette époque, comme au XIXe siècle, cependant, les forêts de la région parisienne, du moins les forêts domaniales, ont toujours été productives et d'un bon rapport à l'exploitation. C'est seulement à la suite des instructions ministérielles de 1964 que le rôle récréatif des forêts de l'Ile-de-France à commencé à l'emporter sur leur fonction productive.
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Koo, Halia. "Une esthétique de l’esquive : stratégies de résistance et de retrait dans l’espace sylvestre de Sylvain Tesson." Voix Plurielles 16, no. 2 (2019): 37–58. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v16i2.2308.

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Abstract:
« Recourir aux forêts, c’est tourner le dos à la laideur moderne », écrit Sylvain Tesson, qui voit dans ce « recours » aux forêts un retour allégorique à l’état édénique, et une manière de lutter contre le dérèglement des rapports de l’humain avec son milieu naturel. Son pessimisme lucide et sa mélancolie existentielle teintée de fatalisme tentent de se ménager une échappée dans l’univers de la forêt, une attitude de repli qui oscille entre résistance et reddition, reproduisant le modèle idéologique du penseur Ernst Jünger. L’apparente démission de Tesson et l’absence d’engagement actif n’excluent toutefois pas la prise de conscience d’une responsabilité éthique vis-à-vis de la nature. Si ses textes ne proposent pas de solutions tangibles aux problèmes de la planète, son esthétique de l’esquive et ses stratégies de résistance constituent des outils de persuasion qui prêtent une certaine éloquence à son plaidoyer pour une forêt en voie de disparition.
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Agbahoungba, Symphorien, Achille Ephrem Assogbadjo, Flora Josiane Chadare, et al. "ECOLOGICAL DIVERSITY AND CONSERVATION OF WILD EDIBLE FRUIT TREE SPECIES IN THE LAMA FOREST RESERVE IN BENIN." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 329, no. 329 (2017): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.329.a31312.

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Abstract:
Une bonne connaissance des interac- tions entre les forêts et les communautés humaines voisines est indispensable à la gestion participative des ressources forestières. La présente étude s’est atta- ché à déterminer la diversité écologique des arbres sauvages à fruits comes- tibles (ASFC) dans la Réserve forestière de Lama, zone protégée dans le sud du Bénin, et à définir des stratégies de conservation adaptées. Un inventaire des ASFC a été réalisé sur 53 placettes systématiquement délimitées dans des forêts denses typiques, de forêt dense dégradée et de jachère dans la Réserve forestière de Lama, ainsi qu’une enquête ethnobotanique auprès de 136 partici- pants. Les habitats des ASFC ont été iden- tifiés à partir d’une Analyse des Corres- pondances Simples sur les données de densité. Une liste d’especes prioritaires a été générée par la méthode des rangs composés : Dialium guineense, Diospy- ros mespiliformis, Drypetes floribunda, Mimusops andogensis et Pterocarpus santalinoides en forêt dense typique ; Pancovia bijuga, Psidium guajava et Lecaniodiscus cupanioides en forêt dense dégradée ; Ficus capensis et Spon- dias mombin dans les jachères. Contrai- rement aux autres essences, la densité moyenne de D. guineense, D. mespili- formis, D. floribunda, L. cupanioides et M. andongensis varie de manière signifi- cative (P < 0,01) selon les types de végé- tation. Les ASFC recensés sont principa- lement utilisés dans l’alimentation et la pharmacopée. Les essences à conserver en priorité sont P. guajava, S. mombin, F. capensis, P. santalinoides et P. bijuga. Des efforts de protection renforcés sont nécessaires en forêt dense dégradée et dans les zones de jachère pour assurer la conservation de ces essences. D’autre part, il convient d’intégrer les ASFC prio- ritaires dans des programmes de planta- tion afin de réduire la pression des com- munautés humaines voisines.
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Sebag, Lucien. "En forêt." Gradhiva, no. 2 (November 1, 2005): 125–27. http://dx.doi.org/10.4000/gradhiva.508.

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Raynaud, Philippe. "Forêt métaphysique." Commentaire Numéro 110, no. 2 (2005): 510–11. http://dx.doi.org/10.3917/comm.110.0510.

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Van Peteghem, Gilles, and Vincent Piveteau. "Penser forêt." DARD/DARD N° 10, no. 1 (2024): 162. http://dx.doi.org/10.3917/dard.010.0162.

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Gauquelin, Thierry. "La Forêt." Pour la Science N° 557 – mars, no. 3 (2024): 19a. http://dx.doi.org/10.3917/pls.557.0019a.

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Jung, Sacha, Claude Husson, and Maurane Buradino. "« Quelle organisation collective pour faire face aux crises ? » : synthèse de l’atelier." Revue forestière française 74, no. 2 (2023): 289–91. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2023.7612.

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Abstract:
La filière forêt-bois connaît depuis toujours une succession de crises et de difficultés que les professionnels sont amenés à gérer : état sanitaire des forêts, tempêtes, adéquation ressource / besoins… Pour y répondre le plus efficacement possible, il est important d’identifier les acteurs compétents et de mobiliser l’ensemble de la filière, pour trouver collectivement des solutions adaptées. Les expériences passées, l’identification des difficultés, ainsi que l’apport des chercheurs doivent permettre d’anticiper au mieux la gestion de nouveaux épisodes de crise, tout en limitant leurs conséquences néfastes. Messages clésLa filière forêt-bois gère depuis des années une succession de crises.Les prises de décision nécessitent d’identifier les acteurs compétents.Les prises de décision doivent se fonder sur les expériences du passé.
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Bernier, Nicolas, and Jean-Yves Trosset. "Bois pourri et santé des forêts : exemple du mélange épicéa (Picea abies [L.] Karst.) et mélèze (Larix decidua Mill.) en forêt subalpine de Sainte-Foy-Tarentaise (Savoie)." Revue forestière française 75, no. 2 (2024): 101–13. https://doi.org/10.20870/revforfr.2024.8152.

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Abstract:
La coexistence du mélèze et de l’épicéa est interrogée à la lumière des multiples pressions que subissent les forêts subalpines. L’hypothèse énoncée par cette étude est que l’impact de la durée d’ensoleillement, de la végétationconcurrente et de la forme d’humus (les trois composantes majeures de la niche de régénération) s’exerce à l’échelle du mètre. Cette étude démontre le rôle important du bois pourri dans la régénération forestière, contrariant ainsi la vision d’une forêt s’écroulant sous l’accumulation de sa nécromasse (phase de « sénescence »). Notre rapport aux forêts doit donc se nourrir d’un dilemme qui interroge l’impact réel de l’exportation de bois sur la santé de cet écosystème. Messages clés :- Sénescence et régénération sont interdépendants. Ils sont le reflet de la santé de la forêt.- Le bois mort au sol n’est que « la partie émergée de l’iceberg ». L’essentiel est incorporé à l’humus.- Il faut ajouter la santé aux quatre fonctions forestières déjà reconnues, qui sont : la production, la protection, la récréation, la conservation.
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Matoumouene Goma, Amour Macelvi. "Caractérisation des services écosystémiques fournis par la forêt ripicole de Djiri, République du Congo." Revue Ecosystèmes et Paysages 3, no. 2 (2023): 1–15. http://dx.doi.org/10.59384/recopays.tg3202.

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Abstract:
La forêt de Djiri est l’une des forêts périurbaines de Brazzaville. Depuis le début des années 2000, l’urbanisation accélérée et l’occupation anarchique à Brazzaville met en péril cette forêt qui, perd peu à peu sa superficie. Les biens et les services fournis par celle-ci reste encore moins connus. Cette étude est menée dans l’objectif de caractériser les services écosystémiques fournis par la forêt de Djiri. Pour ce faire, les enquêtes ethnobotaniques et ethnoécologiques ont été menées en se basant sur un questionnaire, auprès de la population riveraine de cette forêt. Les interviews réalisées pendant 3 mois auprès de 498 informateurs en utilisant des entretiens directs ont permis d’obtenir les données qualitatives. Il ressort des résultats de cette étude que la majorité des informateurs sont des hommes (50,80 %). Les services écosystémiques les plus fournis sont les services d’approvisionnements (48 %), de régulation (35 %) ainsi que culturels et de support (17 %). Pour les services d’approvisionnement, l’alimentation humaine (39 %) est la plus représentative. Pour l’alimentation humaine, les fruits (27 %) sont les plus consommés. Les fruits de Aframomum spp (23,92 %). Les tiges de Laccosperma secundiflorum (P. Beauv) Kuntze (64,67 %) dominent. Les animaux dominants sont des poissons (53,40 ± 5,06 %). Pour les services de régulation, la production d’oxygène (17 %) est la plus citée. Quant aux services culturels et de supports, les plaisirs récréatifs c’est-à-dire des randonnées, l’écotourisme, …et la source d'inspiration représentent (23 %) sont les plus cités. Cette étude montre que la forêt de Djiri joue un rôle capital dans la régulation du climat ainsi qu’à l’amélioration de la qualité de vie de la population riveraine en particulier et mondiale en général, par conséquent mérite d’être conservée.
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Fapa Nanfack, Rodrigue, Nancy Gélinas, Kadiri Serge Bobo, Hugo Asselin, François Hiol Hiol, and Carine Atole Ntatsoula. "Déterminants de la gouvernance forestière dans les forêts communautaires de l’Est-Cameroun." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 343 (March 13, 2020): 53–66. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.343.a31713.

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Abstract:
Au Cameroun, les communautés locales font face à des défis de gouvernance forestière et de propriété des forêts communautaires. Les déterminants du succès de la gouvernance forestière ont été étudiés dans douze forêts communautaires (FC) de l’Est-Cameroun. Des groupes de discussion et des entrevues individuelles ont permis de réaliser la cartographie des acteurs d’appui, de documenter la perception de la gouvernance des forêts communautaires et d’en identifier les déterminants, pour ensuite proposer une échelle de gouvernance des forêts communautaires. Les résultats montrent que les acteurs d’appui influencent grandement la création des forêts communautaires. L’exception de la FC A3 montre qu’une communauté peut créer une forêt communautaire sous la seule impulsion du chef traditionnel, sans soutien extérieur. La perception de la gouvernance forestière par les communautés était positive lorsque l’appui à la création de la forêt communautaire provenait d’acteurs tournés vers la communauté (organisations non gouvernementales, administration des forêts et Église) et négative lorsque l’appui provenait d’acteurs tournés vers la ressource ligneuse (élites et opérateurs forestiers privés). Le diagramme des déterminants relationnels entre communautés et acteurs d’appui, basé sur la cohésion entre les principes de gouvernance (participation, transparence, légitimité, équité, intégration, imputabilité, capacité et adaptabilité), met en évidence les actions correctives possibles pour mieux tenir compte des besoins des communautés afin d’atteindre la dévolution sur l’échelle de la gouvernance.
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Kimpolo, Luc, Saint Fédriche Ndzai, and Félix Koubouana. "Richesse Floristique Et Stockage De Carbone De La Zone Agricole De La Forêt De Kissila Dans Le Mayombe Congolais." European Scientific Journal ESJ 17, no. 40 (2021): 1–19. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n40p1.

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Abstract:
La gestion durable des forêts reste un problème majeur que doit faire face la communauté internationale et locale dans la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts. Ces forêts connaissent de nos jours une dégradation très accentuée principalement causée par les pratiques agricoles. Cette étude a pour objectif d’évaluer la richesse floristique et d’estimer le stock de carbone aérien afin de contribuer à une meilleure connaissance des ressources naturelles de cette forêt du Mayombe en général et celle du village Kissila en particulier. Cinq parcelles de 50 m de côté chacune ont été installées avec une superficie totale de 12.500 m² soit 1,25 ha. Tous les arbres de Diamètre à Hauteur de la Poitrine (DHP) ≥10 cm ont été inventoriés à 1,30 m du sol dans chaque parcelle. La richesse spécifique, le spectre écologique, les indices de diversité floristique, ainsi que les paramètres structuraux ont été étudiés. La biomasse aérienne a été calculée à partir de l’équation allométrique de Djomo et l’estimation du carbone par la biomasse aérienne x 0,47. L’inventaire floristique a permis d’identifier 309 arbres répartis en 79 espèces, 63 genres et 32 familles. La famille des Annonaceae (11,39 %°) est la plus représentée qualitativement et celle des Olacaceae quantitativement (11,65%). Les indices de diversité de Shannon tendent vers 5, la densité à l’hectare et la surface terrière moyenne sont de 247 arbres et 10,71 m²/ha. La biomasse aérienne moyenne calculée est de 311,76tC/ha et le stock de carbone aérien moyen est de 89,5 tC/ha. Cette étude montre que la forêt de cette zone peut être classée comme une forêt secondaire fortement perturbée.
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Aoudji, Augustin Kossi N., Armand Sèdami Igor Yévidé, Jean Cossi Ganglo, et al. "Structural characteristics and forest sites indentification in Pahou forest reserve, South-Benin." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 308, no. 308 (2011): 47. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.308.a20473.

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Abstract:
L'étude phytosociologique de la forêt classée de Pahou au Sud du Bénin a été réalisée dans une perspective de gestion durable. L'évaluation des communautés végétales a été menée suivant une approche de phytosociologie synusiale intégrée. Les sols ont été caractérisés d'après leurs profils pédologiques et leurs propriétés physico-chimiques. Les paramètres sylvicoles ont été collectés au sein de placettes temporaires, chacune de 300 m² de surface, installées au sein de sites représentatifs de la forêt. Cette étude a permis d'identifier et de décrire cinq phytocénoses (communautés végétales). Deux cent quarante-sept (247) espèces de plantes ont été inventoriées dans le sous-bois des plantations d'Acacia auriculiformis de la forêt de Pahou ; elles appartiennent à deux cent neuf (209) genres et soixante et onze (71) familles. Les accroissements moyens annuels en diamètre et en hauteur variaient respectivement de 1,2 à 3,1 cm/an et 1,4 à 4,2 m/an. Ces résultats ont montré que les plantations d'acacias de Pahou sont parmi les plus productives d'Afrique de l'Ouest. Les relations entre les facteurs écologiques et la productivité des différentes communautés végétales, ont permis d'identifier et de cartographier quatre types de forêts dont la plus productive est représentée par la communauté végétale Barteria nigritana et Rauvolfia vomitoria et la moins productive par la communauté à Axonopus compressus et Scleria depressa. Des recommandations ont été faites pour utiliser ces indicateurs phytosociologiques en tant qu'outils de gestion durable de la forêt. (Résumé d'auteur)
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Viselli, Antonio. "Une écopoétique de la désorientation dans la forêt du langage de Jean Chicoine." Voix Plurielles 16, no. 2 (2019): 117–31. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v16i2.2313.

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Abstract:
Malgré son titre, la forêt du langage (2010) de Jean Chicoine évoque en apparence très peu la forêt, privilégiant l’écopoétique d’une désorientation qui accompagne l’espace sylvain pourtant propice à l’inspiration littéraire dans le roman. Quand l’auteur-narrateur commence à écrire, il décrit cette initiation comme une entrée dans la forêt, lui qui rédige dans le village Osborne de Winnipeg où coexistent de nombreux environnements linguistiques hybrides, une contiguïté de registres apparemment incompatibles sur laquelle se fonde la polyphonie linguistique et poétique fondamentale à la forêt chicoinienne. Loin de l’espace-temps de la « Confusion corner » d’Osborne, la forêt touffue de Chicoine se manifeste surtout de manière intertextuelle, plus précisément dans trois coprésences textuelles dans lesquelles la forêt occupe une place primordiale. Dans la présente étude qui relie théoriquement l’écopoétique et l’intertextualité, il est question de la forêt dantesque, de la forêt symboliste chez Baudelaire, et également de l’haleine sylvaine mallarméenne.
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Kokutse, Adzo Dzifa, Afiwa Dzigbodi Akpenè, Olivier Monteuuis, et al. "SELECTION OF PLUS TREES FOR GENETICALLY IMPROVED TEAK VARIETIES PRODUCED IN BENIN AND TOGO." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 328, no. 328 (2017): 55. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.328.a31302.

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Abstract:
Cette étude vise la sélection d’arbres« plus » sur la base des caractères den- drométriques et des propriétés du bois dans des plantations de teck au Bénin et au Togo. La croissance de 569 arbres dans 5 forêts au Togo et 90 arbres dans 3 forêts au Bénin a été évaluée en mesu- rant le diamètre à hauteur de poitrine, la hauteur totale et la hauteur du fût. Les propriétés suivantes du bois ont été éva- luées et prises en compte pour la sélec- tion finale d’arbres « plus » : densité, pourcentage de bois de cœur et couleur. La durabilité naturelle du bois de cœur, le point de saturation des fibres, le module d’élasticité et les retraits ont été évalués sur la base de modèles spectroscopiques dans le proche infrarouge, préalablement construits. Nos résultats montrent qu’au Togo la variabilité inter-arbres en forêt est assez forte pour l’accroissement annuel en hauteur (0,81 ± 0,27 m), en circonfé- rence (2,95 ± 1,02 cm) et en hauteur des fûts (10,64 ± 3,51m). Au Bénin, si les per- formances dendrométriques des arbres ne varient pas de façon significative entre les forêts, pour la hauteur des fûts (10,99 ± 3,80 m), les valeurs du coeffi- cient de variation sont plus élevées (40 %) pour la forêt de Koto. Prenant en compte les propriétés du bois, la sélection finale multicritères montre que les peuplements d’Avétonou et de Tchorogo au Togo consti- tuent un groupe homogène affichant les plus fortes valeurs pour la densité du bois et le pourcentage de bois de cœur. Les arbres des forêts de Haho-Baloe et Eto ont des valeurs plus faibles pour la dura- bilité naturelle, le module d’élasticité, le pourcentage de bois de cœur et la densité du bois. Au Bénin, les arbres de la forêt d’Agrimey ont une densité plus élevée mais les valeurs pour le point de satu- ration des fibres, la durabilité naturelle et le retrait du bois sont similaires pour les trois forêts. La variabilité des perfor- mances dendrométriques et de la qualité du bois des arbres-candidat nous ont per- mis de sélectionner 33 arbres « plus ».
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Hétu, Bernard. "Évolution récente d’un talus d’éboulis en milieu forestier, Gaspésie, Québec." Géographie physique et Quaternaire 44, no. 2 (2007): 199–215. http://dx.doi.org/10.7202/032818ar.

Full text
Abstract:
RÉSUMÉ Recouverts par la forêt dans leur partie inférieure, les talus d'éboulis des basses vallées gaspésiennes sont très dynamiques plus haut sur le versant, où la forêt est rapidement remplacée par des nappes de pierraille très mobiles. Des tranchées excavées dans les fronts forestiers sur les éboulis de la vallée de Mont-Saint-Pierre montrent que partout la forêt est en régression au profit des nappes de pierraille. L'analyse stratigraphique et dendrochronologique d'un éboulis représentatif a permis de reconstituer l'évolution d'un front forestier sur plus d'un siècle. Au XIXe siècle, le front forestier était situé plus bas sur le versant, soit 10 à 15 m au moins derrière sa position actuelle (Petit Âge glaciaire?). Après une période d'expansion des forêts sur le versant, au début du XXe siècle, au cours de laquelle le front forestier s'est déplacé vers le haut, au-delà de son tracé actuel, on enregistre un recul du front forestier, important, surtout à partir des années 1950-60. La forêt s'étiole; le sous-bois est peu à peu envahi par les blocs roulés et les paquets de débris transportés par les avalanches. Par endroits, l'épaisseur de pierraille accumulée dépasse les 75 cm. Les données stratigraphiques montrent que le recul récent du front forestier correspond à une augmentation de la fréquence des avalanches. Le site étudié enregistre au moins neuf avalanches chargées de débris depuis 1950-60, alors qu'il n'en recevait aucune au cours de la première moitié du XXe siècle. Cette sédimentation en milieu forestier produit des faciès très originaux où alternent les nappes de blocs roulés, accumulées durant les périodes d'expansion du couvert forestier, et les couches de pierraille plus fine déposées par les avalanches lors de la dégradation des fronts forestiers. Les oscillations du front forestier sont difficiles à interpréter à partir d'un seul site. Il pourrait s'agir d'un phénomène local, déclenché par des feux de forêt ou les déboisements anthropiques, mais elles pourraient correspondre aussi à une tendance régionale influencée par révolution récente du climat.
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