Academic literature on the topic 'Forêts communautaires'

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Dissertations / Theses on the topic "Forêts communautaires"

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Kouna, Eloundou Charlotte Gisèle. "Décentralisation forestière et gouvernance locale des forêts au Cameroun : le cas des forêts communales et communautaires dans la région Est." Phd thesis, Université du Maine, 2012. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00795695.

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Abstract:
Étudier la mise en œuvre de la décentralisation forestière au Cameroun est l'objet de cette recherche dont la question principale est de savoir si le transfert de la gestion des forêts aux communes et communautés villageoises conduit à de nouvelles formes de gouvernance concourant au développement socio-économique local et à la conservation des forêts dans la région Est. Les résultats de cette étude, basée sur une méthodologie pluridisciplinaire et utilisant la gouvernance comme cadre d'analyse, indiquent des relations complexes d'interdépendances inégales entre les communes et les communautés villageoises vis-à-vis des exploitants forestiers. Ils montrent également des rapports de dépendance de ces trois catégories d'acteurs vis-à-vis de l'État dont le pouvoir autoritaire reste fort et prégnant. Quant au développement socio-économique et à la conservation des forêts escomptés, les résultats obtenus sont en-deçà des espérances dans les communes de Gari Gombo et de Yokadouma. Certes l'on note quelques retombées socio-économiques pour les populations locales mais de nombreuses faiblesses limitantes pour une gouvernance efficace sont mises en lumière. Des perspectives pour une gouvernance efficace, au Cameroun en général et dans la zone d'étude en particulier, suggèrent l'organisation d'une action collective autour d'un objectif partagé, relatif au développement socio-économique et/ou à la conservation des forêts, entre les différents acteurs stratégiques pertinents. Il est également important que les bénéficiaires des forêts communales et communautaires en tirent des revenus suffisants pour réaliser des projets de développement local et assurer la régénération forestière.
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Tonye, Daniel. "Évaluation de l'impact de la gestion des forêts communautaires au Cameroun." Thesis, Université Laval, 2008. http://www.theses.ulaval.ca/2008/25188/25188.pdf.

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Abstract:
Depuis plus d’une décennie, le Cameroun implique dans sa politique forestière, les populations locales dans la conservation et la gestion durable des ressources forestières nationales et la lutte contre la pauvreté. Si le processus de foresterie communautaire (FC) est porteur d’espoir pour certains, il crée des soucis à d’autres à cause des difficultés liées à sa mise en application sur le terrain. L'objectif général de cette étude était d’intégrer les organisations paysannes à l’évaluation de l'impact des forêts communautaires sur les conditions de vie des populations locales au Cameroun. Les résultats d’études précédentes et celles issues d'une enquête conduite dans le milieu d’étude ont fourni une meilleure connaissance de la situation. L’enquête a été menée pour comprendre les difficultés liées à l'acquisition d'une forêt communautaire et les indicateurs de leur impact sur les conditions de vie des populations. Trente deux (32) organisations paysannes qui possédaient des forêts communautaires, et quatre (4) personnes ressources du Ministère de la Forêt et de la Faune (MINFOF) ont été interviewés. Les résultats ont montré que, la durée d’acquisition d’une forêt communautaire est longue (4 ans) pour la majorité des organisations paysannes (OP) (47 %), et les coûts y relatifs sont élevés, variant entre 10 000 000 FCFA et 19 999 995 FCFA, pour 47% des organismes. Les O.N.G. jouent un rôle clé dans l’accompagnement des OP qui ont établies des comités de gestion dans le processus d'acquisition de forêts communautaires. Tous les organismes interviewés font face à des difficultés à élaborer un plan simple de gestion (PSG). 75 % des répondants ont cité le manque d'expertise et de moyens financiers comme obstacles majeurs dans l'exécution de leur PSG. Des problèmes surgissant au sein des organisations sont résolus par les communautés elles-mêmes, alors que ceux opposant les organisations aux entités externes, le sont par une autorité établie. Une observation importante de notre étude est que, toutes les OP acceptent la décision ministérielle qui limite l'exploitation de la forêt communautaire au niveau artisanal. Notre étude indique aussi que, les PSG influencent les conditions de vie des populations locales. Toutefois, des études ultérieures sont nécessaires pour évaluer l'impact écologique des forêts communautaires au Cameroun.<br>For more than a decade, Cameroon involves in its forest policy, the local communities in the conservation and the sustainable management of the national forest resources and the struggle against poverty. If the process of community forest is a source of hope for some, it could create worries to others because of the difficulties linked to its implementation. The general objective of this study was to integrate the local organizations into the evaluation of the impact of community forest management on the living conditions of local communities in Cameroon. Results of previous studies and a survey conducted in the country revealed clues knowledge of the situation. The survey was conducted to understand the difficulties linked with the acquisition of a community forest and the indicators of their impact on the living conditions of the populations. Thirty two farmers’ organizations which owned communities forests, and four resource persons of the Ministry of forest and fauna (MINFOF) were interviewed. Results showed that, the duration needed to acquire a community forest is long (4 years) for the majority of the organizations (47 %), and the related costs were high, varying between 10 000 000 fcfa and 19 999 995 fcfa, for 47% of the organizations. NGOs played key role in accompanying the organizations who have an established management comity in the process of community forest acquisition. All the interviewed organizations faced difficulties in elaborating their simple management program (SMP). Seventy five per cent (75 %) of the referees quoted the lack of expertise and financial means as main obstacles in the execution of their SMP. Problems rising within the organization are solved by the communities themselves, while those opposing the organizations and external entities are solved through an established authority. A major observation of our study is that, all the organizations agree with the ministerial decision to limit the exploitation of community forest to an artisanal one. Our study reveals also that, SMP has effects on the living conditions of the local communities. But, subsequent studies are necessary to investigate the ecological impact of community forest in Cameroon.
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Ngoumou, Mbarga Hubert. "L'action collective locale et la gestion des forêts communautaires : cas des communautés rurales de Djoum au Sud Cameroun." Thesis, Bordeaux 3, 2014. http://www.theses.fr/2014BOR30012/document.

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Abstract:
La recherche porte sur l’action collective locale et la gestion des forêts communautaires à Djoum au Sud Cameroun. Elle analyse l’approche gouvernementale d’octroi et de gestion communautaire des ressources forestières, afin de responsabiliser et d’autonomiser les communautés villageoises dans la prise en charge des activités de production économique pour réduire la pauvreté, améliorer les conditions de vie et assurer le développement local. L’objectif est de rendre compte de la capacité des forêts communautaires à fournir des avantages économiques pour répondre à ce défi. C’est aussi pour rendre compte des territoires villageois, vus comme l’échelle de référence pour la gouvernance des forêts communautaires et de l’influence de l’identité spatiale sur l’organisation communautaire de cette gestion. La méthodologie mise en œuvre est pluridisciplinaire. Les résultats de notre étude montrent plusieurs faiblesses structurelles. Les forêts communautaires étudiées sont des espaces spécialisés en plusieurs zones, correspondant chacune à des usages particuliers. Cette perspective exclue l’exploitation du bois d’œuvre sur toute la surface de l’espace forestier. Pourtant toutes les forêts communautaires sont divisées en secteurs quinquennaux, eux-mêmes divisés en parcelles annuelles d’exploitation de bois. Ensuite, ces forêts ont été fortement perturbées dans le passé, un indicateur qui devrait les destiner plus à la conservation qu’à l’exploitation. Mais ce n’est pas le cas, toutes les communautés ou presque, ayant opté pour leur exploitation. De même, les volumes de bois exploités dans ces forêts sont très faibles, ce qui atteste clairement que les possibilités qu’on leur attribue dans les plans simples de gestion sont fausses. Au plan des réalisations socioéconomiques et des emplois créés, le bilan est très loin des espoirs engendrés. Les quelques emplois créés sont de type temporaire, précaires et non qualifiés. Par ailleurs, l’exploitation du bois d’œuvre n’a généré jusqu’ici, aucune infrastructure ni réalisation socioéconomique collectives, puisque les revenus ex post générés restent largement inférieurs aux prévisions financières ex ante. Enfin, ces forêts sont assises sur des espaces appropriés. Cette situation soulève des équivoques sur leur statut supposé de biens communs et pose la question du partage de leurs retombées économiques. D’autres faiblesses dites conjoncturelles existent et expliquent la léthargie dans laquelle sombre l’organisation communautaire de la gestion des forêts. Nos résultats ont montré la défaillance des acteurs communautaires à se situer par rapport à leur objectif. Leurs capacités à s’approprier un projet et à mettre en œuvre une vraie stratégie de mobilisation collective sont également défaillantes. Le manque de solidarité communautaire et la non valorisation des savoirs et savoir-faire locaux rendent les communautés vulnérables dans les partenariats qu’ils nouent et renforcent le poids et l’influence des acteurs extérieurs. Sur les territoires villageois comme échelle de référence pour la gouvernance des forêts communautaires, l’étude a montré que ceux-ci apparaissent comme des lieux d’expression des divisions, des dissensions, de fabrique des soupçons et gouvernés par l’individualisme. Les organisations communautaires sont à leur tour décrites comme des dispositifs de mise à distance, minés par les pressions exercées par les acteurs porteurs de logiques différentes, des stéréotypes et des représentations qui inhibent plutôt l’action collective communautaire. Ce sont aussi des dispositifs contrôlés par l’appât du gain. Les forêts communautaires produisant peu ou pas d’argent, la démobilisation collective ici prend alors tout son sens.L’étude s’achève avec les perspectives à envisager pour faire de l'action collective locale l'outil sans lequel l’atteinte des objectifs d’amélioration des conditions de vie, de réduction de la pauvreté et les perspectives de développement local, n'est pas envisageable<br>The research focuses on local collective action and management of community forests in southern Cameroon, at Djoum. It analyzes the government’s approach for granting and community management of forest resources, in order to empower and empowering village communities in the management of economic production activities to reduce poverty, improve living conditions and ensure local development. The objective is to realize the capacity of community forests to provide economic benefits to meet this challenge. It is also to account for village territories, seen as the reference scale for the governance of community forests and the influence of the spatial identity on community organization of this management. The implementation methodology is multidisciplinary. The results of our study show several structural weaknesses. First, it appears that the studied community forests are spaces specialized in several areas, each corresponding to particular uses. This perspective excludes timber exploitation on the entire surface of forest area. Yet all Community forests are divided into five-year sectors, themselves divided into annual surfaces of timber exploitation. Then, these forests have been heavily disturbed in the past, an indicator that should send these more to conservation than the exploitation. But this is not the case, all communities or almost, having opted for their exploitation. Similarly, the volumes of wood exploited in these forests are very low, which clearly demonstrates that the possibilities that ascribed to them in the management simple plan are false. In terms of socio-economic achievements and jobs created, the balance sheet is very far from begotten hopes. The few jobs created are temporary, precarious and unqualified. Moreover, the exploitation of timber has generated so far here, neither infrastructure nor collective socio-economic achievement, since ex post generated incomes remain far below ex-ante financial forecast of timber exploitation. Finally, these forests are sitting on appropriate spaces. This raises ambiguities about their supposed status of common goods and raises the question of sharing of their benefits. Others cyclical said weaknesses exist and explain the lethargy into which sinks community organization of forest management. Our results showed the failure of community actors to position themselves in relation to their objective. Their capacities to take a project and to implement a genuine strategy of collective mobilization are also failing. The lack of Community solidarity and the not valorization of local knowledge make vulnerable communities in the partnerships they formed and strengthen the weight and influence of external actors. On village territories as reference scale for the governance of community forests, the study showed that these appear as places of expression of divisions, conflict, and factory of the suspicions and governed by individualism. Community organizations are in turn, described as devices remotely, undermined by pressures from actors of different logics, stereotypes and representations that inhibit rather community collective action. They are also devices controlled by the lure of profit. Community forests producing little or no money, the collective demobilization here makes sense then. The study ends with the perspective to consider for making the local collective action the tool without which the achievement of the objectives of improving the living conditions, poverty reduction and the prospects for local development, is not possible
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Bouki, Théophile. "Les forêts communautaires du Sud-Cameroun : un outil d'application du développement durable à l'échelle villageoise ?" Paris 10, 2010. http://www.theses.fr/2010PA100030.

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Abstract:
Cette thèse traite des nouveaux rapports entre les sociétés rurales sud-camerounaises et leur forêts dans le contexte de la décentralisation et de la libéralisation de l'économie. Elle analyse les dynamiques de développement durable et de la gestion des forêts pour une meilleure répartition des bénéfices issus de l'exploitation du bois. Trois études de cas, choisis dans le département du Dja et Lobo, illustrent les difficultés du transfert de pouvoir de gestion des affaires publiques de l'Etat vers les villages, mais aussi les problèmes de la participation des villageois aux initiatives de développement local. La thèse problématise le dialogue territorial comme levier de gouvernance locale et d'intégration sociale et politique des stratégies publiques locales<br>This thesis discusses the new relationship between the rural societies of South Cameroon and forests in the context of decentralization and liberalization of the economy. It analyzes the dynamics of development and sustainable forest management for better distribution of profits from logging. Three case studies, chosen in the Dja and Lobo sub division illustrate the difficulties of transferring power to governance of the state to the villages, but also the problems of participation of villagers to local development initiatives. The thesis problematizes the territorial dialogue as a lever for local governance and social integration and political strategies of local government
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Ruest, Bélanger Catherine Éva. "Vers une gouvernance communautaire des forêts : visions mapuches pour un projet de parc national au Chili." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32566.

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Abstract:
345951\u La présente étude s’intéresse à la question « comment peut-on favoriser l’instauration durable de projets de gouvernance communautaire des forêts dans des aires protégées dans un contexte autochtone en Amérique latine ? ». Pour ce faire, une étude de cas a été réalisée au Chili en collaboration avec des communautés autochtones mapuches qui souhaitent intégrer activement le système de gouvernance d’une aire protégée située sur leur territoire ancestral. La recherche documentaire identifie les critères de réussite à la gouvernance des forêts par les communautés de manière à soutenir l’identification d’enjeux au projet de parc national. Des entrevues et groupes de discussion font ressortir que les enjeux prédominants dans cette étude de cas sont notamment le manque de cohésion interne, le manque de mobilisation et le manque de volonté de l’État. Une dynamique de choc culturel est aussi identifiée comme facteur aggravant des enjeux identifiés. Pour favoriser l’implantation durable du projet de parc national, plusieurs solutions, élaborées à l’aide d’une approche participative et en s’appuyant sur d’autres expériences de gouvernance partagée, sont proposées. Ces propositions sont présentées selon une logique de partage progressif de la gouvernance. Sont proposées notamment la participation mapuche au tourisme, la définition d’un plan d’action clair du côté mapuche, la délégation de certains aspects de la gestion du parc aux Mapuches et l’instauration d’un comité de cogestion informel visant à définir un comité paritaire qui pourrait gérer le parc dans le futur.
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Rivard, Gabrielle. "Enquête sociale pour la gestion communautaire d'une forêt publique : étude de cas de la MRC de La Côte-de-Beaupré." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26228.

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Abstract:
Dans son régime forestier, le Québec instaure un mode de gestion de forêts communautaire grâce auxquelles des communautés locales et autochtones obtiennent la gestion d’une terre publique. La prise en compte des intérêts de la population représente un défi pour les gestionnaires. L’objectif de cette étude était de développer et mettre en œuvre une approche d’enquête sociale pour connaître les valeurs forestières et les attentes d’une communauté. L’étude de cas de la municipalité régionale de comté (MRC) de La Côte-de-Beaupré nous a mené à enquêter auprès de trois parties prenantes : population générale, utilisateurs et gestionnaires. L’approche proposée combinait des méthodes d’enquêtes quantitatives et qualitatives : sondage internet, groupe de discussion et entrevue individuelle. L’enquête a permis de dresser un portrait global de leurs valeurs forestières et de leurs attentes. L’intégration de cet outil en amont du processus décisionnel et sa mise en œuvre à l’échelle d’un territoire spécifique permet de déduire des orientations de gestion de la forêt communautaire plus conformes aux besoins et aspirations de la population qui y est associée.
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Ott, Cécile Chantal. "Exploitation forestière et droits des populations locales et autochtones en Afrique centrale (Cameroun, Congo, Congo RDC et Gabon)." Thesis, Lyon 3, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO30047.

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Abstract:
Les forêts du Cameroun, du Congo, du Congo RCD et du Gabon regorgent d’énormes ressources. Plusieurs potentialités sont offertes à ces pays par la richesse et la diversité de la faune, la flore, l’exploitation des ressources du sous-sol, du bois et des produits forestiers non ligneux. L’exploitation forestière de ces ressources pourrait être un moyen efficace pour l’amélioration des conditions de vie des populations locales et autochtones qui dépendent de ces forêts. Toutefois, malgré les mécanismes juridiques, politiques et économiques mis en place par les différents gouvernements, la participation des populations à la gestion des forêts reste très relative. La promotion et la protection de leurs droits sociaux et économiques demeurent aussi problématiques<br>The forests of Cameroon, Congo, CongoRCD and Gabon are full of enormous resources. Several possibilities are available to these countries by the richness and diversity of fauna, flora, exploitation of resources underground resources, wood and non wood forest products. Logging of these resources could be an effective means of improving the living conditions of local and indigenous people who depend on these forests. However, despite the legal, political and economic setup by different governments, people's participation in forest management is very relative. The promotion and protection of their social and economic rights also remain problematic
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Blouin, Denis. "Un modèle de gouvernance forestière autochtone ancré au territoire : analyse des conditions d’origine et du processus de cocréation dans le cas de la Nation micmac de Gespeg." Doctoral thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/68972.

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Abstract:
Comme de nombreuses Premières Nations au Canada, la Nation micmac de Gespeg, une communauté autochtone sans territoire attribué, manifeste une volonté de réappropriation territoriale depuis plus de deux décennies. Localisée dans la région de Gaspé au Québec, elle s’implique activement dans le domaine forestier depuis un peu plus de 15 ans, plus particulièrement par l’entremise d’ententes de cogestion forestière en terre publique avec le gouvernement du Québec. Suivant une démarche partenariale et collaborative avec la Nation micmac de Gespeg, nous avons étudié, dans un premier temps, ses perceptions, ses besoins et ses attentes concernant son territoire forestier, ainsi qu’analysé son implication actuelle en foresterie. Puis, nous avons réalisé une démarche afin de réviser sa vision et ses objectifs concernant son projet forestier. Nous avons constaté la spécificité de ses attentes, plutôt culturelles et identitaires qu’économiques, et de ses objectifs fondés sur un projet territorial aux dimensions multiples. Ce constat a confirmé la pertinence d’explorer une gouvernance territoriale et forestière innovante et adaptée au contexte autochtone, soit le concept de forêt communautaire. Deuxièmement, pour comprendre le processus transformatif permettant d’atteindre les objectifs et de réaliser la vision de la Nation micmac de Gespeg, nous avons brossé un portrait de leur contexte socio-historique forestier, puis analysé leur cheminement en foresterie, plus particulièrement leur engagement dans laco gestion. Nous avons ensuite développé un cadre d’analyse de la gouvernance forestière, en identifiant plus particulièrement les conditions sur lesquelles la communauté peut agir pour concrétiser sa vision. Nous avons constaté que les engagements actuels et passés de la communauté en foresterie correspondent à des étapes préparant la transformation de la gouvernance de son territoire forestier ancestral. Ce cheminement stratégique circonscrit par le cadre gouvernemental en vigueur constitue un passage vers une gouvernance territoriale autochtone souhaitée par la Nation micmac de Gespeg. En cogestion avec des partenaires locaux, la communauté mig’maq y assume alors un rôle d’entrepreneur institutionnel. De ce fait, les Mi’gmaq de Gespeg exercent une fonction d’agent transformatif en agissant sur les conditions actionnables de la gouvernance des terres publiques vers l’atteinte de leur vision de gouvernance du territoire ancestral, soit la création d’une forêt communautaire. Toutefois, les constats de leurs engagements en foresterie, ainsi que les difficultés rencontrées pour mettre en œuvre leur forêt communautaire mettent en lumière la rationalité de la gouvernance du territoire public québécois. Cette rationalité gouvernementale s’exerçant sur les forêts publiques limite grandement les considérations pouvant être apportées à la satisfaction des besoins et des aspirations de groupes spécifiques. Ainsi, le régime de « gouvernementalité », suivant le terme de Michel Foucault, des terres publiques québécoises se fonde sur une conception unidimensionnelle de la population québécoise et une vision homogène du territoire et de l’économie. Cette perspective oriente les actions de gouvernement vers l’exploitation des ressources et du territoire en fonction du bien-être de la population québécoise en général. Les Autochtones se situent alors à la marge de l’exercice du pouvoir de l’État sur son territoire. Une foresterie autochtone menée à l’échelle locale confronte donc la mission des ministères responsables. De plus, la volonté autochtone d’adapter à sa vision le cadre de gestion de la forêt publique constitue un défi pour la foresterie scientifique, socle de l’aménagement forestier étatique. En somme, les revendications autochtones, comme le projet de forêt communautaire de Gespeg, appellent à la redéfinition du régime de gouvernementalité des terres publiques, tant dans sa conception de la population québécoise, sa vision du rôle des terres publiques que dans son système de connaissances.<br>Like many First Nations in Canada, the Micmac Nation of Gespeg, an Aboriginal community with no assigned territory, has been demonstrating a willingness to reappropriate its territory for more than two decades. Located in the Gaspé region of Quebec, the Micmac Nation of Gespeg has been actively involved in the forestry sector for a little more than 15 years, particularly through forest co-management agreements on publicl and with the Quebec government. Following a partnership and collaborative approach with the Micmac Nation of Gespeg, we first studied its perceptions, needs and expectations regarding its forest territory, as well as analyzed its current involvement in forestry. Then, we carried out an approach in order to revise its vision and its objectives concerning its forestry project. We noted the specificity of its expectations, more cultural and identity-based than economic,and of its objectives based on a territorial project with multiple dimensions. This observation confirmed the relevance of exploring an innovative territorial and forest governance adapted to the aboriginal context, i.e. the concept of community forest. Secondly, in order to understand the transformative process allowing the objectives and vision of the Micmac Nation of Gespeg to be achieved, we drew a portrait of their socio-historical forestry context and then analyzed their path in forestry, more particularly their involvement in co-management. We then developed a framework for analyzing forest governance, identifying more specifically the conditions under which the community canact to achieve its vision. We found that the community's current and past commitments in forestry correspondto steps that prepare for the transformation of the governance of its ancestral forest territory. This strategicpath circumscribed by the governmental framework in force constitutes a passage towards the Aboriginal territorial governance desired by the Micmac Nation of Gespeg. In co-management with local partners, the Mig'maq community assumes an institutional entrepreneurial role. As a result, the Mi'gmaq of Gespeg exercisea transformative agent function by acting on the actionable conditions of the governance of public lands towards the achievement of their vision of governance of ancestral territory, i.e. the creation of a community forest. However, the observations of their forestry commitments, as well as the difficulties encountered in implementing their community forest, highlight the rationality of the governance of Quebec's public land. This governmental rationality exerted on public forests greatly limits the considerations that can be brought to the satisfaction of the needs and aspirations of specific groups. Thus, the system of "governmentality", to use according to Michel Foucault's term, of Québec's public lands is based on a one-dimensional conception of the Québec population and a homogeneous vision of the territory and the economy. This perspective directs government actions towards the exploitation of resources and territory based on the well-being of the Quebec population in general. Aboriginal people are then at the margin of the exercise of the State's power on its territory. An Aboriginal forestry conducted at the local level thus confronts the mission of the responsible ministries. Moreover, the Aboriginal will to adapt to its vision the management framework of the public forest constitutes a challenge for scientific forestry, the foundation of state forest management. In short, aboriginal claims, such as the Gespeg community forest project, call for the redefinition of the system of governmentality of public lands, as much in its conception of the Quebec population, its vision of the role of public lands as inits knowledge system.
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Casalegno, Federico. "Les cybersocialites : nouvelles formes d'interaction communautaire." Paris 5, 2000. http://www.theses.fr/2000PA05H030.

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Abstract:
La diffusion des nouvelles formes de communication contribue aux changements des dynamiques et des architectures communautaires : l'hypothèse développée dans cette thèse est que dans les nouveaux environnements communicationnels se cristallisent des formes de cybersocialité. Ici, j'ai d'abord mis au point une << méthode fractale >> qui m'a permis de suivre les évolutions aléatoires et les dynamiques de la cyberculture. Ensuite, je me suis interrogé sur le sens de la communauté, pour saisir la complexification croissante de cette notion compte tenu de la diffusion des technologies de communication. Au cœur de nos investigations de fonds, nous retrouvons la réélaboration en clé postmoderne des problématiques du lien social dans le tissu communautaire, des formes de partage et de << l'être-ensemble >>. Apres avoir illustre les << réseaux communautaires >>, j'ai proposé une << grille >> d'analyse, instrument souple utilise pour comprendre les communautés en réseau. Avec une approche compréhensive, j'ai explore les nouvelles formes de cybersocialités qui accompagnent l'efflorescence de la cyberculture, et cela en mettant constamment en synergie l'interaction réelle avec celle en réseaux, la co-évolution et la co-présence de l'espace cyber avec l'espace social (habitat, mud's, bbs's, cybercafes, blacksburg). En m'éloignant d'une perspective cybernétique, et en tenant compte l'effervescence des usages sociaux des nouvelles technologies de communication, j'ai mis en exergue les formes naissantes de socialités et de ré-enchantement du monde. Entre le jaillissement des relations humaines et les trajectoires croisées dans les cyber- réseaux, s'ouvre un éventail bariolé des diverses expressions émergeantes des cybersocialités, comme illustration du nouveau paradigme social de la postmodernité.
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Vaerini, Jensen Micaela. "Exécution du droit communautaire par les États membres : méthode communautaire et nouvelles formes de gouvernance /." Bâle : Bruxelles : Paris : Helbing Lichtenhahn ; Bruylant ; LGDJ, 2007. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41194403r.

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