Academic literature on the topic 'Forme réelle des algèbres de Lie'

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Journal articles on the topic "Forme réelle des algèbres de Lie"

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Loeb, Jean-Jacques. "Action d'une forme réelle d'un groupe de Lie complexe sur les fonctions plurisousharmoniques." Annales de l’institut Fourier 35, no. 4 (1985): 59–97. http://dx.doi.org/10.5802/aif.1028.

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2

ROMAGNY, Matthieu, and Dajano Tossici. "Smooth affine group schemes over the dual numbers." Épijournal de Géométrie Algébrique Volume 3 (July 1, 2019). http://dx.doi.org/10.46298/epiga.2019.volume3.4792.

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Abstract:
International audience We provide an equivalence between the category of affine, smooth group schemes over the ring of generalized dual numbers $k[I]$, and the category of extensions of the form $1 \to \text{Lie}(G, I) \to E \to G \to 1$ where G is an affine, smooth group scheme over k. Here k is an arbitrary commutative ring and $k[I] = k \oplus I$ with $I^2 = 0$. The equivalence is given by Weil restriction, and we provide a quasi-inverse which we call Weil extension. It is compatible with the exact structures and the $\mathbb{O}_k$-module stack structures on both categories. Our constructions rely on the use of the group algebra scheme of an affine group scheme; we introduce this object and establish its main properties. As an application, we establish a Dieudonné classification for smooth, commutative, unipotent group schemes over $k[I]$. Nous construisons une équivalence entre la catégorie des schémas en groupes affines et lisses sur l'anneau des nombres duaux généralisés k[I], et la catégorie des extensions de la forme 1 → Lie(G, I) → E → G → 1 où G est un schéma en groupes affine, lisse sur k. Ici k est un anneau commutatif arbitraire et k[I] = k ⊕ I avec I 2 = 0. L'équivalence est donnée par la restriction de Weil, et nous construisons un foncteur quasi-inverse explicite que nous appelons extension de Weil. Ces foncteurs sont compatibles avec les structures exactes et avec les structures de champs en O k-modules des deux catégories. Nos constructions s'appuient sur le schéma en algèbres de groupe d'un schéma en groupes affines, que nous introduisons et dont nous donnons les propriétés principales. En application, nous donnons une classification de Dieudonné pour les schémas en groupes commutatifs, lisses, unipotents sur k[I] lorsque k est un corps parfait.
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Dissertations / Theses on the topic "Forme réelle des algèbres de Lie"

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Back, Valérie. "Formes réelles presque déployées d'algèbres de Lie affines." Nancy 1, 1995. http://www.theses.fr/1995NAN10090.

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Abstract:
L’objet de cette thèse est l'étude des formes presque déployées des algèbres de Lie affines. Plus précisément, les algèbres de Lie affines se construisent comme algèbres de lacets à partir d'une algèbre de Lie simple et d'un automorphisme d'ordre fini de cette algèbre, on montre alors que les formes presque déployées des algèbres de Lie affines se construisent de façon parallèle à partir d'une forme de l'algèbre de Lie simple et du même automorphisme (pour un bon choix de cet automorphisme). On se restreint ensuite au cas réel et on donne pour chaque forme réelle presque déployée d'algèbre de Lie affine complexe, la ou les deux formes réelles d'algèbre de Lie simple complexe qu'on lui associe (selon le procédé évoqué ci-dessus), ainsi que leurs rangs
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2

Dolivet, Yacine. "Dualités, construction de modèles et polynômes biorthogonaux en théorie des supercordes." Paris 6, 2007. http://www.theses.fr/2007PA066597.

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Abstract:
Dans le premier chapitre de cette thèse nous développons des règles formelles pour l'oxydation et la réduction dimensionnelle de théories incluant le secteur bosonique des théories de supergravité. Ceci nous permet de mettre en évidence la symétrie de leurs équations du mouvement sous des superalgèbres de Borcherds. Nous présentons ensuite une construction explicite du groupe de dualité non-perturbatif SU(4,n) des modèles de corde avec supersymétrie d'espace-temps N=6 en dimension trois ainsi qu'une discussion de la c-map pour plusieurs modèles perturbatifs exacts de cordes obtenus par la construction fermionique. Enfin, nous effectuons des rappels sur la théorie de Chern-Simons et le lien existant avec les modèles de matrices. On y présente nos résultats sur la construction des polynômes biorthogonaux de Stieltjes-Wigert qui sont utiles à l'étude de la théorie de Chern-Simons formulée sur les espaces lenticulaires.
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3

Ammari, Kaïs. "Sur la stabilité des sous-algèbres paraboliques d'une algèbre de Lie simple." Thesis, Poitiers, 2014. http://www.theses.fr/2014POIT2256.

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Abstract:
Soit K un corps algébriquement clos de caractéristique nulle. Il est bien connu, d'après un résultat de Duflo, Khalgui et Torasso, qu'une algèbre de Lie algébrique quasi-réductive (définie sur K) est stable. La réciproque est fausse en général. Se pose la question de savoir, si pour certaines classes particulières d'algèbres de Lie non réductives, il y a équivalence entre ces deux notions. Plus généralement, les sous-algèbres biparaboliques forment une classe très intéressante (incluant la classe des sous-algèbres paraboliques et de Levi) d'algèbres de Lie qui ne sont pas toutes réductives. Panyushev conjecture que si une sous-algèbre biparabolique est stable, alors son stabilisateur générique est un tore. Cette conjecture peut être reformulée ainsi : une sous-algèbre de Lie biparabolique est stable si et seulement si elle est quasi-réductive. Compte tenu des résultats obtenus par ce dernier pour le cas des sous-algèbres paraboliques d'une algèbre de Lie simple de type A et C, on donne dans cette thèse une réponse positive à cette conjecture pour la classe des sous-algèbres paraboliques d'une algèbre de Lie simple. Au passage, nous montrons également qu'une sous-algèbre de Lie de gl(n, K) qui stabilise une forme bilinéaire alternée de rang maximal et un drapeau en position générique est stable si et seulement si elle est quasi-réductive
Let K be an algebraically closed field of characteristic 0. It is well known by work of Duflo, Khalgui and Torasso that any quasi-reductive algebraic Lie algebra (defined over K) is stable. However, there are stable Lie algebras which are not quasi-reductive. This raises the question, if for some particular class of non-reductive Lie algebras, there is equivalence between stability and quasi-reductivity. More generally, biparabolic subalgebras form a very interesting class (including the class of parabolic subalgebras and of Levi subalgebras) of non-reductive Lie algebras. It was conjectured by Panyushev that these two notions are equivalent for biparabolic subalgebras of a reductive Lie algebra. In this thesis, we give by considering the results of Panyushev for parabolic subalgerbras of simple Lie algebra of type A and C a positive answer to this conjecture in the case of parabolic subalgebras. In passing, we prove that these two notions are equivalent for certain subalgebras of gl(n,K) which stabilize an alternating bilinear form of maximal rank and a flag in generic position
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Zessin, Mathias. "Sur les toupies et les p-sphères de contact." Phd thesis, Université de Haute Alsace - Mulhouse, 2004. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00008469.

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Abstract:
Ma thèse consiste en une étude des cercles de contact et plus généralement des p-sphères de contact sous différents points de vue, topologique, géométrique et algébrique. Une p-sphère de contact est l'ensemble des combinaisons linéaires normalisées de p+1 formes de contact si toutes ces formes sont de contact.
Dans la première partie nous étudions des p-sphères de contact invariantes sur des fibrés principaux en cercles. Nous classifions les fibrés principaux de dimension 3 qui admettent des p-sphères de contact invariantes et nous construisons des exemples.
Dans la partie géométrique nous étudions l'ensemble des structures de contact associées aux éléments d'un cercle de contact. Nous définissons la notion de faisceau de contact et de toupie de contact (sur une variété riemannienne). Nous classifions les variétés de dimension 3 qui admettent des toupies de contact et nous caractérisons les métriques pour lesquelles il peut y avoir des toupies de contact sur une variété donnée.
Dans la partie algébrique, nous étudions les groupes de Lie de dimensions 3 et 7 qui admettent des p-sphères de contact invariantes à gauche. Nous obtenons des résultats de classification, ainsi qu'un certain nombre d'exemples.
Nous montrons également qu'il n'existe pas de p-sphère de contact sur les variétés de dimension 4n+1 (pour p 1) et que sur les (4n-1)-sphères il existe toujours une ( (4n)-1)-sphère de contact, où est le nombre d'Adams.
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5

Khlifi, Olfa. "Le cône diamant." Phd thesis, Université de Bourgogne, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00682548.

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Abstract:
Le cône diamant a été introduit par N. J. Wildberger pour l'algèbre de Lie sl(n;R). C'est une présentation combinatoire d'une base de l'espace C[N] des fonctions polynomiales sur le facteur nilpotent N de la décompositon d'Iwasawa de SL(n;R), qui respecte la stratification naturelle de ce N-module indécomposable. Cette approche combinatoire peut se réaliser à l'aide de tableaux de Young, qui indexent une telle base. On réalise l'algèbre C[N] comme un quotient, appelé algèbre de forme réduite, de l'algèbre de forme S_ de SL(n;R), on en déduit une base indexée par des tableaux de Young semi standards particuliers, dits tableaux quasi standards. Dans cette thèse cette construction est étendue aux cas des algèbres semi simples de rang 2, puis des algèbres sp(2n), enfin aux super algèbres de Lie sl(m; 1). Dans chaque cas, on définit les tableaux quasi standards, et on montre qu'ils forment une bonne base de l'algèbre de forme réduite, soit directement, soit en utilisant une variante du jeu de taquin de Schützenberger.
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Ammari, Kais. "Sur la stabilité des sous-algèbres paraboliques d'une algèbre de Lie simple." Thesis, 2014. http://www.theses.fr/2014POIT2256/document.

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Abstract:
Soit K un corps algébriquement clos de caractéristique nulle. Il est bien connu, d'après un résultat de Duflo, Khalgui et Torasso, qu'une algèbre de Lie algébrique quasi-réductive (définie sur K) est stable. La réciproque est fausse en général. Se pose la question de savoir, si pour certaines classes particulières d'algèbres de Lie non réductives, il y a équivalence entre ces deux notions. Plus généralement, les sous-algèbres biparaboliques forment une classe très intéressante (incluant la classe des sous-algèbres paraboliques et de Levi) d'algèbres de Lie qui ne sont pas toutes réductives. Panyushev conjecture que si une sous-algèbre biparabolique est stable, alors son stabilisateur générique est un tore. Cette conjecture peut être reformulée ainsi : une sous-algèbre de Lie biparabolique est stable si et seulement si elle est quasi-réductive. Compte tenu des résultats obtenus par ce dernier pour le cas des sous-algèbres paraboliques d'une algèbre de Lie simple de type A et C, on donne dans cette thèse une réponse positive à cette conjecture pour la classe des sous-algèbres paraboliques d'une algèbre de Lie simple. Au passage, nous montrons également qu'une sous-algèbre de Lie de gl(n, K) qui stabilise une forme bilinéaire alternée de rang maximal et un drapeau en position générique est stable si et seulement si elle est quasi-réductive
Let K be an algebraically closed field of characteristic 0. It is well known by work of Duflo, Khalgui and Torasso that any quasi-reductive algebraic Lie algebra (defined over K) is stable. However, there are stable Lie algebras which are not quasi-reductive. This raises the question, if for some particular class of non-reductive Lie algebras, there is equivalence between stability and quasi-reductivity. More generally, biparabolic subalgebras form a very interesting class (including the class of parabolic subalgebras and of Levi subalgebras) of non-reductive Lie algebras. It was conjectured by Panyushev that these two notions are equivalent for biparabolic subalgebras of a reductive Lie algebra. In this thesis, we give by considering the results of Panyushev for parabolic subalgerbras of simple Lie algebra of type A and C a positive answer to this conjecture in the case of parabolic subalgebras. In passing, we prove that these two notions are equivalent for certain subalgebras of gl(n,K) which stabilize an alternating bilinear form of maximal rank and a flag in generic position
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